Ⅰ

Les yeux qui supplient, Tu appelles d’urgence,

face à l’homme cruel, Tu dévoiles Ton cœur.

Un seul désir Te fait souffrir de grands maux,

déversant Ton espoir, le sang de Ton cœur.

Tu n’attends pas grand’ chose, Tu donnes tout,

familier à la douleur, la persécution.

Oh Très Saint, qui se compare à Ta beauté ?

Ton œuvre immense sera honorée à toujours.

Refrain

Comment T’abandonnerais-je

pour une prétendue liberté ?

Je préférerais souffrir

pour rétablir Ton cœur en deuil.

Comment T’abandonnerais-je

pour une prétendue liberté ?

Quand les fleurs écloront encore,

j’écouterai Tes bonnes nouvelles.

Ⅱ

Tombé dans le péché, je me lève en lumière.

Tu m’exaltes tant, je suis reconnaissant.

Dieu en chair, Il souffre ;

je devrais souffrir encore plus.

Si je cédais aux ténèbres, comment verrais-je Dieu ?

Refrain

Comment T’abandonnerais-je

pour une prétendue liberté ?

Je préférerais souffrir

pour rétablir Ton cœur en deuil.

Comment T’abandonnerais-je

pour une prétendue liberté ?

Quand les fleurs écloront encore,

j’écouterai Tes bonnes nouvelles.

Ⅲ

Quand je pense à Tes paroles, elles me font Te désirer.

Quand je vois Ton visage, coupable, je Te salue.

Refrain

Comment T’abandonnerais-je

pour une prétendue liberté ?

Je préférerais souffrir

pour rétablir Ton cœur en deuil.

Comment T’abandonnerais-je

pour une prétendue liberté ?

Quand les fleurs écloront encore,

j’écouterai Tes bonnes nouvelles.