Étant donné les traits inhérents à l’humanité, c’est-à-dire le vrai visage de l’humanité, avoir pu continuer jusqu’à maintenant n’a pas été chose facile, et ce n’est qu’ainsi que la grande puissance de Dieu est devenue réellement apparente. Étant donné l’essence de la chair ainsi que le fait que, jusqu’à présent, l’homme a été corrompu par le grand dragon rouge, comment l’humanité aurait-elle pu tenir jusqu’à aujourd’hui sans la direction de l’Esprit de Dieu ? L’homme n’est pas digne de se présenter devant Dieu, mais pour le bien de Sa gestion et pour que Sa grande œuvre soit accomplie sans délai, Dieu aime l’humanité. En vérité, l’amour de Dieu pour l’humanité est une chose qu’aucun homme ne pourra jamais rendre en une vie. Certains souhaitent peut-être rendre la grâce de Dieu en sacrifiant leur vie, mais Je te le dis : l’homme est indigne de mourir devant Dieu, et sa mort serait donc vaine. En effet, pour Dieu, la mort d’un homme n’est même pas digne d’être mentionnée ; tout comme la mort d’une fourmi à terre, elle ne vaut pas un centime. Je conseille aux hommes de ne pas se donner trop de valeur et de ne pas penser que mourir pour Dieu pèse aussi lourd que le mont Tai. En fait, la mort d’un homme est une question aussi légère qu’une plume. Elle n’est pas digne d’être mentionnée. Mais encore une fois, la chair de l’homme est, par nature, condamnée à mourir et donc, à la fin, le corps physique doit se terminer sur la terre. C’est un fait réel que nul ne peut nier. C’est une « loi de la nature » que J’ai tirée de l’ensemble de l’expérience de la vie humaine, et Dieu a donc défini la fin de l’homme de cette façon sans que l’on s’en rende compte. Comprends-tu ? Rien d’étonnant à ce que Dieu dise : « Je méprise la rébellion de l’humanité. J’ignore pourquoi ; c’est comme si Je haïssais l’homme depuis le commencement, et pourtant, J’ai profondément pitié de lui. Ainsi, les hommes ont toujours eu deux attitudes à Mon égard, car J’aime l’homme et Je le hais aussi. »

Qui ne loue pas Dieu pour Sa présence ou Son apparition ? À présent, c’est comme si J’avais complètement oublié l’impureté et l’iniquité dans l’homme. Je relègue l’arrogance de l’humanité, sa suffisance, sa désobéissance, sa défiance et toute sa rébellion au fond de Mon esprit pour l’oublier. Dieu n’est pas limité par ces traits qui sont l’humanité. Puisque Je « partage la même affliction » que Dieu, Je Me libère aussi de ce problème, de peur d’être encore davantage limité par l’homme. Pourquoi faire tout cela ? Puisque les hommes ne sont pas prêts à rejoindre la famille de Dieu avec Moi, comment pourrais-Je utiliser Ma puissance pour les forcer ? Je ne fais rien qui opprime l’homme, et ce n’est pas étonnant, car Je suis né dans la famille de Dieu et donc, bien sûr, l’homme et Moi sommes toujours différents. Cela a conduit à l’état d’échec abject dans lequel il se trouve aujourd’hui. Mais Je continue à éviter les faiblesses de l’homme ; quel choix ai-Je ? N’est-ce pas parce que Je suis impuissant ? Rien d’étonnant à ce que Dieu désire « Se retirer » de « l’unité de travail » de l’humanité et exige une « pension ». Quand je parle du point de vue d’un homme, les hommes n’écoutent pas, mais ont-il jamais cessé de se rebeller, même lorsque Je parle du point de vue de Dieu ? Le jour viendra peut-être où Dieu « Se retirera » soudain de « l’unité de travail » de l’humanité et, quand ce temps viendra, la parole de Dieu deviendra plus féroce encore. Aujourd’hui, il se peut que ce soit à cause de Moi que Dieu parle de cette façon, et si ce jour arrive, Dieu ne sera pas comme Moi, à « raconter des histoires à des enfants de maternelle » gentiment et patiemment. Ce que Je dis n’est peut-être pas tout à fait approprié, mais c’est seulement en raison de Dieu incarné que Dieu veut relâcher un peu Son emprise sur l’homme ; autrement, il serait trop horrible d’envisager cette perspective. Comme Dieu l’a dit : « J’ai un jour relâché quelque peu Ma poigne sur les gens, les laissant se livrer librement à leurs désirs charnels, et c’est pour cette raison qu’ils ont osé se comporter de façon débridée, sans aucune retenue, ce qui montre qu’ils ne M’aiment pas vraiment, car ils vivent tous dans la chair. » Pourquoi Dieu dit-Il ici « se livrer à leurs désirs » et « vivent dans la chair » ? En vérité, l’homme comprendra naturellement ces paroles sans Mon interprétation. Certains diront peut-être qu’ils ne comprennent pas, mais Je considère qu’ils connaissent la réponse et feignent simplement l’ignorance. Quelques mots de rappel : pourquoi Dieu dit-Il « Tout ce que Je demande à l’homme, c’est qu’il coopère avec Moi » ? Pourquoi Dieu dit-Il aussi que la nature humaine est difficile à changer ? Pourquoi Dieu méprise-t-Il la nature humaine ? Et qu’est-ce que la nature de l’homme, exactement ? Qu’est-ce qui n’en fait pas partie ? Qui a considéré ces questions ? C’est peut-être un sujet nouveau pour l’homme, mais, malgré tout, Je supplie l’homme d’y consacrer son attention, sans quoi il offensera toujours Dieu à cause de paroles telles que « la nature humaine est difficile à changer ». À quoi bon agir contre Lui de cette façon ? N’est-ce pas, en fin de compte, simplement chercher des problèmes ? Cela ne se finira-t-il pas comme un œuf lancé contre une pierre ?

En vérité, toutes les épreuves et les tentations auxquelles est soumis l’homme sont des leçons que Dieu exige à l’homme d’apprendre. Selon l’intention de Dieu, l’homme peut parvenir à réaliser ces choses même s’il doit sacrifier ce qu’il aime, mais, parce que l’homme s’aime toujours lui-même, il ne parvient pas à vraiment coopérer avec Dieu. Dieu ne demande pas beaucoup de l’homme. Tout ce qu’Il demande peut être réalisé facilement et dans la joie ; c’est juste que l’homme ne veut pas endurer d’épreuves. Tout comme, étant l’enfant de quelqu’un, on peut accomplir son devoir en vivant frugalement afin d’économiser pour prendre soin de ses parents. Pourtant, ces personnes craignent de ne pas assez bien manger ou d’avoir des vêtements trop ordinaires, donc, pour une raison ou une autre, elles oublient la dette qu’elles ont envers leurs parents pour leur attention aimante, comme si s’occuper d’eux pouvait attendre que l’enfant ait fait fortune. Je vois en cela que les hommes n’ont dans leur cœur aucun amour filial pour leurs parents ; ce sont des fils sans liens filiaux. Mes paroles sont peut-être trop extrêmes, mais Je ne peux pas dire d’inepties devant les faits. Je ne peux pas « émuler les autres » et résister à Dieu dans le but de Me satisfaire. C’est justement parce que personne sur terre n’a un cœur filial que Dieu a dit : « Dans les cieux, Satan est Mon ennemi ; sur terre, l’homme est Mon rival. En raison de l’union de la terre et des cieux, Je les déclare tous coupables, jusqu’au neuvième degré de parenté. » Satan est un ennemi de Dieu ; Dieu dit cela car il ne rend pas à Dieu Sa grande faveur et Sa bonté, mais « rame à contre-courant » et, ce faisant, ne remplit pas son devoir de montrer de la dévotion filiale envers Dieu. Les gens ne sont-ils pas également ainsi ? Ils ne montrent aucun respect filial à leurs « parents » et ne restituent jamais la dette qu’ils ont envers leurs « parents » pour leur attention aimante. Cela suffit à montrer que les hommes sur terre sont les proches de Satan dans le ciel. Leur cœur et leur esprit à l’unisson, les hommes et Satan s’opposent à Dieu, il n’est donc pas étonnant que Dieu les implique jusqu’à la neuvième génération et qu’Il ne pardonne à aucun d’eux. Par le passé, Dieu avait Son serviteur fidèle dans le ciel pour gérer l’humanité, mais celui-ci n’a pas obéi et a préféré assouvir son propre caractère et se rebeller contre Dieu. Les hommes rebelles n’avancent-ils pas aussi à grands pas sur ce chemin ? Peu importe à quel point Dieu serre les « rênes », les gens ne vacillent simplement jamais et ne se détournent pas de leur trajectoire. À Mon avis, si l’humanité continue ainsi, elle causera sa propre perte. Peut-être qu’à présent, tu comprends le vrai sens des paroles de Dieu : « Les gens sont incapables de rompre leurs liens persistants avec leur nature ancienne. » À plusieurs reprises, Dieu a rappelé à l’homme : « En raison de la rébellion de l’homme, Je le quitte. » Pourquoi Dieu répète-t-Il cela ? Dieu pourrait-Il vraiment être si cruel ? Pourquoi Dieu dit-Il aussi « Je ne fais pas partie de la race humaine » ? Au cours de tant de jours d’oisiveté, qui a réfléchi attentivement à ces questions détaillées ? J’exhorte l’humanité à suivre avec plus de vigueur les paroles de Dieu et à ne pas les traiter à la légère ; cela ne serait d’aucun bénéfice pour toi ni pour les autres. Il vaut mieux ne pas dire ce qui n’a pas besoin d’être dit et ne pas penser à ce qui n’a pas besoin d’être envisagé. Ne serait-ce pas plus simple ? Quel mal pourrait-il résulter de cette pratique ? Avant que Dieu ne proclame la fin de Son œuvre sur la terre, personne ne doit cesser « d’avancer » ; personne ne doit ignorer son devoir. Ce n’est pas le moment ; ne présume pas agir comme guide pour Dieu ni comme avant-garde. Je pense qu’il est trop tôt pour arrêter maintenant et cesser d’avancer. Qu’en penses-tu ?

Dieu conduit l’humanité au châtiment et Il la conduit dans une atmosphère de mort, mais, inversement, qu’est-ce que Dieu voudrait que les hommes fassent sur la terre ? Le but de l’homme ne serait tout de même pas de servir d’armoire dans la maison de Dieu, quelque chose qui ne puisse être ni mangé ni porté, seulement regardé ? Si tel était le cas, pourquoi employer tant de processus complexes pour faire souffrir à ce point les hommes dans la chair ? Dieu dit : « J’escorte l’homme au “terrain d’exécution”, car les offenses de l’homme suffisent à mériter Mon châtiment. » Dieu laisse-t-Il actuellement les hommes se rendre eux-mêmes au terrain d’exécution ? Pourquoi personne n’« implore la pitié » ? Et donc, comment l’homme devrait-il coopérer ? L’homme peut-il vraiment agir comme le fait Dieu lorsqu’Il exerce Ses jugements, sans être influencé par ses émotions ? L’efficacité de ces paroles dépend principalement des actions de l’homme. Lorsqu’un père ramène à la maison l’argent qu’il a gagné, si la mère ne sait pas comment coopérer avec lui ou comment gérer le foyer, alors, dans quel état serait cette maison ? Regardez l’état de l’Église aujourd’hui ; en tant que dirigeants, qu’en pensez-vous ? Vous pourriez aussi bien tenir une réunion où chacun pourrait parler de ses réflexions personnelles. Si la maison a été abîmée par la mère, alors à quoi ressembleront les enfants d’une telle famille ? À des orphelins ? À des mendiants ? Rien d’étonnant à ce que Dieu ait dit : « Tout le monde pense que Ma nature divine manque d’“calibre”, mais qui peut comprendre que Je suis capable de tout voir dans Mon état d’humanité ? » Dans une situation aussi évidente, Dieu n’a pas besoin de parler depuis Sa divinité. Comme l’a dit Dieu : « Inutile de prendre un marteau pour écraser une mouche ». Actuellement, certains ont peut-être une expérience pratique de l’aphorisme de Dieu « Il n’est personne, parmi les hommes, qui M’aime ». À ce stade, c’est exactement comme Dieu l’a dit : « Si les gens baissent tous la tête à contrecœur, c’est uniquement parce qu’ils sont arrivés à la situation actuelle, mais dans leur cœur, ils ne sont toujours pas convaincus. » Ces paroles sont pareilles à un télescope. Dans un avenir proche, l’homme se trouvera dans une autre situation. Cela s’appelle être incorrigible. Comprenez-vous ? C’est la réponse à ces deux questions posées par Dieu : « Les gens n’évitent-ils pas le péché uniquement parce qu’ils craignent Mon départ ? N’est-ce pas vrai que s’ils ne se plaignent pas, c’est uniquement parce qu’ils craignent le châtiment ? » En fait, les hommes d’aujourd’hui sont tous un peu faibles, comme s’ils étaient accablés de lassitude. Ils ne sont absolument pas d’humeur à prêter attention à l’œuvre de Dieu et se préoccupent uniquement de prendre des mesures et des dispositions dans l’intérêt de leur propre chair. N’est-ce pas le cas ?