Comment poursuivre la vérité (16)

Sur quoi portait l’échange lors de la dernière réunion ? (Lors de la dernière réunion, Dieu a principalement échangé sur l’abandon du conditionnement de la famille exercé à travers les traditions, les superstitions et la religion. Dieu a échangé en détail sur certains dictons superstitieux tels que : « Des raviolis pour le départ, des nouilles pour le retour » et « Un tic à l’œil gauche prédit la fortune tandis qu’un tic à l’œil droit prédit un désastre », ainsi que sur l’effet que produisent sur les gens certaines coutumes traditionnelles liées au Nouvel An chinois et à d’autres fêtes. Parallèlement, Dieu a échangé sur la bonne façon d’aborder ces pratiques et dictons traditionnels et superstitieux, qui consiste à croire que certains évènements se produiront effectivement, tout en croyant que tout est entre les mains de Dieu. Indépendamment de ce que ces dictons peuvent annoncer ou des évènements qui peuvent se produire, nous devons tous adopter une attitude d’acceptation et de soumission et être capables de nous mettre à la merci de l’orchestration et des dispositions de Dieu.) Tels étaient les éléments fondamentaux de notre échange lors de la dernière réunion. En ce qui concerne les traditions, les superstitions et les religions instillées par le conditionnement familial, nous avons échangé en détail sur certaines situations que les gens rencontrent dans leur vie quotidienne. Bien que le contenu de notre échange n’ait porté que sur les traditions, les superstitions et les religions telles qu’elles se manifestent dans la vie quotidienne des Chinois que nous connaissons tous, et en sachant qu’elles ne sauraient être représentatives de toutes les nations et de toutes les couleurs de peaux, les traditions, les superstitions et les religions auxquelles s’attachent les personnes vivant dans différentes régions et appartenant à différentes ethnies sont de même nature – les gens observent tous des traditions, des habitudes de vie et des dictons superstitieux qui leur ont été transmis par leurs ancêtres. Que ces superstitions soient le produit psychologique de l’esprit des gens ou qu’elles aient une réalité objective, en somme, votre attitude à leur égard devrait être de reconnaître clairement la pensée première ou l’essence qui se cache derrière ces superstitions. Dans le même temps, vous ne devez pas les laisser vous influencer ou vous perturber. Bien au contraire, vous devez croire que tout ce qui concerne les gens est entre les mains de Dieu, que ce ne sont pas les superstitions qui manipulent les gens, et qu’elles ne dictent certainement pas non plus leur destin ou leur vie quotidienne. Que les superstitions soient réelles ou non, qu’elles soient efficaces ou vraies, dans tous les cas, lorsqu’ils sont confrontés à de telles questions, les gens devraient s’en remettre à un principe conforme à la vérité. Ils ne doivent pas céder aux charmes ni tomber sous l’emprise de ces superstitions, et ils ne doivent sûrement pas les laisser interférer avec les objectifs ordinaires de leur poursuite ou leur pratique des principes. Entre les thèmes de la tradition, la superstition et la religion, c’est la superstition qui crée le plus d’interférences et exerce la plus grande influence sur la vie, les pensées et les points de vue des gens sur toutes sortes de questions. En général, les gens n’osent pas renoncer à ces dictons et énoncés superstitieux, et les problèmes que ces superstitions engendrent dans la vie ne sont jamais résolus. Le fait que les gens n’osent pas briser les chaînes de ces affirmations superstitieuses dans leur vie quotidienne est la preuve qu’ils n’ont pas encore assez foi en Dieu. Ils n’ont pas encore vraiment perçu ou compris précisément la réalité de la souveraineté de Dieu sur toutes choses et sur le destin de l’humanité. Ainsi, confrontés à un dicton superstitieux ou à des sentiments induits par la superstition, les gens se retrouvent pieds et poings liés. En particulier lorsqu’il s’agit d’évènements majeurs liés à la vie et à la mort, à leur bonne fortune ou à la vie et à la mort de leurs proches, les gens se trouvent encore plus enchaînés à ces soi-disant interdits et énoncés superstitieux et, dans une large mesure, sont incapables de s’en libérer. Ils sont dans la peur constante d’enfreindre un interdit et de le voir se réaliser, de voir un malheur les frapper, et qu’il leur arrive quelque chose de grave. En matière de superstition, les gens sont toujours incapables d’aller au fond des choses, et encore moins capables de se libérer des chaînes de toutes sortes d’affirmations superstitieuses. Bien entendu, ils sont également incapables de comprendre l’influence qu’exerce la superstition sur leur vie. Sur le plan du comportement humain et des pensées et points de vue des gens sur les superstitions, la conscience et les perspectives de leurs pensées sont encore, dans une large mesure, tourmentées par Satan et dominées par une sorte de force invisible étrangère au monde matériel. Par conséquent, alors que les gens suivent Dieu et acceptent Ses paroles, ils n’en demeurent pas moins sous l’emprise des dictons superstitieux qui font écho à leur bonne fortune, à la vie et à la mort, et à leur existence. En d’autres termes, au plus profond d’eux-mêmes, ils continuent de croire que ces affirmations superstitieuses sont vraiment réelles. Qu’est-ce que cette croyance implique pour eux ? Cela signifie que les gens restent contrôlés par les griffes invisibles qui se cachent derrière ces superstitions, au lieu de reconnaître vraiment que leur destin est régi et orchestré par la main de Dieu. Cela signifie aussi qu’ils ne sont pas pleinement heureux ou même à l’aise en remettant leur destin entre les mains de Dieu, et qu’en réalité ils sont sous l’emprise de Satan sans le vouloir. Par exemple, la vie quotidienne, les lois de la survie, les notions et ainsi de suite des gens qui sont régulièrement dans les affaires, qui voyagent souvent et qui croient plus ou moins aux pratiques et aux dictons superstitieux tels que la voyance, le Ba gua et le Yi Jing, l’étude du Yin-Yang, et autres, sont profondément influencées, dominées et manipulées par ces superstitions. En d’autres termes, quoi qu’ils fassent, ils ressentent le besoin d’avoir une base théorique issue de la superstition. Par exemple, avant de sortir, ils doivent vérifier ce qui est dit dans le calendrier et si des interdits sont mentionnés. Lorsqu’ils font des affaires, signent des contrats, achètent ou vendent des maisons, etc., ils doivent absolument consulter le calendrier ce jour-là. S’ils ne le font pas, le doute s’empare d’eux et ils craignent ce qui pourrait arriver. Ils n’ont de certitude et de tranquillité d’esprit que lorsqu’ils agissent et prennent des décisions après avoir consulté le calendrier. En outre, s’il leur arrive quelques déconvenues après avoir enfreint certains interdits, leur perception et leur croyance en la réalité de ces superstitions s’en trouvent renforcées et ils deviennent liés à ces superstitions. Ils croient plus fermement encore que le destin, la bonne fortune, la vie et la mort des gens dépendent de dictons superstitieux et que, dans le monde invisible et mystique, une grande main invisible contrôle leur bonne fortune personnelle, leur vie et leur mort. Par conséquent, ils croient avec ferveur à tous les dictons superstitieux, en particulier ceux qui sont étroitement liés à leur vie et à leur survie, à tel point qu’après avoir cru en Dieu, bien qu’ils affirment admettre et croire que le destin des gens est entre les mains de Dieu, ils n’en demeurent pas moins, souvent et involontairement, déstabilisés et dominés au plus profond de leur cœur par diverses affirmations superstitieuses. Certaines personnes confondent même ces soi-disant interdits de la vie – ce qui entre en conflit avec quelque chose, ce qui est voué à se produire dans le destin d’une personne, et autres affirmations superstitieuses du même genre – avec les vérités-principes, et s’y conforment. Ces attitudes que les gens adoptent à l’égard des superstitions ont un impact considérable sur leur état d’esprit en liaison avec la vérité et les paroles de Dieu en présence de Dieu. Elles affectent aussi considérablement l’attitude des êtres créés envers le Créateur et, bien sûr, l’attitude de Dieu envers ces personnes. En effet, bien que ces dernières suivent Dieu, elles sont encore volontairement et involontairement dominées et déstabilisées par diverses pensées et paroles induites par des superstitions qui leur ont été inculquées par Satan. En même temps, il est également difficile pour les gens d’abandonner ces différentes pensées et affirmations liées à la superstition.

De toutes les choses à travers lesquelles les familles conditionnent les gens, en fait, ce sont les superstitions qui les perturbent au plus haut degré, et qui produisent les effets les plus profonds et les plus durables sur eux. Par conséquent, en matière de superstitions, les gens devraient les examiner et apprendre à les connaître une par une dans leur vie réelle, pour déterminer s’ils ont subi un conditionnement ou une influence quelconque et de nature superstitieuse de la part de leur famille proche, de leur famille élargie ou de leur clan. Si c’est le cas, ils doivent abandonner ces superstitions une à une, au lieu de s’y accrocher, car elles n’ont aucun rapport avec la vérité. Lorsque la pratique d’un mode de vie traditionnel se manifeste régulièrement dans la vie quotidienne d’une personne, il peut conduire cette dernière à tomber docilement et involontairement sous l’emprise de Satan. De plus, les dictons superstitieux qui influencent les pensées des gens sont d’autant plus susceptibles de les garder fermement sous le contrôle du pouvoir de Satan. C’est pourquoi, outre les traditions et les religions, il convient d’abandonner rapidement toute pensée, toute opinion, tout dicton ou toute règle de vie inspirés par la superstition, et de ne pas s’y accrocher. Avec Dieu, il n’y a pas d’interdits. Les paroles de Dieu, Ses exigences à l’égard de l’humanité et Ses intentions sont clairement exprimées dans la parole de Dieu. De plus, tout ce que Dieu dit aux gens ou exige d’eux dans Ses paroles se rapporte à la vérité et n’a rien de farfelu. Dieu ne fait que dire clairement et sans détour aux hommes comment agir et quels principes respecter dans tel ou tel domaine. Il n’y a pas d’interdits, ni de détails ou de paroles farfelues. Ce que les gens doivent faire, c’est agir conformément aux vérités-principes en fonction de leur situation personnelle concrète. Pour pratiquer les paroles de Dieu et se conformer aux vérités-principes, il n’est pas nécessaire de regarder la date ou l’heure ; il n’y a pas de tabous. Il n’est pas non plus nécessaire de consulter un calendrier, et encore moins un horoscope, ni de savoir si c’est la pleine lune ou la nouvelle lune ce jour-là ; vous n’avez pas à vous préoccuper de ces choses. Sous la domination de Dieu et dans la souveraineté de Dieu, les gens sont libres et libérés. Leurs cœurs sont calmes, joyeux et en paix, ils ne sont pas envahis par la panique ou la peur, et encore moins par la répression. La panique, la peur et la répression ne sont que des sentiments induits par divers dictons superstitieux. La vérité, les paroles de Dieu, les exigences de Dieu et l’œuvre du Saint-Esprit apportent aux hommes la paix et la joie, la liberté et la libération, la quiétude et le bonheur. La superstition, quant à elle, apporte aux gens tout le contraire. Tu te retrouves pieds et poings liés, sans pouvoir faire ceci ou cela ni manger ceci ou cela. Tout ce que vous faites est mal et tout ce que vous faites implique un interdit, et tout doit toujours respecter les dictons du vieil almanach. La date du calendrier lunaire, ce que l’on peut faire tel ou tel jour, si l’on peut sortir ou non – même pour se couper les cheveux, se baigner, changer de vêtements et voir des gens – tout cela est lié à différents tabous spécifiques. Les mariages et les enterrements, les déménagements, faire les courses et rechercher un emploi, notamment, dépendent tout particulièrement de l’almanach. Satan a recours à toutes sortes de dictons superstitieux et farfelus pour garder les gens pieds et poings fermement liés. Dans quel but fait-il cela ? (Pour contrôler les gens.) Pour le dire en termes plus contemporains, il fait sentir sa présence. Qu’est-ce que cela signifie ? Cela signifie qu’il fait savoir aux gens qu’il est présent, il leur fait savoir que ces affirmations sur les interdits qu’il met en avant sont réelles, que c’est lui qui a le dernier mot, qu’il peut faire ces choses, et que si tu n’écoutes pas, il te donnera quelque chose à regarder. Comment se formule cette allégorie ? Elle dit : « Une vieille dame met du rouge à lèvres – pour te donner quelque chose à regarder. » Cela signifie que si tu n’écoutes pas ou si tu violes cet interdit, tôt ou tard tu devras en payer les conséquences. Quand les gens ne croient pas en Dieu, ils ont peur de ces interdits, parce qu’après tout, les gens sont de chair, et ils ne peuvent pas lutter contre toutes les formes que prennent les démons et Satan dans le domaine spirituel. Mais maintenant que tu es revenu devant Dieu, tout ce qui te concerne, y compris tes pensées et chaque jour de ta vie, est sous le contrôle de Dieu. Dieu veille sur toi, Il te protège. Tu vis et existes sous la domination de Dieu, et tu n’es pas sous l’emprise de Satan. Par conséquent, tu n’as plus besoin de respecter ces interdits. En revanche, si tu crains toujours que Satan puisse te faire du mal, ou que de mauvaises choses t’arrivent si tu n’écoutes pas Satan ou si tu ne crois pas aux choses interdites édictées dans les superstitions, cela prouve que tu crois encore que Satan peut contrôler ton destin. Parallèlement, cela prouve que tu es disposé à te soumettre à la manipulation de Satan et que tu n’es pas prêt à accepter la souveraineté de Dieu. Satan fait tout cela pour faire savoir aux gens qu’il existe vraiment. Il veut utiliser ses pouvoirs magiques pour contrôler l’humanité, pour contrôler tout ce qui vit. S’il cherche à contrôler ces êtres vivants, c’est pour mieux les détruire, et le but ultime, le résultat final, de cette destruction est de les dévorer. Bien sûr, ce contrôle vise aussi à amener les gens à l’adorer. Si le diable Satan veut faire sentir sa présence, il doit faire preuve d’une certaine efficacité. Par exemple, il peut transformer un œuf en excréments. Cet œuf est donné en offrande à l’autel d’un esprit démoniaque, et si tu as faim et que tu veux le manger, et que tu tentes de le reprendre au diable, alors, il transforme l’œuf en excréments pour te montrer son pouvoir. Tu auras peur de lui et tu n’oseras pas lui disputer cette nourriture. Si une chose te fait avoir peur de lui, puis une autre à nouveau, tu finiras par croire en lui aveuglément. Et si tu crois aveuglément en lui assez longtemps, tu finiras par l’adorer dans les profondeurs de ton cœur. Ne sont-ce pas là les objectifs des agissements de Satan ? Satan agit précisément pour satisfaire ces objectifs. Au sud comme au nord, toutes couleurs de peau confondues, tous les humains vénèrent à genoux des esprits mauvais et impurs. Pourquoi les vénèrent-ils à genoux ? Comment ces esprits mauvais et impurs qu’ils vénèrent à genoux parviennent-ils toujours à leur faire brûler de l’encens pour eux, d’une génération à l’autre ? Si tu dis qu’ils n’existent pas, pourquoi donc tant de gens croient-ils en eux et continuent-ils à brûler de l’encens pour eux, à se prosterner devant eux, à leur faire des vœux puis à accomplir leurs vœux, de génération en génération ? N’est-ce pas parce que ces esprits mauvais et impurs ont fait quelque chose ? Si tu n’écoutes pas les paroles des mauvais esprits, ils te feront tomber malade, ils feront en sorte que les choses aillent mal pour toi, que des catastrophes s’abattent sur toi, ils rendront les vaches de ta famille malades et incapables de labourer les champs, et ils provoqueront même des accidents de voiture dans ta famille. Ils chercheront à te causer des ennuis, et plus ils le feront, plus tu auras d’ennuis. Tu ne peux pas refuser d’obtempérer et, au bout du compte, tu n’auras d’autre choix que de les vénérer à genoux, et tu courberas volontiers la tête pour te soumettre à eux, et c’est alors qu’ils seront satisfaits. Dès lors, tu leur appartiendras. Regarde ces gens dans la société qui sont asservis par des esprits renards ou par les différentes figures du domaine spirituel que l’on voit sur les autels. Comment appelle-t-on cela ? Nous appelons cela être possédé par de mauvais esprits et être habité par de mauvais esprits. Pour le commun des mortels, on appelle cela être asservi par un esprit ou avoir le corps possédé par quelque chose. Lorsque les mauvais esprits commencent à chercher des corps pour en prendre le contrôle, leurs cibles ne sont pas disposées à les laisser faire, de sorte que les mauvais esprits interfèrent avec elles et les déstabilisent, en faisant advenir des accidents et des problèmes dans leurs familles. Ceux qui travaillent dans les affaires subissent des pertes et ne trouvent jamais de clients ; ils sont entravés au point de ne plus pouvoir s’en sortir et d’avoir beaucoup de mal à progresser. Finalement, ils se soumettent et acceptent. Une fois qu’ils ont donné leur accord, les mauvais esprits utilisent leur corps physique pour faire des choses, pour envoyer des signes et accomplir des prodiges, pour attirer d’autres personnes, pour traiter des maladies, pour lire l’avenir, pour aider à invoquer les esprits des morts, et plus encore. Les mauvais esprits n’utilisent-ils pas ces moyens pour fourvoyer, corrompre et contrôler les gens ?

Si les croyants en Dieu ont les mêmes points de vue et les mêmes opinions que les non-croyants sur ces affirmations superstitieuses, quelle nature faut-il y voir ? (C’est défier et blasphémer Dieu.) C’est vrai, cette réponse est tout à fait exacte, c’est un grave blasphème contre Dieu ! Tu suis Dieu et tu dis que tu crois en Lui, mais en même temps, tu es contrôlé et déstabilisé par des superstitions. Tu es même capable de suivre les pensées inculquées aux gens par les superstitions, et plus grave encore, certains d’entre vous ont peur de ces pensées et de ces faits liés aux superstitions. C’est là le plus grand blasphème contre Dieu. Non seulement tu n’es pas capable de porter témoignage de Dieu, mais encore, tu suis Satan dans la résistance à la souveraineté de Dieu – c’est un blasphème contre Dieu. Vous comprenez ? (Oui.) L’essence des gens qui croient en des superstitions ou qui observent des superstitions est de blasphémer contre Dieu, alors ne devriez-vous pas abandonner les différents types de conditionnement que les superstitions exercent sur vous ? (Oui.) La façon la plus simple d’abandonner en pratique est de ne pas se laisser déstabiliser par elles, que ces superstitions soient réelles ou non, et quelles qu’en soient les conséquences. Même si les affirmations faites par les superstitions sur telle ou telle chose sont objectivement réelles, tu ne dois pas te laisser déstabiliser ou asservir par elles. Pourquoi cela ? Parce que tout est orchestré par Dieu. Même lorsque Satan accomplit quelque chose, il le fait avec la permission de Dieu. Sans la permission de Dieu, comme Dieu l’a dit, Satan n’ose même pas toucher un seul cheveu de ta tête. C’est un fait, et c’est une vérité à laquelle les gens doivent croire. Par conséquent, peu importe laquelle de tes paupières a des spasmes, que tu rêves que tes dents tombent, que tu perds tes cheveux, à propos de la mort ou toute autre sorte de cauchemar, tu dois croire que ces choses sont entre les mains de Dieu et ne pas les laisser t’influencer ou te déstabiliser. Personne ne peut changer les choses que Dieu veut accomplir, et personne ne peut changer les choses que Dieu a ordonnées. Les choses ordonnées et prévues par Dieu sont déjà des faits accomplis. Que tu aies ou non une prémonition, ou qu’un signe, quel qu’il soit, te soit envoyé par Satan et ces démons du domaine spirituel, tu ne dois pas les laisser te déstabiliser. Crois simplement que tout cela est entre les mains de Dieu et que les gens doivent se soumettre à l’orchestration et aux dispositions de Dieu. Qu’elle soit sur le point de se produire ou qu’elle ne puisse pas se produire, toute chose est sous le contrôle de Dieu et sous Son ordonnancement. Personne ne peut la changer, et encore moins interférer avec elle. C’est un fait. C’est le Créateur que les gens doivent vénérer à genoux, et non une quelconque force du domaine spirituel qui peut faire en sorte que les superstitions se réalisent ou soient rétablies. Quelle que soit l’étendue des pouvoirs magiques des démons et de Satan, quels que soient les miracles qu’ils peuvent accomplir, quelles que soient les choses qu’ils peuvent réaliser, quels que soient les prémonitions des gens et les dictons superstitieux qu’ils peuvent transformer en réalité, rien de tout cela ne signifie qu’ils tiennent le destin des gens entre leurs mains. Ce que les gens vénèrent à genoux et ce en quoi ils croient ne doit pas être les démons et Satan, mais le Créateur. Telles sont les choses que les gens doivent comprendre concernant le conditionnement familial à travers les traditions, les superstitions et les religions. En somme, qu’il s’agisse de traditions, de superstitions ou de religions, toute chose qui n’a rien à voir avec les paroles de Dieu, la vérité ou les exigences de Dieu envers les gens, alors, ces derniers doivent lâcher prise et l’abandonner. Qu’il s’agisse d’un mode de vie ou d’une forme de pensée, d’une règle ou d’une théorie, dès lors que cela n’a rien à voir avec la vérité, c’est là quelque chose dont les gens doivent se débarrasser. Par exemple, selon les notions des gens, ce qui a trait à la religion, comme le christianisme, le catholicisme, le judaïsme, et autres, est considéré comme relativement noble et sacré par rapport à la superstition, à la tradition ou à l’idolâtrie. Les gens éprouvent une certaine admiration ou une certaine faveur à leur égard dans leurs notions et dans les profondeurs de leur esprit, mais même ainsi, les gens devraient abandonner les symboles, des fêtes et des représentations liés à la religion et ne devraient pas les chérir autant ou les considérer comme la vérité même, en les vénérant à genoux, ou même en leur réservant une place dans leurs cœurs. Cela ne devrait pas être fait. Les symboles religieux, les activités religieuses, les fêtes religieuses, certaines icônes religieuses, ainsi que certains dictons relativement nobles de la religion, et autres, entrent tous dans le cadre de la religion, telle que nous en avons parlé. En somme, le but de tout ceci est de te faire comprendre quelque chose : dès lors qu’il s’agit de choses ayant trait à la superstition, à la tradition et à la religion, qu’elles soient nobles ou relativement farfelues, tant qu’elles ignorent la vérité, tant qu’elles n’ont rien à voir avec la vérité, les gens doivent les abandonner et ne pas s’y accrocher. Bien entendu, les sujets qui en particulier violent les vérités-principes doivent être abandonnés et ne sauraient être conservés sous aucun prétexte. Les gens doivent résolument abandonner toutes ces choses induites par le conditionnement et l’influence de leur famille, l’une après l’autre, et ne pas se laisser affecter par elles. Par exemple, quand tu rencontres des frères et des sœurs à Noël, dès que tu les vois, tu leur dis : « Joyeux Noël ! Joyeux Noël ! » Est-ce bien de dire : « Joyeux Noël » ? (Non, ce n’est pas bien.) Est-il approprié de dire : « Puisqu’on commémore le jour où Jésus est né, ne devrions-nous pas prendre un jour de congé et ne rien faire du tout, quels que soient le travail et les tâches qui nous attendent, ne devrions-nous pas nous arrêter et nous concentrer sur la commémoration du jour le plus mémorable de cette période passée de l’œuvre de Dieu ? » (Non, ce n’est pas approprié.) Pourquoi n’est-ce pas approprié ? (Parce qu’il s’agit d’une œuvre que Dieu a accomplie dans le passé, et que cela n’a rien à voir avec la vérité.) D’un point de vue doctrinal, c’est le cas. Vous avez saisi la racine du problème d’un point de vue théorique, mais qu’en est-il en réalité ? C’est la question la plus simple, et vous ne pouvez pas Me donner de réponse. Dieu n’aime pas que les gens fassent de telles choses ; Il déteste voir cela. C’est aussi simple que cela. Pendant les fêtes, les non-croyants disent : « Bonne année ! Joyeux Noël ! » S’ils Me saluent, Je Me contente de hocher la tête et de dire : « À toi aussi ! », ce qui signifie « Joyeux Noël à toi aussi ». Je me contente de cette salutation, et c’est tout. Mais Je ne dis jamais cela lorsque je rencontre des frères et des sœurs. Pourquoi cela ? Parce que c’est une fête de non-croyants, une fête commerciale. En Occident, presque toutes les fêtes, qu’elles soient traditionnelles ou créées par l’homme, sont en fait liées au commerce et à l’économie. Même pour certaines nations constituées de longue date, leurs fêtes qui étaient simplement liées à la tradition ont progressivement évolué vers diverses activités commerciales à partir du XXe siècle, et constituent d’excellentes occasions de faire des affaires pour les commerçants. Que ces fêtes soient commerciales ou traditionnelles, elles n’ont en tout cas rien à voir avec les gens qui croient en Dieu. Quel que soit l’enthousiasme que montrent les non-croyants ou même les adhérents religieux pour ces fêtes, ou la grandeur et la magnificence de ces fêtes dans quelque pays ou nation que ce soit, elles n’ont rien à voir avec ceux d’entre nous qui suivent Dieu ; et ce ne sont pas là des fêtes que nous devrions observer, et encore moins célébrer ou commémorer. Sans parler des fêtes traditionnelles qui viennent des non-croyants, quelle que soit la couleur de peau, le groupe ethnique ou l’époque, elles n’ont rien à voir avec nous. Même les anniversaires de chaque période et de chaque partie des trois étapes de l’œuvre de Dieu n’ont rien à voir avec nous. Par exemple, les fêtes de l’ère de la Loi n’ont rien à voir avec nous, et Pâques, Noël et ainsi de suite, de l’ère de la Grâce, n’ont certainement rien à voir avec nous. En échangeant sur ces choses, qu’est-ce que Je veux faire comprendre aux gens ? Que Dieu n’observe pas de fêtes ni de règlements dans les choses qu’Il fait. Il agit librement et délibérément, sans aucun interdit, et Il ne célèbre jamais aucune fête. Qu’il s’agisse du début, de la fin ou d’un jour particulier de l’œuvre passée de Dieu, Dieu ne le commémore jamais. Dieu ne commémore pas et ne fait pas ostensiblement remarquer aux gens ces dates, ces jours ou ces heures. D’une part, cela indique aux gens que Dieu ne commémore pas ces jours-là, qu’il ne s’y intéresse pas. D’autre part, cela indique aux gens qu’ils n’ont pas besoin de commémorer ou de célébrer ces jours-là, et qu’ils ne devraient pas les conserver. Les gens n’ont pas besoin de se souvenir des jours ou des moments liés à l’œuvre de Dieu, et encore moins de les commémorer. Que doivent faire les gens ? Ils doivent se soumettre à l’orchestration de Dieu et accepter la souveraineté de Dieu sous Sa conduite. Ils ont besoin d’accepter la vérité et de se soumettre à la vérité dans leur vie quotidienne. C’est aussi simple que cela. De cette façon, la vie ne sera-t-elle pas plus facile et plus agréable pour les gens ? (Oui.) Par conséquent, échanger sur ces sujets est une véritable source de libération et de liberté pour tout un chacun, et non de servitude. En effet, d’une part, ces sujets sont des faits objectifs et des choses vraies que les gens doivent comprendre et, d’autre part, ils libèrent les gens et leur permettent d’abandonner ces choses auxquelles ils ne devraient pas adhérer. Dans le même temps, ils permettent aux gens de savoir que ces choses ne représentent pas la vérité, et qu’il n’y a qu’un seul chemin de Dieu auquel les gens devraient adhérer, et c’est la vérité. Vous comprenez ? (Oui.)

En ce qui concerne la question de la famille, il y a d’autres aspects que les gens doivent abandonner, outre le conditionnement de leur famille. Nous avons déjà échangé sur le conditionnement que la famille exerce sur la pensée de chacun, puis nous avons échangé autour des divers dictons sur la vie inculqués aux gens par leur famille. Toutes les familles offrent à leurs membres une vie stable et un espace dans lequel se développer. Elles leur procurent également un sentiment de sécurité, un appui, et une source où puiser pour satisfaire leurs besoins fondamentaux au cours de leur croissance. Outre la satisfaction de leurs besoins émotionnels, les gens voient également leurs besoins matériels satisfaits par leur famille. Bien entendu, ils reçoivent également les choses élémentaires de la vie et les connaissances de vie générales dont ils ont besoin pour grandir. Les gens obtiennent beaucoup de choses de leur famille, de sorte que pour chaque individu, la famille fait partie intégrante de la vie et il est difficile de s’en séparer. Les avantages que la famille apporte aux gens sont nombreux, mais du point de vue de l’objet de notre échange, les diverses influences négatives, ainsi que les attitudes et les perspectives de vie négatives que la famille apporte aux gens sont également nombreuses. En d’autres termes, si ta famille t’apporte beaucoup de choses essentielles pour ta vie physique, en subvenant à tes besoins fondamentaux et en t’offrant un ancrage et un soutien émotionnels, elle t’apporte également des problèmes inutiles. Bien sûr, il est difficile pour les gens d’échapper à ces problèmes et de les abandonner avant d’avoir compris la vérité. Dans une certaine mesure, ta famille apporte à la fois de grandes et de petites perturbations dans ta vie quotidienne et ton existence, ce qui rend tes sentiments à l’égard de ta famille souvent complexes et contradictoires. C’est parce que ta famille satisfait tes besoins affectifs tout en interférant avec ta vie sur le plan émotionnel que le terme « famille » suscite, chez la plupart des gens, des réflexions complexes et difficiles à formuler. Tu ressens de la nostalgie, de l’attachement et, bien sûr, de la gratitude à l’égard de ta famille. Mais l’enchevêtrement des liens avec ta famille te fait sentir dans le même temps qu’elle est une grande source d’ennuis. Autrement dit, une fois arrivé à l’âge adulte, tout un chacun voit sa conception, ses pensées et ses points de vue à l’égard de sa famille devenir relativement complexes. S’il renonce, abandonne ou cesse complètement de penser à sa famille, sa conscience ne pourra pas le supporter. S’il pense à sa famille, s’en souvient et s’y consacre de tout son cœur comme lorsqu’il était enfant, il ne se sentira pas prêt à le faire. Les gens font souvent l’expérience de ce genre d’état, de ce genre de pensées, de points de vue ou de condition lorsqu’ils ont affaire à leur famille, et ces pensées, ces points de vue ou ces conditions proviennent également du conditionnement de leur famille. C’est le sujet sur lequel nous allons échanger aujourd’hui : le fardeau que les familles font peser sur les gens.

Tout à l’heure, nous avons échangé sur la façon dont la famille fait souvent qu’une personne se sente tiraillée et mal à l’aise. Ils veulent totalement lâcher prise, mais ils se sentent coupables dans leur conscience et n’ont pas le cœur à cela. S’ils ne lâchent pas prise, mais s’investissent de tout cœur dans leur famille et s’intègrent à elle, ils se sentent souvent désemparés, car certaines de leurs opinions sont en porte à faux avec leur famille. Les gens ont alors l’impression qu’il est particulièrement difficile de traiter avec leur famille ; ils n’arrivent pas à trouver une compatibilité totale avec elle, mais ils ne peuvent pas non plus s’en détacher complètement. Aujourd’hui, nous allons donc échanger autour de la manière dont une personne doit gérer ses relations avec sa famille. Ce sujet porte sur certains des fardeaux venant de la famille, et constitue la troisième thématique du contenu sur le lâcher-prise avec la famille – l’abandon des fardeaux qui viennent de la famille. Il s’agit d’un sujet important. Quelles sont les choses que vous êtes en mesure de comprendre à propos des fardeaux venant de la famille ? S’agit-il de responsabilités, d’obligations, de piété filiale, et autres ? (Oui.) Les fardeaux venant de la famille impliquent les responsabilités, les obligations et la piété filiale dont une personne doit s’acquitter envers sa famille. D’une part, il s’agit de responsabilités et d’obligations dont une personne doit s’acquitter, mais d’autre part – dans certaines circonstances et pour certaines personnes –, elles deviennent des perturbations dans la vie de la personne, et ces perturbations sont ce que nous appelons des fardeaux. En ce qui concerne les fardeaux familiaux, nous pouvons les aborder sous deux angles. Le premier est celui des attentes des parents. Chaque parent ou aîné a des attentes diverses, grandes ou petites, à l’égard de ses enfants. Ils espèrent que leurs enfants étudieront avec application, qu’ils se comporteront bien, qu’ils excelleront à l’école, qu’ils seront de bons élèves et ne se relâcheront pas. Ils veulent que leurs enfants soient respectés par leurs enseignants et leurs camarades de classe et que leurs notes soient régulièrement supérieures à 16. Si l’enfant ramène à la maison un 12, il sera battu, et s’il ramène une note inférieure à 12, il sera envoyé au piquet pour réfléchir à ses erreurs, ou devra rester immobile en guise de punition. Il n’aura pas le droit de manger, de dormir, de regarder la télévision ou de jouer sur l’ordinateur, et les beaux vêtements et les jouets qui lui avaient été promis ne lui seront pas achetés. Tous les parents ont des attentes variées vis-à-vis de leurs enfants et placent de grands espoirs en eux. Ils espèrent que leurs enfants réussiront dans la vie, qu’ils progresseront rapidement dans leur carrière et apporteront honneur et gloire à leurs ancêtres et à leur famille. Aucun parent ne souhaite que ses enfants deviennent des mendiants, des paysans, ou pire, des voleurs et des bandits. Les parents ne veulent pas non plus que leurs enfants deviennent des citoyens de seconde zone après leur entrée dans la société, qu’ils fouillent les poubelles, soient vendeurs à la sauvette sur les trottoirs ou soient méprisés par les autres. Indépendamment du fait que ces attentes des parents puissent être satisfaites ou non par leurs enfants, les parents ont toujours toutes sortes d’attentes à l’égard de leurs enfants. Ces attentes ne sont que la projection sur leurs enfants de choses ou de poursuites qu’ils considèrent bonnes et nobles, et ils placent leurs espoirs en eux, pour qu’ils puissent réaliser ces souhaits parentaux. Qu’est-ce que ces désirs des parents créent sans le vouloir chez leurs enfants ? (De la pression.) Ils créent de la pression, et quoi d’autre encore ? (Des fardeaux.) Ils deviennent des sources de pressions et des entraves. Comme les parents ont des attentes envers leurs enfants, ils les disciplinent, les guident et les éduquent en fonction de ces attentes ; ils vont même jusqu’à investir dans leurs enfants pour qu’ils répondent à leurs attentes, ou se montrent prêts à payer n’importe quel prix pour eux. Par exemple, les parents espèrent que leurs enfants excelleront à l’école, qu’ils seront les premiers de la classe, qu’ils auront plus de 18/20 à chaque contrôle, qu’ils seront toujours les premiers, ou au pire, qu’ils ne descendront jamais en dessous de la cinquième place. Après avoir exprimé ces attentes, les parents ne font-ils pas en même temps certains sacrifices pour aider leurs enfants à atteindre ces objectifs ? (Si.) Pour que leurs enfants atteignent ces objectifs, ces derniers devront se lever tôt le matin pour réviser les leçons et apprendre par cœur des textes, et leurs parents se lèveront également tôt pour les accompagner. Lorsqu’il fait chaud, ils aident leurs enfants à s’éventer, ils leur préparent des boissons fraîches ou leur achètent des glaces. Ils se lèvent à la première heure pour préparer du lait de soja, des beignets et des œufs pour leurs enfants. En période d’examens, notamment, les parents font manger à leurs enfants un beignet et deux œufs, en espérant que cela les aidera à obtenir la note de 20/20. Si tu dis : « Je ne peux pas manger tout ça, un seul œuf suffit », ils te répondront : « Ne sois pas bête, tu n’auras que 2/20 si tu ne manges qu’un seul œuf. Manges-en un autre pour maman. Force-toi un peu, si tu réussis à manger celui-ci, tu auras 20/20. » L’enfant dit : « Je viens de me lever, je ne peux pas encore manger. » « Non, il faut que tu manges ! Sois gentil, écoute ta mère. Maman fait ça pour ton bien, alors vas-y, mange pour ta mère. » Alors, l’enfant se dit : « Maman se soucie tellement de moi. Tout ce qu’elle fait, c’est pour mon bien, alors je vais le manger. » Ce qui est mangé, c’est un œuf, mais qu’est-ce qui est réellement avalé ? De la pression ; une réticence et un refus. La nourriture est bonne et les attentes de sa mère sont élevées, et du point de vue de l’humanité et de la conscience, on devrait les accepter, mais du point de vue de la raison, on devrait résister à ce genre d’amour et ne pas accepter cette façon de faire. Mais, hélas, il n’y a rien que tu puisses faire. Si tu ne manges pas, elle se mettra en colère et tu seras battu, grondé, voire maudit. Certains parents disent : « Regarde-toi, tellement bon à rien que même manger un œuf te demande trop d’efforts. Un beignet et deux œufs, ça ne fait pas 20 points ? N’est-ce pas pour ton bien ? Et pourtant tu ne peux pas les manger – si tu ne peux pas les manger, tu mendieras de la nourriture plus tard. C’est comme tu voudras ! » Il y a aussi des enfants qui ne peuvent vraiment pas manger, mais que leurs parents forcent à manger, et qui ensuite vomissent tout. Le vomissement en lui-même n’est pas grave, mais les parents sont alors encore plus furieux, et les enfants sont non seulement privés d’empathie et de compréhension, mais ils se retrouvent également accablés de reproches. Outre les reproches, leur impression d’avoir déçu leurs parents est renforcée, et ils s’en veulent encore plus. La vie n’est pas facile pour ces enfants, n’est-ce pas ? (Ce n’est pas facile.) Après avoir vomi, tu pleures en secret dans la salle de bain, en faisant semblant de n’avoir pas fini de vomir. En sortant de la salle de bains, tu sèches rapidement tes larmes, en t’assurant que ta mère ne te voit pas. Pourquoi ? Car si elle te voit, elle te grondera et te maudira : « Regarde-toi, tu es un incapable ; pourquoi pleures-tu ? Espèce de bon à rien, tu ne peux même pas manger un si bon repas. Que veux-tu manger ? Si tu devais te priver de ton prochain repas, tu serais capable de manger celui-ci, n’est-ce pas ? Tu es né pour souffrir ! Si tu ne travailles pas dur à l’école, si tu ne réussis pas tes examens, tu finiras à mendier de la nourriture ! » Chaque mot prononcé par ta mère semble avoir pour but d’éduquer, pourtant, il ressemble aussi à un reproche – mais que ressens-tu ? Tu ressens les attentes et l’amour de tes parents. Alors, dans cette situation, quelle que soit la dureté des paroles de ta mère, tu dois les accepter et les digérer, les larmes aux yeux. Même si tu ne peux pas manger, tu dois te forcer, et si tu as la nausée, tu dois quand même manger. Cette vie est-elle facile à supporter ? (Non.) Pourquoi cela ? Quel genre d’éducation reçois-tu à travers les attentes de tes parents ? (La nécessité d’avoir de bons résultats aux examens et de réussir mon avenir.) Tu dois te montrer prometteur, tu dois être à la hauteur de l’amour de ta mère, de son dur labeur et de ses sacrifices, tu dois répondre aux attentes de tes parents et ne pas les décevoir. Ils t’aiment tellement, qu’ils ont tout donné pour toi et ils font tout pour toi en sacrifiant leur vie. Alors, que sont devenus tous leurs sacrifices, leur éducation et même leur amour ? Ils sont devenus pour toi une dette à rembourser, et en même temps, ils sont devenus ton fardeau. C’est ainsi que se forme le fardeau. Que les parents fassent ces choses par instinct, par amour ou du fait d’impératifs sociaux, au bout du compte, recourir à ces méthodes pour t’éduquer et te traiter, et même pour t’inculquer toutes sortes d’idées, n’apporte pas à ton âme la liberté, l’affranchissement, le confort ou la joie. Que t’apportent-elles ? De la tension et de la peur, la condamnation et le mal-être de ta conscience. Quoi d’autre ? (Des chaînes et des contraintes.) Des chaînes et des contraintes. De plus, face à de telles attentes de la part de tes parents, tu ne peux pas t’empêcher de vivre pour leurs espoirs. Pour répondre à leurs attentes, pour ne pas décevoir leurs attentes et pour ne pas les laisser perdre espoir en toi, tu étudies chaque jour toutes les matières avec diligence et application, et tu fais tout ce qu’ils te demandent de faire. Ils ne te laissent pas regarder la télévision, alors tu résistes docilement à la tentation de la regarder, même si tu en as très envie. Où trouves-tu la force de résister ? (Dans la peur de décevoir mes parents.) Tu as peur qu’en n’écoutant pas tes parents tes résultats scolaires baissent considérablement et tu te retrouves dans l’impossibilité d’accéder à une université prestigieuse. Tu n’es pas sûr de ton avenir. Tout se passe comme si, sans la surveillance, les reproches et la répression de tes parents, tu ne savais pas ce que te réserves ton chemin. Tu n’oses pas te libérer de leurs contraintes, tu n’oses pas te libérer de leurs chaînes. Tu ne peux que les laisser t’imposer toutes sortes de règles, les laisser te manipuler, et tu n’oses pas les défier. D’un côté, tu n’as aucune certitude quant à ton avenir ; et d’un autre côté, par acquit de conscience et par humanité, tu ne veux pas les défier et tu ne veux pas leur faire de mal. Comme tu es leur enfant, tu sens bien que tu dois les écouter, car tout ce qu’ils font, ils le font pour ton bien et pour tes perspectives d’avenir. Si bien que lorsqu’ils te fixent toutes sortes de règles, tu te contentes de leur obéir en silence. Même si cent fois d’affilée, tu n’as pas le cœur à le faire, tu ne peux pas t’empêcher d’obéir à leurs ordres. Ils ne t’autorisent pas à regarder la télévision ou à lire des livres pour le plaisir, alors tu ne la regardes pas et tu ne les lis pas. Ils ne te laissent pas te lier d’amitié avec tel ou tel camarade de classe, alors tu ne te lies pas d’amitié avec lui. Ils te disent à quelle heure tu dois te lever, alors tu te lèves à l’heure dite. Ils te disent l’heure à laquelle tu dois te reposer, alors tu te reposes à l’heure dite. Ils te disent combien de temps tu dois étudier, alors tu étudies pendant le temps requis. Ils te disent combien de livres tu dois lire, combien de compétences extrascolaires tu dois acquérir, et tant qu’ils te donnent les moyens financiers nécessaires à tes apprentissages, tu les laisses te dicter ta conduite et te contrôler. Certains parents placent notamment des attentes particulières sur leurs enfants : ils espèrent que ces derniers pourront les surpasser, et plus encore que leurs enfants puissent réaliser un souhait qu’ils n’ont pas été en mesure d’accomplir eux-mêmes. Par exemple, certains parents auraient voulu devenir danseurs, mais pour diverses raisons – telles que l’époque à laquelle ils ont grandi ou la situation de leur famille – ils n’ont finalement pas réussi à réaliser ce souhait. Ils projettent alors ce souhait sur toi. Ainsi, en plus de te demander d’être parmi les meilleurs dans tes études et d’accéder à une université prestigieuse, ils t’inscrivent à des cours de danse. Ils t’obligent à apprendre différents styles de danse après l’école, à travailler davantage en cours de danse, à t’entraîner davantage à la maison et à être le meilleur du cours. En somme, ils exigent non seulement que tu sois admis dans une université prestigieuse, mais aussi que tu deviennes danseur. Tu as le choix entre devenir danseur ou aller dans une université prestigieuse pour faire des études supérieures et obtenir un doctorat. Tu n’as le choix qu’entre ces deux voies. Dans leurs attentes, d’une part, ils espèrent que tu travailleras dur à l’école, que tu accéderas à une université prestigieuse, que tu te démarqueras des autres étudiants et que tu auras un avenir prospère et glorieux. D’autre part, ils projettent sur toi leurs souhaits inassouvis, en espérant que tu pourras les réaliser pour eux. Ainsi, pour ce qui est de tes études ou de ta future carrière, tu te retrouves à porter deux fardeaux à la fois. D’un côté, tu dois répondre à leurs attentes et les remercier pour tout ce qu’ils ont fait pour toi, en t’efforçant de te démarquer de tes pairs, afin qu’ils puissent jouir d’une vie agréable. Et d’un autre côté, tu dois réaliser les rêves qu’ils n’ont pas su accomplir dans leur jeunesse et les aider à réaliser leurs souhaits. C’est épuisant, n’est-ce pas ? (Oui.) L’un ou l’autre de ces fardeaux aurait déjà été plus que suffisant pour toi ; l’un ou l’autre suffirait à te faire te sentir à l’étroit et à étouffer. En particulier, à l’époque actuelle où la concurrence est extrêmement féroce, les nombreuses exigences que les parents imposent à leurs enfants sont tout simplement insupportables et inhumaines ; elles sont tout à fait déraisonnables. Comment les non-croyants appellent-ils cela ? Du chantage émotionnel. Quel que soit le nom qu’ils lui donnent, les non-croyants ne peuvent pas résoudre ce problème, et ils ne peuvent pas expliquer clairement l’essence de ce problème. Ils appellent cela du chantage émotionnel, mais nous, comment l’appelons-nous ? (Chaînes et fardeau.) Nous appelons cela des fardeaux. Concernant les fardeaux, est-ce là quelque chose que l’individu doit porter ? (Non.) C’est quelque chose qui vient en plus, quelque chose de supplémentaire que tu prends en charge. Cela ne t’appartient pas. Ce n’est pas quelque chose que ton corps, ton cœur et ton âme possèdent ou dont ils ont besoin, mais quelque chose d’ajouté. Cela vient de l’extérieur, pas de l’intérieur.

Tes parents ont toutes sortes d’attentes à l’égard de tes études et de tes choix de carrière. Cependant, ils ont fait de nombreux sacrifices et investi beaucoup de temps et d’énergie pour que tu puisses répondre à leurs attentes. Il s’agit pour eux d’une part de t’aider à réaliser leurs propres souhaits, et d’autre part, à satisfaire leurs attentes. Que les attentes de tes parents soient raisonnables ou non, en résumé, ces comportements des parents, ainsi que les points de vue, les attitudes et les méthodes qu’ils adoptent, constituent autant de chaînes invisibles pour chaque individu. Peu importe que leur prétexte soit l’amour qu’ils te portent, tes perspectives d’avenir ou de faire en sorte que tu puisses avoir une vie future agréable, quels que soient les prétextes, en somme, l’objectif et les méthodes de ces exigences, ainsi que le point de départ de leur pensée, constituent une forme de fardeau pour tout individu. Ils ne sont pas un besoin de l’humanité. Puisqu’ils ne sont pas un besoin de l’humanité, les conséquences que ces fardeaux entraînent ne peuvent être que de déformer, pervertir et fragmenter l’humanité de chacun ; ils persécutent, blessent et oppriment l’humanité de chacun. Ces conséquences ne sont pas bénignes, mais malignes, et elles affectent même la vie de la personne. Dans leur rôle de parents, ils exigent de toi diverses choses qui vont à l’encontre des besoins de l’humanité, ou certaines choses qui vont à l’encontre des instincts de l’humanité ou les transcendent. Par exemple, ils peuvent n’autoriser leurs enfants à dormir que cinq ou six heures par nuit pendant leur croissance. Les enfants ne peuvent pas se reposer avant 23 heures et doivent se lever à 5 heures. Ils ne peuvent pas faire d’activités récréatives et ne peuvent pas se reposer le dimanche. Ils doivent faire un certain nombre de devoirs et de lectures extrascolaires, et certains parents insistent même pour que leurs enfants apprennent une langue étrangère. En somme, en plus des cours dispensés à l’école, tu dois acquérir un certain nombre de compétences et de connaissances supplémentaires. Si tu n’étudies pas, tu n’es pas un bon enfant, obéissant, travailleur ou raisonnable, mais tu es nul, un bon à rien et un imbécile. Sous prétexte d’espérer le meilleur pour leurs enfants, tes parents te privent de la liberté de dormir, de la liberté de ton enfance, ainsi que des moments heureux de ton enfance, mais aussi de toutes sortes de droits dont tu devrais jouir en tant que mineur. Au minimum, lorsque ton corps a besoin de repos – par exemple, si tu as besoin de sept à huit heures de sommeil pour que ton corps récupère – ils ne te laissent te reposer que cinq à six heures, ou parfois tu dors sept à huit heures, mais il y a une chose que tu ne peux pas supporter, c’est que tes parents ne cessent de te critiquer, ou qu’ils te disent des choses comme : « À partir de maintenant, tu n’as plus besoin d’aller à l’école. Reste à la maison et dors ! Puisque tu aimes dormir, tu vas pouvoir dormir toute ta vie à la maison. Puisque tu ne veux pas aller à l’école, tu mendieras de la nourriture plus tard ! » Être traité ainsi uniquement parce que tu ne t’es pas levé assez tôt une seule fois, n’est-ce pas un traitement inhumain ? (Si.) Alors, pour éviter cette situation tellement désagréable, tu ne peux que faire des compromis et te restreindre ; tu veilles à te réveiller à 5 heures du matin et tu ne te couches qu’après 23 heures. Est-ce que tu te restreins volontairement de la sorte ? Es-tu content de le faire ? Non. Tu n’as pas d’autre choix. Si tu ne fais pas ce que tes parents te demandent, il se pourrait qu’ils te regardent de travers ou qu’ils te grondent. Ils ne te battront pas, mais ils te diront simplement : « Nous avons jeté ton cartable à la poubelle. Tu n’as plus besoin d’aller à l’école. Reste comme ça. Quand tu auras 18 ans, tu pourras aller ramasser les ordures ! » Ils ne te battent pas, ne te grondent pas, mais ce déluge de critiques est une façon de te provoquer, et tu ne le supportes pas. Qu’est-ce que tu ne supportes pas ? Tu ne supportes pas que tes parents te disent : « Si tu dors une heure ou deux de plus, plus tard, tu finiras à mendier de la nourriture comme un clochard. » Au fond de toi, tu te sens particulièrement mal à l’aise et triste à l’idée de dormir ces deux heures supplémentaires. Tu as l’impression de devoir à tes parents ces deux heures de sommeil supplémentaires, de les avoir déçus après tout le travail qu’ils ont investi en toi pendant tant d’années, et les inquiétudes sincères qu’ils ont nourries à ton égard. Tu te détestes et tu penses : « Pourquoi suis-je si nul ? Que puis-je faire de ces deux heures de sommeil supplémentaires ? Cela améliorera-t-il mes notes ou m’aidera-t-il à entrer dans une université prestigieuse ? Comment puis-je être si peu attentif ? Lorsque le réveil sonne, je devrais me lever. Pourquoi ai-je dormi un peu plus longtemps ? » Tu réfléchis et tu te dis : « Je suis vraiment fatigué. J’ai vraiment besoin de me reposer ! » Puis tu réfléchis encore : « Je ne peux pas penser comme ça. N’est-ce pas défier mes parents que de penser ainsi ? Si je pense ainsi, ne vais-je pas devenir un mendiant plus tard ? Penser ainsi, c’est décevoir mes parents. Je devrais les écouter et me montrer moins têtu. » Sous le poids des diverses punitions et règles établies par tes parents, ainsi que de leurs diverses exigences – qu’elles soient raisonnables ou déraisonnables – tu te montres de plus en plus docile, mais dans le même temps, tout ce que tes parents font pour toi devient, imperceptiblement, tes entraves et ton fardeau. Tu as beau essayer, tu ne peux pas t’en débarrasser ou y échapper ; tu ne peux que porter ce fardeau où que tu ailles. De quel fardeau s’agit-il ? « Tout ce que mes parents font, c’est pour mon avenir. Je suis jeune et ignorant, je dois donc écouter mes parents. Tout ce qu’ils font est juste et bon. Ils ont trop souffert et trop investi pour moi. Je dois travailler dur pour eux, étudier assidûment, trouver un bon travail plus tard et gagner de l’argent pour les soutenir, leur donner une bonne vie et m’acquitter de la dette que j’ai envers eux. Voilà ce que je dois faire et ce que je dois penser. » Cependant, lorsque tu penses à la façon dont tes parents t’ont traité, lorsque tu te souviens des années difficiles que tu as vécues, de l’enfance heureuse que tu as perdue, et surtout du chantage émotionnel exercé par tes parents, tu sens bien au fond de toi que tout ce qu’ils ont fait n’était pas pour les besoins de ton humanité, ni pour les besoins de ton âme. C’était un fardeau. Bien que tu penses ainsi, tu n’as jamais osé haïr, jamais osé regarder les choses en face ni jamais osé examiner rationnellement tout ce que tes parents ont fait ou leur attitude envers toi de la manière dont Dieu te l’a dit. Tu n’as jamais osé traiter tes parents de la manière la plus appropriée, n’est-ce pas ? (Oui.) Jusqu’à présent, en matière d’études et de choix de carrière, avez-vous discerné les efforts consentis et le prix payé par vos parents pour vous, et ce qu’ils vous demandent de faire et ce qu’ils prétendent que vous devriez poursuivre ? (Je n’ai pas discerné ces choses avant, et je pensais que ce que mes parents faisaient, ils le faisaient par amour pour moi et pour me donner un meilleur avenir. Maintenant, grâce à l’échange de Dieu, j’ai un peu plus de discernement, et je ne vois plus les choses de la même façon.) Alors, qu’est-ce qui se cache derrière cet amour ? (Des chaînes, un asservissement et un fardeau.) En fait, c’est la privation de la liberté humaine et la privation du bonheur de l’enfance ; c’est une répression inhumaine. Si l’on appelait cela « abus », vous ne pourriez pas accepter ce terme en toute conscience. On ne peut donc parler que de privation de la liberté humaine et du bonheur de l’enfance, ainsi que d’une forme d’oppression des mineurs. Si nous disions qu’il s’agit d’intimidation, ce ne serait pas tout à fait exact. C’est simplement que tu es jeune et ignorant, et qu’ils ont le dernier mot sur tout. Ils ont le contrôle total de ton monde et tu deviens, sans le savoir, leur marionnette. Ils te disent ce qu’il faut faire et tu le fais. S’ils veulent que tu apprennes à danser, alors tu dois apprendre à danser. Si tu dis : « Je n’aime pas apprendre la danse ; je n’aime pas ça, je n’arrive pas à suivre le rythme et j’ai un mauvais équilibre », ils diront : « Tant pis. Tu dois apprendre la danse parce que j’aime ça. Tu dois le faire pour moi ! » Tu dois apprendre, même si c’est en larmes. Parfois, ta mère te dira même : « Apprends la danse pour maman, écoute ce que dit ta mère. Tu es encore jeune et tu ne comprends pas, mais quand tu seras grand, tu comprendras. Je fais cela pour ton bien ; tu sais, je n’avais pas les moyens quand j’étais jeune, et personne ne m’a payé de cours de danse. Maman n’a pas eu une enfance heureuse. Mais toi, tu as la belle vie maintenant. Ton père et moi gagnons et économisons de l’argent pour que tu puisses apprendre la danse. Tu es une vraie petite princesse, un vrai petit prince. Tu as tellement de chance ! Maman et papa font cela parce que nous t’aimons. » Et comment réagis-tu lorsque tu entends cela ? Tu restes sans voix, n’est-ce pas ? (Oui.) Les parents croient souvent que les enfants ne comprennent rien et que tout ce que disent les adultes est vrai ; ils pensent que les enfants ne savent ni discerner le bien du mal ni déterminer ce qui est juste pour eux. Ainsi, avant que leurs enfants aient atteint l’âge adulte, les parents disent souvent des choses auxquelles ils ne croient pas véritablement eux-mêmes pour fourvoyer leurs enfants et engourdir leur jeune cœur, et les pousser, de gré ou de force, à se conformer à leurs arrangements sans leur laisser le choix. Dès qu’il est question d’éducation, de transmission d’idées, et de certaines choses qu’ils exigent de leurs enfants, beaucoup plus de parents encore se justifient souvent en disant ce qu’ils veulent. En outre, près de 99,9 % des parents n’utilisent pas de méthodes correctes et positives pour guider leurs enfants dans la manière de faire et de comprendre toutes choses. Au lieu de cela, ils inculquent de force leurs préférences unilatérales et les choses qu’ils pensent être bonnes à leurs enfants et les forcent à les accepter. Bien entendu, 99,9 % des choses que les enfants acceptent non seulement ne correspondent pas à la vérité, mais ne sont pas non plus les pensées et les points de vue que les gens devraient avoir. Dans le même temps, elles ne correspondent pas non plus aux besoins d’humanité des enfants de cet âge. Par exemple, certains enfants de cinq ou six ans jouent à la poupée, sautent à la corde ou regardent des dessins animés. N’est-ce pas normal ? Quelles sont les seules responsabilités des parents dans cette situation ? Surveiller, réguler, donner des conseils positifs, aider leurs enfants à ne pas accepter de choses négatives pendant cette période, et les laisser accepter les choses positives qui devraient être acceptées par cette tranche d’âge. Par exemple, à cet âge, ils devraient apprendre à s’entendre avec les autres enfants, à aimer leur famille, leur mère et leur père. Les parents devraient mieux les éduquer, leur faire comprendre que l’homme vient de Dieu, qu’ils doivent être de bons enfants, apprendre à écouter les paroles de Dieu, à prier lorsqu’ils sont en difficulté ou réticents à obéir, entre autres aspects positifs de l’éducation – le reste consiste à satisfaire leurs intérêts d’enfants. Par exemple, il ne faut pas reprocher aux enfants de vouloir regarder des dessins animés et jouer à la poupée. En voyant leur enfant de cinq ou six ans regarder des dessins animés et jouer à la poupée, certains parents le réprimandent : « Tu es un incapable ! À ton âge, tu devrais te concentrer sur les études ou le travail. À quoi bon regarder des dessins animés ? Ce ne sont que des souris et des chats, tu n’as rien de mieux à faire ? Il n’y a que des animaux dans ces dessins animés, tu ne peux pas regarder quelque chose qui montre des gens ? Quand grandiras-tu ? Jette cette poupée ! Tu es trop grande pour jouer à la poupée. Tu es une bonne à rien ! » Pensez-vous que les enfants peuvent comprendre ce que les adultes veulent dire lorsqu’ils entendent cela ? Que ferait un enfant de cet âge s’il ne jouait pas à la poupée ou dans la boue ? Devrait-il construire la bombe atomique ? Créer des logiciels ? En est-il capable ? À cet âge, les enfants doivent s’amuser avec des jeux de construction, des petites voitures et des poupées ; c’est normal. Lorsqu’ils sont fatigués de jouer, ils doivent se reposer, rester en bonne santé et être heureux. Lorsqu’ils se montrent capricieux ou refusent d’entendre raison, ou bien lorsqu’ils causent délibérément des problèmes, les adultes doivent les éduquer : « Ce n’est pas correct. Ce n’est pas ainsi qu’un bon enfant doit agir. Dieu n’aime pas ça, et maman et papa n’aiment pas ça non plus. » Il incombe aux parents de conseiller leurs enfants, et non de recourir à leurs façons de faire, à leurs points de vue, à leurs désirs et à leurs ambitions d’adultes pour leur inculquer ou leur imposer quelque chose. Quel que soit l’âge de l’enfant, la responsabilité des parents à son égard consiste simplement à le guider, à l’éduquer, à veiller sur lui et à le conseiller. Lorsque les parents voient leurs enfants manifester des pensées, des pratiques et des comportements extrêmes, ils doivent leur donner des conseils positifs et les guider pour les corriger, en leur faisant comprendre ce qui est bon et ce qui est mauvais, ce qui est positif et ce qui est négatif. Telle est la responsabilité que les parents doivent assumer. C’est alors que, grâce aux méthodes d’éducation et aux conseils appropriés de leurs parents, les enfants apprendront inconsciemment de nombreuses choses qu’ils ne connaissaient pas auparavant. Ainsi, lorsque les gens acceptent de nombreuses choses positives et apprennent un peu à distinguer le bien et le mal dès leur plus jeune âge, leur âme et leur humanité seront normales et libres – leur âme ne sera ni altérée ni opprimée d’aucune façon. Indépendamment de leur santé physique, au moins, leur esprit sera sain et inaltéré, car ils auront grandi dans un environnement éducatif bienveillant, et ils n’auront pas été opprimés dans un milieu malsain. Au fur et à mesure que leurs enfants grandissent, les responsabilités et les obligations des parents consistent à ne pas exercer de pression sur leurs enfants, à ne pas les brider, ni à interférer dans leurs choix, en ajoutant un fardeau après l’autre. Au contraire, à mesure que leurs enfants grandissent, indépendamment de leur personnalité et de leur calibre, la responsabilité des parents est de les guider dans une direction positive et bienveillante. Lorsque leurs enfants manifestent un langage, un comportement ou des pensées spécifiquement inappropriés, les parents doivent leur donner des conseils spirituels, les guider dans leur comportement et les ramener dans le droit chemin en temps utile. Quant à savoir si leurs enfants sont disposés à étudier, s’ils travaillent bien, s’ils sont intéressés par l’acquisition des connaissances et des compétences, et ce qu’ils pourront faire une fois adultes, ces éléments doivent être adaptés à leurs dons naturels et à leurs préférences, ainsi qu’à l’orientation de leurs intérêts, afin qu’ils puissent grandir sainement, librement et avec vigueur au fil de leur éducation – telle est la responsabilité dont les parents doivent s’acquitter. Telle est l’attitude que les parents doivent adopter à l’égard de la croissance, des études et de la carrière de leurs enfants, plutôt que de les forcer à réaliser leurs souhaits, leurs aspirations, leurs préférences et même leurs désirs personnels. De cette manière, d’une part, les parents n’ont pas à faire de sacrifices supplémentaires et, d’autre part, les enfants peuvent grandir librement et apprendre ce qu’ils ont à apprendre grâce à l’éducation correcte et adéquate dispensée par leurs parents. Le point le plus important est que les parents traitent leurs enfants correctement en fonction de leurs talents, de leurs intérêts et de leur humanité ; s’ils traitent leurs enfants en appliquant le principe selon lequel « le destin des gens est entre les mains de Dieu », alors le résultat final sera nécessairement positif. Traiter les enfants en appliquant le principe selon lequel « le destin des gens est entre les mains de Dieu » ne signifie pas que tu seras empêché de gérer tes enfants ; tu dois les discipliner lorsqu’ils en ont besoin, et être strict si nécessaire. Qu’il soit strict ou plus permissif, le principe de traitement des enfants consiste, comme nous venons de le dire, à les laisser suivre leur cours naturel, à les guider et à les aider de manière positive, puis, en fonction de la situation concrète des enfants, à leur apporter assistance et soutien en termes de compétences, de connaissances ou de ressources, dans la mesure de tes possibilités. Voilà la responsabilité que les parents doivent assumer, plutôt que de forcer leurs enfants à faire ce qu’ils ne veulent pas faire, ou à faire quelque chose qui va à l’encontre de l’humanité. En somme, les attentes à l’égard des enfants ne devraient pas être fondées sur la compétition et les besoins sociaux actuels, sur les tendances ou les revendications sociétales, ou sur les diverses idées relatives à la manière dont les gens traitent leurs enfants dans la société. Elles doivent avant tout se fonder sur les paroles de Dieu et sur le principe selon lequel « tout est entre les mains de Dieu ». Voilà à quoi les gens devraient se consacrer le plus. Quant au genre de personnes que les enfants deviendront plus tard, au type de travail qu’ils choisiront et à leur vie matérielle future, entre les mains de qui ces choses se trouvent-elles ? (Les mains de Dieu.) Elles sont entre les mains de Dieu, et non entre celles des parents ou de qui que ce soit d’autre. Si les parents ne peuvent pas contrôler leur propre destin, comment pourraient-ils contrôler celui de leurs enfants ? Si les gens ne peuvent pas contrôler leur propre destin, comment leurs parents pourraient-ils le contrôler ? En tant que parents, les gens ne doivent donc pas faire de bêtises dès lors que ce sont les études et la carrière de leurs enfants qui sont en jeu. Ils doivent traiter leurs enfants de manière raisonnable, en ne transformant pas leurs propres attentes en fardeaux pour leurs enfants, en ne transformant pas leurs propres sacrifices, leur investissement et leurs souffrances en fardeaux pour leurs enfants, et en ne faisant pas de la famille un purgatoire pour leurs enfants. C’est un fait que les parents doivent comprendre. Certains d’entre vous se demanderont peut-être : « Quel type de relation les enfants doivent-ils donc avoir avec leurs parents ? Doivent-ils les traiter comme des amis, des collègues, ou maintenir une relation fondée sur le respect dû aux aînés ? » Tu peux régler cette question comme tu l’entends. Laisse les enfants choisir ce qu’ils veulent et fais ce que tu crois être le mieux. Il ne s’agit là que de questions insignifiantes.

Comment les enfants doivent-ils aborder les attentes de leurs parents ? Que ferais-tu si tu avais affaire à des parents qui font du chantage émotionnel à leurs enfants, des parents aussi déraisonnables et démoniaques ? (Je cesserais d’écouter leurs enseignements ; je verrais les choses selon la parole de Dieu.) D’une part, tu dois voir que leurs méthodes d’éducation, sur le plan des principes, sont erronées, et que la manière dont ils te traitent nuit à ton humanité et te prive de tes droits humains. D’autre part, tu dois toi-même croire que le destin des gens est entre les mains de Dieu. Ce que tu aimes étudier, ce en quoi tu excelles ou ce que ton calibre humain est capable d’accomplir, tout cela est prédestiné par Dieu et on ne peut rien y changer. Bien que tes parents t’aient donné naissance, ils ne peuvent rien y changer non plus. Par conséquent, quoi que tes parents te demandent de faire, si c’est quelque chose que tu ne peux pas faire, que tu ne peux pas réaliser ou que tu ne veux pas faire, tu peux refuser. Tu peux aussi les raisonner et te rattraper sur d’autres points, afin d’apaiser leurs inquiétudes à ton égard. Tu dis : « Calmez-vous ; le destin des gens est entre les mains de Dieu. Je ne prendrai en aucun cas le mauvais chemin ; je prendrai assurément le bon chemin. Avec l’aide de Dieu, je deviendrai certainement quelqu’un d’authentique, quelqu’un de bien. Je ne décevrai pas vos attentes à mon égard, et je n’oublierai pas non plus la bonté avec laquelle vous m’avez élevé. » Comment les parents réagiraient-ils après avoir entendu ces paroles ? Si les parents sont non-croyants ou qu’ils appartiennent aux démons, ils deviendraient furieux. Car, lorsque tu dis : « Je n’oublierai pas la bonté avec laquelle vous m’avez élevé et je ne vous décevrai pas », ce ne sont que des paroles en l’air. As-tu déjà accompli cela ? As-tu fait ce qu’ils t’ont demandé ? Es-tu capable de te distinguer parmi tes pairs ? Peux-tu devenir haut fonctionnaire ou faire fortune pour qu’ils puissent avoir une bonne vie ? Peux-tu les aider à obtenir des avantages tangibles ? (Non.) On ne sait pas, ce ne sont là que des incertitudes. Qu’ils soient en colère, heureux ou qu’ils supportent les choses en silence, quelle attitude devrais-tu adopter ? Les gens viennent en ce monde pour remplir la mission que Dieu leur a confiée. Les gens ne devraient pas vivre pour satisfaire les attentes de leurs parents, pour les rendre heureux, pour leur apporter la gloire ou pour leur permettre de mener une vie prestigieuse aux yeux des autres. Ce n’est pas de ta responsabilité. Ils t’ont élevé ; et quoi qu’il leur en ait coûté, ils l’ont fait de leur plein gré. C’était leur responsabilité et leur obligation. Quant aux attentes qu’ils ont placées sur toi, aux souffrances qu’ils ont endurées à cause de ces attentes, à l’argent qu’ils ont dépensé, au nombre de personnes qui les ont rejetés et méprisés, et aux sacrifices qu’ils ont consentis, tout cela était volontaire. Tu n’as rien demandé, tu ne les as pas obligés à le faire, et Dieu non plus. Ils avaient leurs propres raisons de faire cela. De leur point de vue, ils ne l’ont fait que pour eux-mêmes. En apparence, c’était pour que tu aies une bonne vie et de bonnes perspectives d’avenir, mais en réalité, c’était pour se glorifier eux-mêmes et ne pas être déshonorés. Par conséquent, tu n’es pas obligé de leur rendre quoi que ce soit ni de répondre à leurs souhaits et à leurs attentes te concernant. Pourquoi n’as-tu pas cette obligation ? Parce que ce n’est pas ce que Dieu te demande de faire ; ce n’est pas une obligation qu’Il t’a donnée. Ta responsabilité envers eux est de faire ce que les enfants doivent faire quand les parents ont besoin d’eux, faire de ton mieux pour assumer tes responsabilités d’enfant. Même si ce sont eux qui t’ont donné naissance et qui t’ont élevé, tes responsabilités envers eux se limitent à faire la lessive, la cuisine et le ménage lorsqu’ils ont besoin de toi pour les aider, et à rester à leur chevet lorsqu’ils sont malades. C’est tout. Tu n’es pas obligé d’agir en fonction de ce qu’ils disent, et tu n’es pas obligé d’être leur esclave. De plus, tu n’es pas obligé d’assumer leurs rêves inassouvis, n’est-ce pas ? (C’est vrai.)

Un autre aspect des attentes des parents à l’égard de leurs enfants concerne la reprise de l’entreprise familiale ou du métier ancestral. Par exemple, certaines familles sont des familles de peintres ; la règle transmise par les ancêtres est qu’à chaque génération, quelqu’un doit reprendre le flambeau de cette activité et perpétuer la tradition familiale. Imaginons que, dans ta génération, ce rôle te revienne, mais que tu n’aimes pas la peinture et que tu ne t’y intéresses pas ; imaginons que tu préfères étudier des choses plus simples. Dans une telle situation, tu as le droit de refuser. Tu n’es pas obligé de perpétuer les traditions de ta famille et tu n’es pas obligé de reprendre le flambeau de l’entreprise familiale ou du métier ancestral, comme les arts martiaux, ou tout autre métier ou compétence particulière. Tu n’es pas obligé de perpétuer ce qu’on te demande d’hériter. Dans d’autres familles, on est chanteur d’opéra de génération en génération. Dans ta génération, les parents ont imposé à tous les enfants d’être chanteurs d’opéra dès leur jeune âge. Tu as donc appris à chanter toi aussi, mais dans les profondeurs de ton cœur, tu n’aimes pas cela. Ainsi, si l’on te demandait de choisir une carrière, tu ne t’engagerais sous aucun prétexte dans une carrière en rapport avec l’opéra. Tu n’aimes pas cette profession du fond du cœur ; or, dans ce cas, tu as le droit de refuser. Car ton destin n’est pas entre les mains de tes parents – ton choix de carrière, tes centres d’intérêt, ce que tu veux faire, le chemin que tu veux prendre, tout cela est entre les mains de Dieu. Tout cela est orchestré par Dieu, et non par un membre de ta famille, et certainement pas par tes parents. Le rôle des parents dans la vie d’un enfant consiste uniquement à assurer sa tutelle, à prendre soin de lui et à l’accompagner tout au long de sa croissance. Dans le meilleur des cas, les parents sont en mesure de fournir des conseils, une éducation et une orientation positives à leurs enfants. C’est le seul rôle qu’ils peuvent jouer. Une fois que tu es devenu grand et indépendant, le rôle de tes parents se limite au soutien affectif et à être un recours émotionnel. Le jour où tu deviens indépendant dans tes pensées et dans ton mode de vie, alors, tes parents se sont acquittés de leurs responsabilités et de leurs obligations envers toi ; ta relation avec eux n’est plus celle de l’éducateur et de l’élève, du tuteur et du pupille. N’est-ce pas ainsi que les choses se passent en réalité ? (Si.) Les parents, les proches et les amis de certaines personnes ne croient pas en Dieu ; elles seules y croient. Que se passe-t-il dans ce cas de figure ? Cela a à voir avec l’ordre de Dieu. C’est toi que Dieu a choisi, pas eux ; Dieu Se sert de leurs mains pour t’élever jusqu’à l’âge adulte et te faire entrer dans la famille de Dieu. En tant qu’enfant, l’attitude que tu dois adopter face aux attentes de tes parents est de discerner le bien du mal. Si la manière dont ils te traitent n’est pas conforme aux paroles de Dieu ou au fait que « le destin des gens est entre les mains de Dieu », tu peux refuser leurs attentes et raisonner tes parents pour le leur faire comprendre. Si tu es encore mineur et qu’ils t’oppriment sans pitié, qu’ils t’obligent à répondre à toutes leurs exigences, tu ne peux que prier Dieu en silence et attendre qu’Il t’ouvre une porte de sortie. Mais si tu es adulte, tu peux parfaitement leur dire : « Non, je ne suis pas obligé de suivre le mode de vie que vous m’avez imposé. Je ne suis pas obligé de choisir le chemin de ma vie, ma façon d’exister et l’objectif que je dois poursuivre en suivant la voie que vous avez définie pour moi. Vous avez déjà rempli votre obligation en m’élevant. Si nous parvenons à nous entendre et que nous avons des poursuites et des objectifs communs, notre relation peut rester telle qu’elle était ; mais si nous ne partageons plus les mêmes aspirations et les mêmes objectifs, nous pouvons nous dire au revoir pour l’instant. » Qu’en penses-tu ? Oserais-tu dire cela ? Certes, il n’est pas nécessaire de rompre formellement les relations avec tes parents de cette manière, mais tout du moins, dans les profondeurs de ton cœur, tu dois être conscient d’une chose : bien que tes parents soient les personnes les plus proches de toi, ce ne sont pas eux qui t’ont vraiment donné la vie, qui t’ont permis de suivre le bon chemin de la vie et qui t’ont fait comprendre tous les principes de conduite. C’est Dieu qui a fait tout cela. Tes parents ne peuvent pas te donner la vérité ou te donner de bons conseils inspirés de la vérité. Ainsi, en ce qui concerne ta relation avec tes parents, peu importe combien ils ont investi en toi, combien d’argent ils ont dépensé et combien d’efforts ils ont consentis pour toi, tu n’as pas à t’accabler d’un quelconque sentiment de culpabilité. Pourquoi cela ? (Parce que c’est la responsabilité et l’obligation des parents. Si les parents font tout cela pour que leurs enfants se distinguent de leurs pairs et pour satisfaire leurs propres désirs, il s’agit là de leurs propres intentions et motivations ; ce n’est pas ce que Dieu leur a ordonné de faire. Il n’y a donc pas lieu de se sentir coupable.) Ce n’est là qu’un aspect. L’autre aspect concerne le fait que tu marches actuellement sur le bon chemin, que tu poursuis la vérité et que tu te présentes devant le Créateur pour accomplir les devoirs d’un être créé ; par conséquent, tu ne dois pas éprouver de sentiment de culpabilité à leur égard. La responsabilité qu’ils ont prétendument assumée à ton égard faisait simplement partie des dispositions prises par Dieu. Si tu as été heureux pendant la période où ils t’ont élevé, ça a été une faveur spéciale pour toi. Si tu as été malheureux, c’est aussi les arrangements de Dieu. Tu devrais être reconnaissant qu’aujourd’hui Dieu t’ait permis de partir et de voir clairement l’essence de tes parents et quel genre de personnes ils sont. Tu devrais comprendre correctement tout cela dans les profondeurs de ton cœur, mais aussi trouver une solution adéquate et une façon correcte d’aborder la situation. Ne te sens-tu pas ainsi plus calme au fond de toi ? (Si.) Si tu es plus tranquille, alors c’est merveilleux. Quoi qu’il en soit, sur ces questions, quelles que soient les exigences que tes parents avaient envers toi avant, ou celles qu’ils ont maintenant, puisque tu comprends la vérité et les intentions de Dieu, et puisque tu comprends ce que Dieu exige que les gens fassent – ainsi que les conséquences des attentes de tes parents vis-à-vis de toi – tu ne devrais en aucune façon te sentir accablé par cette question. Tu n’as pas à te dire que tu as déçu tes parents, ou que, pour avoir choisi de croire en Dieu et d’accomplir tes devoirs, tu n’as pas réussi à leur offrir une vie meilleure, à les accompagner et à assumer ta responsabilité filiale, et que tout cela les a laissés dans un sentiment de vide émotionnel. Tu n’as pas à te sentir coupable. Ce sont là les fardeaux que les parents imposent à leurs enfants, et autant de choses que tu dois abandonner. Si tu crois vraiment que tout est entre les mains de Dieu, alors tu dois croire aussi que les souffrances qu’ils rencontreront et le bonheur dont ils profiteront au cours de leur vie sont également entre les mains de Dieu. Que tu fasses preuve de piété filiale ou non ne changera rien – tes parents ne souffriront pas moins parce que tu fais preuve de piété filiale, et ils ne souffriront pas plus si ce n’est pas le cas. Dieu a prédéterminé leur destin il y a longtemps, et rien de tout cela ne changera du fait de ton attitude à leur égard ou de la profondeur des sentiments qui vous lient. Ils ont leur propre destin. Qu’ils soient pauvres ou riches toute leur vie, que les choses se passent bien ou non pour eux, qu’ils bénéficient d’une bonne qualité de vie, d’avantages matériels, d’un bon statut social et de bonnes conditions de vie, tout cela n’a pas grand-chose à voir avec toi. Si tu te sens coupable envers eux, si tu penses que tu leur dois quelque chose et que tu devrais être à leurs côtés, qu’est-ce qui changerait si tu étais à leurs côtés ? (Cela ne changerait rien.) Tu peux avoir la conscience tranquille sans te sentir coupable. Mais si tu restais à leurs côtés tous les jours, en voyant qu’ils ne croient pas en Dieu, qu’ils poursuivent des choses mondaines et qu’ils s’engagent dans des conversations triviales et autres commérages, comment te sentirais-tu ? Serais-tu à l’aise dans ton cœur ? (Non.) Peux-tu les changer ? Peux-tu les sauver ? (Non.) S’ils tombent malades et que tu as les moyens de t’occuper d’eux, de rester à leur chevet et d’alléger un peu leurs souffrances, en leur apportant un peu de réconfort de la part de leur enfant, ils se sentiront physiquement réconfortés une fois qu’ils seront guéris. Mais si tu évoques une seule chose à propos de la croyance en Dieu, ils peuvent te répondre par huit ou dix contre-arguments, en proférant des sophismes suffisamment répugnants pour te rendre malade pendant deux vies. En apparence, tu peux bien avoir la conscience tranquille, et te dire qu’ils ne t’ont pas élevé en vain, que tu n’es pas un ingrat et un insensible, et que tu n’as pas donné à tes voisins le moindre motif de se moquer de toi. Pourtant, ce n’est pas parce que tu as la conscience tranquille que tu acceptes vraiment dans les profondeurs de ton cœur leurs idées, leurs points de vue, leur conception de la vie et leurs façons de vivre. Es-tu vraiment compatible avec eux ? (Non.) Deux types de personnes qui suivent des chemins différents et ont des points de vue différents, indépendamment de toute relation ou de tout lien physique ou émotionnel, ne peuvent changer le point de vue l’une de l’autre. Tant que les deux parties ne discutent pas, tout se passe bien, mais dès qu’elles discutent, elles commencent à se disputer, des conflits surgissent, puis elles finissent par se haïr et ne plus se supporter. Bien qu’elles soient liées par le sang en apparence, elles sont en réalité ennemies, elles demeurent deux types de personnes aussi incompatibles que l’eau et le feu. Dans ce cas de figure, si tu es toujours à leurs côtés, pourquoi donc fais-tu cela ? Cherches-tu un prétexte pour t’énerver, ou est-ce pour une autre raison ? Tu éprouveras des regrets chaque fois que tu les rencontreras, et c’est là un malheur que tu t’infliges à toi-même. Certaines personnes se disent : « Cela fait tellement d’années que je n’ai pas vu mes parents. Dans le passé, ils ont fait des choses détestables, ils ont blasphémé Dieu et se sont opposés à ma croyance en Dieu. Ils sont tellement plus âgés maintenant, ils ont dû changer. Je ne devrais donc pas me tracasser pour les mauvaises choses qu’ils ont faites ; de toute façon, elles sont pour la plupart oubliées. De plus, ils me manquent émotionnellement et en conscience, et je me demande comment ils vont. Je pense donc que je vais retourner leur rendre visite. » Mais dès la première journée de ton retour à la maison, le dégoût que tu ressentais à leur égard dans le passé revient, et tu regrettes : « Est-ce vraiment cela que l’on appelle une famille ? S’agit-il de mes parents ? Ne sont-ils pas des ennemis ? Ils étaient déjà comme ça avant, et ils ont gardé le même caractère, ils n’ont pas changé ! » Comment auraient-ils pu changer ? Ce qu’ils étaient à l’origine est ce qu’ils seront toujours. Tu pensais qu’ils auraient changé en vieillissant et que vous auriez pu vous entendre ? Il n’y a pas d’entente possible entre vous. Dès que tu entres dans la maison à ton retour, ils regardent ce que tu as dans les mains pour voir si c’est quelque chose qui a de la valeur, comme un ormeau, un concombre de mer, un aileron de requin ou une vessie natatoire, ou peut-être un sac et des vêtements de marque, ou encore des bijoux en or et en argent. Dès qu’ils voient que tu portes deux sacs en plastique, l’un contenant des raviolis à la vapeur et l’autre quelques bananes, ils comprennent que tu es toujours pauvre et commencent à faire des réflexions : « La fille d’Untel est partie à l’étranger et a épousé un habitant du pays. Les bracelets qu’elle leur achète sont en or pur et ils les montrent dès qu’ils en ont l’occasion. Le fils d’Untel a acheté une voiture et emmène ses parents en voyage à l’étranger dès qu’il a du temps libre. Ils profitent tous de la réussite de leurs enfants ! La fille d’Untel ne rentre jamais les mains vides. Elle achète des bains de pieds et des fauteuils de massage pour ses parents, et les vêtements qu’elle achète sont en soie ou en laine. Leurs enfants ont tellement de piété filiale ; toute l’attention qu’ils leur ont donnée n’a pas été vaine ! Dans cette famille, nous n’avons élevé que des ingrats et des insensibles ! » N’est-ce pas là une véritable gifle ? (Si.) Ils ne font pas attention à tes petits raviolis à la vapeur et tes bananes, mais tu penses encore à tes responsabilités d’enfant et à la piété filiale. Tes parents aiment les raviolis à la vapeur et les bananes, et tu ne les as pas vus depuis de nombreuses années, alors tu leur achètes ces choses-là pour les émouvoir et racheter ta mauvaise conscience. Mais en arrivant chez eux, non seulement tu n’as pas pu te racheter, mais tu as été critiqué ; et, dépité, tu t’es enfui de la maison. Avais-tu intérêt à rentrer à la maison pour rendre visite à tes parents ? (Non.) Voilà bien longtemps que tu n’étais pas revenu chez tes parents, mais tu ne leur manques pas. Ils ne disent pas : « Il suffit que tu reviennes. Tu n’as pas besoin d’acheter quoi que ce soit. Il est bon de voir que tu es sur le bon chemin, que tu mènes une vie saine et que tu es en sécurité à tous points de vue. Le fait de se voir et d’avoir une conversation sincère est bien suffisant. » Ils ne se soucient pas de savoir si tu t’es bien débrouillé ces dernières années, si tu as rencontré des difficultés ou si tu as été confronté à des problèmes pour lesquels tu aurais eu besoin de l’aide de tes parents. Ils n’ont pas un seul mot de réconfort pour toi. Mais s’ils disaient vraiment de telles choses, ne te retrouverais-tu pas incapable de partir ? Après qu’ils t’ont insulté, tu t’es repris et tu t’es senti tout à fait justifié, sans aucune culpabilité, tu t’es dit : « Il faut que je sorte d’ici, c’est un vrai purgatoire ! Ils m’écorcheraient vif et mangeraient ma chair, qu’ils voudraient encore boire mon sang. » Si les relations avec les parents sont les plus difficiles à gérer émotionnellement, elles ne sont en réalité pas pour autant totalement ingérables. Ce n’est qu’en comprenant la vérité que l’on peut aborder correctement et rationnellement cette question. Ne pars pas du point de vue des sentiments, ni des idées ou des façons de voir les choses des gens de ce monde. Au contraire, traite tes parents comme il se doit, conformément aux paroles de Dieu. Quel rôle jouent réellement les parents, que signifient réellement les enfants pour leurs parents, quelle attitude les enfants doivent-ils adopter envers leurs parents, et comment doit-on gérer et régler la relation parents-enfants ? Les gens ne doivent pas considérer ces choses sur la base de leurs sentiments ni se laisser influencer par des idées fausses ou l’avis général ; ils doivent les aborder correctement en se basant sur les paroles de Dieu. Si tu ne t’acquittes pas de tes responsabilités envers tes parents dans l’environnement prévu par Dieu, ou si tu ne joues aucun rôle dans leur vie, est-ce là un manque de piété filiale ? Ta conscience t’en fera-t-elle le reproche ? Tes voisins, tes camarades de classe et ta famille te réprimanderont et te critiqueront à ton insu. Ils te traiteront d’enfant indigne, en disant : « Tes parents ont fait tant de sacrifices pour toi, ils ont consenti tant d’efforts pour toi et ils ont fait tant de choses pour toi depuis que tu es tout petit, mais toi, enfant indigne que tu es, tu disparais sans laisser de traces, sans même donner de nouvelles et dire si tu es en sécurité. Non seulement tu ne reviens pas pour le Nouvel An, mais tu ne passes même pas un coup de téléphone, tu n’envoies aucune salutation à tes parents. » Chaque fois que tu entends ce genre de paroles, ta conscience saigne et pleure, et tu te sens jugé. « Oh, ils ont raison. » Tu es pris de bouffées de chaleur et ton cœur tremble comme s’il était piqué par des aiguilles. As-tu déjà éprouvé ce genre d’émotions ? (Oui, avant.) Les voisins et les membres de ta famille ont-ils raison de dire que tu es indigne ? (Non. Je ne suis pas indigne.) Explique ton raisonnement. (Bien que je n’aie pas été aux côtés de mes parents pendant ces années-là, ou que je n’aie pas pu satisfaire leurs souhaits comme le font les gens de ce monde, notre marche sur le chemin de la croyance en Dieu a été préétablie par Dieu. C’est le bon chemin de la vie, et c’est une chose juste. C’est pourquoi je dis que je n’ai pas été indigne.) Votre raisonnement se base encore sur les doctrines que les gens comprenaient dans le passé ; vous manquez d’une explication réelle et d’une compréhension réelle. Qui d’autre veut faire part de ses réflexions ? (Je me souviens que lorsque je suis partie pour la première fois à l’étranger, chaque fois que je me disais que ma famille ne savait pas ce que je faisais à l’étranger, qu’elle était sans doute en train de me critiquer et de dire que je n’étais pas digne, que j’étais une fille indigne parce que je n’étais pas là pour prendre soin de mes parents, je me sentais enchaînée et restreinte par ces pensées. Chaque fois que j’y réfléchissais, j’avais l’impression de devoir quelque chose à mes parents. Mais aujourd’hui, grâce à l’échange de Dieu, j’ai le sentiment que mes parents se sont occupés de moi avant pour s’acquitter de leurs responsabilités parentales, que leur bonté à mon égard était prévue par Dieu, et que je devais être reconnaissante envers Dieu pour cela et Lui rendre Son amour. Maintenant que je crois en Dieu et que j’ai pris le bon chemin dans la vie, ce qui est une chose juste, je ne devrais pas me sentir redevable envers mes parents. En outre, le fait que mes parents puissent ou non profiter de la présence de leurs enfants à leurs côtés est également préétabli par Dieu. Après avoir compris ces choses-là, je peux en quelque sorte abandonner le sentiment d’avoir une dette sur le cœur.) Très bien. Tout d’abord, la plupart des gens choisissent de quitter la maison pour remplir leurs devoirs en partie à cause de circonstances globales objectives qui les obligent à quitter leurs parents ; ils ne peuvent pas rester aux côtés de leurs parents pour s’occuper d’eux et les accompagner. Ce n’est pas qu’ils choisissent volontairement de quitter leurs parents ; la raison de ce choix est objective. Par ailleurs, d’un point de vue subjectif, tu quittes la maison pour accomplir tes devoirs et non parce que tu voulais quitter tes parents et échapper à tes responsabilités, mais en raison de l’appel de Dieu. Pour contribuer à l’œuvre de Dieu, accepter Son appel et accomplir les devoirs d’un être créé, tu n’avais pas d’autre choix que de quitter tes parents ; tu ne pouvais pas rester à leurs côtés pour les accompagner et prendre soin d’eux. Tu ne les as donc pas quittés pour fuir tes responsabilités, n’est-ce pas ? Les quitter pour fuir tes responsabilités et devoir les quitter pour répondre à l’appel de Dieu et accomplir tes devoirs, n’est-ce pas là deux choses de nature différente ? (Si.) Tu as dans le cœur des liens d’affection et des pensées pour tes parents ; tu n’es pas dénué de sentiments. Si les circonstances objectives le permettaient, et si tu étais en mesure de rester à leurs côtés tout en accomplissant tes devoirs, alors tu serais prêt à rester à leurs côtés, à prendre régulièrement soin d’eux et à assumer tes responsabilités. Mais en raison de circonstances objectives, tu as dû les quitter ; tu ne pouvais pas rester à leurs côtés. Ce n’est pas que tu ne voulais pas assumer tes responsabilités d’enfant, mais que tu ne pouvais pas le faire. N’est-ce pas là une chose d’une autre nature ? (Si.) Si tu avais quitté la maison pour éviter d’être digne et d’avoir à assumer tes responsabilités, cela aurait démontré de l’indignité et un manque de d’humanité. Tes parents t’ont élevé, mais tu étais impatient de déployer tes ailes et de voler par toi-même. Tu ne veux pas voir tes parents, et tu ne prêtes pas attention aux difficultés qu’ils rencontrent. Même si tu as les moyens de les aider, tu ne le fais pas ; tu fais semblant de ne rien entendre et tu laisses les autres dire ce qu’ils veulent de toi – tu ne veux tout simplement pas assumer tes responsabilités. C’est cela être indigne. Mais est-ce le cas aujourd’hui ? (Non.) De nombreuses personnes ont quitté leur région, leur ville, leur province ou même leur pays pour remplir leurs devoirs, et elles sont déjà loin de leur ville natale. En outre, diverses raisons les empêchent de rester en contact avec leur famille. À l’occasion, elles demandent des nouvelles récentes de leurs parents auprès de personnes originaires de la même ville et sont soulagées d’apprendre que leurs parents sont toujours en bonne santé et qu’ils s’en sortent bien. En fait, tu n’es pas indigne ; tu n’as pas atteint le point où tu manquerais d’humanité, où tu ne voudrais même pas te soucier de tes parents ou assumer tes responsabilités à leur égard. C’est pour diverses raisons objectives que tu as dû faire ce choix, si bien que tu n’es pas indigne. Voilà les deux raisons. Mais il y en a une autre : si tes parents ne sont pas des personnes qui te persécutent particulièrement ou qui font obstacle à ta croyance en Dieu, s’ils te soutiennent dans ta croyance en Dieu, ou s’ils sont des frères et sœurs qui croient en Dieu comme toi, des membres de la maison de Dieu eux-mêmes, lequel d’entre vous ne prie pas silencieusement Dieu en pensant à ses parents au plus profond de lui-même ? Qui d’entre vous ne confie pas ses parents – ainsi que leur santé, leur sécurité et tous les besoins de leur vie – entre les mains de Dieu ? Confier tes parents entre les mains de Dieu est la meilleure façon de leur témoigner ton respect filial. Tu ne souhaites pas qu’ils rencontrent toutes sortes de difficultés dans leur vie ni qu’ils vivent mal, qu’ils mangent mal ou qu’ils soient en mauvaise santé. Dans les profondeurs de ton cœur, tu espères vraiment que Dieu les protégera et les gardera en sécurité. S’ils croient en Dieu, tu espères qu’ils pourront accomplir leurs propres devoirs et qu’ils pourront tenir ferme dans leur témoignage. Il s’agit là de l’accomplissement de nos responsabilités humaines ; les gens ne peuvent atteindre qu’un tel résultat avec leur propre humanité. En outre, le plus important est qu’après des années de croyance en Dieu et d’écoute de tant de vérités, les gens aient acquis un minimum d’entendement et de compréhension : le destin de l’homme est déterminé par le Ciel, l’homme vit entre les mains de Dieu, et bénéficier de l’attention et de la protection de Dieu est bien plus important que les préoccupations, la piété filiale ou la compagnie de ses enfants. N’es-tu pas soulagé de savoir que tes parents sont sous la protection de Dieu ? Tu n’as pas à t’inquiéter pour eux. Si tu t’inquiètes, c’est que tu n’as pas confiance en Dieu, que ta foi en Lui est trop faible. Si tu es très inquiet et très préoccupé par le sort de tes parents, il te faut prier Dieu souvent, les confier aux mains de Dieu et Le laisser orchestrer toute chose et arranger toute chose. Dieu régit le destin de l’humanité et Il régit son quotidien et tout ce qui lui arrive, alors pourquoi t’inquiéterais-tu encore ? Tu n’as même pas le contrôle sur ta propre vie,[a] tu fais face toi-même à de nombreuses difficultés ; que pourrais-tu faire pour permettre à tes parents de vivre heureux chaque jour ? Tout ce que tu peux faire, c’est de tout confier à Dieu. S’ils sont croyants, demande à Dieu de les conduire sur le droit chemin pour qu’ils puissent finalement être sauvés. S’ils ne sont pas croyants, laisse-les suivre le chemin qu’ils veulent. Pour les parents plus cléments et qui ont un peu d’humanité, tu peux prier Dieu de les bénir afin qu’ils puissent passer les dernières années de leur vie dans le bonheur. Pour ce qui est de l’œuvre de Dieu, Il a pris Ses dispositions et les gens doivent s’y soumettre. Ainsi, dans l’ensemble, les gens ont conscience des responsabilités qu’ils assument envers leurs parents. Quelle que soit l’attitude à l’égard des parents que cette conscience entraîne, qu’il s’agisse d’inquiétude ou du choix d’être présent à leurs côtés, dans tous les cas, les gens ne doivent pas se sentir coupables ou avoir des cas de conscience parce qu’ils n’ont pas pu s’acquitter de leurs responsabilités à l’égard de leurs parents du fait de circonstances objectives. Ces questions, comme d’autres, semblables, ne devraient pas devenir des problèmes dans la vie des gens qui croient en Dieu ; elles devraient abandonnées. Pour tout ce qui concerne leurs responsabilités envers leurs parents, les gens devraient avoir à l’esprit ces conceptions précises et ne plus se sentir contraints. D’une part, tu sais au plus profond de toi-même que tu n’es pas indigne et que tu ne fuis pas tes responsabilités. D’autre part, tes parents sont entre les mains de Dieu, par conséquent, qu’y a-t-il encore à craindre ? Tous les soucis que l’on peut avoir sont superflus. Chacun vivra tranquillement selon la souveraineté et les dispositions de Dieu jusqu’à la fin, chacun atteindra le bout de son chemin, sans prendre de détours. Les gens n’ont donc plus à s’inquiéter à ce sujet. Être loyal ou non, avoir assumé ses responsabilités envers ses parents ou non, ou avoir une dette à honorer envers ses parents ou non, ce sont là des choses auxquelles tu n’as pas à penser ; ce sont des choses que tu dois abandonner. N’est-ce pas ? (Oui.)

Pour ce qui est des attentes des parents à l’égard de leurs enfants, nous avons échangé sur la question des études et du travail. Quels sont les faits que les gens doivent comprendre à cet égard ? Si tu écoutes tes parents et que tu étudies très assidûment conformément à leurs attentes, cela signifie-t-il forcément que tu vas réussir brillamment ? Cela peut-il vraiment changer ton destin ? (Non.) Alors qu’est-ce qui t’attend dans l’avenir ? Ce sont les dispositions que Dieu a prises pour toi – le destin que tu dois avoir, la position que tu dois occuper dans le monde, le chemin que tu dois suivre et le cadre de vie que tu dois avoir. Dieu a pris ces dispositions pour toi depuis longtemps. Alors, tu n’as aucun fardeau à accepter par rapport aux attentes de tes parents. Si tu fais ce que tes parents te demandent, ton destin reste le même ; si tu ne réponds pas aux attentes de tes parents et que tu les déçois, ton destin reste le même. Quel que soit le chemin qui t’attend, il en sera ainsi ; cela a déjà été ordonné par Dieu. De même, si tu réponds aux attentes de tes parents, si tu satisfais tes parents et si tu ne les déçois pas, cela signifie-t-il qu’ils auront une vie meilleure ? Cela peut-il changer leur destin de souffrance et de maltraitance ? (Non.) Certaines personnes pensent que leurs parents ont fait preuve de trop de bonté en les élevant et qu’ils ont beaucoup souffert pendant cette période. Elles veulent donc trouver un bon emploi, endurer les épreuves, trimer, être assidues et travailler dur pour gagner beaucoup d’argent et faire fortune. Leur objectif est d’offrir à leurs parents une vie future privilégiée, où ils pourraient vivre dans une villa, conduire une belle voiture, mais aussi bien manger et bien boire. Mais après des années à se démener, bien que leurs conditions de vie et leur situation se soient améliorées, leurs parents décèdent sans avoir profité un seul jour de cette prospérité. Qui doit en être tenu responsable ? Si tu laisses les choses suivre leur cours, si tu laisses Dieu les orchestrer et si tu refuses ce fardeau, tu ne te sentiras pas coupable lorsque tes parents décéderont. Cependant, si tu travailles d’arrache-pied pour gagner de l’argent afin de remercier tes parents et les aider à vivre une vie meilleure, mais qu’ils meurent, comment te sentiras-tu ? Si tu prends du retard dans l’accomplissement de ton devoir et que tu tardes à obtenir la vérité, pourras-tu encore vivre confortablement jusqu’à la fin de tes jours ? (Non.) Ta vie en sera affectée et tu porteras à jamais sur les épaules le fardeau « d’avoir fait défaut à tes parents » jusqu’à la fin de tes jours. Certaines personnes font de gros efforts pour travailler et s’efforcer de gagner de l’argent afin de ne pas décevoir leurs parents et de les remercier de la bonté dont ils ont fait preuve en les élevant. Par la suite, lorsqu’ils deviennent riches et qu’ils ont les moyens de s’offrir de la nourriture de qualité, ils invitent leurs parents au restaurant autour d’une table remplie de bons plats, et disent : « Servez-vous. Je me souviens que quand j’étais petit, ces plats étaient vos préférés ; servez-vous ! » Mais en vieillissant, leurs parents ont perdu la plupart de leurs dents et n’ont plus beaucoup d’appétit. Ils choisissent donc des aliments mous et faciles à digérer, comme des légumes ou des nouilles, et sont rassasiés après quelques bouchées seulement. Cette grande table pleine de nourriture non consommée te rend triste. Mais tes parents, eux, se sentent bien. À un âge aussi avancé, c’est bien la quantité qu’ils devraient manger ; c’est normal, ils ne demandent pas grand-chose. Tu te sens malheureux au fond de toi, mais malheureux de quoi ? Il n’était pas nécessaire de faire ce que tu as fait. Le bonheur et les souffrances que tes parents allaient connaître au cours de leur vie ont été déterminés depuis longtemps. Cela ne peut pas être changé selon ton désir, cela ne peut pas être changé pour satisfaire tes sentiments. Dieu a ordonné tout cela depuis longtemps, alors tout ce que les gens font est superflu. Que disent ces faits aux gens ? Ce que les parents devraient faire, c’est t’élever et te laisser grandir sainement et en douceur, te mettre sur le droit chemin et assumer les responsabilités et les obligations qui t’incombent en tant qu’être créé. Tout cela n’a pas pour but de changer ton destin, et d’ailleurs cela ne peut pas changer ton destin ; ils jouent le rôle de simples assistants et de guides, pour t’élever jusqu’à l’âge adulte en te montrant le droit chemin de la vie. Ce que tu ne devrais pas faire, c’est créer de tes propres mains le bonheur de tes parents, changer leur destin ou leur permettre de profiter d’une grande fortune et de bonnes choses à manger et à boire. Ce sont là des pensées insensées. Ce n’est pas là un fardeau que tu devrais porter, c’est un fardeau que tu dois abandonner. Tu ne dois pas faire de sacrifices ou de choses inutiles pour remercier tes parents, pour changer leur destin et leur permettre de recevoir plus de bénédictions et de moins souffrir, dans le but de satisfaire les besoins personnels de ta conscience ou de tes sentiments, et d’éviter de les décevoir. Ce n’est pas ta responsabilité et ce n’est pas ce qui devrait occuper tes pensées. Les parents doivent s’acquitter de leurs responsabilités envers leurs enfants selon leurs propres conditions et selon les conditions et l’environnement préparés par Dieu. Ce que les enfants doivent faire pour leurs parents repose également sur les conditions qu’ils peuvent atteindre et sur l’environnement dans lequel ils se trouvent ; c’est tout. Tout ce que les parents ou les enfants font ne doit pas avoir pour but de changer le destin de l’autre partie par son propre pouvoir ou selon ses désirs égoïstes, afin que l’autre partie puisse vivre une vie meilleure, plus heureuse et plus idéale grâce à ses propres efforts. Qu’il s’agisse des parents ou des enfants, chacun devrait laisser les choses suivre leur cours naturel dans les environnements arrangés par Dieu, plutôt que d’essayer de changer les choses par ses propres efforts ou selon ses déterminations personnelles. Le destin de tes parents ne sera pas changé parce que tu as ce genre de pensées à leur égard – leur destin a été ordonné par Dieu depuis longtemps. Dieu a ordonné que tu entres dans leur vie, que tu naisses d’eux, que tu sois élevé par eux et que tu aies cette relation avec eux. Par conséquent, ta responsabilité envers eux se limite à les accompagner selon tes propres conditions et à remplir certaines obligations. Quant à vouloir changer la situation actuelle de tes parents, ou à vouloir qu’ils aient une vie meilleure, c’est tout à fait superflu. Ou encore, gagner l’admiration de tes voisins et de tes proches, faire honneur à tes parents, t’assurer qu’ils aient du prestige au sein de la famille, tout cela est encore plus superflu. Il y a aussi des mères et des pères célibataires qui ont été quittés par leur conjoint et qui t’ont élevé seuls jusqu’à l’âge adulte. Tu prends d’autant plus la mesure de leur difficulté, et tu souhaites consacrer toute ta vie à les remercier et à leur rendre ce qu’ils t’ont donné, jusqu’à faire tout ce qu’ils disent. Ce qu’ils te demandent, ce qu’ils attendent de toi, en plus de ce que tu es prêt à faire toi-même, tout cela devient un fardeau dans ta vie, et il ne devrait pas en être ainsi. En présence du Créateur, tu es un être créé. Dans cette vie, tu ne dois pas seulement assumer tes responsabilités envers tes parents, mais aussi les responsabilités et les devoirs qui t’incombent en tant qu’être créé. Tu ne peux t’acquitter de tes responsabilités envers tes parents qu’en te conformant aux paroles de Dieu et aux vérités-principes, et non en agissant pour eux selon tes besoins affectifs ou de ta conscience. Bien sûr, assumer tes responsabilités et t’acquitter de tes obligations envers eux selon les paroles de Dieu et les vérités-principes fait également partie des devoirs qui t’incombent en tant qu’être créé ; c’est la responsabilité que Dieu a donnée à l’homme. C’est sur la base des paroles de Dieu que l’on assume cette responsabilité, et non sur celle des besoins humains. Ainsi, tu peux facilement traiter tes parents conformément aux paroles de Dieu, en assumant tes responsabilités et en t’acquittant de tes obligations envers eux. C’est aussi simple que cela. Est-ce facile à faire ? (Oui.) Pourquoi est-ce facile à faire ? L’essence ici est très claire, tout comme les vérités-principes auxquelles les gens doivent se conformer. L’essence, ici, implique que ni les parents ni les enfants ne puissent mutuellement changer leur destin. Que tu fasses tout ton possible pour y arriver ou non, que tu sois prêt à assumer tes responsabilités ou non, rien de tout cela ne peut changer le destin de l’autre. Que tu gardes une place pour eux dans ton cœur ou non n’est qu’une question de besoin affectif, et cela ne changera rien aux faits. Par conséquent, le plus simple que les gens aient à faire est d’abandonner les différents fardeaux venant des attentes de leurs parents. Tout d’abord, tu dois considérer toutes ces choses selon les paroles de Dieu, et ensuite, traiter et aborder la relation avec tes parents conformément aux paroles de Dieu. C’est aussi simple que cela. N’est-ce pas facile ? (Si.) Si tu acceptes la vérité, toutes ces choses seront faciles, et au fil du temps, tu sentiras de plus en plus que c’est véritablement le cas. Personne ne peut changer le destin d’une autre personne ; le destin de chacun est uniquement entre les mains de Dieu. Tu auras beau essayer, cela ne marchera pas. Bien sûr, certains diront : « Les choses que Tu as dites sont toutes des réalités, mais j’ai l’impression que cette façon d’agir manque de chaleur humaine. Je n’ai toujours pas la conscience tranquille, et je n’arrive pas à le supporter. » Si tu n’arrives pas à le supporter, alors contente-toi de satisfaire tes sentiments ; accompagne tes parents et reste auprès d’eux, sois-leur utile, montre-toi loyal envers eux et fais ce qu’ils disent, qu’ils aient raison ou tort, suis-les partout, fais-toi leur assistant, et ce sera très bien ainsi. De cette façon, personne ne dira de mal de toi à ton insu, et même ta famille élargie fera l’éloge de ta piété filiale. Cependant, au bout du compte, tu seras le seul qui perdra quelque chose. Tu auras préservé ta réputation d’enfant loyal, tu auras satisfait tes besoins affectifs, ta conscience n’aura jamais été remise en cause et tu auras rendu à tes parents ce qu’ils t’avaient donné, mais il y aura une chose que tu auras négligée et perdue : tu n’auras pas traité et géré toutes ces questions conformément aux paroles de Dieu, et tu auras perdu l’occasion d’accomplir le devoir qui t’incombe en tant qu’être créé. Qu’est-ce que cela signifie ? Cela signifie que tu te seras montré loyal envers tes parents, mais que tu auras trahi Dieu. Tu auras fait preuve de piété filiale et satisfait les besoins affectifs charnels de tes parents, mais tu te seras rebellé contre Dieu. Tu auras préféré être un enfant loyal plutôt que d’accomplir les devoirs qui t’incombent en tant qu’être créé. C’est le plus grand manque de respect envers Dieu. Il ne te suffit pas d’être un enfant loyal, de ne pas avoir déçu tes parents, d’avoir une conscience et d’assumer tes responsabilités d’enfant pour que Dieu dise que tu fais partie de ceux qui se soumettent à Lui ou sont dotés d’humanité. Si tu te contentes de satisfaire les besoins de ta conscience et les besoins affectifs de ta chair, sans accepter les paroles de Dieu ou la vérité en tant que fondements et principes pour traiter ou aborder cette question, alors tu fais preuve de la plus grande rébellion contre Dieu. Si tu veux être un être créé qualifié, tu dois d’abord tout voir et tout faire conformément aux paroles de Dieu. C’est cela qu’on appelle être qualifié, avoir de l’humanité et avoir une conscience. À l’inverse, si tu n’acceptes pas les paroles de Dieu comme principes et comme base pour traiter ou aborder cette question, et si tu n’acceptes pas non plus l’appel de Dieu qui te demande de sortir et d’accomplir tes devoirs, ou si tu préfères retarder ou renoncer à l’occasion d’accomplir tes devoirs pour mieux rester aux côtés de tes parents, les accompagner, leur apporter du bonheur, les laisser profiter du crépuscule de leur vie, et les remercier de leur bonté, alors Dieu dira que tu es sans humanité ou sans conscience. Tu n’es pas un être créé et Il ne te reconnaîtra pas.

Concernant les attentes des parents, comprenez-vous bien quels sont les principes à suivre et quels fardeaux vous devez abandonner ? (Oui.) Alors, quels sont exactement les fardeaux que portent les gens dans ce cas ? Ils doivent écouter leurs parents et les laisser mener une bonne vie ; tout ce que font leurs parents est pour leur bien ; et ils doivent faire ce que disent leurs parents pour leur rester loyaux. En outre, en tant qu’adultes, ils doivent faire des choses pour leurs parents, leur rendre leur bonté, se montrer loyaux envers eux, les accompagner, ne pas les rendre tristes ou les décevoir, ne pas les laisser tomber et faire tout ce qu’ils peuvent pour minimiser leur souffrance ou même l’éliminer complètement. Si tu n’y parviens pas, tu es ingrat, indigne, tu mérites d’être frappé par la foudre et rejeté par les autres, et tu es une mauvaise personne. Reconnaissez-vous là vos propres fardeaux ? (Oui.) Puisqu’il s’agit de leurs fardeaux, les gens devraient accepter la vérité et les affronter comme il se doit. Ce n’est qu’en acceptant la vérité que l’on peut abandonner les fardeaux et ces pensées et opinions erronées et les changer. Si tu n’acceptes pas la vérité, y a-t-il une autre voie à suivre ? (Non.) Ainsi, qu’il s’agisse d’abandonner les fardeaux familiaux ou de la chair, tout commence par l’acceptation de pensées et de points de vue corrects et par l’acceptation de la vérité. Quand tu commenceras à accepter la vérité, ces pensées et points de vue erronés en toi seront progressivement déconstruits, discernés et bien compris, puis progressivement rejetés. Au cours de ce processus de déconstruction, de discernement, puis d’abandon et de rejet de ces pensées et points de vue erronés, tu changeras progressivement d’attitude et d’approche à l’égard de ces questions. Ces pensées issues de ta conscience humaine ou de tes sentiments s’affaibliront progressivement ; elles ne te troubleront plus, ne te brideront plus au plus profond de ton esprit, elles ne contrôleront ni n’influenceront plus ta vie, et n’interféreront plus avec l’accomplissement de ton devoir. Par exemple, une fois que tu auras accepté les pensées et les points de vue corrects et cet aspect de la vérité, alors, lorsque tu apprendras la mort de tes parents, tu verseras simplement des larmes pour eux sans penser à la façon dont, pendant toutes ces années, tu n’as pas su leur rendre la bonté dont ils ont fait preuve en t’élevant, à la façon dont tu les as fait souffrir, ni à la façon dont tu n’as pas su le moins du monde leur rendre ce qu’ils t’ont donné, ou à la façon dont tu ne leur a pas permis de mener une bonne vie. Tu cesseras de te blâmer pour ces choses, et tu montreras les expressions normales issues des besoins liés aux sentiments humains normaux ; tu verseras des larmes avant d’éprouver un peu de nostalgie pour eux. Bientôt, ces choses deviendront naturelles et normales, et tu te replongeras rapidement dans une vie normale et dans l’accomplissement de tes devoirs ; tu ne seras pas troublé par cette question. Mais si tu n’acceptes pas ces vérités, alors, lorsque tu apprendras le décès de tes parents, tu pleureras sans fin. Tu auras pitié de tes parents, parce qu’ils n’auront pas eu la vie facile du début à la fin, et qu’ils auront élevé un enfant aussi indigne que toi ; parce que lorsqu’ils seront tombés malades, tu n’auras pas veillé sur eux à leur chevet, et qu’après leur mort, tu n’auras pas pleuré à leur enterrement ni porté le deuil ; tu les auras laissés tomber, tu les auras déçus, et tu ne les auras pas laissés mener une bonne vie. Tu vivras longtemps avec ce sentiment de culpabilité, et chaque fois que tu y penseras, tu pleureras et tu ressentiras une douleur sourde dans ton cœur. Chaque fois que tu rencontreras des circonstances, des personnes, des évènements ou des choses liés à cette situation, tu auras une réaction émotionnelle ; ce sentiment de culpabilité t’accompagnera peut-être toute ta vie. Quelle en est la raison ? C’est que tu n’auras jamais accepté la vérité ou les pensées et les points de vue corrects comme étant ta vie ; et qu’au contraire, tes anciennes pensées et tes anciens points de vue auront gardé leur emprise sur toi, et continueront à influencer ta vie. Ainsi, tu passeras le reste de ta vie à souffrir du décès de tes parents. Cette souffrance permanente aura des conséquences qui vont bien au-delà d’un petit malaise charnel ; elle affectera ta vie, ton attitude face à l’accomplissement de tes devoirs, ton attitude face au travail de l’Église, ton attitude face à Dieu, ainsi que ton attitude face à toute personne ou à tout sujet qui touche ton âme. Tu pourrais aussi perdre tout intérêt dans d’autres matières, te sentir abattu et passif, perdre la foi en la vie, perdre l’enthousiasme et la motivation pour quoi que ce soit, et ainsi de suite. Avec le temps, l’impact ne se limitera pas à ta simple vie quotidienne ; il affectera également ton attitude dans l’accomplissement de tes devoirs et le chemin que tu suivras dans la vie. C’est très dangereux. Une des conséquences de ce danger pourrait bien être de te retrouver dans l’incapacité d’accomplir correctement les devoirs qui t’incombent en tant qu’être créé, voire d’accomplir tes devoirs à moitié ou d’avoir une attitude et une humeur réfractaire à ces devoirs. En somme, ce genre de situation ne peut que s’aggraver avec le temps en faisant évoluer ton humeur, tes émotions et ta mentalité vers le mal. Est-ce que tu comprends ? (Oui.) L’échange d’aujourd’hui sur ces sujets, d’une certaine manière, te dit d’adopter des pensées et des points de vue corrects, qui puisent à la source de l’essence même de ces questions. C’est parce que la racine et l’essence sont exactement ainsi que les gens devraient s’en rendre compte, et ne pas se laisser tromper par ces représentations ou par des pensées et des points de vue issus des sentiments et de l’impétuosité. Il s’agit là d’un aspect. L’autre aspect est que ce n’est qu’en agissant de la sorte que les gens peuvent éviter de faire des détours et de s’égarer, et qu’ils peuvent plutôt vivre la vie comme elle vient dans un environnement gouverné et orchestré par Dieu. En résumé, ce n’est qu’en acceptant ces pensées et ces points de vue corrects et en se laissant guider par eux que les gens peuvent se délester du fardeau qui vient de leurs parents, abandonner ces fardeaux pour pouvoir se soumettre aux orchestrations et aux dispositions de Dieu. C’est ainsi que l’on peut vivre plus librement, sans entraves, dans la paix et la joie, au lieu d’être constamment sous l’emprise des effets de l’impétuosité, des sentiments ou de la conscience. Après avoir discuté autant, comprends-tu maintenant les fardeaux créés par les attentes des parents ? (Oui.) Maintenant que tu comprends précisément tout cela, ton esprit ne se sent-il pas beaucoup plus détendu et libéré ? (Si.) Lorsque tu atteindras une réelle compréhension et une réelle acceptation et soumission, ton esprit sera libéré. Si tu continues à résister et à refuser ces vérités, ou à les traiter comme de simples théories, au lieu de considérer ces questions au regard des faits, il te sera difficile de lâcher prise. Tu ne pourras agir que selon les orchestrations des pensées et des sentiments de la chair au moment de traiter ces questions ; et au bout du compte, tu vivras pris au piège de ces sentiments, où il n’y a que douleur et chagrin, et personne ne sera en mesure de te sauver. Lorsque l’on est confronté à ces questions et que l’on est pris dans ce piège émotionnel, il n’y a pas d’issue. Tu ne peux te libérer de ces enchevêtrements et de ces liens affectifs qu’en acceptant la vérité, n’est-ce pas ? (Oui.)

Les différentes attentes et approches des parents concernent les études et les choix de carrière de leurs enfants, ils ont également des attentes diverses en ce qui concerne le mariage, n’est-ce pas ? Quelles sont certaines de ces attentes ? Merci de nous en dire plus. (En général, les parents disent à leurs filles que leur futur mari doit au moins être riche, avoir une maison et une voiture, et être capable de s’occuper d’elles. En d’autres termes, il doit être capable de répondre aux besoins matériels de la fille et avoir le sens des responsabilités. Ce sont les critères de choix d’un époux.) Certains propos des parents sont le fruit de leur propre expérience et, bien que ce soit dans ton intérêt, certains problèmes perdurent. Les parents ont également leurs propres opinions et préférences concernant leurs attentes pour ton mariage. Ils exigent de leurs enfants qu’ils trouvent un conjoint qui, au minimum, ait de l’argent, un statut social et des compétences, mais qui soit aussi suffisamment intimidant afin qu’ils ne soient pas malmenés par des personnes extérieures au foyer. Ainsi, si d’autres personnes s’en prennent à toi, le conjoint doit être capable de leur tenir tête et de te protéger. Tu pourrais rétorquer : « Je m’en fiche. Je ne suis pas si matérialiste. Je veux juste trouver quelqu’un qui m’aime et que j’aime aussi. » À cela, tes parents répondent : « Pourquoi es-tu si bête ? Pourquoi es-tu si simple d’esprit ? Tu es trop jeune et inexpérimenté et tu ne comprends pas la dureté de la vie. As-tu déjà entendu le proverbe qui dit que, “quand la pauvreté entre par la porte, l’amour s’enfuit par la fenêtre” ? Dans la vie, il faut de l’argent pour ceci et de l’argent pour cela ; penses-tu que tu vivrais bien si tu n’avais pas d’argent ? Tu dois trouver quelqu’un de riche et de compétent. » Alors, tu réponds : « Mais même les personnes riches et compétentes ne sont pas fiables. » Tes parents répondent : « Même si elles ne sont pas fiables, tu dois d’abord satisfaire tes besoins fondamentaux. Ainsi, tu auras toute la nourriture et tous les vêtements que tu souhaites, tu seras bien nourri et bien habillé, ce sont des choses que tout le monde t’enviera. » Tu réponds : « Mais mon âme ne serait pas heureuse. » Ce à quoi tes parents répondent : « Qu’est-ce qu’une âme ? Où se trouve-t-elle ? Qu’importe que ton âme ne soit pas heureuse, tant que tu es bien physiquement, c’est tout ce qui compte ! » Il y a des gens qui du fait de leur situation personnelle du moment, préfèrent rester célibataires. Même lorsqu’elles sont assez âgées, elles ne souhaitent pas sortir avec quelqu’un, et encore moins se marier. Cela inquiète leurs parents qui ne cessent de les inciter à se marier. Ils organisent des rendez-vous à l’aveugle et leur présentent des partenaires potentiels. Ils font tout leur possible pour trouver au plus vite une personne compatible et respectable que leurs enfants pourront épouser ; et si elle n’est pas vraiment compatible avec eux, elle doit au moins avoir de bonnes qualifications, par exemple être diplômée d’une université, avoir un master ou un doctorat, ou encore avoir étudié à l’étranger. Certaines personnes ne supportent pas ces remarques incessantes que leur font leurs parents. Au début, elles pensent que c’est une bonne chose d’être célibataire et de n’avoir qu’à s’occuper d’elles-mêmes. Surtout après avoir trouvé la foi en Dieu, elles sont très occupées à accomplir leurs devoirs quotidiens et n’ont pas le temps de penser à ces choses-là, de sorte qu’elles ne sortent pas pour rencontrer quelqu’un et ne se marieront pas à l’avenir. Cependant, elles ne parviennent pas à passer outre l’examen de leurs parents. Leurs parents ne sont pas d’accord, et ils ne cessent de faire pression sur elles et d’insister. Dès qu’ils voient leurs enfants, ils commencent à leur faire toute sorte de réflexions : « Tu sors avec quelqu’un ? Il y a quelqu’un qui te plaît ? Dépêche-toi de le ramener à la maison pour que nous puissions voir si c’est quelqu’un pour toi. Si c’est quelqu’un pour toi, marie-toi au plus vite ; la jeunesse n’est pas éternelle ! Les femmes ne se marient pas après trente ans et les hommes ne cherchent plus de partenaire après trente-cinq ans. Qu’est-ce que tu cherches à faire ? Tu veux changer le cours du monde ? Qui s’occupera de toi quand tu seras vieux si tu ne te maries pas ? » Les parents s’inquiètent toujours et s’occupent toujours de ce genre de choses, ils veulent que tu recherches tel ou tel type de personnes, ils te poussent à te marier et à trouver un partenaire. Et une fois que tu t’es marié, tes parents continuent à te harceler : « Dépêche-toi d’avoir un enfant tant que nous ne sommes pas encore trop vieux. Nous nous occuperons de lui à ta place. » Tu réponds : « Je n’ai pas besoin que vous vous occupiez de mes enfants. Ne vous inquiétez pas. » Ils répondent : « Qu’est-ce que tu veux dire par “ne vous inquiétez pas” ? Dépêche-toi d’avoir un enfant ! Après sa naissance, nous nous occuperons de lui pour toi. Quand il sera un peu plus grand, tu pourras prendre le relais. » Quelles que soient les attentes des parents à l’égard de leurs enfants – indépendamment de leur attitude ou de la légitimité de ces attentes – les enfants vivent toujours cela comme un fardeau. S’ils écoutent leurs parents, ils se sentent mal à l’aise et sont malheureux. S’ils n’écoutent pas leurs parents, ils ont mauvaise conscience : « Mes parents n’ont pas tort. Ils sont si vieux et ils voient que je ne me marie pas ou que je n’ai pas d’enfants. Ils sont tristes, alors ils me poussent à me marier et à avoir des enfants. C’est aussi leur responsabilité. » Ainsi, face aux attentes des parents en la matière, les gens ont toujours au fond d’eux-mêmes le vague sentiment de porter cela comme un fardeau. Qu’ils les écoutent ou non, ils ont l’impression de mal agir, et dans tous les cas, ils ont l’impression qu’ignorer les exigences ou les désirs de leurs parents est particulièrement honteux et immoral. C’est une question qui pèse sur leur conscience. Certains parents s’immiscent même dans la vie de leurs enfants : « Dépêche-toi de te marier et d’avoir des enfants. Donne-moi d’abord un petit-fils qui soit grand et en bonne santé. » De cette façon ils essaient même d’avoir une influence sur le sexe du bébé. Ainsi, certains parents disent également : « Tu as déjà une fille, dépêche-toi de me donner un petit-fils, je veux à la fois un petit-fils et une petite-fille. Toi et ton conjoint passez vos journées à croire en Dieu et à accomplir vos devoirs. Vous ne faites pas vraiment ce que vous avez à faire : avoir des enfants, c’est important. Ne savez-vous pas que “des trois impiétés filiales, ne pas avoir d’héritier est la pire” ? Tu penses qu’il suffit d’avoir une fille ? Tu ferais mieux de te dépêcher de me donner aussi un petit-fils ! Tu es notre seul enfant, et si tu ne me donnes pas de petit-fils, te rends-tu compte que notre lignée va s’éteindre ? » Tu te dis : « C’est vrai, si la lignée familiale prend fin avec moi, n’est-ce pas trahir mes ancêtres ? » Ainsi, ne pas se marier est une erreur, et se marier sans avoir d’enfants est également une erreur ; mais encore, il ne suffit pas non plus d’avoir une fille, il faut aussi avoir un fils. Certaines personnes ont un fils dès la première naissance, mais leurs parents disent malgré tout : « Un seul, ce n’est pas suffisant. Et s’il arrivait quelque chose ? Il faut en avoir un autre pour qu’ils se tiennent compagnie. » Dès qu’il s’agit de leurs enfants, la parole des parents fait loi et ils peuvent se montrer totalement déraisonnables, capables de tenir des discours qui défient toute logique. Si bien que leurs enfants ne savent tout simplement pas comment s’y prendre avec eux. Les parents interfèrent et critiquent la vie de leurs enfants, leur travail, leur mariage et leur attitude à l’égard de diverses choses. Les enfants ne peuvent que ravaler leur colère. Ils ne peuvent pas se cacher de leurs parents ni les repousser. Et comme ils ne peuvent ni gronder ni éduquer leurs propres parents, que leur reste-t-il à faire ? Ils supportent la situation, ils essaient de les voir le moins souvent possible et ils évitent d’aborder ces questions s’ils doivent absolument se rencontrer. Et si ces questions sont abordées, ils mettent immédiatement un terme à la discussion et vont se cacher quelque part. Cependant, pour répondre aux attentes de leurs parents et ne pas les décevoir, certaines personnes se plient à leurs exigences. Dans ce cas, tu te forces à sortir avec quelqu’un, à te marier et à avoir des enfants. Mais avoir un enfant n’est pas suffisant, il faut en avoir plusieurs. Tu le fais pour satisfaire les exigences de tes parents et les rendre heureux et joyeux. Que tu puisses ou non satisfaire les souhaits de tes parents, leurs exigences sont pénibles pour n’importe quel enfant. Tes parents ne font rien de contraire à la loi et tu ne peux pas les critiquer, en parler à quelqu’un d’autre ou les raisonner. À force de harcèlement, cette question devient un fardeau pour toi. Tu as sans cesse l’impression que tant que tu ne peux pas répondre aux exigences de tes parents en matière de mariage et d’enfants, tu n’auras jamais la conscience tranquille vis-à-vis d’eux, ni vis-à-vis de tes ancêtres. Si tu n’as pas répondu aux exigences de tes parents, c’est-à-dire si tu n’as rencontré personne, si tu ne t’es pas marié, si tu n’as pas eu d’enfants et si tu n’as pas perpétué la lignée familiale comme ils te l’avaient demandé, alors, tu ressens une tension intérieure. Et tu ne pourras te détendre seulement si tes parents te disent qu’ils n’interviendront plus sur ces questions, et qu’ils te laisseront la liberté de prendre les choses comme elles viennent. Cependant, si les réactions sociales de ta famille élargie, de tes amis, de tes camarades de classe, de tes collègues et de tout le monde consistent à t’en faire le reproche et à parler de toi dans ton dos, alors, tout cela demeure un fardeau pour toi. Si à l’âge de 25 ans tu n’es pas encore marié, tu ne penses pas que cela ait beaucoup d’importance, mais lorsque tu atteins 30 ans, tu commences à sentir que ce n’est pas idéal, tu évites tes parents et les autres membres de la famille, et tu n’en parles pas. Et si tu n’es toujours pas marié à 35 ans, les gens te diront : « Pourquoi n’es-tu pas marié ? Qu’est-ce qui ne va pas chez toi ? Tu es un peu bizarre, non ? » Et si tu es marié, mais que tu ne veux pas d’enfants, ils diront : « Pourquoi n’as-tu pas eu d’enfants après t’être marié ? Les autres se marient et ont une fille puis un fils, ou un fils puis une fille. Pourquoi ne veux-tu pas d’enfants ? Quel est ton problème ? Es-tu dénué de tout sentiment humain ? Es-tu vraiment quelqu’un de normal ? » Peu importe que ces questions viennent des parents ou de la société, elles deviennent pour toi un fardeau dans toute sorte d’environnements et de milieux. Tu as l’impression d’être dans l’erreur, surtout à cet âge. Par exemple, si tu as entre trente et cinquante ans et que tu n’es toujours pas marié, tu n’oses plus rencontrer les gens. Ils disent : « Cette femme n’a jamais été mariée de sa vie, c’est une vieille fille, personne ne veut d’elle, personne ne l’épousera. » « Ce type, il n’a jamais eu de femme de toute sa vie. » « Pourquoi ne se sont-ils pas mariés ? » « Qui sait, peut-être qu’ils ne vont pas bien. » Alors, tu te dis : « Non, je n’ai pas de problème particulier. Alors pourquoi ne me suis-je pas marié ? Je n’ai pas écouté mes parents et je les ai déçus. » Les gens disent : « Ce type n’est pas marié, cette fille n’est pas mariée. Regardez comme leurs parents sont pitoyables aujourd’hui. Les autres parents ont des petits-enfants et des arrière-petits-enfants, mais ils sont toujours célibataires. Leurs ancêtres ont dû faire quelque chose de terrible, hein ? N’est-ce pas là laisser la famille sans héritier ? Ils n’auront pas de descendants pour perpétuer la lignée familiale. Quel est le problème de cette famille ? » Tout aussi inflexible que tu te montres aujourd’hui, tant que tu demeures un mortel, une personne ordinaire, et que tu ne détiens pas la vérité pour comprendre cette question, tôt ou tard, elle viendra te troubler et te perturber. De nos jours, de nombreux jeunes de 34 ou 35 ans ne sont toujours pas mariés, et ce n’est pas si grave. En revanche, à partir de 35 ou 36 ans, les célibataires se font moins nombreux. Au regard de la tranche d’âge actuelle des célibataires, si tu as moins de 35 ans, tu pourrais penser : « C’est normal de ne pas être marié, personne ne le relève. Si mes parents veulent dire quelque chose, qu’ils le fassent. Je n’ai pas peur. » Mais une fois que tu auras dépassé l’âge de 35 ans, les gens te regarderont d’un autre œil. Ils diront que tu es célibataire ou une femme de second rang, et tu ne pourras pas le supporter. Cette affaire deviendra un fardeau pour toi. Si tu n’as pas une compréhension claire ou des principes de pratique précis sur cette question, tôt ou tard, cela deviendra un souci pour toi, ou cela viendra perturber ta vie pendant une certaine période. N’y a-t-il pas là en jeu certaines vérités que les gens devraient comprendre ? (Si.)

En ce qui concerne le mariage et les enfants, quelles sont les vérités que les gens devraient comprendre afin d’abandonner les fardeaux liés à ces questions ? Tout d’abord, le choix d’un conjoint est-il déterminé par la volonté humaine ? (Non.) Tu ne peux pas juste rencontrer le type de personne que tu désires, et Dieu ne préparera certainement pas pour toi le type exact de personne que tu veux. Au contraire, Dieu a déjà ordonné qui sera ton époux ou ton épouse ; qui que ce soit, il en sera ainsi. Tu n’as pas à être concerné par aucune des interférences venant des besoins de tes parents ni par les conditions qu’ils posent. En outre, le conjoint que tes parents te demandent de trouver pour te marier, qui est à la fois riche et de statut élevé, peut-il déterminer ton propre niveau de richesse et ton statut social futur ? (Non.) Il ne le peut pas. Pas mal de femmes ont intégré des familles aisées par le biais du mariage pour ensuite en être chassées et réduites à ramasser les ordures dans les rues. Dans leur recherche constante d’ascension sociale en quête de richesses et de prestige, elles se retrouvent ruinées, avec une réputation en lambeaux et dans une situation bien pire que celle des gens ordinaires. Elles passent leurs journées à se promener avec un sac à linge bon marché pour ramasser des bouteilles en plastique et des canettes en aluminium, afin d’en tirer quelques dollars pour se payer un café dans un bar et se donner l’impression qu’elles mènent encore la vie d’une personne riche. Quelle tristesse ! Le mariage est un événement important dans la vie d’une personne. Tout comme le type de parents que l’on est destiné à avoir, le mariage ne dépend pas des besoins de tes parents, de ta famille, ni de tes goûts personnels ou de tes préférences ; ceci est entièrement ordonné par Dieu. Tu rencontreras la bonne personne au bon moment ; tu rencontreras la personne qui te convient au moment qui convient. Tous ces arrangements du monde invisible et mystique sont sous le contrôle et la souveraineté de Dieu. Dans ce domaine, les gens n’ont pas à écouter les arrangements des autres, à se laisser diriger, manipuler et influencer par eux. Ainsi, en ce qui concerne le mariage, quelles que soient les attentes de tes parents et quels que soient tes projets, tu n’as pas à te laisser influencer par tes parents, ni par tes propres projets. Cette question doit s’appuyer exclusivement sur la parole de Dieu. Peu importe que tu cherches un conjoint ou non – même si tu en cherches un, ce doit être conformément à la parole de Dieu, et non selon les exigences ou les besoins de tes parents, ni selon leurs attentes. Ainsi, en ce qui concerne le mariage, les attentes de tes parents ne doivent pas devenir un fardeau pour toi. Trouver un conjoint, c’est assumer la responsabilité du reste de sa propre vie comme de celle de son conjoint ; c’est se soumettre aux orchestrations et aux arrangements de Dieu. Il ne s’agit pas de répondre aux exigences ou aux attentes de tes parents. Le fait que tu cherches un conjoint ou non et le type de conjoint recherché ne doit pas dépendre des attentes de tes parents. Tes parents n’ont pas le droit de décider à ta place en la matière ; Dieu ne leur a pas donné le droit d’arranger ton mariage du début à la fin. Si tu cherches un conjoint pour te marier, cela doit être fait conformément aux paroles de Dieu ; si tu choisis de ne pas en chercher un, c’est ta liberté. Tu dis : « Tout au long de ma vie, que je remplisse ou non mes devoirs, je souhaite rester célibataire. La solitude donne tellement de liberté – tel un oiseau, je peux prendre mon envol d’un seul battement d’ailes. Je n’ai pas de famille à charge et je suis seul où que j’aille. C’est formidable ! Je suis seul, mais je ne me sens pas seul. J’ai Dieu avec moi, Il m’accompagne, je me sens rarement seul. Parfois, j’ai envie de déconnecter complètement, c’est le corps qui le réclame. Prendre un moment pour déconnecter complètement n’est pas une mauvaise chose. De temps en temps, quand je me sens vide ou seul, je me présente devant Dieu pour Lui dire quelques mots cœur à cœur. Je lis Ses paroles, j’apprends des cantiques, je regarde des vidéos de témoignages d’expériences de vie et je regarde des films de la maison de Dieu. C’est formidable et je ne me sens plus seul après cela. Je ne me soucie pas de savoir si je me sentirai seul ou non par la suite. En tout cas, je ne me sens pas seul maintenant ; il y a beaucoup de frères et sœurs autour de moi avec lesquels je peux avoir des conversations sincères. La recherche d’un conjoint en vue du mariage peut s’avérer assez pénible. Il n’y a pas beaucoup de gens normaux capables de mener sincèrement une bonne vie, alors, je préfère ne pas en rechercher. Si je trouve quelqu’un, que nous n’arrivons pas à nous entendre et que nous divorçons, à quoi auront servi tous ces tracas ? Maintenant que j’ai bien compris cet aspect, mieux vaut pour moi ne pas rechercher de conjoint. Si le but de trouver quelqu’un à épouser n’est que le bonheur et la joie momentanés, et que l’on finit par devoir divorcer de toute façon, ce n’est qu’un tracas, et je ne suis pas disposé à supporter un tel tracas. Quant à la question d’avoir des enfants, en tant qu’être humain – et non seulement dans le but de se donner des héritiers – il n’est ni de ma responsabilité ni de mon obligation de perpétuer une quelconque lignée familiale. Que ceux qui le souhaitent, le fassent. Aucun nom de famille n’appartient à une seule personne. » Qu’importe si la lignée familiale est brisée ? Ne s’agit-il pas simplement de noms de famille donnés à la chair ? Les âmes n’ont pas de relations entre elles ; il n’est pas question d’héritage ou de continuation entre elles. L’humanité a un ancêtre commun ; chacun d’entre nous descend de cet ancêtre, et il n’est donc pas question que la lignée de l’humanité se termine. Poursuivre une lignée n’est pas ta responsabilité. Suivre le droit chemin dans la vie, mener une vie libre et libérée, et être un véritable être créé, voilà ce que les gens doivent poursuivre. Être une machine à propager l’humanité n’est pas un fardeau que tu devrais porter. Il n’est pas non plus de ta responsabilité de te reproduire ou de poursuivre une lignée familiale pour le bien d’une famille. Dieu ne t’a pas confié cette responsabilité. Quiconque veut procréer peut aller de l’avant et procréer ; quiconque veut poursuivre sa lignée peut le faire ; quiconque est prêt à assumer cette responsabilité peut l’assumer ; cela n’a rien à voir avec toi. Si tu n’es pas disposé à assumer cette responsabilité et à remplir cette obligation, c’est très bien, c’est ton droit. N’est-ce pas approprié ? (Si.) Si tes parents continuent à te harceler, tu peux leur dire : « Si vous n’appréciez pas que je ne me reproduise pas et que je ne poursuive pas la lignée familiale pour vous, alors trouvez un moyen d’avoir un autre enfant et laissez-le poursuivre la lignée. Quoi qu’il en soit, cette question ne me concerne pas ; vous pouvez la déléguer à qui vous voulez. » Que pourraient bien avoir à te répondre tes parents après leur avoir dit cela ? En ce qui concerne le mariage de leurs enfants et le fait d’avoir des enfants, les parents, qu’ils croient en Dieu ou non, devraient savoir à un âge avancé que la richesse ou la pauvreté d’une personne, son nombre d’enfants et son état matrimonial dans la vie sont déterminés par le Ciel ; ce sont des choses fixées à l’avance et personne ne peut en décider. Par conséquent, si des parents exigent de force des choses de leurs enfants de cette manière, il ne fait aucun doute que ce sont des parents ignorants, insensés et incapables. Lorsque tu as affaire à des parents stupides et incapables, traite ce qu’ils disent comme une bouffée d’air que tu laisserais entrer par une oreille et ressortir par l’autre, et c’en est fini. S’ils te harcèlent trop, tu peux dire : « D’accord, je vous promets que je me marierai demain, que j’aurai un enfant après-demain et que je vous permettrai de prendre un arrière-petit enfant dans vos bras le jour d’après. Qu’en pensez-vous ? » Contente-toi de te débarrasser d’eux, puis tourne les talons et repars. N’est-ce pas là une façon plus sereine d’aborder la question ? Quoi qu’il en soit, tu dois percevoir cette question dans toute sa profondeur. En ce qui concerne le mariage, mettons d’abord de côté le fait que le mariage est ordonné par Dieu. L’attitude de Dieu à cet égard est d’accorder aux gens eux-mêmes le droit de choisir. Tu peux choisir d’être célibataire ou de te marier ; tu peux choisir de vivre en couple ou de fonder une famille nombreuse. C’est ta liberté. Quelle que soit la raison pour laquelle tu fais ces choix, quel que soit le but ou le résultat que tu cherches à atteindre, en définitive, ce droit t’est donné par Dieu ; tu as le droit de choisir. Si tu dis : « Je suis trop occupé par mon travail, je suis encore jeune et je ne veux pas me marier. Je veux être célibataire, me dépenser pour Dieu à plein temps et bien accomplir mes devoirs. Je m’occuperai de la grande question du mariage plus tard – quand j’aurai cinquante ans et que je me sentirai seul, quand j’aurai beaucoup de choses à dire, mais que je n’aurai pas d’exutoire pour mon bavardage, alors je trouverai quelqu’un », c’est aussi très bien, et Dieu ne te condamnera pas. Si tu dis : « J’ai l’impression que ma jeunesse m’échappe, je dois profiter de la fin de ma jeunesse. Tant que je suis encore jeune et que j’ai de l’allure et un peu de charme, je devrais me dépêcher de trouver un conjoint pour me tenir compagnie et avec qui discuter, quelqu’un qui me chérisse et m’aime, avec qui je puisse passer mes journées et me marier », c’est aussi ton droit. Bien sûr, il y a une chose à savoir : si tu décides de te marier, il te faut d’abord examiner attentivement les devoirs que tu accomplis actuellement dans l’Église, si tu es dirigeant ou ouvrier, si tu as été sélectionné pour te cultiver dans la maison de Dieu, si tu viens de prendre en charge un travail ou des devoirs importants, si l’on t’a confié des tâches que tu n’a pas encore finies, ainsi que ta situation actuelle. Si tu te maries, cela influencera-t-il l’accomplissement de tes devoirs ? Cela influencera-t-il aussi ta poursuite de la vérité ? Cela aura-t-il un impact sur ton travail en tant que dirigeant ou ouvrier ? Cela aura-t-il un impact sur le fait que tu obtiennes le salut ? Voilà autant de questions auxquelles tu dois réfléchir. Bien que Dieu t’ait accordé ce droit, lorsque tu l’exerces, tu dois réfléchir attentivement au choix que tu vas faire et aux conséquences que ce choix peut entraîner. Quelles qu’en soient les conséquences, tu ne dois pas blâmer les autres ni Dieu. Tu dois assumer la responsabilité des conséquences de tes propres choix. Certains disent : « Non seulement je vais me marier, mais je veux aussi avoir beaucoup d’enfants. Après avoir eu un fils, j’aurai une fille, et nous vivrons heureux en famille toute notre vie, nous nous tiendrons compagnie dans la joie et l’harmonie. Quand je serai vieux, mes enfants se rassembleront autour de moi pour s’occuper de moi, et je jouirai de la félicité de la vie de famille. Comme ce sera merveilleux ! Quant à l’accomplissement de mes devoirs, à la poursuite de la vérité et à l’obtention du salut, tout cela est secondaire. Je ne me préoccupe pas de ces choses-là pour l’instant. Je réglerai d’abord la question d’avoir des enfants. » C’est également ton droit. Cependant, quelles que soient les conséquences de ton choix, qu’elles soient amères ou douces, aigres ou astringentes, tu devras les assumer. Personne ne paiera le prix de tes choix ou n’en assumera la responsabilité, y compris Dieu. Compris ? (Oui.) Ces questions ont été clairement expliquées. En ce qui concerne le mariage, il te faut abandonner les fardeaux que tu dois abandonner. Choisir d’être célibataire est ta liberté, choisir de te marier est aussi ta liberté, et choisir d’avoir beaucoup d’enfants est aussi ta liberté. Quel que soit ton choix, c’est ta liberté. D’une part, choisir de te marier ne signifie pas que tu auras ainsi rendu leur bonté à tes parents ni que tu auras rempli ton devoir filial ; bien entendu, choisir de rester célibataire ne signifie pas non plus que tu défies tes parents. D’autre part, choisir de se marier ou d’avoir beaucoup d’enfants, ce n’est pas se rebeller contre Dieu, ce n’est pas Le défier. Tu ne seras pas condamné pour cela. Le fait de choisir le célibat ne sera pas non plus la raison pour laquelle Dieu t’accordera finalement le salut. En somme, que tu sois célibataire, marié ou que tu aies beaucoup d’enfants, Dieu ne déterminera pas si tu peux être sauvé ou non en fonction de ces facteurs. Dieu ne regarde ni ton passé ni ton état matrimonial ; Il regarde seulement si tu poursuis la vérité, ton attitude dans l’accomplissement de tes devoirs, à quel point tu as accepté la vérité et tu t’y es soumis, et si tu agis en accord avec les vérités-principes. Au bout du compte, Dieu mettra également de côté ton état matrimonial pour examiner le chemin de vie, les principes selon lesquels tu vis et les règles selon lesquelles tu survis et que tu as choisies pour déterminer si tu seras sauvé. Bien sûr, nous devons mentionner que les célibataires et les divorcés, c’est-à-dire ceux qui n’ont pas contracté de mariage ou qui l’ont quitté, ont un avantage : ils n’ont pas à être responsables de qui que ce soit ou de quoi que ce soit dans le cadre du mariage. Ils n’ont pas à assumer ces responsabilités et obligations, et sont donc relativement plus libres. Ils ont plus de liberté en termes de temps, plus d’abondance en termes d’énergie et plus de liberté personnelle dans une certaine mesure. Par exemple, en tant qu’adulte, lorsque tu sors pour accomplir tes devoirs, personne ne peut t’en empêcher – même tes parents n’en ont pas le droit. Tu pries Dieu toi-même, Il prend des dispositions pour toi, et tu peux faire tes bagages et partir. Mais si tu es marié et que tu as une famille, alors, tu n’es pas aussi libre. Tu dois être responsable d’eux. D’abord et avant tout, en termes de conditions de vie et de ressources financières, tu te dois au moins de leur fournir de la nourriture et des vêtements, et lorsque tes enfants sont jeunes, tu dois les emmener à l’école. Tu te dois d’assumer ces responsabilités. Dans cette situation, les personnes mariées ne sont pas libres car elles ont des obligations sociales et familiales à assumer. Les choses sont plus simples pour ceux qui ne sont pas mariés et qui n’ont pas d’enfants. En accomplissant leurs devoirs dans la maison de Dieu, ils n’auront ni faim ni froid ; ils auront à la fois de quoi se nourrir et se loger. Ils n’ont pas besoin de courir tous azimuts pour gagner de l’argent et travailler pour satisfaire les besoins de la vie familiale. C’est là toute la différence. En fin de compte, en ce qui concerne le mariage, l’affaire reste la même : tu ne devrais porter aucun fardeau. Qu’il s’agisse des attentes de tes parents, des conceptions traditionnelles de la société ou de tes propres désirs extravagants, tu ne dois porter aucun fardeau. C’est ton droit de choisir de rester célibataire ou de te marier, et c’est aussi ton droit de décider quand quitter le célibat et quand te marier. Dieu n’émet pas de jugement définitif à ce sujet. Quant au nombre d’enfants que tu auras après t’être marié, il a été prédéfini par Dieu, mais tu peux aussi choisir toi-même en fonction de ta situation et de tes aspirations. Dieu ne t’imposera pas de règles. Supposons que tu sois millionnaire, multimillionnaire ou milliardaire et que tu dises : « Avoir huit ou dix enfants n’est pas un problème pour moi. Élever toute une ribambelle d’enfants ne compromettra pas l’énergie dont je dispose pour accomplir mes devoirs. » Si tu ne crains pas les tracas, vas-y, fais des enfants ; Dieu ne te condamnera pas. Dieu ne changera pas son attitude quant à ton salut en raison de ton attitude vis-à-vis du mariage. C’est ainsi. Est-ce clair ? (Oui.) Il existe un autre aspect : si tu es actuellement célibataire par choix, tu ne dois pas te sentir supérieur pour la simple raison que tu es célibataire, et dire : « Je fais partie de l’élite des célibataires et j’ai le droit d’être prioritaire pour le salut en présence de Dieu. » Dieu ne t’a pas donné ce privilège, compris ? Tu demanderas peut-être : « Je suis marié. Cela fait-il de moi quelqu’un d’inférieur ? » Tu n’es pas inférieur. Tu restes un membre de l’humanité corrompue ; tu n’as pas été dégradé ou piétiné parce que tu t’es marié, et tu n’es pas devenu plus corrompu, plus difficile à sauver, ou plus blessant pour le cœur de Dieu que d’autres, au risque que Dieu ne veuille pas te sauver. Il s’agit là de toutes les pensées et opinions erronées que se font les gens. L’état matrimonial d’une personne n’a rien à voir avec l’attitude de Dieu à son égard, pas plus que l’état matrimonial d’une personne n’a quoi que ce soit à voir avec le fait qu’elle puisse être finalement sauvée ou non. Donc, de quoi dépend l’obtention du salut ? (Cela dépend de notre attitude devant l’acceptation de la vérité.) C’est exact, le salut dépend de la façon dont on traite la vérité et dont on accepte la vérité, et sur sa capacité à utiliser les paroles de Dieu comme base et la vérité comme critère pour voir les gens et les choses et pour se comporter et agir. C’est sur cette base que l’on peut mesurer le résultat final d’une personne. Maintenant que nous sommes parvenus à ce stade de notre échange, es-tu en mesure d’abandonner le fardeau que représente la question du mariage ? (Oui.) Le fait de pouvoir les abandonner te sera bénéfique dans la poursuite de la vérité. Si tu ne le crois pas, tu peux demander à ceux qui se sont mariés quel est leur espoir de recevoir le salut, et ils te diront : « J’ai été marié pendant de longues années et j’ai divorcé à cause de ma croyance en Dieu. Je n’oserais pas dire que je serai sauvé. » Tu peux demander à ces jeunes un peu plus âgés, dans la trentaine, qui ne se sont pas mariés, mais qui, pendant les nombreuses années où ils ont cru, n’ont pas cherché la vérité et sont semblables à des non-croyants. Tu peux leur demander : « Peux-tu être sauvé en croyant en Dieu de cette manière ? » Ils n’oseront pas non plus dire qu’ils peuvent être sauvés. N’est-ce pas ainsi que les choses se passent ? (Si.)

Telles sont les vérités que les gens devraient comprendre au sujet du mariage. Aucun des sujets sur lesquels nous avons échangé ne peut être expliqué clairement en quelques mots. Il y a toutes sortes d’exemples concrets qui mériteraient d’être disséqués, ainsi que toutes sortes de circonstances liées à différents types de personnes. Au regard de la diversité de ces circonstances, les vérités que les gens doivent comprendre ne sauraient être expliquées clairement en quelques mots. Pour chaque problème, il y a des vérités et des réalités factuelles que les gens doivent comprendre, mais ce sont surtout les pensées et les opinions fallacieuses que les gens nourrissent qui doivent également être comprises. Bien entendu, ces pensées et opinions fallacieuses sont les choses que les gens doivent abandonner. Lorsque tu abandonnes ces choses, tes pensées et tes points de vue sur une question donnée deviennent relativement positifs et relativement exacts. Si bien que lorsque tu seras à nouveau confronté à ce type de problème, tu ne seras plus contraint par celui-ci ; tu ne seras plus contraint ni influencé par des pensées et des points de vue fallacieux et absurdes. Tu ne seras plus lié ou perturbé par cette question ; au contraire, tu seras en mesure d’y faire face comme il se doit, et ton appréciation des autres comme de toi-même sera relativement juste. Tel est le résultat positif qui peut s’incarner dans les individus lorsqu’ils considèrent les gens et les choses et lorsqu’ils se comportent et agissent conformément aux paroles de Dieu et aux vérités-principes. Très bien, mettons fin à notre échange pour aujourd’hui. Au revoir !

Le 1er avril 2023

Note de bas de page :

a. Le texte original dit : « Tu ne peux même pas te contrôler toi-même. »

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