Point 8 : Ils voudraient que les autres ne se soumettent qu’à eux, et non à la vérité ou à Dieu (Partie I)
Supplément : Dissection des problèmes qui surviennent lors de la transcription des sermons
J’ai entendu quelques personnes remarquer que les transcripteurs avaient retiré les histoires qui introduisaient les derniers sermons, laissant là uniquement le contenu formel des sermons qu’elles précédaient. Est-ce vraiment le cas ? Quelles sont les histoires qui ont été séparées des sermons qui les suivaient ? (L’histoire de Dabao et de Xiaobao, L’histoire de Daming et de Xiaoming, au sujet du capital : « Je ferai comme bon me semble ! ») Ces trois histoires ont été séparées du contenu des sermons, mais pourquoi donc ? Pour quelle raison ? Apparemment, les transcripteurs se sont dit que les histoires qui précédaient les sermons ne correspondaient pas avec leur contenu, ils les ont donc séparés. Était-ce justifié ? C’est précisément ce que les transcripteurs ont fait. Ils ont fait preuve de trop d’arrogance et de suffisance, en prenant les histoires à part et en les organisant en chapitres séparés sans aucun contenu de sermon. Selon-vous, agir ainsi a-t-il été bénéfique, ou néfaste ? Et selon vous, l’histoire racontée en préambule doit-elle correspondre avec le sermon qui la suit ? Cela est-il vraiment nécessaire ? (Non.) Alors pourquoi les transcripteurs des sermons se sont-ils ainsi mépris sur leur tâche ? Comment ont-ils pu avoir une telle croyance ? Quel est le problème, ici ? Ils se sont dit : « Les histoires que Tu as racontées sont hors-sujet. Je vais les filtrer pour Toi, et lorsque je les distribuerai, je ne les mettrai pas ensemble. Les sermons sont des sermons ; il convient qu’ils se suivent de manière cohérente. Le contenu des histoires qui les précèdent ne devrait pas interférer avec celui des sermons. Il me faut les filtrer pour Toi car, Toi-même, Tu ne comprends pas le problème ». Font-ils preuve d’une bonne intention ? D’où leur vient-elle, leur bonne intention ? Est-elle issue de notions humaines ? (Oui.) Quand Je prêche, faut-il que Je prenne tout en considération de manière si exhaustive ? Faut-il que chaque histoire que Je raconte soit en adéquation avec le contenu qui la suit ? (Non.) Cela n’est pas nécessaire, c’est ce que l’on appelle un règlement, une notion. Quelle erreur les transcripteurs ont-ils commise ? (Celle d’agir selon leur imagination et leurs notions.) Quelle autre erreur ? (Celle d’agir de façon imprudente et arbitraire.) La nature de ce type de comportement, c’est d’être quelque peu imprudent et arbitraire ; ils manquent de ce cœur qui craint Dieu. C’est une juste affirmation, mais l’essence de la question est ailleurs. Lorsqu’ils ont transcrit les sermons, quel type d’attitude avaient-ils et quel type de point de vue avaient-ils en posant leur regard sur tout ce que Dieu avait dit ? Qu’il s’agisse d’histoires ou de sermons, quelle attitude ont-ils adoptée, et de quel point de vue ont-ils observé et écouté ces paroles qui ont été prononcées ? (Depuis le point de vue du savoir et de l’apprentissage.) C’est exact. Observer les histoires racontées et le contenu des sermons depuis le point de vue du savoir mène à ce problème-là. Ils croient que, quelle que soit la section dont Je souhaite parler, lorsque Je donne un sermon, le contenu doit suivre un certain ordre, et que chaque phrase doit être logique, que chaque phrase doit se conformer aux notions de tous, et que chaque section doit avoir un but rigoureux. Ils envisagent Mes sermons selon cette notion. Cela témoigne-t-il d’un manque de compréhension spirituelle ? (Oui.) C’est exactement cela : un manque de compréhension spirituelle ! Utiliser la logique et la déduction pour appréhender ce dont J’ai parlé du point de vue de la connaissance, c’est commettre une grave erreur. Je ne fabrique pas des discours, J’échange sur la vérité ; cela devrait être clair pour toi. Ceux d’entre vous qui ont entendu les sermons lors de l’assemblée et ont par la suite écouté à nouveau la version qu’ils ont transcrite, avez-vous remarqué qu’ils avaient omis certaines choses ou certains points importants qui avaient été exprimés à l’origine ? Est-ce que ce genre de chose s’est produit ? Par exemple, peut-être que vous avez entendu un passage lors de l’assemblée qui était très émouvant et édifiant, mais que vous avez ensuite découvert, en écoutant l’enregistrement du sermon, que ce passage était absent, qu’il avait été retiré. Cela vous est-il arrivé ? Si vous n’avez pas écouté attentivement, il est possible que vous ne vous en soyez pas rendu compte, alors assurez-vous d’écouter attentivement à l’avenir. Une fois, J’ai écouté un enregistrement et, au moment où Je venais de commencer à parler des différentes manifestations des antéchrists, en les énumérant d’une à quinze, les clarifications et les explications détaillées de chaque manifestation avaient été retirées ; à la place, seules la première manifestation, puis la deuxième, puis la troisième, et ainsi de suite, étaient énumérées. Chaque manifestation était décrite très sommairement, l’une après l’autre, à un rythme bien plus rapide que celui d’un professeur d’école qui donnerait une leçon. Pour la plupart des gens qui n’avaient pas entendu ce sermon auparavant et ne le connaissaient pas, ils n’auraient eu aucun espace de réflexion en l’écoutant. S’ils avaient voulu l’écouter attentivement, ils auraient sans cesse été forcés de faire des pauses, d’écouter une phrase, de prendre rapidement des notes, puis de réfléchir sur le sens de cette phrase avant d’écouter la suivante. Sans cela, le tempo aurait été trop rapide, ils n’auraient pas pu tenir le rythme. Cela constituait une grave erreur de la part de ceux qui ont monté les enregistrements des sermons. Un sermon est un échange, une discussion. En quoi consiste le contenu des sermons ? Ils abordent différentes vérités et les différents états des personnes ; ils portent tous sur la vérité. Alors, est-ce que ces contenus portant sur la vérité sont faciles à comprendre et à accepter pour les personnes, ou bien requièrent-ils une réflexion, une contemplation et un examen mental avant de pouvoir, progressivement, susciter une réaction ? (Ils nécessitent une réflexion, une contemplation et un examen mental.) En tenant compte de cela, quel type de rythme devrait être employé par celui qui profère le sermon ? Cela fonctionnerait-il si cette personne parlait au rythme d’une mitraillette ? (Non.) Comme un professeur qui donne une leçon ? (Non.) Comme quelqu’un qui fait un discours ? (Non.) Cela ne serait absolument pas approprié. Pendant le sermon, il faut qu’il y ait des questions et des réponses, de l’espace pour la réflexion, il faut donner aux personnes le temps de réagir : voilà le tempo approprié. Ceux qui ont transcrit les sermons l’ont fait sans comprendre ce principe ; cela témoigne-t-il d’un manque de compréhension spirituelle ? (Oui.) En effet, la compréhension spirituelle leur fait défaut. Ils se sont dit : « Ces choses dont Tu parles, je les ai déjà entendues. Après les avoir entendues une fois, je me souviens des grandes lignes et je sais de quoi Tu parles. En faisant usage de mon expérience et des excellentes compétences que j’ai développées en montant régulièrement des enregistrements de sermons, je vais procéder ainsi et accélérer la cadence. » En soi, le fait d’accélérer la cadence ne semblait pas poser un réel problème, mais quel est alors le résultat sur la transcription du sermon ? Cela transforme le sermon en une dissertation. Une fois transformé en dissertation, il perd cette qualité que l’on ressent lorsqu’il est écouté en personne ; peut-il alors produire le même effet ? Il y a forcément une différence. Cette différence améliore-t-elle le sermon ou bien nuit-elle au sermon ? (Elle lui nuit.) Cette différence lui nuit. Les personnes qui manquent de compréhension spirituelle agissent de leur propre initiative et se croient intelligentes. Elles se croient instruites, compétentes, talentueuses et brillantes, mais elles finissent par agir de manière déraisonnable. C’est bien ce qui se produit, n’est-ce pas ? (Oui.) Je vous pose parfois des questions dans Mes sermons, pourquoi donc ? Certaines personnes disent : « Peut-être crains-Tu que nous nous assoupissions. » Est-ce pour cela ? Pourquoi M’arrive-t-il de parler d’autres thèmes, de M’écarter du sujet et de discourir sur des choses légères et joyeuses ? C’est pour vous permettre de vous détendre, pour vous donner l’espace pour réfléchir. Cela vous permet aussi d’avoir une compréhension plus large d’un certain aspect de la vérité, afin que vous ne limitiez pas votre compréhension aux mots, au sens littéral, aux doctrines ou aux structures grammaticales – votre compréhension ne devrait pas être limitée à ces choses-là. Je parle donc parfois d’autres choses ; parfois Je raconte des plaisanteries pour alléger l’atmosphère, mais en réalité Je fais surtout cela pour obtenir un certain résultat – il vous faut comprendre cela.
Tu vois, lorsqu’un pasteur religieux fait un sermon, il monte en chaire et ne parle que de sujets ennuyeux qui n’ont rien à voir avec la vie réelle des personnes, leurs états mentaux, ou leurs problèmes existants. Ce ne sont là que des formules et des doctrines sans vie. Ils ne disent rien de plus qu’une poignée de mots agréables à l’oreille et ils crient quelques slogans vides de sens. Cela provoque de l’ennui chez ceux qui écoutent et ils n’y gagnent rien. Au bout du compte, il en résulte une situation dans laquelle le pasteur parle d’en haut, tandis que personne en bas ne lui prête attention ; il n’y a pas du tout d’interaction. Le pasteur ne gaspille-t-il pas alors sa salive ? Les pasteurs font des sermons de la sorte simplement pour gagner leur vie, pour assurer leur propre survie ; ils ne tiennent pas compte des besoins de leur assemblée. Tandis que pour nous maintenant, les sermons que Je prononce ne consistent pas en une cérémonie religieuse ou en l’accomplissement d’une quelconque tâche – le but est d’obtenir plusieurs résultats. Pour obtenir des résultats, tous les aspects doivent être pris en considération : les besoins de toutes sortes de personnes, leurs notions, leur imagination, leurs états et leurs points de vue, tout cela doit être pris en considération. La mesure dans laquelle les personnes de chaque classe sociale peuvent accepter le langage employé doit également être prise en considération. Certaines personnes cultivées, qui affectionnent le langage formel, ont besoin d’entendre quelques paroles littéraires qui respectent la grammaire et la logique. Ils sont à même de les comprendre. Il y a aussi des gens ordinaires, issus des strates moins élevées de la société, qui ne sont pas habitués à ce langage formel ; alors que dois-Je faire ? Il Me faut employer un peu de langage vernaculaire. Par le passé, Je n’employais guère de langage vernaculaire, mais avec les années, J’en ai appris un peu et désormais il M’arrive même de lancer des proverbes en deux temps ou de raconter des blagues. Ainsi, après M’avoir écouté, chacun a l’impression que tout ce dont Je parle est facile à comprendre, quelle que soit sa classe sociale, et que cela le touche de plus près. Mais si Je n’employais que du langage vernaculaire, le contenu du sermon ne semblerait pas suffisamment profond, alors il faut associer le vernaculaire à du langage formel, le tout exprimé dans le langage de la vie quotidienne ; c’est seulement à cette condition que le sermon pourra remplir les critères minimaux. Lorsque l’on commence à employer le langage vernaculaire en disant des choses comme « tu vois », « genre », « je veux dire », etc., une utilisation immodérée de ce type d’expressions peut affecter la mesure dans laquelle la vérité est transmise. Toutefois, si seul le langage soutenu était employé, de façon bien formelle et ordonnée, en suivant la logique de la grammaire et le raisonnement au pas à pas, sans la moindre erreur, à la manière d’une récitation de dissertation ou d’une lecture de texte, comme si tout était écrit du début à la fin, mot pour mot, marques de ponctuation incluses, alors pensez-vous que cela fonctionnerait ? Cela serait trop pénible, Je n’ai pas l’énergie pour cela. C’est un aspect. Par ailleurs, indépendamment du fait qu’il soit cultivé ou non, chacun exprime différents aspects de son humanité, et ces expressions de l’humanité sont liées à la vie concrète. La vie concrète, quant à elle, est indissociable du langage de la vie courante ; elle est indissociable de ton cadre de vie. Cet environnement de vie est rempli de ce type de langage quotidien, mélangé à un peu de langage vernaculaire, ainsi qu’à quelques mots de vocabulaire simple avec une petite note de style littéraire. C’est suffisant pour recouvrir et inclure globalement l’entièreté du spectre des préoccupations. Peu importe que l’on soit jeune ou vieux, peu instruit ou relativement cultivé, presque tout le monde peut appréhender le contenu, tout le monde peut le comprendre ; les gens ne s’ennuieront pas et n’auront pas l’impression d’être dépassés. Voilà ce que les échanges et les sermons doivent prendre en compte, en considérant tous les aspects des besoins de chacun. Pour qu’un sermon porte ses fruits, tu dois prendre en compte tous ces aspects : le rythme de la parole, le choix des mots et la façon de t’exprimer. En outre, lorsqu’il s’agit d’expliquer quelque chose et d’échanger sur un aspect de la vérité, à partir de quel moment cela a-t-il été pleinement transmis ? Dans quel cas n’est-ce pas suffisamment exhaustif ? Quels aspects faudrait-il ajouter ? Tous ceux-là doivent être pris en compte. Si tu ne considères même pas ces aspects, alors ta capacité de réflexion est gravement insuffisante. Là où les autres imaginent les choses en deux dimensions, il te faut être capable de penser en trois dimensions. Il te faut avoir une vision plus exhaustive et plus précise que les autres, être à même d’envisager clairement toutes sortes de problèmes, et également ressentir les vérités-principes sous-jacents. Ainsi, tous les aspects de tempéraments corrompus que les gens peuvent imaginer, exprimer ou révéler, ainsi que les états que cela implique, seront largement couverts et seront compris par tous. Les transcripteurs doivent-ils également posséder ces calibres et ces façons de penser ? Si ce n’est pas le cas et qu’au lieu de cela ils s’appuient sans arrêt sur les connaissances qu’ils ont acquises pour faire un résumé du point principal du sermon, de son idée centrale, de la teneur fondamentale de chaque section, alors cela ressemblerait à la manière dont les étudiants chinois étudient les textes littéraires. Le professeur commence par leur faire examiner le texte dans sa globalité, puis par le leur faire lire intégralement et attentivement. Lors de la première leçon formelle, le professeur parle de la teneur générale du premier paragraphe, il présente du vocabulaire nouveau et discute de la grammaire concernée. Une fois que toutes les sections ont été étudiées, tu dois encore les mémoriser, puis enfin créer des phrases avec le vocabulaire nouveau et comprendre l’idée centrale du texte et l’objectif qu’avait l’auteur en l’écrivant. De cette manière, tu comprends pleinement ce que le texte visait à transmettre. Tout le monde a étudié ces choses-là, tout le monde les connaît, mais si tu les appliques à la transcription d’un sermon, cela reste trop rudimentaire. Ce que Je te dis, c’est que si tu rédiges une dissertation, alors tu peux te servir de cela ; ça relève du simple bon sens quand il s’agit de rédaction. Mais si tu appliques ce mode de pensée, cette théorie, cette méthode, à la transcription d’un sermon, ne pourrais-tu pas alors faire fausse route ? Si, assurément. Tu ne sais pas pourquoi Je veux raconter cette histoire, tu n’essayes pas de comprendre la vérité que tu es censé saisir à travers cette histoire – cela constitue une erreur. En outre, es-tu à même de comprendre la vérité à la fois dans l’histoire et dans le contenu du sermon ? Si tu n’en es pas capable, alors tu manques de compréhension spirituelle. Comment quelqu’un qui manque de compréhension spirituelle pourrait-il se montrer compétent quand il s’agit de transcrire des sermons ?
Vous tous, pourquoi croyez-vous que Je raconte des histoires ? Les transcripteurs de sermons n’en connaissent pas la raison, alors ils y ajoutent leurs propres points de vue. Ils croient que, si Je souhaite raconter des histoires, alors cela doit correspondre au contenu qui les suit – ils ne savent pas pourquoi Je raconte des histoires. Vous ne savez pas non plus, n’est-ce pas ? Puisque vous ne savez pas, Je vais vous en dire la raison. Depuis le début et jusqu’à maintenant, J’ai parlé des différentes manifestations des antéchrists une dizaine de fois et Je n’en ai couvert que la moitié. Si Je terminais de parler de tout ce contenu en une fois, cela rendrait le sujet fort ennuyeux, n’est-ce pas ? Si Je parlais de ces choses directement à chaque fois dès le début, en commençant par demander à chacun de revoir ce qui a été évoqué la fois précédente, pour ensuite commencer à parler, tandis que vous tous prendriez précipitamment des notes, que vous écririez sans relâche, en luttant pour garder les yeux ouverts, et si Je demandais ensuite à tout le monde de faire un résumé une fois que J’aurais terminé, tandis que tout le monde se frotterait les yeux, feuilletant et récitant le contenu sur lequel nous aurions échangé ce jour-là et que, une fois que tout le monde semblerait s’en souvenir à peu près, Je disais : « C’est tout pour aujourd’hui, concluons cette séance et nous continuerons sur ce sujet la prochaine fois », alors tout le monde se sentirait quelque peu désemparé : « Chaque assemblée ne parle que de ces choses-là et toujours sur ce même format ; le contenu est trop long et ennuyeux. » De plus, un partage sur la vérité se doit d’être multidimensionnel et de permettre aux gens de progresser dans tous les aspects de la vérité simultanément. C’est exactement comme l’entrée dans la vie pour l’homme : chacun doit grandir en termes de connaissance de soi, de changement de tempérament, de connaissance de Dieu, de conscience de ses divers états propres ainsi qu’en termes d’humanité, de perspicacité, et sur tous les autres aspects – ils doivent tous progresser simultanément. Si, pendant ce temps, Je ne parle que de discerner les différentes manifestations des antéchrists, les gens pourraient mettre de côté d’autres aspects de la vérité et ils passeraient leur journée à se demander : « Qui ressemble à un antéchrist ? Suis-je un antéchrist ? Combien y en a-t-il autour de moi ? » Faire cela affectera leur entrée dans d’autres aspects de la vérité. Alors Je réfléchis à la manière d’inclure une vérité en plus dans le contenu du sermon, afin que les personnes puissent comprendre une vérité supplémentaire ; en somme, quand Je discute du sujet « Exposer les antéchrists », les gens peuvent accessoirement comprendre d’autres aspects également. Le résultat d’un tel sermon est plus concluant, n’est-ce pas ? (Si.) Par exemple, quand tu manges un aliment de base, tu l’accompagnes parfois d’une pomme. Cela apporte un supplément nutritionnel, n’est-ce pas ? (Oui.) Alors dites-Moi, est-il nécessaire que Je raconte des histoires ? (Oui.) C’est une certitude. Si cela n’était pas nécessaire, pourquoi les raconterais-Je ? Utiliser des histoires pour discuter de sujets légers et joyeux permet aux personnes d’acquérir et de gagner quelque chose dans d’autres aspects de la vérité. C’est une bonne chose. Une fois que J’ai terminé de parler de ces sujets anodins, Je retourne au sujet principal. Cette façon de faire est appropriée. Que manges-tu avant le plat principal ? (Une entrée.) Ceci est une entrée. Les entrées sont généralement très savoureuses et nous mettent en appétit, n’est-ce pas ? Alors quand Je raconte une histoire, tu peux gagner à travers elle un aspect de la vérité, renforçant ainsi ta connaissance ou ta compréhension. Tout cela est bénéfique. Évidemment, ceux qui manquent de compréhension spirituelle n’entendent que la couche superficielle des histoires, ils ne voient pas en elles la vérité qui devrait être comprise. Ils manquent de compréhension spirituelle – on ne peut rien y faire. Par exemple, en écoutant « L’histoire de Dabao et de Xiaobao », certaines personnes se souviennent uniquement que Dabao était mauvais et Xiaobao stupide. Ils se souviennent des noms de Dabao et de Xiaobao, mais ils ne se rappellent pas les circonstances dans lesquelles l’homme, dans l’histoire, révèle son tempérament corrompu, quel type de tempérament était révélé, en quoi consiste ce tempérament, ni quel est son rapport avec la vérité. Dans quelles situations révèlerais-tu toi-même ce type de tempérament ? Prononcerais-tu ce genre de mots ? Si tu dis : « Je n’emploierais pas de tels mots », alors c’est problématique, car cela prouve que tu n’as pas compris la vérité. Certaines personnes déclarent : « Je pourrais dire ce genre de choses si je me retrouvais dans certaines situations, c’est un type de tempérament qui se manifeste dans un état particulier. » Si tu as compris cela, alors tu n’as pas écouté l’histoire pour rien. Après avoir écouté l’histoire, certains disent : « Quel genre de personne est ce Dabao ? Il va jusqu’à brimer et tromper un petit enfant. Il est ignoble ! Je ne tromperais pas des enfants de la sorte. » Cela ne témoigne-t-il pas d’un manque de compréhension spirituelle ? Ces gens parlent uniquement du sujet en lui-même, mais ne comprennent pas la vérité au sein de l’histoire qui fait l’objet de l’échange. Ils sont incapables de faire le lien entre la situation et eux-mêmes ; cela montre un manque de compréhension spirituelle, un profond manque de compréhension spirituelle. Les transcripteurs de sermons rencontrent ce problème. Dès que quelque chose a trait à la vérité, certaines personnes révèlent des points de vue d’incrédules ; dès que la vérité est en jeu, certains manquent de compréhension spirituelle ; dès que la vérité est en jeu, certains deviennent enclins aux déformations, certains deviennent intransigeants, certains deviennent malveillants, et d’autres ont de l’aversion pour elle. Alors, quel tempérament les transcripteurs de sermons ont-ils ? A minima, ils sont arrogants et prétentieux, agissent de leur propre initiative, sans comprendre et sans chercher à comprendre. Ils n’ont même pas posé de question là-dessus ; ils ont simplement séparé directement les histoires du contenu qui les suivait. Ils se disent : « On m’a donné ces sermons à transcrire, je suis donc habilité à prendre cette décision. D’un revers de ma hache, je vais trancher net les histoires. C’est ainsi que je vais traiter les sermons que Tu m’as donnés. Si cela ne Te convient pas, alors ne fais pas appel à moi. » Cela n’est-il pas arrogant et prétentieux ? Ils sont incapables de recevoir la vérité, ils ne la comprennent pas. Ils ne savent pas quel est leur devoir ou bien ce qu’ils devraient faire ou ne pas faire – ils ne savent rien de tout cela. Les gens qui manquent de compréhension spirituelle ne peuvent qu’agir de façon déraisonnable, inhumaine et indigne. De plus, ils n’accomplissent que des actes qui violent les vérités-principes, en se croyant intelligents et en manquant de soumission. Des enregistrements de Mes sermons leur ont été donnés à transcrire et, quelles que soient les pensées ou opinions qu’ils ont eues sur la manière de procéder, ils ne M’ont pas posé de question. N’est-ce pas là un problème majeur ? (C’en est un.) Majeur dans quelle mesure ? (Il est de nature à falsifier les paroles de Dieu.) En effet, le problème est en partie de cette nature-là.
Je raconte une histoire, en abordant un aspect spécifique de la vérité, puis Je donne ensuite des sermons sur d’autres aspects. Est-ce que Je Me demande si ces deux choses sont en adéquation ? Il Me faut prendre en compte cela de prime abord, mais pourquoi n’ai-Je pas insisté sur le fait que ces deux aspects devaient concorder ? En suis-Je conscient ? (Oui.) Alors pourquoi cela est-il devenu un problème pour les transcripteurs du sermon ? Je sais que l’histoire que Je raconte n’a pas de lien avec le sermon qui la suit. En sont-ils conscients ? Ils ne le sont pas. Ils n’ont même pas réfléchi attentivement à la question. Ils se disent : « Tu es dirigé par le Saint-Esprit ; du moment que cela ressemble à la vérité, tout va bien. Tu as raconté une histoire ce jour-là, puis Tu as discuté ensuite d’un contenu spécifique. Quel est le rapport entre ces deux choses ? Pourquoi parler de cette façon ? Quel bénéfice peut-on en tirer une fois la discussion terminée ? Tu ne sais aucune de ces choses. C’est inacceptable ! » Premièrement, ce dont Je dois parler, comment Je parle et le contenu spécifique que J’aborde – Dites-Moi, suis-Je dans un état lucide quand Je décide de ces choses ? (Oui.) Je suis bel et bien dans un état de lucidité, et non dans un état de confusion ; le cheminement des pensées est clair dans Mon esprit. Si quelqu’un manque de compréhension spirituelle, ne sait pas comment chercher la vérité et analyse et catégorise aveuglément les choses, en croyant cela tout à fait approprié, n’est-il pas alors un pharisien typique ? Tout ce qu’ils aiment, c’est entendre des théories pompeuses et creuses, et ils n’aiment pas entendre des sermons pratiques et vrais. Il en résulte qu’ils ne comprennent même pas les plus superficielles des vérités. Cela témoigne d’un grave manque de compréhension spirituelle ! Sans un cœur qui craint Dieu, les gens sont arrogants et présomptueux, ils deviennent particulièrement audacieux, ils osent porter un jugement sur tout sujet, pensant tout comprendre. C’est précisément cela qu’est l’humanité corrompue ; tel est leur tempérament. Être audacieux et agir de façon irréfléchie est-il une bonne ou une mauvaise chose ? (C’est une mauvaise chose.) En fait, il importe peu que l’on soit audacieux ou timide ; ce qui compte, c’est la présence ou non de la crainte de Dieu dans le cœur d’une personne. Plus tard, quand vous écouterez un enregistrement du sermon, prenez la peine de déceler si un quelconque élément clé a été retiré de la transcription. Ces malheureux qui manquent de compréhension spirituelle peuvent parfois causer des perturbations ou des dégâts à travers leurs actions, par inadvertance. Ils disent ne pas agir délibérément – si cela n’est pas délibéré, cela signifie-t-il que leur tempérament n’est pas corrompu ? Il s’agit néanmoins d’un tempérament corrompu. Ce sujet est clos pour le moment.
Supplément :
Les rêves de Xiaogang
Aujourd’hui, Je vais commencer par raconter à nouveau une histoire. Aimeriez-vous écouter des histoires ? Pouvez-vous gagner quelque chose des histoires ? Des choses se passent dans les histoires, et ces choses contiennent des vérités. Les gens dans les histoires ont des états, des révélations, des intentions et des tempéraments corrompus. En fait, ceux-ci existent chez tout le monde, et ils sont connectés à tout le monde. Si tu comprends ces choses et que tu es capable de les reconnaître dans les histoires, cela prouve que tu as une compréhension spirituelle. Certaines personnes disent : « Tu dis que j’ai une compréhension spirituelle – cela signifie-t-il que je suis une personne qui aime la vérité ? » Pas nécessairement ; ce sont deux choses différentes. Certaines personnes ont une compréhension spirituelle mais n’aiment pas la vérité. Elles comprennent simplement et rien de plus, et elles ne se confrontent pas à la vérité pour s’y comparer ni ne la mettent en pratique. Certaines personnes ont une compréhension spirituelle, et après avoir écouté des histoires, elles découvrent qu’elles ont les mêmes problèmes et considèrent la façon d’entrer et la façon de changer à l’avenir – ces personnes ont obtenu les résultats souhaités. Alors aujourd’hui Je vais continuer à raconter une histoire. Le sujet est léger et tout le monde sera prêt à l’écouter. Ces deux derniers jours, Je me suis demandé quelle histoire pourrait permettre à la majorité des gens de gagner quelque chose et d’être édifiés après l’avoir écoutée, et pourrait en outre profondément les imprégner d’un aspect de la vérité, tout en leur permettant de le relier à la réalité et d’en tirer profit en accédant à un aspect de la vérité, ou en corrigeant une sorte de déviation. J’ai oublié de donner un nom à la dernière histoire que J’ai racontée, alors aujourd’hui nous allons donner un nom à cette histoire. Comment pensez-vous qu’elle devrait être appelée ? (Des cadeaux spéciaux.) Laissez de côté le mot « spécial » ; appelons-le « Des cadeaux ». Le mot « spécial » semble un peu étrange ici, et les gens y porteront leur attention. « Des cadeaux » a un sens plus ambigu. Alors, quelle histoire vais-Je raconter aujourd’hui ? L’histoire d’aujourd’hui s’intitule « Les rêves de Xiaogang. » « Xiao » signifie « petit », comme vous le savez tous, et qu’en est-il de « Gang » ? (« Poste. ») Correct. En entendant ce nom, vous devriez connaître le contenu de l’histoire – vous devriez être près de la deviner. Maintenant, Je vais commencer à raconter l’histoire.
Xiaogang est un jeune homme enthousiaste, studieux et appliqué, et il est assez intelligent. Il aime étudier, et se familiarise donc avec certaines des technologies informatiques les plus répandues aujourd’hui, et dans la maison de Dieu, il est tout naturellement affecté à l’équipe de montage vidéo pour accomplir son devoir. Lorsqu’il rejoint pour la première fois l’équipe de montage vidéo, Xiaogang est très heureux et fier. Parce qu’il est jeune et maîtrise certaines technologies, il pense que la vidéo est sa spécialité ainsi que son passe-temps, et qu’il peut mettre à profit son expertise en y accomplissant son devoir et qu’il peut également progresser dans ce domaine par le biais de la formation continue. De plus, la plupart des gens qu’il rencontre ici sont également jeunes, et il aime beaucoup l’atmosphère du lieu et apprécie ce devoir. Ainsi, chaque jour, il se consacre à son travail et étudie sérieusement. C’est ainsi que Xiaogang se lève tôt pour commencer à travailler tous les jours, ne se reposant parfois que tard dans la nuit. Xiaogang paie de nombreux prix pour son devoir et souffre de certaines difficultés, et naturellement, il apprend également un bon nombre de connaissances professionnelles pertinentes ; il a le sentiment que chaque jour a été occupé de manière très productive. Xiaogang échange également fréquemment et assiste à des réunions avec ses frères et sœurs. Il a le sentiment qu’après être venu ici, il a fait plus de progrès que lorsqu’il croyait en Dieu dans sa ville natale, et il a le sentiment d’avoir grandi et de pouvoir un peu travailler. Il se sent très heureux et satisfait. Lorsqu’il a commencé à étudier l’informatique, il espérait travailler un jour avec des ordinateurs, et maintenant que son souhait s’est finalement accompli, il apprécie vraiment cette opportunité. Un certain temps passe, et le travail de Xiaogang et son poste n’ont pas changé. Il tient à son poste et tient à cette responsabilité et à son devoir qui est le sien, et il semble être plus mûr qu’auparavant. Il a également fait des progrès dans l’entrée dans la vie, il échange fréquemment et lit en priant les paroles de Dieu avec ses frères et sœurs lors de réunions, et son intérêt à croire en Dieu devient de plus en plus fort. On peut également dire que la foi de Xiaogang augmente peu à peu. Il a donc un nouveau rêve : « Ce serait génial si je pouvais devenir une personne plus utile tout en travaillant dans l’informatique ! »
Le temps passe ainsi, jour après jour, et Xiaogang continue d’accomplir le même devoir. Un jour, il regarde par hasard un film et ensuite cela le marque profondément. Pourquoi ? Dans le film, il y a un jeune homme du même âge que Xiaogang, et il admire sa performance, son jeu d’acteur, son discours et son comportement dans le film. Il en devient également un peu jaloux. Après avoir regardé le film, il imagine parfois : « Ce serait génial si j’étais ce jeune homme dans le film. Chaque jour, je suis devant l’ordinateur en train de réaliser et de mettre en ligne toutes sortes de vidéos, et peu importe à quel point je suis occupé ou fatigué, ou à quel point je travaille dur, je ne suis toujours qu’un travailleur de l’ombre. Comment quelqu’un pourrait-il savoir à quel point nous travaillons dur ? Si je pouvais un jour apparaître sur le grand écran comme ce jeune homme dans le film, et que davantage de gens pouvaient me voir et me connaître, ce serait génial ! » Xiaogang regarde ce film en boucle, ainsi que toutes les différentes prises de vue où apparaît ce jeune homme. Plus il regarde, plus il l’envie, et plus son cœur le désire ardemment : il aspire à devenir acteur. Ainsi, le nouveau rêve de Xiaogang est né. Quel est son nouveau rêve ? « Je veux étudier l’art dramatique et m’efforcer de devenir un acteur qualifié, apparaître sur grand écran, avoir un air comme celui de ce jeune homme et faire en sorte qu’un davantage de gens m’envient et aspirent à être moi. » À partir de là, Xiaogang commence à travailler à la réalisation de son rêve. Pendant son temps libre, Xiaogang va sur internet et regarde toutes sortes de documents sur le métier d’acteur. Il regarde également toutes sortes de films et d’émissions de télévision, regardant et apprenant en même temps, tout en fantasmant d’avoir la possibilité de devenir acteur. Les jours continuent de s’écouler ainsi, l’un après l’autre – Xiaogang étudie la profession d’acteur tout en conservant son poste. Enfin, grâce à sa persévérance et à son assiduité, Xiaogang maîtrise certains fondamentaux du métier d’acteur. Il a appris à imiter, à parler et à se produire devant les autres, et il n’a pas le moindre trac. Ses demandes répétées lui valent enfin une opportunité : il y a un film qui a besoin d’un jeune homme pour le rôle principal. Dès l’audition, le réalisateur réalise que son physique, sa classe et ses compétences de base en tant qu’acteur sont à la hauteur. Avec un peu plus d’entraînement, il devrait y arriver. En apprenant cette nouvelle, Xiaogang est fou de joie et se dit : « Je peux enfin passer des coulisses à l’écran – un autre de mes rêves est sur le point de se réaliser ! » Xiaogang est ensuite transféré à l’équipe de production cinématographique pour exercer son devoir.
Après le transfert de Xiaogang à l’équipe de production cinématographique, le nouvel environnement de travail lui apporte fraîcheur et vitalité. Il sent que chaque jour passe avec tant de joie, et que ce n’est pas aussi morne, ennuyeux et restreint qu’auparavant, parce qu’il y vit et y travaille, et que beaucoup de choses avec lesquelles il entre en contact chaque jour sont totalement différentes de son travail sur ordinateur – il vit dans un autre domaine de travail, dans un autre monde. Xiaogang se lance ainsi dans le travail de production cinématographique. Chaque jour, il s’occupe à jouer et à apprendre son texte, à écouter les instructions du réalisateur et à écouter ses frères et sœurs analyser l’intrigue. Pour Xiaogang, la partie la plus difficile est d’entrer dans le personnage, alors il mémorise son texte encore et encore et continue de penser à son propre personnage, à la façon dont il doit parler et agir, marcher et se tenir debout, même à la façon dont il doit s’asseoir, il doit réapprendre toutes ces choses. Après avoir poursuivi ce travail complexe et varié pendant un certain temps, Xiaogang réalise enfin à quel point il est difficile d’être acteur. Chaque jour, il doit mémoriser le même texte. Parfois, il peut le réciter parfaitement, mais quand il s’agit de la performance réelle, il fait toujours des erreurs et doit refaire la scène. Il est fréquemment réprimandé par le réalisateur parce que l’une de ses actions ou l’une de ses répliques n’est pas à la hauteur. Si plusieurs de ses performances d’affilée se passent mal, il subira un émondage, perdra la face, endurera des souffrances et s’attirera même des regards bizarres et des moqueries. Face à tout cela, Xiaogang est un peu découragé : « Si j’avais su qu’être acteur sur grand écran serait aussi difficile, je ne serais pas venu ici, mais maintenant je suis un peu dans un bourbier. Je suis déjà là, il serait donc déraisonnable que j’abandonne avant la fin du tournage, et je n’aurais aucun moyen de le justifier. C’était mon rêve, je dois le concrétiser, mais quelle est la longueur du chemin restant à parcourir ? Puis-je continuer ? » Xiaogang commence à faiblir. Les jours suivants, Xiaogang s’efforce de faire face à son travail et à sa vie quotidiens. Chaque jour est plus insupportable que le précédent, mais il doit continuer à le supporter et se forcer à aller de l’avant. Comme on peut bien l’imaginer, Xiaogang aura certainement des problèmes à divers égards. Il commence à faire le travail qui lui est confié avec beaucoup de réticence. Quand le réalisateur lui dit quoi faire, il écoute et c’est tout. Par la suite, il fait de son mieux pour réaliser ce qu’il peut, mais s’il ne parvient pas à faire quelque chose, il ne se prend pas au sérieux. Quelle est la situation où se trouve Xiaogang en ce moment ? Il passe chaque jour vraiment à contrecœur, de façon très négative et très passive, sans accepter dans son cœur les conseils et l’aide sincères du réalisateur ou de ses frères et sœurs. Il croit : « C’est comme ça que je suis, je ne peux pas m’améliorer. Vous me poussez au-delà de mes capacités. Si nous pouvons le filmer, faisons-le ; si nous ne le pouvons pas, alors il nous suffit juste de l’oublier. Je retournerai dans mon équipe de montage vidéo pour faire mon devoir. » Il pense à quel point c’était génial de travailler au sein de l’équipe de montage vidéo, assis devant l’ordinateur tous les jours. C’était tellement confortable et facile ; il était tellement heureux ! Tout son être et tout son monde étaient à portée de clavier, il pouvait avoir tout ce qu’il voulait juste en activant un effet spécial. Ce monde virtuel est très attrayant pour Xiaogang. En ce moment, Xiaogang a encore plus de nostalgie pour son passé et le temps qu’il a passé à accomplir son devoir au sein de l’équipe de montage vidéo. Les jours passent ainsi, puis une nuit, Xiaogang ne parvient pas à trouver le sommeil. Pourquoi ne parvient-il pas à dormir ? Il se dit : « Suis-je fait pour être acteur ? Si je ne suis pas fait pour ça, alors je dois retourner immédiatement à l’équipe de montage vidéo. Le travail de l’équipe de montage vidéo est détendu et facile, je m’assieds devant l’ordinateur et la moitié de la journée vient de s’écouler, et je n’ai pas besoin de me faire à manger. Ce devoir n’est pas pénible, tout est possible par le biais de mon clavier, il n’y a que l’inimaginable, rien n’est impossible. Aujourd’hui, en tant qu’acteur, je dois apprendre mon texte tous les jours et le réciter encore et encore. Pourtant, ma performance n’est toujours pas à la hauteur, le réalisateur me réprimande souvent, et mes frères et sœurs me critiquent souvent. Faire ce devoir est trop pénible, il vaut beaucoup mieux travailler au sein de l’équipe de montage vidéo ! » Plus il y pense, plus ça lui manque. Il se tourne et se retourne pendant la moitié de la nuit, incapable de dormir, et ne parvient à s’endormir que dans la seconde moitié de la nuit, lorsqu’il est tout simplement trop fatigué pour rester éveillé. Lorsque Xiaogang ouvre les yeux tôt le matin, sa première pensée est la suivante : « En fin de compte, dois-je partir ou non ? Dois-je revenir à l’équipe de montage vidéo ? Si je reste ici, je ne sais même pas si le film sera jugé conforme une fois le tournage terminé, et je devrai endurer des difficultés entre-temps. Je ne suis tout simplement pas fait pour être acteur ! À l’époque, c’était sur un coup de tête et par caprice que j’ai voulu être acteur, j’étais vraiment confus ! Tu vois, j’ai fait un faux pas et maintenant les choses sont si difficiles à gérer, et je n’ai personne avec qui parler de cette épreuve. Au vu de ma situation actuelle, il semble qu’il ne sera pas facile pour moi de devenir un bon acteur, alors je devrais renoncer dès que possible. Je vais tout de suite dire au réalisateur que je vais y retourner, afin de ne pas retarder les choses pour eux. » Xiaogang prend alors son courage à deux mains pour dire ceci au réalisateur : « Écoutez, je ne suis pas fait pour être acteur, mais vous, les gars, il fallait que vous me choisissiez malgré tout – pourquoi ne me laissez-vous pas retourner à l’équipe de montage vidéo ? » Le réalisateur dit : « Pas question, on a déjà tourné la moitié de ce film. Si nous changeons d’acteur, cela retardera notre travail, n’est-ce pas ? » Xiaogang persiste et dit : « Et alors ? Remplace-moi par qui tu veux, cela ne me concerne pas. Quoi qu’il arrive, tu dois me laisser partir. Si tu ne me laisses pas partir, je ne ferai aucun effort pour jouer la comédie ! » Le réalisateur voit que Xiaogang insiste pour partir et qu’ils ne pourront pas finir de tourner le film, alors il le laisse partir.
Xiaogang revient enfin à l’équipe de montage vidéo de l’équipe de production cinématographique. Il retourne sur son ancien lieu de travail qu’il connaît si bien. Il touche sa chaise et son ordinateur, qui lui semblent familiers. Il préfère cet endroit. Il va s’asseoir ; la chaise est moelleuse et l’ordinateur est prêt à fonctionner. « Faire des vidéos, c’est mieux, ce devoir n’est pas fatigant. Travailler dans les coulisses a ses avantages, personne ne sait si vous faites une erreur, et personne ne vous critique, vous la corrigez tout de suite et c’est terminé. » Xiaogang a enfin découvert les avantages d’être un travailleur de l’ombre. Quelle est son humeur en ce moment ? Il se sent incroyablement réconforté et heureux, et pense : « J’ai fait le bon choix. Dieu m’a donné une opportunité et m’a permis de revenir à ce travail. Je suis honoré d’avoir ce privilège ! » Il est heureux d’avoir fait le bon choix pour une fois. Dans les jours suivants, Xiaogang suit la routine de travail quotidienne de l’équipe de montage vidéo. Rien de spécial ne se passe pendant cette période, et Xiaogang passe chaque jour d’une manière ordinaire.
Un jour, alors qu’il travaille sur une vidéo, Xiaogang découvre soudain dans un spectacle de danse un jeune homme plein d’humour et de classe qui réalise une très belle prestation. Il pense : « Il a à peu près mon âge ; comment se fait-il qu’il sache danser et que je ne sache pas ? » Par conséquent, Xiaogang est à nouveau tenté. Quelle idée lui vient à l’esprit ? (Danser.) Xiaogang a l’idée d’étudier la danse. Il regarde en boucle ce clip vidéo et la prestation du jeune homme. Il se renseigne ensuite sur les endroits où il est possible d’étudier la danse, sur la façon de l’apprendre et sur les danses les plus élémentaires. Il utilise également fréquemment la commodité d’être au travail pour rechercher sur son ordinateur du matériel pédagogique, des vidéos et des ressources d’étude liés à la danse. Bien sûr, tout en cherchant, Xiaogang ne se contente pas de regarder, il apprend aussi en s’exerçant. Afin d’apprendre à danser, Xiaogang se lève très tôt tous les jours et se couche très tard. S’appuyant sur ses bases très limitées de danse gymnique, il commence à étudier formellement la danse folklorique, se levant tôt chaque jour pour s’étirer et se pencher en arrière. Au cours de ses études, Xiaogang endure de nombreuses douleurs physiques et consacre beaucoup de son temps, et finit par obtenir quelques résultats. Xiaogang sent que sa chance est enfin arrivée, qu’il peut danser sur scène parce qu’il croit que son corps est un peu plus souple et qu’il peut faire quelques mouvements de danse. De plus, grâce à l’imitation et à l’étude, il a à peu près maîtrisé certains des rythmes lorsqu’il met de la musique. Dans ces circonstances, Xiaogang estime qu’il est temps de demander à l’Église de changer son devoir. Encore une fois, après des demandes répétées, Xiaogang voit enfin son souhait exaucé et il rejoint l’équipe de danse pour devenir danseur. Dès lors, comme les autres danseurs, Xiaogang se lève tôt pour s’entraîner le matin et répète le spectacle de danse, et assiste régulièrement à des réunions, des échanges, et analyse et planifie le spectacle de danse avec ces personnes. Il fait ce travail tous les jours, et quand la journée est terminée, il est tellement fatigué que son dos lui fait mal et que ses jambes lui font mal. Chaque jour est comme ça, qu’il pleuve ou qu’il vente. Quand il a commencé, Xiaogang était très curieux au sujet de la danse, mais une fois qu’il a compris et s’est familiarisé avec la vie et les divers aspects d’un danseur, Xiaogang a le sentiment d’en avoir fait le tour. Danser un mouvement encore et encore, parfois en se tordant la cheville, parfois en se pinçant le bas du dos, et il y a un risque de blessure. Alors qu’il danse, il pense : « Oh non, travailler comme danseur est également difficile. Chaque jour, je me fatigue tellement que tout mon corps empeste la sueur. Ce n’est pas aussi facile que ça. C’est plus difficile que le travail vidéo ! Non, je dois persévérer ! » Cette fois, il ne renonce pas si facilement, et il persiste jusqu’à ce qu’il arrive enfin à la répétition générale pour le spectacle de danse, après quoi, leur danse est envoyée pour examen. Le jour de l’examen, de quelle humeur est Xiaogang ? Il est tellement excité et plein d’anticipation pour les résultats de son travail acharné qu’il ne déjeune même pas. Il a fait beaucoup d’efforts, n’est-ce pas ? Enfin, lorsque les résultats sont publiés, leur danse ne passe pas la première répétition de l’examen. La nouvelle frappe Xiaogang comme un coup de tonnerre, et son humeur est au plus bas. Il tombe sur une chaise : « Nous avons passé tellement de temps sur cette danse, et tu la rejettes avec un seul mot ? Connais-tu quelque chose à la danse ? Nous dansons avec des principes, nous avons tous payé un prix, et tu rejettes notre danse juste comme ça ? » Puis il pense : « La décision est entre leurs mains, et s’ils n’approuvent pas notre danse, nous devons la réviser à nouveau. Il n’y a personne avec qui en argumenter. Il n’y a rien d’autre que nous puissions faire, alors recommençons. » Le jour où leur danse est rejetée lors de la première répétition de l’examen, Xiaogang ne mange pas son déjeuner, et il ne mange qu’un peu à contrecœur au dîner. Pensez-vous qu’il soit capable de dormir cette nuit-là ? (Il ne parvient pas à dormir.) Il n’arrive pas à se rendormir, son esprit est en ébullition : « Pourquoi les choses ne fonctionnent-elles pas où que j’aille ? Dieu ne m’a pas béni. La danse sur laquelle nous travaillons depuis deux mois n’a pas passé la première répétition de l’examen. Je ne sais pas quand elle passera la deuxième répétition de l’examen, et je ne sais pas combien de temps s’écoulera avant que cela ne se produise. Quand pourrai-je monter sur scène et me produire officiellement ? Il n’y a aucun espoir que je me retrouve sous les feux de la rampe ! » Son esprit va et vient, il réfléchit et réfléchit, et pense : « Le travail vidéo est mieux. Je me contente d’y aller et de m’asseoir, je tape sur le clavier, et des fleurs, des plantes et des arbres se mettent tous à apparaitre. Les oiseaux chantent quand je les fais chanter, les chevaux courent quand je les fais courir, tout ce que je veux, c’est là. Mais en danse, il faut passer des examens, et chaque jour je me fatigue tellement que j’empeste la sueur. Parfois, je suis tellement fatigué que je n’arrive pas à manger ou à dormir correctement, et puis notre danse ne passe pas la première répétition de l’examen. Cette tâche est également difficile. Ne vaudrait-il pas mieux que je retourne travailler dans l’équipe de montage vidéo ? » Il réfléchit encore : « Mais c’est tellement pitoyable, pourquoi est-ce que j’hésite à nouveau ? Je ne devrais pas penser comme ça, va dormir ! » Il s’endort, perplexe. Le lendemain, il se lève et a presque tout oublié, alors il continue à danser et poursuit la répétition générale. Lorsqu’arrive le jour de la deuxième répétition de l’examen, Xiaogang est à nouveau nerveux. Il demande : « Notre danse peut-elle réussir cet examen ? » Tout le monde dit : « Qui sait ? Si cela ne réussit pas, cela prouve que notre danse n’est pas assez bonne, et nous continuerons à travailler dessus. Lorsqu’elle sera acceptée, c’est à ce moment-là que nous la présenterons officiellement et que nous la filmerons. Laissons les choses suivre leur cours et traitons cette question correctement. » Xiaogang dit : « Non, vous pouvez la traiter correctement, mais je n’ai pas le temps pour ça. » Enfin, les résultats de la deuxième répétition sortent, et leur danse n’a à nouveau pas été acceptée. Xiaogang dit : « Hum, je le savais ! Ce n’est pas facile de réussir dans ce domaine ! Nous sommes jeunes, beaux, et nous savons danser. Ce ne sont pas des points forts ? Ces examinateurs sont jaloux de nous parce qu’ils ne savent pas danser, c’est pourquoi ils n’accepteront pas notre danse. J’ai l’impression qu’on ne réussira jamais l’examen, danser n’est pas facile, je vais retourner au groupe vidéo. » Cette nuit-là, Xiaogang dort très paisiblement, parce qu’il a décidé de faire ses valises, de partir et de dire au revoir le lendemain.
Dans tous les cas, Xiaogang voit enfin son souhait exaucé à nouveau et retourne dans l’équipe de montage vidéo, assis devant son ordinateur une fois de plus. Il réfléchit à ces sentiments familiers du passé et se dit : « Je suis né pour travailler dans les coulisses. Je ne peux être qu’un héros anonyme, je n’ai aucune chance d’être sur scène ou d’être célèbre dans cette vie. Je vais me contenter de bien me comporter et de continuer à taper sur le clavier. C’est mon devoir, alors je vais simplement faire ce travail. » Il s’est ressaisi après tous ces va-et-vient. Son second rêve a été brisé et ne s’est pas réalisé. Xiaogang est une personne « diligente et studieuse », et une personne « enthousiaste et ambitieuse » ; est-il probable, selon vous, qu’il soit si enclin à rester assis devant un ordinateur, à accomplir un travail si ennuyeux ? Non, il ne le fera probablement pas.
Depuis peu, Xiaogang est obsédé par le chant. Comment peut-il changer si rapidement ? Pourquoi est-il obsédé par cela, pourquoi ne peut-il pas rester loin de la scène ? Il y a quelque chose de caché dans son cœur. Cette fois-ci, il ne demande pas précipitamment à changer de devoir ; il se contente de chercher du contenu tous les jours et travaille ses compétences vocales et son chant. Il s’entraine souvent jusqu’à en devenir enroué, jusqu’à ne même plus pouvoir produire un son. Quand bien même, Xiaogang n’est toujours pas découragé, car cette fois-ci il a changé de stratégie. Il dit : « Cette fois, je ne peux pas changer de devoir sans comprendre la situation véritable. Il me faut vraiment être prudent ou bien les gens se moqueront de moi. Que penseront-ils de moi si je change sans arrêt de devoir ? Ils me mépriseront. Cette fois-ci, je dois continuer à m’entraîner jusqu’à avoir l’impression que je peux devenir une star de la chanson, aussi bon que les chanteurs à l’Église, alors je m’inscrirai à l’équipe des hymnes. » Il s’efforce de pratiquer ainsi tous les jours, sur son temps libre comme au travail, s’entraînant infatigablement. Un jour, alors que Xiaogang travaille, son chef d’équipe lui dit soudain : « Xiaogang, qu’est-ce que c’est que ce travail ? Si tu continues à ce niveau superficiel et que tu ne fais pas d’effort dans ton travail, tu ne seras plus autorisé à faire ce devoir. » Xiaogang répond : « Je n’ai rien fait. » Toutes les personnes alentours s’attroupent alors en disant « Que s’est-il passé, Xiaogang ? Oh, tu as fait une si grosse erreur ! Le Supérieur a corrigé ce type d’erreur tant de fois, comment as-tu pu encore la commettre ? C’est parce que tu t’entraines au chant tous les jours et que tu ne te concentres pas sur le montage vidéo, alors tu continues à commettre des erreurs et à retarder des affaires importantes. Si tu commets à nouveau une telle erreur, l’Église t’expulsera. Elle ne voudra plus de toi et nous te rejetterons tous ! » Xiaogang continue à expliquer : « Je ne l’ai pas fait exprès, je serai plus attentif désormais, donnez-moi encore une chance. Ne m’expulsez pas, je vous en supplie, ne m’expulsez pas ! Dieu me préserve ! » Au moment où il crie, il sent une grande main lui taper sur l’épaule et lui dire : « Xiaogang, réveille-toi ! Réveille-toi, Xiaogang ! » Qu’est-il en train de se passer ? (Il rêve.) Il est en train de rêver. Ses yeux sont clos et il est dans les vapes, ses mains s’agitent, agrippant et griffant l’air. Tout le monde se demande ce qui s’est passé, puis ils voient Xiaogang penché sur son clavier, endormi. Un frère lui donne de petites tapes et, après quelques secousses, Xiaogang se réveille enfin. Une fois éveillé, il dit : « Oh, quelle frayeur, j’étais sur le point de me faire expulser. » « Pour quelle raison ? » Xiaogang y réfléchit et voit qu’il ne s’est rien passé. Il se trouve que c’était un rêve en fin de compte, il a été réveillé par un rêve qui l’a effrayé. Ainsi s’achève l’histoire, c’était « Les rêves de Xiaogang ».
Quel est le problème abordé dans cette histoire ? Le fait que les rêves et la réalité sont souvent contradictoires. Les gens pensent souvent que leurs rêves sont légitimes mais ils ne savent pas que les rêves et la réalité ne sont pas du tout la même chose. Les rêves ne sont que tes vœux pieux, tes intérêts temporaires. La plupart du temps, ils constituent les préférences des gens, leurs ambitions et leurs désirs qui deviennent le but de leurs poursuites. Les rêves des gens sont en totale inadéquation avec la réalité. Si les gens ont trop de rêves, quelles erreurs commettent-ils souvent ? Ils négligent le travail qui les attend et qu’ils devraient faire à ce moment-là. Ils ignorent la réalité et mettent de côté les devoirs qu’ils devraient accomplir, le travail qu’ils devraient terminer ainsi que les obligations et les responsabilités qu’ils doivent mener à bien à ce moment-là. Ils ne prennent pas ces choses au sérieux et continuent seulement à suivre leurs rêves, à se précipiter constamment et à travailler dur pour les réaliser, et à faire beaucoup de choses vides de sens. Ce faisant, ils échouent non seulement à accomplir leurs devoirs correctement, mais ils sont aussi susceptibles de retarder et de perturber l’œuvre de l’Église. Beaucoup de gens ne comprennent pas la vérité ou ne poursuivent pas la vérité. Comment abordent-ils le fait d’accomplir un devoir ? Ils traitent cela comme une sorte de travail, de hobby, ou un investissement dans leur intérêt. Ils ne traitent pas cela comme une mission ou une tâche donnée par Dieu, ou une responsabilité qu’ils devraient mener à bien. Ils cherchent encore moins à comprendre la vérité ou les intentions de Dieu en accomplissant leurs devoirs, afin de pouvoir s’acquitter pleinement de leurs devoirs et du mandat de Dieu. De fait, dans le processus d’accomplissement de leurs devoirs, certaines personnes deviennent récalcitrantes dès qu’elles subissent un brin de difficulté et cherchent à s’enfuir. Lorsqu’elles rencontrent des difficultés ou subissent quelques revers, elles battent en retraite et veulent à nouveau s’échapper. Elles ne cherchent pas la vérité ; elles songent uniquement à s’échapper. Telles des tortues, si quoi que ce soit tourne mal, elles se cachent simplement dans leurs carapaces puis attendent que le problème soit passé avant d’émerger à nouveau. Il y a beaucoup de gens comme cela. Certaines personnes, en particulier, lorsqu’il leur est demandé d’assumer la responsabilité pour un certain travail, ne se demandent pas comment elles peuvent offrir leur loyauté, ou comment accomplir ce devoir et bien effectuer ce travail. Au lieu de cela, elles se demandent comment esquiver les responsabilités, comment éviter d’être émondées, comment éviter d’endosser la moindre responsabilité et comment s’en sortir indemne quand des problèmes ou des erreurs se produisent. Ils considèrent avant tout leur échappatoire personnelle et comment satisfaire leurs propres préférences et intérêts, pas comment bien accomplir leurs devoirs et offrir leur loyauté. Ces gens-là peuvent-ils gagner la vérité ? Ils ne font pas d’effort vis-à-vis de la vérité et ne mettent pas la vérité en pratique quand il s’agit d’accomplir leurs devoirs. Pour eux, l’herbe est toujours plus verte de l’autre côté de la barrière. Aujourd’hui ils veulent faire ceci, le jour suivant ils veulent faire cela, et ils pensent que les devoirs de tous les autres sont meilleurs et plus faciles que les leurs. Et pourtant, ils ne font pas d’effort concernant la vérité. Ils ne réfléchissent pas aux problèmes logés dans leurs idées, et ils ne cherchent pas la vérité pour résoudre les problèmes. Leurs esprits sont toujours concentrés sur quand leurs propres rêves seront réalisés, qui est sous les projecteurs, qui est reconnu par le Supérieur, qui effectue son travail sans être émondé et se retrouve promu. Leurs esprits sont remplis de ces choses-là. Les gens qui ne pensent qu’à ces choses-là peuvent-ils accomplir leurs devoirs de façon satisfaisante ? Ils n’y parviennent jamais. Alors, quel genre de personne effectue ses devoirs de cette manière ? S’agit-il de gens qui poursuivent la vérité ? Pour commencer, une chose est sûre : ces gens-là ne poursuivent pas la vérité. Ils cherchent à profiter de quelques bénédictions, devenir célèbres et à se placer sous le feu des projecteurs dans la maison de Dieu, exactement comme quand ils évoluaient en société. En termes d’essence, quel type de personnes sont-ils ? Ce sont des incrédules. Les incrédules accomplissent leurs devoirs dans la maison de Dieu comme ils le feraient s’ils travaillaient dans le monde extérieur. Ils se soucient de qui est promu, qui devient chef d’équipe, qui devient dirigeant d’Église, qui reçoit les éloges de tous pour son travail, qui est exalté et cité. Ils se préoccupent de ces choses-là. C’est exactement comme dans une entreprise : qui est promu, qui obtient une augmentation, qui reçoit les éloges du dirigeant et qui se rapproche de ce dernier – les gens se soucient de ces choses-là. S’ils cherchent aussi ces mêmes choses dans la maison de Dieu et en sont préoccupés toute la journée, ne sont-ils pas pareils à des non-croyants ? Essentiellement parlant, ce sont des non-croyants ; ce sont des incrédules typiques. Quel que soit le devoir qu’ils accomplissent, ils se contentent de rendre service et agissent de manière superficielle. Quels que soient les sermons qu’ils entendent, ils n’acceptent toujours pas la vérité, et ils la mettent encore moins en pratique. Ils ont cru en Dieu pendant de nombreuses années sans faire l’objet du moindre changement et, peu importe pendant combien d’années ils accomplissent leurs devoirs, ils sont incapables d’offrir leur loyauté. Ils n’ont pas de véritable foi en Dieu, ils n’ont pas de loyauté, ce sont des incrédules.
Certains ont peur d’assumer leurs responsabilités dans l’accomplissement de leur devoir. Si l’Église leur donne un travail à faire, ils se demanderont d’abord si ce travail les oblige à assumer des responsabilités. Et si c’est le cas, ils n’accepteront pas ce travail. Leurs conditions pour accomplir un devoir sont, premièrement, qu’il s’agisse d’un travail peu exigeant, deuxièmement, qu’il ne soit ni prenant, ni fatigant et troisièmement, que quoi qu’ils fassent, ils n’assument aucune responsabilité. Voilà le seul genre de devoir qu’ils assument. De quel genre de personne s’agit-il là ? Ne s’agit-il pas d’une personne fuyante et malhonnête, qui ne veut pas assumer la moindre responsabilité. Elle craint même que les feuilles lui fendent le crâne en tombant des arbres. Quel devoir une telle personne peut-elle accomplir ? À quoi pourrait-elle servir dans la maison de Dieu ? Le travail de la maison de Dieu a à voir avec un travail de lutte contre Satan, ainsi qu’avec la propagation de l’Évangile du Règne. Quel devoir n’implique pas de responsabilités ? Ne diriez-vous pas qu’être dirigeant implique des responsabilités ? Les responsabilités d’un dirigeant n’en sont-elles pas d’autant plus grandes et ne doit-il pas assumer d’autant plus la responsabilité du travail ? Peu importe que tu prêches l’Évangile, que tu témoignes, que tu réalises des vidéos, et autres, quel que soit le travail que tu fais, du moment qu’il se rapporte aux vérités-principes, il implique des responsabilités. Si l’accomplissement de ton devoir est sans principes, cela affectera le travail de la maison de Dieu, et si tu as peur d’en assumer la responsabilité, alors tu ne pourras accomplir aucun devoir. Quelqu’un qui a peur d’assumer ses responsabilités dans l’accomplissement de son devoir est-il lâche, ou a-t-il un problème de tempérament ? Vous devez être capables de faire la différence. Le fait est que ce n’est pas une question de lâcheté : si cette personne recherchait la richesse ou à faire des choses dans son propre intérêt, comment pourrait-elle être aussi courageuse ? Elle prendrait tous les risques. Mais quand elle fait des choses pour l’Église, pour la maison de Dieu, elle ne prend absolument aucun risque. De telles personnes sont égoïstes et ignobles, les plus traîtres qui existent. Quiconque n’assume pas ses responsabilités dans l’accomplissement d’un devoir n’est pas sincère envers Dieu le moins du monde, sans parler de loyauté. Quel genre de personne ose assumer ses responsabilités ? Quel genre de personne a le courage de porter une lourde charge ? Quelqu’un qui prend des initiatives et qui va courageusement de l’avant au moment le plus décisif dans le travail de la maison de Dieu, qui ne craint pas d’endosser de lourdes responsabilités et d’endurer de grandes épreuves quand il voit le travail qui est le plus important et crucial. Voilà une personne loyale envers Dieu, un bon soldat de Christ. Est-ce que les gens craignent d’assumer leurs responsabilités parce qu’ils ne comprennent pas la vérité ? Non. C’est parce que leur humanité pose problème. Ils n’ont pas le sens de la justice ou des responsabilités, ils sont égoïstes et ignobles, ce ne sont pas de vrais croyants en Dieu et ils n’acceptent pas la vérité le moins du monde. Pour cette raison, ils ne peuvent être sauvés. Ceux qui croient en Dieu doivent payer un prix élevé pour gagner la vérité et ils rencontreront de nombreux obstacles pour la pratiquer. Ils doivent renoncer aux choses, abandonner leurs intérêts charnels et endurer certaines souffrances. Ce n’est qu’alors qu’ils pourront mettre la vérité en pratique. Donc, quelqu’un qui a peur d’assumer ses responsabilités peut-il pratiquer la vérité ? Cette personne ne peut certainement pas pratiquer la vérité et encore moins la gagner. Ces gens-là ont peur de pratiquer la vérité, de s’exposer à une perte quant à leurs intérêts ; ils ont peur d’être humiliés, dénigrés et jugés, et ils n’osent pas mettre en pratique la vérité. Par conséquent, ils ne peuvent pas la gagner, et même s’ils croient en Dieu depuis des années, ils ne pourront pas atteindre Son salut. Ceux qui peuvent accomplir un devoir dans la maison de Dieu doivent être des personnes qui assument un fardeau pour le travail de l’Église, qui assument des responsabilités, qui respectent les vérités-principes, et qui peuvent souffrir et payer le prix. Si quelqu’un fait défaut dans ces domaines, il est inapte à accomplir un devoir et il ne présente pas les conditions pour l’accomplissement d’un devoir. Beaucoup de gens ont peur d’assumer des responsabilités dans l’accomplissement d’un devoir. Leur peur se manifeste principalement de trois manières. La première est qu’ils choisissent des tâches qui n’exigent pas de prise de responsabilités. Si un dirigeant d’Église fait en sorte qu’ils accomplissent un devoir, ils demandent d’abord s’ils doivent en assumer la responsabilité : si oui, ils ne l’acceptent pas. S’ils ne sont pas obligés d’en assumer la responsabilité, d’être responsables de ce devoir, ils l’acceptent à contrecœur, mais doivent encore voir si le travail est fatigant ou préoccupant, et malgré leur acceptation réticente du devoir, ils ne sont pas motivés pour bien l’accomplir, préférant encore être superficiels. Des loisirs, aucun dur labeur, et pas de souffrances corporelles, tel est leur principe. La deuxième est que lorsqu’ils se retrouvent confrontés à une difficulté ou qu’ils rencontrent un problème, leur premier recours est de le signaler à un dirigeant et de demander à ce dirigeant de gérer et résoudre la situation, dans l’espoir de pouvoir garder leurs aises. Ils ne se soucient pas de la façon dont le dirigeant traite le problème et n’y prêtent aucune attention : tant qu’ils n’en sont pas eux-mêmes responsables, tout va bien pour eux. Une telle manière d’accomplir un devoir est-elle loyale à Dieu ? C’est ce qu’on appelle se renvoyer la balle, manquer à son devoir, employer des ruses. Ce ne sont que des paroles. Ils ne font rien de réel. Ils se disent : « Si c’est à moi de régler cette chose, qu’arrivera-t-il si je finis par faire une erreur ? Quand ils chercheront qui est à blâmer, ne s’occuperont-ils pas de moi ? N’est-ce pas à moi que la responsabilité en incombera en premier lieu ? » C’est de cela qu’ils s’inquiètent. Or, crois-tu que Dieu scrute toutes choses ? Tout le monde fait des erreurs. Si une personne dont l’intention est correcte manque d’expérience et n’avait encore jamais géré telle sorte de problème, mais qu’elle a fait de son mieux, c’est visible pour Dieu. Tu dois croire que Dieu scrute toutes choses et le cœur de l’homme. Si quelqu’un ne croit même pas cela, n’est-il pas un incrédule ? Si une telle personne accomplit un devoir, quelle importance cela pourrait-il avoir ? Qu’elle accomplisse ou non son devoir n’a pas vraiment d’importance, n’est-ce pas ? Elle a peur d’assumer des responsabilités et elle évite les responsabilités. Quand il se passe quelque chose, la première chose qu’elle fait n’est pas d’essayer de trouver comment faire face au problème, au contraire, la première chose qu’elle fait, c’est d’appeler et d’informer le dirigeant. Bien entendu, certaines personnes essaient de gérer le problème elles-mêmes quand elles informent le dirigeant, mais d’autres personnes ne le font pas, et la première chose qu’elles font, c’est d’appeler le dirigeant, et après l’avoir appelé, elles se contentent d’attendre passivement, d’attendre qu’on leur donne des instructions. Quand le dirigeant leur dit de faire un pas, elles font un pas. Si le dirigeant leur dit de faire quelque chose, elles le font. Si le dirigeant ne dit rien, ou s’il ne leur donne aucune instruction, elles ne font rien et se contentent de remettre à plus tard. Si personne ne les pousse à agir ou si personne ne les supervise, elles ne font absolument aucun travail. Dis-Moi, de telles personnes font-elles leur devoir ? Même si elles rendent service, elles n’ont aucune loyauté ! La peur qu’a une personne d’assumer des responsabilités en accomplissant un devoir se manifeste aussi d’une autre façon. Certains, quand ils accomplissent leur devoir, ne font qu’un petit travail superficiel, simple, un travail qui n’implique pas de prise de responsabilité. Le travail qui implique des difficultés et une prise de responsabilité, ils s’en déchargent sur les autres, et si quelque chose devait mal tourner, ils rejetteraient la faute sur ces personnes et s’en laveraient les mains. Quand les dirigeants d’Église voient qu’ils sont irresponsables, ils proposent patiemment leur aide, ou ils les émondent, afin qu’ils soient en mesure d’assumer leurs responsabilités. Mais, malgré tout, ils ne veulent pas le faire et ils pensent : « Ce devoir est difficile à faire. Je vais devoir assumer mes responsabilités quand les choses tourneront mal, et il se peut même que je sois exclu et éliminé, et ce sera fini pour moi. » Quel est ce genre d’attitude ? S’ils n’ont aucun sens des responsabilités quand ils accomplissent leur devoir, comment peuvent-ils bien l’accomplir ? Ceux qui ne se dépensent pas sincèrement pour Dieu ne peuvent pas bien accomplir le moindre devoir, et ceux qui craignent d’assumer leurs responsabilités ne feront que retarder les choses quand ils accompliront leurs devoirs. Ces personnes ne sont ni dignes de confiance ni fiables : elles n’accomplissent leur devoir que pour se nourrir. De tels « mendiants » devraient-ils être éliminés ? Ils doivent l’être. La maison de Dieu ne veut pas de telles personnes. Ce sont là les trois manifestations des personnes qui craignent d’endosser des responsabilités dans l’accomplissement de leur devoir. Les gens qui craignent de prendre des responsabilités dans leur devoir ne peuvent même pas atteindre le niveau d’un exécutant loyal et ne sont pas aptes à accomplir un devoir. Certaines personnes sont éliminées à cause de ce type d’attitude envers leur devoir. Même maintenant, ils peuvent ne pas en comprendre la raison et se plaindre encore, disant : « J’ai effectué mon devoir avec un enthousiasme enflammé, alors pourquoi m’ont-ils rejeté si froidement ? » Même maintenant, ils ne comprennent pas. Ceux qui ne comprennent pas la vérité passent leur vie entière sans comprendre pourquoi ils ont été éliminés. Ils s’inventent des excuses et continuent à se défendre, en se disant : « il est instinctif pour les gens de se protéger et ils ont raison de le faire. Qui ne devrait pas veiller un petit peu à ses propres intérêts ? Qui ne devrait pas penser un peu à lui-même ? Qui ne devrait pas se garder une échappatoire ? » Si tu te protèges à chaque fois qu’il t’arrive quelque chose, et que tu te laisses une échappatoire, une porte de sortie, mets-tu la vérité en pratique ? Ce n’est pas pratiquer la vérité : c’est être sournois. À présent, tu accomplis ton devoir dans la maison de Dieu. Quel est le premier principe dans l’accomplissement d’un devoir ? Tu dois d’abord accomplir ce devoir de tout ton cœur, ne pas ménager tes efforts, et protéger les intérêts de la maison de Dieu. C’est une vérité-principe, une vérité-principe que tu devrais mettre en pratique. Se protéger en se laissant une échappatoire, une porte de sortie, est le principe de pratique que suivent les non-croyants et c’est leur philosophie la plus élevée. Se considérer soi-même avant toute autre chose, et placer ses intérêts avant tout le reste, ne pas penser aux autres, n’avoir aucun lien avec les intérêts de la maison de Dieu et les intérêts des autres, penser d’abord à ses propres intérêts puis penser à une échappatoire, n’est-ce pas ce qu’est un non-croyant ? C’est précisément ce qu’est un non-croyant. Ce genre de personne n’est pas apte à accomplir un devoir. Il y a encore des personnes comme le Xiaogang de l’histoire – il est un exemple typique. Ces gens ne peuvent rien faire de manière pragmatique. Ils veulent s’éviter la difficulté dans tout ce qu’ils font. Ils ne veulent même pas souffrir la moindre difficulté ou frustration. Leur chair doit être à l’aise, ils doivent pouvoir manger et dormir à intervalles réguliers et le vent ne doit pas souffler sur eux ni le soleil les brûler. De plus, ils ne prennent aucune responsabilité pour leur travail, il faut que ce qu’ils font leur plaise, qu’ils soient doués pour cela, que ce soit quelque chose qu’ils ont profondément envie de faire. S’ils ne font pas ce qu’ils veulent, ils ne montrent pas la moindre obéissance. Ils ne cessent de faire volte-face et d’être hésitants. Ils ne sont jamais consacrés à ce qu’ils font – ils ont toujours un pied dedans, un pied dehors. Lorsqu’ils souffrent, ils veulent se replier. Ils ne peuvent pas supporter d’être émondés. On ne peut pas leur confier des demandes importantes. Ils ne peuvent pas souffrir. Ce qu’ils font est entièrement dépendant de leur intérêt et de leur plan personnel – il n’y a pas une once d’obéissance en eux. Si ce type de personne ne peut chercher la vérité et réfléchir sur elle-même, alors ces méthodes et ces tempéraments corrompus sont difficiles à changer. Accomplir un devoir en tant que croyant en Dieu nécessite au moins un peu de sincérité. Pensez-vous que ces gens sont sincères ? Ils se ratatinent dès qu’un effort substantiel est requis. Ils n’ont pas un iota de sincérité. C’est très gênant et pénible à gérer. Ils se croient formidables et se sentent lésés même quand ils sont écartés ou émondés. C’est vraiment problématique si les gens ne recherchent pas la vérité ou n’entrent pas dans la vérité-réalité. C’en est assez sur ce sujet, abordons maintenant le sujet principal.
Analyse de la manière dont les antéchrists obtiennent que les autres n’obéissent qu’à eux, et non à la vérité ou à Dieu
L’échange d’aujourd’hui porte sur le huitième point des diverses manières dont les antéchrists se manifestent : ils voudraient que les autres n’obéissent qu’à eux, et non à la vérité ou à Dieu. Êtes-vous capable de comprendre ce point ? Considérez d’abord quelles manifestations de ce point vous pouvez associer à ce que vous comprenez. Ils voudraient que les autres n’obéissent qu’à eux, et non à la vérité ou à Dieu – le sens littéral est facile à comprendre, mais à l’intérieur de celui-ci se trouvent de nombreux états et divers tempéraments que plusieurs types de personnes présentent, ou divers comportements que ces divers tempéraments présentent. Il s’agit d’un vaste sujet ; nous devrons échanger dessus à partir de certaines de ses plus petites caractéristiques. Pour expliquer ce point selon son sens littéral, les personnes qui prêchent les formules et les doctrines diraient le plus souvent : « Cela signifie qu’ils sont écoutés en toutes choses – ils font en sorte que les gens les écoutent, même si ce qu’ils disent n’est pas conforme à la vérité. Lorsqu’ils prêchent quelques formules et doctrines, les autres les écoutent ; lorsqu’ils disent une phrase, les autres l’écoutent. Ils sont toujours enclins à donner des ordres, à déléguer le travail à d’autres et à forcer les autres à les suivre. » N’est-ce pas ainsi qu’ils l’expriment le plus souvent lorsqu’ils parlent un peu de leur sens littéral ? Quoi d’autre ? « Ils pensent qu’ils ont raison sur tout. Ils font en sorte que tout le monde les écoute et que les gens se soumettent à ce qu’ils disent, même si ce n’est pas en accord avec la vérité. Ils se considèrent comme la vérité et comme Dieu, et en les écoutant, les gens se soumettent à la vérité et à Dieu. C’est ce que cela signifie. » Si c’était vous qui preniez la parole sur ce sujet, réfléchissez à la manière dont vous devriez le faire. Si vous deviez commencer par ce que vous avez vu ou expérimenté personnellement, de quel élément partiriez-vous ? Dès que l’on parle de réalité, vous n’avez rien à dire. N’avez-vous donc rien à dire dans votre échange habituel avec les frères et sœurs ? Comment faire pour bien travailler sans parler ? Parlez d’abord de quelques manières et comportements concrets de cette manifestation. Quels sont ceux que vous avez déjà vus ou observés ? Avez-vous une idée ? (Quand je fais mon devoir, j’ai des idées assez fortes et j’aimerais vraiment les mettre en œuvre. Je pense que mes pensées sont bonnes et justes, et lorsque d’autres émettent des doutes à ce sujet, je dis que la question ne doit pas être retardée, qu’elle doit être réglée immédiatement. Ensuite, je force pour faire ce que j’avais l’intention de faire. D’autres peuvent vouloir chercher, mais je ne veux pas leur donner le temps – je veux qu’ils fassent la chose en accord avec mes idées). C’est une manifestation concrète. Qui dira le contraire ? (J’étais un jour en train d’échanger avec des frères et des sœurs sur la question de la promotion et de l’entretien de quelqu’un. En fait, j’avais déjà mis tout mon cœur pour promouvoir cette personne. J’avais l’impression d’avoir déjà demandé au Supérieur, et qu’il n’y avait pas de problème à la promouvoir. Quelques frères et sœurs ne comprenaient pas encore très bien la question, et je n’ai pas échangé sur les raisons pour lesquelles nous devrions promouvoir cette personne, des principes ou de la vérité – je leur ai simplement dit avec force les manières dont cette personne était bonne, et que la promouvoir était conforme aux principes. Je les ai contraints à m’obéir, à croire que ce que je faisais était juste.) Vous parlez d’une catégorie de problèmes, d’une catégorie d’états, qui correspondent dans l’ensemble à ce point. Il semble que cette compréhension littérale soit à la hauteur de votre compréhension de la vérité, et je vais donc partager sur cela. Si vous avez à peu près compris ce point, nous le passerons en revue et nous échangerons sur le suivant. Il semble toutefois que nous ne puissions pas encore le faire et que nous devions échanger dessus comme prévu.
Le huitième point des différentes manifestations des antéchrists est : ils voudraient que les autres n’obéissent qu’à eux, et non à la vérité ou à Dieu. En cela, il y a plusieurs expressions de l’essence de l’antéchrist. Il ne s’agit certainement pas d’une seule question, d’une seule phrase, d’un seul point de vue ou d’une seule manière de traiter les choses ; il s’agit plutôt d’un tempérament. De quel tempérament s’agit-il alors ? Il se manifeste de plusieurs manières. La première est que ces personnes sont incapables de coopérer avec qui que ce soit. Est-ce une manière de faire ? (Non, c’est un tempérament.) C’est exact, c’est la révélation d’un tempérament dont l’essence est l’arrogance et la suffisance. Ces personnes ne peuvent coopérer avec personne. C’est la première. La deuxième manière dont il se manifeste est qu’elles ont le désir et l’ambition de contrôler et de conquérir les gens. S’agit-il d’un tempérament ? (Oui.) Est-ce une manière de faire ? (Non.) Est-il distinct des choses que vous avez dites ? Vous avez parlé d’événements uniques, de manières uniques de faire les choses – ce n’est pas une essence. Cette manifestation n’est-elle pas plus grave que les choses que vous avez dites ? (Si.) Elle va jusqu’à la racine. Et la troisième manière consiste à interdire aux autres d’interférer, de s’enquérir d’eux ou de les superviser dans le cadre du travail qu’ils ont entrepris. Est-ce une essence ? (Oui.) Il y a de nombreux comportements et manières de faire les choses impliqués dans chacune de ces essences. Encore une fois, cette essence correspond au point huit, n’est-ce pas ? La quatrième manière est qu’elles prétendent être la vérité incarnée une fois qu’elles ont acquis un peu d’expérience et de connaissances, et appris quelques leçons, ce qui signifie que si elles peuvent échanger un peu de vérité, elles se considèrent comme possédées de la vérité-réalité et souhaitent montrer aux autres qu’elles sont quelqu’un qui a la vérité – quelqu’un qui pratique la vérité, aime la vérité et a la vérité-réalité. Elles prétendent être la vérité incarnée – n’est-ce pas une question de nature sévère ? (Ça l’est.) Cette manifestation correspond-elle au point huit ? (Oui.) C’est le cas. Le point huit se manifeste essentiellement de ces quatre manières. Récitez-les, en commençant par la première. (La première est que ces personnes sont incapables de coopérer en harmonie avec qui que ce soit.) « En harmonie » fait référence à la capacité de coopérer ; de telles personnes sont tout simplement incapables de coopérer avec qui que ce soit. Elles font les choses par elles-mêmes, en solitaire ; le mot « solitaire » est le trait distinctif de la première manifestation. Maintenant, la deuxième. (Elles ont l’ambition et le désir de contrôler et de conquérir les gens.) Est-ce une manifestation sérieuse ? (Oui.) Quel est le trait distinctif de la deuxième manifestation ? Décrivez-la en un mot. (Malveillante.) « Malveillante » est un adjectif ; il décrit leur tempérament. Le mot devrait être « contrôle. » « Contrôler » est une action, une sorte d’action qui découle d’un tel tempérament. Et la troisième manifestation. (Elles interdisent aux autres d’intervenir, de s’enquérir d’eux ou de les surveiller dans les travaux qu’elles ont entrepris). N’est-ce pas là un tempérament commun aux antéchrists ? (Si.) C’est un tempérament caractéristique propre aux antéchrists. Existe-t-il un mot juste pour résumer cette manifestation ? Oui – « résister. » Quiconque vient, ils lui résistent ; et ils oublient d’accepter la supervision et les demandes des frères et sœurs, et des gens ordinaires – ils n’acceptent même pas l’examen de Dieu. N’est-ce pas de la résistance ? (Si.) Et la quatrième manifestation. (Ils prétendent être la vérité incarnée une fois qu’ils ont acquis un peu d’expérience et de connaissance, et qu’ils ont appris quelques leçons.) Nous la résumerons par un mot approprié : « faire semblant. » Le faux-semblant est plus grave que l’imposture. Les comportements fondamentaux et caractéristiques, les manières de faire et les tempéraments liés au point huit se retrouvent tous dans ces quatre manifestations. Le trait distinctif de la première manifestation est « solitaire. » Ils ne coopèrent avec personne, mais veulent agir seuls. Ils n’écoutent personne d’autre qu’eux-mêmes et font en sorte que les autres n’écoutent qu’eux, personne d’autre. C’est ça ou rien. Le trait distinctif de la deuxième manifestation est « contrôler. » Ils veulent contrôler les gens, et ils utiliseront toute une série de moyens pour te contrôler ainsi que tes pensées, tes façons de faire, ton cœur et tes opinions. Ils n’échangent pas la vérité avec toi. Ils ne te font pas comprendre les vérités-principes, et ils ne te font pas comprendre les intentions de Dieu. Ils veulent te contrôler pour leur propre intérêt, afin que tu parles pour eux, que tu fasses des choses pour eux, que tu travailles pour eux, que tu les exaltes et que tu rendes témoignage pour eux. Ils veulent te contrôler comme leur esclave, leur marionnette. Le trait distinctif de la troisième manifestation est « résister », ce qui signifie résister à tout – à tout ce qui peut constituer un discernement ou une supervision de leur travail et de leur discours, ou une menace pour ceux-ci, ils résistent et s’opposent en bloc. Le trait distinctif de la quatrième manifestation est « prétendre » – que prétendent-ils être ? Ils prétendent être la vérité incarnée, c’est-à-dire qu’ils exigent que les gens se souviennent de ce qu’ils disent et de ce qu’ils font, et qu’ils les consignent même dans leurs carnets. Ils disent : « Comment pourrait-on se contenter de prendre des notes mentales ? Tu dois l’écrire dans tes carnets. Aucun d’entre vous ne comprend ce que je dis – c’est très profond ! » Que pensent-ils de leurs paroles ? La vérité. Maintenant, à partir d’ici, nous échangerons à leur sujet une par une.
I. Analyse de l’incapacité des antéchrists à coopérer avec quiconque
Le premier point est que les antéchrists sont incapables de coopérer avec qui que ce soit. C’est la première manifestation de l’antéchrist qui veut que les autres ne se soumettent qu’à lui, et non à la vérité ou à Dieu. Ils ne peuvent coopérer avec personne – ce « personne » englobant tout le monde. Que leur personnalité soit compatible ou non avec celle des autres, et quelles que soient les circonstances, ils ne peuvent tout simplement pas coopérer. Il ne s’agit pas d’une révélation ordinaire de corruption – c’est un problème de nature. Certains disent : « Il y a des gens dont la personnalité est incompatible avec la mienne, et je ne peux pas coopérer avec eux à cause de cela. » Il ne s’agit pas d’une simple question de personnalité, mais d’un tempérament corrompu. Avoir un tempérament corrompu, c’est avoir un tempérament d’antéchrist, mais cela ne veut pas dire que l’on a l’essence de l’antéchrist. Si quelqu’un peut chercher la vérité et obéir à ce que disent les autres, quels qu’ils soient, tant que cela s’accorde avec la vérité, ne sera-t-il pas facile pour cette personne de parvenir à une coopération harmonieuse avec les autres ? (Si.) Il est facile pour les personnes qui peuvent se soumettre à la vérité de coopérer avec les autres ; les personnes qui ne peuvent pas se soumettre à la vérité ne peuvent pas coopérer avec qui que ce soit. Certaines personnes, par exemple, sont assez arrogantes et suffisantes. Elles n’acceptent absolument pas la vérité et ne peuvent coopérer harmonieusement avec personne. Maintenant, c’est un problème sérieux – elles ont une nature d’antéchrist, et elles ne peuvent pas se soumettre à la vérité ou à Dieu. Les gens ont un tempérament corrompu : s’ils peuvent accepter la vérité, il leur sera facile d’être sauvés ; mais s’ils ont une nature d’antéchrist et ne peuvent pas accepter la vérité, ils ont des problèmes – il ne leur sera pas facile d’être sauvés. De nombreux antéchrists ont été révélés en raison principalement de leur incapacité à coopérer avec qui que ce soit, agissant toujours de manière dictatoriale. S’agit-il de la révélation d’un tempérament corrompu ou de l’essence même de l’antéchrist ? Ne pas pouvoir coopérer avec qui que ce soit – quel est le problème ? Qu’est-ce que cela a à voir avec le fait que les autres ne se soumettent qu’à eux, et non à la vérité ou à Dieu ? Si nous devions échanger sur ce point clairement, on pourrait se rendre compte que ceux qui ont l’essence de l’antéchrist sont incapables de coopérer avec qui que ce soit, qu’ils se sépareront de ceux avec qui ils coopèrent et qu’ils deviendront même des rivaux amers. En apparence, il peut sembler que certains antéchrists aient des assistants ou des partenaires, mais le fait est que lorsque quelque chose se passe réellement, même si les autres ont raison, les antéchrists n’écoutent jamais ce qu’ils ont à dire. Ils n’en tiennent même pas compte, et encore moins n’en discutent-ils ni n’échangent-ils à ce sujet. Ils n’y prêtent aucune attention, comme si les autres pouvaient aussi bien ne pas être là. Quand les antéchrists écoutent ce que les autres ont à dire, ils ne le font que pour la forme ou ils ne font que jouer la comédie vis-à-vis des autres. Mais au bout du compte, quand vient le moment de la décision finale, ce sont les antéchrists qui mènent le jeu ; les paroles de qui que ce soit d’autre sont superflues, elles ne comptent pas du tout. Par exemple, lorsque deux personnes sont responsables de quelque chose, et que l’une d’entre elles a l’essence d’un antéchrist, qu’est-ce qui se manifeste chez elle ? Peu importe de quoi il s’agit, elle, et elle seule agit, pose les questions, règle les choses, et apporte une solution. Et la plupart du temps, elle garde son partenaire totalement dans l’ombre. Qui est-il à ses yeux ? Pas son adjoint, mais simplement une façade. Aux yeux de l’antéchrist, son partenaire n’existe tout simplement pas. À chaque fois qu’il y a un problème, l’antéchrist y réfléchit, et une fois qu’il a décidé de la ligne de conduite à suivre, il informe tous les autres que c’est comme cela qu’il faut faire, et personne n’a le droit de contester. Quelle est l’essence de sa coopération avec les autres ? Fondamentalement, c’est prendre les décisions finales, ne jamais discuter des problèmes avec quiconque, assumer seul la responsabilité du travail et transformer son partenaire en potiche. Il agit toujours seul et ne coopère jamais avec personne. Il ne discute ni ne communique jamais sur son travail avec quiconque, il prend souvent des décisions seul et traite les problèmes seul, et pour de nombreuses affaires, les autres découvrent après coup comment les choses ont été achevées ou gérées. Les autres lui disent : « Tous les problèmes doivent être discutés avec nous. Quand t’es-tu occupé de cette personne ? Comment as-tu géré les choses avec elle ? Comment se fait-il que nous n’en ayons pas eu connaissance ? » Il ne fournit pas d’explication ni ne prête aucune attention ; pour lui, son partenaire n’a aucune utilité, il n’est qu’une décoration, une potiche. Quand quelque chose se produit, il y réfléchit, se fait sa propre idée, et agit comme bon lui semble. Peu importe combien de personnes il a autour de lui, c’est comme si elles n’étaient pas là. Pour l’antéchrist, elles pourraient aussi bien être de l’air. Cela étant, son association avec les autres a-t-elle le moindre aspect réel ? Pas du tout, il agit pour la forme et fait semblant. Les autres lui disent : « Pourquoi n’échanges-tu pas avec tout le monde quand tu rencontres un problème ? » Ce à quoi il répond : « Que savent-ils ? Je suis le chef d’équipe, c’est à moi de décider. » Les autres disent : « Et pourquoi n’as-tu pas échangé avec ton partenaire ? » Il répond : « Je lui ai demandé, il n’avait pas d’opinion. » Il prend pour excuse que les autres n’ont pas d’opinion, ou qu’ils ne sont pas capables de penser par eux-mêmes, pour dissimuler le fait qu’il obéit lui-même à sa propre loi. Et cela n’est pas suivi par la moindre introspection. Il serait impossible à ce genre de personne d’accepter la vérité. C’est là un problème qui concerne la nature de l’antéchrist.
Comment expliquer et mettre en pratique le terme « coopération » ? (Discuter des choses lorsqu’elles se présentent.) Oui, c’est une façon de la pratiquer. Quoi d’autre ? (Compenser les faiblesses de l’un par les forces de l’autre, se surveiller mutuellement). Cela convient parfaitement ; pratiquer ainsi, c’est coopérer en harmonie. Y a-t-il autre chose ? Solliciter l’opinion de l’autre lorsque des choses se produisent, n’est-ce pas de la coopération ? (Si.) Si l’une des personnes partage son opinion, et l’autre personne la sienne, et qu’en fin de compte, elles se contentent du partage de la première personne, pourquoi faire machinalement ? Ce n’est pas de la coopération – c’est en inadéquation avec les principes et cela ne produit pas les résultats de la coopération. Si tu parles sans arrêt, comme une mitraillette, et que tu ne donnes pas la chance aux autres qui voudraient parler, et que tu n’écoutes pas les autres même après que tu as exprimé toutes tes idées, est-ce que c’est une discussion ? S’agit-il d’échange ? C’est seulement faire machinalement – ce n’est pas de la coopération. Qu’est-ce donc que la coopération ? C’est lorsque, après avoir exprimé tes idées et tes décisions, tu peux solliciter les opinions et les points de vue des autres, puis confronter tes déclarations et leurs points de vue pour les comparer, avec quelques personnes qui exercent ensemble leur discernement, et cherchent les principes, parvenant ainsi à une compréhension commune et déterminant la voie correcte de la pratique. C’est ce que signifie discuter et échanger – c’est ce que signifie « coopération. » Certaines personnes, en tant que dirigeants, ne peuvent pas voir clair dans certaines affaires, mais n’en parleront pas aux autres jusqu’à ce qu’elles soient à court d’options. Elles disent ensuite au groupe : « Je ne peux pas m’occuper de cette question de manière autocratique ; je dois coopérer en harmonie avec tout le monde. Je vous laisserai tous exprimer vos opinions à ce sujet et en discuter, afin de déterminer la bonne chose à faire. » Lorsque tout le monde a parlé et a eu son mot à dire, elles demandent au dirigeant ce qu’il en pense. Il dit : « Ce que tout le monde veut, c’est la même chose que ce que je veux – je le pensais aussi. C’est ce que j’ai prévu de faire depuis le début, et avec cette discussion, l’unanimité est garantie. » Est-ce une remarque sincère ? Elle est entachée. Il ne voit pas du tout clair dans cette affaire, et il y a dans ce qu’il dit une intention d’induire les gens en erreur et de les tromper – cela a pour but d’amener les gens à l’estimer. Sa sollicitation de l’avis de tous n’est qu’une question de forme, destinée à faire dire à tous qu’il n’est pas dictatorial ou autocratique. Pour éviter cette étiquette, il utilise cette méthode pour dissimuler les choses. En fait, pendant que tout le monde parle, il n’écoute pas du tout et ne prend pas du tout à cœur ce qu’on lui dit. Et il n’est pas non plus sincère lorsqu’il laisse la parole à tout le monde. En apparence, il laisse tout le monde échanger et discuter, mais en réalité, il ne laisse tout le monde parler que pour trouver une méthode qui corresponde à ses propres intentions. Et une fois qu’il a déterminé la bonne façon de procéder, il force les gens à accepter ce qu’il a l’intention de faire, que ce soit correct ou non, et fait croire à tout le monde que sa façon est correcte, que c’est ce que tout le monde a l’intention de faire. Finalement, il l’exécute de force. Est-ce ce que l’on appelle une coopération ? Non – comment appelle-t-on cela alors ? Il est dictatorial. Qu’il ait raison ou tort, il veut avoir le dernier mot. De plus, quand quelque chose se passe et qu’il ne peut pas voir à travers, il fait parler tout le monde en premier. Une fois cela fait, il récapitule leurs points de vue et y cherche une méthode qu’il aime et qui lui convient, et la fait accepter par tout le monde. Il adopte un semblant de coopération, avec pour résultat qu’il agit toujours comme il l’entend – c’est toujours lui qui a le dernier mot. Il trouve des failles et des trous dans ce que tout le monde dit, commente et donne le ton, puis synthétise le tout en une déclaration complète et précise, avec laquelle il prend sa décision, montrant à tout le monde qu’il est plus élevé que les autres. De l’extérieur, il semble avoir entendu les messages de chacun, et il laisse parler tout le monde. Cependant, le fait est que c’est lui seul qui prend la décision en fin de compte. La décision est en fait le reflet des idées et des points de vue de tout le monde, juste résumés par lui, de manière un peu plus complète et précise. Certaines personnes ne peuvent pas voir à travers cela, et pensent donc que c’est lui qui est élevé. Quel est le caractère d’une telle action de sa part ? N’est-ce pas une extrême ingéniosité ? Il résume les messages de tout le monde et les déclare comme les siens, de sorte que les gens l’adorent et lui obéissent. Et à la fin, tout le monde agit comme il le veut. Est-ce une coopération harmonieuse ? C’est de l’arrogance et de la suffisance, de la dictature – il s’attribue tout le mérite. De telles personnes sont si malhonnêtes, si arrogantes et suffisantes, en coopérant avec les autres, et les gens le verront, avec suffisamment de temps. Certains diront : « Tu dis que je suis incapable de coopérer avec qui que ce soit – eh bien, j’ai un partenaire ! Il coopère bien avec moi : il va là où je vais, fait ce que je fais ; il va là où je lui demande d’aller, fait ce que je lui demande de faire, de la manière dont je le lui demande. » Est-ce cela la coopération ? Non. Ça s’appelle être un valet de pied. Un valet de pied est à tes ordres – est-ce de la coopération ? Il est clair qu’il s’agit d’un laquais, sans idées ni points de vue, et encore moins d’opinions propres. Au-delà de cela, sa pensée est celle d’un béni-oui-oui. Il n’est pas méticuleux dans ce qu’il fait, mais il se contente de faire les choses machinalement pour la forme, et il ne défend pas les intérêts de la maison de Dieu. À quoi pourrait servir une telle coopération ? Quel que soit son partenaire, il ne fait que lui obéir, il n’est jamais qu’un laquais. Il écoute tout ce que les autres disent et fait tout ce que les autres lui demandent de faire. Ce n’est pas de la coopération. Qu’est-ce que la coopération ? Il faut pouvoir discuter ensemble et exprimer ses points de vue et ses opinions ; il faut se compléter et se superviser mutuellement, se solliciter, s’enquérir l’un de l’autre et se motiver l’un l’autre. C’est ce que c’est que de coopérer en harmonie. Supposons, par exemple, que tu t’es occupé de quelque chose selon ta propre volonté et que quelqu’un te dise : « Tu as mal agi, tu es allé totalement à l’encontre des principes. Pourquoi t’es-tu occupé de cela comme tu l’entendais, sans chercher la vérité ? » À cela, tu réponds : « C’est vrai, je suis content que tu m’aies alerté ! Si tu ne l’avais pas fait, cela aurait provoqué un désastre ! » C’est ce que l’on appelle se motiver l’un l’autre. Qu’est-ce donc que de se superviser les uns les autres ? Tout le monde a un tempérament corrompu et peut faire preuve de négligence dans l’accomplissement de son devoir, ne sauvegardant que son propre statut et son orgueil, et non les intérêts de la maison de Dieu. De tels états sont présents chez chaque personne. Si tu apprends que quelqu’un a un problème, tu dois prendre l’initiative d’échanger avec lui, en lui rappelant de faire son devoir selon les principes, tout en étant un avertissement pour toi-même. Il s’agit d’une supervision mutuelle. Quelle est la fonction de la supervision mutuelle ? Elle est destinée à sauvegarder les intérêts de la maison de Dieu et à empêcher les gens de se tromper de chemin. La coopération a une autre fonction, en dehors de la motivation mutuelle et de la supervision mutuelle : s’enquérir l’un de l’autre. Lorsque tu veux t’occuper d’une personne, par exemple, tu dois échanger avec ton partenaire et t’enquérir de lui : « Je n’ai jamais rencontré ce genre de choses auparavant. Je ne sais pas comment m’en occuper. Quelle est la bonne façon de m’en occuper ? Je n’arrive tout simplement pas à régler ça ! » Il dit : « Je me suis déjà occupé de problèmes de ce type avant. Le contexte dans lequel le temps était un peu différent de ce qu’il est dans le cas de cette personne ; ce serait un peu comme suivre les règles, si nous nous occupions de ça de la même manière. Je ne connais pas non plus de bonne manière de s’occuper de ça maintenant. » Tu dis : « J’ai une idée que j’aimerais te soumettre. Cette personne semble malfaisante, à en juger par son caractère, mais nous ne pouvons pas en être sûrs pour le moment. Elle peut cependant travailler, alors laissons-la faire pour l’instant. Si elle ne peut pas travailler et qu’elle continue à perturber les choses, nous nous en occuperons à ce moment-là. » Elle entend cela et dit : « C’est une bonne manière. C’est prudent et tout à fait conforme aux principes, et ce n’est ni suppressif ni un exutoire pour la colère privée. Occupons-nous de ça de cette façon alors. » Vous êtes tous les deux parvenus à un consensus par la discussion. Le travail effectué de cette façon se déroule sans heurts. Supposons que vous ne coopérez pas tous les deux et que vous ne discutez pas de choses, et lorsque votre partenaire ne sait pas comment s’occuper de quelque chose, il te l’impose, en pensant : « Occupe-t’en comme bon te semble. Si quelque chose ne va pas, ce sera de ta responsabilité, en tout cas – je ne la partagerai pas avec toi. » Tu vois que ton partenaire agit en refusant d’assumer ses responsabilités, mais tu ne le lui fais pas remarquer, tu agis de manière irréfléchie, selon ta propre volonté, en pensant : « Tu ne veux pas assumer tes responsabilités ? Tu veux me laisser m’en occuper ? Très bien, je vais m’en occuper, puis – je vais les expulser. » Vous ne partagez pas tous les deux un esprit ; chacun a son propre angle – et par conséquent, l’affaire est traitée au hasard, en violation des principes, et une personne capable de travailler est arbitrairement exclue. Est-ce une coopération harmonieuse ? Une coopération harmonieuse est le seul moyen d’obtenir des résultats positifs. Si une personne refuse d’assumer ses responsabilités et que l’autre agit de manière arbitraire, cela revient à la même chose que de ne pas coopérer. Elles agissent toutes deux selon leur propre volonté. Comment une telle exécution de son devoir pourrait-elle être satisfaisante ?
Lorsque quelque chose se produit au cours d’une coopération, il faut s’enquérir l’un de l’autre et discuter des choses. Les antéchrists peuvent-ils pratiquer de cette manière ? Les antéchrists sont incapables de coopérer avec qui que ce soit ; ils souhaitent toujours établir une règle solitaire. La caractéristique de cette manifestation est « solitaire. » Pourquoi utiliser le mot « solitaire » pour la décrire ? Parce qu’avant d’agir, ils ne se présentent pas devant Dieu dans la prière, ils ne cherchent pas non plus les vérités-principes, encore moins trouvent-ils quelqu’un avec qui échanger et lui disent : « Est-ce un cours approprié ? Que stipulent les modalités de travail ? Comment ce genre de chose doit-il être géré ? » Ils ne discutent jamais de choses ou ne cherchent jamais à parvenir à un consensus avec leurs collègues et partenaires – ils envisagent simplement les choses et planifient eux-mêmes, élaborant leurs propres plans et arrangements. Avec une simple lecture sommaire des arrangements de travail de la maison de Dieu, ils pensent les avoir compris, puis ils arrangent aveuglément le travail – et au moment où les autres le savent, le travail a déjà été arrangé. Il est impossible pour quiconque d’entendre leurs points de vue ou leurs sentiments de leur propre bouche à l’avance, car ils ne communiquent jamais les pensées et les points de vue qu’ils nourrissent à qui que ce soit. Quelqu’un peut demander : « Tous les dirigeants et ouvriers n’ont-ils pas des partenaires ? » Ils peuvent théoriquement avoir quelqu’un comme partenaire, mais quand vient le temps de travailler, ils n’en ont plus – ils volent en solitaire. Bien que les dirigeants et les ouvriers aient des partenaires et que toute personne qui accomplit un devoir ait un partenaire, les antéchrists croient qu’ils ont un bon calibre et sont meilleurs que les gens ordinaires et que les gens ordinaires ne sont donc pas dignes d’être leurs partenaires et leur sont tous inférieurs. C’est pourquoi les antéchrists aiment prendre les rênes et n’aiment pas discuter avec qui que ce soit d’autre. Ils pensent que cela leur donnerait l’air stupides et incompétents. Qu’est-ce que ce genre de point de vue ? De quel genre de tempérament s’agit-il ? N’est-ce pas un tempérament arrogant ? Ils pensent que coopérer et discuter des choses avec les autres, leur poser des questions et chercher des réponses auprès d’eux est indigne et avilissant, et porte atteinte à leur estime de soi. Et donc, afin de préserver leur estime, ils ne s’autorisent pas la transparence dans aucun de leurs agissements, ni n’en informent les autres, et encore moins en parlent-ils avec les autres. Ils pensent que discuter avec les autres, c’est se montrer incompétents ; que solliciter en permanence l’opinion des gens, cela signifie qu’ils sont stupides et incapables de penser par eux-mêmes ; que travailler avec les autres pour accomplir une tâche ou régler un problème leur donne l’air inutile. N’est-ce pas leur mentalité arrogante et absurde ? N’est-ce pas leur tempérament corrompu ? L’arrogance et l’autosatisfaction, chez eux, ne sont que trop évidentes : ils ont perdu toute raison humaine normale, et ils ne sont pas tout à fait bien dans leur tête. Ils pensent toujours qu’ils ont des capacités, qu’ils peuvent finir les choses par eux-mêmes et qu’ils n’ont pas besoin de se coordonner avec les autres. Puisqu’ils ont de tels tempéraments corrompus, ils sont incapables de parvenir à une coopération harmonieuse. Ils pensent que travailler avec les autres, c’est affaiblir et fragmenter leur pouvoir, que lorsque le travail est partagé avec les autres, leur propre pouvoir est diminué et ils ne peuvent pas tout décider eux-mêmes, et cela signifie qu’ils n’ont pas de réel pouvoir, ce qui, pour eux, est une perte terrible. Et donc, quoi qu’il leur arrive, s’ils croient qu’ils le comprennent et qu’ils savent comment y faire face, ils n’en discuteront avec personne d’autre, ils voudront en conserver le contrôle. Ils préféreront faire des erreurs plutôt que d’informer les autres, ils préféreront avoir tort plutôt que de partager le pouvoir avec quiconque, et ils préféreront être révoqués plutôt que de permettre à d’autres d’interférer dans leur travail. C’est cela un antéchrist. Ils préfèrent nuire aux intérêts de la maison de Dieu, parier sur les intérêts de la maison de Dieu, plutôt que de partager leur pouvoir avec quiconque. Ils pensent que lorsqu’ils réalisent une tâche ou gèrent une affaire, il ne s’agit pas là de l’accomplissement d’un devoir, mais plutôt d’une occasion de s’afficher et de se distinguer des autres, et d’une occasion d’exercer leur pouvoir. Par conséquent, même s’ils disent qu’ils vont coopérer harmonieusement avec les autres et qu’ils discuteront des problèmes avec les autres quand ces problèmes se poseront, en vérité, dans les profondeurs de leur cœur, ils ne sont pas disposés à renoncer à leur pouvoir et à leur statut. Ils pensent que tant qu’ils comprennent certaines doctrines et qu’ils sont capables de le faire eux-mêmes, ils n’ont pas besoin de collaborer avec quiconque ; ils pensent qu’ils doivent l’accomplir et le terminer eux-mêmes, et que seul cela les rend compétents. Cette vision est-elle correcte ? Ils ne savent pas que s’ils enfreignent les principes, ils ne remplissent pas leurs devoirs, ils ne sont donc pas en mesure de mener à bien la commission de Dieu et ne font qu’exécuter du service. Plutôt que de chercher les vérités-principes dans l’accomplissement de leur devoir, ils exercent le pouvoir selon leurs pensées et leurs intentions, se mettent en valeur et s’exhibent. Qui que soit leur partenaire et quoi qu’ils fassent, ils ne veulent jamais discuter, ils veulent toujours agir seuls et ils veulent toujours avoir le dernier mot. Ils jouent évidemment avec le pouvoir et utilisent le pouvoir pour faire des choses. Les antéchrists aiment tous le pouvoir, et lorsqu’ils ont un statut, ils veulent plus de pouvoir. Lorsqu’ils ont le pouvoir, les antéchrists ont tendance à se servir de leur statut pour s’afficher et parader, afin d’amener les autres à les admirer et d’atteindre leur objectif, qui est de se démarquer de la foule. C’est ainsi que les antéchrists se fixent sur le pouvoir et le statut, et jamais ils n’y renonceront, jamais.
Il y a aussi le fait que les antéchrists veulent toujours avoir le pouvoir absolu, avoir le dernier mot. Cet aspect de leur tempérament les rend également incapables de coopérer avec les autres. Si tu leur demandes s’ils sont prêts à coopérer, ils disent qu’ils le sont, mais au moment de le faire, ils ne peuvent pas. C’est leur tempérament. Pourquoi ne peuvent-ils pas le faire ? Si un antéchrist était chef de groupe adjoint, par exemple, et que quelqu’un d’autre était chef de groupe, cette personne ayant l’essence de l’antéchrist passerait d’adjoint à chef, et le chef de groupe serait alors son adjoint. Ils inversaient. Comment y parviendraient-ils ? Ils ont de nombreuses techniques. L’un des éléments de leurs techniques est qu’ils utilisent les moments où ils agissent devant les frères et sœurs – les moments où la plupart d’entre eux peuvent les voir – pour parler et agir beaucoup, et se mettre en valeur, pour que les gens les estiment et reconnaissent qu’ils sont bien meilleurs que le chef de groupe, et qu’ils ont dépassé le chef de groupe. Et avec le temps, les frères et sœurs en viennent à dire que le chef de groupe n’est pas aussi bon que le chef de groupe adjoint. L’antéchrist est ravi d’entendre cela. Il se dit : « Enfin, ils admettent que je suis meilleur que lui. J’ai atteint mon objectif. » Quelles sont les responsabilités et les obligations d’un chef de groupe adjoint, dans des circonstances normales ? Il doit coopérer avec le chef de groupe dans l’exécution et la mise en œuvre du travail organisé par l’Église, soulever des questions auprès du chef de groupe, le motiver, le superviser – et agir ensemble en discutant avec lui. Le chef de groupe doit jouer le rôle de dirigeant principal ; le chef de groupe adjoint doit le soutenir et coopérer avec lui pour veiller à ce que chaque projet de travail soit bien mené. Outre le fait de ne pas saboter les choses, tout doit être fait en coopération avec le chef de groupe, afin que le travail à effectuer soit bien fait. Si les actions du chef de groupe violent les principes, le chef de groupe adjoint doit alors le lui signaler, l’aider et corriger l’erreur. Et pour tout ce que le chef de groupe fait de bien et de juste, et qui est conforme aux principes de vérité, le chef de groupe adjoint doit le soutenir et coopérer avec lui, faire un effort total pour le servir, et être d’un seul cœur et d’un seul esprit avec le chef de groupe pour bien faire le travail. Si un problème survient, ou si un problème est découvert, les deux doivent discuter de sa résolution. Parfois, il y a deux choses à faire en même temps ; une fois qu’ils en ont discuté, ils doivent chacun s’occuper de leur propre travail, séparément. C’est la coopération – une coopération harmonieuse. Les antéchrists coopèrent-ils ainsi avec d’autres ? Absolument pas. Si c’est un antéchrist qui sert de chef de groupe adjoint, il se mettra à chercher ce qu’il doit faire pour échanger sa place avec celle du chef de groupe, pour transformer le chef de groupe en adjoint et l’adjoint en chef de groupe, et ainsi prendre les choses en main. Il ordonne au chef de groupe de faire telle ou telle chose, montrant ainsi à tout le monde qu’il est bien meilleur que lui, qu’il est compétent pour être le chef de groupe. De cette façon, son prestige augmente parmi les autres, et il est alors naturellement choisi comme chef de groupe. Il fait intentionnellement en sorte que le chef de groupe ait l’air idiot et perde la face, de sorte que les autres le prennent de haut. Ensuite, avec ses mots, il se moque de lui et le tourne en dérision, l’expose et le rabaisse. Petit à petit, l’écart entre les deux s’accroît et la place qu’il occupencdans le cœur des gens devient de plus en plus différente. L’antéchrist devient donc le chef du groupe, à la fin – il a rallié les gens à ses côtés. Avec un tel tempérament, peut-il alors coopérer en harmonie avec les autres ? Non. Quel que soit le lieu où il se trouve, il veut être le pilier, avoir le monopole, détenir le pouvoir entre ses mains. Quel que soit ton titre, chef ou adjoint, grand ou petit, le statut et le pouvoir, tels qu’il les conçoit, doivent tôt ou tard devenir uniquement les siens. Qu’il s’agisse de faire un devoir avec lui, de réaliser un projet de travail avec lui ou même de débattre d’une question avec lui, il reste un solitaire qui agit seul. Il ne coopère avec personne. Personne n’est autorisé à avoir le même prestige ou le même titre que lui, ni la même capacité ou la même réputation. Dès que quelqu’un le dépasse et menace son statut, il tente de renverser la situation par tous les moyens à sa disposition. Tout le monde discute d’un sujet, par exemple, et lorsque la discussion est sur le point de déboucher sur un résultat, il le comprend d’un seul coup d’œil et sait ce qu’il faut faire. Il dira : « Est-ce que c’est vraiment si difficile de s’en occuper ? Est-il encore nécessaire d’en discuter ? Rien de ce que vous dites ne passera ! » Et il propose une théorie novatrice ou une idée grandiloquente à laquelle personne n’avait pensé, réfutant finalement les opinions de tout le monde. Une fois fait, les gens se diront : « Il est haut placé d’accord, comment se fait-il que nous n’y ayons pas pensé ? Nous sommes juste une populace ignorante. Ce n’est pas bon, nous avons besoin de toi aux commandes ! » C’est le résultat que recherche l’antéchrist, qui est toujours en train de débiter des idées grandiloquentes, afin de se faire une image unique et de gagner l’estime d’autrui. Et avec quelle impression les gens se retrouvent-ils ? Que ses idées dépassent celles des gens ordinaires, qu’elles sont plus élevées que celles des gens ordinaires. À quel point élevées ? S’il n’est pas là, le groupe ne peut pas prendre de décision ou finaliser quoi que ce soit, il doit donc attendre qu’il arrive et qu’il dise quelque chose. Une fois fait, tout le monde les admire, et si ce qu’il dit est fallacieux, tout le monde continue à dire que c’est élevé. N’induit-il pas les gens en erreur en cela ? Alors, pourquoi ne peut-il pas coopérer avec qui que ce soit ? Il estime que « coopérer avec les gens, c’est se mettre au même niveau qu’eux ». Deux tigres peuvent-ils occuper la même montagne ? Il ne peut y avoir qu’un seul roi de la montagne, et cette royauté revient à celui qui peut la tenir – et c’est une personne compétente comme moi qui peut le faire. Vous n’avez pas l’esprit très vif, votre calibre est faible et vous êtes timides. Qui plus est, vous n’avez pas triché ou dupé les gens dans le monde – vous avez juste été dupé par d’autres. Moi seul suis qualifié pour être dirigeant ici ! » Avec lui, les mauvaises choses deviennent ainsi de bonnes choses. Il fait étalage de ses mauvaises actions – n’est-ce pas sans gêne ? Pourquoi dit-il ces choses ? Quel est donc le but de son comportement ? Il s’agit d’être le dirigeant, d’occuper la place d’honneur, quelle que soit la taille du groupe dans lequel il se trouve. N’est-ce pas son intention ? (Ça l’est.) Il trouve donc tous les moyens de rabaisser, d’humilier et de se moquer de tout le monde, puis de proposer des idées grandiloquentes pour convaincre tout le monde et faire en sorte que tout le monde fasse ce qu’il dit. Est-ce de la coopération ? Non – qu’est-ce que c’est ? Cela correspond au point huit, au sujet duquel nous disions : ils voudraient que les autres n’obéissent qu’à eux, et non à la vérité ou à Dieu. Ceci concerne la coopération. Les antéchrists – quoi qu’ils fassent, dans leur langage ou dans leurs méthodes – peuvent-ils faire leur devoir en coopération avec d’autres ? (Non.) Ils ne coopèrent pas, mais exigent simplement que les autres coopèrent avec leurs déclarations et leurs méthodes. Peuvent-ils alors prendre conseil auprès des autres ? Certainement pas. Quels que soient les conseils que les autres peuvent leur offrir, ils y sont assez indifférents. Ils ne demandent pas de détails ou de raisons, ils ne demandent pas non plus comment les choses devraient vraiment être gérées, et encore moins recherchent-ils les vérités-principes. Pire encore, ils ne Me demandent même pas quand Je suis devant eux – ils Me traitent comme de l’air. Je leur demande s’ils ont un problème, et ils répondent non. Il est clair qu’ils ne savent pas quoi faire de ce qui vient de se passer, mais ils ne Me demandent pas, alors que Je suis là devant eux. Peuvent-ils alors coopérer avec quelqu’un d’autre ? Personne n’est qualifié pour être leur partenaire, juste leur esclave et valet de pied. N’en est-il pas ainsi ? Certains d’entre eux peuvent avoir des partenaires, mais en fait, ces partenaires sont leurs valets de pied, un peu comme des marionnettes. Ils disent : « Va ici », et leur partenaire le fait ; « Va là », et leur partenaire le fait ; leur partenaire sait ce qu’ils voudraient qu’ils sachent, et ce qu’ils ne voudraient pas qu’ils sachent, ils n’osent même pas le demander. Les choses sont ce qu’elles sont. Quelqu’un peut leur dire : « Ça ne va pas. Il y a des choses dont tu ne peux pas être le seul responsable. Tu dois trouver quelqu’un avec qui coopérer, quelqu’un qui te supervisera. De plus, il y a eu un travail que tu n’as pas bien exécuté dans le passé. Tu dois trouver une personne de calibre, capable de faire le travail, de coopérer avec toi et de t’aider – tu dois sauvegarder le travail de l’Église et les intérêts de la maison de Dieu ! » Que vont-ils répondre à cela ? « Si tu renvoies mon partenaire, il n’y a personne d’autre compétent pour s’associer avec moi. » Qu’est-ce qu’ils disent ? Est-ce parce qu’ils n’auront pas de partenaire, ou qu’ils ne peuvent pas trouver ce genre de valet et d’esclave ? Ils craignent de ne pas pouvoir trouver un tel esclave ou valet de pied, un tel « partenaire » qui n’obéit qu’à leurs ordres. Comment diriez-vous que le problème qu’ils soulèvent devrait être résolu ? Tu peux dire : « Oh, tu n’arrives pas à trouver un partenaire ? Il n’est pas nécessaire que tu travailles sur ce projet – alors celui qui a un partenaire peut le faire à ta place ». Le problème n’est-il pas ainsi résolu ? Si personne n’est prêt à s’associer avec toi et que personne ne peut coopérer avec toi, quelle sorte de chose es-tu alors ? Tu es un monstre, une bête de foire. Ceux qui sont vraiment doués de raison sont au moins capables de coopérer avec l’individu moyen, à moins que celui-ci ne soit d’un calibre trop faible. Cela ne marcherait pas. La première chose que les personnes raisonnables doivent faire est d’apprendre à coopérer avec les autres dans l’accomplissement de leur devoir. Elles doivent pouvoir coopérer avec n’importe qui, à moins qu’il ne s’agisse d’un faible d’esprit ou d’un démon, auquel cas il n’est pas possible de coopérer avec lui. Il est très important de pouvoir coopérer avec la plupart des gens – c’est le signe d’une raison normale.
L’une des caractéristiques les plus évidentes de l’essence des antéchrists est qu’ils sont comme des despotes à la tête de leur propre dictature. Ils n’écoutent personne et prennent de haut tout le monde, et quelles que soient les qualités des gens, quels que soient les points de vue corrects et les sages opinions que ces gens peuvent exprimer, ou les méthodes appropriées qu’ils pourraient proposer, les antéchrists n’en font aucun cas. C’est comme si personne n’était qualifié pour travailler avec eux, ou pour prendre part à un quelconque travail qu’ils effectuent. Voilà le genre de tempérament qu’ont les antéchrists. Certains disent que c’est être d’une mauvaise humanité, mais comment pourrait-il s’agir seulement d’une banale mauvaise humanité ? Il s’agit là d’un tempérament entièrement satanique et ce genre de tempérament est d’une extrême férocité. Pourquoi dis-Je que leur tempérament est d’une extrême férocité ? Les antéchrists s’approprient tout ce qui appartient à la maison de Dieu et tout ce qui est la propriété de l’Église, et ils traitent tout cela comme s’il s’agissait de leur propriété personnelle, qui devrait être entièrement gérée par eux, sans que personne d’autre ne s’en mêle. Tout ce à quoi ils pensent en faisant le travail de l’Église, c’est leurs propres intérêts, leur propre statut et leur propre fierté. Ils n’autorisent personne à nuire à leurs intérêts, et encore moins autorisent-ils quiconque ayant du calibre ou la capacité de parler de son témoignage d’expérience à menacer leur statut et leur prestige. Et donc, ils essaient d’affaiblir et d’exclure, en tant que concurrents, ceux qui sont capables d’offrir un témoignage d’expérience, et qui peuvent échanger sur la vérité et pourvoir aux besoins des élus de Dieu, et ils tentent désespérément d’isoler complètement ces gens de tous les autres, de traîner totalement leur nom dans la boue et de les rabaisser. Ce n’est qu’alors que les antéchrists se sentent en paix. Si ces gens-là ne sont jamais négatifs, et qu’ils sont capables de poursuivre l’accomplissement de leur devoir, de parler de leur témoignage, et de soutenir les autres, alors les antéchrists auront recours à leur dernière solution, qui consiste à leur trouver des failles et à les condamner, ou à monter des coups contre eux et à fabriquer de toutes pièces des raisons pour les harceler et les punir, jusqu’à ce que ces antéchrists les fassent renvoyer de l’Église. Ce n’est qu’alors que ces antéchrists sont complètement détendus. C’est ce qui est le plus insidieux et perfide chez les antéchrists. Ce qui engendre le plus de crainte et d’anxiété en eux, ce sont les gens qui poursuivent la vérité et qui possèdent un vrai témoignage d’expérience, car les gens ayant un tel témoignage sont ceux que les élus de Dieu approuvent le plus et soutiennent le plus, plutôt que ceux qui bavassent vainement au sujet des paroles et des doctrines. Les antéchrists ne possèdent pas de vrai témoignage d’expérience et ils ne sont pas capables non plus de pratiquer la vérité ; au mieux, ils sont en mesure de faire quelques bonnes actions pour gagner les faveurs des gens. Mais quelle que soit la quantité de bonnes actions qu’ils font ou de belles paroles qu’ils disent, tout cela ne peut toujours pas égaler les bénéfices et les avantages qu’un bon témoignage d’expérience peut apporter aux gens. Rien ne peut remplacer les effets de la provision et de l’abreuvement que peuvent fournir aux élus de Dieu ceux qui sont capables de parler de leur témoignage d’expérience. Et donc, quand les antéchrists voient quelqu’un parler de son témoignage d’expérience, leur regard se transforme en poignard. La fureur embrase leur cœur, la haine monte en eux, et ils piaffent d’impatience à l’idée d’interrompre l’orateur pour qu’il s’arrête de parler. S’il continue d’en dire davantage, la réputation des antéchrists sera complètement ruinée, leur face hideuse sera entièrement exposée à la vue de tous, et donc, les antéchrists trouvent un prétexte pour perturber et réprimer la personne relatant son témoignage. Les antéchrists n’autorisent qu’eux-mêmes à tromper les gens avec les paroles et les doctrine. Ils ne permettent pas aux élus de Dieu de glorifier Dieu en offrant leur témoignage d’expérience, ce qui montre quel genre de personnes les antéchrists détestent et craignent le plus. Quand une personne se distingue en travaillant un peu, ou qu’elle est capable d’offrir un vrai témoignage d’expérience afin que cela puisse être profitable aux élus de Dieu les édifier et les soutenir, et que cela lui vaut les éloges de tous, l’envie et la haine grandissent dans le cœur des antéchrists, et ils essaient d’aliéner et de réprimer cette personne. Les antéchrists n’autorisent sous aucun prétexte les personnes de ce genre à entreprendre un quelconque travail, afin de les empêcher de menacer leur statut. Les gens qui ont la vérité-réalité servent pour accentuer et souligner la pauvreté, l’état lamentable, la laideur et la méchanceté des antéchrists quand ils sont en leur présence, donc, quand un antéchrist choisit un partenaire ou un collaborateur, il ne choisit jamais quelqu’un qui a la vérité-réalité, il ne choisit jamais quelqu’un qui peut parler de son témoignage d’expérience, et il ne choisit jamais des gens honnêtes ou qui sont capables de pratiquer la vérité. Voilà les gens que les antéchrists envient et haïssent le plus, et ils sont une épine dans le pied des antéchrists. Ces gens-là, qui pratiquent la vérité, auront beau faire des choses bien ou qui profitent au travail de la maison de Dieu, les antéchrists feront tout leur possible pour dissimuler ces actes. Ils iront même jusqu’à déformer les faits pour s’attribuer le bénéfice de ces bonnes choses, tout en rejetant le blâme sur les autres pour les mauvaises choses, dans le but de s’élever eux-mêmes et de rabaisser les autres. Les antéchrists éprouvent une grande jalousie et une grande haine envers ceux qui poursuivent la vérité et qui sont capables de parler de leur témoignage d’expérience. Ils craignent que ces gens menacent leur statut et ils font donc tout leur possible pour les attaquer et les exclure. Ils interdisent aux frères et sœurs de les approcher, d’entrer en contact avec eux, ou de soutenir ou louer ces gens qui sont capables de parler de leur témoignage d’expérience. Voilà ce qui expose le plus la nature satanique des antéchrists, nature qui a le dégoût de la vérité et hait Dieu. Et donc, cela prouve également que les antéchrists sont un contre-courant diabolique au sein de l’Église, que ce sont eux qui sont responsables des perturbations affectant le travail d’Église et des entraves à la volonté de Dieu. De plus, les antéchrists fabriquent souvent des mensonges et déforment les faits parmi les frères et sœurs, rabaissant et condamnant les personnes qui peuvent parler de leur témoignage expérienciel. Quel que soit le travail de ces personnes, les antéchrists trouvent des excuses pour les exclure et les éliminer, et les jugent en disant qu’elles sont arrogantes et suffisantes, qu’elles aiment se montrer et qu’elles nourrissent des ambitions. En fait, ces personnes ont un témoignage expérienciel et possèdent une partie de la vérité-réalité. Elles sont relativement bienveillantes, ont une conscience et une raison, et sont capables d’accepter la vérité. Et même si elles ont des défauts, des déficiences et des révélations occasionnelles d’un tempérament corrompu, elles sont capables de réfléchir sur elles-mêmes et de se repentir. Ces personnes sont celles que Dieu sauvera et qui ont l’espoir d’être rendues parfaites par Dieu. En résumé, ces personnes sont aptes à accomplir un devoir. Elles satisfont aux exigences et aux principes de l’accomplissement d’un devoir. Mais les antéchrists se disent : « En aucun cas je ne vais tolérer ça. Tu veux jouer un rôle dans mon domaine, rivaliser avec moi. C’est impossible. N’y pense même pas. Tu es plus instruit que moi, tu t’exprimes mieux que moi, tu es plus populaire que moi et tu poursuis la vérité avec plus d’application que moi. Si je devais travailler à tes côtés et que tu me volais la vedette, que ferais-je alors ? » Considèrent-ils les intérêts de la maison de Dieu ? Non. À quoi pensent-ils ? Ils ne pensent qu’à la manière de s’accrocher à leur propre statut. Même si les antéchrists se savent incapables de faire un vrai travail, ils ne cultivent ni ne promeuvent les gens de bon calibre qui poursuivent la vérité. Les seuls individus qu’ils promeuvent sont ceux qui les flattent, ceux qui ont tendance à adorer les autres, qui les approuvent et les admirent dans leur cœur, ceux qui sont des charmeurs, qui n’ont aucune compréhension de la vérité et qui sont incapables de discernement. Les antéchrists amènent ces personnes à leurs côtés pour les servir, courir pour eux et passer chaque jour en orbite autour d’eux. Cela donne aux antéchrists du pouvoir dans l’Église, et cela signifie que beaucoup de gens se rapprochent d’eux et les suivent, et que personne n’ose les offenser. Toutes ces personnes que les antéchrists cultivent sont des personnes qui ne poursuivent pas la vérité. La plupart d’entre elles manquent de compréhension spirituelle et ne savent rien faire d’autre que suivre des règles. Elles aiment suivre les tendances et les pouvoirs en place. Elles sont du genre à s’enhardir en ayant un maître puissant – une bande de gens confus. Que dit le dicton des non-croyants ? Mieux vaut être l’écuyer d’un homme bon que l’aïeul vénéré d’un mauvais. Les antéchrists font précisément le contraire – ils agissent comme les aïeuls vénérés de ces personnes et s’efforcent de les cultiver pour en faire leurs porte-drapeaux et leurs supporters. Chaque fois qu’un antéchrist est au pouvoir dans une église, il recrutera toujours des gens confus et ceux qui font les imbéciles aveuglément pour l’aider, tout en excluant et en supprimant les personnes de valeur qui peuvent comprendre et pratiquer la vérité, qui peuvent prendre en charge le travail – et surtout les dirigeants et les ouvriers qui sont capables d’effectuer un travail réel. De cette manière, deux camps se forment dans l’Église : dans un camp se trouvent ceux dont l’humanité est relativement honnête, qui font leur devoir avec sincérité et qui poursuivent la vérité. L’autre camp est une bande de personnes qui sont confuses et qui font les imbéciles aveuglément, sous la conduite des antéchrists. Ces deux camps continueront à s’affronter jusqu’à ce que les antéchrists soient révélés et éliminés. Les antéchrists combattent et agissent toujours contre ceux qui font leur devoir avec sincérité et poursuivent la vérité. Cela ne perturbe-t-il pas gravement le travail de l’Église ? Cela ne perturbe-t-il pas l’œuvre de Dieu ? Cette force des antéchrists n’est-elle pas une entrave et un obstacle à l’accomplissement de la volonté de Dieu dans l’Église ? N’est-ce pas une force malfaisante qui s’oppose à Dieu ? Pourquoi les antéchrists agissent-ils ainsi ? Parce que, dans leur esprit, il est clair que si ces personnages positifs devaient se lever et être des dirigeants et des ouvriers, ils seraient les concurrents des antéchrists ; ils seraient la force opposée des antéchrists, et n’écouteraient absolument pas les paroles des antéchrists ou ne leur obéiraient pas ; ils ne suivraient absolument pas les moindres ordres des antéchrists. Ces gens seraient suffisants pour constituer une menace pour le statut des antéchrists. Lorsque les antéchrists voient ces personnes, la haine monte dans leurs cœurs ; leurs cœurs sont sans paix et sans assurance s’ils n’excluent pas et ne vainquent pas ces personnes et ne ruinent pas leurs noms. Ils doivent donc travailler rapidement pour cultiver leur propre pouvoir et renforcer leurs rangs. De cette façon, ils peuvent contrôler un plus grand nombre du peuple élu de Dieu et n’auront plus jamais à s’inquiéter d’une poignée de chercheurs de vérité qui menacent leur statut. Les antéchrists forment leur propre force dans l’Église, prenant ceux qui les écoutent, leur obéissent et sont obséquieux à leur égard, et les promouvant à la tête de tous les aspects du travail. Cela est-il bénéfique pour le travail de la maison de Dieu ? Non. Non seulement ce n’est pas bénéfique, mais cela interrompt et dérange le travail de l’Église. Si cette force malfaisante a plus de la moitié des gens de son côté, il y a une chance qu’elle renverse l’Église. C’est parce que le nombre de chercheurs de vérité dans l’église constitue une minorité, alors que les ouvriers et les incrédules qui ne sont là que pour manger des pains en constituent au moins la moitié. Dans cette situation, si les antéchrists concentrent leur force sur le fourvoiement et le ralliement de ces personnes à leur camp, ils auront naturellement l’avantage lorsque l’Église élira ses dirigeants. C’est pourquoi la maison de Dieu insiste toujours sur le fait que, pendant les élections, la vérité doit être échangée jusqu’à ce qu’elle soit claire. Si vous n’êtes pas en mesure d’exposer et de vaincre les antéchrists en vous appuyant sur la vérité, les antéchrists pourraient induire les gens en erreur et être élus en tant que dirigeants, s’emparant de l’Église et la contrôlant. Ne serait-ce pas dangereux ? Si un ou deux antéchrists apparaissaient dans l’Église, il n’y aurait pas lieu d’avoir peur, mais si les antéchrists devenaient une force et atteignaient un certain niveau d’influence, il y aurait lieu d’avoir peur. Par conséquent, les antéchrists doivent être déracinés et expulsés de l’Église avant qu’ils n’atteignent ce niveau d’influence. Cette tâche est de la plus haute priorité, et il est nécessaire de la réaliser. En outre, les incrédules dans l’Église, en particulier ceux qui sont enclins à adorer et à suivre l’homme, qui aiment suivre la force, qui aiment être les complices et les hommes de main des démons, qui aiment former des cliques – de tels incrédules et démons comme eux doivent être exclus en toute hâte. C’est le seul moyen d’éviter que cette populace ne forme une force pour perturber et contrôler l’Église. C’est une chose que le peuple élu de Dieu doit voir clairement, une chose dont ceux qui comprennent la vérité doivent se charger. Tous ceux qui se chargent du travail de l’Église, tous ceux qui sont attentifs aux intentions de Dieu, doivent percevoir ces choses pour ce qu’elles sont. Ils doivent surtout voir les antéchrists pour ce qu’ils sont, ainsi que les petits démons qui aiment flatter et vénérer les gens, puis leur imposer des restrictions ou les exclure de l’Église. Il y a un grand besoin de pratiques de ce type. Les gens comme les antéchrists s’efforcent précisément d’être en bons termes avec ces gens confus, ces bons à rien inutiles, ces vilaines gens qui n’acceptent pas la vérité et ne l’aiment pas. Ils les rallient et « coopèrent » avec eux de manière tout à fait harmonieuse, intime et enthousiaste. Quelles sortes de créatures sont ces gens ? Ne font-ils pas partie des bandes des antéchrists ? Si le Supérieur devait remplacer son « aïeul vénéré », cette progéniture dévouée ne le supporterait pas – elle jugerait le Supérieur injuste et s’allierait pour défendre les antéchrists. La maison de Dieu peut-elle leur permettre de l’emporter ? Tout ce qu’elle peut faire, c’est jeter son filet sur chacun d’entre eux et tous les exclure. Ce sont les démons des groupes de l’antéchrist, et aucun d’entre eux ne doit être épargné. Les personnes comme les antéchrists agissent rarement seules ; la plupart du temps, elles forment un groupe avec lequel elles agissent, composé d’au moins deux ou trois personnes. Cependant, il existe quelques cas individuels d’antéchrists qui agissent à titre individuel. C’est parce qu’ils n’ont pas de talents ou qu’ils n’ont peut-être pas eu leur chance. Ce qu’ils ont en commun avec les autres, c’est leur amour particulier du statut. Ne supposez pas qu’ils n’aiment pas le statut parce qu’ils n’ont pas de compétences ou d’éducation. C’est faux. Tu n’as pas vu clairement l’essence de l’antéchrist – tant que quelqu’un est un antéchrist, il aime le statut. Puisque les antéchrists sont incapables de coopérer avec qui que ce soit, comment se fait-il alors qu’ils cultivent un tel groupe de personnes confuses, d’ordures et de vermines pour leur lécher les bottes ? Ont-ils l’intention de coopérer avec ces personnes ? S’ils pouvaient réellement coopérer avec eux, alors l’affirmation selon laquelle « les antéchrists sont incapables de coopérer avec qui que ce soit » ne tiendrait pas la route. Ils ne peuvent coopérer avec qui que ce soit – ce « qui que ce soit » se réfère principalement aux personnes positives, mais pour tenir compte du tempérament de l’antéchrist, ils ne peuvent pas non plus coopérer avec leurs complices. Que font-ils donc pour cultiver ces personnes ? Ils cultivent un groupe de personnes confuses, faciles à diriger, faciles à manipuler, qui n’ont pas d’opinion propre, qui font tout ce que disent les antéchrists – qui continueront ensemble à sauvegarder le statut des antéchrists. Si un antéchrist comptait sur lui-même, il serait tout seul, et il ne lui serait pas facile de sauvegarder son statut. C’est pourquoi ils parviennent à convaincre un groupe d’individus confus de se rassembler autour d’eux chaque jour et de faire des choses pour leur intérêt. Ils induisent même en erreur les élus de Dieu : ils parlent de la façon dont ces gens poursuivent la vérité et de la façon dont ils souffrent ; ils disent qu’ils méritent d’être nourris ; ils disent même que lorsque ces gens ont un problème, ils s’informent auprès d’eux et les interrogent à ce sujet – qu’ils sont tous des gens obéissants et soumis. Font-ils preuve de coopération dans l’accomplissement de leurs tâches ? L’antéchrist trouve un groupe de personnes qui agiront pour lui, qui seront ses hommes de main, ses complices, afin de consolider son statut. Ce n’est pas de la coopération – c’est de la gestion autonome. Telle est la force des antéchrists.
Qu’en pensez-vous : est-il difficile de coopérer avec les autres ? En réalité, ça ne l’est pas. On pourrait même dire que c’est facile. Mais pourquoi les gens ont-ils toujours l’impression que c’est difficile ? Parce qu’ils ont des tempéraments corrompus. Pour ceux qui possèdent humanité, conscience et raison, coopérer avec les autres est relativement facile, et ils peuvent ressentir que c’est quelque chose de joyeux. C’est parce que ce n’est facile pour personne d’accomplir des choses par soi-même, et peu importe le secteur dans lequel on travaille, ou ce que l’on fait, il est toujours bon d’avoir quelqu’un qui signale les choses et propose son aide ; c’est beaucoup plus facile que de faire les choses par soi-même. De même, il y a des limites aux capacités du calibre des gens ou à ce qu’ils peuvent eux-mêmes expérimenter. Personne ne peut maîtriser tous les domaines : il est impossible pour une personne de tout savoir, d’être capable de tout faire, de tout accomplir ; c’est impossible, et tout le monde devrait posséder une telle raison Et donc, quoi que tu fasses, que ce soit important ou non, tu auras toujours besoin de quelqu’un pour t’aider, pour te donner des indications, et des conseils, ou pour faire les choses en coopération avec toi. C’est le seul moyen d’être sûr que tu feras les choses plus correctement, que tu feras moins d’erreurs et que tu seras moins susceptible de t’égarer : c’est une bonne chose. Servir Dieu, en particulier, est très important, et si tu ne résous pas ton tempérament corrompu tu pourrais te mettre en danger ! Lorsque les gens ont des tempéraments sataniques, ils peuvent se rebeller contre Dieu et s’opposer à Lui à tout moment et en tout lieu. Les personnes qui vivent selon des tempéraments sataniques peuvent nier Dieu, s’opposer à Lui ou Le trahir à tout moment. Les antéchrists sont vraiment stupides, ils ne s’en rendent pas compte, ils pensent : « J’ai eu assez de mal à prendre le pouvoir, pourquoi le partagerais-je avec quelqu’un d’autre ? Le donner aux autres signifierait que je n’en aurais pas pour moi, n’est-ce pas ? Comment puis-je démontrer mes talents et mes capacités sans pouvoir ? » Ils ne savent pas que ce que Dieu a confié aux gens n’est pas un pouvoir ou un statut, mais un devoir. Les antéchrists n’acceptent que le pouvoir et le statut, ils mettent leurs devoirs de côté et ils ne font pas de travail réel. Au lieu de cela, ils ne poursuivent que la gloire, le gain et le statut, et ils veulent seulement s’emparer du pouvoir, contrôler les élus de Dieu et s’adonner aux avantages du statut. Faire les choses de cette façon est très dangereux : c’est s’opposer à Dieu ! Quiconque poursuit la gloire, le gain et le statut au lieu de faire correctement son devoir, joue avec le feu et joue avec sa vie. Ceux qui jouent avec le feu et avec leur vie peuvent se perdre à tout moment. Aujourd’hui, en tant que dirigeant ou ouvrier, tu sers Dieu, ce qui n’est pas une chose ordinaire. Tu ne fais pas des choses pour quelqu’un, encore moins pour payer des factures et te nourrir : au lieu de cela, tu accomplis ton devoir dans l’Église. En particulier, sachant que ce devoir est issu d’un mandat de Dieu, qu’implique le fait de l’accomplir ? Que tu es responsable devant Dieu de ton devoir, que tu le fasses bien ou non. En fin de compte, il faut rendre compte à Dieu, il faut qu’il y ait un résultat. Ce que tu as accepté, c’est le mandat de Dieu, une responsabilité sacrée, par conséquent, peu importe que cette responsabilité soit importante ou mineure, il s’agit d’une affaire sérieuse. À quel point est-ce sérieux ? À petite échelle, il s’agit de déterminer si tu peux gagner la vérité au cours de cette vie, et cela implique la façon dont Dieu te considère. À plus grande échelle, cela concerne directement tes perspectives et ta destinée, ta fin : si tu commets le mal et que tu t’opposes à Dieu, tu seras condamné et puni. Tout ce que tu fais lorsque tu accomplis ton devoir est enregistré par Dieu, et Dieu a Ses propres principes et normes pour noter et évaluer cela : Dieu détermine ton résultat en fonction de tout ce que tu manifestes lorsque tu accomplis ton devoir. Est-ce une affaire sérieuse ? En effet, ça l’est ! Alors, si on te confie une tâche, est-ce que c’est à toi seul de t’en occuper ? (Non.) Ce travail n’est pas une chose que tu peux accomplir seul, mais il exige que tu en assumes la responsabilité. La responsabilité t’en incombe ; c’est à toi d’accomplir cette mission. À quoi cela a t-il trait ? Cela a trait à la coopération, à la façon de coopérer dans le service, à la façon de coopérer pour accomplir son devoir, à la façon de coopérer pour accomplir ton mandat, à la façon de coopérer de manière à suivre la volonté de Dieu. Cela a trait à ces choses.
Une coopération harmonieuse implique beaucoup de choses. Au minimum, il convient de permettre aux autres de parler et de faire diverses suggestions. Si tu es vraiment raisonnable, quel que soit le genre de travail que tu fais, tu dois d’abord apprendre à chercher les vérités-principes, et tu dois aussi prendre l’initiative de solliciter l’opinion des autres. Tant que tu prends chaque suggestion au sérieux, et que tu résous ensuite les problèmes d’un seul cœur et d’un seul esprit, tu parviendras fondamentalement à une coopération harmonieuse. De cette manière, tu rencontreras beaucoup moins de difficultés dans ton devoir. Quels que soient les problèmes qui surviendront, il te sera facile de les résoudre et de les traiter. Tel est l’effet d’une coopération harmonieuse. Parfois, il y a des différends au sujet de questions futiles, mais tant que ces différends n’affectent pas le travail, il n’y aura pas de problème. Toutefois, quand il s’agit de questions fondamentales, cruciales, impliquant le travail de l’Église, tu dois parvenir à un accord et chercher la vérité pour les résoudre. En tant que dirigeant ou ouvrier, si tu t’estimes toujours au-dessus des autres, et que tu te délectes de ton devoir comme si c’était un poste de fonctionnaire, profitant toujours des avantages de ton statut, élaborant toujours tes propres plans, considérant et appréciant toujours ta gloire, le gain et ton statut, gérant toujours tes propres affaires, et cherchant toujours à obtenir un statut plus élevé pour gérer et contrôler davantage de gens et étendre ton pouvoir, c’est problématique. Il est très dangereux de traiter un devoir important comme une opportunité de profiter de ta position comme si tu étais un fonctionnaire. Si c’est ainsi que tu agis toujours, en ne désirant coopérer avec personne, en ne voulant pas diluer ton pouvoir ni le partager avec quelqu’un d’autre, en ne voulant pas que quelqu’un d’autre te relègue au second plan, te vole la vedette, si tu veux uniquement jouir du pouvoir par toi-même, alors tu es un antéchrist. Mais si tu cherches souvent la vérité, que tu pratiques la rébellion contre la chair, tes propres motivations et tes idées, et si tu es capable de prendre sur toi afin de coopérer avec les autres, d’ouvrir ton cœur pour te concerter et chercher avec les autres, d’écouter attentivement les idées et suggestions des autres, et d’accepter les conseils qui sont corrects et alignés avec la vérité, d’où qu’ils proviennent, alors tu pratiques d’une manière sage et correcte, et tu es capable d’éviter d’emprunter le mauvais chemin, ce qui est une protection pour toi. Tu dois abandonner les titres de dirigeant, renoncer à l’air souillé du statut, te traiter comme une personne ordinaire, te mettre au même niveau que les autres, et avoir une attitude responsable vis-à-vis de ton devoir. Si tu considères toujours ton devoir comme un titre officiel et un statut, ou comme une sorte de couronne de lauriers, et que tu imagines que les autres sont là pour travailler pour toi et servir ta position, c’est problématique, et Dieu te détestera et sera dégoûté par toi. Si tu crois que tu es l’égal des autres, que tu as un petit peu plus qu’une commission et une responsabilité de la part de Dieu, si tu peux apprendre à te mettre sur un pied d’égalité avec les autres, et que tu peux même t’abaisser à demander ce que les autres pensent, et si tu peux écouter sincèrement, sérieusement et attentivement ce qu’ils te disent, alors tu coopéreras harmonieusement avec les autres. Quel effet produira cette coopération harmonieuse ? L’effet est énorme. Tu gagneras des choses que tu n’as jamais eues auparavant : la lumière de la vérité et les réalités de la vie. Tu découvriras les vertus des autres et apprendras de leurs forces. Il y a autre chose : tu considères les autres comme étant stupides, lents d’esprit, idiots, inférieurs à toi, mais quand tu écouteras leurs opinions, ou que d’autres personnes s’ouvriront à toi, tu découvriras sans le vouloir que personne n’est aussi ordinaire que tu le penses, que tout le monde peut proposer des pensées et des idées différentes, et que tous ont leurs propres mérites. Si tu apprends à coopérer harmonieusement, au-delà de simplement t’aider à apprendre des points forts des autres, cela peut révéler ton arrogance et ta suffisance, et t’empêcher de t’imaginer que tu es intelligent. Quand tu ne te considèreras plus comme étant plus intelligent et meilleur que tout le monde, tu cesseras de vivre dans cet état narcissique et d’autosatisfaction. Et cela te protègera, n’est-ce pas ? Tels sont les leçons et les bénéfices que tu devrais gagner de la coopération avec les autres.
Dans Mes interactions avec les gens, J’écoute attentivement ce que la plupart d’entre eux disent. Je me fais un devoir d’examiner des personnes de toutes sortes, de les écouter parler, et d’étudier le langage et le style qu’elles emploient pour le faire. Tu avais l’habitude de supposer, par exemple, que la plupart des gens n’ont pas plus qu’un peu d’éducation, mais ne connaissent pas les compétences d’un métier, et qu’il n’est donc pas nécessaire d’interagir avec eux. En fait, ce n’est pas correct. Lorsque tu entres en contact avec ces personnes, ou même avec certaines personnes spéciales, tu es capable de comprendre des choses au fond de leur cœur que tu ne peux pas voir ou percevoir – des choses comme leurs pensées et leurs points de vue, dont certains sont déformés, et d’autres qui sont corrects. Bien entendu, cette « convenance » peut être assez éloignée de la vérité ; elle peut n’avoir aucun rapport avec elle. Mais tu seras capable de connaître plus d’aspects de la nature humaine. N’est-ce pas une bonne chose pour toi ? (Ça l’est.) C’est ce qu’est la perspicacité ; c’est un moyen d’améliorer ta perspicacité. Certains pourraient dire : « À quoi sert-il d’améliorer notre perspicacité ? » Cela te permet de mieux comprendre les différentes catégories de personnes, de mieux discerner et disséquer les différentes catégories de personnes et, plus encore, de mieux aider les différentes catégories de personnes. C’est le chemin sur lequel beaucoup de travail est effectué. Certaines personnes sont faussement spirituelles et croient : « Maintenant que je crois en Dieu, je n’écoute pas les émissions ou les nouvelles, et je ne lis pas les journaux. Je n’interagis pas avec le monde extérieur. Tous les gens, de tous les milieux et de toutes les professions, sont des démons ! » Eh bien, tu as tort. Si tu as la vérité, as-tu encore peur d’interagir avec les démons ? Même Dieu a parfois affaire à Satan dans le monde spirituel. Est-ce qu’Il change pour cela ? Pas du tout. Tu as peur d’avoir affaire à des démons, et dans cette peur, il y a un problème. Ce qui est à craindre, c’est que tu ne comprennes pas la vérité, que tu aies une compréhension et un point de vue inexacts de la croyance en Dieu et de la vérité, que tu aies beaucoup de notions et d’imagination, et que tu sois trop dogmatique. C’est pourquoi, que tu sois dirigeant, ouvrier ou chef de groupe, quel que soit le travail dont tu es responsable et le rôle que tu joues, tu dois apprendre à coopérer avec les autres et à traiter avec eux. Ne débite pas des idées prétentieuses et ne prétend pas toujours être noble pour que les gens t’écoutent. Si tu débites des idées prétentieuses en permanence, mais que tu n’es jamais capable de mettre la vérité en pratique ou de coopérer avec les autres, tu te ridiculises. Qui fera alors attention à toi ? Comment la chute des Pharisiens s’est-elle produite ? Ils prêchaient toujours des théories théologiques et débitaient des idées prétentieuses. À mesure qu’ils agissaient ainsi, Dieu n’était plus là dans leurs cœurs, ils Le reniaient et se servaient même de notions, de lois et de règles humaines pour condamner et s’opposer à Dieu, et pour Le clouer sur la croix. Ils tenaient leur bible toute la journée, la lisant et l’étudiant, capables de réciter parfaitement les écritures. Et qu’en a-t-il résulté finalement ? Ils ne savaient pas où est Dieu, ni quel est Son tempérament, et bien qu’Il ait exprimé de nombreuses vérités, ils n’en acceptaient pas la moindre parcelle, mais s’opposaient à Lui et Le condamnaient. N’est-ce pas là leur fin ? Vous savez clairement quels en ont été les résultats. Avez-vous de tels points de vue fallacieux dans votre croyance en Dieu ? N’êtes-vous pas fermés ? (Nous le sommes.) Me vois-tu fermé ? Je lis parfois les nouvelles, Je regarde parfois des interviews avec des invités spéciaux et d’autres programmes de ce type ; parfois, Je discute avec les frères et sœurs, et parfois, Je discute avec quelqu’un qui fait la cuisine ou le ménage. Je parle un peu avec tout le monde que Je rencontre. Ne pense pas que parce que tu as accepté une tâche, ou parce que tu as un talent particulier, ou même parce que tu as accepté une mission spéciale, que tu es plus spécial que les autres. C’est faux. Dès que tu penses que tu es plus spécial que les autres, ce point de vue erroné t’enfermera imperceptiblement dans une cage – elle t’emmurera de l’extérieur avec du fer et du bronze. Tu te sentiras alors le plus élevé de tous, tu ne pourras pas faire ceci ou cela, tu ne pourras pas parler ou communiquer avec telle ou telle personne, tu ne pourras même pas rire. Et que se passe-t-il à la fin ? En qui te transformes-tu ? (Un solitaire isolé.) Tu deviens un solitaire isolé. Regarde comment les empereurs d’autrefois disaient toujours des choses comme « moi, seul, je suis tel et tel » ; « moi, isolé, je suis ceci et cela » ; « moi, seul, je pense » – se déclarant toujours seuls. Si tu te déclares toujours seul, à quel point dois-tu te considérer comme grand ? Tellement grand que tu es vraiment devenu le fils du Ciel ? Es-tu cela ? Par essence, tu es une personne ordinaire. Si tu te crois toujours grand et extraordinaire, tu as des problèmes. Cela va s’aggraver. Si tu mènes tes relations mondaines avec un tel point de vue erroné, alors les voies et moyens de tes actions changeront – tes principes changeront. Si tu penses toujours que tu es mis à part, que tu es plus élevé que les autres, que tu ne dois pas faire telle ou telle chose, que faire de telles choses est indigne de ton statut et de ta position, les choses ne se sont-elles pas aggravées ? (Elles se sont aggravées.) Tu penseras : « Avec un statut comme le mien, je ne peux pas dire tout et n’importe quoi aux autres ! », « Avec un statut comme le mien, je ne peux pas dire aux autres que je suis rebelle ! », « Avec un statut comme le mien, je ne peux pas dire aux autres des choses aussi dévalorisantes que mes faiblesses, mes défauts, mes fautes et mon manque d’éducation – je ne peux absolument pas laisser quelqu’un savoir ces choses-là ! » Ce serait épuisant, non ? (Si.) Si tu vivais d’une manière aussi épuisante, pourrais-tu bien faire ton devoir ? (Non.) D’où vient le problème ? Il vient de tes points de vue sur ton devoir et sur ton statut. Aussi grand que soit le « fonctionnaire » que tu es, quel que soit le poste que tu occupes, quel que soit le nombre de personnes dont tu es responsable, en réalité, ce n’est rien de plus qu’un devoir différent. Tu n’es pas différent des autres. Tu ne peux pas voir les choses telles qu’elles sont, mais tu as toujours le sentiment, au fond de ton cœur : il ne s’agit pas d’un devoir différent, mais bien d’une différence de position. J’ai besoin d’être au-dessus des autres ; comment pourrais-je coopérer avec les autres ? Ils peuvent tout aussi bien coopérer avec moi – je ne peux pas coopérer avec eux ! » Si tu penses toujours comme ça, en voulant toujours être au-dessus de tous les autres, en voulant toujours te tenir sur les épaules des autres, au-dessus d’eux et en les regardant de haut, ce ne sera pas facile pour toi de coopérer avec les gens. Tu penseras toujours : « Qu’est-ce que cette personne sait ? Si elle savait les choses, les frères et les sœurs l’auraient choisi comme dirigeant. Alors, pourquoi m’ont-ils choisi ? Parce que je suis meilleur que lui. Je ne devrais donc pas discuter avec lui. Si c’était le cas, cela signifierait que je ne suis pas grand. Pour prouver que je suis grand, je ne peux pas discuter des choses avec n’importe qui. Il n’y a personne qui puisse discuter de ce travail avec moi – personne du tout ! » C’est ainsi que pensent les antéchrists.
En Chine continentale, le parti communiste réprime les croyances religieuses. C’est un environnement terrible. Les croyants en Dieu risquent d’être arrêtés à tout moment, c’est pourquoi les dirigeants et les ouvriers ne se réunissent pas si souvent. Parfois, ils ne peuvent même pas organiser de réunions entre collègues une fois par mois ; ils attendent que les conditions le permettent pour se réunir, ou qu’ils aient trouvé un endroit approprié. Comment alors le travail est-il effectué ? Lorsqu’il existe des arrangements de travail, il faut trouver quelqu’un pour les transmettre. Une fois, nous avons trouvé un frère à proximité pour transmettre des arrangements de travail à un dirigeant régional. Ce frère était un croyant ordinaire, et lorsqu’il a transmis les arrangements de travail, le dirigeant régional les a lus et a dit : « Oh. C’est ce que j’attendais. » Qu’est-ce qu’il exhibait devant ce frère ? Il faisait preuve d’excès d’autorité pour que les gens qui le regardaient puissent dire : « Waouh, c’était tellement digne. Quel style ! » Et ce n’est rien – juste après, il a dit : « C’est le gars qu’ils envoient pour me transmettre des arrangements de travail ? Son rang n’est pas assez élevé ! » Cela signifie : « Je suis un dirigeant régional, un dirigeant important. Comment un simple croyant a-t-il pu être envoyé pour me transmettre des choses ? Ne s’agit-il pas d’un outrepassement ? Le Supérieur me regarde vraiment de haut. Je suis un dirigeant régional, ils auraient donc dû au moins envoyer un dirigeant de district pour transmettre ce message, et pourtant ils ont demandé à un croyant des plus bas, ordinaire de le faire – son rang n’est pas assez élevé ! » Quel genre de personne est ce dirigeant ! À quel point chérit-il son statut, pour dire que le livreur n’est pas assez bien classé ? Il se sert de son titre comme d’un prétexte pour affirmer son autorité. N’est-il pas une chose diabolique ? (Il l’est.) Il est une chose diabolique, en effet. Dans le travail de l’Église, sommes-nous sélectifs concernant les personnes qui sont envoyées pour transmettre des choses ou pour donner des avis ? Dans un environnement comme la Chine continentale, les frères et les sœurs courent de si grands risques en allant faire des livraisons, et pourtant, lorsque ce frère est arrivé avec les arrangements de travail, le dirigeant lui a dit qu’il n’était pas d’un rang assez élevé, ce qui impliquait qu’il fallait trouver quelqu’un d’un rang suffisant, quelqu’un qui correspondait au dirigeant en termes de position et de statut, et que faire autrement, c’était mépriser le dirigeant – n’est-ce pas là le tempérament d’un antéchrist ? (Ça l’est.) C’est le tempérament d’un antéchrist. Cette personne diabolique ne peut faire aucun travail réel et n’a aucune compétence, mais elle continue à poser de telles exigences – elle continue à mettre l’accent sur le statut. Quelle est sa phrase d’accroche ? « Son rang n’est pas assez élevé. » Il demande d’abord à quiconque s’adresse à lui : « Quel est ton niveau de dirigeant ? Le responsable d’un petit groupe ? Assez de toi, ton rang n’est pas assez élevé ! » Si c’est le frère Supérieur qui organise une réunion, il ira toujours de l’avant, en disant : « Ce frère est le plus grand parmi les dirigeants de l’Église, et je suis le prochain après lui. Où qu’il s’assoie, je vais juste à côté de lui, en fonction de son rang. » C’est dire à quel point c’est clair dans son esprit. N’est-ce pas honteux ? (Si.) C’est tellement honteux – il n’a aucune connaissance de soi ! À quel point est-il sans gêne ? Assez pour dégoûter les gens. Même s’il a le titre de dirigeant, qu’est-il capable de faire ? Le fait-il bien ? Il doit avoir des résultats à montrer avant de pouvoir exhiber ses qualifications – ce serait approprié, ce serait logique. Pourtant, il différencie les gens en fonction de leur rang sans avoir obtenu le moindre résultat, sans avoir fait le moindre travail ! Et quel est donc son rang ? En tant que dirigeant régional, il n’a pas fait beaucoup de travail réel – il n’a pas été à la hauteur de ce rang. Si Je devais différencier les gens en fonction de leur rang, y a-t-il quelqu’un qui pourrait se rapprocher de Moi ? Non. Me voyez-vous faire la différence en fonction du rang lorsque J’interagis avec les gens ? Non, quelle que soit la personne que Je rencontre, Je lui parle un peu si Je le peux, et si Je n’ai pas le temps, Je la salue et c’est tout. Cet antéchrist, lui, ne pense pas ainsi. Pour lui, la position, le statut et la valeur sociale sont plus importants que tout, plus précieux que sa propre vie. Faites-vous des distinctions en fonction du rang lorsque vous faites vos devoirs ensemble ? Certaines personnes se différencient par leur rang dans tout ce qu’elles font ; pour un oui ou pour non, elles diront que d’autres personnes dépassent leur rang dans le travail qu’elles font et les avis qu’elles donnent. Quel est le rang qu’elles dépassent ? Fais d’abord ton devoir correctement. Tu ne peux faire aucun devoir correctement ni aucun travail, et pourtant tu continues à faire des différences en fonction du rang – qui t’a demandé de faire ça ? Il n’est pas encore temps de faire des distinctions en fonction du rang. Tu le fais trop tôt ; tu n’as pas de connaissance de toi-même. Il arrive que l’on se rende quelque part et que l’on y trouve des personnes pour résoudre un problème. Cherchons-nous des personnes appropriées en fonction de leur rang ? En réalité, nous ne le faisons pas. Si c’est toi qui es responsable du travail, nous irons te chercher, et si tu n’es pas là, nous trouverons quelqu’un d’autre. Nous ne faisons pas de distinction en fonction du rang, ni en fonction du statut élevé ou faible. Si quelqu’un prend sur lui pour faire de telles différenciations, il n’a pas de connaissance de soi et il ne comprend pas les principes. Si tu fais des différences en fonction du statut, du rang et des titres dans la maison de Dieu aussi minutieusement que les non-croyants le font, alors tu manques vraiment de raison ! Tu ne comprends pas la vérité ; tu es si dépourvu. Tu ne comprends pas ce qu’est la croyance en Dieu.
Nous venons de parler de la pratique de la coopération avec les autres. Est-ce une chose facile à faire ? Toute personne capable de rechercher la vérité, d’avoir un peu de décence, d’humanité, de conscience et de raison, peut pratiquer la coopération avec les autres. Ce sont ces personnes dépourvues d’humanité, qui souhaitent toujours avoir le monopole du statut, qui pensent toujours à leur propre dignité, à leur statut, à leur renommée et à leur gain, qui ne peuvent coopérer avec personne. Bien sûr, c’est aussi l’une des principales manifestations des antéchrists : ils ne coopèrent avec personne et ne peuvent parvenir à une coopération harmonieuse avec qui que ce soit. Ils ne pratiquent pas ce principe. Quelle en est la raison ? Ils ne veulent pas renoncer à leur pouvoir ; ils ne veulent pas faire savoir aux autres qu’il y a des choses qu’ils ne peuvent pas percer à jour, qu’il y a des choses pour lesquelles ils ont besoin d’être conseillés. Ils présentent aux gens une illusion, leur faisant croire qu’il n’y a rien qu’ils ne puissent faire, rien qu’ils ne sachent, rien qu’ils ignorent, qu’ils ont toutes les réponses, et que tout est faisable, possible et réalisable pour eux – qu’ils n’ont pas besoin des autres, ni de l’aide, ni des rappels ou des conseils d’autrui. C’est une des raisons. À part cela, quelle est le tempérament le plus flagrant des antéchrists ? En d’autres termes, quel est le tempérament que tu seras en mesure de percer à jour lorsque tu entreras en contact avec eux, rien qu’en entendant une ou deux de leurs phrases ? L’arrogance. À quel point sont-ils arrogants ? Arrogants par-delà la raison – comme une maladie mentale. S’ils boivent une gorgée d’eau, par exemple, et qu’ils affichent une jolie silhouette en le faisant, ils en parleront comme d’un sujet de vantardise : « Regardez la jolie silhouette que j’ai quand je bois de l’eau. » Ils sont particulièrement doués pour se montrer et se mettre en valeur ; ils sont particulièrement sans gêne et sans complexe. C’est ce que sont les antéchrists. Pour eux, personne n’est à leur hauteur. Ils sont particulièrement doués pour se mettre en valeur et manquent totalement de connaissance de soi. Certains antéchrists sont particulièrement laids, mais se croient beaux, avec un visage ovale, des yeux en amande et des sourcils arqués. Ils n’ont même pas cette once de connaissance de soi. À l’âge de 30 ou 40 ans, une personne moyenne aura plus ou moins bien évalué son apparence et ses capacités. Cependant, les antéchrists n’ont pas cette rationalité. Quel problème est en jeu ici ? Il s’agit de leur arrogance qui a dépassé les limites de la rationalité normale. À quel point sont-ils arrogants ? Même s’ils ressemblent à un crapaud, ils diront qu’ils ressemblent à un cygne. Il y a là une sorte d’incapacité à distinguer ce qui est de ce qui n’est pas, et à inverser les choses. Un tel degré d’arrogance est de l’arrogance jusqu’à l’impudeur, c’est irrépressible. Lorsque les gens ordinaires parlent en bien de leur propre apparence, ils trouvent cela inavouable et en sont gênés. Une fois qu’ils ont parlé, ils se sentent honteux pour le reste de la journée, le visage rougi. Les antéchrists ne rougissent pas. Ils se féliciteront des bonnes choses qu’ils ont faites et des points forts qu’ils possèdent, de ce qu’ils sont bons et meilleurs que les autres – ces mots sortent tout simplement de leur bouche, comme s’il s’agissait d’un discours ordinaire. Ils ne rougissent même pas ! C’est une arrogance qui dépasse toute mesure, toute modestie et toute rationalité. C’est pourquoi, aux yeux des antéchrists, toute personne normale – en particulier toute personne qui cherche la vérité et possède la conscience et la raison de l’humanité normale, et la pensée normale – est une médiocrité, n’a aucun talent, est inférieure à eux, et n’a pas leurs forces et leurs mérites. Il est juste de dire que parce qu’ils sont hautains et croient que personne n’est à leur hauteur – pour cette raison, ils ne souhaitent pas coopérer ou discuter de choses avec qui que ce soit, quoi qu’ils fassent. Ils peuvent écouter des sermons, lire les paroles de Dieu, voir l’exposition de Ses paroles, ou être parfois émondés, mais dans tous les cas, ils ne reconnaîtront pas avoir révélé la corruption et avoir transgressé, et encore moins avoir été arrogants et présomptueux. Ils ne sont pas capables de comprendre qu’ils ne sont qu’une personne ordinaire, d’un calibre ordinaire. Ils ne peuvent pas comprendre ce genre de choses. Quelle que soit la manière dont tu les émondes, ils continueront à penser qu’ils sont d’un bon calibre, qu’ils sont plus élevés que les gens ordinaires. N’est-ce pas au-delà de tout espoir ? (Si.) C’est au-delà de tout espoir. C’est un antéchrist. Quelle que soit la manière dont ils sont émondés, ils ne peuvent tout simplement pas baisser la tête et admettre qu’ils ne sont pas bons, qu’ils sont incapables. Pour eux, admettre leurs problèmes, leurs fautes ou leur corruption reviendrait à être condamnés, comme s’ils étaient détruits. C’est ainsi qu’ils pensent. Ils pensent que dès que les autres verront leurs défauts, ou dès qu’ils reconnaîtront que leur calibre est faible et qu’ils n’ont pas de compréhension spirituelle, ils perdront de l’énergie dans leur croyance en Dieu et la trouveront vide de sens, car leur statut ne sera plus garanti – ils auront perdu leur statut. Ils se disent : « Y a-t-il un intérêt à vivre sans statut ? Mieux vaut mourir ! » Et s’ils ont un statut, ils sont irrépressibles dans leur arrogance, se déchaînant pour faire le mal ; et s’ils se heurtent à un mur et sont émondés, ils voudront abandonner leur poste, deviendront négatifs et se laisseront aller. Vous voulez qu’ils agissent selon les vérités-principes ? N’y pensez même pas. Que croient-ils ? « Et si tu me donnais un poste et me laissais agir par moi-même ? Tu veux que je coopère avec les autres ? C’est impossible ! Ne me trouve pas de partenaire – je n’en ai pas besoin ; personne n’est en mesure d’être mon partenaire. Ou alors, ne te sers pas de moi – fais-le faire par quelqu’un d’autre ! » Quel genre de créature est-ce là ? « Il ne peut y avoir qu’un seul mâle alpha » – telle est la mentalité des antéchrists, et telles sont leurs manifestations. N’est-ce pas au-delà de tout espoir ? (Ça l’est.)
Dans le premier point, qui dit que les antéchrists sont incapables de coopérer avec qui que ce soit, qu’implique le terme « incapables » ? Le fait qu’ils ne coopèrent avec personne et qu’ils ne parviennent pas à coopérer avec d’autres, n’est-ce pas là deux aspects ? Ces deux significations y sont impliquées, comme déterminées par l’essence des antéchrists. Même si les gens travaillent en tandem avec eux, il ne s’agit pas d’une véritable coopération : ils ne sont que des valets de pied qui les soutiennent, font leurs courses et s’occupent de leurs affaires. On est loin de ce qu’on appelle la coopération. Alors, comment définit-on la « coopération » ? Le fait est que le but ultime de la coopération est de parvenir à une compréhension des vérités-principes, d’agir en fonction de celles-ci, de résoudre chaque problème, de prendre les bonnes décisions – des décisions qui s’alignent sur les principes, sans déviation, et de réduire les erreurs dans le travail, de sorte que tout ce que tu fais soit l’accomplissement de ton devoir, sans faire ce que tu veux, et sans se déchaîner. La première manifestation du fait que les antéchrists font en sorte que les autres ne se soumettent qu’à eux, et non à la vérité ou à Dieu, est qu’ils sont incapables de coopérer avec qui que ce soit. Certains peuvent dire : « Ne pas pouvoir coopérer avec qui que ce soit, ce n’est pas la même chose que de faire en sorte que les autres se soumettent uniquement à soi. » L’incapacité de coopérer avec qui que ce soit signifie qu’ils n’écoutent pas les paroles de qui que ce soit ou ne sollicitent pas les suggestions de qui que ce soit – ils ne recherchent même pas les intentions de Dieu ni les vérités-principes. Ils agissent et se comportent selon leur propre volonté. Qu’est-ce qui est implicite dans tout cela ? Ce sont eux qui règnent sur leur travail, pas la vérité, pas Dieu. Le principe de leur travail est donc de faire en sorte que les autres écoutent ce qu’ils disent et les traitent comme s’ils étaient la vérité, comme s’ils étaient Dieu. N’est-ce pas leur nature ? Certains peuvent dire : « S’ils sont incapables de coopérer avec qui que ce soit, c’est peut-être parce qu’ils comprennent la vérité et n’ont pas besoin de coopérer. » Est-ce cela qui se passe ? Plus une personne comprend la vérité et la pratique, plus elle s’informe auprès de nombreuses sources et s’en inspire pour agir. Elle discute davantage des choses et échange avec les gens, dans le but de minimiser les dommages et les risques d’erreurs. Plus une personne comprend la vérité, plus elle a de raison et plus elle est disposée et capable de coopérer avec les autres. N’est-ce pas ainsi ? Et moins quelqu’un est disposé et apte à coopérer avec les autres, ceux qui n’écoutent personne d’autre, qui ne tiennent compte des suggestions de personne d’autre, qui, lorsqu’ils agissent, ne tiennent pas compte des intérêts de la maison de Dieu et ne sont pas disposés à chercher si leurs actions sont conformes aux vérités-principes ou non – de telles personnes cherchent d’autant moins la vérité et la comprennent d’autant moins. Que croient-elles à tort ? « Les frères et sœurs m’ont choisi pour être leur dirigeant ; Dieu m’a donné cette chance d’être un dirigeant. Ainsi, tout ce que je fais est conforme à la vérité – quoi que je fasse, c’est correct. » Ne s’agit-il pas d’une mauvaise compréhension ? Pourquoi auraient-ils une telle mauvaise compréhension ? Une chose est sûre : de telles personnes n’aiment pas la vérité. Et autre chose : de telles personnes ne comprennent tout simplement pas la vérité. Cela ne fait aucun doute.
Les antéchrists sont incapables de coopérer avec qui que ce soit. Il s’agit d’un problème grave. Quoi que fasse l’antéchrist, quel que soit son partenaire, il y aura toujours des conflits et des disputes. Certains peuvent dire : « S’ils sont chargés du nettoyage et qu’ils rangent leur intérieur tous les jours, qu’est-ce qui les empêche d’être coopératifs avec les autres ? » Il s’agit d’un problème de tempérament : quelle que soit la personne avec laquelle ils interagissent ou avec laquelle ils travaillent, ils la mépriseront toujours, souhaitant toujours la sermonner, faisant en sorte qu’elle fasse ce qu’ils disent. Diriez-vous qu’une telle personne peut être coopérative avec les autres ? Ils ne peuvent être coopératifs avec personne, car leur tempérament corrompu est trop sévère. Non seulement, ils ne peuvent pas coopérer avec les autres, mais ils sont toujours en train de sermonner et de contraindre les autres d’en haut – ils souhaitent toujours s’asseoir sur les épaules des gens et les forcer à obéir. Il ne s’agit pas d’un simple problème de tempérament – il s’agit également d’un grave problème d’humanité. Ils n’ont ni conscience ni raison. C’est ainsi que sont les gens malfaisants. Ils ne peuvent coopérer avec personne ; ils ne peuvent s’entendre avec personne. Quelles sont les choses qui sont partagées en humanité entre les personnes ? Lesquelles de ces choses sont compatibles ? La conscience et la raison, ainsi que leur attitude d’amour de la vérité – celles-ci sont partagées. Si les deux parties possèdent cette humanité normale, elles peuvent s’entendre ; si elles ne la possèdent pas, alors elles ne le peuvent pas ; et si l’une la possède et l’autre non, elles ne le peuvent pas non plus. Les bonnes personnes et les mauvaises personnes ne peuvent pas s’entendre – les personnes bienveillantes et les personnes malfaisantes ne peuvent pas s’entendre. Certaines conditions doivent être remplies pour que les gens puissent s’entendre normalement : avant de pouvoir coopérer, ils doivent au moins avoir une conscience et une raison, et être patients et tolérants. Pour pouvoir coopérer dans l’exécution d’un devoir, les personnes doivent avoir le même esprit ; elles doivent s’appuyer sur les forces de l’autre et compenser leurs propres faiblesses, être patientes et tolérantes et avoir une référence dans leur comportement. C’est ainsi que l’on peut s’entendre en harmonie, et même s’il y a parfois des conflits et des différends, la coopération peut se poursuivre, et au moins aucune inimitié n’apparaît. Si une personne n’a pas de telles références, n’est pas consciencieuse ou raisonnable, et fait les choses dans une optique de profit, recherchant uniquement le profit, souhaitant toujours profiter aux dépens des autres, la coopération sera impossible. Il en est ainsi chez les personnes malfaisantes et chez les rois démons, qui s’affrontent entre eux sans relâche. Les différents esprits malfaisants du monde spirituel ne s’entendent pas entre eux. Si les démons peuvent parfois former des consortiums, il s’agit avant tout d’une exploitation mutuelle pour atteindre leurs propres objectifs. Leurs consortiums sont temporaires, et bientôt, ils volent en éclats d’eux-mêmes. Il en est de même pour les personnes. Les personnes dépourvues d’humanité sont des brebis galeuses qui ruinent le groupe ; seules les personnes dotées d’une humanité normale sont celles avec qui il est facile de coopérer, elles sont patientes et tolérantes envers les autres, capables de tenir compte des opinions d’autrui et de mettre de côté leur statut dans le travail qu’elles accomplissent, pour le faire en discutant avec d’autres. Elles aussi ont des tempéraments corrompus, et souhaitent toujours que les autres les écoutent – elles aussi ont cette intention – mais parce qu’elles ont une conscience et une raison, qu’elles peuvent chercher la vérité, qu’elles se connaissent elles-mêmes, qu’elles sentent que ce n’est pas convenable, et par conséquent se font des reproches, et qu’elles sont capables de se réfréner, leurs manières et leurs moyens d’agir vont changer, petit à petit. Ainsi, elles seront capables de coopérer avec les autres. Elles révèlent un tempérament corrompu, mais ce ne sont pas des personnes malfaisantes, et elles n’ont pas l’essence des antéchrists. Elles n’auront pas de problèmes majeurs à coopérer avec les autres. Si elles étaient des personnes malfaisantes ou des antéchrists, elles seraient incapables de coopérer avec les autres. C’est ainsi que toutes les personnes malfaisantes et les antéchrists sont ceux que la maison de Dieu exclut. Ils sont incapables de coopérer avec qui que ce soit, et ils sont tous révélés et éliminés en conséquence. Pourtant, il y a beaucoup de gens qui ont le tempérament des antéchrists, qui marchent sur le chemin des antéchrists, qui, après avoir subi beaucoup d’émondage, peuvent accepter la vérité, se repentir vraiment, et être patients et tolérants avec les autres. De telles personnes sont capables d’entrer progressivement dans une coopération harmonieuse avec les autres. Seuls les antéchrists sont incapables de coopérer avec qui que ce soit. Quel que soit le degré de corruption qu’ils révèlent, ils ne chercheront pas la vérité pour résoudre le problème, mais persisteront dans leur propre voie, sans scrupules et sans retenue. Ce n’est pas seulement qu’ils ne peuvent pas coopérer en harmonie avec les autres – s’ils voient que quelqu’un les a discernés et est mécontent d’eux, ils vont même se mettre à tourmenter cette personne, et adopter une attitude d’exclusion et d’hostilité à son égard. Ils resteront dans l’hostilité à leur égard, au prix de toute interférence avec le travail de l’Église. Ceci est déterminé par la nature-essence des antéchrists.
Quelles sont les leçons que vous devez tirer de votre formation à la coopération harmonieuse ? Apprendre à coopérer est l’un des éléments de la pratique de l’amour de la vérité, et également l’un de ses signes. C’est l’une des façons dont se manifeste la possession d’une conscience et d’une rationalité. Tu peux dire que tu as une conscience, de la dignité et de la rationalité, mais si tu ne peux pas coopérer avec qui que ce soit, si tu ne peux pas t’entendre avec ta famille, avec des étrangers ou avec des amis, si tes interactions se désagrègent et si tu as des conflits sans fin dans les tâches partagées, cela fait de toi un ennemi – si tu n’es donc jamais capable de t’entendre avec qui que ce soit, tu es en danger. Si un tel comportement fait partie des comportements de tout ton tempérament corrompu, ou d’un comportement parmi tous ceux que tu as qui ne sont pas conformes à la vérité, et que ce n’est rien d’autre qu’un comportement, un comportement que tu connais, et à l’égard duquel tu es constamment en train de chercher et de changer, tu as encore une chance. Il y a encore une marge de salut, ce n’est pas un problème majeur. Mais si tu es intrinsèquement une personne comme ça, incapable de s’entendre avec qui que ce soit, et qu’il ne sert à rien d’en parler – tu ne peux tout simplement pas te restreindre – alors c’est un problème sérieux. Si tu n’en tiens pas compte, quelle que soit la façon dont la vérité est échangée avec toi, mais que tu penses que le problème n’est pas grave, qu’il s’agit de ta vie normale, de la principale façon dont ton tempérament corrompu se manifeste, alors ton essence est celle d’un antéchrist. Et si c’est ton essence, c’est une autre affaire que si tu marches sur le chemin des antéchrists. Certains marchent sur le chemin des antéchrists, et d’autres sont eux-mêmes des antéchrists. N’y a-t-il pas là une différence ? ((Si.) Ceux qui marchent sur le chemin des antéchrists montrent ces comportements d’antéchrists dans leurs actions ; ils révèleront le tempérament d’un antéchrist de manière un peu plus visible et évidente que la personne moyenne, mais ils sont toujours capables de faire un travail qui est conforme à la vérité, qui a de l’humanité et de la rationalité. Si quelqu’un ne peut pas faire de travail positif du tout, et qu’au contraire ce qu’il fait ne sont que ces comportements d’antéchrists, ces révélations de l’essence d’un antéchrist – si tout le travail qu’il fait et les devoirs qu’il accomplit sont de telles révélations, sans rien qui soit conforme à la vérité – dans ce cas, c’est un antéchrist.
Certains dirigeants et ouvriers ont, dans le passé, souvent révélé des tempéraments d’antéchrist : ils agissaient aveuglément et arbitrairement, et ils imposaient toujours leur volonté. Mais le mal qu’ils commettaient n’était pas visible et leur humanité n’était pas horrible. Grâce à l’émondage, à l’aide des frères et sœurs, à des transferts ou des remplacements, ou en étant négatifs pendant un moment, ils ont finalement pris conscience que ce qu’ils avaient révélé auparavant était des tempéraments corrompus. Ils ont désiré se repentir et se sont dit : « Le plus important, c’est de persévérer dans l’exécution de mon devoir, quoi qu’il arrive. Même si je suivais le chemin d’un antéchrist, je n’ai pas été mis dans cette catégorie. C’est la miséricorde de Dieu, donc je dois travailler dur dans ma croyance et ma poursuite. Il n’y a rien de mal dans le chemin de la poursuite de la vérité. » Peu à peu, ces personnes font demi-tour et se repentent. Il y a en elles de bonnes manifestations, elles sont à même de chercher les vérités-principes quand elles font leur devoir et elles cherchent les vérités-principes en interagissant avec les autres. À tous égards, elles entrent dans une orientation positive. Alors, ces gens-là n’ont-ils pas changé ? Ils se sont détournés du chemin des antéchrists pour suivre celui de la pratique et de la poursuite de la vérité. Il y a de l’espoir et une chance pour eux d’atteindre le salut. Peut-on classer de telles personnes dans la catégorie des antéchrists parce qu’elles ont autrefois présenté des manifestations d’antéchrist ou suivi le chemin des antéchrists ? Non. Les antéchrists préfèreraient mourir plutôt que de se repentir. Ils ne connaissent pas la honte ; et en plus, ils ont un tempérament vicieux et malveillant, et ils ont une aversion extrême pour la vérité. Quelqu’un qui a une telle aversion pour la vérité, peut-il la mettre en pratique ou se repentir ? Ce serait impossible. Le fait qu’ils ont une aversion si absolue de la vérité signifie qu’ils ne se repentiront jamais. Une chose est certaine en ce qui concerne les gens capables de se repentir : ils ont commis des erreurs, mais ils sont capables d’accepter le jugement et le châtiment des paroles de Dieu, ils sont capables d’accepter la vérité, et sont capables d’essayer au mieux de coopérer quand ils font leurs devoirs, en prenant Ses paroles comme maximes personnelles, et de faire de Ses paroles la réalité de leur vie. Ils acceptent la vérité et, au fond d’eux-mêmes, ils n’ont pas d’aversion pour elle. N’est-ce pas là la différence ? C’est la différence. Mais les antéchrists ne se contentent pas de refuser d’être émondés – ils n’écoutent personne dont les paroles sont conformes à la vérité, et ils ne croient pas que les paroles de Dieu soient la vérité, et ils ne les reconnaissent pas comme telles. Quelle est leur nature ? Il s’agit d’une aversion pour la vérité et de la haine à son égard, à un degré extrême. Lorsque quelqu’un échange la vérité ou parle d’un témoignage d’expérience, ils en sont extrêmement dégoûtés et ils sont hostiles à la personne qui échange. Si quelqu’un, dans l’Église, répand des arguments grotesques et malfaisants, dit des choses absurdes et grotesques, cela les réjouit ; ils lui emboîteront le pas immédiatement et se vautreront avec lui dans la fange, en étroite collaboration. C’est comme si les oiseaux se rassemblaient, comme si les semblables cherchaient à se ressembler. S’ils entendent les élus de Dieu échanger sur la vérité ou parler du témoignage d’expérience de leur connaissance de soi et de leur repentir sincère, cela les énerve jusqu’à l’exaspération et ils se mettent à réfléchir à la manière d’exclure et d’attaquer cette personne. En bref, ils ne voient pas d’un bon œil ceux qui poursuivent la vérité. Ils veulent les exclure et être leur ennemi. Ils aiment beaucoup celui qui sait se mettre en valeur en prêchant des formules et des doctrines, et l’approuvent, comme s’ils avaient trouvé un confident et un compagnon de route. Si quelqu’un dit : « Celui qui aura fait le plus de travail et apporté la plus grande contribution sera largement récompensé et couronné, et régnera avec Dieu », ils s’enthousiasmeront à n’en plus finir, avec un coup de sang. Ils auront l’impression d’avoir la tête et les épaules au-dessus des autres, de se démarquer enfin de la foule, de disposer d’un espace leur permettant de s’afficher et de montrer leur valeur. Ils seront alors très satisfaits. Ne s’agit-il pas d’une aversion pour la vérité ? Si tu leur dis au cours d’un échange : « Dieu n’aime pas les gens comme Paul, et il est dégoûté au plus haut point par les gens qui marchent sur le chemin des antéchrists, et par ceux qui passent toute la journée à dire : « Seigneur, Seigneur, n’ai-je pas fait beaucoup de travail pour Toi ? Il est dégoûté par les gens qui passent leur temps à Le supplier pour une récompense et une couronne » – ces paroles sont certainement la vérité, mais quel sentiment leur reste-t-il lorsqu’ils entendent un tel échange ? Est-ce qu’ils y disent amen et acceptent de telles paroles ? Quelle est leur première réaction ? La répulsion au cœur et le refus d’écouter – ce qu’ils veulent dire, c’est : « Comment peux-tu être aussi sûr de ce que tu dis ? Est-ce toi qui as le dernier mot ? Je ne crois pas ce que tu dis ! Je ferai ce que j’ai à faire. Je vais être comme Paul et demander à Dieu une couronne. Ainsi, je pourrai être béni et avoir une bonne destination ! » Ils insistent sur le maintien des points de vue de Paul. Ne luttent-ils pas ainsi contre Dieu ? N’est-ce pas là une opposition évidente à Dieu ? Dieu a exposé et disséqué l’essence de Paul ; Il a dit tant de choses à ce sujet, et chaque parcelle est la vérité – pourtant ces antéchrists n’acceptent pas la vérité ou le fait que toutes les actions et les comportements de Paul étaient en opposition à Dieu. Dans leur esprit, ils s’interrogent encore : « Si Tu dis quelque chose, cela veut dire que c’est juste ? Pour quelles raisons ? Pour moi, ce que Paul a dit et fait semble correct. Il n’y a rien d’erroné là-dedans. Je poursuis une couronne et une récompense – voilà ce dont je suis capable ! Peux-Tu m’en empêcher ? Je vais continuer à travailler ; quand j’aurai fait beaucoup, j’aurai un capital – j’aurai apporté une contribution, et je pourrai alors entrer dans le royaume des cieux et être récompensé. Il n’y a rien d’anormal là-dedans ! » C’est dire s’ils sont têtus. Ils n’acceptent absolument pas la vérité. Tu peux échanger la vérité avec eux, mais elle ne leur parviendra pas ; ils ont de l’aversion pour elle. C’est l’attitude des antéchrists à l’égard des paroles de Dieu, de la vérité, et c’est aussi leur attitude à l’égard de Dieu. Quel sentiment éprouvez-vous lorsque vous avez entendu la vérité ? Vous avez l’impression de ne pas poursuivre la vérité et de ne pas la comprendre. Vous sentez que vous êtes encore loin du compte et que vous devrez vous efforcer d’atteindre la vérité-réalité. Et chaque fois que vous vous comparez aux paroles de Dieu, c’est là que vous sentez que vous êtes trop déficient, de calibre médiocre et que vous manquez de compréhension spirituelle – que vous êtes encore superficiel et qu’il y a encore de la malveillance en vous. Et ensuite, vous devenez négatif. N’est-ce pas votre état ? Les antéchrists, en revanche, ne sont jamais négatifs. Ils sont toujours très enthousiastes, ne réfléchissent jamais sur eux-mêmes et ne se connaissent pas, mais pensent qu’ils n’ont pas de problèmes majeurs. C’est ainsi que sont les gens constamment arrogants et suffisants – dès qu’ils mettent la main sur le pouvoir, ils se transforment en antéchrists.
II. Analyse de la façon qu’ont les antéchrists de toujours avoir le désir et l’ambition de contrôler et de conquérir les autres
Nous poursuivrons en échangeant sur le point suivant : les antéchrists ont toujours le désir et l’ambition de contrôler et de conquérir les autres. Ce problème est plus grave que celui de leur incapacité à coopérer avec qui que ce soit. Selon vous, quel genre de personnes aime contrôler et conquérir les autres ? Quel genre de personnes a l’ambition et le désir de contrôler et de conquérir les autres ? Je vais vous donner un exemple. Celles qui aiment particulièrement le statut aiment-elles contrôler et conquérir les autres ? Ne sont-elles pas semblables aux antéchrists ? Elles induisent en erreur, contrôlent et soumettent les autres, qui ensuite les adorent et les écoutent. Elles gagnent ainsi l’estime et le respect des gens, et amènent les gens à les vénérer et à les admirer. N’y a-t-il donc pas une place pour elles dans le cœur des gens ? Si les gens n’étaient pas convaincus par elles et ne les approuvaient pas, les vénéreraient-elles ? Absolument pas. Ainsi, après avoir acquis un statut, ces personnes doivent encore convaincre les autres, les rallier complètement et faire qu’elles les admirent. Ce n’est qu’alors que les gens les vénéreront. Ceci est un genre de personne. Il y en a un autre – celles qui sont particulièrement arrogantes. Elles traitent les gens de la même manière : elles commencent par subjuguer les gens, obligeant tout le monde à les vénérer et à les admirer. Ce n’est qu’alors qu’elles sont satisfaites. Les personnes très vicieuses aiment aussi contrôler les autres, que les gens les écoutent, qu’ils soient proches d’elles et fassent des choses pour elles. Quand il s’agit à la fois de personnes très arrogantes et de personnes aux tempéraments vicieux, une fois qu’elles ont pris le pouvoir, elles deviennent des antéchrists. Les antéchrists ont toujours l’ambition et le désir de contrôler et de conquérir les autres ; dans leurs rencontres avec les gens, ils veulent toujours s’assurer de la façon dont les autres les voient, s’il y a une place pour eux dans le cœur des autres, et si les autres les admirent et les adorent. S’ils rencontrent quelqu’un qui est doué pour le fayotage, la flatterie et la servilité, ils sont très heureux ; ils commencent alors à avoir la haute main, à faire la leçon aux gens et à bavarder sur des idées grandiloquentes, à inculquer aux gens des règles, des méthodes, des doctrines et des notions. Ils font en sorte que les gens acceptent ces choses comme étant la vérité, et leur donnent même un visage charmant : « Si tu peux accepter ces choses, tu es quelqu’un qui aime et poursuit la vérité. » Les personnes sans discernement penseront que ce qu’ils disent est raisonnable, et bien que ce soit indistinct pour elles, et qu’elles ne sachent pas si c’est conforme à la vérité ou non, elles sentent seulement qu’il n’y a rien de mal dans ce qu’ils disent, et que cela n’enfreint pas la vérité. Et ainsi, elles obéissent aux antéchrists. Si quelqu’un est capable de discerner un antéchrist et peut l’exposer, cela agacera l’antéchrist qui, sans ménagement, rejettera la faute sur lui, le condamnera et le menacera, avec une démonstration de force. Ceux qui n’ont pas de discernement se laissent entièrement subjuguer par l’antéchrist et l’admirent du fond du cœur, ce qui fait naître en eux une vénération de l’antéchrist, une confiance en lui et même de la crainte. Ils ont le sentiment d’être asservis par l’antéchrist, comme s’ils étaient indécis de cœur s’ils perdaient la direction, les enseignements et les reproches de l’antéchrist. Sans ces choses, c’est comme s’ils n’avaient aucun sentiment de sécurité, et que Dieu pourrait ne plus vouloir d’eux. Ensuite, chacun a appris à surveiller l’expression de l’antéchrist lorsqu’il agit, de peur que l’antéchrist soit malheureux. Ils cherchent tous à lui plaire ; ces personnes sont bien décidées à suivre l’antéchrist. Dans leur travail, les antéchrists prêchent les formules et les doctrines. Ils sont doués pour enseigner aux gens à adhérer à certains règlements ; ils ne disent jamais aux gens quels sont les vérités-principes auxquelles ils doivent adhérer, pourquoi ils doivent agir de telle manière, quelles sont les intentions de Dieu, quels arrangements la maison de Dieu a pris pour le travail, quel est le travail le plus essentiel et le plus important, ou quel est le travail principal à faire. Les antéchrists ne disent absolument rien sur ces choses importantes. Ils n’échangent jamais sur la vérité lorsqu’ils font et organisent le travail. Ils ne comprennent pas eux-mêmes les vérités-principes, et tout ce qu’ils peuvent faire, c’est enseigner aux gens à adhérer à quelques règlements et doctrines – et si les gens vont à l’encontre de leurs paroles et de leurs règlements, ils devront faire face à la réprimande et au blâme des antéchrists. Les antéchrists travaillent souvent sous la bannière de la maison de Dieu, réprimandant les autres et leur faisant la leçon depuis une position élevée. Certaines personnes sont même tellement troublées par leur discours qu’elles se sentent redevables envers Dieu en n’agissant pas selon les exigences des antéchrists. Ces personnes ne sont-elles pas tombées sous le contrôle des antéchrists ? (Elles le sont.) De quel genre de comportement s’agit-il de la part des antéchrists ? C’est un comportement d’asservissement. « L’asservissement » est appelé « lavage de cerveau » dans les mots de la nation du grand dragon rouge. C’est comme lorsque le grand dragon rouge capture les croyants en Dieu. En plus de les torturer, il utilise une autre technique : le lavage de cerveau. Qu’il s’agisse d’agriculteurs, d’ouvriers ou d’intellectuels, le grand dragon rouge utilise sa panoplie d’hérésies et d’idées fausses – athéisme, évolution et marxisme-léninisme – pour laver le cerveau des gens. Il inculque ces choses aux gens par la force, peu importe à quel point ces gens les trouvent dégoûtantes ou répugnantes, puis utilise ces idées et théories pour entraver les membres des gens et contrôler leurs cœurs. C’est ainsi que le grand dragon rouge empêche les gens de croire en Dieu, d’accepter la vérité et de la poursuivre pour être sauvés et être rendus parfaits. De même, peu importe le nombre de sermons que les personnes contrôlées par les antéchrists entendent, elles ne peuvent pas comprendre la vérité, ni ce à quoi sert réellement la croyance en Dieu, ni quel type de chemin elles devraient prendre, ni la vision correcte qu’elles devraient avoir en faisant chaque chose, ni le positionnement qu’elles devraient adopter. Elles ne comprennent rien à tout cela elles n’ont dans leur cœur que les formules et les doctrines, et les théories creuses de ces antéchrists. Et après avoir été induites en erreur et contrôlées par les antéchrists pendant une longue période, elles deviennent tout-à-fait comme eux : elles deviennent des personnes qui croient en Dieu, mais qui n’acceptent absolument pas la vérité, et qui s’opposent même à Dieu et se dressent contre lui. Quel genre de personnes sont celles qui sont induites en erreur et contrôlées par les antéchrists ? Il ne fait aucun doute qu’aucune d’entre elles n’aime la vérité. Ce sont toutes des hypocrites, des personnes qui ne poursuivent pas la vérité dans leur croyance en Dieu et qui ne s’occupent pas des affaires appropriées dans l’exécution de leurs devoirs. Dans leur croyance en Dieu, ces personnes ne suivent pas Dieu ; au contraire, elles suivent les antéchrists, elles deviennent les esclaves des antéchrists et, par conséquent, elles ne peuvent pas gagner la vérité. Ce résultat est inévitable.
Quel est le principe par lequel Dieu traite les gens ? Est-ce la force ? Est-ce le contrôle ? Non, c’est précisément le contraire du contrôle. Quel est le principe de Dieu par lequel Il traite les gens ? (Il leur donne le libre arbitre.) Oui, Il te donne le libre arbitre. Il te permet de parvenir à ta propre compréhension au milieu des environnements qu’Il met en place, afin que tu acquiers naturellement une compréhension et une expérience humaines. Il te permet de comprendre naturellement un aspect de la vérité, de sorte que lorsque tu rencontreras à nouveau un tel environnement, tu sauras quoi faire et quoi choisir. Il te permet également de comprendre ce qui est bien et ce qui est mal, au plus profond de ton cœur, afin que tu choisisses finalement le bon chemin. Dieu ne te contrôle pas, et Il ne te force pas. Un antichrist, par contre, agit exactement de la manière opposée : il te lavera le cerveau et t’endoctrinera en t’induisant en erreur, puis fera de toi son esclave. Pourquoi est-ce que j’utilise le mot « esclave » ? Qu’est-ce qu’un esclave ? Cela signifie que tu ne discerneras pas si l’antéchrist a raison ou tort, et tu n’oseras pas le faire – tu ne sauras pas s’il a raison ou tort ; tu seras au fond confus et embrouillé. Tu ne sauras pas clairement ce qui est juste et ce qui ne l’est pas ; tu ne sauras pas ce que tu devrais faire et ce que tu ne devrais pas faire. Tu attendras comme une marionnette les instructions de l’antéchrist, n’osant pas agir si l’antéchrist ne donne pas la parole, et n’osant agir qu’une fois que tu auras entendu ses ordres. Tu auras perdu tes capacités innées et ton libre arbitre ne jouera plus son rôle. Tu seras devenu un homme mort. Tu auras un cœur, mais tu ne seras pas capable de penser ; tu auras un esprit, mais tu ne seras pas capable de réfléchir aux problèmes – tu ne sauras pas distinguer le bien du mal, ni quelles sont les choses positives et les choses négatives, ni quelle est la bonne façon d’agir et quelle est la mauvaise façon d’agir. Imperceptiblement, l’antéchrist aura pris le contrôle sur toi. Qu’est-ce qu’il contrôlera ? Est-ce ton cœur ou ton esprit ? C’est ton cœur ; ton esprit tombera alors naturellement sous son contrôle. Il attachera tes membres fermement et solidement, de sorte qu’à chaque pas que tu feras, tu t’enliseras dans l’hésitation et le doute, et tu reculeras par la suite ; puis tu voudras faire un autre pas, passer à l’action, mais tu reculeras à nouveau. Dans chaque chose que tu fais, ta vision sera trouble et peu claire. Ceci est inséparable des propos de l’antéchrist qui induisent en erreur. Quelle est la principale technique utilisée par les antéchrists pour contrôler les gens ? Tout ce qu’ils disent, ce sont des choses qui s’accordent avec les notions et l’imagination des gens, avec les sentiments humains, et avec le raisonnement humain. Ils semblent avoir un peu d’humanité lorsqu’ils parlent, mais ils ne possèdent aucune vérité-réalité. Dis-Moi, les gens qui sont contrôlés par les antéchrists et qui les suivent peuvent-ils faire un devoir dans la maison de Dieu de tout leur cœur et de toutes leurs forces ? (Non.) Quelle en est la raison ? Ils ne comprennent pas la vérité – c’est la raison principale. Et il y a une autre raison : les antéchrists se livrent à des jeux de pouvoir ; ils ne pratiquent pas la vérité en faisant leur devoir, et ils ne le font pas de tout leur cœur et de toutes leur forces. Leurs valets de pied peuvent-ils alors pratiquer la vérité ? Peu importe à quoi ressemble l’antéchrist, les valets de pied dans leur sillage le seront aussi. Les antéchrists montrent la voie en ne pratiquant pas la vérité, en allant à l’encontre des principes, en trahissant les intérêts de la maison de Dieu, en étant déraisonnables et en agissant comme des dictateurs. Cela empêche-t-il que leurs valets de pied soient affectés ? C’est absolument impossible. Qu’adviendra-t-il alors de ces personnes qu’ils contraignent et contrôlent ? Elles se protégeront les unes des autres, se méfieront les unes des autres et se battront les unes contre les autres – en compétition pour la gloire et le gain, pour une chance de briller et pour le capital. Au fond, toutes celles qui sont contrôlées par un antéchrist sont en désaccord et ne sont plus du même avis. Elles sont prudentes et circonspectes dans leurs actions ; elles ne sont pas ouvertes les unes aux autres et n’ont pas de relations humaines normales entre elles. Il n’y a pas d’échange normal entre elles, elles ne lisent pas en priant et elles n’ont pas de vie spirituelle normale. Elles sont fragmentées, tout comme les groupes non-croyants et sataniques qui existent dans le monde. Il en est ainsi lorsque l’antéchrist est au pouvoir. Il y a de la circonspection entre les gens, des luttes ouvertes et cachées, du sabotage, de la jalousie, des jugements et des comparaisons entre ceux qui prennent moins de responsabilités : « Si tu ne veux pas prendre tes responsabilités, je ne le ferai pas non plus. Sur quelle base voudrais-tu que je prenne en compte les intérêts de la maison de Dieu, alors que tu ne les prends pas en considération toi-même ? Je ne les prendrai donc pas en considération ! » Un tel endroit est-il la maison de Dieu ? Non. Quel genre d’endroit est-ce ? C’est le camp de Satan. La vérité n’y règne pas, elle ne bénéficie pas de l’action du Saint-Esprit, de la bénédiction de Dieu ou de Sa direction. Et donc, tous les gens là-bas sont comme des petits démons. Superficiellement, les mots d’éloge qu’ils prononcent sur les autres semblent agréables : « Oh, ils aiment vraiment Dieu, ils font vraiment des offrandes, ils souffrent vraiment en faisant leur devoir ! » Mais demande-leur d’évaluer une personne, et ce qu’ils te diront dans leur dos sera différent de ce qu’ils diront en leur présence. Si les frères et les sœurs tombent entre les mains d’un faux dirigeant, ils seront aussi fragmentés qu’un tas de sable dans l’accomplissement de leurs devoirs – ils n’obtiendront pas de résultats, ils ne bénéficieront pas de l’action du Saint-Esprit, et la plupart d’entre eux ne poursuivront pas la vérité. Que se passerait-il alors s’ils tombaient sous le contrôle d’un antéchrist ? Ces gens ne pourraient plus être appelés une Église. Ils appartiendraient entièrement au camp de Satan et à la bande de l’antéchrist.
Pourquoi est-ce que les antéchrists veulent toujours contrôler les gens ? C’est parce qu’ils ne sauvegardent pas les intérêts de la maison de Dieu et qu’ils ne se soucient pas de l’entrée dans la vie du peuple élu de Dieu. Leur seule considération est leur propre pouvoir, leur statut et leur prestige. Ils croient que tant qu’ils contrôleront le cœur des gens et que tout le monde les vénérera, leur ambition et leurs désirs seront satisfaits. Quant aux questions qui touchent aux intérêts de la maison de Dieu, au travail de l’Église, ou à l’entrée dans la vie du peuple élu de Dieu, ils ne se préoccupent pas du tout de ces choses. Même lorsque des problèmes surviennent, ils ne peuvent pas les voir. Ils ne peuvent pas voir les problèmes tels que les arrangements inappropriés concernant le personnel dans la maison de Dieu, ou lorsque les biens de la maison de Dieu ont été distribués de manière déraisonnable, causant une trop grande perte, ainsi que les personnes qui les ont dilapidés, ou qui causent des interruptions et des perturbations dans leur travail, ou qui utilisent les gens de manière inappropriée, ou qui sont superficiels dans leur travail – et ils traitent encore moins ces problèmes. De quoi s’occupent-ils ? Dans quels domaines interviennent-ils ? (Dans les questions insignifiantes.) Quelles sortes de choses sont des questions insignifiantes ? Donnez quelques détails. (Certains dirigeants iront régler les affaires domestiques de certains frères et sœurs – par exemple, un membre de leur famille qui ne s’entend pas avec quelqu’un d’autre. Ce ne sont que des questions de la vie quotidienne). C’est ce que font les faux dirigeants. Et que font les antéchrists ? (Ils ne s’intéressent pas à la vie des frères et des sœurs, ni aux choses qui vont à l’encontre des vérités-principes ; ils ne s’intéressent qu’à ce qui concerne leur façade et à leur statut – les gens qui ne font pas ce qu’ils disent, par exemple, ou certaines personnes qui les prennent en grippe. Ils s’occupent de ce genre de choses). Cela en fait partie. De telles choses arrivent. Les antéchrists vérifient qui est une présence indésirable pour eux, qui n’est pas respectueux d’eux et qui peut discerner ce qu’ils sont. Ils voient ces choses et les notent mentalement ; ces choses sont très importantes pour eux. Quoi d’autre ? (Si la personne élue dans une Église a du discernement à leur égard et n’est pas d’accord avec eux, ils chercheront des moyens de trouver des défauts à cette personne, et de la faire remplacer. Ils aiment faire ce genre de choses.) Peu importe les défauts ou les problèmes de quelqu’un qui fait de mauvaises choses, ou la façon dont il cause des interruptions et des perturbations, un antéchrist n’y prête pas attention – ils trouvent spécifiquement des défauts aux personnes qui font leur devoir et à celles qui poursuivent la vérité, cherchant des justifications et des excuses pour faire remplacer ces personnes. Il y a une autre façon principale dont le contrôle des autres par les antéchrists se manifeste : en plus de contrôler les frères et sœurs ordinaires, ils essaient de contrôler les personnes en charge de chaque aspect du travail. Ils souhaitent toujours détenir tout le pouvoir à leur portée. Ils s’enquièrent donc de tout ; ils gardent un œil sur tout et observent tout, pour voir comment les gens font les choses. Ils n’échangent pas du tout sur les vérités-principes avec les gens et ne leur laissent pas la liberté d’agir. Ils veulent que tout le monde fasse ce qu’ils disent et se soumette à eux. Ils ont toujours peur que leur pouvoir soit dispersé et accaparé par d’autres personnes. Lorsque l’on discute d’un problème, quel que soit le nombre de personnes qui échangent sur le sujet ou les résultats de leur échange, ils rejetteront tout cela lorsqu’ils seront atteints, et la discussion devra être relancée. Et quel est le résultat final de tout cela ? Les choses ne sont pas terminées tant que tout le monde ne les a pas écoutés, et si ce n’est pas le cas, ils devront continuer à échanger. Cet échange se prolonge parfois jusqu’au milieu de la nuit, sans que personne ne soit autorisé à dormir ; elle ne prend fin que lorsque les autres écoutent ce qu’ils disent. C’est quelque chose que font les antéchrists. Y a-t-il des gens qui croient qu’en faisant cela, un antéchrist prend la responsabilité du travail ? Quelle est la différence entre la responsabilité du travail et le despotisme des antéchrists ? (C’est une différence d’intention.) Quand les gens sont consciencieux et responsables envers le travail, ils le font afin d’échanger clairement les vérités-principes, de façon à ce que tout le monde puisse comprendre la vérité. Les antéchrists, d’autre part, agissent comme des despotes afin de conserver le pouvoir, de prendre le dessus, de réfuter tous les points de vue qui divergent de leurs opinions et qui pourraient leur faire perdre la face. N’y a-t-il pas une différence entre ces intentions ? (Si.) Qu’est-ce qui les différencie ? Pouvez-vous discerner cela ? Amener les gens à comprendre les vérités-principes par l’échange, et rivaliser pour l’estime – quelle est la différence entre les deux ? (Les intentions.) Pas seulement les intentions – bien sûr, les intentions sont différentes. (L’une de ces approches profitera davantage à la maison de Dieu.) L’une d’elles profitera davantage à la maison de Dieu, c’est une autre différence – considérer les intérêts de la maison de Dieu. Quelle est cependant la principale différence ? Lorsque quelqu’un échange véritablement sur la vérité, il est évident, lorsque tu l’entends, qu’il ne s’agit pas d’une justification ou d’une défense personnelles. Tout ce qu’ils échangent est destiné à faire comprendre à tous les intentions de Dieu, c’est tout un témoignage des intentions de Dieu. Un tel échange rend les vérités-principes clairs, et après les avoir entendus, les gens ont un chemin à suivre – ils savent quels sont les principes, ils savent ce qu’ils doivent faire à l’avenir, ils ne risquent pas d’aller à l’encontre des principes en faisant leur devoir, et l’objectif de leur pratique sera plus précis. Un tel échange n’est en rien contaminé par des justifications ou des défenses personnelles. Mais comment prêchent ces personnes qui voudraient faire basculer les choses en leur faveur et mettre les autres sous leur contrôle ? Sur quoi prêchent-ils ? Ils prêchent à propos de leurs autojustifications, des pensées, des intentions et des objectifs qui motivent ce qu’ils ont fait, afin que les gens l’acceptent, y croient et ne se méprennent pas à leur égard. Ce n’est que de l’auto-justification, il n’y a aucune vérité là-dedans. Si tu écoutes attentivement, tu verras qu’il n’y a pas de vérité dans ce qu’ils échangent – ce ne sont que des dictons humains, des excuses et des justifications humaines. C’est tout ce que c’est. Et une fois qu’ils ont parlé, tout le monde comprend-il les principes ? Non, mais ils ont compris beaucoup de choses sur les intentions de l’orateur. C’est la méthode des antéchrists. C’est ainsi qu’ils contrôlent les gens. Dès qu’ils sentent que leur statut et leur prestige ont subi une perte et ont été affectés au sein du groupe, ils se réunissent immédiatement pour essayer de les sauver comme ils peuvent. Et comment sauvent-ils ces choses ? En donnant des excuses, en offrant des justifications, en disant ce qu’ils pensaient à ce moment-là. Quel est leur objectif en disant ces choses ? Pour dissiper tous les malentendus que tout le monde a à leur sujet. C’est comme le grand dragon rouge : après avoir tourmenté et puni quelqu’un, il l’innocentera et le lavera de tout ce dont on l’a accusé. Quel est le but de faire ceci ? (« Le blanchiment. ») Il t’innocente et te dédommage après qu’il a fini de te faire du mal, de sorte que tu penses qu’après tout le grand dragon rouge est en fait bon et digne de confiance. De cette manière, son règne n’est pas menacé. C’est ainsi que sont également les antéchrists : ils ne disent ni font rien qui ne soit pas dans leur propre intérêt ; ils ne diront rien pour la vérité, et encore moins diront-ils ou feront-ils quoi que ce soit pour les intérêts de la maison de Dieu. Tout ce qu’ils disent et font, c’est dans l’intérêt de leur propre réputation et leur propre statut. Certains pourront dire : « Il est injuste de Ta part de les définir comme des antéchrists, parce qu’ils triment beaucoup, et qu’ils font leur travail avec beaucoup de diligence, travaillant et courant pour la maison de Dieu de l’aube jusqu’au crépuscule. Ils sont parfois trop occupés pour manger. Ils ont tellement souffert ! » Et pour qui souffrent-ils ? (Eux-mêmes.) Pour eux-mêmes. S’ils n’avaient pas de statut, feraient-ils la même chose ? Ils courent ainsi pour leur propre réputation et leur statut – ils le font pour une récompense. S’ils n’étaient pas récompensés, ou s’ils n’avaient pas de gloire, de gain ou de statut, ils se seraient retirés depuis longtemps. Ils font ces choses devant les autres et, ce faisant, ils veulent que Dieu le sache et ils font en sorte qu’Il leur donne la récompense qui leur est due, au vu de tout ce qu’ils ont fait. Ce qu’ils veulent en fin de compte, c’est une récompense ; ils ne veulent pas gagner la vérité. Tu dois voir clair sur ce point. Lorsqu’ils estiment avoir accumulé suffisamment de capital, lorsqu’ils ont l’occasion de s’exprimer parmi les autres, quel est le contenu de ce qu’ils disent ? Tout d’abord, il s’agit d’un étalage de leurs contributions – une attaque psychologique. Qu’est-ce qu’une attaque psychologique ? C’est faire savoir à tout le monde, au plus profond de son cœur, qu’il a fait beaucoup de bonnes choses au nom de la maison de Dieu, qu’il a apporté des contributions, pris des risques, fait des travaux dangereux, beaucoup couru et beaucoup souffert – c’est présenter ses références et parler de son capital devant les autres. Deuxièmement, ils parlent de manière extravagante et absurde de théories irréalistes, que les gens ont l’impression de comprendre alors qu’ils ne les comprennent pas. Ces théories semblent très profondes, mystérieuses et abstraites, et elles incitent les gens à vénérer les antéchrists. Ensuite, ils parlent de manière grandiose et confuse de choses qu’ils pensent que personne n’a jamais comprises – la technologie, par exemple, et l’espace extra-atmosphérique, les finances et la comptabilité, les questions de société et la politique – et même les affaires de la mafia et les escroqueries. Ils racontent leur histoire personnelle. Alors, qu’est-ce que c’est ? Ils s’affichent eux-mêmes. Et leur objectif, en s’affichant, est de lancer une attaque psychologique. Pensez-vous qu’ils sont stupides ? Si ce qu’ils disent n’avait aucun effet sur les gens, continueraient-ils à le dire ? Ils ne continueraient pas. Ils ont un but en le disant : il s’agit d’étaler leurs références, de se mettre en valeur et de s’afficher.
De plus, quelle attitude les antéchrists adoptent-ils souvent ? Peu importe où ils vont, ils adoptent les manières d’un chef de famille – où qu’ils aillent, ils disent : « Sur quoi travaillez-vous ? Comment cela se passe-t-il ? Y a-t-il des difficultés ? Dépêchez-vous de vous occuper des choses qui vous ont été attribuées ! Ne soyez pas superficiels. Tous les travaux de la maison de Dieu sont importants et ne peuvent être retardés ! » Ils sont comme le chef de famille, toujours en train de superviser le travail des personnes de leur maison. Qu’est-ce que cela signifie, le fait qu’ils soient à la tête d’un ménage ? Cela signifie que toute personne dans leur maison peut commettre une erreur ou prendre le mauvais chemin, et qu’ils doivent donc veiller sur eux ; s’ils ne le font pas, personne ne fera son devoir – ils finiront tous par trébucher. Les antéchrists croient que tous les autres sont des idiots, des enfants, que s’ils ne se tracassent pas pour eux, s’ils les perdent de vue une seconde, certains d’entre eux commettront des erreurs et prendront le mauvais chemin. De quelle opinion s’agit-il ? N’assument-ils pas le rôle de chef de famille ? (Ils l’assument.) Font-ils donc du travail concret ? Ils ne le font jamais ; ils s’arrangent pour que d’autres fassent tout le travail, ne se préoccupant que de la bureaucratie et du rôle de maître, et lorsque d’autres ont fait le travail, c’est comme s’ils l’avaient fait eux-mêmes – tout le mérite leur revient. Ils profitent simplement des avantages de leur statut ; ils ne font jamais rien qui profite au travail de la maison de Dieu, et même s’ils constatent que quelqu’un est superficiel ou négligent dans l’accomplissement de son devoir, que quelqu’un interrompe et perturbe le travail de I’Église, ils lui donnent simplement quelques mots d’exhortation et le réconfortent, mais ils ne l’exposent jamais ou ne le restreignent pas – ils n’offensent jamais personne. Si personne ne veut les écouter, ils diront : « Mon cœur s’est brisé en morceaux à cause de vous tous ; j’ai parlé jusqu’à ce que ma bouche soit sèche – je me suis fatigué au point que cela m’a presque brisé en deux ! Vous me donnez tellement de soucis ! » N’est-ce pas honteux de leur part de dire cela ? Cela vous dégoûte-t-il d’entendre ça ? C’est l’une des façons dont se manifeste le désir constant des antéchrists de contrôler les gens. Comment ces antéchrists peuvent-ils échanger avec les gens ? Ils Me disent, par exemple : « Les gens en dessous de moi ne font pas ce qu’on leur dit. Ils ne prennent pas le travail de l’Église au sérieux. Ils sont superficiels et dépensent sans discernement l’argent de la maison de Dieu. Ce sont de vraies bêtes, ces gens-là – ils sont plus bas que des chiens ! » Quel est leur ton ici ? Ils se font eux-mêmes l’exception ; ils veulent dire : « Je prends en compte les intérêts de la maison de Dieu – pas eux. » Qui sont les antéchrists qui se considèrent comme tels ? Un « ambassadeur de marque. » Qu’est-ce qu’un ambassadeur de marque ? Jetez un coup d’œil aux ambassadeurs de marque de certains pays – de quel genre de personnes s’agit-il ? Elles sont choisies pour leur beauté ; elles sont très jolies, elles parlent bien et elles ont toutes suivi une formation. En coulisses, elles ont toutes des relations avec des hommes grands, riches et beaux, avec des fonctionnaires de haut rang, avec des hommes d’affaires fortunés – c’est pourquoi elles sont des ambassadrices de marque. Sur quoi s’appuient-elles pour devenir des ambassadeurs de marque ? S’agit-il uniquement de leur apparence charmante, de leur silhouette et de leur éloquence ? Elles s’appuient principalement sur leurs relations en coulisses. N’est-ce pas ainsi que cela fonctionne ? (Si.) Oui, c’est ainsi que cela fonctionne. Les antéchrists, qui ont toujours la manière d’un dirigeant ou d’un chef de famille, veulent toujours utiliser cette manière, cette posture, pour induire les gens en erreur et les contrôler. N’est-ce pas un peu le style d’un ambassadeur de marque ? Ils se tiennent debout, les mains jointes derrière le dos, et lorsque les frères et les sœurs les saluent d’un signe de tête et s’inclinent devant eux, ils disent : « Bravo, c’est du bon travail ! » Qui sont-ils pour dire cela ? À quel poste se sont-ils nommés ? Je ne dis pas de telles choses, où que J’aille – M’avez-vous jamais entendu dire une telle chose ? (Non.) Occasionnellement, Je dirai : « Cette possibilité que vous avez de faire votre devoir en toute tranquillité d’esprit n’est pas facile à trouver ! Vous devez saisir cette opportunité, et bien faire votre devoir – ne vous faites pas renvoyer pour avoir fait le mal et causé des perturbations. » Mais pourquoi est-ce que Je dis cela ? Par sincérité. Mais est-ce ainsi que pense l’antéchrist ? Ce n’est pas ainsi qu’il pense, et ce n’est pas ainsi qu’il agit. Il dit aux autres de faire du bon travail – le fait-il lui-même ? Il ne le fait pas. Il demande aux autres de faire du bon travail, de se tuer à la tâche pour lui, de travailler pour lui, et en fin de compte, c’est lui qui reçoit tous le mérite. Est-ce que vous vous tuez au travail pour Moi maintenant, en faisant vos devoirs ? (Non.) Vous ne Me rendez pas service non plus ; vous accomplissez vos propres devoirs et obligations, et ensuite la maison de Dieu pourvoit à vos besoins. Serait-il excessif de dire que Je subviens à vos besoins ? (Non.) Ce n’est pas une affirmation erronée, et en fait, c’est vraiment comme cela que sont les choses. Mais si vous voulez que Je dise cela, Je ne le ferai pas – cela ne sortira jamais de Ma bouche. Je dirais seulement que la maison de Dieu pourvoit à vos besoins : vous faites vos propres devoirs dans la maison de Dieu, et Dieu pourvoit à vos besoins. Alors, pour qui faites-vous vos devoirs ? (Nous-mêmes.) Vous accomplissez vos propres devoirs et obligations ; c’est la responsabilité que vous devez mener à bien en tant qu’êtres créés. Vous faites cela en présence de Dieu. Vous ne devez absolument pas dire que vous travaillez pour Moi – Je n’ai pas besoin de cela. Je n’ai besoin de personne qui travaille pour Moi ; Je ne suis ni le patron, ni le président d’une entreprise. Je ne gagne pas d’argent par vous, et vous ne mangez pas Ma nourriture. Nous coopérons simplement les uns avec les autres. J’échange sur les vérités que Je dois échanger afin que vous les compreniez, et que vous vous engagiez sur le bon chemin, et avec cela, Mon cœur est apaisé – Ma responsabilité et Mon obligation ont été réalisées. Il s’agit d’une coopération mutuelle, où chacun joue son rôle. Il ne s’agit pas, loin de là, de savoir qui exploite qui, qui utilise qui, qui nourrit qui. N’agissez pas de cette manière – c’est inutile et c’est dégoûtant. Fais vraiment bien ton travail, de manière à ce que ce soit évident pour tout le monde, et à la fin, tu seras en bonne position pour t’acquitter de tes dettes devant Dieu. Les antéchrists ont-ils une telle raison ? Non. S’ils prennent un peu de responsabilités, apportent un peu de contribution et ont fait du travail, ils s’en vantent d’une manière franchement dégoûtante – allant jusqu’à vouloir être des ambassadeurs de marque. Si tu n’essaies pas d’être ambassadeur de marque et que tu te consacres à un travail réel, tout le monde aura du respect pour toi. Si tu adoptes la posture d’un ambassadeur de marque, mais que tu es incapable de faire un travail concret, et que tu fais en sorte que le Supérieur se préoccupe de tout le travail et en donne personnellement les directives, et qu’il assure le suivi en te supervisant et en te donnant des conseils, le Supérieur se chargeant de tous les aspects du travail, et si tu te crois toujours capable, que tu es devenu plus compétent, que c’est toi qui as tout fait – n’est-ce pas honteux ? Les antéchrists sont capables de cela. Ils volent à Dieu Sa gloire. Lorsque les gens normaux ont vécu quelques expériences, ils peuvent comprendre une partie de la vérité et voir que « Mon calibre est juste si médiocre – je ne suis rien. Sans l’attention et la supervision du Supérieur, sans lui pour me tenir la main et m’aider, je ne serais pas capable de faire quoi que ce soit. Je n’ai été qu’une marionnette. J’ai appris à me connaître un peu mieux. Je connais ma mesure dérisoire. Je ne me plaindrai pas si le Supérieur m’émonde à nouveau à l’avenir. Je me soumettrai simplement. » Connaissant ta propre mesure dérisoire, tu feras le travail qui t’incombe en te comportant correctement, avec les deux pieds sur terre. Quel que soit ce que t’attribue le Supérieur, tu le feras bien, de tout ton cœur et de toutes tes forces. Est-ce que c’est ce que font les antéchrists ? Non, ce n’est pas le cas – ils ne considèrent pas les intérêts de la maison de Dieu, ou le travail de la maison de Dieu. Quel est le plus grand intérêt de la maison de Dieu ? Est-ce la richesse de l’Église ? S’agit-il d’offrandes à Dieu ? Non. Qu’est-ce que c’est alors ? Autour de quel aspect du travail s’articule l’accomplissement des tâches de chacun ? Répandre l’Évangile et témoigner pour Dieu, afin que toute l’humanité comprenne Dieu et revienne à Lui. C’est le plus grand intérêt de la maison de Dieu. Et ce plus grand intérêt se ramifie vers le bas, en se divisant en chaque groupe et chaque aspect du travail, puis en se divisant plus finement jusqu’aux différentes tâches que chaque personne fait. C’est l’intérêt de la maison de Dieu. Avez-vous déjà vu cela ? Non, vous ne l’avez pas vu ! Quand je parle des intérêts de la maison de Dieu, vous pensez qu’il s’agit d’argent, de maisons et de voitures. De quel genre d’intérêts s’agit-il ? Ne s’agit-il pas simplement de quelques biens matériels ? Certaines personnes diront-elles alors : « Puisqu’il ne s’agit pas d’intérêts, gaspillons-les à notre guise » ? Est-ce que c’est bien ? (Non.) Absolument pas ! Le gaspillage des offrandes est un péché grave.
Qu’est-ce qui intéresse les antéchrists, à part leur désir et leur ambition de contrôler les gens ? Rien, essentiellement. Ils ne s’intéressent pas vraiment à autre chose. Que chacun fasse le devoir qui lui incombe, que le personnel soit bien organisé, que personne n’interrompe ni ne perturbe le travail de l’Église, que chaque aspect du travail de l’Église progresse sans heurts, quel segment du travail a un problème, quel segment est encore faible, quel segment n’a pas encore été pensé, où le travail n’est pas fait correctement – les antéchrists ne s’impliquent pas dans ce genre de choses et ne s’en préoccupent pas non plus. Ils ne s’en préoccupent jamais, ils ne font jamais ce travail concret. Par exemple, le travail de traduction, le travail d’édition vidéo, le travail de production cinématographique, le travail textuel, le travail de diffusion de l’Évangile, etc. – ils n’assurent un suivi diligent d’aucun aspect du travail. Tant que quelque chose ne touche pas à leur renommée, à leur gain ou à leur statut, c’est comme si cela ne les concernait pas. Alors, quelle est la seule chose qu’ils font ? Ils ne s’occupent que des affaires générales – un travail superficiel auquel les gens prêtent attention et qu’ils voient. Ils les finissent et s’en servent comme d’une qualification, puis ils commencent à profiter des avantages de leur statut. Les antéchrists se soucient-ils de l’entrée dans la vie du peuple élu de Dieu ? Non, ils ne se préoccupent que de leur réputation et de leur statut, des questions pour lesquelles ils peuvent se distinguer et obtenir l’estime et la vénération des gens. Ainsi, quels que soient les problèmes qui se posent dans le travail de l’Église, ils ne s’en préoccupent pas ni ne s’en informent, quelle que soit la gravité d’un problème, quelle que soit la perte qu’il entraîne pour les intérêts de la maison de Dieu, ils n’ont pas l’impression qu’il s’agit d’un problème. Dites-Moi, ont-ils seulement un cœur ? S’agit-il de personnes loyales ? S’agit-il de personnes qui aiment et acceptent la vérité ? Des points d’interrogation doivent être placés derrière ces choses. Bon, que doivent-ils faire toute la journée pour mettre en désordre le travail de l’Église ? Cela suffit à montrer qu’ils n’ont pas la moindre considération pour les intentions de Dieu. Ils ne font pas le travail essentiel que Dieu leur a confié, mais s’occupent exclusivement d’affaires superficielles, générales, pour avoir l’air de travailler aux yeux des autres ; ils sont apparemment occupés à faire un devoir, pour montrer aux gens qu’ils font preuve de zèle et qu’ils ont la foi. C’est une façon d’embobiner certaines personnes. Mais ils ne font pas un seul aspect du travail essentiel de l’Église – ils ne font rien du travail d’abreuvement et de diffusion de la vérité. Ils n’utilisent jamais la vérité pour résoudre les problèmes ; ils se contentent de gérer quelques affaires générales et de faire un peu de travail qui leur donne une bonne image. En ce qui concerne le travail essentiel de l’Église, ils sont simplement superficiels et irresponsables – ils n’ont pas le moindre sens des responsabilités. Ils ne cherchent jamais la vérité pour résoudre les problèmes, même s’ils sont nombreux, et font leur devoir machinalement. Et après s’être occupés d’affaires superficielles et générales, ils pensent avoir accompli un réel travail. Pendant que les antéchrists font leur devoir, ils se déchaînent en faisant le mal et agissent de manière arbitraire et dictatoriale. Ils sèment la pagaille et le désordre dans le travail de l’Église. Aucun aspect du travail n’est effectué de manière adéquate et sans erreur ; aucun aspect du travail n’est effectué correctement sans que le Supérieur ne doive intervenir, s’en enquérir et le superviser. Malgré cela, certains sont pleins de griefs et de défiance après avoir été remplacés ; ils avancent des arguments trompeurs en leur nom propre, rejetant la responsabilité sur les dirigeants de niveau supérieur et les travailleurs. N’est-ce pas totalement déraisonnable ? La véritable attitude d’une personne à l’égard de la vérité n’est pas visible lorsque rien ne s’est passé, mais lorsqu’elle est émondée et remplacée, sa véritable attitude à l’égard de la vérité est révélée. Les personnes qui acceptent la vérité sont capables de le faire en toutes circonstances. S’ils se trompent, ils peuvent admettre leur erreur ; ils peuvent faire face aux faits et accepter la vérité. Les personnes qui n’aiment pas la vérité n’admettront pas qu’elles se trompent, même si leur erreur a été mise en évidence ; elles accepteront encore moins que la maison de Dieu s’occupe d’elles – et qu’est-ce que certaines d’entre elles utiliseraient même comme justification ? « Je voulais bien faire – mais je ne l’ai pas fait. Je ne peux pas être blâmé maintenant pour avoir mal fait. J’étais bien intentionné, et j’ai souffert et payé un prix, et je me suis dépensé – ne pas faire quelque chose de bien n’est pas la même chose que de faire le mal ! » Utiliser cette justification, cette excuse, pour refuser d’être traité par la maison de Dieu – est-ce approprié ? Quelles que soient les justifications et les excuses qu’une personne donne, elle ne peut pas dissimuler son attitude envers la vérité et envers Dieu. Il s’agit de sa nature-essence, et c’est ce qui est le plus révélateur. Que quelque chose se soit produit ou non, ton attitude à l’égard de la vérité représente ta nature-essence. C’est ton attitude envers Dieu. La façon dont tu traites Dieu peut être observée simplement en regardant comment tu traites la vérité.
Qu’avons-nous abordé dans notre discussion de tout à l’heure au sujet du comportement des antéchrists qui contrôlent les gens ? (Les antéchrists ne s’intéressent qu’au contrôle des gens.) C’est exact. Les personnes qui sont particulièrement arrogantes et qui aiment particulièrement le statut ont tout « intérêt » à contrôler les gens. Cet « intérêt » n’est pas positif – c’est un désir et une ambition, c’est négatif et péjoratif. Pourquoi seraient-elles intéressées à contrôler les gens ? D’un point de vue objectif, c’est leur nature, mais il y a une autre raison : les personnes qui veulent contrôler les autres ont une passion et une affection particulières pour le statut, la renommée, le gain, la vanité et le pouvoir. Puis-je l’exprimer ainsi ? (Oui.) Et cette passion et cette affection particulières ne sont-elles pas semblables à celles de Satan ? N’est-ce pas l’essence de Satan ? Satan réfléchit toute la journée à la manière d’induire les gens en erreur et de les contrôler ; chaque jour, il leur inculque des idées et des points de vue fallacieux, que ce soit par l’inculcation et l’éducation, ou par la culture traditionnelle, ou par la science, les connaissances élevées et les enseignements – et plus il inculque ces choses aux gens, plus ils le vénèrent. Quel est le but de Satan en inculquant ces choses aux gens ? Une fois qu’il l’a fait, les gens possèdent ses idées, ils possèdent ses philosophies et son mode d’existence. Cela équivaut à l’enracinement de Satan dans le cœur des gens. Ils vivent par Satan, et leur vie est la vie de Satan – c’est la vie des démons. N’en est-il pas ainsi ? N’est-ce pas aussi la nature des antéchrists qui contrôlent les gens ? Ils veulent faire de tous les autres des gens comme eux ; ils veulent que tout le monde vive pour eux, soit à leur disposition et fasse des choses pour eux. Et tout doit être sous leur contrôle : les pensées et les paroles des gens, leur style de discours, leurs idées et leurs points de vue, la perspective et l’attitude à partir desquelles ils agissent, même leur attitude envers Dieu, leur foi, leur volonté et leur aspiration à faire leur devoir – tout cela doit être sous leur contrôle. Jusqu’où va ce contrôle ? Ils commencent par un lavage de cerveau et endoctrinent les gens, puis ils font en sorte que tous les gens fassent les mêmes choses qu’eux. Ils deviennent le « parrain. » Pour rendre les gens comme ça, les antéchrists utilisent de nombreuses méthodes telles que le fourvoiement, l’inculcation, la peur, et quoi d’autre ? (Les attaques psychologiques.) Cela fait partie du fourvoiement. Quoi d’autre ? (La coercition et le soudoiement des gens.) Comment les soudoient-ils ? Certaines personnes se déchaînent en faisant le mal alors qu’elles font leur devoir dans la maison de Dieu. Les antéchrists peuvent-ils voir cela clairement ? C’est tout-à-fait clair pour eux. S’en occupent-ils alors ? Ils ne s’en occupent pas. Et pourquoi ne s’en occupent-ils pas ? Ils souhaitent l’utiliser pour soudoyer ces personnes ; ils leur disent : « Ne pas s’occuper de toi est une faveur que je t’ai faite. Tu dois me remercier. Je t’ai vu faire une mauvaise action, mais je ne t’ai pas dénoncé, et je ne me suis pas occupé de toi. J’ai été indulgent. N’as-tu pas maintenant une dette de gratitude envers moi à l’avenir ? » Ces personnes leur sont alors reconnaissantes et les considèrent comme leurs bienfaiteurs. Ensuite, les antéchrists et ces gens sont comme des porcs qui se vautrent dans la même porcherie. Tant qu’ils sont au pouvoir, les antéchrists peuvent soudoyer de telles personnes : celles qui font le mal, qui nuisent aux intérêts de la maison de Dieu, qui jugent Dieu en privé et qui sapent le travail de la maison de Dieu en privé. C’est le genre de bande de personnes malfaisantes que les antéchrists protègent. N’est-ce pas une forme de contrôle ? (Si.) Le fait est que les antéchrists savent au fond de leur cœur que ces personnes ne sont pas celles qui sauvegardent les intérêts de la maison de Dieu. Ils le savent tous – il y a une compréhension tacite – et ils travaillent donc main dans la main. « Nous nous ressemblons comme deux gouttes d’eau. Tu ne prends pas en compte les intérêts de la maison de Dieu. Tu dupes Dieu, et je fais de même ; tu ne poursuis pas la vérité, et moi non plus. » Les antéchrists soudoient de telles personnes. Est-ce que ce n’est pas les soudoyer ? (Ça l’est.) Ils n’ont aucun scrupule à laisser les intérêts de la maison de Dieu souffrir. Au prix des intérêts de la maison de Dieu, ils tolèrent ces personnes qui se déchaînent en faisant le mal et qui vivent aux dépens de la maison de Dieu. C’est comme s’ils pourvoyaient à ces personnes, et ces personnes leur sont inconsciemment reconnaissantes. Quand vient le temps pour la maison de Dieu de gérer ces personnes malfaisantes, comment voient-elles les antéchrists ? Elles se disent : « Oh, non. Ils ont déjà été renvoyés. S’ils ne l’avaient pas fait, nous aurions pu nous amuser un peu plus longtemps – avec leur couverture, personne n’était capable de me gérer. » Elles se sentent encore tellement attachées aux antéchrists ! Il est évident que toutes ces choses que font les antéchrists sont des interruptions et des perturbations, des choses qui induisent les gens en erreur et des actes malfaisants qui s’opposent à Dieu. Et toute personne qui n’aime pas la vérité ne haïra pas ces actes malfaisants, et elle les couvrira même pour eux. Par exemple, il y avait un certain dirigeant qui protégeait les antéchrists. Le Supérieur lui a demandé si quelqu’un dans l’Église causait des interruptions et des perturbations, ou se déchaînait en faisant le mal, ou s’il y avait des antéchrists induisant les gens en erreur. Le dirigeant a répondu : « Eh bien, je vais demander autour de moi. Laisse-moi vérifier pour toi. » Cela ne faisait-il pas partie de son travail ? Avec ce ton – « Laisse-moi vérifier pour toi » – il a répondu au Supérieur, et celui-ci n’en a plus entendu parler par la suite. Il n’a pas vérifié – il ne voulait pas offenser ces personnes ! Et quand le Supérieur lui a demandé à nouveau, « As-tu vérifié ? », il a dit : « J’ai vérifié – il n’y en a pas. » Était-ce vrai ? Il était le plus grand des antéchrists, le principal responsable de la perturbation du travail de l’Église et de l’atteinte aux intérêts de la maison de Dieu. Il était lui-même un antéchrist – qu’y avait-il pour lui à vérifier ? Avec lui là-bas, quelles que soient les mauvaises choses que ses subalternes ont faites, quelles que soient les interruptions et les perturbations que ceux-ci ont causées, personne ne pouvait le vérifier. Il les a empêchés de le faire. Implicitement, dans de telles circonstances, n’avait-il pas séparé ses subalternes de Dieu ? Il l’a fait. Et à qui ces personnes ont-elles prêté attention, ayant été séparées de Dieu par lui ? Ne l’ont-elles pas écouté ? Et ainsi, il est devenu l’intimidateur de la ville, le chef des bandits, le tyran local – il a mis ces subalternes sous son contrôle. Quelle méthode a-t-il utilisée ? Il a dupé le Supérieur et leurré ses subalternes. Il a soudoyé ses subalternes et il a dit des paroles agréables, et avec le Supérieur, il s’est livré à la supercherie – il n’a pas fait savoir au Supérieur ce qui se passait en-dessous. Il n’en a rien dit au Supérieur, et il a également créé une façade. Quelle façade a-t-il créée ? Il a dit au Supérieur : « Il y a quelqu’un dans notre Église dont tous les frères et sœurs rapportent qu’il est d’une humanité pauvre, qu’il est incroyablement malintentionné et incapable de tout devoir. Que dis-tu – puis-je le gérer ? » À l’entendre le dire, il était clair d’après les manifestations de cette personne qu’elle était une personne malfaisante qui devait être gérée. Alors, le Supérieur a dit : « Dans ce cas, tu peux la gérer. L’avez-vous gérée ? » Il a dit : « Nous l’avons gérée le mois dernier et l’avons exclue. » Les faits étaient-ils vraiment comme il les a décrits ? Qu’est-ce qui s’est vraiment passé après un interrogatoire plus détaillé ? Cette personne ne s’entendait pas avec lui. Et il y avait une raison pour laquelle ils ne s’entendaient pas : ce dirigeant ne faisait pas de travail réel, et il formait toujours des gangs et des cliques parmi les frères et sœurs – il montrait les manifestations d’un antéchrist, et cette personne avait du discernement à son égard, et elle rapportait et exposait ces problèmes. Dès qu’elle a fait ce rapport, elle a été découverte par les subalternes associés du dirigeant, et elle a par conséquent été punie et exclue par lui. Cet antéchrist a fait du bon travail pour amener tous ceux qui lui étaient subalternes à se soulever contre cette personne et à la rejeter, et finalement, il a manipulé cette personne et l’a exclue, après quoi il a rapporté cette « bonne nouvelle » au Supérieur. Ce n’était pas ce qui se passait vraiment, en fait. De telles choses se produisent-elles dans l’Église ? Elles se produisent. Ces antéchrists répriment les frères et sœurs ; ils répriment ceux qui peuvent les discerner et rapporter leurs problèmes, ainsi que ceux qui peuvent voir à travers leur nature-essence. Ils déposent même d’abord des plaintes contre leurs victimes, signalant au Supérieur que ce sont ces personnes qui causent une perturbation. Qui cause réellement une perturbation ? Ce sont les antéchrists qui perturbent et contrôlent l’Église.
Quelles sont les techniques des antéchrists pour amener les gens à se soumettre à eux ? Une de ces techniques consiste à utiliser divers moyens pour te contrôler – pour contrôler tes pensées, tes méthodes, le chemin que tu empruntes et même, au moyen du pouvoir qu’ils exercent, le devoir que tu fais. Si tu te rapproches d’eux, ils te donneront un devoir facile qui te permettra de te démarquer ; si tu leur désobéis sans cesse, et que tu signales toujours leurs défauts, et exposes le problème de leur corruption, ils s’arrangeront pour que tu fasses un travail que les gens n’aiment pas – par exemple, amener une jeune sœur à faire un travail sale et fatigant. Ils organisent des emplois faciles et propres pour quiconque se rapproche d’eux, les flatte et dit toujours ce qu’ils veulent entendre. C’est ainsi que les antéchrists traitent les gens et les contrôlent. Autrement dit, en ce qui concerne le pouvoir sur la dotation en personnel et les transferts, qui fait quoi, tout cela dépend d’eux, ils ont le contrôle exclusif. Est-ce simplement une sorte d’ambition et de désir ? Non, ça ne l’est pas. Cela ne correspond-il pas exactement au huitième point des manifestations des antéchrists : « Ils voudraient que les autres n’obéissent qu’à eux, et non à la vérité ou à Dieu » ? À quoi fait référence « Ils voudraient que les autres n’obéissent qu’à eux, et non à la vérité ou à Dieu » ? Quel est le problème avec cette manifestation ? En quoi est-ce mal ? C’est qu’ils voudraient que les gens se soumettent à ce qui va entièrement à l’encontre de la vérité. Cela ne correspond pas aux vérités-principes. Cela va tout à fait à l’encontre des intérêts de la maison de Dieu et des intentions de Dieu ; rien de tout cela ne préserve les intérêts de la maison de Dieu, et rien de tout cela n’est conforme à la vérité. Ils voudraient que les gens se soumettent à ce qui n’est rien d’autre que leurs propres ambitions, désirs, préférences, intérêts et notions. N’est-ce pas là l’essence du problème ? C’est une façon dont l’essence des antéchrists se manifeste. N’est-ce pas là le nœud du problème ? Cette façon d’agir des antéchrists devrait être facile à discerner. Il y a des dirigeants et des ouvriers qui proposent des opinions justes et correctes, et bien que certaines personnes ne soient pas convaincues et ne puissent pas les accepter, ces dirigeants sont capables de persister à mettre en œuvre ces opinions correctes et à les mettre en pratique. Quelle est la différence entre ce comportement et celui des antéchrists ? Les deux semblent similaires en surface, mais il y a une différence dans leur essence. Ce que font les antéchrists, c’est intentionnellement aller à l’encontre de la vérité et des principes de travail de la maison de Dieu, amenant les gens à faire ce qu’ils disent sous prétexte qu’ils font un devoir pour la maison de Dieu et se soumettent à la vérité. C’est faux – manifestement, absurdement faux. Certains dirigeants et ouvriers défendent des opinions correctes. Ce qui est en accord avec les vérités-principes doit être maintenu ; ce n’est pas de l’arrogance et de l’autosatisfaction, ni une contrainte pour les gens – c’est le maintien de la vérité. Les deux comportements semblent en apparence similaires, mais leurs essences sont différentes : l’un soutient les vérités-principes et l’autre soutient des opinions erronées. Ce que font les antéchrists est une violation totale de la vérité, d’hostilité envers elle, et est entièrement motivé par leurs ambitions et désirs personnels – c’est pourquoi les antéchrists voudraient que les gens se soumettent uniquement à eux et non à la vérité ou à Dieu. C’est le cœur de ce sujet. Ce dont nous avons parlé tout à l’heure est un fait établi. À quoi se réfèrent les désirs et les ambitions ici ? Ils se réfèrent à certaines personnes qui ne font pas les choses évidentes qu’un antéchrist ferait, mais qui ont toujours ces tendances. Elles ont ces tendances et manifestations, ce qui signifie qu’elles ont ces désirs et ambitions. Quel que soit le groupe dans lequel elles se trouvent, elle souhaitent toujours commander les gens comme un officiel : « Toi, va faire à manger ! », « Toi, va prévenir untel ! », « Travaille dur à ton devoir et aie plus de loyauté – Dieu veille ! » Ont-elles besoin de dire ce genre de choses ? De quel genre de ton s’agit-il ? Qui sont-elles pour toujours agir en seigneur et maître ? Elles ne sont rien, pourtant elles oseraient dire de telles choses – n’est-ce pas un manque de raison ? Certains diront peut-être : « Ce sont des gens stupides et irréfléchis. » Mais ce ne sont pas des gens ordinaires stupides et irréfléchis – ce sont des gens spéciaux. Spéciaux comment ? Lorsqu’ils discutent ou délibèrent sur une question avec qui que ce soit, qu’ils aient raison ou non, ils doivent finalement l’emporter ; qu’ils aient raison ou non, ils doivent avoir le dernier mot, faire la loi et prendre les décisions. Quel que soit leur statut, ils souhaitent prendre les décisions. Si une autre personne devait l’emporter en exprimant un point de vue correct, ils se fâchent ; ils abandonnent leur poste et arrêtent leur travail – ils démissionnent en disant : « Vous pouvez dire ce que vous voulez – ce n’est pas comme si vous faisiez ce que je dis, de toute façon ! » N’ont-ils pas cette ambition et ce désir ? Quelles conséquences découlent du fait que de telles personnes sont des seigneurs et des maîtres, qu’elles sont les responsables, qu’elles deviennent des dirigeants ? Elles deviennent des antéchrists standard. Avez-vous de telles manifestations ? Ce ne serait pas une bonne chose ! Ne serait-ce pas une grande calamité si un croyant en Dieu ne gagne pas la vérité, mais devient plutôt un antéchrist ?
Comment les non-croyants voient-ils les gens ? Lorsqu’ils rencontrent une personne, ils regardent d’abord son apparence et ses vêtements ; lorsqu’ils écoutent les autres parler, ils veulent toujours voir s’ils ont de l’éducation. S’ils trouvent que ton apparence et tes vêtements ne sont pas très intéressants, et que tu n’es pas très instruit ou bien informé, ils te méprisent et veulent prendre le dessus lorsqu’ils parlent avec toi. Je dis : « Si tu veux discuter alors vas-y – parle. » Je tiens Ma langue ; Je cède. La plupart des gens dans la maison de Dieu M’écoutent, où que J’aille. Donc, Je cherche des occasions d’entendre les autres parler, de laisser les autres parler davantage – J’essaie de laisser tout le monde parler du fond du cœur, et parler des difficultés en eux et de leurs connaissances. En écoutant, J’entends quelques dérives. Je peux entendre quelques-uns de leurs problèmes et de leurs lacunes, les problèmes qui ont surgi sur le chemin qu’ils parcourent, et le domaine du travail de l’Église qui n’est pas bien fait, les problèmes qui subsistent et s’ils doivent être résolus. Je me concentre sur l’écoute de ces choses. Si nous débattons d’un problème – si Je dis qu’une tasse est en papier, par exemple, et que tu insistes pour dire que c’est du plastique, Je dirai : « D’accord. Tu as raison. » Je ne discuterai pas avec toi. Certaines personnes pensent : « Si tu as raison, pourquoi ne discutes-Tupas ? » Cela dépend du problème. Si c’est quelque chose qui touche à la vérité, il est juste que tu M’écoutes ; si c’est une affaire externe, alors peu importe ce que vous dites, Je ne m’impliquerai pas – de telles choses ne Me concernent pas. Il ne sert à rien de discuter de telles choses. Il y a des gens qui discutent de certaines questions d’État. Je leur dis : « Si Je comprends bien, c’est comme ça que ça se passe. » J’ajoute « tel que Je le comprends » au début ; il y a un peu de connaissance de soi là-dedans. Je fais ressortir un fait que Je connais pour illustrer la question, en disant : « Voici la situation telle qu’elle est maintenant, mais s’il y a des circonstances particulières, Je ne les connais pas. » C’est tout ce que Je peux faire pour évaluer la question avec un tel fait, mais Je ne montre pas à quel point Je sais. Je leur donne juste un peu d’informations comme référence – Je ne veux pas assumer une position plus élevée que la leur et les réprimer, pour leur montrer à quel point Je suis brillant, que Je sais tout, qu’ils ne savent rien. Ce n’est pas Ma perspective. Quand certaines personnes discutent avec Moi, Je mentionne un peu d’informations qu’elles ne connaissent pas, et elles disent : « Tu passes toute la journée à l’intérieur que sais-Tu ? » Elles ne connaissent pas cette information, mais elles veulent discuter et se battre avec Moi à ce sujet. Je dis : « C’est vrai. Je ne sors pas, mais Je sais une chose. Je suis juste en train de t’en parler, et c’est tout – crois-le ou non. » De quoi peut-on discuter ici? Argumenter sur ce genre de chose est un tempérament. Certaines personnes veulent même rivaliser pour la supériorité lorsqu’il s’agit d’une question externe, en disant : « Comment as-Tu appris cela ? Pourquoi je ne suis pas au courant ? Pourquoi peux-Tu parler du fin mot de l’histoire, alors que je ne peux pas ? » Par exemple, Je dis : « Au fil des années où Je suis resté ici, J’ai découvert quelque chose de distinctif sur le climat : il est assez humide. » C’est une observation à laquelle Je suis arrivé après être resté longtemps dans cet endroit – c’est un fait. Pourtant, certaines personnes entendent cela et disent : « Est-ce ainsi que les choses sont vraiment ? Comment se fait-il alors que je n’ai pas senti l’humidité ? » Ce n’est pas parce que tu n’as pas senti l’humidité que ce n’est pas humide. Tu ne peux pas simplement te fier à ce que tu ressens – tu dois te fier aux données. Les prévisions météorologiques quotidiennes sont détaillées, et une fois que tu en auras vu suffisamment, tu sauras qu’il fait en fait humide ici. Ce n’est pas quelque chose que Je viens d’imaginer, et Je ne parle pas seulement en fonction d’un sentiment. Pourquoi cela ? Il y a toujours de la mousse à la base ombragée des murs toute l’année ; au printemps, il y a des endroits où Je n’oserais pas marcher, ils sont tellement glissants. Cette observation est venue du fait que J’ai traversé cela, que Je l’ai vécu, que Je l’ai vu de mes propres yeux et que Je l’ai personnellement ressenti. Parler de cette façon n’est pas aller à l’encontre des faits, n’est-ce pas ? Mais il y a des gens qui Me défient à propos de ces choses quand ils Me parlent – Je dis qu’il fait humide ici, et ils disent simplement que ce n’est pas le cas. Ces gens ne sont-ils pas confus ? (Ils le sont.) Certaines déclarations sont faites sur base de la réalité, car elles proviennent de l’expérience et ne sont pas imaginées à partir de rien. Pourquoi est-ce que Je dis que ce n’est pas l’imagination ? Parce qu’ils exposent les détails de manière claire, approfondie et systématique, et lorsqu’une personne voit et expérimente ce qui a été décrit dans ces déclarations, cela correspond exactement à ce qui a été dit. Ces déclarations ne sont-elles donc pas exactes ? (Elles le sont.) Pourtant, même avec ces déclarations exactes, il y a des gens qui sont toujours querelleurs, et ils se disputent avec Moi de cette façon. Pour quoi se disputent-ils ? Est-ce un combat mortel ? Se battent-ils pour leur vie ? Ce n’est pas ce pour quoi ils plaident, ils veulent juste rivaliser pour savoir qui en sait plus. Ils aiment juste se disputer – c’est un tempérament. Comment pensez-vous que de telles personnes devraient être traitées ? Ont-elles besoin d’être exposées et de disputer avec vous jusqu’à ce que vous soyez rougi de colère ? (Non.) Avec des gens aussi ignorants, il ne sert à rien de discuter. C’est dégradant. Laissez-les simplement être. Cela ne fera-t-il pas l’affaire ? À quoi bon discuter avec des gens aussi stupides et irréfléchis ? S’il y a un argument ou un débat parce que quelqu’un ne comprend pas une question qui touche à la vérité, c’est bien – mais n’est-ce pas ignorant de discuter de ces affaires externes ? Le tempérament des antéchrists est, principalement, celui de ne pas accepter la vérité, d’être arrogant et suffisant, d’avoir de l’aversion pour la vérité. Les antéchrists n’acceptent même pas les mots justes, les remarques et les paroles qui concordent avec les faits, et ils les rechercheront, et se disputeront et discuteront avec toi à leur sujet – et c’est pour ne rien dire de la vérité. N’est-ce pas un tempérament ? (Ça l’est.) De quel tempérament s’agit-il ? L’arrogance. Ce qu’ils veulent dire, c’est : « Tu comprends juste un peu la vérité, n’est-ce pas ? Tu ne comprends pas les affaires externes, alors Tu aurais raison de m’écouter à leur sujet ! N’ouvre pas la bouche – ça me met vraiment en colère. Ce n’est pas à Toi de gérer ces affaires externes. Avec Tes responsabilités, en disant la vérité, je T’écouterai – mais arrête de parler de ces questions externes. Tais-Toi, pourquoi Tu en parles ! Tu n’as jamais rencontré ces problèmes, alors que sais-Tu ? Tu dois m’écouter ! » En tout, ils demandaient aux gens de les écouter. Ils souhaitent conquérir tout le monde, sans même chercher à voir de qui il s’agit. De quel tempérament s’agit-il ? Y a-t-il une raison à tout cela ? (Non.)
Dites-Moi, est-ce qu’il est facile ou difficile de s’entendre avec Moi ? (Facile.) Comment le savoir ? Pourquoi dites-vous que c’est facile ? Je vais vous le dire, et vous pouvez voir si Mon explication de Moi-même est juste et exacte. Premièrement, Ma rationalité est normale. Comment expliquer cette normalité ? Cela signifie que J’ai des normes précises et une perspective précise en ce qui concerne toutes les questions. De cette façon, Mes opinions et Mes déclarations concernant chaque sorte de chose, et Mon attitude envers chaque sorte de chose, ne sont-elles pas toutes normales ? (Si.) Elles sont normales – au moins, elles sont en accord avec les normes d’une humanité normale. Deuxièmement, la vérité Me contient. Ce sont deux choses que la rationalité normale possède à tout le moins. Et il y a un autre aspect à cela : la raison pour laquelle vous pouvez voir qu’il est facile de s’entendre avec Moi est que J’ai la bonne mesure et que Je connais les normes en ce qui concerne les personnes de chaque type. J’ai la bonne mesure, ainsi que les voies et moyens pour la façon dont Je traite les dirigeants et les frères et les sœurs ordinaires, pour la façon dont Je traite les personnes âgées et les jeunes, pour la façon dont Je traite les personnes arrogantes qui sont susceptibles de se mettre en valeur, et pour la façon dont Je traite ceux qui ont et n’ont pas de compréhension spirituelle, et ainsi de suite, pour chaque type de personne. Quelle est principalement cette juste mesure, et ces voies et moyens ? Ils suivent les vérités-principes, ne font pas les choses au hasard. Supposons, par exemple, que Je t’estime pour être un étudiant universitaire, ou que Je te méprise pour être un paysan – ce ne sont pas les principes. Alors, comment puis-Je saisir ces principes ? En regardant le calibre et l’humanité d’une personne, le devoir qu’elle fait, sa foi en Dieu et son attitude envers la vérité. Je considère les gens en fonction d’une combinaison de ces différents aspects. Il y a encore une autre raison pour laquelle vous Me voyez comme quelqu’un avec qui il est facile de s’entendre, beaucoup de gens ont peut-être des notions à cet égard et ils sont incapables de l’accepter. Ils pensent : « Tu as un statut, mais pourquoi ne ressembles-Tu pas à quelqu’un avec un statut ? Tu n’affirmes pas Ton statut ; Tu n’es pas tout grand et puissant. Dans l’esprit des gens, ils pensent qu’ils devraient T’admirer – mais pourquoi est-ce que lorsque les gens Te voient, ils trouvent qu’il est plus approprié de Te considérer du même niveau, ou même de Te mépriser ? » Et donc, ils pensent qu’il est facile de s’entendre avec Moi, et ils se détendent. N’est-ce pas le cas ? C’est ainsi. Ils pensent par conséquent que Je n’ai rien à craindre, et que s’entendre avec Moi de cette façon est formidable. Dites-Moi, si Je devais vous réprimer à tout bout de champ, et vous émonder sans raison valable, et vous réprimander et vous sermonner toute la journée avec une expression sombre sur le visage, les choses ne seraient-elles pas alors différentes ? Vous penseriez : « Tu es si difficile à vivre, avec Ta personnalité excentrique et Tes sautes d’humeur ! » Il ne serait pas alors facile de s’entendre avec Moi. C’est précisément parce que Je vous semble normal dans tous Mes aspects, dans Ma personnalité, dans Mes plaisirs et Mes colères, dans Mes peines et Mes joies, et parce que dans votre esprit, vous pensez que les personnes ayant une position et un statut élevés devraient être hautes et puissantes, mais ce que vous voyez maintenant de Moi est tellement ordinaire – c’est précisément la raison pour laquelle vous baissez votre garde et sentez qu’il est facile de s’entendre avec Moi. D’ailleurs, trouvez-vous que J’utilise un jargon bureaucratique quand Je parle ? (Non.) Je ne le fais pas – quand il s’agit de choses que vous ne comprenez pas, Je vous aide autant que Je le peux avec tout ce que Je peux, et Je vous ridiculise rarement. Pourquoi est-ce que Je le fais rarement ? Il y a des moments où Je me sens vraiment exaspéré et Je ne peux m’empêcher de dire quelques mots qui vous ridiculisent, mais Je dois aussi considérer que vous risquez de devenir faible, et donc Je vous parle le moins possible de cette façon. Au lieu de cela, Je suis tolérant, indulgent et patient. Je vous aide autant que Je le peux, là où Je le peux, et Je vous enseigne autant que Je le peux, de ce que Je peux faire – c’est ce que Je fais dans la plupart des circonstances. Et pourquoi cela ? C’est parce que la majorité des gens ont davantage de lacunes quand il s’agit de questions de témoignage pour Dieu et de compréhension de la vérité – mais quand il s’agit de manger, de boire et de s’amuser, ou de vêtements et de maquillage, ou de jeux, ou de telles questions mondaines, les gens savent tout sur ces choses. D’un autre côté, en ce qui concerne les questions de croyance en Dieu et les questions qui touchent à la vérité, les gens sont ignorants ; quand il s’agit de témoigner pour Dieu et d’utiliser leurs compétences professionnelles, leurs forces et leurs dons pour faire un peu de travail de témoignage pour Dieu, pour produire un travail qui témoigne pour Dieu, ils n’ont rien à dire. Que dois-Je faire, quand Je vois une telle situation ? Je dois vous enseigner, vous former petit à petit et vous enseigner du mieux que Je le peux. Je sélectionne les choses que Je comprends, que Je connais et que Je peux faire, et Je vous les enseigne, encore et encore, jusqu’à ce qu’un travail soit terminé. Je vous enseigne tout ce que je peux, autant que Je le peux – et en ce qui concerne les choses que Je ne peux pas enseigner ou qui ne peuvent pas être apprises, quoique vous en compreniez, c’est ce que vous comprenez. Laissez cela suivre sa course naturelle. Je ne te forcerai pas à comprendre ces choses. En fin de compte, il y en a qui disent : « Ceux d’entre nous qui comprennent une profession ont cédé à un profane. Nous, qui comprenons cette profession, n’avons rien pu faire, et cette personne qui ne connaît rien à cette profession doit toujours nous l’apprendre. C’est tellement humiliant ! » Ce n’est pas humiliant. Toute l’humanité échoue quand il s’agit de témoigner pour Dieu en tant que croyant – si les gens étaient nés capables de témoigner pour Dieu, alors personne ne s’opposerait à Lui ! C’est parce que les gens sont les semblables de Satan et ont une nature-essence hostile à Dieu qu’ils sont incapables de faire des choses qui impliquent la vérité et le témoignage de Dieu. Alors, que doivent donc faire les gens ? Tant qu’ils déploient leurs plus grands efforts pour faire ce qu’ils peuvent, cela suffit. Si J’ai de l’énergie pour offrir de l’aide et du coaching, J’aide. Si Je n’en ai pas, ou si Je suis occupé avec d’autres choses et que Je ne peux pas prendre le temps, alors vous faites ce que vous pouvez. C’est conforme aux principes, n’est-ce pas ? C’est la seule façon de faire. Je ne vous force pas à aller au-delà de vos capacités. C’est inutile – cela ne peut pas être fait. En fin de compte, les gens pensent : « Il est assez facile de s’entendre avec Toi et Tes exigences sont faciles à satisfaire. Tu nous dis ce qu’il faut faire, et nous ferons ce que Tu dis. » Certaines personnes peuvent être émondées à l’occasion. La plupart d’entre elles repartent de cette amende, avec la compréhension correcte. Quelques personnes abandonnent leur travail et quelques-unes causent des perturbations en secret, ne font pas d’effort pour faire leur devoir et ne font pas de travail réel. De telles personnes sont ensuite remplacées. Si tu n’es pas disposé à faire le travail, alors démissionne. Pourquoi dois-tu être celui qui est utilisé pour cela ? Nous te remplacerons – c’est tout ce qu’il y a à faire. Simple, n’est-ce pas ? Si à l’avenir, ces personnes devaient se repentir, changer et bien faire leur travail, on leur donnera une autre chance – et si elles causent toujours des interruptions et des perturbations de la même manière, elles ne seront plus jamais utilisées. Je ferais mieux d’utiliser quelqu’un d’obéissant. À quoi cela sert d’être empêtré avec des gens de ce type tout le temps, n’est-ce pas ? Ce serait dur pour eux et épuisant pour Moi. Il y a des principes sur la façon dont Je gère ces choses, et il y a aussi des principes sur la façon dont Je m’entends avec les autres. Une autre raison pour laquelle il est facile de s’entendre avec Moi c’est parce que dans cette situation, Je ne leur demande jamais des choses trop exigeantes. Fais tout ce que tu peux ; pour les choses que tu ne peux pas faire, Je te les expliquerai, une par une. Fais ce que tu peux de tout ton cœur ; si tu ne le fais pas de tout ton cœur, Je ne te forcerai pas à le faire. Pour le reste, c’est-à-dire la façon dont tu crois en Dieu, c’est ta propre affaire. Si tu ne gagnes rien à la fin, tu n’auras personne à blâmer. Que penses-tu de Mes principes concernant la façon dont Je traite les gens ? As-tu l’impression qu’ils sont quelque peu indulgents ? Ce n’est absolument pas le cas – la façon dont Je gère cela est en parfait accord avec les principes. Quels sont ces principes ? Écoutez-Moi, et vous comprendrez.
Moi, Dieu incarné, Je travaille au sein de l’humanité – puis-Je remplacer entièrement le Saint-Esprit, ou l’Esprit de Dieu, en réalisant mon œuvre ? Non, Je ne le peux pas. Donc, Je n’essaie pas d’aller au-delà de Mes limites, en disant que J’aimerais remplacer Dieu au ciel et réaliser toute Son œuvre. Ce serait Me magnifier – Je n’en suis pas capable. Je suis une personne ordinaire. Tout ce que Je peux faire, Je le fais. Je fais ce que Je peux bien faire ; Je le termine, et Je le fais correctement. J’y ai mis tout Mon cœur et toutes Mes forces en le faisant. Cela suffit. C’est le travail qui M’incombe. Pourtant, si Je ne pouvais pas comprendre cela, et que Je me sentais défiant envers ce fait, et que Je ne le reconnaissais pas, mais que J’essayais toujours de faire semblant d’être génial, essayant toujours de briller, essayant toujours de montrer des compétences incroyables, cela serait-il en accord avec les principes ? Non. Pensez-vous que Je comprends cette affaire ? Je comprends trop bien ! La portée de ce que la chair de Dieu peut dire et du travail que la chair peut faire est la portée du travail qu’Il fait dans la chair. Au-delà de cette portée, les gens font l’expérience en privé de la discipline et de l’émondage de Dieu, et de l’illumination et de la direction du Saint-Esprit, et même de Dieu accordant des visions, et de celui que Dieu perfectionnera et de celui qu’Il éliminera, et de la vision et de l’attitude que Dieu a à l’égard de tous les hommes – toutes ces choses sont les affaires de Dieu. Si vous êtes en contact étroit avec Moi, Je peux aussi voir ces choses – mais peu importe à quoi Je ressemble, combien d’entre elles puis-Je voir ? Il y a une limite au nombre de personnes que Je peux voir et au nombre avec lequel J’entre en contact – comment cela pourrait-il inclure chaque personne ? Ce serait impossible. Ne devrais-tu pas être clair à ce sujet ? Dis-Moi, suis-je clair à ce sujet ? Je le suis. C’est ce qu’une personne normale devrait faire. Je ne pense pas aux choses qui ne sont pas celles qui M’incombent. Les gens en sont-ils capables ? Ils ne le sont pas – ils n’ont pas cette rationalité. Certaines personnes Me demandent : « N’es-Tu pas toujours en train de regarder secrètement les choses ? Ne Te demandes-Tu pas toujours qui fait quoi, et ce qu’ils disent de mal sur Toi en privé, ou qui porte secrètement un jugement sur Toi et fait des recherches sur Toi ? » Je vais être honnête avec toi : Je ne me suis jamais renseigné sur ces choses. Qui est en charge de ces choses ? L’Esprit de Dieu l’est – Dieu scrute tout ; Il scrute toute la terre et Il scrute le cœur des gens. Si tu ne crois pas à l’examen minutieux de Dieu, alors ta raison n’est-elle pas anormale ? (Si, elle l’est.) Ensuite, tu n’es pas quelqu’un qui croit vraiment en Dieu, tu adoptes le mauvais positionnement, et un gros problème se produit. J’exige que vous croyiez en Dieu, et J’y crois absolument. Donc, Mes paroles et Mes actes sont construits sur cette base. Je ne fais pas les choses au-delà de Mes limites ; Je ne fais pas les choses au-delà de la portée de Mes capacités. N’est-ce pas un tempérament ? (Ça l’est.) Certains ne le voient pas comme ça. Ils pensent que J’ai cette identité, ce statut et ce pouvoir, alors ils se demandent pourquoi Je n’agis pas de cette façon. Ils pensent que J’ai besoin de comprendre plus de choses et de saisir plus de choses, de sorte que Je paraisse avoir plus de réputation, un plus grand statut, plus de capacités et plus d’autorité. Quelle que soit l’autorité et les capacités que Dieu Me donne, c’est ce que Je possède. Ce ne sont pas des choses pour lesquelles Je lutte, ni des choses que J’arrache. L’autorité de Dieu, Ses capacités et Sa toute-puissance ne peuvent pas être représentées par une chair insignifiante. Si tu n’es pas clair à ce sujet, alors quelque chose ne va pas avec ta raison. Si tu ne peux pas voir à travers cette affaire après de nombreuses années de croyance en Dieu, alors tu es trop stupide et ignorant. Il y a beaucoup de choses sur lesquelles Je ne pose pas de questions – mais est-ce que Je les connais dans mon cœur ? (Tu les connais.) Qu’est-ce que Je sais ? Est-ce que Je connais le nom de tout le monde ? Est-ce que Je sais depuis combien d’années chaque personne croit en Dieu ? Je n’ai pas besoin de savoir ces choses. Il Me suffit de connaître les états de chacun, ce qui manque à chacun, le degré auquel ils sont entrés dans la vie, et les vérités qu’ils doivent entendre, dont ils doivent être abreuvés, dont ils doivent être pourvus. Connaître ces choses est suffisant. N’est-ce pas ce qui M’incombe ? Savoir ce qui M’incombe – ce que Je devrais dire et le travail que Je devrais faire – n’est-ce pas de la rationalité ? (Ça l’est.) Comment une telle rationalité se produit-elle ? Si Dieu incarné n’avait même pas cette rationalité, s’Il n’avait même pas cette norme pour mesurer toutes choses et tous les événements, de quelle vérité aurait-Il alors à parler ? Si Dieu incarné devait se battre avec l’Esprit de Dieu et rivaliser avec Lui pour le statut, quelque chose n’aurait-il pas mal tourné ? Ne serait-ce pas incorrect ? Les choses pourraient-elles être comme ça ? Non – c’est quelque chose qui ne pourrait jamais arriver.
Certaines personnes s’inquiètent toujours et disent : « Est-ce que Tu te renseignes toujours sur nous et fais toujours des recherches sur nous en secret ? Dieu essaie-t-Il toujours d’évaluer ce que nous pensons de Lui et comment nous Le voyons dans nos cœurs ? » Je ne pense pas à de telles choses. Elles sont superflues ! À quoi cela sert-il de penser à ces choses ? Tout cela est sous l’examen minutieux de Dieu. Il y a une portée pour les actions de l’Esprit de Dieu, et encore plus pour les actions de Dieu incarné. Dieu incarné est Dieu, Il est l’exutoire et l’expression de la vérité, et l’œuvre qu’Il accomplit à cette étape est représentative de cette étape, pas la dernière. Dieu incarné peut uniquement réaliser l’œuvre qui se situe dans cette période et cette portée. Cette œuvre peut-elle alors être représentative de l’étape suivante ? Eh bien, nous ne savons pas ce qui se passera dans le futur. C’est l’affaire de Dieu. Je n’exagère pas. Je fais ce que Je dois faire ; Je fais les choses que Je devrais et que Je peux faire. Je ne me pousse jamais au-delà de Mes limites en disant : « Je suis tout-puissant ! Je suis génial ! » C’est l’Esprit de Dieu ; Dieu incarné ne représente qu’une expression et un exutoire pour l’œuvre que Dieu accomplit pendant cette période. La portée de Son œuvre et l’œuvre qu’Il doit accomplir ont déjà été déterminées par Dieu. Si tu dois dire : « Le Christ incarné est tout-puissant », aurais-tu raison ou tort ? À moitié vrai, à moitié faux. L’Esprit de Dieu est tout-puissant ; on ne peut pas dire que Christ est tout-puissant. On devrait dire que Dieu est tout-puissant. C’est une façon pertinente et précise de le dire, et qui correspond aux faits. Quelle rationalité dois-Je posséder ? Tout le monde dit que Je suis Dieu, Dieu Lui-même, que Je suis Dieu incarné, alors est-ce que Je crois que Je pourrais alors remplacer Dieu Lui-même, Son Esprit ? Je ne le pourrais pas. Même si Dieu M’avait donné ce pouvoir et cette capacité, Je ne pourrais pas accomplir cela. Si Je pouvais remplacer Dieu de cette manière, ne serait-ce pas une sorte de blasphème virtuel contre Son tempérament et Son essence ? La chair est tellement limitée ! Ce n’est pas ainsi qu’il faut le comprendre ; ce n’est pas sous cet angle qu’il faut aborder ce sujet, n’est-ce pas ? (Ça l’est.) Donc, parce que J’ai ces pensées, ces principes pour faire les choses, et des considérations pour faire chaque chose, Je ne ressemble pas à Dieu pour beaucoup de gens, et il y en a même qui, avant d’entrer en contact avec Moi, nourrissent des fantasmes, des faits imaginaires et des notions, qui sont prudents et circonspects dans leurs actions, et puis dès qu’ils Me rencontrent, ils pensent : « C’est juste une personne, n’est-ce pas ? Il n’y a rien d’effrayant en Lui. » Après cela, ils se laissent aller – ils deviennent audacieux, et ils osent se déchaîner en faisant le mal. Comment s’appellent-ils ? Des incrédules. Si tu ne crois qu’en Dieu incarné, et non en l’Esprit de Dieu, alors tu es un incrédule ; et si tu ne crois qu’en l’Esprit de Dieu, et non en Dieu incarné, alors tu es également un incrédule. Dieu incarné et l’Esprit de Dieu sont un – Ils sont un. Ils ne se battent pas entre eux, encore moins sont-Ils séparés l’un de l’autre, et encore moins chacun est Sa propre entité. Ils sont un – c’est juste que Dieu incarné doit aborder Son œuvre et Dieu du point de vue de la chair. C’est l’affaire de la chair, et cela n’a rien à voir avec vous – c’est l’affaire de Christ, et cela n’a rien à voir avec l’humanité. Tu ne peux pas dire : « Alors Tu penses aussi que Tu es une personne ordinaire. D’accord, nous sommes alors le même type de personnes – nous sommes tous pareils. » Est-ce correct de dire ça ? C’est une erreur. Certaines personnes disent : « Il semble assez facile de s’entendre avec Toi, alors laissons tomber les formalités. Traitons-nous les uns les autres comme des copains, comme des amis ; soyons les confidents les uns des autres – devenons amis les uns avec les autres. » Est-ce que c’est acceptable ? Ces gens n’ont pas de compréhension spirituelle ; ce sont des incrédules. Plus tu partages tes sentiments avec eux et leur parles de la vérité, des faits et de la vérité-réalité, plus ils te méprisent – ces gens sont des incrédules. Plus tu parles de mystères profonds, et dis des phrases d’accroches, des doctrines et des abstractions, et plus tu affirmes ton statut, fais étalage et plus tu te mets en valeur, plus ils t’estiment – ce sont des incrédules. Quand ils voient quelqu’un qui a des principes et qui est mesuré dans ses actions, dont les actions sont en accord avec la vérité, qui peut aborder les choses positives et négatives avec des limites et un discernement clairs – plus cette personne est comme ça, plus ils la méprisent et ils ne font pas attention à elle – ce sont des incrédules.
Lorsque J’entre en contact avec des gens et interagis avec eux, peu importe qui ils sont ou la durée de l’interaction, l’un d’entre eux pense-t-il : « Il essaie toujours de me contrôler, Il prend en charge toutes les affaires de ma maison, Il essaie toujours de me conquérir » ? Je ne te conquiers pas ! À quoi cela servirait-il ? Lis les paroles de Dieu par toi-même, médite-les et pénètre-les lentement. Si tu es quelqu’un qui poursuit la vérité, le Saint-Esprit œuvrera sur toi, et Dieu aura des bénédictions et des conseils pour toi. Si tu n’es pas quelqu’un qui poursuit la vérité, si tu es toujours défiant envers tout ce que Je dis, et que tu ne veux pas l’entendre, et que tu ne l’acceptes pas, alors à la fin, tu seras toujours révélé, et les choses iront toujours mal quand tu agiras – tu n’auras pas la direction de Dieu. Comment cela se passe-t-il ? (Dieu scrute tout.) Ce n’est pas seulement que Dieu scrute tout. Passe par là et fais l’expérience de cela par toi-même. Quand Je dis quelque chose, que les gens soient d’accord ou non avec cela, ou qu’ils l’acceptent ou non, le Saint-Esprit soutient-Il cela ou ne s’en soucie-t-Il pas ? (Il s’en soucie.) Le Saint-Esprit s’en soucie certainement et Il ne le compromettra absolument pas. Il serait juste de votre part de vous en souvenir. Peu importe si les gens peuvent accepter ce que Je dis ou non, il viendra un jour où les faits seront clarifiés, et en un coup d’œil, tout le monde dira : « Ce que Tu as dit était juste depuis le début ! Tu as dit cela il y a longtemps – pourquoi n’en avais-je aucune idée ? » Peu importe si tu crois à l’époque que Mes paroles venaient de Mon imagination, de Mon esprit ou de la connaissance – un jour, après avoir expérimenté certaines choses, tu penseras : « Ce que Tu as dit est la vérité depuis le début ! » Et comment serais-tu parvenu à cette compréhension ? Par l’expérience. Si tu es capable d’atteindre cette connaissance, est-ce que ce sera par le biais d’une analyse mentale ? Absolument pas ; tu auras été conduit par le Saint-Esprit – ce sera l’œuvre de Dieu. Les incroyants passent toute leur vie avec un peu de connaissance sur certaines des règles pour les cieux et la terre et toutes choses, mais peuvent-ils gagner la vérité ? (Non.) Alors, que leur manque-t-il ? (Ils n’ont pas l’œuvre du Saint-Esprit.) Correct. Ils n’ont pas l’œuvre du Saint-Esprit – c’est ce qui leur manque. Donc, peu importe comment tu Me considères et M’évalues en tant que personne, et peu importe comment tu traites les mots que Je dis et les choses que Je fais, cela doit finalement avoir son résultat. Dieu agira, et Il révélera si tes choix étaient bons ou mauvais, si ton attitude était bonne ou mauvaise, et si quelque chose s’est mal passé avec ton point de vue. Dieu soutient l’œuvre de Sa chair. Alors pourquoi Dieu ne soutient-il pas les autres ? Pourquoi ne soutient-Il pas les antéchrists ? C’est parce que l’Esprit et la chair sont un ; Ils ont la même source. En fait, ce n’est pas une confirmation – c’est-à-dire qu’une fois que tu en auras fait l’expérience jusqu’à la fin, qu’il s’agisse de paroles prononcées par Dieu incarné ou de celles qui te sont venues de l’illumination du Saint-Esprit, elles seront cohérentes. Elles ne se contrediront jamais, elles seront en accord. En avez-vous la confirmation ? Certaines personnes l’ont, tandis que d’autres ne sont pas encore arrivées à ce stade de leur expérience et n’en ont pas la confirmation. Cela signifie que leur foi n’a pas encore atteint ce point ; elle est encore très petite. En d’autres termes, lorsque ta croyance atteindra un certain degré, un jour viendra soudainement où tu sentiras qu’une phrase ordinaire, prononcée par cette chair ordinaire, une phrase que tu n’as pas trouvée très impressionnante lorsque tu l’avais entendue, est devenue ta vie. Comment sera-t-elle devenue ta vie ? Tu compteras dessus, sans le savoir, dans tes actions. Elle sera devenue un guide pour ton quotidien. Et quand tu n’auras pas de chemin, cette phrase deviendra ta réalité, et cela deviendra un objectif qui te montre le chemin ; lorsque tu souffres, cette phrase te permettra de sortir de la négativité et de comprendre quel est ton problème. Après une telle expérience, tu verras qu’aussi ordinaire que soit cette phrase, il y a du poids et de la vie dans ses mots – que c’est la vérité ! Si tu ne te concentres pas sur la poursuite de la vérité et que tu n’aimes pas la vérité, tu peux condamner Dieu, Son incarnation et les vérités qu’Il exprime. Si tu es quelqu’un qui poursuit la vérité, alors un jour viendra dans ton expérience où tu diras : « Dieu est assez facile à vivre. Il est assez facile de s’entendre avec Dieu incarné » – mais personne ne dira : « Je m’entends avec Lui comme s’Il était une personne. » Comment cela se fait-il ? Parce que ton expérience des paroles du Christ et l’œuvre que le Saint-Esprit fait en toi lorsque tu ne Le vois pas au cours de ta vie quotidienne sont les mêmes. Qu’est-ce que ce « même » évoquera en toi ? Tu diras : « Dieu a adopté un extérieur ordinaire, commun, l’image d’une chair, de sorte que les gens ont négligé Son essence. C’est précisément parce que les gens ont des tempéraments corrompus qu’ils ne peuvent pas voir le côté de Dieu qui est Son essence. Ils voient juste le côté que l’homme est capable de voir. Les gens manquent vraiment de vérité ! » N’est-ce pas ainsi ? (Ça l’est.) C’est comme ça. Avec un peu de travail, par exemple, s’il y a de nombreux aspects que Je ne peux pas faire, beaucoup de gens sont sûrs de développer des notions. Mais quand Je suis capable de faire une partie de chaque aspect de l’œuvre, tout le monde est un peu plus calme, et ils sont un peu réconfortés dans leur cœur : « D’accord. Il ressemble à Dieu – c’est tout ce que je peux dire. Il ressemble à Dieu incarné, Il ressemble à Christ. C’est probablement Christ. » C’est la seule sorte de définition que les gens ont. Pourtant, si Je partageais seulement la vérité et exprimais certaines des paroles de Dieu, et ne faisais pas plus que cela – si Je ne donnais aucun conseil pratique sur une œuvre et que Je n’étais pas en mesure de donner des conseils pratiques, alors cela diminuerait le respect des gens pour cette chair et le poids qu’ils Lui attribuent. Les gens croient que la chair doit posséder certaines capacités et certains talents. Est-ce, en fait, du talent ? Non. Dieu peut accorder aux gens toutes sortes de talents, de dons et de capacités, alors dites-Moi, Dieu Lui-même a-t-Il ces choses ? Il en a à revendre ! Donc, il y a des gens qui ne peuvent pas résoudre ce casse-tête et qui disent : « Comment peux-Tu me demander de chanter alors que Tu ne peux pas chanter Toi-même ? N’est-ce pas un profane qui donne des instructions aux pros ? Cela ne va-t-il pas à l’encontre des principes ? » Je vais vous dire, Je suis l’exception. Pourquoi cela ? Si vous ne pouvez pas bien faire quelque chose, Je dois tendre La main pour vous aider ; si vous pouvez faire quelque chose, Je suis d’accord pour ne pas intervenir, Je ne veux pas intervenir – cela Me fatiguerait. Si vous pouvez bien faire quelque chose, pourquoi ai-Je besoin de tendre la main pour vous aider ? Je ne me mets pas en valeur ici, et Je ne débite pas d’idées nobles. Je veux juste vous enseigner, dans le domaine des compétences professionnelles et dans le domaine des vérités-principes. Une fois que vous aurez tous appris des compétences et compris les principes, ce sera un grand poids en moins sur Mon cœur, car ces choses sont en dehors du travail qu’il M’incombe de faire. Certains disent : « Si ce n’est pas le travail qui T’incombe, pourquoi le fais-Tu ? » Il faut le faire, et les gens sont loin d’être à la hauteur de la tâche. Si Je ne donnais pas de conseils comme Je le fais, les travaux réalisés n’auraient alors rien de spécial, et témoigner pour Dieu donnerait des résultats médiocres. Si Je n’avais pas d’œuvres significatives à montrer, Je serais un peu négligent et mal à l’aise aussi, alors J’œuvre un peu, tant que Mon énergie et Mon état corporel le permettent. Pourquoi ? Il y a plusieurs considérations. Lorsque toute l’humanité voit les choses que les gens ont faites, et les absorbe, les perspectives, les opinions et les capacités de compréhension des gens ne diffèrent que par la durée de leur croyance, leur expérience et leur calibre, mais leurs points de départ sont tous fondamentalement les mêmes. Leurs points de départ sont les expériences qu’ils ont des vérités-réalités sur la base de leur compréhension de la vérité. Ce sont les choses que l’humanité peut faire. Je ne pouvais pas faire des choses ou produire des œuvres du point de vue d’une personne ordinaire. Alors quelle perspective dois-Je prendre ? Celle de la chair ? Je ne pouvais pas le faire non plus. Ce serait inapproprié, tu ne penses pas ? J’adopterais, bien sûr, la perspective de Dieu et de Son œuvre depuis l’intérieur de la chair, pour dire ces paroles, faire ces choses et exprimer ces points de vue. La valeur de ces choses peut-elle être mesurée avec de l’argent parmi l’humanité ? (Non.) Ce n’est pas possible. C’est parce que ces choses, une fois transformées en œuvres achevées, sont des choses qui dureront éternellement pour l’humanité. Ces œuvres ordinaires dureront aussi pour toujours, bien sûr. Mais puisque ces œuvres dureront éternellement, et dans l’avenir, et apporteront une contribution à toute l’humanité, qu’elles soient un guide pour croire en Dieu, ou des provisions et de l’aide, Je devrais faire quelques travaux plus lourds, n’est-ce pas ? C’est pourquoi Je dois dire des mots et produire des œuvres dans une perspective que l’humanité ne peut pas accepter. Pourquoi est-ce que Je fais cela ? Pour augmenter la renommée de l’Église. Ce motif est-il correct ? (Il l’est.) Dites-moi, est-il avantageux pour témoigner de Dieu si la renommée de l’Église est accrue ? (Oui.) Cela le favorise-t-il ou le freine-t-il ? (Cela en fait la promotion.) C’est sûr – cela en fait définitivement la promotion. Lorsque certains groupes non-croyants et religieux voient ces travaux, ils sont étonnés de la qualité de réalisation de ces films et souhaitent toujours rencontrer le cinéaste des coulisses. Je ne rencontrerai pas ces gens. Je n’ai pas le temps de rencontrer ces gens, et Je ne sais pas quel serait le but de leur rencontre avec Moi. Alors à quoi servirait-il que Je les rencontre ? Si les gens qui voient ces films peuvent accepter la vérité, alors c’est suffisant, et s’ils sont prêts à enquêter sur la vraie voie, c’est encore mieux. Ce n’est pas nécessaire qu’ils Me rencontrent. En bref, Je fais quelques œuvres importantes, de sorte que lorsque l’humanité voit ces choses, cela lui soit un peu plus bénéfique. Est-ce une bonne ou une mauvaise chose de laisser ces choses à l’humanité ? (Une bonne chose.) Cela vaut la peine ; cela vaut la peine de le faire.
C’est Ma façon de M’entendre avec vous. La relation que J’ai avec vous est celle que vous voyez et ressentez. Alors, quel genre de relation Dieu a-t-Il avec vous ? Peut-on la ressentir ? C’est pareil. N’allez pas penser : « Dieu incarné est une personne ; Il est facile de s’entendre avec Lui. Mais Dieu au ciel ne l’est pas, avec Sa majesté et Son courroux – Il est terrifiant ! » Dieu est comme Je suis. Il ne te conquerrait pas ou ne te contrôlerait pas avec une remarque ou une méthode, ou avec la force. Il ne ferait pas ça. Il s’entendrait avec vous de la même manière que vous sentez que Je m’entends avec vous : Je vous enseigne tout ce que Je peux, et Je vous permets de comprendre tout ce que Je peux. Quant aux choses que vous ne pouvez pas comprendre, Je ne les utilise pas pour vous endoctriner de force. Certains diront peut-être : « Tu dis que Tu ne nous endoctrines pas par la force – eh bien, que fais-Tu en prêchant la vérité tout le temps ? » Est-ce de l’endoctrinement ? C’est ce qu’on appelle subvenir à vos besoins – il ne s’agit pas de vous forcer à progresser, c’est de l’abreuvement. L’abreuvement est approprié ; c’est une chose positive. Certains diront : « La conquête des gens par les antéchrists n’est-elle pas la même que celle de Dieu ? » (Elle ne l’est pas.) En quoi ne l’est-elle pas ? Le même mot est utilisé pour la conquête des gens par les antéchrists et la conquête des gens par Dieu ; quelle est la différence essentielle entre ces deux usages du mot ? Pouvez-vous l’expliquer clairement ? Si vous ne pouvez même pas faire cela, votre compréhension de la vérité est tout simplement trop pauvre. (La conquête des gens par Satan est un contrôle forcé, alors que celle de Dieu est la mise à disposition de la vérité – c’est dire aux gens les vérités-principes, qu’ils peuvent ensuite pratiquer, et ainsi gagner la vie.) Alors, Je vous demande : Satan contrôle et conquiert les gens, mais a-t-il la vérité ? (Non.) Qu’est-ce que Satan ? Sur quels motifs conquiert-il les gens ? En d’autres termes, qu’est-ce qui qualifie Satan pour conquérir les gens et essayer de les gagner ? Satan n’a rien du tout. Alors, qu’utilise-t-il pour conquérir les gens ? Que peut-il apporter aux gens, une fois qu’il les a conquis ? Il ne peut que te corrompre ; il ne peut que jouer avec toi et te détruire, et à la fin, quand il aura fini de te détruire, il t’enverra en enfer. Quel est son type de conquête et de contrôle ? C’est tout simplement de l’abus. Son but en te contrôlant et en te conquérant est de t’empêcher de te soumettre à Dieu et à la vérité, et de faire en sorte que tu te soumettes à lui. Pour Satan, c’est mal de ta part de te soumettre à Dieu, et se soumettre à lui est juste. Si tu te soumets à lui, et tu es contrôlé et conquis par lui, tu auras quitté Dieu et L’auras rejeté complètement. Alors comment la conquête des gens par Dieu fonctionne-t-elle ? Dieu est Lui-même la vérité ; Il est la réalité de toutes les choses positives, la source de toutes les choses positives, la source de la vérité. Que sont donc les gens ? Les gens sont du type corrompu par Satan. Ils n’ont pas la vérité. Ainsi, Dieu doit juger et châtier les gens, et essayer de les épurer, en exprimant la vérité et en exposant les tempéraments corrompus de l’homme, afin que les gens puissent comprendre Ses paroles, Le reconnaître comme le Créateur et eux-mêmes comme Ses êtres créés, et venir devant Lui, se prosterner devant Lui et accepter Sa souveraineté et Ses arrangements. Tout cela n’est-il pas conforme à la vérité ? (Ça l’est.) Alors, quelle est cette conquête ? C’est gagner des gens, c’est le salut ; c’est une chose positive. Cela ne te fait pas de mal. N’y a-t-il pas une différence entre cela et la conquête de Satan ? Il est approprié pour Dieu de conquérir les gens. Il est la vérité, la source de toutes les choses positives. Dire qu’Il « conquiert l’humanité » est une façon trop appropriée de le dire ! L’humanité n’a pas la vérité, elle a été profondément corrompue par Satan et transformée en son semblable. C’est pourquoi les gens ne se soumettent pas à Dieu, Le renient et Le rejettent. Que faut-il faire à ce sujet ? Dieu doit exprimer la vérité et utiliser les méthodes de châtiment et de jugement pour amener les gens à comprendre qui est Dieu, qui est le Créateur, qui sont les êtres créés et qui est Satan, et les amener à reconnaître le Seigneur et à revenir à Lui, à reconnaître le Créateur et à se reconnaître comme Ses êtres créés en Sa présence. C’est ce que signifie la conquête. Ceux qui sont conquis par Dieu comprennent-ils la vérité, ou ne la comprennent-ils pas ? (Ils la comprennent.) Et les gens conquis par Satan – que gagnent-ils ? Ils ne comprennent aucune vérité, et ils fuient, trahissent et rejettent Dieu, ont des notions à Son sujet et suivent même Satan et les antéchrists. Ils peuvent même porter un jugement sur Dieu, se rebeller contre Lui et Le maudire, refusant de reconnaître Sa souveraineté, et encore moins de s’y soumettre. Ces êtres créés sont-ils acceptables ? (Non.) Ils sont l’exact opposé des gens conquis par Dieu ; l’effet est l’inverse de la conquête des gens par Dieu.
Si quelqu’un tel qu’un antéchrist a un statut, et qu’il va quelque part où les gens ne savent pas qu’il est un dirigeant, en sera-t-il heureux ? Non. Où qu’il aille, il utilisera tous les moyens à sa disposition pour dire à tout le monde : « Je suis le dirigeant ; préparez-moi à manger. Je dois manger quelque chose de bon ! » Que diriez-vous de Mon point de vue sur le statut ? (Cela ne vous intéresse pas.) Comment ce manque d’intérêt se manifeste-t-il ? Quand Je vais quelque part, Je dis aux gens là-bas autant que possible de ne pas répandre librement la nouvelle ou de faire connaître Mon identité aux gens. Pourquoi fais-Je cela ? Parce que quand les gens le savent, c’est une vraie douleur. S’ils ne savent pas, ils peuvent Me dire un peu de ce qu’ils ont dans le cœur ; c’est une douleur une fois qu’ils le savent – ils se lamentent avec Moi. Dites-Moi, ne serais-Je pas seul, sans quelqu’un qui Me parlerait de son cœur ? Je fais de mon mieux pour que les gens ne le sachent pas, afin qu’ils puissent Me traiter comme si J’étais une personne ordinaire et Me dire ce qu’ils veulent Me dire. C’est tellement agréable pour les gens de se sentir libres et libérés, pour Moi de ne pas toujours les attacher, et pour eux de ne pas toujours être aussi respectueux en Ma présence. Ils n’ont pas besoin d’agir comme ça ; Je n’aime pas ça. Ceux qui ne comprennent pas la vérité pensent : « Tu aimes sûrement cela, alors c’est comme cela que Je vais Te traiter. » Quand Je vois des gens comme ça, Je me cache. Quand Je vois quelqu’un qui s’incline et gratte tout le temps, Je me cache, aussi vite que possible. Je ne veux absolument pas être en contact avec de telles personnes – c’est trop compliqué, trop de problèmes ! Les antéchrists, cependant, sont différents. Ils espèrent gagner le respect des gens, recevoir un traitement spécial partout où ils vont. Et qu’espèrent-ils encore plus ? Que tant qu’ils sont là, les gens sous leur direction obéiront complètement à leurs ordres, et leur obéiront sans compromis, jusqu’à l’absolu ; puis ils pensent : « Regarde – que penses-tu des soldats que je dirige, de l’équipe que je dirige ? Ils font tous ce que je dis, docilement. » Ils ressentent un sentiment particulier d’accomplissement. Ils entraînent les gens à être comme des marionnettes, à être comme des esclaves, sans pensée indépendante, ni opinions propres, ni points de vue ; ils rendent chacun d’eux insensible et lent d’esprit. Les antéchrists se sentent alors joyeux et heureux au fond de leur cœur, sentant que leur travail a obtenu des résultats, que leurs désirs et leurs ambitions ont été réalisés. Si les choses ne sont pas comme ça, ils sont vraiment attristés : « Pourquoi les gens ne font-ils pas simplement ce que je dis ? Quelle méthode dois-je utiliser pour les amener à m’obéir ? Très bien – si tu ne sais pas que je suis génial, je vais juste devoir te montrer ! J’ai un diplôme d’études supérieures ; j’emporte mon diplôme avec moi tous les jours, pour que tu le voies. J’ai réussi le test d’anglais majeur de huitième année et j’étais à la tête du syndicat étudiant. Vu que vous ne me comprenez pas très bien, je vais me mettre un peu en avant pour vous ! » Chaque fois qu’ils discutent du travail, ils disent : « Quelles que soient les pensées que vous avez tous, dites-les ; exprimez librement vos opinions – ne soyez pas contraints par moi. » Et ainsi, les gens là-bas commencent à exprimer leurs points de vue. Une fois qu’ils l’ont fait, cette « personne supérieure » avec un diplôme d’études supérieures dit : « Vos opinions ne sont pas bonnes. Elles sont toutes ordinaires, ce sont toutes des opinions de gens ordinaires. Je dois vraiment intervenir – regardez : vous ne pouvez pas faire le travail ! Je ne veux pas entreprendre ce travail, en fait, mais si je n’étais pas là, vous ne seriez vraiment pas en mesure d’assumer ce fardeau, alors j’ai besoin de donner un coup de main. J’ai réfléchi à cette question. Voici comment nous allons gérer cela. Aucune des astuces que vous avez mentionnées ne fonctionnera ; je vais vous en donner une meilleure. C’était ce que les arrangements de travail nous obligeaient à faire dans le passé – à partir de maintenant, nous ne nous en tiendrons pas à ces règlements. On ne le fera plus comme ça. » Certaines personnes disent : « Si nous n’agissons pas conformément aux arrangements de travail, cela causera une si grande perte à la maison de Dieu. » Ils répondent : « N’y pensez pas trop – la maison de Dieu se souciera-t-elle de cette petite somme d’argent ? Concentrons-nous sur les résultats – ce sont eux qui comptent. À partir de maintenant, fais ce que je dis. Si quelque chose ne va pas, c’est pour moi ! » Personne ne peut les dissuader. Ne débitent-ils pas simplement des idées grandiloquentes ? Quel est leur but en faisant cela ? C’est pour se mettre en valeur et rappeler à chaque personne à tout moment son existence, ainsi que son génie. En quoi sont-ils brillants ? Dans leur impénétrabilité aux gens ordinaires. Même si les antéchrists partagent le même point de vue que les autres, ils rejettent toujours ce point de vue lorsqu’il est exprimé par d’autres, après quoi ils recommencent et prennent les devants en le reformulant. Le groupe les entend et dit : « N’est-ce pas la même idée ? » Ils disent : « Identique ou pas, c’est moi qui l’ai dit. Vous n’êtes pas ceux qui l’ont dit. C’est moi qui ai pris les devants avec cette idée. » Peu importe comment ils vont et viennent avec ce qu’ils disent, leur objectif est de convaincre tout le monde, de faire savoir aux gens : « Je ne suis pas un dirigeant pour rien ; je ne suis pas le chef de groupe et la personne responsable pour rien. Je ne me contente pas de parler – je ne serais pas dans cette position sans mes talents, mes dons et mes capacités. » Si quelque chose devait arriver alors qu’ils ne sont pas là, personne d’autre ne peut faire la loi, et s’ils sont là, ce doit être eux qui font la loi. Chacun doit garder un œil sur son expression. Tout le monde ne peut que pousser un soupir de soulagement lorsqu’ils font la loi ; s’ils ne le font pas, alors tout le monde se sent anxieux. S’ils ne sont pas autorisés à faire la loi, il ne sera pas possible de résoudre la tâche sous la main. N’ont-ils pas un but en faisant cela ? Ils se disent parfois : « Est-ce que ce que je fais est bien ? Je ferais mieux de ne pas faire ça – je me ridiculise assez. N’est-ce pas ainsi qu’agissent les antéchrists ? Ça ne marchera pas ; ma fierté est ce qui compte. « Antéchrist » ? Le Supérieur ne m’a pas condamné, donc je n’en suis pas un ! » Et ils continuent à agir comme ils l’ont fait. Parfois, ils savent très bien que ce qu’ils font viole les arrangements de travail et les vérités-principes, qu’ils considèrent évidemment leur propre fierté et leur statut, qu’ils ont leurs propres intentions – pourtant ils continuent à faire ce qu’ils ont été, sans penser aux conséquences, encore moins un cœur craignant Dieu. N’est-ce pas un problème de tempérament ? Qu’est-ce que ce genre de tempérament les amène à faire ? Être extrêmement égoïste et se déchaîner en faisant le mal. Ne savent-ils vraiment pas dans leur cœur la bonne façon d’agir ? Ne comprennent-ils vraiment pas que ce qu’ils font viole les principes ? Ne savent-ils vraiment pas que ce qu’ils font est induire en erreur et contrôler les autres, qu’ils font le mal ? Ils savent et comprennent ces choses. Qu’ils puissent continuer à agir de la même manière, alors, signifie qu’ils n’aiment pas la vérité et ont de l’aversion pour elle. Ils rejettent tout point de vue, manière, méthode ou déclaration, tant que cela ne vient pas de leur bouche. N’est-ce pas de l’ambition ? (Ça l’est.) Il y a de l’ambition et de mauvaises intentions là-dedans. Quelles intentions malfaisantes ? Qu’est-ce qui se cache derrière ? (Demander aux gens de faire ce qu’ils disent.) Demander aux gens de faire ce qu’ils disent – ils ne peuvent absolument pas manquer un tel avantage ou une telle chance de se démarquer, ou permettre à ceux-ci de tomber aux mains de quelqu’un d’autre. À chaque fois, ce doit être eux qui prennent les décisions ; à chaque fois, ce doit être eux qui font la loi ; à chaque fois, les fruits du travail doivent être seulement les leurs, et être crédités à eux seuls. En fin de compte, ils font que tout le monde développe une tendance. Quelle tendance ? La tendance à penser que le travail ne peut fonctionner que lorsqu’ils sont dans le groupe – sans eux, c’est comme si personne d’autre ne pouvait supporter la charge. Avec cela, n’ont-ils pas atteint leur objectif ? Ces gens sont tombés sous leur contrôle. Quel est le précurseur d’être contrôlé ? Étant complètement conquis et vaincu – les antéchrists te tourmentent pour que tu t’abandonnes à eux, de sorte que tu ne connaisses pas le bien du mal, et que tu n’essayes pas du tout de les discerner ou de leur relier un aspect de la vérité, et que tu croies fermement que tout ce qu’ils font est bien, et que tu n’oses plus analyser s’ils ont raison ou tort. Ce sont les conséquences qui surviennent après que les gens ont été induits en erreur et contrôlés par des antéchrists, et juste après, ces gens suivent les antéchrists, n’est-ce pas ainsi ? (Ça l’est.) N’est-ce pas clairement une manifestation d’antéchrists qui font en sorte que les autres ne se soumettent qu’à eux, et non à la vérité ou à Dieu ? (Ça l’est.) Quels sont les motifs et les mauvaises intentions derrière tout ce qu’ils font, et quelle est la source de leurs actions, leurs voies et moyens, et même leurs déclarations ? C’est qu’ils veulent te vaincre, te discipliner, t’amener à te rendre à eux, et te montrer qui est le patron, qui est qualifié pour prendre les devants, qui a le dernier mot là-bas, et que ce n’est pas la vérité qui a le dernier mot – que personne d’autre qu’eux ne pourrait être le seigneur de ces gens, ou faire la loi, ou prendre les décisions. Tu aimerais mentionner la vérité, mais il n’y a aucun moyen pour toi de le faire. Tu aimerais soulever des opinions divergentes – mais n’y pense même pas. De quel tempérament d’antéchrists s’agit-il ? C’est de la méchanceté ; ils veulent conquérir et contrôler les gens. Peu importe que tu considères les désirs et les ambitions des antéchrists, ou leurs actions réelles, ceux-ci démontrent tous leur tempérament vicieux et leur aversion pour la vérité. Ces manières, révélations et manifestations que les antéchrists ont de conquérir et de contrôler les gens, ainsi que leurs essences, coïncident parfaitement avec le sujet principal sur lequel nous échangeons. Les antéchrists voudraient que les gens se soumettent uniquement à eux – l’implication de ceci est que les gens doivent faire ce qu’ils disent, que le faire, c’est se soumettre à Dieu. Si quelqu’un soulève une opinion divergente et dit que ce qu’il fait est contraire à la vérité, il rétorquera : « Contrairement à la vérité ? Dites-nous, quelle est la vérité ? Si tu peux l’expliquer clairement, je te céderai – mais si tu ne peux pas, alors je te mettrai dans une position embarrassante ! » Quand ils disent cela, certaines personnes ont vraiment peur, disant : « Je ne peux vraiment pas l’expliquer clairement, alors je vais juste faire ce que tu dis. » Avec cela, les antéchrists ont atteint leur but. Y a-t-il des gens qui font cela ? (Oui.) Avez-vous fait ce genre de choses ? (Non.) Les antéchrists ont cette compétence. Une personne ordinaire abandonne quand elle voit qu’elle ne peut pas persuader les autres ; elle ne possède pas cette compétence. D’une part, ils ne sont pas capables de parler et de s’exprimer de cette façon – ils ne peuvent pas bien parler et débattre. D’autre part, ils ne sont pas assez impitoyables dans l’âme. Ceux qui peuvent faire ces choses doivent posséder un tempérament malveillant en eux. Ils doivent être vicieux et suffisamment impitoyables, et ne pas se soucier des sentiments des autres. Si quelqu’un n’est pas d’accord avec eux, ils les tortureront à mort, et peu importe la cruauté avec laquelle ils le feront, leur conscience n’en ressentira aucun reproche ni conscience. Quelqu’un dirait : « Ils sont déjà assez pitoyables ; pourquoi est-ce que je leur fais faire ce que je dis ? Je vais les laisser s’en tirer – ils croient en Dieu, pas en moi. Ils peuvent simplement écouter quiconque parle d’une manière qui correspond à la vérité – peu importe de qui il s’agit. Je vais juste laisser tomber cette fois. » Les antéchrists pensent-ils de cette façon ? Non, les antéchrists n’ont absolument pas cette rationalité. Ils sont assez clairs sur leurs propres ambitions et désirs. Ils s’accrochent à eux et ne veulent pas lâcher prise, tout comme un loup qui a un mouton dans la gueule. Si tu essayes de négocier avec un loup et de l’empêcher de manger un mouton, cela fonctionnera-t-il ? Cela ne fonctionnera pas. Pourquoi pas ? Parce que c’est son tempérament. Que croit le loup ? « J’ai faim. J’aime manger des moutons. C’est vrai. Que je veuille manger les moutons ou non, tout va bien. » C’est sa philosophie, la norme et la source de ses actions. De même, lorsque les antéchrists conquièrent et contrôlent les gens, ils pensent : « Je ne suis pas Dieu. Comme c’est honteux de ma part de contrôler les gens. Si les gens viennent me discerner, comment puis-je montrer mon visage n’importe où ? » Ont-ils un tel sentiment de honte ? (Non.) Ils n’ont aucun sentiment de honte. Alors, que manque-t-il à leur humanité ? Honte, rationalité et conscience. Ces choses ne sont pas dans leur humanité. Sans ces choses, sont-ils encore humains ? Ils ne le sont pas. Tous ceux qui portent une peau humaine ne sont pas nécessairement humains – certains sont des démons, d’autres sont des cadavres ambulants et d’autres sont des animaux. Alors quel genre de chose sont les antéchrists ? Ce sont des démons ; certains d’entre eux sont de mauvais démons, et d’autres sont des esprits malfaisants. En somme, ils ne sont pas humains. C’est parce qu’ils ne possèdent pas la raison, la conscience et la honte de l’humanité normale que les antéchrists sont capables de lutter avec Dieu pour les gens et le cœur des gens. Cela montre que leur nature-essence est malveillante. Ce n’est pas justifiable pour eux de lutter avec les autres pour le statut, et encore moins de lutter avec Dieu pour le statut et pour les gens ! Cela montre d’autant plus qu’ils sont d’authentiques antéchrists, qu’ils sont des démons et des Satans.
Nous avons maintenant échangé sur les manifestations des antéchrists jusqu’au huitième point. Pouvez-vous maintenant établir des liens entre vous et les antéchrists, ainsi que les personnes qui marchent sur le chemin des antéchrists et ceux qui possèdent leur tempérament, pour voir quel genre de personne vous êtes ? (Oui.) Vous pouvez faire certains de ces liens. Lequel des problèmes des gens peut résoudre cela ? (Cela peut nous empêcher de prendre le mauvais chemin.) Cela peut vous empêcher de prendre le mauvais chemin. Quoi d’autre ? (Cela nous permet de discerner les personnes, les événements et les choses qui nous entourent.) Cela vous permet de discerner certaines personnes autour de vous. Discerner les autres en fait partie ; principalement, cependant, vous devez savoir comment vous discerner vous-même, le tempérament de l’antéchrist en vous et le chemin sur lequel vous marchez. Cela t’aidera à ne pas t’égarer dans l’accomplissement de ton devoir et à ne pas emprunter le chemin des antéchrists. Une fois que quelqu’un s’est engagé sur le chemin des antéchrists, est-il facile pour lui de faire demi-tour ? Non, une fois qu’ils se sont engagés, ce n’est pas facile pour eux de rebrousser chemin. En connais-tu la raison ? (Le Saint-Esprit n’œuvre pas en eux.) C’est la raison principale. S’engager sur le mauvais chemin est dangereux, car tu as choisi de lutter contre Dieu, de L’affronter pour Son peuple élu et de te battre contre Lui jusqu’à la fin ; tu ne cherches pas la vérité ou ne cherches pas à accepter le salut de Dieu. Engage-toi sur un chemin comme celui-là, et tu auras des ennuis. Tu t’opposeras à Dieu – tu t’opposeras à Lui par ta volonté subjective ; c’est-à-dire que tes pensées, points de vue, opinions et choix seront tous hostiles à Dieu. Si, avant de t’engager sur ce chemin, tu as des manifestations objectives, des tempéraments et des essences qui sont antithétiques et hostiles à Dieu, mais qu’en tout temps, tu fais vraiment attention à ne pas marcher sur le chemin de l’hostilité à Dieu, ou le chemin des antéchrists, alors tu as une chance d’être sauvé. Si tu t’engages sur le chemin des antéchrists, de l’hostilité envers Dieu, alors tu es en danger. Quelle est l’ampleur du danger ? Assez grand pour qu’il ne soit pas facile pour toi de faire demi-tour. Certaines personnes viennent de dire que le Saint-Esprit n’œuvrera plus en toi – c’est tellement évident ! Comment le Saint-Esprit pourrait-il agir en une telle personne ? Une fois que tu t’es engagé sur ce genre de chemin, une fois que tu as fait ce choix, tu es en danger. Si tu comprends cela dans ton cœur, mais que tu continues à le faire, à aller dans cette direction, et que tu fais ce choix, et procèdes toujours selon tes propres principes et tes vieilles habitudes lorsque tu agis, sans te retourner ou te repentir, sans inverser ta course, cela représente tes choix – tu as décidé de suivre ce chemin dans l’hostilité envers Dieu. Ce n’est pas que tu ne comprennes pas ce que tu fais – tu commets sciemment un péché. C’est exactement comme Paul qui a dit : « Qui es-Tu, Seigneur ? Pourquoi veux-Tu me frapper ? » Il savait très bien que le Seigneur Jésus était le Seigneur, qu’Il était Christ, mais il s’est toujours opposé à Lui jusqu’à la fin. C’est commettre sciemment un péché. Paul n’a pas témoigné pour le Seigneur, ni ne L’a glorifié. Il a pensé : « N’es-Tu pas juste une personne ordinaire ? N’es-Tu pas en train de me frapper parce que Tu en as le pouvoir ? Tu as peut-être le pouvoir, mais je crois toujours au Dieu du ciel. Toi, l’incarnation, Tu n’es pas Dieu ; Tu n’es pas lié à Dieu. Tu es le Fils de Dieu, et Tu es notre égal. » N’était-ce pas son point de vue ? Quel était le fondement de ce point de vue de Paul ? Après avoir appris que le Seigneur Jésus était Christ incarné, il a toujours maintenu ce point de vue, comme il le faisait auparavant. C’était un problème sérieux, et avec lui, son issue était décidée. Étant donné qu’il s’est accroché à ce point de vue tout le temps, le chemin qu’il a parcouru aurait-il pu changer ? Le chemin qu’une personne emprunte est basé sur ses points de vue : quels que soient tes points de vue, c’est le chemin que tu empruntes. Et vice versa, quel que soit le chemin que tu empruntes, ce sont les points de vue qui surgiront en toi, les points de vue que tu auras, les points de vue qui t’influenceront et te dirigeront. Dès que tu t’engageras sur le chemin de l’hostilité envers Dieu, ces points de vue prendront forme et s’enracineront en toi, et une chose est alors certaine : tu es tenu de t’opposer à Dieu jusqu’à la fin ; tu es tenu de t’en tenir toujours à tes propres vues, connaissances et attitudes erronées, élevant une clameur contre Dieu jusqu’à la fin. Tu n’inverseras absolument pas ta course – pas si quelqu’un te le dit, ou si le Saint-Esprit doit t’éclairer, ou si les frères et les sœurs doivent t’exhorter, ou si Dieu doit t’illuminer. Il n’y aura pas de place pour cela. C’est ton choix. Tu auras une première, une deuxième et une troisième chance – si, après trois chances de te repentir, tu ne l’as pas fait, tu n’auras plus aucune chance à l’avenir. Cependant, tu travailles et paies donc un prix, cela ne se déplacera pas vers Dieu – Il aura déjà pris Sa décision à ton sujet. Qu’est-ce que Dieu aura décidé pour toi ? Que tu seras amené à rendre service, que tu seras utilisé ; et après que tu auras été utilisé, Il te mettra dans un endroit où tu seras châtié et puni, comme Il l’a décidé. Comment se fait-il que Dieu Se décide de cette façon ? Est-ce à cause de ta pensée momentanée ? Est-ce basé sur tes idées éphémères ? Sur ton pas un instant sur le mauvais chemin ? Non ; Dieu fonde cela sur les points de vue que tu as au plus profond de ton cœur, sur ton attitude à long terme envers la vérité et sur le chemin que tu décides de suivre. Tu as décidé d’agir de cette manière, et peu importe ce que quelqu’un dit, cela ne sert à rien ; tu as décidé d’utiliser cette théorie comme fondement du chemin que tu emprunteras dans le futur. Et puisque tu as pris ta décision, Dieu n’a-t-il pas à déterminer ton aboutissement ? Ton résultat a été déterminé il y a longtemps ; il n’est pas nécessaire que Dieu attende jusqu’à la toute fin pour le faire. Avec certaines personnes, Dieu regarde toujours leurs manifestations – lorsque ces personnes arrivent enfin au bout du chemin, leurs résultats sont finalement déterminés en fonction de leurs diverses manifestations. Certaines personnes ont fait plus de bonnes actions que de mauvaises ; elles ont nourri plus d’attitudes bonnes et positives envers Dieu que d’attitudes négatives et malfaisantes, et sur la base de la mesure de la somme de leurs différents comportements et manifestations, leurs résultats ultimes sont déterminés. Il y en a d’autres, cependant, dont les résultats sont déterminés par Dieu après un coup d’œil sur le chemin qu’ils empruntent. Alors Dieu donne-t-il aux gens des chances avant de déterminer leurs résultats ? Il en donne. Combien ? Il n’y a probablement pas de nombre concret. Cela dépend de la nature-essence d’une personne, et cela dépend aussi de sa poursuite. Certaines personnes peuvent avoir trois chances. Certaines sont impénitentes, elles sont incroyablement stupides et intransigeantes, et elles n’acceptent aucune vérité du tout – leurs résultats sont déterminés avant qu’elles n’aient eu trois chances. Pourtant, avec certaines personnes, Dieu arrange certains environnements pour elles en fonction de leurs états, et en fonction de leur âge et des choses qu’elles ont traversées, Il peut leur donner cinq chances. Ceci est basé sur leur nature, leur essence et leur attitude tout en acceptant la vérité. Dieu détermine le résultat et la destination d’une personne en fonction de ces choses.
Toutes sortes de choses arrivent aux gens, et ils ne savent souvent pas comment y faire face ; serait-ce bien s’ils ne s’efforçaient pas de comprendre la vérité ? Il est facile pour les gens de prendre le mauvais chemin quand ils ne comprennent pas la vérité. Pourquoi dis-Je cela ? Les gens vivent selon les tempéraments corrompus de Satan, et les choses qui sortent de l’intérieur d’eux sont des choses qu’ils révèlent naturellement, et aucune d’elles n’est en accord avec la vérité ou n’est pas traîtresse contre Dieu. Alors, pourquoi devraient-ils donc toujours écouter les sermons ? Toujours écouter les sermons, les méditer et les prendre à cœur ; toujours prier et chercher ; venir devant Dieu avec un cœur craignant Dieu, avec un cœur de piété, avec un cœur qui aspire à la vérité ; avoir fixé des heures chaque jour pour les dévotions, la prière, manger et boire les paroles de Dieu ; et échanger avec les autres et coopérer en harmonie avec les autres pour travailler ; agir chaque jour selon ces principes et s’y tenir chaque jour – Dieu regarde si ces éléments détaillés de la pratique des gens obtiennent des résultats. Certains peuvent demander : « Ne s’agit-il pas simplement de processus ? » Qu’est-ce qu’un processus ? Ce ne sont pas des choses extérieures – tu ne peux t’accrocher à ces choses que si tu as le cœur de le faire. Sans ce cœur, combien de jours pourrais-tu t’y tenir ? Tu serais incapable de t’y tenir. Certains dirigeants ne mangent et ne boivent jamais les paroles de Dieu et ne s’engagent jamais dans des dévotions. Qu’est-ce que cela signifie ? Qu’ils ne sont pas de vrais croyants. S’ils ne le sont pas, alors comment seraient-ils devenus des dirigeants ? Dans certains endroits, il n’y a personne qui soit apte au travail, alors l’Église doit se contenter d’utiliser ces personnes. Ils pensent à tort : « J’ai été choisi comme dirigeant. Je peux tout de même faire ce travail sans manger ni boire les paroles de Dieu – tant que les gens ont des jambes et une bouche, ils peuvent faire ce travail. » C’est de la bêtise. Dieu ne regarde pas si tu peux faire le travail – Il regarde ce que tu as fait. Le travail que tu peux faire, quelqu’un d’autre peut le faire aussi. N’importe qui avec un peu d’intelligence normale peut le faire. Ne va pas penser que parce que tu as été choisi comme dirigeant, et que tu as pu faire ce travail, que ton succès est garanti, que tu as ensuite été perfectionné, que tu as alors une chance de survivre. Ce n’est pas comme ça que cela marche. Dieu ne regarde jamais ce que tu fais ; Il regarde ce que tu as fait, le chemin sur lequel tu marches. Ne te trompe pas à ce sujet. Tu peux penser : « Il y a tellement de gens qui n’ont pas été choisis, mais je l’ai été. Il semble que je sois exceptionnel, que je sois de plus grand calibre et meilleur que les autres. » Qu’est-ce qui est bien chez toi ? Même si tu es bon, tu n’as sûrement pas le droit de ne pas pratiquer la vérité et d’agir en violation de la vérité ? Même si tu es bon, tu n’as sûrement pas le droit de ne pas t’engager dans des dévotions ou des prières, et de ne pas chercher la vérité lorsque tu agis ? Tu n’as pas droit à ces choses. Aucun statut ou titre n’est ton capital. Ce sont des choses éphémères, des choses extérieures. Dieu regarde ta loyauté ; Il regarde ta pratique de la vérité, ta poursuite de celle-ci et ton attitude à son égard ; Il regarde ta soumission ; Il regarde ton attitude envers ton devoir et ta mission. Certaines personnes peuvent faire beaucoup d’efforts pour faire leur devoir, mais elles ne le font pas conformément aux vérités-principes. Si tu leur dis qu’elles doivent agir selon les vérités-principes, elles résistent, elles se fâchent et ne l’acceptent pas. Juste comme ça, elles sont révélées. Qu’est-ce qui a été révélé ? Qu’elles n’acceptent pas la vérité. Quel genre de personnes sont celles qui n’acceptent pas la vérité ? Des incrédules. De quoi les incrédules s’occupent-ils aveuglément ? Pourquoi sont-ils si énergiques dans leur activité ? Ils ont un but – ils voient cela : « Il y a une chance pour moi de devenir un fonctionnaire ici, et si je le fais, je peux profiter de l’Église et être vénéré par tous. Cet endroit est génial ! Ce ticket-repas est trop facile à trouver, tout comme ce prestige et ce profit ; ce statut est tellement facile à atteindre – c’est tellement facile d’être un officiel ici ! » Ils n’ont jamais pensé qu’ils deviendraient un « officiel » dans cette vie. Mais une fois qu’ils perdent leur « bureau », ils montrent leurs vraies couleurs. Ils ne font plus d’efforts pour la maison de Dieu. Pourront-ils encore souffrir et payer un prix ? Non. Ne sont-ils pas alors révélés ? Certaines personnes font tout ce qu’elles peuvent une fois qu’elles ont un statut, font des efforts et transpirent, ne se plaignent pas, peu importe combien elles souffrent – mais dès qu’elles n’ont plus de statut, elles deviennent négatives, au point que leur négativité les submerge. Ne sont-elles pas alors révélées ? Le statut les a révélées. Est-il nécessaire de les soumettre à des épreuves ? Non. Bien, nous terminerons l’échange d’aujourd’hui ici.
Le 1er octobre 2019