Ⅰ

Lorsque Dieu est apparu pour œuvrer dans la chair, Il a subi une grande humiliation. Humble et caché, Il a exprimé la vérité rien que pour le salut de l’homme. Néanmoins, quand j’ai entendu la voix de Dieu, je ne L’ai pas reconnu. J’ai nié et jugé Son œuvre comme le font les anciens et les pasteurs. Dieu ne m’a pas puni pour mes transgressions : au contraire, Il a toléré ma désobéissance et a frappé à ma porte. Voyant Sa compassion pour moi, j’ai ressenti une honte insupportable. Je n’étais vraiment pas apte à recevoir l’amour de Dieu.

Ⅱ

Les paroles de Dieu me percent le cœur comme une épée acérée. Je vois que mon arrogance m’a dépouillé de tout sens et de toute humanité, et que j’utilise des notions et des idées pour condamner Son apparition et Son œuvre, coupant ainsi l’accès de tant de croyants à la chance d’être sauvés. Comme je suis vraiment pécheur : je résiste à Dieu et Le juge. Je mérite vraiment d’être maudit par Lui ; je ne suis pas apte à vivre devant Lui. Subir Son jugement m’a réveillé et mon cœur est rempli de chagrin. Je suis résolu à prendre un nouveau départ, à chercher la vérité et à satisfaire Dieu. Dieu est si bon ; cela fait fondre la dureté de mon cœur. Je souhaite accomplir mon devoir avec fidélité et je demande seulement à pouvoir réconforter Dieu. Peu importe la persécution et l’adversité que je rencontre, je serai fidèle jusqu’au bout. Je suis résolu à rendre à Dieu un témoignage retentissant et à Le glorifier.