3. Notre vie passe en un clin d’œil, elle ne dure que quelques dizaines d’années. Après coup, les gens se remémorent leur vie : l’école, le travail, le mariage, les enfants, l’attente de la mort, leur vie entière passée à courir à droite et à gauche pour leur famille, pour l’argent, le statut, la fortune et le prestige, totalement dépourvus de la vraie orientation et des vrais objectifs de l’existence humaine et incapables de trouver la moindre valeur et le moindre sens dans le fait d’être en vie. Génération après génération, les gens vivent donc de cette manière pénible et vaine. Pourquoi la vie des gens est-elle si pénible et si vaine ? Et comment peut-on remédier à la pénibilité et à la vacuité de l’existence humaine ?
Paroles de Dieu concernées :
Quelle est la source de la souffrance permanente de l’enfantement, de la mort, de la maladie et de la vieillesse que les humains endurent ? Qu’est-ce qui a fait que les gens ont eu ces choses ? Les humains ne les avaient pas quand ils ont été créés au début, n’est-ce pas ? Alors, d’où sont venues ces choses ? Elles sont apparues quand les humains ont été tentés par Satan et que leur chair a commencé à dégénérer. La douleur de la chair humaine, ses afflictions et sa vacuité, ainsi que les affaires extrêmement misérables du monde humain n’ont existé qu’à partir du moment où Satan a corrompu l’humanité. Après que les humains ont été corrompus par Satan, cela a commencé à les tourmenter. En conséquence, ils sont devenus de plus en plus dégénérés. Les maladies de l’humanité se sont aggravées et leur souffrance est devenue de plus en plus sévère. Les gens ont senti de plus en plus la vanité et la tragédie du monde humain, ainsi que leur incapacité à continuer à y vivre, et ils ont éprouvé de moins en moins d’espoir pour le monde. Ainsi, cette souffrance a été causée chez les humains par Satan.
– La Parole, vol. 3 : Sermons de Christ des derniers jours, Le sens de Dieu faisant l’expérience de la souffrance du monde
Depuis que l’humanité a inventé les sciences sociales, l’esprit de l’homme s’est mis à être occupé par la science et la connaissance. Celles-ci sont ensuite devenues des outils destinés à administrer l’humanité, et il n’y a plus assez de place pour que l’homme adore Dieu ni de conditions favorables pour vénérer Dieu. Sa place a diminué de plus en plus dans le cœur de l’homme. Sans Dieu dans son cœur, le monde intérieur de l’homme est sombre, désespéré et vide. Ensuite, de nombreux spécialistes des sciences sociales, des historiens et des politiciens sont apparus pour développer des théories des sciences sociales, la théorie de l’évolution humaine et d’autres théories contredisant la vérité de la création de l’homme par Dieu, pour remplir le cœur et l’esprit de l’homme. Et de cette façon, ceux qui croient que Dieu a tout créé se sont faits de plus en plus rares et ceux qui croient en la théorie de l’évolution se sont faits de plus en plus nombreux. De plus en plus de gens considèrent les récits de l’œuvre de Dieu et Ses paroles pendant l’ère de l’Ancien Testament comme des mythes et des légendes. Dans leur cœur, les gens deviennent indifférents à la dignité et à la grandeur de Dieu, à la doctrine selon laquelle Il existe et domine sur toutes choses. La survie de l’humanité et le destin des pays et des nations ne sont plus importants pour eux et l’homme vit dans un monde vide qui ne se préoccupe que de manger, boire et rechercher du plaisir. […] Peu de gens prennent sur eux de rechercher l’endroit où Dieu réalise Son œuvre aujourd’hui, ou de chercher comment Il préside et organise la destination de l’homme. De cette façon, la civilisation humaine devient inconsciemment de plus en plus incapable de se conformer aux aspirations de l’homme, et il y en a même beaucoup qui pensent que, en vivant dans un tel monde, ils sont moins heureux que ceux qui sont déjà partis. Même les peuples des pays qui étaient autrefois très civilisés exhalent de tels griefs. Car sans la direction de Dieu, peu importe les efforts que les dirigeants et les sociologues consacrent à réfléchir à la préservation de la civilisation humaine, c’est en vain. Personne ne peut combler le vide dans le cœur de l’homme, car personne ne peut être la vie de l’homme, et aucune théorie sociale ne peut le libérer du vide qui l’accable. La science, la connaissance, la liberté, la démocratie, les loisirs, le confort : cela n’apporte à l’homme qu’une consolation provisoire. Même avec ces choses, l’homme, inévitablement, pèche et déplore les injustices de la société. Ces choses ne peuvent pas apaiser l’envie et le désir d’exploration de l’homme. C’est parce qu’il a été fait par Dieu et les sacrifices inutiles et les explorations inutiles de l’homme ne peuvent que conduire à plus de détresse et ne peuvent que faire en sorte que l’homme existe dans un état constant de peur, sans savoir comment faire face à l’avenir de l’humanité, ni comment affronter le chemin qui l’attend. L’homme en vient même à craindre la science et la connaissance, et craindra encore plus le sentiment de vide. Dans ce monde, que tu vives dans un pays libre ou dans un pays qui ne respecte pas les droits de l’homme, tu ne pourras pas totalement échapper au destin de l’humanité. Que tu sois le gouvernant ou l’administré, tu ne pourras absolument pas échapper au désir d’explorer le destin, les mystères et la destination de l’humanité, tu pourras encore moins échapper au sentiment déconcertant de vide. De tels phénomènes, qui sont communs à toute l’humanité, sont appelés phénomènes sociaux par les sociologues, mais aucun grand homme ne peut se lever pour résoudre de tels problèmes. L’homme, après tout, est homme, et la place et la vie de Dieu ne peuvent être remplacées par aucun homme. L’humanité ne demande pas seulement une société juste dans laquelle tout le monde est bien nourri, est égal et libre ; ce dont l’humanité a besoin, c’est du salut de Dieu et de l’approvisionnement de la vie. Ce n’est que lorsque l’homme reçoit l’approvisionnement de la vie et le salut de Dieu que les besoins, le désir d’explorer et le vide spirituel de l’homme peuvent être comblés. Si le peuple d’un pays ou d’une nation est incapable de recevoir le salut et la protection de Dieu, alors un tel pays ou une telle nation suivra le chemin du déclin, des ténèbres, et sera anéanti par Dieu.
– La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, Addendum 2 : Dieu préside au destin de toute l’humanité
Certains vivent longtemps, d’autres non ; certains sont pauvres et d’autres riches ; il y a des gens ordinaires et il y a les riches et les puissants. Il y a des gens de toutes classes. En réalité, chacun vit de la même manière, en lutte féroce avec les autres, poussé par ses ambitions et ses désirs, s’élevant par la force de la volonté au fur et à mesure de sa vie. Lorsque l’on entrevoit la situation présente, on pense : « Mais pourquoi vivre de cette manière ? N’y a-t-il pas une autre voie à suivre ? A-t-on le choix ? Pourquoi vit-on ? Vit-on juste pour boire et manger jusqu’à sa mort ? Où va-t-on après la mort ? Tant de gens se sont succédé, une génération après l’autre. Comment se fait-il qu’il n’y ait pas d’autre manière de vivre ? Qu’est-ce qu’il y a, à l’origine ? » L’humanité ne sait pas d’où elle vient, ni quelle est sa mission dans la vie ; elle ne sait pas qui a la charge de tout, qui exerce une souveraineté sur tout. Les hommes viennent au monde, génération après génération et, une génération après l’autre, ils s’en vont ; chaque génération vit de la même manière, meurt de la même manière, vient au monde de la même manière, quittent le monde de la même manière. Et jamais ils ne trouvent le chemin. Tous vivent de la même façon depuis l’antiquité : ils explorent, attendent, souhaitant voir à quoi ressemblera l’humanité de demain. Et pourtant aucun ne l’a su ni ne l’a vue. En dernière analyse, l’homme ne connaît pas qui est Celui qui règne en souverain sur tout et qui a la charge de tout ni, en vérité, s’Il règne en souverain sur tout ce qui existe ou non. Ils ne connaissent pas la réponse. Ils ne peuvent vivre que comme ils le font, sans alternative. L’humanité vit ainsi chaque jour, trois cent soixante-cinq jours par an, dans l’attente du jour suivant, un à la fois, supportant un jour à la fois, même jusqu’au jour d’aujourd’hui. Si les humains savaient à quoi tout cela servait et comment ils doivent vivre, n’auraient-il pas alors quelque chemin dans la vie ? Ne seraient-ils alors pas capables de se débarrasser de cette douleur et de ne plus avoir à vivre grâce à leurs aspirations, grâce à une sorte d’espoir, une certaine curiosité ? Ne pourraient-ils pas enfin trouver du soutien sans avoir à recourir à ces choses ? Lorsque l’on en vient à comprendre pourquoi l’on vit et pourquoi on doit mourir, qui tient les rênes de ce monde et si, dans l’univers et parmi toutes choses, il y a un Souverain unique qui dirige tout, lorsque l’on a trouvé la réponse, on a alors une voie à suivre. On sait alors comment vivre, sans avoir à vivre d’espoir, sans plus s’appuyer sur ses aspirations. On ne trouverait pas la vie si dure, si pénible. On aurait trouvé pourquoi on vit, et pourquoi on meurt. Ainsi, ne serait-on pas déchargé d’un fardeau ? Et en étant débarrassé, on se sentirait libre, libéré.
– La Parole, vol. 3 : Sermons de Christ des derniers jours, Troisième partie
Et vous, que devriez-vous méditer dans votre cœur, après avoir entendu la chanson Celui qui détient la souveraineté sur tout ? Si les hommes savaient exactement pourquoi ils vivent et pourquoi ils meurent, et qui est en réalité le Souverain, le Maître du monde et de toutes choses, et où Il est, et ce qu’il exige de l’homme ; si les hommes pouvaient comprendre ces choses, ils sauraient quelle attitude avoir vis-à-vis du Créateur, et comment L’adorer et Lui obéir, et il ne vivraient plus dans un tel tourment, une telle douleur. En dernière analyse, il y a une vérité qu’il faut comprendre : la voie que l’on choisit est cruciale, et comment on vit est tout aussi important. De la manière dont on vit et de la voie que l’on emprunte dépendent la joie ou l’affliction que l’on peut éprouver. C’est quelque chose qu’il faut comprendre. « La vie de tous les hommes suit ce genre de schéma : les peuples de l’antiquité n’y faisaient pas exception et les peuples modernes sont les mêmes que dans le passé. Ils n’ont pas changé, leur manière de vivre est la même. Alors, y a-t-il un Souverain parmi les hommes, un Dieu légendaire qui a la charge de tout ? Si les hommes peuvent trouver Dieu, Celui qui est le Maître de tout, ne seraient-ils pas capables d’éprouver du bonheur ? La clé à présent, c’est de trouver la racine du genre humain. Où se trouve donc cette racine ? Si les hommes trouvaient la racine, ils seraient peut-être capables de vivre dans un royaume d’un autre type. Si les hommes sont incapables de la découvrir et continuent à vivre comme toujours, seront-ils capables de parvenir au bonheur ? » à l’écoute de cet hymne, on devrait ressentir des émotions profondes dans son cœur. Si tu te contentes de reconnaître que les hommes ont été profondément corrompus par Satan, qu’est-ce que cela fait ? Peux-tu résoudre le problème pratique de la corruption ? Même si les hommes savent que l’humanité a été profondément corrompue, ont-ils une voie de salut s’ils ne croient pas en Dieu ? Même si tu as parfois envie de changer et de t’améliorer, pour vivre dans la ressemblance de l’homme à Dieu, le peux-tu ? Tu te trouves dans une impasse ! Par exemple, certaines personnes vivent pour leurs enfants ; tu dis que tu ne le souhaites pas, mais peux-tu y parvenir ? Certaines personnes se démènent pour accumuler des richesses, être célèbres, gagner de l’argent et toi, tu dis que tu ne le fais pas ; peux-tu y parvenir ? Sans le savoir, tu t’es engagé dans cette voie, et tu ne peux faire ce que tu dis. La façon dont tu vis dans ce monde échappe à ton contrôle ! Fondamentalement, quelle en est la cause ? C’est que tu n’as pas vraiment la foi. Qu’est-ce qui élève l’esprit de l’homme ? Vers quoi se tourne-t-il pour recevoir de l’aide sur le plan spirituel ? Pour être soutenu sur le plan spirituel, on cherche à être en famille ; on aspire à la félicité du mariage ; à la jouissance de choses matérielles ; la richesse, la célébrité, l’argent ; le statut, les sentiments, la carrière ; et le bonheur de la génération future. Y a-t-il quelqu’un qui ne se tourne pas vers ces choses pour obtenir de l’aide sur le plan spirituel ? Ceux qui ont des enfants la trouvent dans leurs enfants ; ceux qui n’en ont pas la trouvent dans leur métier, leur mariage, leur statut social, ou dans la renommée et les gains. De sorte que les modes de vie qui en résultent sont tous identiques : sujets à l’emprise et au domaine de Satan. Et malgré eux, ils s’agitent et s’affairent, toujours en quête de célébrité, d’argent, absorbés par leurs perspectives professionnelles ou personnelles : le mariage, la famille, ou encore la génération future ou les plaisirs charnels. Est-ce le bon chemin ? Aussi affairé et agité qu’ils soient dans ce monde, aussi accomplis sur le plan professionnel, aussi heureux soient les membres de leur famille, ou aussi nombreux, aussi grande soit leur renommée dont ils jouissent, sont-ils capables pour autant de s’engager sur le bon chemin de la vie humaine ? Tout à la poursuite de la célébrité et de l’argent, du monde ou de leur profession, sont-ils capables de voir que Dieu a créé toutes choses en ce mode et qu’Il règne sur la destinée de l’humanité ? Ce n’est pas possible, si ? Si les hommes ne reconnaissent pas le fait que Dieu règne sur la destinée de l’homme, quelle que soit leur quête, quel que soit leur chemin, la voie qu’ils suivent est une erreur. Ce n’est pas le droit chemin, c’est le chemin tortueux, le chemin du mal. Peu importe que tu aies tiré de la satisfaction de ton soutien spirituel ou pas, et peu importe où tu trouves ce soutien : ce n’est pas la foi authentique, et ce n’est pas le droit chemin pour la vie des hommes. Qu’est-ce qu’avoir une foi authentique ? C’est s’engager sur le droit chemin de la vie humaine. Qu’est-ce que le droit chemin de la vie humaine ? C’est le chemin qui donne la possibilité de comprendre la vérité, qui permet peu à peu de retrouver son humanité normale, et qui permet de comprendre ce qui est bien et ce qui est mal, les choses qui sont positives et celles qui sont négatives, ce qu’est la destinée de l’humanité et qui en est le Maître. Lorsque l’on comprend vraiment que ces choses sont entre les mains de Dieu, on parvient à se soumettre à Sa souveraineté, à Son orchestration et à vivre selon Sa parole. Ensuite seulement, on peut s’engager sur le droit chemin de la vie humaine.
– La Parole, vol. 3 : Sermons de Christ des derniers jours, Troisième partie
Certaines personnes ont une compréhension profonde, vraiment intensément ressentie de l’expression « c’est le destin », mais elles ne croient pas le moins du monde en la souveraineté de Dieu ; elles ne croient pas que le destin humain est arrangé et orchestré par Dieu et ne sont pas disposées à se soumettre à la souveraineté de Dieu. Ces personnes sont comme à la dérive sur l’océan, ballottées par les vagues, dérivant avec le courant, sans autre choix que d’attendre passivement et de se résigner à leur sort. Pourtant, elles ne reconnaissent pas que le destin humain est soumis à la souveraineté de Dieu ; elles ne peuvent pas en venir à connaître la souveraineté de Dieu de leur propre initiative, et ainsi reconnaître l’autorité de Dieu, se soumettre aux orchestrations et aux arrangements de Dieu, cesser de résister au destin, et vivre sous les soins, la protection et la direction de Dieu. En d’autres termes, accepter le destin n’est pas la même chose que se soumettre à la souveraineté du Créateur ; la croyance au destin ne signifie pas que l’on accepte, reconnaisse et connaisse la souveraineté du Créateur ; la croyance au destin n’est qu’une reconnaissance de ce fait et de ce phénomène extérieur, ce qui est différent de comprendre comment le Créateur régit le destin de l’humanité, de reconnaître que le Créateur est la source de la domination sur le destin de toutes choses, et certainement tout à fait différent de se soumettre aux orchestrations et aux arrangements du Créateur pour le destin de l’humanité. Si une personne croit simplement au destin – même si elle en a même un profond sentiment – mais, pour autant, n’est pas en mesure de connaître et de reconnaître la souveraineté du Créateur sur le destin de l’humanité, ni de s’y soumettre et de l’accepter, alors sa vie sera néanmoins une tragédie, une vie vécue en vain, du néant ; elle sera toujours incapable de se placer sous la domination du Créateur, de devenir un être humain créé dans le sens le plus vrai du terme et de jouir de l’approbation du Créateur. Une personne qui connaît vraiment et expérimente la souveraineté du Créateur devrait être dans un état actif, et non passif ou impuissant. Alors que cette personne accepte que toutes choses soient conduites par le destin, il lui faut posséder une définition précise de la vie et du destin : que chaque vie est soumise à la souveraineté du Créateur. Quand on regarde en arrière sur la route que l’on a parcourue, quand on se rappelle toutes les étapes de son voyage, on voit qu’à chaque étape, que le voyage ait été ardu ou facile, Dieu guidait son sentier, le planifiait. Ces méticuleux arrangements de Dieu, Sa planification ordonnée, ont conduit l’homme, inconsciemment, jusqu’à ce jour. Être en mesure d’accepter la souveraineté du Créateur, de recevoir Son salut, quelle grande fortune ça représente ! Si une personne a une attitude négative envers le destin, cela prouve qu’elle résiste à tout ce que Dieu a arrangé pour elle, qu’elle n’a pas une attitude de soumission. Si l’homme a une attitude positive envers la souveraineté de Dieu sur le destin humain, quand il regarde en arrière sur son parcours, quand il comprend vraiment la souveraineté de Dieu, il désirera plus ardemment se soumettre à tout ce que Dieu a arrangé, il aura plus de détermination et de confiance pour laisser Dieu orchestrer son destin et pour cesser de se rebeller contre Dieu. Car on voit que lorsque l’on ne comprend pas le destin, quand on ne comprend pas la souveraineté de Dieu, quand, obstinément, on avance sur son chemin à l’aveuglette, en chancelant et en titubant à travers le brouillard, le voyage est trop difficile, trop pénible. Donc, quand les gens reconnaissent la souveraineté de Dieu sur le destin humain, les plus intelligents choisissent de le connaître et de l’accepter, de dire adieu aux jours douloureux où ils essayaient de se façonner une bonne vie de leurs propres mains et d’arrêter de lutter contre le destin pour poursuivre leurs prétendus « objectifs de vie » à leur manière. Quand on n’a pas Dieu, quand on ne peut pas Le voir, quand on ne peut pas reconnaître clairement la souveraineté de Dieu, chaque jour est vide de sens, sans valeur, misérable. Partout où l’on est, quel que soit son travail, ses moyens de subsistance et la poursuite de ses objectifs n’apportent qu’un chagrin sans fin et une souffrance affligeante, au point que l’on ne peut pas supporter de regarder en arrière et de voir son passé. Ce n’est qu’en acceptant la souveraineté du Créateur, en se soumettant à Ses orchestrations et à Ses arrangements et en cherchant la vraie vie humaine que l’on commencera à se libérer progressivement de toute peine et de toute souffrance et à se débarrasser de tout le néant de la vie.
– La Parole, vol. 2 : Sur la connaissance de Dieu, Dieu Lui-même, l’Unique III
Parce que les gens ne reconnaissent pas les orchestrations de Dieu et la souveraineté de Dieu, ils continuent à défier le destin insolemment et avec une attitude rebelle, et ils sont toujours tentés de rejeter l’autorité et la souveraineté de Dieu, ainsi que les choses que le destin a en réserve, espérant en vain changer leur situation actuelle et modifier leur destin. Mais ils ne peuvent jamais réussir et sont sans arrêt contrariés. Cette lutte, qui se déroule au fond de l’âme, génère une profonde douleur, une douleur du genre à s’incruster jusqu’à la moelle, tandis que l’on gaspille sa vie pendant tout ce temps. Quelle est la cause de cette douleur ? Est-elle due à la souveraineté de Dieu, ou au fait qu’une personne soit née malchanceuse ? Évidemment, ni l’un ni l’autre n’est vrai. Au fond, elle est due aux voies que les gens prennent, aux façons dont ils choisissent de mener leur vie. Certaines personnes peuvent ne pas avoir pris conscience de ces choses. Mais quand tu le sais vraiment, quand tu arrives vraiment à reconnaître que Dieu a la souveraineté sur le destin humain, quand tu comprends vraiment que tout ce que Dieu a prévu pour toi et décidé pour toi te profite énormément et que c’est une grande protection, tu ressens alors peu à peu que ta douleur commence à s’apaiser et que tout ton être se détend, s’affranchit et se libère. À en juger par les états de la plupart des gens, ils ne sont objectivement vraiment pas capables d’appréhender la valeur pratique et le sens de la souveraineté du Créateur sur le destin humain, bien qu’à un niveau subjectif ils ne veuillent pas continuer à vivre comme avant et qu’ils veuillent être soulagés de leur douleur ; objectivement, ils ne peuvent pas vraiment reconnaître la souveraineté du Créateur ni s’y soumettre, et encore moins savoir comment rechercher et accepter les orchestrations et arrangements du Créateur. Donc, si les gens ne peuvent pas vraiment reconnaître le fait que le Créateur a la souveraineté sur le destin humain et sur toutes les questions humaines, s’ils ne peuvent pas se soumettre vraiment à la domination du Créateur, alors il sera difficile pour eux de ne pas être entraînés et assujettis par l’idée que « le destin de chacun repose entre ses propres mains ». Il leur sera difficile de se débarrasser de la douleur de leur lutte intense contre le destin et l’autorité du Créateur, et inutile de dire que ce sera aussi difficile pour eux de se libérer et de s’affranchir véritablement pour devenir des adorateurs de Dieu. Or il existe un moyen extrêmement simple de se libérer de cet état : c’est de faire ses adieux à son ancienne façon de vivre, dire au revoir aux objectifs poursuivis antérieurement dans la vie, synthétiser et analyser son style de vie, sa vision de la vie, ses poursuites, ses désirs et ses idéaux du passé, puis les comparer avec la volonté de Dieu et avec Ses exigences à l’endroit de l’homme et voir si l’un ou l’autre de ces éléments est conforme à la volonté et aux exigences de Dieu, si l’un ou l’autre offre les bonnes valeurs de la vie, conduit à une meilleure compréhension de la vérité et permet de vivre avec humanité et à la ressemblance de l’être humain. Lorsque tu sondes régulièrement et dissèques soigneusement les différents objectifs que les gens poursuivent dans la vie et leurs nombreuses manières de vivre, tu constateras que pas un d’entre eux ne correspond à l’intention originale avec laquelle le Créateur a créé l’humanité. Tous éloignent les gens de la souveraineté et des soins du Créateur ; ce sont tous des pièges qui rendent les gens dépravés et qui les mènent en enfer. Une fois que tu le reconnais, ta tâche est de mettre de côté ton ancienne vision de la vie, de te tenir à distance des différents pièges, de laisser Dieu piloter ta vie et l’arranger pour toi, d’essayer simplement de te soumettre aux orchestrations et à la direction de Dieu, de vivre sans choix individuel et de devenir une personne qui adore Dieu. Cela semble facile, mais c’est une chose difficile à faire. Certaines personnes peuvent en supporter la peine, d’autres ne le peuvent pas. Certains sont prêts à se conformer, d’autres n’y sont pas disposés. À ceux qui ne veulent pas manquent le désir et la résolution de le faire ; ils sont clairement conscients de la souveraineté de Dieu, savent parfaitement bien que c’est Dieu qui planifie et arrange le destin humain, et pourtant ils se débattent, luttent toujours et refusent toujours de remettre leurs destins entre les mains de Dieu et de se soumettre à la souveraineté de Dieu ; en plus, ils n’aiment pas les orchestrations et les arrangements de Dieu. Donc, il y aura toujours des gens qui veulent voir par eux-mêmes ce dont ils sont capables ; ils veulent changer leur destin de leurs propres mains, ou réaliser le bonheur par leur propre pouvoir, voir s’ils peuvent dépasser les limites de l’autorité de Dieu et s’élever au-dessus de la souveraineté de Dieu. La tragédie de l’homme n’est pas qu’il cherche la vie heureuse, n’est pas qu’il poursuive la gloire et la fortune ou les luttes contre son propre destin à travers le brouillard, mais qu’après avoir vu l’existence du Créateur, après avoir appris le fait que le Créateur avait la souveraineté sur le destin humain, il ne peut toujours pas changer ses voies, ne peut pas s’extraire de la boue, mais durcit son cœur et persiste dans ses erreurs. Il préférerait continuer à se vautrer dans la boue, à rivaliser obstinément avec la souveraineté du Créateur, à résister jusqu’au bout, le tout sans la moindre once de contrition. Ce n’est que lorsqu’il est complètement à bout qu’il se décide enfin à abandonner et à faire demi-tour. Voilà le vrai malheur de l’homme. C’est pourquoi Je dis : ceux qui choisissent de se soumettre sont sages et ceux qui choisissent de lutter et de fuir sont vraiment insensés.
– La Parole, vol. 2 : Sur la connaissance de Dieu, Dieu Lui-même, l’Unique III