Ⅰ

Tu m’accompagnes à travers quatre saisons.

En regardant Ton visage solitaire,

des vagues de tristesse surgissent dans mon cœur.

Je n’ai jamais apaisé Ta tristesse,

ni jamais pris soin de Ta solitude ;

face à Tes paroles sincères répétées,

je suis si obstiné.

J’attriste toujours Ton cœur

et Te laisse toujours tomber ;

c’est seulement après avoir été châtié,

que je le réalise un peu.

Bien que je sois à Tes côtés,

je ne peux pas porter de fardeau pour Toi.

Je ne suis pas sensé,

je ne comprends pas Tes difficultés.

Ⅱ

À cause des désirs et de la chair,

j’ai oublié la vérité et la morale.

Rempli de remords, j’ai longtemps brisé Ton cœur.

Gémissant à cause de la corruption,

je Te demande avidement des choses.

Nul ne ressent Ton chagrin,

nul ne comprend Ta peine.

Qui a la conscience et la raison

de partager quelque peu Tes soucis ?

Ton cœur est très bon,

l’amour est précieux et vrai.

Qui pourrait être plus beau

et plus honorable que Toi !

Tu as conquis mon cœur,

et je ne me séparerai jamais de Toi.

Je serai avec Toi pour toujours

et je resterai à jamais à Tes côtés.

Ton cœur est très bon,

l’amour est précieux et vrai.

Qui pourrait être plus beau

et plus honorable que Toi !

Tu as conquis mon cœur,

et je ne me séparerai jamais de Toi.

Je serai avec Toi pour toujours

et je resterai à jamais à Tes côtés.

Puissent la joie et le bonheur

apparaître sur Ton visage,

puisses-Tu vivre

dans mon cœur pour toujours.

Puissent la joie et le bonheur

apparaître sur Ton visage,

puisses-Tu vivre

dans mon cœur pour toujours,

vivre dans mon cœur pour toujours.