Je me démène pour payer la scolarité de mon enfant, en espérant qu’il aura un bon avenir. Mais il ne fait aucun effort pour étudier. J’ai fait tout ce que j’ai pu pour lui apprendre, mais il n’est toujours pas éclairé. Je me sens tellement frustrée. Comment suis-je censé traiter et éduquer mon enfant ?

28 mars 2021

Paroles de Dieu concernées :

Dieu est le seul Maître du destin humain, et il est donc impossible pour l’homme de dicter son propre destin, impossible pour lui de l’outrepasser. Peu importe l’excellence des capacités de l’homme, on ne peut pas influencer, encore moins orchestrer, arranger, contrôler ou modifier le destin des autres. Seul Dieu Lui-même, l’unique, dicte toutes les choses pour l’homme, car Lui seul possède l’unique autorité qui maintient la souveraineté sur le destin humain et, ainsi, seul le Créateur est l’unique Maître de l’homme. L’autorité de Dieu détient la souveraineté non seulement sur l’humanité créée, mais aussi sur les êtres non créés qu’aucun homme ne peut voir, sur les étoiles, sur le cosmos. C’est un fait incontestable, un fait qui existe vraiment, qu’aucun homme ou qu’aucune chose ne peut changer.

– La Parole, vol. 2 : Sur la connaissance de Dieu, Dieu Lui-même, l’Unique III

En plus de la naissance et de leur mission éducative, la responsabilité des parents dans la vie de leurs enfants est tout simplement de leur fournir un environnement formel pour grandir, car rien en dehors de la prédestination du Créateur n’a une incidence sur le destin d’une personne. Personne ne peut contrôler le genre d’avenir qu’une personne aura ; cela est prédéterminé longtemps à l’avance, et même pas ses parents ne peuvent changer son destin. En ce qui concerne le destin, chacun est indépendant, et chacun a son propre destin. Ainsi, aucun parent ne peut empêcher le destin de quelqu’un dans la vie ou exercer la moindre influence sur le rôle que quelqu’un joue dans la vie. On pourrait dire que la famille dans laquelle on est destiné à naître et l’environnement dans lequel on grandit ne sont rien de plus que les conditions préalables à l’accomplissement d’une mission dans la vie. Elles ne sauraient en aucune façon déterminer le destin d’une personne dans la vie ou le genre de destinée au sein de laquelle une personne accomplit sa mission. Et donc, aucun parent ne peut aider quelqu’un dans l’accomplissement de sa mission dans la vie, de même qu’aucun membre de la famille ne peut aider quiconque à assumer son rôle dans la vie. La manière d’accomplir sa mission et le genre de milieu de vie où réaliser son rôle sont entièrement déterminés par son destin dans la vie. En d’autres termes, il n’y a pas d’autres conditions objectives capables d’influer sur la mission d’une personne, mission qui est prédestinée par le Créateur. Tous les hommes parviennent à la maturité dans les environnements particuliers où ils grandissent ; ensuite, progressivement, étape par étape, ils empruntent leurs propres voies dans la vie et réalisent les destinées prévues pour eux par le Créateur. Naturellement, involontairement, ils entrent dans la vaste marée humaine et assument leurs propres postes dans la vie, où ils commencent à remplir leurs responsabilités en tant qu’être créés pour la prédestination du Créateur, pour Sa souveraineté.

– La Parole, vol. 2 : Sur la connaissance de Dieu, Dieu Lui-même, l’Unique III

Tout être qui vient au monde a une mission : on ne vient pas au monde de façon arbitraire, pas plus que l’arrangement est une erreur. La venue au monde de chaque être, quoi qu’il étudie, quoi qu’il fasse, vise à ce qu’il puisse jouer un rôle en ce monde-ci. Quel est ce rôle ? C’est d’accomplir une tâche et de poser certains actes, dans ce monde-ci. Par exemple, deux personnes se marient et ont un enfant, et ces trois personnes forment une famille complète. Pour quoi vit la mère de cette famille ? Elle vit pour accomplir sa mission et son rôle de mère, qui consistent à s’occuper de son enfant et de son mari, et de s’occuper du foyer ; telles sont les choses pour lesquelles elle vit. Pour quoi vit l’enfant de cette famille ? Quel est le rôle joué par cet enfant ? C’est le descendant de la famille, celui qui portera son nom ; il joue le rôle de nouvelle génération de cette famille. La présence de l’enfant fonde la famille et la complète. Pour compléter la famille, c’est le premier rôle de l’enfant. Garçon ou fille, il ou elle a sa mission dans la famille. Les arrangements de chacune des étapes de la destinée de l’enfant — à quoi il est destiné, ce qu’il étudiera en société, où il travaillera, le métier qu’il exercera, le devoir qui sera le sien lorsqu’il entrera dans la maison de Dieu, ses compétences particulière et ce qu’il fera — tout cela ne fait-il pas partie d’un projet de Dieu ? L’enfant lui-même a-t-il un choix ? À partir du moment où il naît dans sa famille, non, en fait, il n’a de choix à aucune étape de sa destinée ; tout est arrangé par Dieu. L’affirmation selon laquelle « tout est arrangé par Dieu » contient une vérité, qui renvoie à la raison pour laquelle on vit. […] En fait, c’est pour tout le monde pareil. Chacun vit au nom de la souveraineté de Dieu et de Ses arrangements. Chacun est comme une pièce d’échecs. L’endroit où Dieu te met, l’endroit où tu vas, ce que tu fais, et le temps que tu passes à un endroit, tout cela est orchestré par Dieu. Alors, en termes des choses que Dieu orchestre, pour qui l’humanité vit-elle ? En vérité, elle vit pour la souveraineté de Dieu, pour ses arrangements, et elle vit pour être dirigée par Sa main ; elle n’est pas son propre maître.

– « Ce n’est qu’en faisant bien son devoir de créature que notre vie a de la valeur », dans Récits des entretiens de Christ

La naissance, la croissance et le mariage apportent toutes sortes de déceptions à différents degrés. Certaines personnes ne sont pas satisfaites de leur famille ou de leur apparence physique ; certains n’aiment pas leurs parents ; certains déplorent l’environnement dans lequel ils ont grandi ou s’en plaignent. Et pour la plupart des gens, parmi toutes ces déceptions, le mariage est le plus insatisfaisant. Quel que soit le degré de mécontentement vis-à-vis de sa naissance, de sa croissance ou de son mariage, tous ceux qui sont passés par ces choses-là savent que l’on ne peut choisir où et quand on naît, ce à quoi on ressemble, qui sont ses parents et qui est son conjoint, mais que l’on doit simplement accepter la volonté du ciel. Pourtant, quand viendra le temps pour les gens d’élever la génération suivante, ils projetteront sur leurs descendants tous les désirs qu’ils n’ont pas réussi à réaliser dans la première moitié de leur vie, en espérant que leur progéniture compensera toutes les déceptions de la première moitié de leur vie. Ainsi, les gens se livrent à toutes sortes de fantasmes au sujet de leurs enfants : que leurs filles vont grandir et devenir de superbes beautés, leurs fils, de galants hommes ; que leurs filles seront cultivées et talentueuses, et leurs fils, de brillants étudiants et des athlètes célèbres ; que leurs filles seront douces, vertueuses et sages, leurs fils, intelligents, capables et sensibles. Ils s’attendent à ce que leurs enfants, que ce soient des garçons ou des filles, respectent leurs aînés, fassent preuve de considération à l’égard de leurs parents, soient aimés et loués par tous… À ce stade, les espoirs pour la vie connaissent un renouveau et de nouvelles passions s’allument dans le cœur des gens. Les gens savent qu’ils sont impuissants et sans espoir dans cette vie, qu’ils n’auront pas une autre chance ni un autre espoir de se démarquer de la foule, et qu’ils n’ont pas d’autre choix que d’accepter leur destin. Et donc, ils projettent tous leurs espoirs, leurs désirs et idéaux non réalisés, sur la génération suivante, en espérant que leur progéniture pourra les aider à réaliser leurs rêves et à réaliser leurs désirs ; que leurs filles et fils magnifieront le nom de la famille, deviendront importants, riches ou célèbres. En bref, ils veulent voir prospérer grandement la fortune de leurs enfants. Les plans et les fantasmes des gens sont parfaits ; ne savent-ils pas qu’il ne leur appartient pas de décider du nombre d’enfants à avoir, de l’apparence de leurs enfants, de leurs compétences, et ainsi de suite, que pas une seule parcelle du destin de leurs enfants n’est entre leurs mains ? Les humains ne sont pas maîtres de leur propre destin, mais ils espèrent changer le destin de la jeune génération ; ils sont impuissants à éviter leur propre sort, mais ils tentent de contrôler celui de leurs fils et filles. Ne se surestiment-ils pas ? N’est-ce pas la folie et l’ignorance de l’homme ?

– La Parole, vol. 2 : Sur la connaissance de Dieu, Dieu Lui-même, l’Unique III

En ce qui concerne les enfants, tous les parents espèrent que leurs enfants bénéficieront d’une formation supérieure, qu’un jour ils progresseront, auront une place dans la société et auront à la fois un revenu stable et de l’influence. De cette façon, ils pourront honorer la lignée familiale. Tous ont ce point de vue. Est-ce le point de vue juste d’espérer que “le fils deviendra un dragon et que la fille deviendra un phénix” ? Chacun souhaite que ses enfants fréquentent une université prestigieuse et poursuivent ensuite des études supérieures, pensant qu’après avoir obtenu des diplômes, ils se démarqueront de la foule. Ceci est dû au fait que chacun, dans son cœur, idolâtre le savoir en croyant que « Les autres recherches ont peu de valeur, l’étude des livres les surpasse toutes ». Pour couronner le tout, la compétition dans la société moderne est particulièrement féroce et, sans diplôme, vous n’avez même pas la garantie de pouvoir assurer votre subsistance. C’est ce que tout le monde pense à ce sujet. Autrement dit, ce que tu apprends et ton niveau d’instruction détermineront ce que sera ton gagne-pain, votre avenir. En d’autres mots, les gens ont tendance à s’appuyer sur cela pour survivre toute leur vie et ils y accordent une grande importance. C’est pourquoi tout le monde considère qu’avoir un haut niveau d’éducation et être accepté dans une université bien cotée est la chose la plus importante pour leurs enfants. En réalité, ces choses – études et connaissances – acceptées par les gens, ces concepts et ces idées vont tous à l’encontre de Dieu et de la vérité et sont abhorrées et condamnées par Dieu. Quel est le point de vue des hommes ? Ils ne pourront pas survivre et n’auront pas une position stable dans cette société et dans le monde s’ils n’ont pas ces choses, et ils se-ront inférieurs, pauvres et insignifiants. C’est pourquoi si quelqu’un n’a pas la connais-sance, n’est pas cultivé ou n’a pas un haut niveau d’éducation à tes yeux, tu le méprise-ras, le regarderas de haut, tu auras dédain de lui et ne le prendras pas au sérieux. Si vous laissez vos enfants faire cela et leur enseignez à faire ces choses, ta perspective et ta motivation ne sont pas correctes à la base. Si tu apprends à tes enfants à étudier et à s’instruire, tu choisiras sûrement des professions ou des secteurs dans lesquels il manque de main-d’œuvre, car ton objectif est que tes enfants aient un bel avenir et des emplois stables, des familles et des perspectives d’avenir durant toute leur vie. Mais as-tu pensé à la quantité de toxines, d’idées et de théories sataniques qui leur seront inculquées après avoir reçu ce genre d’éducation ? You didn’t. L’humanité est stupide et ne réalise pas cela. Tout ce que tu sais, c’est que si tes enfants s’inscrivent dans une université supérieure, ils seront prometteurs et apporteront la gloire à leurs ancêtres. Jusqu’à ce qu’un jour, tes enfants reviennent et tu leur parles de croire en Dieu, et ils montrent de l’antipathie. Après que tu leur as parlé de la vérité, ils disent que tu es stupide et rient de toi, et ils se moquent de ce que tu dis. À ce moment-là, tu penses qu’envoyer tes enfants dans ces écoles pour obtenir ce genre d’éducation était le mauvais chemin à suivre, mais il sera trop tard pour le regretter. Pour les êtres humains, une fois que ces idées et ces points de vue sont inculqués, prennent racine et prennent forme, ils ne peuvent pas être enlevés du jour au lendemain ni être changés du jour au lendemain. Tu ne peux pas changer leur situation ou leur pensée, et tu ne peux pas enlever le contenu de leurs idées et de leurs points de vue. Personne ne dit : « J’enverrai mes enfants à l’école pour qu’ils apprennent seulement leur alphabet et puissent lire et comprendre les paroles de Dieu. Après quoi, je ferai en sorte qu’ils se soucient de croire en Dieu, et ils feront aussi des études pour apprendre un métier utile. Mieux vaut pour eux être quelqu’un de bon calibre et de bonne humanité qui peut accomplir son devoir dans la maison de Dieu. Cependant, s’ils ne peuvent pas accomplir leur devoir, ils auront dans le monde un moyen de subvenir à leurs besoins et à ceux de leur famille, et ça sera suffisant. Ce qui compte, c’est de veiller à ce qu’ils acceptent ce qui vient de Dieu dans Sa maison et à ne pas les laisser se faire contaminer et corrompre par la société. » Quand il s’agit de ses enfants, personne n’est disposé à les amener devant Dieu pour accepter complètement les points de vue et les idées que Dieu exige ou pour être le genre de personne que Dieu exige. Les gens ne veulent pas faire cela et n’osent pas le faire. Ils craignent que, s’ils le font, leurs enfants ne puissent pas gagner leur vie ou avoir un avenir dans la société. Que confirme ce point de vue ? Il confirme que l’humanité n’a aucun intérêt, aucune confiance et, de plus, aucune foi authentique dans la vérité ou en Dieu. Ce que l’humanité admire et adore dans son cœur, c’est toujours ce monde, pensant que les gens qui laissent ce monde ne pourront pas survivre, alors que s’ils laissent Dieu, ils pourront encore avoir de quoi se nourrir, se vêtir et se loger. Ils pensent que s’ils laissent le savoir et l’éducation issus de la société, alors c’en est fini d’eux, ils sont complètement inadaptés à la société, et qu’être écartés et éliminés par la société signifie qu’ils ne survivront pas. Tu n’as pas assez de foi pour dire que si tu laisses le monde pour dépendre de Dieu, tu peux vivre, Dieu te donnera de quoi survivre. Tu n’as pas l’intelligence ni le courage de dire cela. Ces paroles ne sont pas là pour exiger de toi que tu pratiques vraiment de la sorte, mais pour dire qu’avant que tu ne pratiques de la sorte et que tu ne traites ces problèmes, de telles idées et de tels points de vue ont déjà pris forme en toi et contrôlent chacune de tes paroles et chacun de tes actes. Ils peuvent déterminer comment tu agiras à l’avenir et comment tu t’occuperas de ces problèmes.

– « Seule la connaissance de tes opinions erronées t’apportera la connaissance de toi-même  », dans Récits des entretiens de Christ

De nombreuses personnes croient en Dieu et paraissent, de l’extérieur, très pieuses, mais concernant leurs opinions et attitudes au sujet de la relation parents-enfants et enfants-parents, elles n’ont aucune idée de comment mettre en pratique cet aspect de la vérité, ni de quels principes doivent être appliqués pour traiter cette problématique. À leurs yeux, le parent est toujours un parent et l’enfant est toujours un enfant. De ce fait, la relation parent-enfant devient très compliquée à gérer. En vérité, sur bien des sujets, les parents refusent de renoncer à leur statut de parent. Ils se voient toujours comme les sages et pensent que les enfants doivent tout le temps les écouter, et ce fait ne changera jamais. Cela conduit à une résistance constante de la part de leurs enfants, ce qui est épuisant pour chacun et rend tout le monde triste et malheureux. N’est-ce pas là le signe d’une mauvaise compréhension de la vérité ? Lorsque les gens ne comprennent pas la vérité, c’est qu’ils sont contraints par leur statut. Comment pourraient-ils alors ne pas en souffrir ? Dans ces cas-là, comment la vérité doit-elle être pratiquée ? En fait, c’est très simple. Il vous suffit d’être une personne ordinaire, non contrainte par son statut, et de traiter vos enfants ou les autres membres de votre famille de la même façon que vous traiteriez vos frères et sœurs. Malgré votre responsabilité envers eux, malgré le lien du sang, la posture et la perspective à adopter est la même qu’avec vos amis, vos frères ou vos sœurs. Ne vous mettez surtout pas dans la posture du parent, n’essayez pas de retenir vos enfants, de les entraver, de tout contrôler de leur vie. Traitez-les comme des égaux. Permettez-leur de se tromper, de donner de mauvaises réponses, d’agir de façon puérile et immature, et de faire des bêtises. Quoi qu’il arrive, prenez le temps de discuter calmement avec eux et recherchez la vérité. De cette façon, vous leur parlerez en ayant la bonne attitude et le problème sera résolu.

Extrait de l’échange de Dieu

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