Je suis anxieux, mais combien parmi vous sont capables d’être en unité d’esprit et de pensée avec Moi ? Vous ne prêtez tout simplement aucune attention à Mes paroles, les ignorant complètement et échouant à vous concentrer sur elles, vous concentrant au contraire sur vos propres choses superficielles. Vous considérez Mes soins et Mes efforts approfondis comme du gaspillage ; votre conscience n’est-elle pas condamnée ? Vous êtes ignorants et manquez de raison ; vous êtes tous des insensés et vous ne pouvez absolument pas Me satisfaire. Je suis entièrement pour vous : à quel point pouvez-vous être pour Moi ? Vous avez mal compris Mon intention, et c’est vraiment votre aveuglement et votre incapacité de voir à travers les choses, Me faisant toujours craindre pour vous et passer du temps pour vous. Maintenant, combien de temps pouvez-vous dépenser pour Moi et Me consacrer ? Vous devriez vous poser ces questions plus souvent.

Toute Mon intention est tournée vers vous : comprenez-vous vraiment cela ? Si vous le compreniez bien, vous auriez saisi Mon intention depuis longtemps et seriez devenus attentifs à Mon fardeau. Ne soyez pas négligents de nouveau, ou le Saint-Esprit ne travaillera pas en vous, ce qui fera mourir votre esprit et vous fera tomber dans l’Hadès. N’est-ce pas trop terrible pour toi ? Je n’ai pas besoin de vous le rappeler encore. Vous devriez examiner votre conscience et vous demander : est-ce que c’est que Je M’apitoie trop sur vous tous, ou que vous Me devez trop ? Ne confondez pas le bien et le mal : ne soyez pas dépourvus de sens ! Maintenant, ce n’est pas le moment de combattre pour le pouvoir et le profit ni de se lancer dans l’intrigue. Au contraire, vous devez rapidement mettre de côté ces choses qui sont si préjudiciables à la vie et chercher à entrer dans la réalité. Vous êtes tellement négligents ! Vous ne pouvez pas comprendre Mon cœur ni saisir Mon intention. Il y a beaucoup de choses que Je n’aurais pas dû avoir besoin de dire, mais vous êtes des hommes si perplexes qui ne comprennent pas, et j’ai donc dû les répéter encore et encore, et même alors, vous n’avez toujours pas satisfait Mon cœur.

En vous comptant un par un, combien d’entre vous peuvent vraiment tenir compte de Mon cœur ?