10. Tu dois devenir honnête pour être sauvé

Par Ariella, France

En août 2021, je suis allée dans une Église pour abreuver de nouveaux croyants. Après quelque temps, j’ai découvert que parmi ces nouveaux venus, une femme avait un tempérament assez arrogant, qu’elle tenait trop souvent à ses idées et qu’elle n’arrivait pas à travailler en harmonie avec ses frères et sœurs. Lorsque les autres lui faisaient remarquer son problème, non seulement elle refusait d’écouter, mais elle argumentait sur le vrai et le faux, les jugeait dans leur dos et les condamnait, ce qui les attristait profondément et perturbait le travail de l’Église. En principe, elle aurait dû être remplacée. Cependant, j’avais quelques inquiétudes, car je savais que je devais échanger avec elle sur ce problème, mais je n’avais encore jamais été dirigeante ni exécutante, je n’avais jamais échangé sur ce sujet avec personne et je ne savais pas comment m’y prendre. Je ne voulais pas non plus solliciter la superviseuse, de peur qu’en découvrant que je ne pouvais même pas gérer ce genre problème, elle ne me trouve incompétente, qu’elle voie clair en moi, qu’elle ne m’apprécie et ne me cultive plus. J’ai également réfléchi au fait que cette nouvelle croyante était française, et que mon français n’était pas très bon à l’oral. Si je m’étais révélée incapable de m’exprimer clairement, cela aurait pu placer la nouvelle venue dans une situation de négativité et de faiblesse et l’amener à s’éloigner de la foi, et tout cela par ma faute. J’ai retourné le problème sans cesse dans ma tête, avant de le transmettre au dirigeant de l’Église, Frère Claude, pour qu’il s’en charge. Je me suis même trouvée une justification pseudo-morale, selon laquelle ce serait là un bon entraînement pour Claude, une occasion pour lui d’apprendre à résoudre des problèmes par lui-même. Pourtant, plus tard, comme il n’avait pas expliqué les choses clairement pendant son échange, la nouvelle venue est devenue négative, et sur la base d’incompréhensions, elle a renoncé et a cessé de croire. Cet événement a plongé Claude dans un grand abattement. Il disait qu’il était trop stupide pour conduire des échanges. Je savais que j’étais responsable de la situation, mais je n’ai pas réussi à disséquer mes problèmes ouvertement avec lui. J’ai calmement échangé avec lui autour de ses erreurs. Non seulement je n’ai pas révélé ma véritable situation, mais je l’ai laissé croire, à tort, que j’étais particulièrement douée pour résoudre les problèmes.

Quelques jours plus tard, au cours d’une réunion, dans son échange, notre dirigeante a pointé le doigt sur ma situation. Elle a déclaré qu’une des travailleuses d’abreuvement avait fait preuve d’irresponsabilité dans l’accomplissement de son devoir. Que placée devant un problème, elle n’avait pas cherché à le résoudre par elle-même, et qu’elle avait préféré le transmettre à un dirigeant nouvellement nommé pour qu’il s’en charge, si bien que le problème n’avait pas été résolu comme il se doit, et qu’une nouvelle venue était repartie. Quand j’ai entendu la dirigeante signaler mon problème aussi franchement, je suis devenue toute rouge, j’avais perdu la face comme jamais. Les dirigeants et les travailleurs d’abreuvement de plusieurs Églises étaient là. Qu’allaient-ils tous penser de moi, en entendant cela ? Ils devaient sûrement se dire que je n’étais pas digne de confiance. Une fois terminé son échange, la dirigeante a laissé tout le monde s’exprimer. J’ai pensé : « La dirigeante vient de parler très franchement, et c’est moi qu’elle visait. Si je n’échange pas tout de suite, n’aurai-je pas l’air de ne pas savoir accepter d’être émondée ? Cela serait certainement du plus mauvais effet aux yeux de la dirigeante. » Pour restaurer mon image, j’ai échangé en premier et dit en gémissant un peu : « Je m’en veux énormément d’avoir laissé quelque chose comme ça se produire. Maintenant, je vois que je suis quelqu’un de très irresponsable. » Après cette démonstration de conscience de soi, j’ai commencé à m’expliquer en disant : « Au départ, je m’étais efforcé de comprendre la situation de cette nouvelle venue et j’avais échangé avec elle sur la parole de Dieu, et j’avais fait beaucoup d’efforts pour l’aider et la soutenir. Mais en raison de la barrière de la langue, quand il s’est agi de la renvoyer, j’ai transmis le problème à Claude pour qu’il s’en charge. Je n’ai pas pensé aux conséquences de cette décision, ce qui a poussé la nouvelle venue à renoncer à sa foi. » Après la discussion, une sœur m’a envoyé un message dans lequel elle disait sans mâcher ses mots : « Tu as parlé d’un ton trop doux, quelque peu calculateur. C’était assez gênant, comme si tu disais aux gens que tu savais déjà que tu avais tort, et qu’ils devaient arrêter de te faire des reproches. » En lisant ce message, j’avais tellement honte que j’en avais des sueurs froides. J’étais très gênée, comme si quelqu’un venait d’ouvrir des rideaux devant moi, et que j’avais été prise en flagrant délit de tricherie. Par la suite, les mots de cette sœur sont restés gravés dans mon cœur. Je me disais qu’elle avait clairement mis le doigt sur mon problème, et que cela devait être le fruit de l’intention de Dieu. Je me devais de bien réfléchir pour mieux me comprendre moi-même. Et en y réfléchissant, j’ai pris conscience que chaque fois que j’étais émondée, je reconnaissais toujours volontiers mes problèmes, puis j’exprimais mes difficultés réelles d’un ton affligé pour gagner la sympathie et la compréhension des autres, et in fine, leur indulgence pour qu’ils cessent de me tenir pour responsable. Et en même temps, je voulais aussi que les autres aient l’impression que je pouvais accepter d’être émondée pour qu’ils aient une bonne image de moi. C’est seulement alors que je me suis rendue compte que mes paroles étaient très trompeuses. Après quoi, je me suis concentrée sur le problème en me nourrissant et en buvant la parole de Dieu.

Un jour, je me suis souvenue du dialogue entre Dieu et Satan dans la Bible : « L’Éternel dit à Satan : D’où viens-tu ? Et Satan répondit à l’Éternel : De parcourir la terre et de m’y promener » (Job 1:7). Dieu a exposé et disséqué la manière dont parle Satan : « Les mots de Satan ont une certaine caractéristique : ce que dit Satan te laisse ainsi te gratter la tête et incapable de percevoir la source de ses mots. Parfois, Satan a des motifs et parle délibérément, et parfois, gouvernés par sa propre nature, de tels mots émergent spontanément et sortent directement de la bouche de Satan. Satan ne passe pas un long moment à peser de tels mots ; ils sont plutôt exprimés sans réfléchir. Quand Dieu a demandé à Satan d’où il venait, Satan a répondu par quelques mots ambigus. Tu te sens très perplexe, ne sachant jamais exactement d’où vient Satan. Certains parmi vous parlent-ils comme cela ? Quelle façon de parler est-ce ? (C’est ambigu et ne donne pas une réponse certaine.) Quel genre de mots devrions-nous utiliser pour décrire cette façon de parler ? Cela détourne et trompe. Supposons que quelqu’un ne veuille pas dire aux autres ce qu’il a fait hier. Tu lui demandes : “Je t’ai vu hier. Où allais-tu ?” Il ne te dit pas directement où il est allé. Il dit plutôt : “Ce fut tout un jour, hier. J’étais si fatigué !” A-t-il répondu à ta question ? Oui, mais ce n’est pas la réponse que tu voulais. Tel est le “génie” dans l’astuce du discours des hommes. Tu ne peux jamais découvrir ce qu’ils veulent dire ni percevoir la source ou l’intention de leurs mots. Tu ne sais pas ce qu’ils tentent d’éviter parce qu’ils ont leur propre histoire dans leur cœur. C’est insidieux. Y en a-t-il parmi vous qui parlent aussi de cette façon fréquemment ? (Oui.) Quel est votre objectif alors ? Est-ce parfois de protéger vos propres intérêts, de maintenir votre propre fierté, votre position et votre image, de protéger les secrets de votre vie privée ? Quel que soit le but, il est inséparable de vos intérêts, il est lié à vos intérêts. N’est-ce pas la nature de l’homme ? Tous ceux qui ont une nature de ce genre sont intimement liés à Satan ou, sinon, à sa famille. Nous pouvons le dire ainsi, n’est-ce pas ? D’une manière générale, cette façon de parler est détestable et odieuse » (La Parole, vol. 2 : Sur la connaissance de Dieu, Dieu Lui-même, l’Unique IV). Avant cela, quand j’avais lu que Dieu disait que Satan parle de manière détournée et trompeuse, je me disais que les gens capables d’employer ce genre de stratagèmes étaient tous à la fois manipulateurs et sournois. Mais, lorsque j’ai lu la parole de Dieu, je me suis rendu compte que j’avais moi aussi révélé ce genre de comportement. Lorsque la dirigeante m’avait exposée devant mes frères et sœurs, je l’avais accepté, en apparence, et j’avais admis avoir agi de façon irresponsable. Mais en réalité, je ne l’avais pas vraiment accepté et j’avais trouvé cela un peu injuste. Pour moi, comme je ne faisais pas ce devoir depuis très longtemps, j’estimais que ces problèmes étaient excusables. Pourquoi m’avait-elle exposée aussi ouvertement pendant la réunion sans me permettre de garder un minimum la face ? Après quoi, tout le monde avait forcément pensé que je n’étais pas digne de confiance et que j’étais irresponsable. Pour redorer mon image, pour que les frères et sœurs pensent que je pouvais accepter d’être émondée, j’avais admis volontiers mon erreur et j’avais délibérément employé un ton doux et larmoyant, comme pour dire aux gens que je savais déjà que j’avais tort, que j’avais beaucoup de regret et étais vraiment désolé, et qu’ils devraient cesser de me faire des reproches ; que j’étais quelqu’un capable de corriger ses erreurs et d’accepter la vérité. Je donnais ainsi l’impression de me connaître moi-même, mais en réalité, j’employais cette méthode pour réduire les autres au silence et les empêcher de continuer à parler de mes problèmes ou de me tenir pour responsable. Telle était ma véritable intention. Ce n’est qu’en y réfléchissant que j’ai réalisé que j’étais aussi perfide et sournoise que Satan. Mes paroles étaient pleines de ruses destinées à induire les gens en erreur et à les désorienter. La façon irresponsable avec laquelle j’avais fait mon devoir avait créé des problèmes, et la dirigeante m’avait visée. Non seulement je ne m’étais pas repentie, mais j’avais fait semblant de me connaître devant les frères et sœurs, afin qu’ils pensent que j’étais capable d’accepter la vérité. J’étais véritablement sournoise et fourbe ! Parler ouvertement et se connaître sont censés être des manifestations de la pratique de la vérité, mais ma sincère confession n’en renfermait pas moins des ruses, ce n’était là que de l’autojustification pour mieux fuir ma responsabilité. J’étais vraiment trop sournoise !

Après quoi, j’ai lu un autre passage de la parole de Dieu, qui révèle le tempérament malfaisant des gens. Dieu dit : « La fourberie est généralement visible de l’extérieur : la personne tourne autour du pot ou utilise un langage fleuri et personne ne peut lire ses pensées. C’est cela, la fourberie. Quelle est la première caractéristique de la malveillance ? C’est que ses paroles sont particulièrement agréables et tout semble bien se passer en apparence. Il ne semble pas y avoir de problème et les choses paraissent bien à tout point de vue. Quand la personne fait quelque chose, on ne la voit pas utiliser de moyens particuliers et de l’extérieur, il n’y a aucun signe de faiblesse ou de défaut, et pourtant, elle atteint son but. Elle fait les choses de manière extrêmement secrète. C’est ainsi que les antéchrists fourvoient les gens. Ce sont ces personnes et ces sujets qui sont les plus difficiles à discerner. Certaines personnes disent ce qu’il faut, utilisent des excuses qui paraissent bonnes et emploient certaines doctrines, certains dictons ou certaines actions conformes à l’affection humaine pour duper les gens. Elles feignent une chose tout en en faisant une autre pour atteindre leurs objectifs cachés. C’est de la malveillance, mais la plupart des gens considèrent ces comportements comme étant fourbes. Les gens ont une compréhension et une analyse assez limitée de la fourberie. En fait, la malveillance est plus difficile à discerner que la fourberie, car elle est plus secrète, et ses méthodes et ses actions sont plus sophistiquées. Si quelqu’un a en lui un tempérament fourbe, les autres peuvent généralement détecter sa fourberie en deux ou trois jours en interagissant avec lui, ou ils peuvent percevoir la révélation de son tempérament fourbe dans ses actions et ses paroles. Toutefois, à supposer que cette personne soit malveillante : ce n’est pas quelque chose qui peut être discerné en quelques jours, parce que sans événements significatifs ou sans circonstances spéciales survenant dans un court laps de temps, il n’est pas facile de discerner quoi que ce soit en l’écoutant parler. Elle dit et fait toujours les bonnes choses et présente une succession de bonnes doctrines. Après avoir interagi avec cette personne quelques jours, tu pourrais penser qu’elle est plutôt bonne, qu’elle est capable de renoncer à certaines choses et de se donner de la peine, qu’elle a une compréhension spirituelle, un cœur qui aime Dieu et une conscience et une raison dans sa façon d’agir. Mais une fois qu’elle s’est occupée de quelques affaires, tu constates que ses propos et ses actes sont mélangés avec trop de choses, trop d’intentions diaboliques. Tu t’aperçois que cette personne n’est pas honnête, mais fourbe – une chose malveillante. Elle utilise fréquemment les mots justes et des phrases agréables qui correspondent à la vérité et possèdent une affection humaine pour interagir avec les gens. D’un côté, elle s’impose et, d’un autre côté, elle fourvoie les gens, atteignant un prestige et un statut parmi les gens. De tels individus ont une capacité incroyable à fourvoyer et, une fois qu’ils ont atteint le pouvoir et le statut, ils peuvent fourvoyer beaucoup de monde et nuire à de nombreuses personnes. Les gens qui ont un tempérament malveillant sont extrêmement dangereux » (La Parole, vol. 4 : Exposer les antéchrists, Point 5 : Ils induisent les gens en erreur, les attirent, les menacent et les contrôlent). Cette parole de Dieu révèle que la principale caractéristique des gens aux tempéraments malfaisants est d’user de dissimulation dans leurs paroles et leurs actes. Pour cacher leurs intentions aux autres, ils emploient toujours les mots justes et les méthodes qui s’accordent avec les sentiments humains et semblent conformes à la vérité pour atteindre leur véritable but. J’ai pensé à ce que j’avais fait et je me suis aperçue que c’était la même ruse : je ne pouvais pas gérer les problèmes de la nouvelle venue, alors, pour cacher ma véritable stature à ma superviseuse, je m’étais déchargée du problème sur le nouveau dirigeant. Je m’étais même trouvé une excuse prétendument honorable : ce serait formateur pour Claude, cela devait lui permettre d’apprendre à résoudre des problèmes tout seul. Finalement, comme il ne l’avait pas bien géré, j’avais échangé avec lui en faisant la somme de ses erreurs. Je n’avais pas seulement échoué à révéler qui j’étais réellement, mais je lui avais également donné une bonne image de moi pour lui faire croire que j’étais douée pour gérer ces problèmes. Lorsque ma dirigeante m’avait exposée, et afin de redorer mon image dans le cœur des autres, j’avais reconnu mes erreurs pour les faire taire, et j’avais même employé un ton larmoyant pour gagner leur sympathie et leur compréhension, et les inciter à penser que je pouvais accepter la vérité, que je me connaissais, et que j’avais une attitude de repentance. Ainsi, j’espérais qu’ils ne me tiendraient plus pour responsable. En réfléchissant sur mes paroles et mes actes à la lumière des paroles de Dieu, j’ai compris que j’étais vraiment horrible. J’employais des mots qui semblaient en accord avec les sensibilités des gens et avec la vérité pour mieux masquer mes motivations méprisables, et ainsi tromper les gens et les induire en erreur. J’étais véritablement une personne sinistre, fourbe et sournoise. Avant cela, quand j’avais lu les paroles de Dieu révélant le tempérament malfaisant des gens, je ne me les étais jamais appliquées à moi-même, convaincue de ne pas être concernée. Mais une fois exposée par les faits, et après de nouvelles réflexions sur moi-même à la lumière des paroles de Dieu, j’ai enfin commencé à mieux comprendre mon tempérament malfaisant.

Puis, j’ai continué à réfléchir, et je me suis rendu compte que j’avais révélé mon tempérament malfaisant dans de nombreux domaines. Je me suis souvenue que peu de temps auparavant, la superviseuse m’avait demandé de transmettre une tâche à Sœur Marina, pour qu’elle me relaie. L’annonce de cette réorganisation du travail m’avait déçue. J’assurais cette tâche seule depuis plus de deux ans et je pensais que personne ne pouvait le faire à ma place. Je ne pensais pas qu’elle serait confiée à quelqu’un d’autre. J’avais eu très envie de demander à la superviseuse si je pouvais continuer à m’en charger, mais je craignais qu’elle ne me juge trop ambitieuse et déraisonnable, alors je n’avais rien dit. En apparence, j’avais obéi, mais lors de la transmission du travail, j’avais profité de la présence de la superviseuse et de Marina pour évoquer délibérément quelques points importants du travail. Je voulais qu’elles voient que l’expérience que j’avais accumulée et les principes que j’avais assimilés en faisant ce devoir ne pouvaient pas s’acquérir en quelques jours ou quelques semaines, dans l’espoir que la superviseuse me laisserait continuer à accomplir ce devoir. Et effectivement, après le transfert, la superviseuse m’avait demandé si je pouvais former Marina un peu plus longtemps. J’étais ravie d’entendre cela. Même si je n’avais pas conservé cette tâche, ce que j’avais dit s’était avéré utile pour atteindre mon but. Après quoi, dès que Marina rencontrait le moindre problème et la moindre difficulté dans son devoir, elle venait me voir pour que j’évalue et juge les choses, et elle m’avait aussi demandé de vérifier toutes les tâches à accomplir. Ainsi, j’avais discrètement repris les choses en main. En repensant en détail à mon comportement à ce moment-là, il est évident que je ne voulais surtout pas que qui que ce soit prenne ma place, mais, pour ne pas risquer d’être jugée arrogante et déraisonnable par la superviseuse, je m’étais servie de l’occasion de la transmission du travail pour étaler au grand jour mes compétences et gagner l’approbation de la superviseuse. De telle sorte que j’avais réussi à conserver ce pouvoir, tout en dissimulant « habilement » mes intentions. Mais plus j’ai réfléchi à mon comportement, plus j’ai pris peur. Je n’osais même pas croire que je pouvais être ce genre de personne.

Au cours d’une réunion, j’ai lu deux passages des paroles de Dieu révélant les tempéraments malfaisants des antéchrists qui m’ont permis de me connaître un peu plus encore. Dieu Tout-Puissant dit : « La malveillance des antéchrists possède une caractéristique évidente, et Je vais partager avec vous le secret pour la discerner : c’est que dans leur discours comme dans leur action, tu ne peux sonder leurs profondeurs ni voir ce qu’il y a dans leur cœur. Lorsqu’ils te parlent, leurs yeux sont toujours fuyants, et tu ne peux pas définir quel genre de conspirations ils sont en train d’échafauder. Parfois, ils te donnent l’impression qu’ils sont loyaux ou assez sincères, mais ce n’est pas le cas – tu ne peux jamais les percer à jour. Tu as une sensation particulière dans ton cœur, une impression qu’il y a une subtilité profonde à leurs pensées, une profondeur insondable, qu’ils sont sournois » (La Parole, vol. 4 : Exposer les antéchrists, Point 7 : Ils sont malfaisants, insidieux et malhonnêtes (Partie II)). « Ici, “sournois” signifie insidieux et rusé, et désigne un comportement anormal. Cette anormalité fait référence au fait d’être profondément caché et impénétrable pour la personne moyenne, qui ne peut pas voir ce que ces gens-là pensent ou font. En d’autres termes, les méthodes, les motivations et les points de départ des actions de ce type de personnes sont particulièrement difficiles à sonder, et parfois leur comportement est également sournois et furtif. En résumé, il existe une expression qui peut décrire la manifestation et l’état réels de la sournoiserie d’une personne, qui est “un manque de transparence”, la rendant insondable et incompréhensible pour les autres. Les actions des antéchrists ont cette nature – c’est-à-dire que lorsque tu te rends compte et que tu sens que leurs intentions pour faire quelque chose ne sont pas directes, tu trouves cela assez terrifiant, mais à court terme ou pour une raison quelconque, tu ne peux toujours pas percer à jour leurs motivations et leurs intentions, et tu sens simplement, inconsciemment, que leurs actions sont sournoises. Pourquoi te font-ils ressentir ce genre de sentiment ? D’un côté, c’est parce que personne ne peut avoir une idée de ce qu’ils disent ou font. De l’autre, ils parlent souvent de manière détournée, t’égarant, t’empêchant en fin de compte de savoir avec certitude lesquelles de leurs déclarations sont vraies et lesquelles sont fausses, et ce que leurs paroles signifient réellement. Quand ils mentent, tu penses qu’il s’agit de la vérité ; tu ne sais pas quelle déclaration est vraie ou fausse, et tu as souvent l’impression d’avoir été dupé et trompé. Pourquoi ce sentiment surgit-il ? C’est parce que ces personnes n’agissent jamais de manière transparente ; il t’est impossible de voir clairement ce qu’elles font ou ce à quoi elles s’occupent, ce qui te rend inévitablement suspicieux à leur égard. En fin de compte, tu constates que leur tempérament est malhonnête, insidieux et également malveillant » (La Parole, vol. 4 : Exposer les antéchrists, Point 6). Ces paroles de Dieu révèlent que les tempéraments extrêmement malfaisants des antéchrists, tout ce qu’ils disent et font est motivé par des buts cachés, ce qui les rend impossibles à démasquer. Afin d’atteindre leurs buts, les antéchrists emploient souvent des illusions et des méthodes sournoises pour tromper les gens et les induire en erreur. Ils leurrent les gens au point que plus personne ne sait si ce qu’ils disent est vrai ou faux. Mon comportement était aussi sournois que celui d’un antéchrist : tout ce que je disais et faisais était toujours motivé par mes propres objectifs. Lorsque je rencontrais un problème dans mon devoir, je me creusais la tête pour trouver des moyens d’y échapper, et d’éviter que ma superviseuse ne découvre ma vraie stature. Lorsque ma dirigeante a exposé ce qui n’allait pas dans mon devoir, je n’avais songé qu’à chercher un moyen de donner aux gens l’impression que j’acceptais la vérité, et de me dérober à mes responsabilités. Lorsque j’avais voulu conserver mon pouvoir et ma position, j’avais élaboré un plan pour éviter de révéler mes ambitions, pour inciter la superviseuse à me laisser la charge de ce travail et pour avoir le dernier mot. Je n’aurais jamais imaginé qu’il puisse y avoir de tels objectifs cachés derrière mes paroles et mes actes ! Pour protéger ma réputation et ma position, je ne songeais qu’à trouver un moyen de me dissimuler et de tromper les autres. Tout particulièrement devant ma dirigeante et ma superviseuse, je réfléchissais soigneusement à chaque mot que j’allais prononcer, à chaque mot qui me permettrait d’atteindre mon but tout en dissimulant mes véritables pensées. C’était un tempérament d’antéchrist ! En y réfléchissant, j’ai eu un peu peur. Dieu exige que l’on soit honnête et que l’on dise ce que l’on pense réellement, mais aussi que l’on reste ouvert à la corruption que l’on révèle, à ce que l’on ne comprend pas et à ce que l’on ne sait pas faire. Mais je ne pensais en permanence qu’au moyen de me dissimuler, d’inciter les gens à m’admirer et de préserver mon image. Tout ce que je faisais était calculé, insidieux et fourbe, et tout ce que je révélais n’était que le tempérament fourbe et malfaisant de Satan. Quand j’en ai pris conscience, des scènes ont défilé dans mon esprit. Je me suis rappelé mon enfance : ma mère me disait toujours : « Les chevaux rapides n’ont pas besoin de cravache, les tambours puissants n’ont pas besoin de grosses baguettes. » Alors je m’étais toujours efforcée d’être un « cheval rapide » et un « tambour puissant », car j’étais une enfant « obéissante » et bien élevée. Si je faisais une bêtise, je l’admettais tout de suite sans qu’on ait besoin de m’y pousser. Comme mes parents ne m’ont presque jamais réprimandée ou punie, quand j’étais petite, je me disais que je pouvais m’épargner beaucoup de souffrance en me connaissant moi-même et en reconnaissant mes erreurs. Par exemple, si j’échouais à un examen, pour éviter d’être réprimandée ou de me faire gronder par mes parents, je me mettais à pleurer avant même qu’ils n’aient dit un mot en m’efforçant de susciter leur compassion. Mes parents ne supportaient pas de me voir pleurer. Craignant que je ne supporte pas davantage d’exigences, ils cessaient de me blâmer. Et alors, ils se mettaient à me réconforter. J’échappais ainsi aux reproches de mes parents, et mon estime de moi-même restait intacte. Quand j’ai commencé à croire en Dieu, je n’ai pourtant pas changé. Quand je faisais mal mon devoir et que je devais en assumer la responsabilité, je m’efforçais de susciter la compassion et je me défendais pour mieux masquer mon comportement négligent et irresponsable, afin que personne ne m’émonde. Vivre selon une philosophie des relations mondaines satanique m’avait vraiment rendue de plus en plus sournoise et fourbe. Je savais très bien comment mener ma barque en jouant toutes sortes de mauvais tours, jusqu’à devenir l’image même de Satan. Mais le plus terrifiant, c’est que ces ruses et ce recours à la tromperie me semblaient presque normaux. Si ma sœur ne m’avait pas alertée et exposée, je n’en aurais pas pris le moins du monde conscience ni n’aurais éprouvé la moindre honte. Je me suis souvenue d’une parole de Dieu : « Dieu sauve les gens honnêtes, et ceux qu’Il veut pour Son royaume sont des gens honnêtes. Si tu es capable de mentir et de tromper, tu es une personne fourbe, tortueux et insidieuse : tu n’es pas une personne honnête. Si tu n’es pas une personne honnête, alors il n’y a aucune chance que Dieu te sauve et tu ne peux pas non plus être sauvé » (La Parole, vol. 3 : Discours de Christ des derniers jours, La pratique la plus fondamentale pour être une personne honnête). « Si tes paroles sont truffées d’excuses et de justifications sans valeur, alors Je dis que tu es quelqu’un qui rechigne à mettre la vérité en pratique. S’il y a beaucoup de confidences que tu hésites à partager, si tu es très peu enclin à dévoiler tes secrets, tes difficultés, devant les autres pour chercher le chemin de la lumière, alors Je dis que tu es quelqu’un qui n’atteindra pas facilement le salut et qui ne sortira pas facilement des ténèbres » (La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, Trois admonitions). Cette parole de Dieu nous montre que Dieu hait et méprise les gens fourbes. Les gens fourbes ont trop d’aspects ténébreux dans le cœur. Leurs paroles et leurs actes trompent toujours les gens et les induisent en erreur, et ils ne pratiquent jamais la parole de Dieu. Quand bien même ils croient en Dieu depuis de nombreuses années, leurs tempéraments corrompus ne changent pas et ils ne peuvent jamais gagner le salut. En prenant conscience de cela, j’ai senti que j’étais en grand danger. J’ai prié Dieu pour dire que je voulais me repentir et Lui demander de me guider et de m’aider à changer véritablement.

Un jour, j’ai lu ceci dans la parole de Dieu : « Sois quelqu’un d’honnête ; prie Dieu de te débarrasser de la malhonnêteté qui est dans ton cœur. Purifie-toi tout le temps par la prière sois touché par l’Esprit de Dieu au travers de la prière, et ton tempérament changera graduellement » (La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, Au sujet de la pratique de la prière). « Vous devez chercher la vérité pour résoudre tout problème qui se pose, quel qu’il soit, et ne devez en aucun cas vous déguiser ni présenter aux autres un faux visage. Vos insuffisances, vos déficiences, vos défauts, vos tempéraments corrompus : soyez complètement ouverts sur tous ces sujets, et échangez sur tous ces sujets. Ne les gardez pas pour vous. Apprendre à vous ouvrir est le premier pas vers l’entrée dans la vie, et c’est le premier obstacle et le plus difficile à surmonter. Une fois que tu l’as surmonté, il est facile d’entrer dans la vérité. Que signifie franchir ce pas ? Cela signifie que tu ouvres ton cœur et que tu montres tout ce que tu as, le bon et le mauvais, le positif et le négatif ; que tu te mets à nu devant les autres et devant Dieu ; que tu ne caches rien à Dieu, ne dissimulant rien, ne déguisant rien, exempt de tromperie et de ruse, et également ouvert et honnête avec les autres. De cette façon, tu vis dans la lumière, et non seulement Dieu te scrutera, mais les autres pourront également voir que tu agis selon les principes et avec une certaine transparence. Tu n’as pas besoin d’avoir recours à une quelconque méthode pour protéger ta réputation, ton image et ton statut, et tu n’as pas besoin non plus de dissimuler ni de déguiser tes erreurs. Tu n’as pas besoin de te consacrer à ces efforts inutiles. Si tu peux abandonner ces choses, tu seras très détendu, tu vivras sans contraintes ni douleurs et tu vivras entièrement dans la lumière. Apprendre à être ouvert quand tu échanges est la première étape vers l’entrée dans la vie. Ensuite, il faut que tu apprennes à disséquer tes pensées et tes actions pour voir lesquelles sont mauvaises et lesquelles ne plaisent pas à Dieu, et il faut que tu les changes immédiatement et que tu les corriges. À quoi sert-il de les corriger ? Il s’agit d’accepter et d’adopter la vérité tout en se débarrassant des choses en toi qui appartiennent à Satan et en les remplaçant par la vérité. Auparavant, tu faisais tout en fonction de ton tempérament malhonnête, qui est mensonger et trompeur : tu avais l’impression que tu ne pouvais rien obtenir sans mentir. Maintenant que tu comprends la vérité et que tu détestes les façons de faire de Satan, tu n’agis plus de cette manière : tu agis avec une mentalité d’honnêteté, de pureté et de soumission. Si tu ne caches rien, que tu ne joues pas un personnage, que tu ne fais pas semblant, ou que tu ne dissimules pas les choses, que tu te mets à nu devant les frères et sœurs, que tu ne caches pas tes idées et tes réflexions mais que tu permets plutôt aux autres de voir ton attitude honnête, alors la vérité prendra peu à peu racine en toi, elle fleurira et portera ses fruits, elle donnera des résultats, petit à petit. Si ton cœur est de plus en plus honnête et de plus en plus orienté vers Dieu, que tu sais protéger les intérêts de la maison de Dieu lorsque tu accomplis ton devoir et que ta conscience est troublée lorsque tu ne parviens pas à protéger ces intérêts, alors c’est la preuve que la vérité a eu un effet sur toi et qu’elle est devenue ta vie » (La Parole, vol. 3 : Discours de Christ des derniers jours, Troisième partie). Ces paroles de Dieu ont touché mon cœur. Les exigences de Dieu sont en réalité très simples. Elles veulent que nous parlions et agissions dans la pureté et l’honnêteté, que nous extirpions de nos cœurs toute fourberie, simulation ou supercherie, que nous ayons un cœur honnête envers Dieu et que nous soyons honnêtes envers autrui. Lorsque l’on a fait quelque chose de mal et que l’on a menti, nous devons le reconnaître, réfléchir sur nous-mêmes et accepter la vérité dans une attitude de sincérité. C’est le seul moyen pour nous de dépasser peu à peu nos tempéraments sataniques. Je me suis souvenue de certains frères et sœurs qui avaient été émondés. Même s’ils ont eu honte, sur le coup, ils avaient su l’accepter et se soumettre. Puis, ils avaient su chercher la vérité, réfléchir sur eux-mêmes et trouver la cause de leur échec. Le temps passant, ils avaient fait encore plus de progrès et n’avaient cessé de s’améliorer dans leur devoir, et ils avaient également réussi à se faire guider par Dieu. Quant à moi, pour préserver mon image et ma position, je m’employais toujours à fuir mes responsabilités et à éviter l’émondage, en me disant que c’était la façon la plus intelligente d’agir. Qu’en ai-je tiré, au bout de compte ? Après des années de foi en Dieu, mon tempérament de vie n’avait pas changé. J’étais toujours aussi sournoise, fourbe et malfaisante. Je faisais mon devoir sans comprendre les principes et quand je rencontrais des problèmes, je ne savais pas comment les résoudre. Ce n’est qu’alors que j’ai enfin compris qu’en employant des ruses encore et toujours pour fuir ma responsabilité et éviter d’être émondée, je rejetais en fait le salut de Dieu et je gâchais mes chances de gagner la vérité. Et chaque fois que j’employais des ruses pour échapper à ma responsabilité, je devais me creuser la tête pour trouver quoi dire et quelle excuse fournir. Je pouvais m’en sortir une fois, mais quand ma réputation et mon image se trouvaient de nouveau menacées, je devais inventer une autre méthode pour tromper les gens. Vivre dans cet état de fourberie au quotidien était épuisant, Dieu déteste cela, et j’aurais fini par gâcher mes chances de gagner la vérité et d’être sauvée. Était-ce vraiment intelligent ? C’était de l’ignorance et de la bêtise. Quand je m’en suis rendu compte, j’ai souhaité ardemment dépasser mes tempéraments fourbes et malfaisants, et devenir quelqu’un d’honnête.

Il m’est venu à l’esprit que Claude ne connaissait toujours pas les raisons méprisables pour lesquelles je lui avais demandé d’échanger avec la nouvelle venue. Si je ne m’en ouvrais pas à lui, non seulement il ne me discernerait pas, mais il continuerait à m’admirer, resterait dans un état d’esprit négatif et continuerait à se croire incapable de faire le travail. Je suis donc allée voir Claude, je lui ai confié les raisons pour lesquelles je l’avais envoyé échanger avec la nouvelle venue et ce que j’avais appris à cette occasion. Je lui ai également dit que j’étais la plus à blâmer pour le renoncement de la nouvelle venue et que j’étais égoïste et méprisable. Uniquement pour protéger mon image et mes intérêts, je l’avais trompé et forcé à assumer cette responsabilité. Alors, il m’a confié ses réflexions, ce qu’il savait et ce qu’il avait appris à cette occasion. Après avoir échangé avec lui, je me suis sentie très soulagée. J’ai réalisé qu’on ne peut avoir l’esprit en paix qu’en pratiquant la vérité et en étant honnête. Après quoi, ma superviseuse a organisé une réunion pour examiner les lacunes dans notre travail. Mon efficacité avait beaucoup diminué ce mois-là. J’avais envie de quitter cette réunion de travail en courant, mais je savais très bien que Dieu examinerait chacune de mes paroles et chacun de mes actes, pour voir comment je me comportais – pour voir si je retomberais dans mes vieux stratagèmes pour défendre mon image et ma position, ainsi que pour masquer mes manquements et mes problèmes, ou si j’affronterais mes problèmes dans mon devoir, parlerais ouvertement et avec honnêteté. Je me suis imposé de pratiquer la vérité, même si mon image devait en pâtir. Alors, j’ai expliqué la manière dont j’avais fait dans l’à-peu-près et employé des ruses dans mon travail pendant cette période, et j’ai annoncé que j’allais faire le bilan de mes problèmes et de mes erreurs, que j’allais corriger mon attitude envers mon devoir et que je m’efforcerais d’être plus efficace. Après cet échange, j’ai éprouvé un grand soulagement et j’étais déterminée à bien accomplir mon devoir. Quand j’ai terminé, mes frères et sœurs ne m’ont pas prise de haut. Au lieu de cela, ils ont discuté avec moi de quelques moyens de pratique pour accomplir notre devoir. Leur échange m’a été très utile et j’ai découvert de nouvelles manières de corriger mes erreurs. Après quoi, lorsque je faisais mes devoirs, j’ai mis ces moyens en pratique et j’ai progressivement gagné en efficacité dans mon travail. J’étais tellement reconnaissante envers Dieu.

Grâce à cette expérience, j’ai vraiment senti que, quelles que soient nos erreurs ou la corruption qu’on révèle dans notre devoir, tant que l’on peut aborder les choses calmement, ouvrir notre cœur et chercher la vérité, non seulement personne ne nous prendra de haut, mais l’on pourra également réfléchir sur nous-mêmes et mieux accomplir notre devoir. J’ai aussi vraiment senti que seuls ceux qui pratiquent la vérité et se comportent en personnes honnêtes ont du caractère et de la dignité, et qu’eux seuls éprouvent vraiment bien-être et liberté.

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