Les responsabilités des dirigeants et des ouvriers (8)
Point 8 : Rapidement signaler et chercher à résoudre la confusion et les difficultés rencontrées dans le travail (Partie II)
La dernière fois, nous avons échangé sur le point 8 concernant les responsabilités des dirigeants et des ouvriers, à savoir : « signaler rapidement et chercher à résoudre la confusion et les difficultés rencontrées dans le travail ». Bien que le point 8 ne comporte qu’une seule ligne et qu’il n’exige essentiellement qu’une seule chose de la part des dirigeants et des ouvriers en termes de responsabilités, ce qui est très simple, nous nous sommes réunis pour échanger sur ce sujet. Sur quels aspects de ce sujet avons-nous échangé la dernière fois ? Quelles principales responsabilités des dirigeants et des ouvriers ont été abordées ? (Le fait qu’ils doivent se réunir et échanger à propos de la confusion et des difficultés qu’ils rencontrent, et qu’ils doivent rapidement chercher à les résoudre et à les signaler au Supérieur s’ils ne sont pas en mesure de les éclaircir par l’échange.) Les principales responsabilités des dirigeants et des ouvriers abordées par ce point sont la participation au travail et l’implication personnelle dans divers aspects du vrai travail, de manière à découvrir les divers problèmes rencontrés dans le travail et à les résoudre en temps voulu. Si diverses méthodes ont été testées et que les problèmes ne peuvent toujours pas être entièrement résolus, et qu’ils existent toujours et créent de la confusion et des difficultés, alors les dirigeants et les ouvriers ne doivent pas laisser cette confusion et ces difficultés s’accumuler ou les mettre de côté et les ignorer, mais ils doivent plutôt penser rapidement à un moyen de les résoudre. La meilleure façon de les résoudre est, bien entendu, de faire des recherches et d’échanger avec les frères et sœurs, ainsi qu’avec les dirigeants et les ouvriers à différents niveaux, afin de parvenir à la résolution de ces problèmes. Si les problèmes ne peuvent être résolus, alors les dirigeants et les ouvriers ne doivent pas essayer de faire des problèmes majeurs des problèmes secondaires, et ensuite faire de ces problèmes secondaires des problèmes anodins, ou simplement les mettre de côté et les ignorer, mais ils doivent plutôt les signaler rapidement au Supérieur et chercher des solutions auprès de ce dernier afin de les résoudre. C’est ainsi que le travail progressera sans accroc, sans difficulté et sans obstacle.
Les dirigeants et les ouvriers doivent rapidement signaler et résoudre la confusion et les difficultés rencontrées dans le travail.
I. La définition de « rapide »
Le point 8 concernant les responsabilités des dirigeants et des ouvriers mentionne le fait de rapidement signaler la confusion et les difficultés rencontrées dans le travail – ce qui est très important. Si un problème est décelé aujourd’hui, mais que sa résolution est retardée de huit ou dix jours, ou même de six mois ou d’un an, cela peut-il est considéré comme « rapide » ? (Non.) Alors, que signifie « rapide » ? (Cela signifie gérer le problème immédiatement, tout de suite, et instantanément.) N’est-ce pas un peu strict ? Si nous utilisons le vocabulaire relatif au temps pour l’expliquer, résoudre le problème immédiatement, tout de suite, dans l’instant, est la signification de « rapide », mais si l’on considère le sens littéral de ces mots, ce n’est pas facile pour les gens de le faire, et ce n’est pas réaliste. Alors, comment devons-nous définir le terme « rapide » avec précision ? Si le problème n’est pas très important, mais qu’il constitue tout de même un obstacle dans le travail, et s’il peut être résolu en quelques heures, alors il doit être résolu en quelques heures – cela peut-il être considéré comme rapide ? (Oui.) Supposons que le problème soit un peu compliqué et difficile, et qu’il puisse être résolu en deux ou trois jours, mais que les gens fassent l’effort de chercher la vérité, de trouver davantage d’informations et de faire faire en sorte de résoudre le problème en une seule journée – cela ne serait-il pas plus bénéfique pour le travail ? Si un problème ne peut être percé à jour dans l’immédiat et nécessite une investigation et des recherches, cela prend un certain temps. Ce problème particulier sera résolu en trois jours maximum. Si cela prend plus de trois jours, alors on soupçonnera que sa résolution est délibérément retardée, ce qui signifie une perte de temps. Le problème doit donc être signalé, faire l’objet de recherches et résolu dans un délai de trois jours. C’est la signification du terme « rapide ». Si la résolution du problème nécessite une communication et une investigation niveau après niveau, ainsi qu’une collecte d’informations à chaque niveau, et ainsi de suite – si les divers processus sont très complexes – le processus de résolution ne doit tout de même pas s’éterniser pendant un mois. Si le problème peut être résolu en une semaine à condition que les dirigeants et les ouvriers fassent preuve de diligence, travaillent plus vite, et sélectionnent et emploient quelques personnes compétentes, alors dans cette situation, « rapide » signifie que la résolution du problème ne doit pas excéder une semaine. Le fait de prendre plus d’une semaine pour résoudre le problème est inapproprié et lent. Il s’agit d’un délai permettant de traiter des questions relativement complexes. Sur quoi ce délai est-il basé ? Il est déterminé en fonction de l’importance de la question et de son niveau de difficulté. Cependant, pour la plupart des questions, comme les problèmes liés aux compétences professionnelles ou au manque de clarté des principes pour les gens, il suffit de quelques phrases pour les résoudre – quelle devrait être la durée de résolution de ces problèmes pour qu’elle puisse être considérée comme « rapide » ? Si nous définissons le terme « rapide » en fonction de l’importance de la question et de son niveau de difficulté, la plupart des questions peuvent être résolues en moins d’une demi-journée, une minorité d’entre elles pouvant éventuellement nécessiter une semaine de résolution tout au plus ; si un nouveau problème apparaît, c’est une autre affaire. Par conséquent, si nous définissons le terme « rapide » par immédiat, tout de suite et instantanément, alors cela semble être une exigence stricte envers les gens si l’on en juge par le sens littéral de ces mots, mais si l’on considère le délai, la majorité des problèmes peuvent être résolus en une demi-journée ou une journée tout au plus, si les gens les signalent rapidement et cherchent à les résoudre. Cela peut-il être considéré comme difficile en termes de temps ? (Non.) Et comme ce n’est pas difficile en termes de temps, il devrait être facile pour les dirigeants et les ouvriers de signaler rapidement la confusion et les difficultés rencontrées dans le travail et de chercher à les résoudre, et cette confusion et ces difficultés ne doivent pas être permanentes et non résolues, et il faut encore moins les laisser s’accumuler dans le travail sur le long terme. Vous devez à présent tous connaître le concept temporel de la « rapidité » – qui consiste à savoir comment les dirigeants et les ouvriers doivent évaluer les échéances lorsqu’ils gèrent la confusion et les difficultés rencontrées dans le travail. En résumé, la définition la plus précise de « rapide » est la suivante : agir aussi rapidement que possible – c’est-à-dire que, si un problème peut être signalé, faire l’objet de recherches et résolu dans la demi-journée, il doit l’être, et s’il peut être résolu dans la journée, il doit l’être – et il faut s’efforcer de ne pas causer de retards et d’éviter que le travail en soit affecté. Cela relève de la responsabilité des dirigeants et des ouvriers. Lorsque des problèmes sont rencontrés et décelés dans le travail, les dirigeants et les ouvriers doivent rapidement échanger sur ces derniers et les résoudre. S’ils ne parviennent pas à les résoudre, ils doivent alors les signaler et chercher à les résoudre le plus rapidement possible auprès de leur Supérieur, au lieu de les mettre de côté, de les ignorer et de ne pas les prendre au sérieux. Lorsque des problèmes surviennent, les dirigeants et les ouvriers doivent rapidement les résoudre, plutôt que de traîner les pieds, d’attendre ou de compter sur les autres pour le faire – les dirigeants et les ouvriers ne doivent pas afficher ces manifestations.
II. Les conséquences liées au fait de ne pas résoudre rapidement les problèmes
Le principe de base de la résolution de problèmes est la rapidité. Pourquoi la résolution de problèmes doit-elle être rapide ? Si de nombreux problèmes surviennent et qu’ils ne peuvent pas être résolus rapidement, d’une part, les gens resteront dans un état de confusion et ne sauront pas comment agir et, d’autre part, si les gens continuent d’avancer avec une méthode incorrecte et qu’ils doivent ensuite refaire et corriger leur travail, quelles seront alors les conséquences ? Le gaspillage et le recours à une quantité importante de main-d’œuvre, de ressources financières et de ressources matérielles constituent une perte. Si des problèmes surviennent dans le travail et que les dirigeants et les ouvriers sont aveugles et incapables de les découvrir et de les résoudre rapidement, de nombreuses personnes continueront de travailler selon une méthode incorrecte. Lorsque les gens découvriront ces problèmes et voudront les résoudre et les corriger, ces problèmes auront déjà causé des pertes pour le travail de l’Église. Toute cette main-d’œuvre, ces ressources financières et ces ressources matérielles n’auront-elles pas alors été gaspillées ? Y a-t-il un lien entre de telles pertes et le fait que les dirigeants et les ouvriers ne résolvent pas rapidement les problèmes ? (Si.) Si les dirigeants et les ouvriers assurent le suivi, la supervision, le contrôle et la gestion des instructions de travail, ils seront parfaitement en mesure de découvrir et de résoudre les problèmes rapidement. Si les dirigeants et les ouvriers sont désinvoltes, s’ils ne font pas de suivi, ne supervisent pas, ne contrôlent pas et ne donnent pas les instructions pour le travail, s’ils sont très passifs dans cet aspect, et s’ils attendent que les problèmes soient si nombreux au point de devenir totalement incontrôlables avant de réfléchir à leur résolution, avant de penser à les signaler au Supérieur et à chercher des solutions auprès de ce dernier, alors de tels dirigeants et ouvriers ont-ils assumé leurs responsabilités ? (Non.) Il s’agit d’un sérieux manquement au devoir ; non seulement de tels dirigeants et ouvriers n’ont pas résolu les problèmes, mais ils ont plutôt causé des pertes de main-d’œuvre et de ressources matérielles dans la maison de Dieu, tout en créant un obstacle majeur au travail de l’Église. En raison du manquement au devoir des dirigeants et des ouvriers, de leur négligence, de leur inertie et de leur stupidité, et parce qu’ils sont incapables de déceler et de résoudre rapidement les nombreux problèmes qui surgissent dans le travail, et qu’ils ne sont même pas capables de les signaler rapidement au Supérieur et de chercher des solutions auprès de ce dernier, de nombreuses tâches doivent être refaites et, après avoir été refaites, d’autres problèmes surgissent en raison d’une incapacité à trouver les principes. Dans ces conditions, la date d’achèvement du travail est largement retardée, et un travail qui aurait dû prendre un mois, prend trois mois, et un travail qui aurait dû prendre trois mois, en prend huit ou neuf, ce qui est directement lié au fait que les dirigeants et les ouvriers ne font pas un vrai travail. Parce que les dirigeants et les ouvriers ne sont pas responsables de leur travail, c’est-à-dire qu’ils ne sont pas capables d’identifier et de corriger rapidement les problèmes lorsqu’ils se posent, les divers aspects du travail ne produisent pas de résultats satisfaisants et demeurent dans un état de paralysie. Et qui est directement responsable de ce problème ? (Les dirigeants et les ouvriers.) Il est donc très important que les dirigeants et les ouvriers fassent un vrai travail, et il est également essentiel qu’ils décèlent les problèmes en faisant un vrai travail. Il arrive que les dirigeants et les ouvriers décèlent des problèmes, mais qu’ils ne sachent pas les résoudre, alors qu’ils sont capables de les signaler rapidement au Supérieur et de chercher des solutions auprès de ce dernier pour les résoudre, ce qui est encore plus important. De nombreux dirigeants et ouvriers se disent : « Nous avons nos propres méthodes de travail. Il suffit que le Supérieur nous transmette les principes et nous ferons nous-mêmes le reste du vrai travail. Si nous rencontrons des difficultés, il nous suffit d’échanger et de prier ensemble. » En ce qui concerne la qualité de la résolution des problèmes, ou si leurs solutions sont rigoureuses ou efficaces, ils ne se soucient absolument pas de ces choses ou ne posent pas de questions à leur sujet. C’est ce type d’attitude irresponsable qu’ils adoptent lorsqu’ils travaillent, et cela signifie finalement que tous les aspects du travail de l’Église ne peuvent pas progresser sans heurts, et qu’ils présentent de sérieux problèmes non résolus. C’est la conséquence d’un calibre trop médiocre chez les dirigeants et les ouvriers, ou encore d’un manque de responsabilité de leur part et du fait qu’ils ne font pas un vrai travail.
Disséquons quelques types de faux dirigeants sur la base de la huitième responsabilité
I. Les faux dirigeants qui sont pseudo-spirituels
Précédemment, nous avons échangé sur ce que représentent la confusion et les difficultés, et nous avons défini certains problèmes qui doivent être signalés rapidement et pour lesquels des solutions doivent être cherchées rapidement. Fondamentalement, il existe deux principaux types de problèmes. Un type désigne les problèmes liés au travail dont les gens ne sont pas certains ou qu’ils ne perçoivent pas. Dans ce cas de figure, les gens ont beaucoup de mal à saisir les principes. Bien qu’ils comprennent les principes en termes de doctrines, ils ne savent pas comment les pratiquer ou les appliquer. Ces problèmes relèvent de la confusion. L’autre type désigne les vraies difficultés et les problèmes que les gens ne savent pas résoudre. Ce type de problème est un peu plus sérieux comparé à celui de la confusion, et concerne des problèmes que les dirigeants et les ouvriers doivent également signaler et pour lesquels ils doivent chercher des solutions. La dernière fois, nous avons principalement échangé sur la responsabilité des dirigeants et des ouvriers qui consiste à signaler et à chercher à résoudre les problèmes rencontrés dans le travail, et nous avons échangé de manière positive sur certaines choses que les dirigeants et les ouvriers devraient faire et auxquelles ils devraient prêter attention. Aujourd’hui, nous disséquerons les manifestations que les faux dirigeants présentent par rapport au point huit, et nous verrons s’ils font ou non le travail que les dirigeants sont censés faire et s’ils s’acquittent ou non des responsabilités que les dirigeants doivent assumer. Lorsqu’il s’agit de résoudre des problèmes rencontrés dans le travail, les faux dirigeants ne sont certainement pas compétents en la matière ; ils échouent dans cet aspect du travail et n’assument pas cette responsabilité. Il existe un type de faux dirigeant qui nourrit une notion en travaillant et qui se dit : « Je ne m’engage pas dans ces formalités lorsque je travaille, et je ne prête aucune attention aux choses telles que les connaissances, l’apprentissage, les compétences, ou le dogme. Au cours des réunions, je veille simplement à échanger avec clarté sur la vérité des paroles de Dieu, et c’est suffisant. Chaque semaine, j’organise deux réunions pour des petits groupes, toutes les deux semaines, une réunion pour les dirigeants et les ouvriers, et chaque mois, j’organise une grande réunion pour l’ensemble des frères et sœurs. Il suffit que j’organise correctement tous ces types de réunions ». C’est leur base et leur méthode de travail. Ces dirigeants et ces ouvriers se contentent de s’entraîner en permanence à prêcher des sermons, et ils déploient beaucoup d’efforts pour s’équiper en formules et doctrines – ils préparent les grandes lignes, le contenu, les exemples et les vérités sur lesquels ils vont échanger à chaque réunion, et ils élaborent également des plans pour résoudre certains états et problèmes des gens. Ils pensent qu’en tant que dirigeant ou ouvrier, il leur suffit de prêcher correctement, et qu’ils ont alors assumé leurs responsabilités. Ils estiment qu’ils n’ont pas besoin de se préoccuper d’autres choses, comme le fait que l’Évangile soit prêché de manière appropriée ou non, ou la façon dont le personnel de l’Église est affecté, ou si le personnel qui accomplit divers types de tâches professionnelles est compétent et qualifié – ils croient qu’il suffit de laisser les superviseurs gérer ces aspects. Par conséquent, où qu’elles aillent, ces personnes se concentrent sur les réunions et la prédication de sermons, et, quel que soit le type de réunion, elles prêchent toujours un sermon. En apparence, elles conduisent les gens à lire les paroles de Dieu et à apprendre à chanter des hymnes, et occasionnellement, elles parlent du travail. Ce type de personne connaît les problèmes qui font souvent l’objet d’échanges, telles que les paroles de Dieu qui devraient être utilisées pour comparer les problèmes rencontrés par différents types de personnes, ainsi que les raisons pour lesquelles les gens se sentent vulnérables et quels états sont apparus en eux, et quelles vérités des paroles de Dieu devraient faire l’objet d’échanges pour résoudre ces questions. En somme, leurs sermons et leurs échanges portent sur de nombreux aspects de la vérité et de la pratique ; certains concernent l’émondage, d’autres concernent les épreuves et l’épurement, d’autres concernent la lecture en priant des paroles de Dieu, d’autres traitent de la façon d’expérimenter le jugement et le châtiment, et ainsi de suite – ils peuvent échanger un peu sur divers aspects de la vérité. Lorsqu’ils rencontrent de nouveaux croyants, ils prêchent des sermons pour ces derniers, et lorsqu’ils rencontrent des gens qui croient en Dieu depuis plusieurs années, ils peuvent prêcher des sermons sur l’entrée dans la vie. Mais lorsqu’il s’agit d’un travail impliquant une quelconque compétence professionnelle, ils ne se renseignent jamais sur le travail ni ne se penchent sur les aspects qui s’y rapportent, et encore moins n’en font le suivi, n’y participent ou n’approfondissent aucun aspect du travail pour résoudre les problèmes. À leurs yeux, en prêchant des sermons, en lisant les paroles de Dieu et en apprenant des hymnes, ils font un travail, et cela relève des responsabilités des dirigeants et des ouvriers. En outre, tout autre travail est insignifiant, c’est l’affaire des autres, cela ne les concerne pas, et tant qu’ils prêchent correctement des sermons, ils peuvent avoir l’esprit tranquille. Que signifie « avoir l’esprit tranquille » ? Cela signifie que terminer une réunion revient à terminer leur travail, et quand vient le temps de se reposer, ils se reposent. Quels que soient les problèmes qui surviennent dans le travail de l’Église, ils les ignorent, et lorsque les gens les cherchent pour résoudre un problème, ils sont très difficiles à trouver. Peu importe la charge de travail, ils doivent faire leur sieste de l’après-midi, et ils se complaisent dans le confort tandis que d’autres gens doivent endurer des souffrances et payer de leur personne. Ils se disent : « J’ai fini de prêcher, la réunion est terminée et j’ai dit tout ce que j’étais censé vous dire. Que voulez-vous que je dise de plus ? Mon travail est terminé. Le reste, c’est votre affaire. Je vous ai transmis les paroles de Dieu, alors agissez simplement conformément aux principes. Quant aux problèmes qui surviennent, c’est votre affaire, et cela ne me concerne pas. Vous devez vous présenter à Dieu vous-mêmes et prier, vous réunir et échanger pour résoudre les problèmes. Ne venez pas me chercher. » À la fin d’une réunion, ils évitent qu’on leur pose des questions, ils ne veulent jamais résoudre les problèmes, et ils sont encore moins capables de découvrir un problème. Après la réunion, ils considèrent que leur travail est fait, et ils dorment, mangent et se divertissent comme d’habitude. Ne sont-ils pas de faux dirigeants qui ne font aucun vrai travail ? (Si.)
Dans certains cas, un dirigeant ou un ouvrier est en poste depuis six mois et, à l’exception de ses proches qui le voient régulièrement, la plupart des frères et sœurs ne le voient pas. Ils se contentent souvent de l’écouter prêcher des sermons en ligne, mais en cas de problème, le dirigeant ou l’ouvrier ne le résout pas. Certains frères et sœurs rencontrent des difficultés dans leurs devoirs qu’ils ne savent pas résoudre, et ils deviennent si anxieux qu’ils sont incapables de rester tranquilles, et lorsqu’ils cherchent leur dirigeant, ils ne le trouvent pas. Ce type de dirigeant peut-il faire du bon travail ? Les frères et sœurs n’ont aucune idée de ce qui occupe à ce point leur dirigeant chaque jour, les problèmes et les difficultés s’accumulent, et ils ne savent pas à quel moment leur dirigeant interviendra pour les résoudre. Tout le monde attend avec impatience que le dirigeant vienne les aider, mais les gens ont beau attendre, le dirigeant ne vient jamais. De tels dirigeants et ouvriers sont fuyants, et ils savent rester cachés ! Ils prononcent de très bons sermons et, après avoir prêché, ils se pomponnent et ne font rien, et ils se retirent dans un endroit où ils peuvent s’adonner au confort. Et malgré tout cela, ils continuent de penser qu’ils travaillent très bien et correctement. Ils pensent qu’ils ne font pas preuve de relâchement, qu’ils ont prononcé leurs sermons, organisé leurs réunions, dit tout ce qu’ils doivent dire et expliqué tout ce qu’ils sont censés expliquer. Ils ne veulent jamais s’engager sérieusement avec les frères et sœurs pour le suivi du travail et y participer, les aider en effectuant des vérifications, et les aider à gérer et à résoudre les problèmes rapidement. S’ils rencontrent un problème qu’ils ne savent pas résoudre, ils ne savent pas le signaler au Supérieur ni chercher une solution auprès de ce dernier. Ils ne se posent pas non plus la question : « Les frères et sœurs peuvent-ils s’en tenir aux principes après les avoir entendus pendant les échanges ? Et lorsqu’ils rencontreront de nouveau des difficultés et de la confusion dans le travail, seront-ils capables de respecter la vérité et de traiter les questions conformément aux principes ? En outre, qui joue un rôle positif dans le travail ? Et quels sont ceux qui jouent un rôle négatif ? Y a-t-il des gens qui causent des interruptions et des perturbations, des gens qui gâchent les choses, des gens absurdes qui proposent toujours de mauvaises idées ? Comment le travail a-t-il progressé ces derniers temps ? » Ils ne se préoccupent absolument pas de ces questions et ne s’informent pas à leur sujet. En apparence, ces gens semblent travailler : ils prononcent des sermons, organisent des réunions, préparent des projets de sermons et des schémas, et rédigent même des rapports de travail. Certains dirigeants écrivent aussi fréquemment des sermons sur leurs expériences de vie ; ils restent dans leur chambre et rédigent pendant trois ou cinq jours consécutifs et ont même besoin de quelqu’un pour leur apporter de l’eau et de la nourriture, et personne ne peut les voir. Si tu leur dis qu’ils ne font pas un vrai travail, ils se sentent offensés : « Comment ça, je ne fais pas un vrai travail ? Je vis avec les frères et sœurs et j’organise des réunions et je donne des sermons constamment. Je prêche des sermons au point d’avoir la bouche sèche, et il m’arrive même de me coucher tard. » En apparence, il semble qu’ils sont vraiment très occupés et qu’ils ne sont pas oisifs – ils donnent énormément de sermons, et déploient beaucoup d’efforts pour parler et écrire, ils transmettent régulièrement des messages et des lettres, et véhiculent les principes exigés par le Supérieur, et ils échangent également avec sincérité et patience et mettent en valeur le contenu pendant les réunions – en effet, ils parlent beaucoup, mais ils ne participent jamais à un travail spécifique, ils ne font aucun suivi du travail, et ils n’affrontent jamais aucun problème avec les frères et sœurs. Si tu les interroges sur l’état d’avancement de tel ou tel aspect du travail ou sur les résultats de ce travail, ils ne les connaissent pas et doivent d’abord se renseigner auprès de quelqu’un. Si tu leur demandes si les problèmes de la dernière fois ont été résolus, ils répondent qu’ils ont organisé une réunion et qu’ils ont échangé sur les principes. Supposons que tu leur demandes alors : « Les frères et sœurs ont-ils vraiment compris après votre échange sur les vérités-principes ? Est-il encore possible qu’ils se dérobent ? Qui, parmi eux, a une meilleure compréhension des principes, qui est plus compétent professionnellement, qui a un meilleur calibre et qui mérite d’être cultivé ? » Ils ne connaissent la réponse à aucune de ces questions ; ils ne savent rien de tout cela. Chaque fois que tu les interroges sur l’état d’avancement du travail, ils répondent : « J’ai échangé sur les principes, je viens juste de terminer une réunion, et je les ai émondés à l’instant. Ils ont exprimé leur engagement et sont déterminés à bien faire ce travail. » Mais lorsqu’il s’agit de mesurer l’état d’avancement du travail, ils n’en ont aucune idée. Peuvent-ils être considérés comme des dirigeants et des ouvriers qualifiés ? (Non.) Ce type de dirigeant et d’ouvrier se contente de lire les paroles de Dieu et de prêcher quelques formules et doctrines aux gens, mais ils ne prêtent aucune attention à la résolution des vrais problèmes et, plus encore, ils redoutent de les signaler au Supérieur et de chercher des solutions auprès de ce dernier – ils ont très peur que le Supérieur découvre leur véritable situation. Quelle est la nature de telles actions ? Quel type de personne incarnent-ils en termes d’essence ? Plus précisément, de telles personnes sont des pharisiens ordinaires. Les manifestations des pharisiens sont les suivantes : ils s’engagent dans des actions d’apparence noble, ils parlent et se comportent de manière élégante, toutes leurs paroles et leurs actions reposent sur la Bible, et lorsqu’ils rencontrent des gens et leur parlent, ils récitent des paroles de la Bible, et ils sont capables de répéter de mémoire plusieurs passages de la Bible. Les faux dirigeants sont juste semblables aux pharisiens – de l’extérieur, on ne leur trouve pas le moindre défaut, et ils ont l’air particulièrement spirituels. On ne peut détecter aucun problème chez eux au vu de leur discours extérieur, de leurs actions et de leur comportement, et pourtant, ils sont incapables de résoudre de nombreux problèmes rencontrés dans le travail de l’Église. Que signifie donc ce terme « spirituel » ? Au sens strict, il s’agit d’une pseudo-spiritualité. Les pseudos-spirituels de ce type donnent l’impression d’être très occupés tous les jours, naviguant entre les groupes, grands et petits, et prêchant les paroles de Dieu partout où ils se rendent. En apparence, ils donnent l’impression d’aimer les paroles de Dieu plus que quiconque, de déployer plus d’efforts avec les paroles de Dieu que quiconque, de mieux connaître les paroles de Dieu que quiconque, et ils peuvent citer de tête le numéro de page de n’importe quel passage essentiel des paroles de Dieu. Si quelqu’un rencontre un problème, ils lui donnent le numéro de la page d’un passage en lien avec les paroles de Dieu et lui disent de le lire. En apparence, ils semblent prendre les paroles de Dieu comme critère en toutes choses, ils semblent porter témoignage des paroles de Dieu quand les choses leur arrivent, et il semble qu’ils n’ont aucun problème. Mais si tu regardes de près le travail qu’ils font, sont-ils capables de découvrir et de résoudre les problèmes alors qu’ils prêchent ces formules et doctrines ? Si, par l’échange sur la vérité, ils décèlent un problème qui n’avait pas été découvert auparavant dans un aspect du travail, et s’ils résolvent des problèmes que d’autres étaient incapables de résoudre, alors cela montre qu’ils comprennent les paroles de Dieu et qu’ils échangent sur la vérité de manière claire. Les personnes pseudos-spirituelles sont exactement l’opposé de cela. Elles mémorisent les paroles de Dieu et les prêchent partout, et leur esprit et leur cœur sont remplis de paroles de Dieu. Cependant, quelle que soit la gravité d’un problème survenant dans le travail, elles sont incapables de le voir ou de le découvrir. À la fin des réunions, ce qu’elles redoutent le plus, c’est que quelqu’un soulève une vraie question et leur demande de la résoudre, et c’est la raison pour laquelle elles repartent immédiatement à la fin des réunions, en se disant : « Si quelqu’un me pose une question et que je ne sais pas y répondre, alors ce sera très gênant et embarrassant ! » Cela correspond à leur véritable stature et à leur véritable état.
Réfléchissez aux dirigeants et aux ouvriers qui, dans votre entourage, savent échanger sur la vérité pour résoudre les problèmes, et qui sont capables de s’intégrer parmi les frères et sœurs et de faire avancer le travail avec eux en faisant leurs devoirs – ces dirigeants et ces ouvriers sont capables d’assumer leurs responsabilités. Pensez aux dirigeants et aux ouvriers autour de vous qui sont doués pour déceler et résoudre les problèmes, qui se concentrent le plus sur le vrai travail et qui obtiennent les meilleurs résultats dans leur travail – ces dirigeants et ces ouvriers sont des gens loyaux, très responsables et consciencieux. À l’inverse, si un dirigeant est excellent pour prêcher des formules et des doctrines, et qu’il prêche de manière logique et organisée, avec un point central et un contenu, et de façon structurée, et que les gens sont enthousiasmés par ses sermons, mais qu’il évite toujours les frères et sœurs, qu’il craint toujours que les frères et sœurs lui posent des questions, et qu’il hésite à résoudre et à gérer les problèmes avec les frères et sœurs, alors ce dirigeant est pseudo-spirituel, et c’est un faux dirigeant. De quel type sont les dirigeants et les superviseurs dans votre entourage ? Habituellement, outre le fait d’assister aux réunions et de prononcer des sermons, suivent-ils le travail et y participent-ils, sont-ils capables de déceler et de résoudre fréquemment des problèmes dans le travail, ou disparaissent-ils simplement après avoir fait une apparition dans des réunions ? Les faux dirigeants pseudo-spirituels redoutent toujours de n’avoir rien à prêcher, et de ne rien avoir à dire lorsqu’ils rencontrent les frères et sœurs, et s’entraînent donc à mémoriser les paroles de Dieu et la manière de prononcer des sermons dans leur chambre. Ils croient que la prédication de sermons est une chose qui s’apprend et qui s’obtient par la mémorisation, comme l’acquisition de connaissances ou le fait de fréquenter l’université, et qu’ils doivent constamment fournir un travail acharné et méticuleux. Cette compréhension n’est-elle pas déformée par ce que ces faux dirigeants nourrissent ? (Si, en effet.) Ce type de personnes prêchent des doctrines émanant de leur fonction élevée et se préoccupent de questions sans intérêt, et puis, elles pensent qu’elles font leur travail de dirigeant. Elles ne vont jamais sur le terrain pour diriger le travail ou résoudre les problèmes, mais restent plutôt souvent dans leur chambre, « elles se cloîtrent pour se focaliser sur le fait de se cultiver », en s’équipant elles-mêmes de paroles de Dieu – est-ce nécessaire ? Dans quelles circonstances les dirigeants et les ouvriers peuvent-ils mettre temporairement de côté le travail de l’Église et les frères et sœurs, et s’équiper eux-mêmes de la vérité ? Lorsque la charge de travail n’est pas importante, que tous les problèmes à résoudre ont été résolus, que toutes les questions nécessitant une attention particulière et que les principes à expliquer l’ont été, que les frères et sœurs n’ont ni questions ni difficultés, que personne ne cause de perturbations et d’interruptions, que le travail peut avancer sans heurts et qu’il n’y a plus d’obstacles, alors les dirigeants et les ouvriers peuvent lire les paroles de Dieu et s’équiper eux-mêmes de la vérité – c’est seulement ainsi qu’ils font du vrai travail. Les faux dirigeants ne travaillent pas de cette manière ; ils se focalisent constamment sur le fait de se mettre en valeur, et ils se limitent à faire un travail visible que les autres peuvent voir pour se mettre en avant. S’ils trouvent un éclairage nouveau en lisant les paroles de Dieu ou en écoutant un sermon, ils ont l’impression d’avoir gagné quelque chose, d’avoir la vérité-réalité, et ils s’empressent alors de chercher une occasion de prêcher un sermon aux autres. Ils prêchent des doctrines de manière systématique, logique et bien organisée, avec un point central et un contenu, et d’une façon plus puissante et plus approfondie qu’un discours d’une célébrité ou que celle d’une conférence universitaire, et ils sont assez satisfaits de cela. Et pourtant, ils se demandent : « Que vais-je prêcher la prochaine fois, lorsque j’aurai terminé ce sermon ? Je n’ai rien d’autre. » Ils s’empressent alors de partir et de se cloîtrer pour se focaliser de nouveau sur le fait de se cultiver, en quête de doctrines approfondies. On ne les voit jamais sur le lieu de travail de l’Église, et lorsque les gens rencontrent des difficultés et attendent qu’elles soient résolues, ces faux dirigeants sont introuvables. Les faux dirigeants ne manquent-ils pas de confiance en eux et ne se sentent-ils pas mal à l’aise ? Ils sont incapables de résoudre les vrais problèmes et pourtant, ils veulent toujours prêcher des sermons nobles pour se mettre en valeur. Ces gens n’éprouvent aucune honte.
Tous les faux dirigeants peuvent prêcher des formules et des doctrines, ils sont tous pseudo-spirituels, ils ne peuvent faire aucun travail concret, et ils ne comprennent pas la vérité alors même qu’ils croient en Dieu depuis de nombreuses années – on peut dire qu’ils n’ont aucune compréhension spirituelle. Ils pensent qu’être un dirigeant d’Église signifie simplement prêcher quelques formules et doctrines et scander quelques slogans, et qu’il suffit d’expliquer un peu les paroles de Dieu, et que les gens comprendront alors la vérité ; ils ne savent pas ce que signifie travailler, ils ne savent pas quelles sont les responsabilités des dirigeants et des ouvriers, et ils ne savent pas pourquoi la maison de Dieu choisit tel ou tel pour être dirigeant ou ouvrier, ni quels problèmes les dirigeants et les ouvriers sont censés résoudre. Ainsi, la maison de Dieu a beau échanger sur le fait que les dirigeants et les ouvriers doivent assurer le suivi du travail, l’inspecter et le surveiller, qu’ils doivent rapidement découvrir et résoudre les problèmes dans le travail, et ainsi de suite, ils n’assimilent rien de tout cela et ne comprennent pas ces choses. Ils ne sont pas capables de répondre ou de satisfaire les exigences de la maison de Dieu envers les dirigeants et les ouvriers, et ils ne peuvent pas comprendre les problèmes techniques et professionnels propres à l’accomplissement des devoirs, ni ce qui a trait au principe de sélection des superviseurs, et ainsi de suite, et quand bien même ils ont connaissance de ces problèmes, ils ne sont toujours pas en mesure de s’en occuper. Par conséquent, sous la direction de ces faux dirigeants, toutes sortes de problèmes qui surviennent dans le travail de l’Église ne peuvent pas être résolus. Non seulement les problèmes professionnels et techniques que le peuple élu de Dieu rencontre en faisant ses devoirs, mais aussi les difficultés relatives à l’entrée dans la vie du peuple élu de Dieu, se prolongent et ne sont pas résolus, et lorsque certains dirigeants et ouvriers ou superviseurs de divers travaux ne sont pas capables de faire un réel travail, ils ne sont pas rapidement remplacés ou affectés ailleurs, et ainsi de suite. Aucun de ces problèmes n’est résolu rapidement, si bien que l’efficience des diverses dimensions du travail dans l’Église ne cesse de diminuer et que l’efficacité du travail ne cesse de se dégrader. Pour ce qui est du personnel, ceux qui sont quelque peu doués et bons orateurs deviennent dirigeants et ouvriers, tandis que ceux qui aiment la vérité, qui sont capables de se plonger dans le dur labeur et de travailler sans relâche sans se plaindre, ceux-là ne sont pas promus ni cultivés, et sont traités comme des exécutants. Certains membres du personnel technique qui possèdent des compétences particulières ne sont pas employés à bon escient, et certaines personnes qui font leur devoir avec sincérité ne reçoivent pas de moyens de subsistance, ce qui les fait sombrer dans la négativité et la faiblesse. De plus, quel que soit le mal commis par les antéchrists et les personnes malfaisantes, c’est comme si les faux dirigeants n’avaient rien vu. Lorsque quelqu’un expose une personne malfaisante ou un antéchrist, les faux dirigeants lui disent qu’elle doit traiter cette personne avec amour et lui donner une chance de se repentir. Ils laissent les personnes malfaisantes et les antéchrists faire le mal et causer des perturbations dans l’Église, ce qui retarde l’exclusion et l’expulsion de ces personnes malfaisantes, de ces incrédules et de ces antéchrists, qui peuvent alors continuer à faire le mal dans l’Église et à perturber le travail de l’Église. Les faux dirigeants sont incapables de gérer et de résoudre le moindre de ces problèmes ; ils sont incapables de traiter les gens équitablement ou d’arranger le travail de façon raisonnable, bien au contraire, ils se montrent imprudents, ils ne font que des tâches inutiles, si bien qu’ils sèment le chaos et le désordre dans le travail de l’Église. La maison de Dieu a beau échanger sur la vérité et souligner l’importance des principes qui doivent être respectés dans l’exécution du travail de l’Église – restreindre et exclure différentes sortes de malfaiteurs et d’incrédules qui doivent être restreints et exclus, et promouvoir et cultiver les personnes dotées d’un bon calibre et d’une bonne capacité de compréhension, ainsi que les personnes capables de poursuivre la vérité qui doivent être promues et cultivées – elle a beau échanger d’innombrables fois sur ces choses, les faux dirigeants ne les comprennent pas ou ne les saisissent pas et s’accrochent continuellement à leurs points de vue pseudo-spirituels et à leurs approches « aimantes ». Les faux dirigeants croient que sous leur direction sincère, chaque type de personne remplit sa propre fonction, de manière ordonnée, sans chaos, et que tout le monde a beaucoup la foi, que tout le monde est prêt à faire ses devoirs, que personne n’a peur d’aller en prison et d’affronter le danger, que tout le monde est déterminé à endurer la souffrance et n’est pas prêt à être un Judas ; ils croient que bien faire leur travail consiste à faire régner une bonne atmosphère dans la vie de l’Église. Que des personnes malfaisantes apparaissent dans l’Église et causent des perturbations, ou que des incrédules répandent leurs hérésies et leurs idées fausses, ils ne considèrent pas ces choses comme des problèmes et ne ressentent pas le besoin de les résoudre. Pour ce qui est des personnes malfaisantes qui se montrent imprudentes, n’agissent que selon leurs propres caprices et perturbent le travail de l’Évangile, les faux dirigeants sont encore plus aveugles. Ils disent : « J’ai expliqué les principes du travail que je suis censé expliquer, et j’ai dit aux gens ce qu’ils devaient faire encore et encore. Si d’autres problèmes se présentent, ce n’est absolument pas de mon fait. » Cependant, ils ne savent pas si la personne à qui ils ont confié le travail est la bonne personne, et ils ne savent pas si ce qu’ils ont dit lorsqu’ils expliquaient et disaient à cette personne ce qu’elle devait faire est en accord avec les vérités-principes, ou si cela a un fondement dans les paroles de Dieu. Chaque fois que les faux dirigeants organisent une réunion, ils se lancent dans un flot ininterrompu de formules et de doctrines, si bien qu’aucun problème ne peut être résolu. Pourtant, ils croient toujours qu’ils font un travail important, ils sont toujours satisfaits d’eux-mêmes et se pensent formidables. En réalité, les formules et les doctrines qu’ils prononcent ne fonctionnent que sur les personnes confuses, stupides et idiotes qui sont ignorantes et de piètre calibre. Ces gens se sentent déroutés après avoir entendu ces paroles, persuadés qu’ils sont de la grande pertinence de ce que les faux dirigeants ont dit, persuadés que rien de ce qu’ils ont dit n’est faux. Les faux dirigeants ne peuvent satisfaire que ces personnes confuses, et demeurent fondamentalement incapables de résoudre les vrais problèmes. Bien sûr, les faux dirigeants sont encore moins capables de traiter les problèmes liés aux compétences techniques, aux professions et aux connaissances – ils sont totalement impuissants dans ces domaines. Prenons par exemple le travail d’écriture de la maison de Dieu. C’est le travail qui cause le plus de maux de tête aux faux dirigeants. Ils sont incapables de trouver des gens dotés d’une compréhension spirituelle et d’un bon calibre qui soient aptes à faire le travail d’écriture, et ils considèrent toute personne dotée de lunettes et d’un haut niveau de diplôme comme dotée d’un bon calibre et d’une compréhension spirituelle, si bien qu’ils s’arrangent pour que ce soient ces gens-là qui le fassent, en leur disant : « Vous êtes tous doués pour le travail d’écriture. Je ne comprends pas ce travail, alors je m’en remets à vous. Tout ce qu’exige de vous la maison de Dieu, c’est de mettre en pratique vos compétences particulières, de tout donner et mobiliser tout ce que vous avez appris. Vous devez être reconnaissants et remercier Dieu de vous avoir élevés. » Après avoir prononcé quelques paroles superficielles, les faux dirigeants pensent que puisque le travail a été arrangé, ils ont fait tout ce qu’ils avaient à faire. Ils ne savent pas si les personnes qu’ils ont prévues pour faire ce travail conviennent ou non, ni quelles sont les lacunes de ces personnes en matière de connaissances professionnelles, ni comment ils devraient y remédier. Ils ne savent pas comment voir et discerner les gens, ils ne comprennent pas les problèmes professionnels ni les connaissances liées à l’écriture – ils sont parfaitement ignorants de ces choses. Ils disent qu’ils ne comprennent pas ou ne saisissent pas ces choses, mais dans leur cœur, ils se disent : « N’êtes-vous pas un peu plus instruits et savants que moi ? Même si je ne peux pas vous guider dans ce travail, je suis plus spirituel que vous, je fais de meilleurs sermons que vous, et je comprends mieux les paroles de Dieu que vous. C’est moi qui vous dirige, je suis votre supérieur. Je dois vous superviser, et vous devez faire ce que je dis. » Les faux dirigeants se donnent beaucoup d’importance, alors qu’ils sont incapables de faire la moindre suggestion pertinente pour le moindre travail technique ou professionnel, et qu’ils ne sont pas en mesure de donner des conseils en la matière. S’ils s’avèrent capables de bien arranger le personnel, c’est le maximum que l’on puisse espérer d’eux. Ils sont incapables de faire le moindre travail supplémentaire, ils ne cherchent pas à acquérir de connaissances professionnelles et ils n’assurent pas le suivi du travail. Tous les faux dirigeants sont pseudo-spirituels ; tout ce qu’ils savent faire, c’est prêcher quelques formules et doctrines, se dire qu’ils comprennent la vérité et se vanter en permanence devant le peuple élu de Dieu. À chaque réunion, ils prêchent pendant des heures, et se montrent ensuite incapables de résoudre le moindre problème. Ils sont tout à fait ignorants devant les problèmes liés aux connaissances professionnelles rattachées aux devoirs des gens ; ce sont clairement des amateurs, mais ils n’en prétendent pas moins être spirituels, ils veulent dire aux spécialistes ce qu’ils ont à faire – comment pourraient-ils faire du bon travail dans ces conditions ? Les faux dirigeants qui ne cherchent pas à acquérir de connaissances professionnelles et qui ne sont pas capables de faire un réel travail dégoûtent déjà les gens, si bien que le fait qu’ils prétendent ensuite être des personnes spirituelles en faisant étalage de leurs paroles spirituelles est le signe évident d’un manque de raison ! Ce n’est pas différent des pharisiens. Là où les pharisiens manquaient le plus de raison, c’est que Dieu les détestait, et pourtant ils n’en étaient pas du tout conscients et se considéraient toujours comme des gens formidables et très spirituels. Les faux dirigeants sont eux aussi dépourvus de conscience de soi ; ils ne peuvent manifestement pas faire le moindre travail concret, et prétendent néanmoins être spirituels, ils deviennent des pharisiens hypocrites. Ce sont exactement ces gens-là que Dieu déteste, abandonne et élimine.
Quelle est la principale caractéristique des faux dirigeants qui se font passer pour des gens spirituels ? C’est le fait qu’ils soient doués pour donner des sermons. Ces « sermons » ne sont pas de vrais sermons. Ces sermons ne constituent pas un échange sur la vérité, ni ne font preuve de vérité-réalité. Ce sont plutôt des sermons de formules et de doctrines ; ce sont des sermons pseudo-spirituels, des sermons de pharisiens. Les faux dirigeants sont doués pour travailler dur sur les mots et les phrases des paroles de Dieu ; ils accordent une attention particulière à la prédication de formules et de doctrines, et pourtant, ils ne cherchent jamais la vérité dans les paroles de Dieu ni ne réfléchissent jamais à la manière dont ils devraient entrer dans la vérité-réalité. Ils se contentent de prêcher des formules et des doctrines ; une fois qu’ils ont prêché la doctrine de manière claire et logique, ils pensent que c’est suffisant et qu’ils ont la vérité-réalité, qu’ils peuvent se présenter devant les autres et peser de tout leur poids, et que leur fonction élevée leur permet de faire la leçon aux gens. En apparence, ce qu’ils disent et ce qu’ils font semble lié à la vérité, ils ne semblent pas causer d’interruptions ou de perturbations, ni défendre des dictons erronés ou inciter à des pratiques erronées. Et pourtant, il y a un problème, c’est le fait qu’ils sont incapables d’assumer tout vrai travail, de remplir la moindre de leurs responsabilités, ce qui les conduit finalement à être incapables de déceler un quelconque problème dans le travail. Leur façon de travailler est comparable à celle d’un aveugle qui avance à tâtons : ils s’appuient toujours sur leurs sentiments et leur imagination pour appliquer aveuglément des règlements aux questions, ils sont totalement incapables de voir clairement l’essence des problèmes, et pourtant, ils continuent de débiter des absurdités à leur sujet – ils sont absolument incapables de résoudre les vrais problèmes. Si un faux dirigeant comprenait vraiment la vérité, il serait naturellement capable de déceler les problèmes et de chercher la vérité pour les résoudre. Mais les faux dirigeants ne comprennent manifestement pas la vérité, et cependant, ils se font passer pour des gens spirituels, se croyant capables de faire le travail de l’Église, et osent sans scrupules profiter des avantages liés à leur statut. N’est-ce pas détestable ? Ils pensent qu’ils ont une vraie compétence – qu’ils peuvent prêcher. Toutefois, ils ne peuvent simplement pas faire du vrai travail. Les formules et les doctrines que les faux dirigeants connaissent et prêchent ne peuvent pas les aider à faire leur travail correctement, ni les aider à déceler les problèmes dans le travail, et encore moins les aider à résoudre tous les problèmes auxquels ils sont confrontés. Après avoir travaillé pendant un certain temps, ils sont incapables de parler d’un quelconque témoignage d’expérience. Un tel dirigeant ou un tel ouvrier est-il qualifié ? Il est assez évident qu’ils ne les respectent pas. Et comment faut-il traiter les faux dirigeants qui ne respectent pas les normes ? Non seulement ils doivent être renvoyés et éliminés, mais s’ils ne se repentent pas, ils ne pourront pas être choisis de nouveau lors d’une élection pour servir en tant que dirigeant ou ouvrier. Si quelqu’un élit un faux dirigeant ou un faux ouvrier qui a été éliminé, cette personne perturbe délibérément le travail de l’Église et lui porte préjudice, et cela montre que l’électeur vénère et soutient ce faux dirigeant, et qu’il n’est pas quelqu’un qui croit vraiment en Dieu. Avez-vous déjà élu un faux dirigeant pseudo-spirituel ? (Nous l’avons fait.) Je suppose que vous en avez élu un certain nombre. Vous pensez que celui qui croit en Dieu depuis de nombreuses années, qui a lu abondamment la parole de Dieu et qui a entendu un grand nombre de sermons, qui a une grande expérience de la prédication et du travail, qui peut prêcher pendant des heures, est certainement capable de travailler. Puis, après l’avoir élu comme dirigeant, vous découvrez un grave problème : les frères et sœurs ne peuvent jamais le voir ni le trouver en cas d’incident. Personne ne sait où il se cache, et il se cache quelque part et il ne permettra à personne de le déranger. C’est un problème. Il joue toujours à cache-cache aux moments critiques du travail et les frères et sœurs ne le trouvent jamais quand ils doivent résoudre un problème – ne néglige-t-il pas ses propres devoirs ? Pourquoi certains n’osent-ils pas affronter les frères et sœurs lorsqu’ils deviennent dirigeants ? Pourquoi sont-ils introuvables ? À quoi exactement occupent-ils leurs journées ? Pourquoi ne résolvent-ils pas les problèmes concrets ? Peu importe leurs occupations, vous pouvez être certains de ceci : s’ils restent un certain temps sans faire de travail concret, ce sont de faux dirigeants, et ils doivent être rapidement renvoyés, et quelqu’un d’autre doit être élu. Éliriez-vous ce type de faux dirigeant à l’avenir ? (Non.) Pourquoi ? Quelle est, selon vous, la conséquence de choisir un aveugle comme guide ? Cette personne est elle-même aveugle, alors peut-elle guider les autres sur le bon chemin ? C’est exactement ce que dit Dieu dans la Bible : « Si un aveugle conduit un aveugle, ils tomberont tous deux dans la fosse » (Matthieu 15:14). Une personne aveugle marche sans direction ou sans but ; comment peut-elle guider les autres ? Si quelqu’un choisit un aveugle comme guide, alors il sera encore plus aveugle. Un dicton populaire parmi les non-croyants dit « demander son chemin à un aveugle ». Élire un faux dirigeant pour servir en tant que dirigeant de l’Église, c’est comme demander son chemin à un aveugle. C’est absurde, n’est-ce pas ? Tous ceux qui votent pour un faux dirigeant sont des personnes aveugles qui choisissent des aveugles, et aucun d’entre eux ne comprend la vérité.
Lorsque certains choisissent une personne pseudo-spirituelle comme dirigeant, ils sont très heureux et se disent : « Nous avons maintenant un grand dirigeant. Notre dirigeant est vraiment doué pour donner des sermons. Il prêche de manière très logique et structurée, et ses sermons prennent tout leur sens. » Certaines personnes qui manquent de discernement sont émues aux larmes, elles sont profondément attachées à ce dirigeant, et elles ne veulent même pas aller faire leurs devoirs. Elles comprennent plutôt bien les choses en écoutant l’échange, mais lorsqu’elles découvrent des problèmes en faisant leur devoir, elles ne savent pas les résoudre et sont perplexes, elles se disent : « J’ai l’impression de tout comprendre lorsque j’écoute le dirigeant pendant l’échange, alors pourquoi ne suis-je pas capable de résoudre les difficultés que je rencontre dans mon travail ? » Quel est le problème ici ? Tout ce que ce type de faux dirigeant prêche ne sont que des formules et des doctrines, des phrases dénuées de sens, des slogans et des absurdités. Ce qu’il prêche ne résout pas les vraies questions de ces gens ; il les a dupés. Il les nourrit d’illusions en prononçant quelques slogans pour leur faire croire, à tort, que les problèmes ont été résolus, alors qu’en fait, ils n’ont pas échangé sur les vérités-principes concernant leurs problèmes. Comment les problèmes peuvent-ils être résolus en échangeant de cette manière ? Les doctrines qu’il prêche n’ont aucun rapport avec les vraies questions ; le faux dirigeant évite simplement l’essence de toutes les questions et parle de théories sans fondement. Il ne prêche que des formules et des doctrines ainsi que des théories spirituelles. Il n’a aucune idée de ce qu’est la vérité-réalité, et lorsque des problèmes surgissent, il est déconcerté. Les sermons qu’il donne ne peuvent pas résoudre les vrais problèmes, ils ne sont qu’une sorte de théorie, de savoir et de doctrine. Ce type de faux dirigeant prêche les paroles de Dieu et la vérité, comme si ces dernières étaient des sortes de formules, de doctrines et de slogans. Il évite tous les vrais problèmes et ne prêche que des paroles creuses et impraticables. Et que se passera-t-il à la fin ? Quelle que soit la durée de leur prédication, ses sermons auront tout au plus pour effet d’encourager et d’exhorter les gens, de les rendre un peu plus enthousiastes et de leur procurer un regain d’énergie, mais ils ne pourront résoudre aucun autre problème. La vérité n’est pas déconnectée de la réalité, mais elle est plutôt liée à la réalité et à tous types de questions qui se posent réellement. Alors, serez-vous désormais capables de discerner les faux dirigeants pseudo-spirituels lorsque vous les rencontrerez de nouveau ? Si ce n’est pas le cas, alors lorsque vous voudrez voter pour un dirigeant, demandez-lui d’abord de résoudre quelques problèmes. Si cette personne les résout conformément aux principes, et si elle obtient d’assez bons résultats et résout les problèmes en utilisant la vérité-réalité, alors vous pouvez voter pour elle ; si elle évite de parler de l’essence des problèmes et de la situation concrète, et que tout ce qu’elle est capable de faire se limite à prêcher des doctrines dénuées de sens, à scander des slogans, et à respecter les règlements, alors vous ne pouvez pas voter pour elle. Pourquoi ne pouvez-vous pas voter pour cette personne ? (Parce qu’elle est incapable de résoudre les vrais problèmes.) Et quel type de personne n’est pas capable de résoudre les vrais problèmes ? Une personne qui se contente de prêcher des formules et des doctrines – tel un pharisien hypocrite et pseudo-spirituel. Cette personne ne possède pas le calibre nécessaire pour comprendre la vérité, elle n’a pas la capacité de résoudre les questions et les problèmes, et donc si vous la choisissez comme dirigeant, elle sera forcément un faux dirigeant. Cette personne est incapable de faire le travail d’un dirigeant ou d’assumer les responsabilités d’un dirigeant. Alors, ne lui portez-vous pas préjudice en votant pour elle ? Certains disent : « En quoi cela peut-il lui nuire ? Nous avons de bonnes intentions en votant pour elle. Elle a un certain calibre, et si nous l’élisons, cette personne ne sera-t-elle pas capable d’assumer la responsabilité du travail ? Bien sûr, c’est une bonne chose que quelqu’un prenne ses responsabilités, mais ce type de personne n’est pas capable de prendre des responsabilités. Elle se contente de débiter des théories vides de sens, elle ne tient pas compte de la réalité, elle n’est d’aucune aide dans la résolution des problèmes, alors en votant pour elle, ne lui donnez-vous pas la possibilité de faire le mal ? Ne l’obligez-vous pas à suivre le chemin d’un faux dirigeant ? Par conséquent, vous ne devez pas choisir ce genre de personnes comme dirigeants.
Êtes-vous capables de discerner parmi les personnes de votre entourage – que vous côtoyez souvent et que vous connaissez bien – celles qui se contentent de parler de doctrines vides de sens et qui sont incapables de résoudre les vrais problèmes ? Celles qui prêchent toujours de grandes théories et qui proposent de nouveaux plans originaux dont personne n’a jamais entendu parler auparavant, mais qui deviennent confuses et muettes lorsqu’on leur demande la façon de pratiquer et de mettre en œuvre les plans opérationnels spécifiques et les détails concrets ? Les propos de ces personnes sont totalement vides de sens et tout à fait irréalistes, sans aucun rapport ni cohérence avec la situation réelle, l’environnement concret, avec ce que les gens peuvent réellement accomplir, la stature des gens et leur niveau de compétence professionnelle. Plus encore, ce qu’elles disent n’est pas conforme aux exigences de la maison de Dieu ; elles racontent tout simplement n’importe quoi, elles se livrent à la fantaisie, et elles disent spontanément tout ce qui leur vient à l’esprit. Elles pensent qu’elles n’ont pas besoin d’assumer la responsabilité de tout ce qu’elles disent, pas même lorsqu’elles fanfaronnent et qu’elles se vantent. C’est avec cette attitude qu’elles expriment leurs points de vue et mettent en avant leurs idées – ne s’agit-il pas de gens pseudo-spirituels ? (Si.) Certains pensent que personne ne prend jamais au sérieux les vantardises, les fanfaronnades ou les idées prétentieuses, et qu’ils peuvent ainsi montrer à quel point ils sont compétents. Ils pensent que s’ils se trompent sur quelque chose, alors ils ne doivent pas en assumer la responsabilité, et que s’ils ont raison sur quelque chose, alors tout le monde aura une haute estime d’eux, et donc ils disent tout ce qu’ils veulent et prétendent que tout est très facile. Ils ont beaucoup d’idées, mais aucune d’entre elles ne s’accompagne d’un plan de pratique spécifique et ne peut être mise en œuvre correctement. Ils ne prennent au sérieux aucun des points de vue qu’ils avancent, que ces derniers soient purs ou déformés. Ils disent une chose aujourd’hui et une autre demain, et même si les points de vue, les théories et les bases dont ils parlent sont tous très nobles, ils sont tous vides de sens et impraticables. Parfois, ils parlent d’un plan qui n’est ni vain ni déformé, mais lorsqu’on leur demande comment ce plan doit être mis en œuvre de manière spécifique, ils sont incapables de le dire. Lorsqu’ils scandent des slogans, prononcent des mots pompeux et expriment des points de vue, ils sont très enthousiastes et proactifs. Mais lorsqu’il s’agit de faire un travail spécifique et de mettre en œuvre des plans particuliers, ils disparaissent sans laisser de traces, ils se cachent et ils n’ont plus d’opinions. Des gens comme ceux-là peuvent-ils être des dirigeants ? (Non.) Alors, quelles seront les conséquences si ces gens deviennent des dirigeants ? Ne risquent-ils pas de se nuire à eux-mêmes et aux autres ? Ils causeront des retards dans le travail de l’Église et, de plus, ils se porteront gravement préjudice à eux-mêmes. Les doctrines qu’ils prêchent ne sont que des choses limitées, et quand ils ont terminé de les prêcher, ils n’ont rien d’autre à dire, et par conséquent, ils devront toujours se cacher et « se cloîtrer pour se concentrer sur leur culture personnelle ». Cela ne va-t-il pas leur compliquer les choses ? Dès qu’ils deviendront des dirigeants, ils auront l’impression d’avoir un énorme poids sur les épaules, ils se sentiront épuisés et sous pression en permanence – quel est l’intérêt pour eux de souffrir ainsi ? Ils n’ont pas le calibre pour être un dirigeant, et quand ils rencontrent des problèmes, ils se contentent d’appliquer des règles au hasard en fonction de leur imagination et ils sont incapables de résoudre les vrais problèmes – des gens comme ça ne peuvent pas être des dirigeants. Ils ne sont pas capables de faire du vrai travail, donc ils seront de faux dirigeants, et ils continueront de penser qu’ils sont plutôt formidables, même s’ils causent des retards à l’entrée dans la vie des frères et sœurs. Si vous pouviez découvrir et saisir le calibre et le caractère de ces gens pseudo-spirituels, voteriez-vous encore pour qu’ils deviennent des dirigeants ? Si tu es toi-même ce type de personne et que quelqu’un veut voter pour toi, que ferais-tu ? (Je ferais preuve d’une certaine conscience de soi et j’affirmerais que je ne suis pas digne d’être un dirigeant.) Et si, après que tu aies dit cette affirmation, tout le monde continue de penser que tu es compétent et insiste pour voter pour toi, que devrais-tu faire ? Dis-leur : « Je suis incapable de faire le travail d’un dirigeant, je suis incapable d’assumer ce travail. En apparence, je donne l’impression d’avoir un certain calibre, et parfois j’ai de bonnes idées et j’apporte un peu de lumière, mais la plupart du temps, je me contente de prêcher des formules et des doctrines. Je ne suis vraiment pas capable d’être un dirigeant ou un ouvrier. Je ne suis pas meilleur que vous. Quoi que vous fassiez, je vous en prie, ne votez pas pour moi. Même si j’obtiens le plus grand nombre de voix, je ne pourrai toujours pas être un dirigeant. Je suis incapable de nuire à qui que ce soit ! J’ai déjà servi en tant que dirigeant, et chaque fois, j’ai échoué et j’ai été congédié. Chaque fois que j’ai été renvoyé, c’était parce que mon calibre était trop médiocre, que je n’avais aucune capacité de travail et que je n’étais pas capable de faire du vrai travail. Tout ce que je savais faire, c’était prêcher des formules et des doctrines, et en outre, je n’étais pas capable d’accomplir un bon travail ou de remplir la moindre des responsabilités que les dirigeants sont censés assumer. J’étais un faux dirigeant. » Il s’agit d’une prise de conscience, et non pas de dire quelques mots sur le fait que l’on n’est pas apte à être un dirigeant et d’en rester là. Certains se disent : « J’ai accompli mon devoir dans ce groupe pendant tellement d’années et je devrais en tout état de cause être considéré comme un membre du personnel expérimenté. Même si je n’ai jamais apporté ma contribution, j’ai travaillé dur, alors pourquoi personne n’a-t-il identifié mes points forts ? Je possède également des qualités de dirigeant. J’ai souvent des réflexions, des idées et des propositions qui sont tout à fait valables et qui ont une utilité concrète. Que les dirigeants les adoptent ou non, je suis dans tous les cas quelqu’un qui a le bon état d’esprit, des idées et des points de vue. Pourquoi personne ne vote-t-il pour moi ? » Si c’est ce que tu penses, alors tu peux t’évaluer de la manière suivante : tes réflexions, tes idées et tes suggestions sont-elles de simples affirmations ou ont-elles vraiment une utilité concrète ? Es-tu capable de découvrir et de résoudre toutes sortes de difficultés rencontrées dans le travail ? Tes réflexions et tes idées sont-elles exploitables ? Es-tu capable d’assumer le travail ? Si tes réflexions et tes points de vue restent au stade de formules et de doctrines, s’ils ne présentent simplement aucune utilité concrète et, surtout, s’ils ne sont pas conformes aux principes de travail de la maison de Dieu, alors quel calibre as-tu exactement ? Lorsque tu seras sélectionné pour devenir un dirigeant, pourras-tu alors remplir les responsabilités des dirigeants et des ouvriers ? Veux-tu être un dirigeant par ambition ou par sens du fardeau ? Si tu possèdes une réelle capacité de travail et une aptitude à résoudre les problèmes, et que, lorsque tu vois certains dirigeants et ouvriers faire un travail de piètre qualité et qui sont incapables de résoudre le moindre problème, tu es anxieux, et que, quand tu leur fais des suggestions, ils ne les écoutent pas, qu’ils sont incapables de résoudre les problèmes et ne les signalent pas au Supérieur, tu es inquiet pour le travail de la maison de Dieu, et que tu es extrêmement contrarié en voyant de faux dirigeants causer du retard dans le travail de l’Église, cela montre que tu as le sens du fardeau. Cependant, si tu veux obtenir l’approbation de tout le monde, trouver un public plus large et faire en sorte que plus de gens t’écoutent prêcher et faire de grands discours, simplement parce que tu as quelques idées, et si tu veux te démarquer des autres, alors cela signifie que tu n’as pas le sens du fardeau – tu as de l’ambition. Les gens ambitieux savent seulement prêcher des formules et des doctrines, et toutes leurs idées ne sont que des formules et des doctrines vides de sens. Lorsque ces gens deviennent des dirigeants, ils sont forcément de faux dirigeants, et s’ils sont des personnes malfaisantes, alors ce sont des antéchrists. Si tes idées restent au stade de formules vides de sens, alors, lorsque tu deviendras un dirigeant, tu seras inévitablement tout comme les autres faux dirigeants pseudo-spirituels. Tu te « cloîtreras pour te cultiver de façon exclusive », faute de quoi tu éprouveras un sentiment de crise et tu n’auras rien à prêcher. Si tu es juste comme eux, et si tu prêches depuis le sommet de la hiérarchie, tu es incapable de découvrir le moindre problème dans le travail, et naturellement, tu es également incapable de résoudre le moindre problème, alors tu seras inévitablement un faux dirigeant. Et finalement, qu’arrive-t-il aux faux dirigeants ? Ils sont démis de leur fonction parce qu’ils ne sont pas capables de faire du vrai travail – ils ne peuvent qu’emprunter ce chemin.
Beaucoup de gens sont constamment indignés et prêts à faire un geste dans leur cœur, et chaque fois qu’il s’agit de choisir un dirigeant ou un superviseur, ils veulent toujours être la personne qui sera choisie. Certains pensent qu’ils croient en Dieu depuis plus longtemps, qu’ils ont enduré le plus grand nombre de difficultés, qu’ils ont accompli leur devoir depuis plus longtemps et de la manière la plus loyale, et qu’ils sont les plus éligible à la fonction de dirigeant, et c’est la raison pour laquelle ils veulent que les autres les choisissent. Que seront-ils capables de faire si les autres les choisissent ? Seront-ils capables d’éviter d’obtenir le titre de faux dirigeant ? Seront-ils capables d’assumer les responsabilités de dirigeants et d’ouvriers ? Tous ces problèmes se posent réellement, mais personne ne réfléchit à ce genre de choses. Parmi ces gens, certains sont d’un calibre suffisant. Ils savent chercher la vérité lorsque leur devoir leur pose des problèmes, et lorsqu’ils comprennent la vérité et qu’ils sont capables de gérer les choses conformément aux principes, ils respectent les normes. Si ces gens comprennent la vérité, aiment la vérité et sont capables de poursuivre la vérité, et si, en outre, ils ont une humanité relativement bonne, ils n’auront aucun problème à devenir des dirigeants et des ouvriers qui respectent les normes – cela ne leur sera pas très difficile. Certains se plaignent toujours que leur travail est difficile, ils ne sont pas prêts à faire des efforts ou à payer de leur personne lorsqu’il s’agit de la vérité, et ils rouspètent lorsqu’ils sont émondés. De telles personnes peuvent-elles être des dirigeants et des ouvriers qui respectent les normes ? Leurs intentions et leur attitude sont tout simplement mauvaises, ce ne sont pas des gens qui poursuivent la vérité, et peu importe ce que Dieu exige d’eux, leur attitude reste négative. De telles personnes ne méritent pas d’être des dirigeants et des ouvriers. Elles n’ont aucun sens du fardeau dans leur cœur, et quelle que soit la clarté ou la lucidité avec laquelle les arrangements de travail de la maison de Dieu sont présentés, elles ne sont toujours pas disposées à se démener pour faire le travail correctement. En réalité, il n’est pas difficile de bien faire le travail. Pourquoi n’est-ce pas difficile ? Premièrement, la maison de Dieu prévoit des arrangements de travail spécifiques pour tout le travail de l’Église et le Supérieur a établi des stipulations précises à cet effet, de sorte qu’il ne vous est pas demandé de faire preuve d’innovation dans un aspect quelconque du travail ni d’accomplir celui-ci de façon indépendante. Le Supérieur vous a fixé un périmètre d’action et donné une direction, il vous a donné des principes et des normes minimales ; en faisant votre travail, vous ne brassez pas de l’air et vous avez une direction. Deuxièmement, pour tout aspect du travail, peu importe qui est le superviseur et que ce travail soit effectué à l’étranger ou localement, l’essentiel est que le frère Supérieur assure un suivi spécifique, dirige, supervise, contrôle et vérifie le travail, et demande régulièrement des informations. Dans quelle mesure ces actions sont-elles spécifiques ? Le frère Supérieur s’implique personnellement dans chaque scénario, chaque film, chaque programme, chaque hymne, etc., et en assure le suivi. Je m’implique également dans certains travaux, en vous donnant une direction générale et un cadre. Troisièmement, pour tout aspect du travail qui implique les vérités-principes, le Supérieur échange fréquemment avec vous sur les vérités-principes et dirige votre travail ; le Supérieur vous émonde également, effectue des vérifications pour vous, et à tout moment, le Supérieur corrigera vos distorsions. Quatrièmement, en ce qui concerne le personnel principal et le travail administratif, le Supérieur vous aide personnellement en procédant à des vérifications et en prenant des décisions. Le fait est que, quel que soit le travail que vous faites, vous ne l’effectuez pas de manière indépendante ; tout est organisé, dirigé et contrôlé par le Supérieur. Alors, que faites-vous ? Vous appréciez simplement les choses toutes prêtes – vous êtes tellement chanceux ! Vous n’avez pas besoin de vous préoccuper de quoi que ce soit ; il vous suffit de vous mettre au travail de toutes les façons possibles. C’est le travail qui vous incombe. Avez-vous déjà payé plus de votre personne ? (Non.) Le Supérieur a fait tout ce travail considérable et essentiel ; par conséquent, le travail que vous faites est très facile et ne comporte pas de difficultés particulières. Dans de telles circonstances, si les gens ne font toujours pas leur travail correctement, alors c’est inexcusable, et cela prouve qu’ils n’y mettent tout simplement pas leur cœur et qu’ils ne font pas d’efforts dans leur travail ou qu’ils ne s’acquittent pas de leurs responsabilités. Certains disent : « Qui n’a pas de lacunes en faisant son travail ? Les gens n’ont-ils pas le droit d’avoir des problèmes ? » Il ne vous est pas demandé d’obtenir une note parfaite dans votre travail ; il vous suffit d’obtenir une note minimale, et on considérera alors que vous avez rempli les responsabilités des dirigeants et des ouvriers. Cela est-il très exigeant ? (Non.) Il est facile d’obtenir une note minimale selon la direction et le contrôle du Supérieur ; cela dépend simplement de la sincérité avec laquelle les gens poursuivent la vérité. S’ils ne font aucun effort en faveur de la vérité, s’ils veulent rester négligents et s’ils se contentent de faire leur travail sans conviction, sans rien faire de mal, sans causer de perturbations ou d’interruptions et sans que rien ne vienne troubler leur conscience, alors ils ne peuvent pas obtenir la note minimale. La plupart des dirigeants et des ouvriers ont ce type d’attitude au travail : ils travaillent un peu, mais ne veulent pas s’épuiser, ils se contentent d’être juste médiocres, et en ce qui concerne les résultats de leur travail, ils pensent que c’est l’affaire de Dieu, pas la leur. Cette attitude est-elle acceptable ? S’ils adoptent une telle attitude, alors cela signifie que le travail qu’ils sont capables de faire est très limité et qu’ils ne s’y investissent pas pleinement, ce qui indique qu’ils ne sont pas capables de faire un vrai travail ou qu’ils ne font pas un vrai travail, et donc qu’il convient de les qualifier de faux dirigeants – c’est tout à fait approprié et cela n’est pas abusif. Certains disent toujours : « Tes exigences envers nous sont trop strictes. Si nous ne faisons pas ce travail, alors nous sommes de faux dirigeants, et si nous ne répondons pas à ces exigences, alors nous sommes aussi de faux dirigeants. Pour qui nous prends-Tu ? Nous ne sommes pas des robots, nous ne sommes pas parfaits. Nous sommes juste des gens ordinaires, nous sommes juste des mortels. Tu nous demandes d’être des gens ordinaires, des gens normaux, alors pourquoi as-Tu des exigences si strictes envers nous en tant que dirigeants ? » En fait, Mes exigences à votre égard ne sont pas strictes. Je te demande simplement d’assumer les responsabilités qu’un être humain devrait assumer. C’est quelque chose que tu devrais et que tu dois faire, et c’est quelque chose que tu peux accomplir en tant que dirigeant et ouvrier. Si, toutefois, tu ne t’efforces pas de tendre vers la vérité, si tu crains toujours les difficultés et si tu convoites toujours le confort, alors, peu importe tes raisons ou tes excuses, tu seras inévitablement un faux dirigeant. C’est comme les choses que les gens dotés d’une humanité normale doivent accomplir et que les adultes doivent gérer eux-mêmes, comme l’heure à laquelle un adulte doit se lever le matin, le nombre de repas qu’il doit prendre et le nombre d’heures qu’il doit travailler par jour, ainsi que le moment où il doit faire sa lessive – tu dois gérer ces choses toi-même, et il n’est pas nécessaire que tu interroges quelqu’un d’autre à leur sujet. Si tu interroges les gens sur tout et que tu ne comprends rien, cela ne signifie-t-il pas que ton intelligence est déficiente et que tu es un simple d’esprit ? Cela ne signifie-t-il pas que tu n’es pas capable de te prendre en charge ? Des gens comme ça peuvent-ils être des dirigeants ? Ne sont-ils pas de faux dirigeants ? De tels individus doivent être congédiés. De tels gens s’accrochent toujours à leur fonction et ne veulent pas démissionner, et ils veulent toujours être des dirigeants ! Après avoir été renvoyés, certains faux dirigeants se sentent lésés et ne cessent de pleurer. Ils pleurent au point d’avoir les yeux gonflés. Pourquoi pleurent-ils ? Ils ne savent pas qui ils sont. Lorsque Je dis que Mes exigences envers les gens ne sont pas très strictes, cela signifie qu’on te demande de faire ce que tu peux accomplir ; la voie a déjà été tracée pour toi, le champ d’action a été défini, les décisions ont été prises et il te suffit de passer à l’action. On peut comparer cela à la nourriture : les céréales, les légumes, toutes sortes de condiments, les casseroles et les poêles ont été préparés pour toi, et la seule chose que tu dois faire est d’apprendre à cuisiner ; c’est ce qu’un adulte est censé faire et accomplir. Si tu n’y parviens pas, alors tu es un simple d’esprit et tu ne peux pas être considéré comme un adulte dont l’intelligence est normale. Certains dirigeants ne sont pas capables de faire ce vrai travail et doivent donc être congédiés. Alors, comment déterminer si quelqu’un est capable de faire ce type de travail ? S’il possède l’intelligence et le calibre d’un adulte, ainsi que la rigueur et le sens des responsabilités qu’un adulte est censé posséder, alors il doit être capable de faire ce type de travail. S’il est incapable de le faire, ou s’il ne le fait pas, alors c’est un faux dirigeant. C’est ainsi que cette question est déterminée, et cette manière de procéder est appropriée. Il ne s’agit pas d’une condamnation ou du jugement d’une personne, alors est-ce sévère ? Tous les faits sont présentés, et cela n’est pas du tout sévère.
II. Les faux dirigeants dont le calibre est médiocre
Nous venons d’échanger sur les manifestations d’un type de faux dirigeants lorsqu’il s’agit de signaler et de chercher à résoudre rapidement la confusion et les difficultés rencontrées dans le travail, ainsi que les raisons pour lesquelles ces gens ne sont pas capables de remplir les responsabilités de dirigeants et d’ouvriers. De telles personnes sont pseudo-spirituels ; parce qu’elles sont incapables de déceler la confusion et les difficultés dans le travail, elles ne sont pas capables d’assumer cette responsabilité. C’est un type de personne. Il existe un autre type de personne : les personnes qui sont identiques aux pseudo-spirituels – elles ne sont pas non plus capables de déceler les problèmes rencontrés dans le travail, et c’est pourquoi elles ne sont pas capables de les signaler rapidement au Supérieur ni de chercher des solutions auprès de ce dernier. Ces gens sont également accaparés par le travail, ils sont occupés toute la journée, sans rester oisifs. Ils donnent des sermons, ils appellent les frères et sœurs qui se trouvent à divers endroits, ils procèdent à des arrangements pour le travail, et ils sont même chargés des achats de toutes sortes d’articles pour le travail de l’Église. Si quelqu’un est malade, ils l’aident à trouver un médecin ; si quelqu’un a des difficultés à la maison, ils lui apportent un soutien financier ; si quelqu’un va mal, ils prennent l’initiative de le soutenir et de l’aider activement à résoudre ses problèmes. En résumé, ils sont toujours occupés par un travail lié aux affaires courantes. Ils sont indifférents au réel travail de l’Église, au travail d’évangélisation et aux problèmes de la vie de l’Église. Chaque jour, ils sont épuisés à force de courir dans tous les sens, et ils sont très occupés par la gestion et la résolution des affaires de l’Église et des affaires privées des frères et sœurs. Ils pensent qu’en tant que dirigeants, ils doivent accomplir ces tâches, mais ils ne se rendent jamais compte de ce que représente le travail essentiel d’un dirigeant, et ils ont beau travailler dur, ils ne parviennent toujours pas à identifier les vrais problèmes cruciaux qui existent au sein de l’Église. Et ainsi, lorsque des perturbations et des obstacles surviennent dans la vie de l’Église, et lorsque le peuple élu de Dieu rencontre des difficultés au cours de l’entrée dans la vie, ces dirigeants ne sont pas capables de résoudre rapidement ces aspects. Même s’ils sont occupés par leur travail et qu’ils ne restent pas oisifs tous les jours, que peuvent-ils bien accomplir en étant si occupés ? Il existe de nombreux problèmes dans le travail de l’Église, mais ils ne sont pas capables de les déceler. En apparence, ils donnent l’impression d’être diligents, consciencieux et de ne pas être oisifs, pourtant, un problème survient après l’autre dans le travail, et ils sont occupés à réparer les défaillances, à résoudre toutes sortes de « problèmes complexes et difficiles » et à gérer tous types de personnes malfaisantes et de personnes qui causent des perturbations et des interruptions dans l’Église. Ils s’activent avec ce type de travail, mais ils ne sont pas capables de discerner les problèmes les plus basiques. Ils sont incapables de discerner clairement une bonne humanité d’une mauvaise humanité, un bon calibre d’un calibre médiocre, le fait de posséder un réel talent et de réelles connaissances et le fait d’avoir des dons. Ils ne sont pas non plus capables de percer à jour les types de personnes que la maison de Dieu cultive et les types de personnes qu’elle élimine, les gens qui poursuivent la vérité ou non, les gens qui sont disposés à faire leur devoir et ceux qui ne le sont pas, les gens qui sont susceptibles d’être perfectionnés pour faire partie du peuple de Dieu et ceux qui sont des exécutants, et ainsi de suite. Des problèmes de ce type surviennent souvent au sein de l’Église et cela a un impact sur l’avancement du travail de l’Église. Ce sont là les vrais problèmes, et pourtant ce type de dirigeant est incapable de les voir ou de les déceler, et il en est même totalement inconscient. Lorsque des gens malfaisants provoquent des perturbations et des interruptions, ils leur donnent une chance de faire l’objet d’une observation et de réfléchir sur eux-mêmes, alors que, quand d’autres personnes qui ne sont pas malfaisantes, commettent occasionnellement quelques petites erreurs parce qu’ils sont jeunes et ignorants et qu’ils agissent sans principes – des erreurs qui ne sont pas des questions de principe – ce type de dirigeant traite ces erreurs comme des péchés impardonnables et renvoie ces gens chez eux. Ce type de faux dirigeant est accaparé par le travail tous les jours et il donne l’impression de faire de gros efforts et de sacrifier beaucoup de son temps, mais, quelle que soit la façon dont il travaille, nul n’en tire un vrai bénéfice pour la vie. Peu importe les problèmes et les difficultés du peuple élu de Dieu, ce type de faux dirigeant est incapable de les résoudre en échangeant sur la vérité, et tout ce qu’il sait faire, c’est les exhorter avec un cœur aimant, et de prêcher des formules et des doctrines pour encourager le peuple élu de Dieu. Par conséquent, sous la direction de telles personnes, le peuple élu de Dieu n’en tire aucun bénéfice pour sa vie, il se contente de croire en Dieu et de faire ses devoirs avec enthousiasme, et n’atteint aucune entrée dans la vie – combien de temps peut-il continuer ainsi ? Résultat, certaines personnes sont souvent négatives et faibles et attendent toujours que le jour de Dieu arrive, et les visions deviennent de plus en plus floues pour elles, et lorsqu’elles rencontrent des problèmes, elles finissent par avoir des notions et se méprendre sur Dieu, et certaines en viennent même à douter de Dieu et à se prémunir contre Lui. Lorsque les faux dirigeants sont confrontés à ces problèmes, ils sont totalement incapables de les résoudre, et ils se contentent de les éviter. Ils ne lisent jamais les paroles de Dieu ni ne prient Dieu avec le peuple élu de Dieu pour chercher la vérité et résoudre les problèmes – ils n’accomplissent jamais ce travail. Chaque jour, ils se contentent de gérer les affaires courantes et certaines questions externes qui n’ont aucun rapport avec l’entrée dans la vie ou avec la vérité. Ils pensent que dans la mesure où ils sont occupés à faire des choses, alors cela signifie qu’ils font leur devoir et assument leurs responsabilités, et qu’ils ne peuvent en aucun cas être de faux dirigeants. En réalité, le fait de s’occuper de ces affaires courantes n’aide absolument pas les frères et sœurs à progresser dans la vie, et facilite encore moins l’entrée du peuple élu de Dieu dans la vérité-réalité. Dites-Moi, n’y a-t-il pas un problème avec le calibre de ce type de faux dirigeants ? Ils sont incapables de percer à jour quoi que ce soit, et ils pensent qu’à partir du moment où ils sont occupés à travailler, tous les problèmes disparaîtront simplement, et seront résolus de manière indirecte. Ces gens ne sont-ils pas extrêmement confus ? Leur calibre n’est-il pas vraiment médiocre ? Ils sont incapables de percer à jour quoi que ce soit, ils sont incapables de faire le moindre vrai travail, et c’est ce qui en fait de véritables faux dirigeants et de faux ouvriers. C’est une question des plus faciles à discerner.
Aujourd’hui, les faux dirigeants et les faux ouvriers sont présents dans toutes les églises. Ils comptent simplement sur leur enthousiasme pour faire leur travail et n’ont absolument aucune compréhension de la vérité. Ils ne savent pas en quoi consiste le travail d’un dirigeant ou d’un ouvrier, et ils sont tout aussi incapables d’échanger sur la vérité pour résoudre les problèmes – ils consacrent leurs journées seulement à régler quelques affaires courantes à l’aveuglette. Par exemple, supposons que l’Église ait besoin d’acheter un article. Il ne s’agit pas d’une lourde tâche ; il suffit de demander à une personne compétente dans le domaine concerné de faire cet achat. Cependant, un faux dirigeant, craignant de dépenser trop d’argent, a donc demandé à quelqu’un de se rendre à plusieurs endroits pour acheter l’article le moins cher. Le résultat est que la personne a acheté un produit bon marché qui s’est cassé seulement après quelques jours d’utilisation et qu’elle a dû en acheter un autre. Non seulement le faux dirigeant n’a pas économisé d’argent, mais, au contraire, il a fini par en dépenser plus. Cette façon de gérer les tâches respecte-t-elle les principes ? Pour faire ses achats, il n’est pas nécessaire de choisir une marque connue, mais il faut, au minimum, acheter un produit approprié et fonctionnel. Les faux dirigeants se préoccupent beaucoup des affaires courantes, et il n’y a rien de mal à cela. Cependant, ils ne prennent pas au sérieux le travail essentiel de la maison de Dieu, et c’est une grave erreur ; ils n’accomplissent pas le travail essentiel. Les aspects du travail tels que le travail d’évangélisation, le travail de production de films, le travail de rédaction, le travail de vidéo sur les témoignages d’expérience, et le travail d’ajustement des devoirs des dirigeants et des ouvriers, sont tous cruciaux, et pourtant, les faux dirigeants ne pensent pas que ces aspects soient importants, et ils les mettent de côté et les ignorent. Leur calibre est insuffisant et ils ne savent pas faire le travail, mais ils n’essaient pas non plus d’apprendre à le faire, ils se disent plutôt : « Tout va bien à partir du moment où quelqu’un est chargé de ce travail. On n’a certainement pas besoin de moi non plus, n’est-ce pas ? Je gère les travaux importants. Je n’ai pas besoin de me préoccuper de ces choses mineures. Une fois que je leur ai indiqué les principes, alors mon travail est terminé. » Les faux dirigeants donnent l’impression d’être très occupés, mais en regardant de plus près les choses sur lesquelles ils travaillent, on peut constater qu’aucune d’entre elles ne représente une partie essentielle du travail de l’Église, qu’aucune d’entre elles ne permet de subvenir aux besoins de la vie des gens, et qu’aucune d’entre elles n’implique de recourir à la vérité pour résoudre les problèmes. Les choses dont ils s’occupent n’ont aucune valeur, et ces faux dirigeants se contentent de s’occuper à l’aveuglette. Ils ne savent pas le travail que les dirigeants et les ouvriers doivent faire pour respecter les intentions de Dieu ; ils se contentent de se consacrer avec enthousiasme à certaines tâches qu’ils aiment faire. Ils se renseignent dans le détail sur des questions insignifiantes qui n’ont aucun rapport avec le travail de l’Église, tels que les vêtements portés par les frères et sœurs, leur coiffure, leurs relations avec les autres, leur façon de parler et de se comporter. Ils pensent ainsi qu’ils sont aimables et accessibles, et que la résolution des problèmes dans la vie réelle des gens est une chose qu’un dirigeant devrait faire, une chose que l’humanité normale devrait posséder. Et pourtant, ils ne prennent pas au sérieux le travail essentiel d’évangélisation, de production de films, d’hymnes, de rédaction, le travail administratif, le travail d’abreuvement des nouveaux croyants, le travail lié à la construction de nouvelles églises, le travail de promotion et de formation des gens, entre autres. Ils ne participent à aucun de ces travaux, et ils n’en font pas le suivi ; ils font comme si ce travail ne les concernait pas. Ces faux dirigeants ne résolvent pas les nombreux problèmes qui s’accumulent au sein de l’Église, ils ne congédient pas les faux dirigeants qu’ils devraient congédier, ils ne contrôlent ni ne gèrent les personnes malfaisantes qui font le mal et se déchaînent en faisant de mauvaises actions, et ils n’échangent pas sur la vérité pour résoudre les problèmes de certaines personnes qui sont superficielles, sans retenues et indisciplinées, et qui manquent d’enthousiasme dans l’accomplissement de leurs devoirs. Quel est ce problème ? Ils ne cherchent pas la vérité pour résoudre ces vrais problèmes – ces gens-là font-ils un travail réel ? Les tâches insignifiantes et non pertinentes qu’ils accomplissent leur semblent cruciales et importantes dans leur cœur. Ils s’occupent à ces choses sans valeur toute la journée, en croyant assumer leurs responsabilités avec loyauté, mais ils ne traitent pas le moindre aspect essentiel du travail que Dieu leur a confié – ces gens ne sont-ils pas de faux dirigeants ? Ils occupent des fonctions équivalentes à celles de directeurs de sous-districts dans la société, ils ne sont que la mouche du coche – sont-ils encore les dirigeants et les ouvriers de la maison de Dieu ? Ce sont de véritables faux dirigeants et faux ouvriers. Pour quelle raison ces individus sont-ils qualifiés de faux dirigeants et de faux ouvriers ? (Parce que leur calibre est trop médiocre, parce ce qu’ils sont incapables de faire un réel travail, et que tout ce qu’ils peuvent faire, c’est gérer quelques affaires insignifiantes.) C’est la raison spécifique. Le calibre de ces gens est trop médiocre ; peu importe le nombre de sermons qu’ils écoutent, le nombre d’arrangements de travail qu’ils lisent, depuis combien de temps ils font leur devoir dans la maison de Dieu, ou depuis combien de temps ils sont dirigeants, ils ne savent jamais ce qu’ils font, si ce qu’ils font est bien ou mal, ou s’ils assument les responsabilités qu’ils devraient assumer. Leur définition de la qualification et du titre de dirigeant et d’ouvrier est la suivante : tout va bien tant qu’il est occupé. Tel un âne qui tourne une meule, ces dirigeants continuent d’avancer jusqu’à ce qu’ils ne puissent plus rien faire, et ils considèrent que c’est ainsi qu’ils assument leurs responsabilités. Peu importe la direction dans laquelle ils avancent, et peu importe si l’énergie qu’ils déploient est correcte ou non, à leurs yeux, ils s’acquittent de leurs responsabilités. Ils sont incapables de percer à jour de nombreux problèmes, et ils n’essaient pas de les résoudre ou de les signaler au Supérieur et de chercher des solutions auprès de ce dernier. Peu importe depuis combien d’années ils travaillent ou sont en contact avec les autres, ils ne savent même pas si les manifestations d’une personne sont celles d’un nouveau croyant dont la foi a un fondement superficiel et qui ne comprend pas la vérité, ou si ces manifestations correspondent à celles d’un incrédule, et ils ne savent pas non plus comment ils doivent les discerner ou les caractériser. Lorsque deux personnes sont toutes les deux dans un état négatif, ils ne savent pas laquelle mérite d’être cultivée et laquelle ne le mérite pas ; lorsque deux personnes font leurs devoirs avec une certaine négligence, ils ne savent pas laquelle cherche la vérité et laquelle est une exécutante, laquelle est capable d’entrer dans la vérité-réalité et laquelle n’a pas la vérité-réalité. Ils ne savent pas quelles sont les personnes qui suivront potentiellement le chemin des antéchrists lorsqu’elles seront devenues des dirigeants, même s’ils les ont côtoyées pendant des années. Peu importe le nombre d’activités sans intérêt auxquels ils se livrent, le nombre de travaux superflus qu’ils accomplissent ou le nombre de problèmes qui se posent dans leur entourage, ils n’en ont pas conscience et ne comprennent pas qu’il s’agit de problèmes. Parce que de telles personnes sont de calibre médiocre, que leurs idées sont confuses et qu’elles sont incapables d’accomplir le travail, il leur est très difficile de remplir les responsabilités d’un dirigeant ou d’un ouvrier. En dehors de leur capacité à gérer quelques affaires courantes simples, ces dirigeants et ces ouvriers sont incapables de faire quoi que ce soit en lien avec le travail essentiel de l’Église, et elles ne sont pas capables de voir ou de résoudre un quelconque réel problème lié au travail. Ce type de dirigeant avec un tel calibre mérite-t-il d’être cultivé ? Ces dirigeants ignorent même l’existence de la confusion ou des difficultés, et ils sont encore moins capables de les gérer conformément aux principes. Même si les problèmes rencontrés dans le travail de l’Église sont des plus communs, ils sont toujours incapables de les synthétiser et de les catégoriser, et ils ne savent pas non plus échanger sur la vérité pour les résoudre – ce type de faux dirigeants sont toujours incapables de gérer ou de résoudre ces problèmes qui surviennent souvent dans l’Église. Leur plus grand problème ne réside pas dans le fait qu’ils ne veulent pas payer de leur personne, ou qu’ils craignent d’être débordés et de se sentir fatigués, mais plutôt dans le fait qu’ils ont un calibre médiocre, un esprit troublé, et qu’ils ne sont pas capables de faire le travail important et le travail réel de l’Église. Ils se contentent plutôt de gérer quelques affaires courantes ou se réjouissent de s’occuper de choses non pertinentes, et puis ils veulent jouer le rôle de dirigeants et d’ouvriers – ces gens ne sont-ils pas confus et n’ont-ils pas des ambitions et des désirs démesurés ? Les dirigeants de calibre médiocre sont manifestement incapables de faire le travail essentiel de l’Église, un travail qui implique les vérités-principes, ou un travail professionnel compliqué, tel que le travail de diffusion de l’Évangile, le travail d’abreuvement des nouveaux croyants de l’Église, le travail de production de films, le travail de rédaction, et le travail de gestion du personnel impliquant des dirigeants et des ouvriers à divers niveaux. Pourquoi sont-ils incapables de faire ce travail ? Parce que leur calibre est trop médiocre et qu’ils ne parviennent pas à saisir les principes ; ils sont manifestement incapables de faire tout ce travail et d’apprendre à le faire. Supposons par exemple qu’on demande à un dirigeant de ce type de répartir le travail entre cinq personnes en fonction de leur niveau d’éducation, de leur calibre, de leurs points forts et de leur caractère. Cette tâche est-elle facile à accomplir ? Cela a-t-il un quelconque rapport avec le calibre des dirigeants et des ouvriers ? (Oui.) Les dirigeants et les ouvriers de calibre moyen répartiront le travail de manière relativement précise après avoir pris le temps d’observer les cinq personnes, de les côtoyer et d’apprendre à les connaître. Les dirigeants et les ouvriers de calibre médiocre penseront que cinq personnes, c’est trop ; lorsqu’il y a trop de gens, ils sont perdus et ne savent pas comment leur assigner le travail, et même s’ils leur assignent le travail, ils ne sauront pas, au fond de leur cœur, s’ils le font de manière appropriée ou non. Cet aspect est lié à la gestion du personnel. En ce qui concerne la gestion des affaires, par exemple, s’ils doivent gérer et résoudre deux ou trois affaires simultanément, ils ne sauront pas juger et discerner le lien entre ces affaires, et ne seront pas capables d’évaluer le problème qu’ils doivent résoudre en priorité, et le problème qui peut être résolu ultérieurement, sans que cela cause de retard. En d’autres termes, ils ne savent pas peser le pour et le contre, ils ne savent pas hiérarchiser les tâches par ordre d’importance et d’urgence, et ils ne savent pas résoudre les problèmes. Cependant, parce que ce sont des dirigeants et des ouvriers, même s’ils ne comprennent pas certaines choses, ils doivent faire semblant de les comprendre, même s’ils ne saisissent pas certaines choses, ils doivent également faire semblant de les saisir, et ils ne savent rien faire d’autre sinon s’accrocher et prêcher quelques doctrines pour faire de leur mieux, et exprimer quelques paroles agréables et conclure les choses à la hâte. Ils savent parfaitement si ce qu’ils disent est exact ou non, si cela est conforme aux principes ou non, si cela peut résoudre les problèmes ou non, mais ils veulent seulement se tirer d’affaire. Ils savent très bien qu’ils ne seront pas capables de résoudre les problèmes en agissant ainsi, mais ils ne signalent toujours pas ces problèmes au Supérieur, et ils finissent par causer des retards dans le travail et par être congédiés. Dites-Moi, ces gens ne sont-ils pas stupides ? Lorsque certains dirigeants et ouvriers signalent des problèmes, ils relatent tous les événements anciens et sans importance qui se sont déroulés jusqu’à présent, et après tout ce qu’ils ont dit, tu dois encore les aider à analyser et à juger les problèmes actuels. Ils ne comprennent même pas comment soulever une question et sont capables de parler pendant des heures sans expliquer clairement en quoi consistent le cœur et l’essence d’une question. Tout ce qu’ils disent concerne des choses superficielles et est tout simplement absurde ! Cette situation n’est-elle pas due au fait que leur calibre est trop médiocre et qu’ils n’ont pas toutes les cartes en main ? Les gens qui ont du calibre sont-ils prêts à écouter ce genre de choses ? La personne à laquelle ils s’adressent veut simplement connaître la situation actuelle et les manifestations de la personne qui fait l’objet de leur rapport, ainsi que l’état de confusion dans lequel ils se trouvent et qu’ils sont incapables de résoudre. Et pourtant, ces gens parlent toujours du travail fait par cette personne dans le passé, et ils ne parlent pas de la situation actuelle de cette personne, ou de la confusion et des problèmes qu’ils rencontrent eux-mêmes. Ils disent un tas de choses, et personne ne peut dire exactement de quoi ils parlent. Même s’ils veulent poser une question, ils ne savent pas par où commencer, ils ne savent pas la formuler de manière efficace et permettre aux gens de les comprendre – ils ne sont même pas capables de structurer leurs propos. N’est-ce pas là une manifestation de quelqu’un qui a un calibre extrêmement médiocre ? Certains faux dirigeants ont un calibre médiocre, et lorsqu’ils signalent un problème, ils disent un tas de choses absurdes et inintelligibles, et ensuite, ils se disent : « Je t’ai donné suffisamment d’informations, n’est-ce pas ? Je t’ai même raconté tout ce qui s’est passé et tout ce qui se passe actuellement à propos de ce problème, alors ne peux-tu pas me dire maintenant quelle est la question que je veux poser ? » Peu importe ce que tu leur demandes ou comment tu les guides, ils ne savent pas ce qu’ils doivent dire et sont incapables d’exprimer le point central de la question. Ce n’est pas qu’ils manquent de mots pour s’exprimer ou que leur niveau d’éducation est insuffisant, mais plutôt que leur calibre est médiocre et qu’ils sont écervelés, au point de ne pas être capables d’exprimer ces choses ; ils ont l’esprit confus et ils ne savent pas comment s’expliquer clairement pour se faire comprendre des autres. Ils ont un certain sens du fardeau et, au fil du temps, ils prennent conscience de certains problèmes, mais ils ne savent pas les exprimer, ils ne sont pas capables de saisir l’essence des problèmes, et encore moins de les synthétiser. Des gens d’un calibre aussi médiocre sont-ils à même de faire le travail ? Peuvent-ils assumer les responsabilités de dirigeants et d’ouvriers ? Non, ils ne le peuvent pas. Même si tu leur donnes du temps et des opportunités et que tu leur permets de signaler et de décrire les problèmes, ils sont incapables de le faire, alors peux-tu encore avoir une conversation avec de telles personnes ? Peuvent-ils encore être employés ? (Non.) Pourquoi ne peuvent-elles pas être employées ? Elles ne peuvent même pas parler clairement et n’ont pas le moindre instinct d’un être humain pour utiliser le langage leur permettant d’exprimer leurs pensées, leurs idées et leur attitude, alors quel travail peuvent-elles faire ? Bien qu’elles aient quelques points forts, un véritable enthousiasme, un certain sens des responsabilités et un cœur assez intègre, leur calibre est trop médiocre, elles sont incapables d’apprendre quoi que ce soit peu importe la façon dont tu leur enseignes, et même si tu leur apprends à parler, elles ne s’en sortiront pas, ce qui t’énervera et te mettra en colère. Lorsqu’elles parlent, leurs propos sont désordonnés et te laissent confus ; elles sont incapables de dire quelque chose clairement et leurs propos ne sont qu’un tissu de non-sens. Le plus pitoyable est le fait qu’elles ne comprennent pas le langage humain et qu’elles continuent pourtant d’agir à l’aveuglette, qu’elles se croient encore compétentes et qu’elles se rebellent lorsque tu les émondes. Comment peuvent-elles faire correctement le travail d’un dirigeant ? Lorsque le calibre d’un dirigeant ou d’un ouvrier est médiocre au point que ce dernier est incapable de s’exprimer dans le langage courant, peut-il encore être compétent dans son travail ? (Non.) Et que signifie le fait de ne pas être compétent dans son travail ? Cela signifie que la personne est incapable de déceler les difficultés et les problèmes rencontrés dans le travail, et bien sûr, cela signifie que quels que soient les problèmes qui surviennent dans le travail, elle ne peut jamais les résoudre rapidement ni les signaler immédiatement au Supérieur et chercher des solutions auprès de ce dernier – c’est trop difficile pour elle, et elle est incapable de le faire. Dans le cas de personnes comme celle-ci, qui possèdent un calibre médiocre, ce travail est extrêmement difficile pour elles ; cela revient à essayer de faire tenir un canard sur un perchoir ou de faire danser un âne – c’est extrêmement laborieux.
Certains disent : « Je me sens mal à l’aise vis-à-vis de ces personnes. Elles s’affairent à toutes sortes de tâches et finissent par être qualifiées de faux dirigeants à cause de la médiocrité de leur calibre. Alors, cela signifie-t-il que les souffrances qu’elles ont endurées ont toutes été en vain ? Cela ne revient-il pas à traiter les gens de manière injuste ? » Congédier les faux dirigeants consiste à assumer la responsabilité du peuple élu de Dieu et celle inhérente au travail de l’Église, alors comment peut-on parler d’un traitement injuste envers ces personnes ? Si ces gens insistent sur le fait de permettre aux faux dirigeants de continuer à jouer leur rôle de dirigeants, cela ne nuit-il pas au peuple élu de Dieu ? Veulent-ils dire que le fait de nuire au peuple élu de Dieu ne consiste pas à traiter les gens de façon injuste ? En congédiant un faux dirigeant, la maison de Dieu ne condamne pas ce faux dirigeant, ni ne l’envoie en enfer, mais lui donne plutôt une chance d’atteindre le salut. Peut-il atteindre le salut s’il continue de se comporter en faux dirigeant ? En définitive, quelle sera son issue ? Pourquoi ces faux dirigeants ne considèrent-ils pas la question de cette manière ? En outre, quel est le but de la croyance en Dieu ? Le fait de devenir un dirigeant n’est évidemment pas la seule façon d’avancer ! N’y a-t-il pas d’autres devoirs à faire pour quelqu’un qui n’est pas dirigeant ? N’existe-t-il pas un chemin de la survie pour ceux qui ne sont pas dirigeants et dont le calibre est médiocre ? (Non, ce n’est pas vrai.) Alors, quel est le chemin de pratique ? Ce que nous disséquons à présent, ce sont les manifestations et les problèmes qui existent chez ce type de faux dirigeant de calibre médiocre ; nous ne les condamnons ni ne les maudissons, nous les examinons simplement. Le but de cette analyse est d’inciter ce type de personne à se connaître avec précision et à s’orienter, à savoir s’évaluer, et à comprendre exactement les caractéristiques des dirigeants et des ouvriers, le travail que ces derniers doivent faire, puis à comparer ces aspects avec les leurs pour savoir s’ils sont aptes à être des dirigeants ou des ouvriers. Si leur calibre est vraiment très médiocre, au point de ne pas être capables de s’exprimer dans le langage courant, d’exprimer leurs pensées et leurs points de vue, ou de déceler les problèmes, alors ils ne sont pas aptes à être des dirigeants ou des ouvriers, ils ne sont pas compétents pour faire le devoir d’un dirigeant ou d’un ouvrier, et ils sont incapables de faire le travail d’un dirigeant ou d’un ouvrier. Et puisqu’ils sont de calibre médiocre, ils doivent avoir ce type de conscience de soi. Certains disent : « Mon calibre est médiocre, bon, et alors ? J’ai une bonne humanité, alors je devrais être un leader. » Est-ce le principe ? D’autres disent : « Outre le fait d’avoir une bonne humanité, je suis également prêt à endurer la souffrance et à payer de ma personne, je peux prêcher des sermons, ma foi est bien établie et j’ai été emprisonné à cause de ma croyance en Dieu. Ces choses ne constituent-elles pas un capital me permettant de devenir un dirigeant ou un ouvrier ? Le fait de devoir posséder un capital pour être un dirigeant ou un ouvrier reflète-t-il la vérité ? (Non.) Nous discutons actuellement des responsabilités des dirigeants et des ouvriers et, à ce propos, nous parlons de la question du calibre. Si leur calibre est médiocre et qu’ils ne sont pas capables d’assumer ces responsabilités, alors la conscience de soi qu’ils devraient avoir est la suivante : « Je n’ai pas ce calibre et je ne peux pas être un dirigeant ou un ouvrier. « Quel que soit mon capital, il ne sert à rien. » Ils disent qu’ils ont une bonne humanité, qu’ils sont fiables, qu’ils sont déterminés à endurer la souffrance et qu’ils sont prêts à payer de leur personne – alors, la maison de Dieu les a-t-elle traités de manière injuste ? La maison de Dieu emploie les gens de telle sorte que chacun soit employé à sa juste valeur, en adaptant les rôles de chacun, et ce de manière simplement juste. Si ces personnes ont une bonne humanité, mais que leur calibre est médiocre, alors elles doivent faire leur devoir correctement, avec tout leur cœur et de toutes leurs forces ; une personne ne doit pas être un dirigeant ou un ouvrier dans le but d’être approuvée par Dieu. Même si ces personnes sont prêtes à faire des efforts, elles ne sont pas capables de se donner autant de mal qu’un dirigeant doit le faire, et elles ne possèdent pas le calibre qu’elles devraient posséder pour être un dirigeant, et elles ne sont pas à la hauteur sur ce plan, alors que peuvent-elles faire ? Elles ne doivent pas se forcer ou se compliquer la tâche ; si elles sont capables de porter 25 kilos, alors elles doivent porter 25 kilos. Elles ne doivent pas essayer de se mettre en valeur en dépassant leurs limites, en disant : « 25 kilos, ce n’est pas suffisant, je veux en porter encore plus. Je veux porter 50 kilos. Je suis prête à le faire même si je meurs d’épuisement ! » Ces personnes ne sont pas aptes à être un dirigeant ou un ouvrier, mais si elles continuent de dépasser leurs limites pour se mettre en valeur, même si elles ne s’épuisent pas, elles causeront des retards dans le travail de l’Église, elles affecteront l’avancement et l’efficacité du travail, et elles retarderont la croissance de vie de nombreuses personnes – elles ne peuvent pas se permettre d’assumer cette responsabilité. Parce que leur calibre est insuffisant, si elles ont conscience d’elles-mêmes, elles devraient proposer, de manière proactive, de démissionner et de nommer quelqu’un de bon calibre, qui aime la vérité, et qui est plus responsable qu’elles en tant que dirigeant ou ouvrier. Ce serait la chose la plus raisonnable à faire, et c’est seulement en agissant ainsi que ces personnes auraient une réelle humanité et une raison, et qu’elles comprendraient la vérité et la pratiqueraient. Si elles démissionnent de leur fonction parce qu’elles sont incapables de faire le travail d’un dirigeant, et qu’elles choisissent ensuite un devoir qui leur convient et qu’elles se montrent loyales pour être approuvées par Dieu, alors elles sont d’une intelligence exceptionnelle. Ces gens pensent toujours : « Même si mon calibre est médiocre, j’ai une bonne humanité, je suis prêt à me donner du mal, à endurer la souffrance et à payer de ma personne, je suis déterminé, je suis plus résilient que vous tous dans tout ce que je fais, je suis ouvert d’esprit et je ne crains pas d’être émondé ou mis à l’épreuve. Même si mon calibre est un peu médiocre, je peux tout de même être un dirigeant. » Le fait d’avoir un calibre médiocre ne pose pas de problèmes. Il ne s’agit pas de condamner ces personnes, mais simplement de les catégoriser et de leur faire comprendre clairement et avec précision ce qu’elles sont capables de faire et à quel type de devoir elles sont aptes. Cependant, le problème actuel est que leur calibre est médiocre et qu’elles ne sont pas capables d’être un dirigeant ou un ouvrier. Bien qu’elles aient été élues pour être dirigeant ou ouvrier, elles ne sont pas aptes à faire ce travail correctement, et la seule chose qu’elles sont capables de faire est de le gâcher. Si ces gens ont une bonne humanité, s’ils ont une conscience et une raison, et s’ils sont prêts à se donner du mal et à payer de leur personne, alors ils seront aptes à occuper une fonction et à faire un devoir, et la maison de Dieu fera des arrangements raisonnables pour eux. Le fait de ne pas leur permettre d’être un dirigeant repose sur les règles et les principes de la maison de Dieu. Cependant, la maison de Dieu ne leur refusera absolument pas le droit de faire un devoir ou le droit de croire en Dieu et de Le suivre parce qu’ils sont de calibre médiocre. N’est-ce pas approprié ? (Si.) Est-il nécessaire pour nous d’échanger sur cette question de manière plus détaillée ? Certaines personnes de faible calibre entendent cela et se disent : « N’échange plus sur ce sujet. J’ai trop honte de faire face à qui que ce soit. Je sais que je suis de médiocre calibre, et je ne serai plus un dirigeant d’église ou un ouvrier. Je serai simplement responsable d’équipe ou superviseur, sinon, je ferai des petits boulots, de la cuisine ou du ménage. Tout me convient. J’assumerai les difficultés liées à ma fonction sans me plaindre, je me soumettrai aux arrangements de la maison de Dieu et aux orchestrations de Dieu. Le fait que je sois de médiocre calibre relève de la grâce de Dieu, et les bonnes intentions de Dieu y participent. Tout ce que Dieu fait est juste. » Si ces personnes peuvent voir les choses de cette manière, alors c’est bien, et cela signifie qu’elles ont une certaine conscience d’elles-mêmes. Je n’échangerai pas longuement sur cette question. En résumé, en ce qui concerne ces personnes de calibre médiocre, nous nous contentons de disséquer le problème et d’exposer la vérité des faits pour que plus de gens adoptent un état d’esprit et une perspective corrects envers ces gens, et pour que ces derniers adoptent également un état d’esprit et une perspective corrects par rapport à la médiocrité de leur propre calibre, et pour qu’ils puissent alors s’orienter correctement, trouver un poste et un devoir qui leur conviennent, et qui leur permettront de payer de leur personne grâce à leur persévérance et à leur détermination à endurer la souffrance, en vue de les mettre à contribution et de les faire participer de façon raisonnable. Cela est sans conséquences sur leur compréhension de la vérité et leur pratique de la vérité, et ne porte pas préjudice à leur image dans la maison de Dieu.
III. Les faux dirigeants qui sont paresseux et qui se complaisent dans le confort.
Nous venons juste d’échanger sur deux types de faux dirigeants. Il existe un autre type de faux dirigeant, dont nous avons souvent parlé lors de notre échange sur le thème « responsabilités des dirigeants et des ouvriers ». Ce type de dirigeant a un certain calibre, il n’est pas dépourvu d’intelligence ; dans son travail, il applique des moyens et des méthodes, des plans pour résoudre les problèmes, et quand on lui confie une tâche, il est capable de la mettre en œuvre au plus près des normes attendues. Ils sont aptes à déceler tous les problèmes qui surviennent dans le travail et ils peuvent résoudre certains d’entre eux ; lorsqu’ils entendent parler de problèmes signalés par certaines personnes, ou lorsqu’ils observent le comportement, les manifestations, les paroles et les actions de certains, ils ont une réaction dans leur cœur, et ils ont leur propre opinion et une certaine attitude. Bien sûr, si ces gens poursuivent la vérité et ont le sens du fardeau, alors tous ces problèmes peuvent être résolus. Cependant, les problèmes ne sont étonnamment pas résolus dans le travail sous la responsabilité du type de personnes sur lesquelles nous échangeons aujourd’hui. Pourquoi en est-il ainsi ? Parce que ces gens ne font pas de réel travail. Ils aiment la facilité et haïssent le travail acharné, en apparence, ils se contentent de faire des efforts superficiels, ils aiment être oisifs et bénéficier des avantages du statut, ils aiment donner des ordres aux autres, et ils ouvrent juste un peu la bouche pour faire quelques suggestions, puis ils considèrent que leur travail est fait. Ils ne prennent jamais à cœur le travail concret de l’Église ou le travail essentiel que Dieu leur confie – ils n’ont pas ce sens du fardeau, et même si la maison de Dieu insiste constamment sur ces aspects, ils ne les prennent toujours pas à cœur. Par exemple, ils ne veulent pas intervenir ou se renseigner sur le travail de production de films ou sur le travail textuel de la maison de Dieu, pas plus qu’ils ne veulent se pencher sur la façon dont ces types de travail se déroulent et les résultats qu’ils obtiennent. Ils se contentent de s’informer indirectement, et lorsqu’ils savent que les gens sont occupés par ce travail et qu’ils le font, ils ne s’en préoccupent pas davantage. Même quand ils ont parfaitement conscience des problèmes qui se posent dans le travail, ils ne veulent toujours pas échanger sur ces derniers et les résoudre, ni s’enquérir de la façon dont les gens font leurs devoirs. Pourquoi ne se renseignent-ils pas ou ne s’intéressent-ils pas à ces choses ? Ils pensent que s’ils s’y intéressent, ils devront résoudre de nombreux problèmes, et que ce sera trop préoccupant pour eux. La vie serait nettement trop épuisante s’ils devaient constamment résoudre des problèmes ! S’ils s’inquiètent trop, la nourriture n’aura plus de goût pour eux, ils ne trouveront plus le sommeil, leur chair se fatiguera et la vie deviendra insupportable. C’est pourquoi, lorsqu’ils voient un problème, ils l’évitent, voire l’ignorent s’ils le peuvent. Quel est le problème de ce type de personnes ? (Elles sont trop paresseuses.) Dites-Moi, quels sont ceux qui ont le problème le plus sérieux : les gens paresseux ou les gens de faible calibre ? (Les gens paresseux.) Pourquoi les gens paresseux ont-ils un sérieux problème ? (Les gens de faible calibre ne peuvent pas être dirigeants ou ouvriers, mais ils peuvent être quelque peu efficaces quand ils font un devoir dans leurs capacités. Cependant, les gens qui sont paresseux ne peuvent rien faire ; même s’ils ont effectivement du calibre, cela ne change rien.) Les gens paresseux ne peuvent rien faire. Pour le résumer en deux mots, ce sont des personnes inutiles, ce sont des handicapés de seconde zone . Le calibre des gens paresseux aura beau être bon, il n’est rien d’autre que de la poudre aux yeux ;même si leur calibre est bon, il est inutile. Ils sont trop paresseux, ils savent ce qu’ils sont censés faire, mais ils ne le font pas, et même s’ils savent qu’il y a un problème, ils ne cherchent pas la vérité pour le résoudre, et bien qu’ils connaissent les difficultés qu’ils doivent surmonter pour que le travail soit efficace, ils sont réticents à endurer ces souffrances louables. En conséquence, ils ne peuvent gagner aucune vérité, et ils ne peuvent pas faire de travail concret. Ils ne désirent pas endurer les difficultés que les gens sont supposés endurer. Ils ne savent que profiter du confort, jouir des moments de joie et de loisir, et jouir d’une vie libre et paisible. Ne sont-ils pas inutiles ? Les gens qui ne sont pas capables d’endurer des difficultés ne méritent pas de vivre. Ceux qui souhaitent constamment vivre l’existence d’un parasite sont des gens dépourvus de conscience et de raison. Ce sont des bêtes , et de telles personnes sont inaptes à même accomplir un travail. Puisqu’ils ne sont pas capables d’endurer des difficultés, même quand ils accomplissent un travail, ils ne sont pas capables de le faire correctement, et s’ils désirent gagner la vérité, il y a encore moins d’espoir à ce sujet. Quelqu’un qui ne peut pas souffrir et n’aime pas la vérité est une personne inutile, elle est non qualifiée même pour accomplir un travail. C’est une bête, sans une once d’humanité. De telles personnes doivent être éliminées ; seulement ceci est en accord avec les intentions de Dieu.
Certains sont responsables des travaux agricoles et sont particulièrement assidus ; ils ont un plan en tête et ils savent le travail qu’ils doivent faire à chaque saison. Au moment de labourer les champs, ils se rendent sur chaque parcelle et y jettent un œil. Ils comparent ce qu’ils ont prévu de planter dans chaque parcelle de terre avec l’état réel de la parcelle, et vérifient si leur plan est approprié et s’il convient à la situation réelle. En outre, ils observent l’humidité des sols de cette année, ils définissent les éventuels besoins en engrais et les cultures adaptées. Une fois qu’ils ont examiné ces éléments et qu’ils en ont une bonne compréhension, ils se renseignent immédiatement pour savoir si des semis ont été cultivés et en quelle quantité, puis ils se rendent à la serre pour y jeter un œil et voir si la personne qui cultive les semis est fiable ou si elle les abîmera. Si une personne ne suffit pas pour faire ce travail, ils désignent une autre personne pour travailler avec elle, et les deux se supervisent mutuellement. Les gens paresseux feront-ils cela ? Non, ils ne le feront pas. Si personne ne les supervise et ne les stimule, ils ne se rendront jamais sur le site en personne ; si la maison de Dieu ne se renseigne pas sur l’avancement d’un travail, alors ils ne prendront aucune initiative pour contrôler la situation concrète de ce travail. Dans le cas des personnes de calibre médiocre, peu importe ce qu’elles font, elles le font toujours elles-mêmes, mais elles sont incapables de distinguer ce qui est urgent et important de ce qui ne l’est pas, et elles se contentent d’agir à l’aveuglette. Même si ces gens paresseux sont suffisamment intelligents, quoi qu’ils fassent, ils adorent parler et ordonner aux autres de faire le travail ; ils ne font jamais rien eux-mêmes ni ne sont capables de faire un travail concret. Ils se disent : « Il me suffit de téléphoner ou d’envoyer un message pour poser quelques questions, et mon boulot est fait, le problème est résolu. Cela m’évite tellement d’ennuis ! Regardez mon niveau de calibre de dirigeant. Je peux terminer le travail en prononçant seulement quelques paroles – n’est-ce pas également ainsi que j’assume mes responsabilités ? Je ne faillis pas à mes devoirs. Si le Supérieur me pose des questions à ce sujet, je peux lui répondre très facilement et lui fournir une explication claire. À quoi bon aller sur le terrain et observer ce qui s’y passe ? Je devrais endurer des difficultés et des souffrances, et ma peau foncerait au soleil. Il n’est pas nécessaire de passer par cette formalité. Si je peux m’épargner des ennuis, alors je le ferai. Il n’est pas nécessaire que je me complique autant la tâche. » Ces personnes ne sont-elles pas suffisamment « intelligentes » ? Dans le travail, ce type de personne est particulièrement douée pour arrondir les angles afin d’atteindre son but et de trouver des solutions de repli, et elle a ses astuces et ses méthodes. Elle ne fait rien elle-même ni ne participe à quoi que ce soit. Elle se contente de téléphoner pour poser des questions, de faire les choses sans conviction, et dès qu’elle raccroche le téléphone, elle va au lit ou se fait masser et commence à s’adonner aux plaisirs de la chair. Ce type de personnes savent vraiment « faire le travail », elles savent parfaitement trouver les occasions d’être oisives faire les choses à moitié et duper les gens ! À quoi cela sert-il d’avoir si peu de calibre ? Ces personnes sont comme les fonctionnaires du parti communiste, qui se contentent de boire du thé et de lire le journal en arrivant au travail, et qui pensent à ce qu’ils vont manger et où ils vont se rendre pour se distraire avant même la fin de la journée de travail – la vie est réellement agréable pour eux. C’est le principe auquel ce type de faux dirigeant adhère également dans son travail ; il ne souffre d’aucune difficulté, il n’endure aucun épuisement, et pourtant, il agit comme un fonctionnaire et bénéficie des avantages du statut, et la plupart des frères et sœurs ne sont pas capables de voir que c’est un problème. C’est ainsi que ce type de faux dirigeants travaillent, ils ne font pas de travail concret, et ils ne vont pas sur le site pour suivre et contrôler le travail, alors peuvent-ils déceler des problèmes dans le travail ? (Non.) Les faux dirigeants pseudo-spirituels et les faux dirigeants de calibre médiocre sont aveugles, même si leurs yeux sont grands ouverts, et ils ne peuvent pas voir les problèmes, alors qu’en est-il de ce genre de personnes inutiles ? Ils disent : « Je ne participe pas au travail concret, et je ne vais pas sur le site pour m’intégrer aux gens qui y travaillent, donc si des problèmes surviennent, alors on ne peut pas dire que je suis aveugle malgré mes yeux grands ouverts. Je ne suis pas allé sur le site et je n’ai pas vu les problèmes, alors quel est le rapport avec moi si des problèmes surviennent ? Tu dois identifier les gens impliqués. » Ces individus ne sont-ils pas vraiment rusés ? Ils pensent qu’il leur suffit de donner des ordres et d’organiser des arrangements appropriés aux gens, point final, et qu’ainsi, ils ont assumé leurs responsabilités et qu’ils peuvent profiter ouvertement de leurs loisirs et de leurs divertissements. Quels que soient les problèmes qui se posent dans le travail, ils ne se renseignent absolument pas et ils s’empressent de gérer un problème uniquement si quelqu’un le signale au Supérieur. La seule chose à laquelle ils aspirent chaque jour est de bénéficier des avantages du statut, de se balader tranquillement un peu partout, de se donner en spectacle lorsqu’ils contrôlent le travail, mais en réalité, ils ne se rendent jamais dans les endroits où un vrai problème se pose, et ils ne contrôlent jamais le travail essentiel – n’est-ce pas exactement comme les fonctionnaires du Parti communiste qui se contentent toujours de faire des efforts superficiels et de réaliser uniquement le travail qui leur donne une bonne image ? Ils font de belles promesses de faire le travail qu’on leur confie, mais ils n’en assurent ni le suivi ni la supervision, et même s’ils se rendent sur place, ils se contentent de remplir les formalités. Ils ne font absolument pas le travail eux-mêmes ni ne résolvent les problèmes en personne. Ils se disent : « Je ne dois ni souffrir ni donner de ma personne pour faire ces choses-là. Il suffit que quelqu’un là-bas les fasse. Dans tous les cas, je ne gagne pas d’argent, alors il me suffit de m’en sortir de justesse. » Peuvent-ils travailler correctement avec cet état d’esprit ? Ils ont une petite idée derrière la tête et se disent : « Je travaillerai juste assez pour me nourrir, et, chaque jour, je passerai à travers les mailles du filet. » Pourtant, ils ne font jamais de travail spécifique et on ne les voit jamais sur le terrain. Alors, où sont-ils ? Ils profitent d’un endroit magnifique et sécurisé où ils peuvent manger, boire et bien dormir, ils vivent comme un prince – ils prennent souvent des douches, se font masser régulièrement et changent souvent de vêtements – et ils n’endurent pas la moindre souffrance. Ils ne réfléchissent jamais au travail concret qu’ils sont capables de faire, aux vrais problèmes qu’ils peuvent résoudre, aux contributions qu’ils ont apportées au travail de la maison de Dieu, et à leur qualification pour bénéficier de toutes ces belles choses – ils ne tiennent jamais compte de tout cela. Que sont ces gens-là ? Ces misérables n’ont aucune conscience de soi, ils n’ont vraiment honte de rien et ne méritent pas d’être des dirigeants et des ouvriers d’église.
Les faux dirigeants ne font jamais de réel travail, ils agissent comme si leur rôle de direction était un poste officiel, profitant des avantages du statut. Ils considèrent le devoir qu’ils devraient accomplir et le travail qu’ils devraient faire en tant que dirigeants comme une charge, un ennui. Leur cœur déborde de méfiance vis-à-vis du travail de l’Église : si vous leur demandez de garder un œil sur le travail et de détecter les problèmes qui existent dans ce travail et qui nécessitent d’être suivis et résolus, ils sont emplis de réticence. C’est le travail que les dirigeants et les ouvriers sont censés faire, c’est leur mission. S’ils ne le font pas, s’ils sont réticents à le faire, pourquoi souhaitent-ils toujours être dirigeants ou ouvriers ? Font-ils leur devoir dans le but de faire preuve de considération envers les intentions de Dieu, ou pour être un personnage officiel et jouir des avantages du statut ? N’est-ce pas honteux d’être dirigeant s’ils veulent seulement occuper une fonction officielle ? Personne n’a un caractère plus bas : ces gens-là n’ont pas d’estime de soi, ils sont dépourvus de honte. S’ils souhaitent profiter de l’aisance charnelle, qu’ils se dépêchent de retourner dans le monde et qu’ils s’efforcent de la prendre, et de s’en emparer comme ils en sont capables. Personne ne les en empêchera. La maison de Dieu est un endroit où les élus de Dieu font leurs devoirs et Le vénèrent. C’est un endroit où les gens recherchent la vérité et sont sauvés. Ce n’est pas un endroit où l’on savoure une aisance charnelle, et encore moins un endroit qui permet aux gens de vivre dans le confort des princes. Les faux dirigeants sont des personnes qui ne connaissent pas la honte ; ce sont d’incorrigibles effrontés, dénués de raison. Quel que soit le travail concret qui leur est confié, ils ne le considèrent pas comme important. Ils le relèguent à l’arrière-plan de leur esprit et, bien qu’une excellente réponse sorte de leur bouche, ils ne font aucun travail réel. N’est-ce pas là un manque de vertu ? Non seulement ils ne font pas de réel travail, mais ils veulent aussi avoir le pouvoir pour eux seuls, détenir tous les pouvoirs sur les finances, le personnel et garder la main sur toutes les autres affaires, et faire en sorte que tout le monde leur rende des comptes tous les jours. Ils font tout cela avec beaucoup de diligence. Lorsque le moment est venu pour eux de faire un rapport sur le travail au Supérieur, ils s’attribuent les résultats de tout le travail accompli par les frères et sœurs, de sorte que le Supérieur croit à tort qu’ils ont accompli un grand travail, alors qu’en réalité, tout a été fait par d’autres. Combien de personnes ont été gagnées par la diffusion de l’Évangile, quelles personnes sont promues et cultivées, quelles personnes ont été démises de leurs fonctions, quelles personnes ont été exclues, et ainsi de suite – aucune de ces tâches spécifiques n’est faite par eux, et pourtant ils ont le toupet d’en faire état. Ces personnes ne sont-elles pas égarées dans la honte ? Ne se livrent-elles pas à la tromperie ? Ces personnes sont si malhonnêtes et fourbes ! Elles se croient intelligentes, mais en réalité elles ne sont que trop intelligentes dans leur propre intérêt, et au bout du compte, elles se font révéler et éliminer. Peu importe le travail ou le devoir que certains individus accomplissent, ils sont incompétents en la matière, ils ne peuvent pas l’assumer, et ils sont incapables de satisfaire aux obligations ou aux responsabilités qui incombent à une personne. Ne sont-ils pas des déchets ? Sont-ils encore dignes d’être qualifiés d’humains ? Mis à part les simples d’esprit, les incompétents mentaux, et ceux qui souffrent de déficiences physiques, existe-t-il quelqu’un qui ne doive pas faire ses devoirs et assumer ses responsabilités ? Ce genre de personne est toujours en train de pantoufler et de se laisser aller, et ne veut pas assumer ses responsabilités ; cela implique qu’elle ne veut pas être un être humain correct. Dieu lui a donné l’opportunité d’être un être humain, et Il lui a donné du calibre et des dons, et pourtant elle ne s’en sert pas pour faire son devoir. Elle ne fait rien, mais désire profiter de chaque instant. Une telle personne est-elle apte à être qualifiée d’être humain ? Quel que soit le travail qu’on donne à ces gens-là – qu’il soit important ou ordinaire, difficile ou simple –, ils sont constamment négligents, fuyants et fainéants. Quand des problèmes surviennent, ils essaient de rejeter la responsabilité sur les autres ; ils n’assument pas de responsabilités, et ils souhaitent continuer à vivre leur vie de parasite. Ne sont-ils pas des déchets inutiles ? En société, qui ne doit pas compter sur lui-même pour gagner sa vie ? Une fois devenu adulte, on doit subvenir à ses propres besoins. Les parents ont assumé leurs responsabilités. Même s’ils désiraient apporter leur soutien à leur enfant, celui-ci en serait gêné. Il devrait être capable de réaliser que ses parents ont fini leur mission d’éducation, qu’il est un adulte normalement constitué et qu’il devrait être capable de vivre de façon autonome. » N’est-ce pas le minimum de raison qu’un adulte devrait avoir ? Si quelqu’un est vraiment doté de raison, il ne peut en aucun cas continuer à vivre aux crochets de ses parents ; il craindrait les rires des gens, et de perdre la face. Donc, celui qui aime le confort et déteste le travail est-il doté de raison ? (Non.) Il veut toujours quelque chose en échange de rien, il veut ne jamais assumer la moindre responsabilité, et attend que tout lui tombe tout cuit dans la bouche ; il veut systématiquement ses trois repas par jour, que quelqu’un s’occupe d’eux, et déguster de délicieuses nourritures et boissons sans travailler le moins du monde. N’est-ce pas là l’état d’esprit d’un parasite ? Et les gens qui sont des parasites ont-ils une conscience et de la raison ? Possèdent-ils intégrité et dignité ? Absolument pas. Ils ne sont que des bons à rien profiteurs, des animaux sans conscience ni raison. Aucun d’entre eux n’est apte à demeurer dans la maison de Dieu.
Supposons que l’Église organise un travail pour toi et que tu dises : « Que ce travail me permette d’attirer l’attention ou non, puisqu’il m’a été donné, je vais bien l’exécuter et j’assume cette responsabilité. Si on me place à la réception pour faire l’accueil, je ferai tout mon possible pour bien le faire. Je m’occuperai bien des frères et sœurs et je ferai de mon mieux pour assurer la sécurité de chacun. Si on me demande de prêcher l’Évangile, je m’équiperai de la vérité, je prêcherai correctement l’Évangile avec amour et j’accomplirai mon devoir. Si l’on me demande d’apprendre une langue étrangère, je l’étudierai sans réserve, j’y travaillerai dur et j’essaierai de le maîtriser aussi vite que possible, en un an ou deux, afin de pouvoir témoigner de Dieu aux étrangers. Si l’on me demande d’écrire des articles de témoignage, je m’entraînerai consciencieusement à le faire, j’envisagerai les choses conformément aux vérités-principes, et j’apprendrai la langue., Bien que je ne sois pas capable d’écrire des articles dans une belle prose, je serai au moins capable de communiquer clairement mon témoignage d’expérience, d’échanger de manière compréhensible sur la vérité et de donner un vrai témoignage pour Dieu, de telle sorte que les gens soient édifiés et tirent avantage de la lecture de mes articles. Quelle que soit la tâche que l’Église m’assignera, je l’assumerai de tout mon cœur et de toute ma force. S’il y a quelque chose que je ne comprends pas ou qu’un problème surgit, je prierai Dieu, je chercherai la vérité, je résoudrai les problèmes selon les vérités-principes et je ferai le travail correctement. Quel que soit mon devoir, j’utiliserai tout ce que j’ai pour bien le faire et satisfaire Dieu. Concernant tout ce que je pourrai accomplir, je ferai de mon mieux pour assumer la responsabilité que je devrais porter et au moins, je n’irai pas contre ma conscience et ma raison ni ne serai superficiel, ni fuyant et je ne me relâcherai pas, ou je ne me laisserai pas tenter par les fruits du travail des autres. Rien de ce que je ferai ne sera en deçà de la norme de la conscience. » Il s’agit là de la norme minimale du comportement humain, et celui qui fait son devoir de cette manière peut être considéré comme une personne douée de conscience et raison. Tu dois au moins avoir bonne conscience dans l’exécution de ton devoir, et tu dois au moins mériter tes trois repas par jour et ne pas être un profiteur. C’est ce que l’on appelle avoir le sens des responsabilités. Que ton calibre soit élevé ou non et que tu comprennes ou non la vérité, dans tous les cas, tu dois avoir cette attitude : « Puisque ce travail m’a été donné à faire, je dois le traiter avec sérieux. Je dois en faire mon souci et je dois user de tout mon cœur et de toutes mes forces pour bien le faire. Quant à savoir si je peux le faire parfaitement bien, je ne peux pas présumer d’offrir une garantie, mais mon attitude consiste à faire de mon mieux pour que cela soit bien accompli, et je ne serai certainement pas superficiel à ce sujet. Si un problème survient dans le travail, je dois alors en assumer la responsabilité, m’assurer d’en tirer une leçon et de bien faire mon devoir. » Voilà ce qu’est la bonne attitude. Avez-vous une telle attitude ? Certaines personnes disent : « Je n’ai pas nécessairement besoin de faire un bon travail sur la tâche qui m’est confiée. Je ferai juste ce que je pourrai, et le produit final sera ce qu’il sera. Je n’ai pas besoin de tellement me fatiguer ni d’être anxieux si je fais quelque chose de mal, et je n’ai pas besoin de subir autant de stress. À quoi bon me fatiguer autant ? Après tout, je travaille toujours et je ne suis pas un profiteur. » Ce genre d’attitude vis-à-vis de son devoir est irresponsable. « Si j’ai envie de travailler, je vais travailler un peu. Je ferai simplement ce que je peux et le produit final sera ce qu’il sera. Il n’est pas nécessaire de le prendre tellement au sérieux. » De telles personnes n’ont pas une attitude responsable vis-à-vis de leur devoir et elles n’ont pas le sens des responsabilités. Quel genre de personne êtes-vous ? Si vous êtes le premier type de personne, alors vous êtes des gens doués de raison et d’humanité. Si vous êtes le deuxième type de personne, alors vous n’êtes pas différents de ce genre de faux dirigeants que Je viens de disséquer. Vous vous laissez aller à l’oisiveté : « J’éviterai la fatigue et les difficultés et je m’amuserai davantage. Même si, un jour, je suis renvoyé, je n’aurai rien perdu. Au moins j’aurai profité des avantages du statut pendant quelques jours, ce ne sera pas une perte pour moi. Si je suis choisi comme dirigeant, c’est comme cela que j’agirai. » Que pensez-vous de l’état d’esprit de ce type de personnes? Ces gens sont des incrédules qui ne poursuivent aucunement la vérité. Si tu as vraiment un sens de la responsabilité, alors cela montre que tu as une conscience et que tu es doué de raison. Quelle que soit l’ampleur de la tâche, quelle que soit la personne qui te confie cette tâche, que ce soit la maison de Dieu, un dirigeant d’Église ou un ouvrier, ton attitude doit être la suivante : « Du fait que ce devoir m’a été confié, il s’agit de l’exaltation et la grâce de Dieu. Je dois bien le faire selon les vérités-principes. Bien qu’ayant un calibre moyen, je suis prêt à assumer cette responsabilité et à tout donner pour bien le faire. Si je fais un mauvais travail, je devrais en assumer la responsabilité, et si je fais du bon travail, je n’en ai pas le mérite. Voilà ce que je dois faire. » Pourquoi est-ce que Je dis que la façon dont on traite son devoir est une question de principe ? Si tu as vraiment le sens des responsabilités et que tu es une personne responsable, alors tu seras en mesure d’assumer le travail de l’Église et d’accomplir le devoir que tu es censé accomplir. Si tu prends ton devoir légèrement, alors ta conception de la croyance en Dieu est incorrecte, et ton attitude vis-à-vis de Dieu et de ton devoir est problématique. Tu considères que tu dois faire ton devoir de manière superficielle et que tu dois t’en sortir tant bien que mal, et que, qu’il s’agisse d’une chose que tu es disposé à faire ou non, d’une chose pour laquelle tu es doué ou non, tu l’abordes toujours avec cette attitude qui consiste à faire les choses à moitié, ce qui signifie que tu n’es pas apte à être un dirigeant ou un ouvrier et que tu ne mérites pas de faire du travail d’église. De plus, pour dire les choses très franchement, les gens comme toi sont des bons à rien, destinés à ne rien faire, et tout simplement des gens inutiles. Quel type de personnes sont inutiles ? Les personnes confuses sont celles qui se laissent aller à l’oisiveté .. De telles personnes ne sont responsables de rien dans ce qu’elles font, et ne le prennent pas non plus au sérieux : elles font un gâchis de tout. Elles ne tiennent pas compte de tes paroles, quelle que soit la façon dont tu échanges avec eux sur la vérité. Elles se disent : « Je me débrouillerai de cette façon si je le veux. Vous pouvez dire ce que vous voulez ! Dans tous les cas, en ce moment, je fais mon devoir et j’ai de quoi manger, c’est suffisant. Au moins, je ne suis pas un mendiant. Si un jour je n’ai plus de quoi manger, alors j’y penserai. Le ciel laissera toujours une échappatoire pour l’homme Vous dites que je n’ai ni conscience ni raison, et que j’ai l’esprit confus, bon, et alors ? Je n’ai pas enfreint la loi. Tout au plus, je manque juste un peu de caractère, mais ce n’est pas une perte pour moi. Tant que j’ai de quoi manger, ça va. » Que penses-tu de ce point de vue ? Je te le dis, les gens qui ont ainsi l’esprit confus et se laissent aller à l’oisiveté sont tous destinés à être éliminés, et il n’y a aucun moyen pour eux d’atteindre le salut. Tous ceux qui croient en Dieu depuis plusieurs années, mais n’ont jamais rien accepté de la vérité, et n’ont pas de témoignages d’expérience seront éliminés. Aucun ne survivra. La racaille et les bons à rien sont tous des profiteurs et ils sont destinés à être éliminés. Si les dirigeants et les ouvriers ne sont que des profiteurs, ils doivent à plus forte raison être renvoyés et éliminés. Ces gens à l’esprit confus veulent toujours être des dirigeants et des ouvriers ;ils n’en sont pas dignes. Ils ne font pas de travail concret, et cependant ils veulent être dirigeants. Ils n’ont vraiment honte de rien !
Après avoir été congédiés, certains dirigeants et ouvriers disent : « C’est bien de ne pas être un dirigeant ou un ouvrier. Je ne veux pas être aussi anxieux ni me faire autant de soucis. C’est formidable d’être un frère ou une sœur ordinaire. Pourquoi devrais-je me préoccuper de cela ? Si je possède un calibre, ce n’est pas pour m’épuiser. » Quelqu’un d’autre leur dit : « Que vas-tu faire maintenant que tu n’es plus un dirigeant ou un ouvrier ? » Ils répondent : « Tout me va, tant que ce n’est pas trop fatigant et que cela ne demande pas trop d’efforts – quelque chose qui nécessite de marcher et d’observer autour de soi, ou de s’asseoir et de parler ou de travailler sur l’ordinateur, et qui n’exige pas de très longues heures ou des souffrances physiques me conviendrait. » De quel type de discours s’agit-il ? Si vous découvrez que le dirigeant ou l’ouvrier que vous avez désigné est ainsi, comment vous sentirez-vous dans votre cœur ? N’éprouverez-vous pas un grand regret ? (Si.) Alors, qu’en pensez-vous ? Tu répondras : « Au début, j’ai vu que tu avais un peu de calibre et j’ai voulu te promouvoir et te cultiver, et te donner une chance, pour que tu puisses comprendre plus de vérités. Je n’ai jamais imaginé que tu étais un moins que rien. Je regrette de t’avoir considéré comme un être humain à ce moment-là. Après tout, je n’ai jamais imaginé que tu n’en étais pas un. Tu es encore pire qu’un porc ou qu’un chien, tu es une ordure. Tu ne mérites pas de porter cette peau humaine, et tu ne mérites pas d’être un humain ! » Ces paroles te semblent-elles désagréables ? (Non.) Elles ne vous paraissent pas désagréables, mais ne sont-elles pas très désagréables pour ce type d’ordure ? (Si.) Ces ordures ont-elles un cœur ? (Non.) Alors, peuvent-ils savoir si quelqu’un dit de bonnes ou de mauvaises choses à propos d’eux ? Lorsque des gens sans cœur rencontrent un problème quelconque, ils ne changent pas leur attitude, qui consiste à rester oisifs toute la journée. Ils pensent que tout va bien à partir du moment où ils bénéficient d’avantages et qu’ils se sentent à l’aise. Ainsi, peu importe ce que les autres disent, cela leur est égal. Selon leur célèbre dicton : « Peu importe ce que tu dis, peu importe comment tu me vois ou m’évalues, peu importe comment tu estimes ma qualification ou la manière dont tu me gères, je m’en moque ! » Ces gens ne sont-ils pas tout simplement des ordures ? Peu importe ce que tu dis, ils n’ont aucun sentiment et ne prennent pas les choses à cœur. Pourquoi ne les prennent-ils pas à cœur ? Ce sont des paresseux et ils n’ont aucun cœur. Les gens sans cœur n’ont ni dignité ni intégrité, tout ce que tu dis ne les intéresse pas, et même si tu leur parles sévèrement, ils ne seront pas piqués au vif. Seules les personnes dignes, intègres et raisonnables seront affligées et leur cœur sera blessé lorsqu’elles entendront de telles paroles. EIles diront : « C’était une façon minable de me comporter, les gens me regardaient de haut et j’ai perdu ma dignité, alors je n’agirai plus de la sorte. Je veux retrouver ma dignité et faire en sorte que les gens ne me dédaignent plus. Je m’efforcerai de regagner mon honneur et je ferai mon possible pour vivre dignement et satisfaire Dieu. » Ils sont sensibles aux paroles qui heurtent leur dignité et touchent leur corde sensible – ces personnes ont un cœur. Lorsque ceux qui ont des sentiments et une dignité entendent des affirmations justes, voient des choses positives, et font la différence entre ce qui est juste et ce qui est injuste, ils se résignent à changer parce qu’ils sont dignes, et qu’ils ne veulent pas que les autres les méprisent. Ces personnes oisives et inutiles n’ont aucune dignité et, par conséquent, peu importe ce que tu leur dis, peu importe à quel point tes affirmations sont correctes, précises ou conformes à la vérité, ou à quel point tes affirmations sont positives, celles-ci ne produisent aucun effet sur ces personnes et ne les émeuvent aucunement. Une personne sans dignité n’a aucun sentiment par rapport à une chose positive, aucun jugement, ni aucune exposition, et n’adopte pas non plus la bonne attitude concernant le choix d’un type de chemin de vie. C’est pourquoi, peu importe ce que tu lui dis, peu importe comment tu l’exposes ou la définis, elle refuse totalement de l’accepter, et elle s’en moque. Alors, à quoi bon prêcher la vérité et donner des sermons à de telles personnes ? Est-il utile de les émonder ? Est-il utile de les juger et de les châtier ? Non ! Ces gens-là sont tout simplement inutiles. Ils s’accommodent de leurs journées tant bien que mal, et ils appartiennent à la catégorie des animaux, c’est-à-dire qu’ils ne sont pas humains. Ils ne méritent pas d’entendre les paroles de Dieu. Si ces bons à rien, ces parasites deviennent des dirigeants d’église, peuvent-ils découvrir les problèmes présents au sein de l’Église ? Sont-ils capables de résoudre les problèmes ? Certainement pas. Si le peuple élu de Dieu soulève un problème, sont-ils capables de le résoudre ? Ils ne peuvent certainement pas le résoudre non plus. Ils sont incapables de résoudre le moindre problème, alors comment pourraient-ils faire le travail d’un dirigeant ? Ce serait impensable ! En tant que dirigeants et ouvriers, les gens doivent, à tout le moins, être capables de résoudre les problèmes présents dans le travail de l’Église et les problèmes qui se posent à l’entrée dans la vie du peuple élu de Dieu. S’ils se forment pendant un certain temps et qu’ils acquièrent un peu d’expérience, et qu’ils sont également capables d’échanger sur certaines vérités et de livrer certains témoignages d’expérience, alors ils pourront progressivement devenir compétents dans le travail d’un dirigeant. S’ils ne sont pas capables de découvrir ou de résoudre un quelconque problème, alors ils ne seront pas aptes à faire le travail d’un dirigeant ; ce sont alors de faux dirigeants, et ils devront être congédiés, et de nouveaux dirigeants devront être élus.
Ceux qui servent en tant que dirigeants doivent au moins comprendre un peu de vérité et avoir quelques expériences concrètes. S’ils n’ont aucune expérience, alors ils ne comprennent certainement rien à la vérité. Certains qui servent en tant que dirigeants sont doués pour prêcher des formules et des doctrines, et ils sont capables d’obtenir l’approbation et les louanges de la plupart des gens. Bien qu’en apparence, les faux dirigeants soient capables de répondre aux questions, ils ne sont pas capables d’échanger sur les vérités-principes. Tout ce qu’ils prêchent, c’est une théorie vide de sens, et il n’y a rien de concret là-dedans. Lorsque les gens entendent leurs prédications, ils ont l’impression qu’elles sont en accord avec leurs propres goûts, et ceux qui manquent de discernement les approuvent volontiers. Cependant, par la suite, ils n’ont toujours pas de chemin de pratique et sont incapables de trouver les principes de la pratique. Dans ce cas, peut-on considérer que cela a permis de résoudre un quelconque problème ? Cela ne revient-il pas à faire preuve de superficialité ? Peut-on considérer que le fait d’essayer de résoudre des problèmes de cette manière équivaut à faire du vrai travail ? Les faux dirigeants ne font pas de réel travail, mais ils savent agir comme des fonctionnaires. Quelle est la première chose qu’ils font quand ils deviennent dirigeants ? Ils obtiennent les faveurs des gens. Ils adoptent l’approche : « Les nouveaux fonctionnaires ont envie de faire impression. » D’abord, ils font certaines choses pour se faire bien voir des gens, et ils s’occupent de certaines choses qui améliorent le bien-être quotidien de tous. Ils essaient tout d’abord de faire bonne impression, de montrer à tous qu’ils sont d’accord avec les masses, afin que tous les louent et disent : « Ce dirigeant se comporte comme un parent à notre égard ! » Puis ils prennent officiellement le pouvoir. Ils sentent qu’ils disposent du soutien populaire et que leur position a été sécurisée ; ensuite ils commencent à jouir des avantages du statut, comme si c’était un dû légitime. Leurs devises sont : « La vie ne consiste qu’à bien manger et à s’habiller élégamment », «La vie est courte, alors profites-en tant que tu le peux » et « Bois aujourd’hui le vin d’aujourd’hui, et demain, inquiète-toi de demain.» Ils profitent de chaque jour qui se présente, ils se divertissent tant qu’ils le peuvent et ne se préoccupent pas de l’avenir, et considèrent encore moins les responsabilités que devrait assumer un dirigeant et les devoirs que celui-ci devrait faire. Ils prêchent quelques paroles et doctrines, et réalisent naturellement quelques tâches, pour l’apparence, comme une routine, mais ils ne font pas de réel travail. Ils n’essaient pas de déterrer les vrais problèmes dans l’Église, et ne les résolvent pas complètement, alors, quel est l’intérêt qu’ils fassent un travail si superficiel ? N’est-ce pas frauduleux ? Peut-on confier d’importantes tâches à ce genre de faux dirigeants ? Sont-ils en phase avec les principes et les conditions de sélection des dirigeants et des ouvriers de la maison de Dieu ? (Non.) Ces gens-là n’ont ni conscience ni raison, ils sont dénués de tout sens des responsabilités, et pourtant, ils continuent de vouloir occuper quelques fonctions officielles, être dirigeants, dans l’Église. Pourquoi sont-ils si éhontés ? Certains individus qui ont le sens des responsabilités considèrent qu’ils ne peuvent pas être dirigeants s’ils sont de calibre médiocre, et c’est sans parler des personnes inutiles qui n’ont absolument aucun sens des responsabilités ; celles-ci sont encore moins qualifiées pour être dirigeants. À quel point ces faux dirigeants gloutons et indolents sont-ils paresseux ? Même quand ils découvrent un problème, et qu’ils ont conscience que c’en est un, ils ne le prennent pas au sérieux et n’en font pas cas. Ils sont tellement irresponsables ! Bien qu’ils s’expriment bien et sembler avoir un peu de calibre, ils sont incapables de résoudre divers problèmes dans le travail de l’Église, laissant ainsi le travail s’enliser jusqu’à l’arrêt ; les problèmes continuent de s’accumuler mais ces dirigeants ne s’en soucient pas, et ils insistent pour accomplir quelques tâches superficielles comme une routine. Et quel en est le résultat final ? Ne sèment-ils pas le désordre dans le travail de l’Église, ne le font-ils pas échouer ? Ne provoquent-ils pas le chaos et un manque de cohésion au sein de l’Église ? C’est là un résultat inévitable. Dans ce type de situation, les faux dirigeants feront-ils un rapport au Supérieur ? Certainement pas. Si quelqu’un au sein de l’Église veut signaler les problèmes des faux dirigeants au Supérieur, y consentiront-t-ils ? De toute évidence, ils réprimeront cette personne et l’empêcheront de s’exprimer, ils ne laisseront personne signaler un problème au Supérieur, et ils restreindront, réprimeront et isoleront toute personne qui le fera. Dites-Moi, ces faux dirigeants ne sont-ils pas vraiment méprisables ? Peu importe à quel point ils ont nui au travail de l’Église, ils ne permettent toujours pas au Supérieur d’en être informé, et encore moins de résoudre le problème. Tout ce qui les préoccupe, c’est de bénéficier des avantages liés à leur statut et de préserver leur vanité et leur orgueil – ces gens sont absolument méprisables et sans vergogne ! Ne sont-ils pas complètement dépourvus de conscience et d’humanité ? Lorsque le Supérieur se renseigne sur le travail, ils affirment catégoriquement qu’il n’y a pas de problèmes, en tergiversant et en se défaussant sur le Supérieur – en agissant ainsi, ne trompent-ils pas le Supérieur et ne cachent-ils pas certaines choses à leurs subordonnés ? Les problèmes liés au travail d’Église ne cessent de s’accumuler et les faux dirigeants sont incapables de les résoudre eux-mêmes, pourtant ils ne signalent pas non plus ces problèmes au Supérieur. Dans ces conditions, ils font comme si tout allait bien, ils continuent à se complaire dans le confort, ils ne font rien de leurs journées et s’adonnent sans retenue à l’oisiveté, et cela ne les trouble pas le moins du monde. Et lorsque les problèmes sont exposés et que le Supérieur approfondit cette question, ils continuent d’affirmer : « J’ai organisé les choses pour que les gens fassent ce travail. J’ai assumé mes responsabilités. Si le travail n’est pas bien fait, alors c’est la responsabilité des autres. En quoi cela me concerne-t-il ? » Ils se déchargent de toute responsabilité par ces quelques mots. C’est comme s’ils n’avaient aucune responsabilité en la matière. Non seulement ils ne se remettent pas en question, mais ils ont l’impression d’être dans leur bon droit, ils sont à l’aise et affirment : « En tout cas, je n’ai pas été inactif concernant mon devoir, je ne suis pas un profiteur. Si le Supérieur ne me congédie pas, alors je continuerai de servir en tant que dirigeant. Si je démissionne, ne risquerais-je pas de trahir Dieu ? Ne vais-je pas faire preuve d’un manque de loyauté envers mon devoir ? » Si tu les émondes, ils seront capables de trouver toutes sortes de raisons pour te contredire. Ils ne diront pas qu’ils sont responsables de cette question, ils ne feront pas état de leurs responsabilités et ils ne réfléchiront pas à la nature de leur incapacité à résoudre les problèmes et à faire du vrai travail. Ces gens ne sont-ils pas détestables ? Ils paralysent le travail de l’Église et ils nuisent au peuple élu de Dieu depuis si longtemps, sans éprouver le moindre remords dans leur cœur – sont-ils encore humains ? Ont-ils encore un soupçon de conscience ou de raison ? Certains disent : « Des gens comme ça ne devraient pas être élus pour être des dirigeants. » En théorie, c’est le cas ; cependant, on rencontre réellement des gens de cet acabit parmi les dirigeants et les ouvriers élus ; c’est un fait. Tout cela se produit parce que le peuple élu de Dieu manque de discernement, et aussi parce que la plupart des gens aiment les gens complaisants, et par conséquent, ils élisent de faux dirigeants et de faux ouvriers. C’est pourquoi, avant les élections de l’Église, les principes régissant l’élection des dirigeants et des ouvriers doivent faire l’objet de plus d’échanges, de même que les principes permettant de discerner les faux dirigeants et les faux ouvriers ; cela garantira que davantage de gens votent conformément aux principes. C’est la seule façon d’obtenir de bons résultats lors des élections de l’Église.
Dites-Moi, de tels oisifs méprisables et éhontés peuvent-ils faire un bon travail dans l’Église en tant que dirigeants et ouvriers ? Sont-ils capables de résoudre les problèmes existants au sein de l’Église ou les difficultés rencontrées par le peuple élu de Dieu ? (Non.) Alors, que devriez-vous faire lorsque vous rencontrez de tels faux dirigeants ? Supposons que quelqu’un dise : « Notre calibre est médiocre et nous manquons de discernement, donc nous ne pouvons rien faire si nous rencontrons un faux dirigeant. » Est-ce correct ? Tous les membres de l’Église ne sont sûrement pas de calibre médiocre et dépourvus de discernement ! Il doit bien avoir au moins plusieurs personnes qui comprennent relativement la vérité. Ainsi, si quelqu’un constate qu’un faux dirigeant est incapable de faire du vrai travail ou de résoudre un quelconque problème, alors il devrait échanger avec ceux qui comprennent la vérité et leur demander de faire preuve de discernement et d’émettre un jugement. Est-ce approprié ? (Oui.) Pourquoi est-ce approprié ? Quelles seront les conséquences si un dirigeant d’Église n’est pas capable de faire du vrai travail ? Qui seront les victimes ? Ne s’agira-t-il pas du peuple élu de Dieu dans l’Église ? Si un faux dirigeant contrôle l’Église pendant trois ou cinq ans, alors combien de personnes verront leur compréhension de la vérité et leur entrée dans la réalité affectées ? Combien de personnes atteindront plus tardivement le salut de Dieu ? Ces conséquences ne méritent pas de réflexion. Ainsi, lorsqu’on découvre qu’un faux dirigeant ne fait pas du vrai travail et qu’il est incapable de résoudre tout problème, cela représente une véritable difficulté pour chaque membre du peuple élu de Dieu, et ces derniers doivent rapidement exposer et dénoncer ce faux dirigeant afin d’éviter des retards dans le travail. Ceux qui sont pénalisés par des dirigeants d’Église qui ne font pas du vrai travail sont le peuple élu de Dieu. Si aucun des membres du peuple élu de Dieu ne les expose ou ne les signale, et qu’ils sont tous simplement indifférents à ce propos, alors il n’y a plus d’espoir pour cette Église. Supposons qu’au fond de votre cœur, vous ayez toujours nourri des pensées consistant à ne pas prendre vos responsabilités telles que : « De toute façon, c’est toi le dirigeant. Tu es incapable de faire du vrai travail et pourtant, tu ne signales pas les problèmes au Supérieur – si cela retarde le travail de l’Église, le Supérieur te considérera comme responsable. En quoi cela nous concerne-t-il ? À quoi bon s’en préoccuper ? Nous ne sommes pas responsables. C’est ta responsabilité. » Si vous nourrissez toujours cette notion dans votre cœur, cela ne risque-t-il pas de retarder les choses ? Votre poursuite de la vérité, votre entrée dans la réalité et l’obtention du salut de Dieu n’en seront-elles pas affectées ? Si personne au sein de l’Église ne prend ses responsabilités, alors il est difficile de dire si cette Église peut témoigner de Dieu et recevoir les bénédictions de Dieu, et il est même plus difficile de dire combien de personnes atteindront le salut dans cette Église. Si tous les membres de cette Église pensent ainsi, il n’y a absolument aucun espoir pour cette Église. Les équipes de production de films ne rencontrent-elles pas ce problème en ce moment ? Certains de vos dirigeants ne gèrent pas les problèmes ou ne les signalent pas – ce sont de faux dirigeants. Êtes-vous capables de le voir ? Ces dirigeants ne résolvent pas les problèmes pour vous – n’avez-vous pas compris qu’il s’agit d’un problème ? Êtes-vous vraiment satisfait de cette situation ? « Notre dirigeant ne signale pas ce problème et ce problème ne peut pas être résolu, c’est donc le bon moment pour nous de nous reposer. C’est parfait ! De plus, le Supérieur lui-même n’a pas posé de questions à ce sujet récemment, il n’est donc pas nécessaire non plus que nous signalions le problème. Pourquoi ne devrions-nous pas essayer de nous accorder un peu de temps libre ? Devons-nous réaliser le film aussi rapidement et le tourner dans les délais impartis ? Nous progressons bien ! Et si nous n’avons pas terminé le tournage ? Serons-nous dénoncés pour cette raison ? » Est-ce là votre attitude ? Pensez-vous qu’il n’existe pas un planning aussi strict pour le travail de la maison de Dieu, et que vous pouvez ainsi le faire durer indéfiniment, et que dans la mesure où le Supérieur ne pose pas de questions ou ne s’y intéresse pas, vous n’avez pas besoin de vous préoccuper ou de ressentir une quelconque pression, et que vous pouvez simplement résoudre tous les problèmes qui peuvent l’être, et négliger ceux qui ne peuvent pas l’être ? Est-ce votre point de vue ? (Non.) Alors pourquoi ne signalez-vous pas les problèmes lorsque vous en rencontrez ? Est-ce que ces faux dirigeants vous contrôlent ou vous ont fait absorber une potion magique et anesthésiante qui vous a plongé dans un état de délire et vous a rendu incapable de parler ? Quel est le problème ici ? Quand des problèmes se posent, en avez-vous connaissance ? Si vous dites que vous n’êtes pas au courant, alors vous mentez ; si vous êtes au courant et que vous ne le signalez pas, alors vous faites preuve de négligence et vous manquez sérieusement à vos devoirs, et vous n’avez aucune loyauté à l’égard de votre devoir. Même si tu travailles dans le monde pour gagner de l’argent, tu dois tout de même mériter ton modeste salaire. Sans compter qu’aujourd’hui, tu es nourri par la maison de Dieu ; tu poursuis le salut tout en accomplissant ton devoir et, ce faisant, tu ouvres la voie de ta propre destination et tu t’y prépares. Tu ne fais pas cela pour la maison de Dieu, ni pour personne, et encore moins pour Moi – tu le fais pour toi-même. Pour le dire de manière agréable, les gens font leur devoir pour atteindre le salut, mais plus précisément, ils le font pour eux-mêmes afin d’obtenir des bénédictions et de parvenir à une bonne destination. Tu dois comprendre clairement cette question, ne sois pas stupide. Tu ne fais pas ton devoir pour les autres ou pour tes parents, tu ne le fais pas pour glorifier tes ancêtres ou honorer ton nom de famille, tu le fais pour toi-même. Dieu t’a créé, et depuis qu’Il a créé le monde, Il a d’abord décidé que tu naîtrais dans les derniers jours. Il t’a fait entrer dans Sa maison, Il t’a fait entendre Sa voix, Il t’a fait manger et boire Ses paroles chaque jour, Il t’a fourni des moyens de subsistance, et Il t’a donné une chance de faire ton devoir dans la maison de Dieu. C’est ta meilleure chance, en tant qu’être créé, d’atteindre le salut, et c’est aussi ta seule chance. Si, en faisant ton devoir, tu gâches cette chance, alors peu importe que tu sois puni ou que tu pleures et que tu grinces des dents lorsque tu sombres finalement dans le chaos, tout cela sera ta faute, et tu le mériteras ! Ce sera ta propre faute. Les autres ne doivent pas assumer tes responsabilités, et tu ne dois pas non plus assumer les responsabilités des autres. Toi seul peux prendre la responsabilité du chemin que tu empruntes et de tout ce que tu fais aujourd’hui, et toi seul peux en supporter les conséquences ultimes. Ce que Je peux faire est de vous amener à comprendre les choses que Je dois exprimer et vous dire, et vous ouvrir la voie afin que vous puissiez vous engager sur le chemin du salut. J’ai tout expliqué clairement, alors il vous appartient d’agir en conséquence. Je ne Me mêle pas de vos affaires ; Je me contente d’accomplir le travail qui Me revient, et Je n’en fais pas plus. N’est-il pas exact que tu fais ton devoir dans l’intérêt de ta propre destination ? Si tu dis : « Il y a tant de problèmes, mais mon dirigeant ne les signale pas, alors je ne les signalerai pas non plus », n’est-ce tout de même pas stupide ? N’est-ce pas un calcul ? Quelle est ta responsabilité lorsque tu constates un problème ? Ta responsabilité consiste à réunir tout le monde et à rester calme pour identifier le problème et échanger sur celui-ci afin de déterminer dans quel domaine il est apparu et d’en découvrir la cause profonde. Si, après quelques discussions, la cause profonde est identifiée, mais que vous n’êtes pas capables de résoudre le problème vous-mêmes, vous devez immédiatement le signaler au Supérieur. Qui doit le signaler ? Tu dois te mettre en avant et dire : « Je vais le signaler. Si cela ne suffit pas, il est possible de désigner quelques représentants et le signaler ensemble. » Certains disent : « N’avons-nous pas un dirigeant ? » Tu réponds : « Il n’est pas un dirigeant ! Il n’assume absolument pas les responsabilités d’un être humain. Il n’est qu’une bête dans une peau humaine, et il devrait être mis à la porte et congédié ! Il ne signale pas le problème, alors nous devons le signaler nous-mêmes – cela relève de notre responsabilité. C’est seulement lorsque nous aurons assumé nos responsabilités que Dieu nous traitera comme des êtres humains. Si nous connaissons précisément nos responsabilités, mais que nous ne les assumons pas, nous ne méritons pas d’être humains, et il n’y a aucune chance que Dieu nous considère comme tels. » Si Dieu ne te considère pas comme un être humain, qu’est-ce que cela implique sur la façon dont Il te considère ? Cela implique qu’Il te considère comme un porc ou un chien. Dans ce cas, Dieu te sauverait-Il malgré tout ? Certainement pas. Alors, si tu n’as pas une bonne destination, n’est-ce pas ta faute ? Et n’auras-tu pas fait ton devoir pour rien ? C’est à toi de choisir ton chemin, et c’est à toi de le suivre. Peu importe le chemin que tu choisis, ou ses conséquences ultimes, c’est toi qui en assumes la responsabilité ; personne ne prendra cette responsabilité à ta place et n’assumera les conséquences qui en résulteront.
En tant que dirigeants et ouvriers, vous êtes capables d’ignorer des problèmes qui surviennent dans l’accomplissement des devoirs, et vous cherchez même divers prétextes et excuses pour éviter toute responsabilité. Il y a des problèmes que vous êtes capables de résoudre, mais que vous ne résolvez pas ; quant aux problèmes que vous êtes incapables de résoudre, vous ne les signalez pas à vos supérieurs, comme s’ils n’avaient rien à voir avec vous. N’est-ce pas un manquement à votre devoir ? Traiter ainsi le travail de l’Église, est-ce intelligent, ou est-ce insensé ? (C’est insensé.) Ces dirigeants et ouvriers ne sont-ils pas fuyants ? Ne sont-ils pas dénués de tout sens des responsabilités ? Lorsqu’ils ignorent les problèmes qui se présentent à eux, cela ne montre-t-il pas qu’ils sont sans cœur et perfides ? Les personnes perfides sont les personnes les plus stupides de toutes. Tu dois être une personne honnête, tu dois avoir le sens des responsabilités lorsque tu rencontres des problèmes et tu dois essayer par tous les moyens possibles de chercher la vérité pour résoudre les problèmes. Tu ne dois te montrer perfide sous aucun prétexte. Si la seule chose qui t’intéresse est de fuir tes responsabilités et que, lorsque des problèmes surviennent, tu t’en laves les mains, même les non-croyants condamneraient ce comportement de ta part, sans parler de la maison de Dieu ! Tout cela est condamné et maudit par Dieu et les élus de Dieu méprisent et refusent un tel comportement. Dieu aime les gens honnêtes, et déteste les gens malhonnêtes et fuyants. Si tu es une personne déloyale et que tu tentes de jouer des tours, Dieu ne te détestera-t-Il pas ? La maison de Dieu te laissera-t-elle simplement te tirer d’affaire ? Tôt ou tard, tu devras en rendre compte. Dieu aime les gens honnêtes et Il n’aime pas les personnes perfides. Tout le monde devrait comprendre cela clairement et cesser d’être confus et de faire des bêtises. L’ignorance momentanée est excusable, mais refuser absolument d’accepter la vérité, c’est simplement de l’obstination. Les gens honnêtes peuvent prendre leurs responsabilités. Ils ne considèrent pas leurs propres gains et pertes, ils se contentent de sauvegarder le travail et les intérêts de la maison de Dieu. Ils ont un cœur bon et honnête qui est comme un bol d’eau claire dont on peut voir le fond d’un coup d’œil. Il y a aussi de la transparence dans leurs actions. Une personne malhonnête joue toujours des tours, déguise toujours les choses, dissimule, et se camoufle si bien que personne ne peut la percer à jour. Les gens ne peuvent pas percer à jour leurs pensées intérieures, mais Dieu peut scruter les choses au plus profond de leur cœur. Si Dieu voit qu’ils ne sont pas honnêtes, qu’ils sont fuyants, qu’ils n’acceptent jamais la vérité, qu’ils trompent toujours Dieu et qu’ils ne Lui remettent jamais leur cœur, alors Dieu ne les aimera pas, Il les détestera et les abandonnera. Ceux qui prospèrent parmi les non-croyants, les gens qui sont beaux parleurs et vifs d’esprit, quel genre de personnes sont-ils ? Est-ce clair pour vous ? Quelle est leur essence ? On peut dire qu’ils sont tous extraordinairement astucieux, qu’ils sont tous extrêmement malhonnêtes et déloyaux, qu’ils sont les vrais démons et les vrais Satans. Dieu pourrait-Il sauver des gens comme ça ? Il n’y a rien que Dieu déteste plus que les démons, les gens qui sont malhonnêtes et déloyaux. Il ne fait aucun doute que Dieu ne sauvera pas de telles personnes, si bien que vous ne devez en aucun être ce genre de personnes. Ceux qui sont vifs d’esprit et qui considèrent tous les angles quand ils parlent, qui sont charmants et enjôleurs, et qui vérifient dans quel sens souffle le vent quand ils gèrent des affaires, Je te le dis, ce sont ces gens que Dieu déteste le plus, des personnes comme celles-ci sont au-delà de tout salut. Quand les gens sont malhonnêtes et déloyaux, même si leurs paroles peuvent bien sonner, elles n’en restent pas moins des paroles diaboliques qui trompent les gens. Plus leurs paroles semblent gentilles, plus elles sont diaboliques et sataniques. C’est précisément le genre de personnes que Dieu méprise le plus. Qu’en dites-vous, les gens qui sont malhonnêtes et beaux parleurs, et qui mentent souvent, peuvent-ils recevoir l’œuvre du Saint-Esprit ? Peuvent-ils recevoir l’illumination et l’éclairage du Saint-Esprit ? Absolument pas. Quelle est l’attitude de Dieu vis-à-vis des gens qui sont malhonnêtes et déloyaux ? Il les déteste et les abandonne, Il les marginalise et ne leur prête aucune attention, Il les considère comme étant de la même classe que les animaux. Aux yeux de Dieu, ces personnes ne font que porter une peau humaine, dans leur essence, elles sont de la même espèce que les démons et les Satans, ce sont des cadavres ambulants, et Dieu ne les sauvera jamais. Quel est l’état de ces gens aujourd’hui ? Il y a des ténèbres dans leurs cœurs, ils manquent de foi véritable, et quoi qu’il leur arrive, ils ne sont jamais éclairés ni illuminés. Face aux catastrophes et aux tribulations, ils prient Dieu, mais Dieu est absent, et ils n’ont personne sur qui compter vraiment dans leur cœur. Pour recevoir des bénédictions, ils essaient de faire bonne figure, mais ils ne peuvent pas s’en empêcher, car ils sont sans conscience ni raison ; ils ne pourraient pas être bons même s’ils le voulaient, ils ne pourraient pas se contrôler même s’ils voulaient arrêter de faire de mauvaises choses, ils sont obligés de faire ces choses. Seraient-ils capables de se connaître eux-mêmes après avoir été renvoyés et éliminés ? Bien qu’ils sachent qu’ils méritent cette punition, ils ne le diront pas, et même s’ils semblent capables de faire un devoir, ils joueront encore des tours et leur travail ne débouchera sur aucun résultat clair. Alors, que dites-vous : ces gens sont-ils capables de se repentir sincèrement ? Absolument pas. C’est parce qu’ils n’ont ni conscience ni raison, et qu’ils n’aiment pas la vérité. Dieu ne sauve pas des gens aussi perfides et malfaisants. Quel espoir y a-t-il à croire en Dieu pour de telles personnes ? Leur croyance est déjà dépourvue de signification, et elles sont vouées à n’en jamais rien tirer. Si, tout au long de leur foi en Dieu, les gens ne recherchent pas la vérité, alors peu importe depuis combien d’années ils sont croyants : en fin de compte, ils ne gagneront rien. S’ils veulent gagner Dieu, ils doivent gagner la vérité. C’est seulement en comprenant la vérité, en mettant en pratique la vérité, et en entrant dans la vérité-réalité qu’ils gagneront la vérité, et seront sauvés par Dieu ; et c’est seulement alors qu’ils gagneront l’approbation et les bénédictions de Dieu ; c’est seulement ainsi que l’on gagne Dieu. Si les gens veulent gagner la vérité, alors la première étape qu’ils doivent franchir est celle d’apprendre à assumer leurs responsabilités, c’est-à-dire qu’ils doivent bien faire leur devoir – c’est la chose la plus élémentaire. Les gens ne doivent absolument pas apprendre des faux dirigeants, qui se contentent de prêcher des formules et des doctrines et qui ne font pas de vrai travail, qui n’assument pas leur responsabilité dans tout ce qu’ils font, qui font les choses de manière superficielle et qui finissent par être éliminés. Faire son devoir n’est pas une question mineure ; c’est dans l’accomplissement de leur devoir que les gens se révèlent le plus, et Dieu détermine les résultats des gens en fonction de la cohérence de leur performance lorsqu’ils font leur devoir. Qu’est-ce que cela signifie lorsque quelqu’un ne fait pas bien son devoir ? Cela signifie qu’il n’accepte pas la vérité ou qu’il ne se repent pas véritablement, et qu’il est éliminé par Dieu. Quand les faux dirigeants et les faux ouvriers sont congédiés, qu’est-ce que cela représente ? C’est l’attitude de la maison de Dieu envers de telles personnes et, bien entendu, cela représente également l’attitude de Dieu envers ces gens. Alors, quelle est l’attitude de Dieu envers des gens inutiles comme ceux-là ? Il les rejette, les condamne et les élimine. Alors, voulez-vous encore vous complaire dans les avantages liés au statut et être un faux dirigeant ?
Une fois que les gens croient en Dieu, quelle est la chose la plus douloureuse et la plus bouleversante qui puisse leur arriver ? Cette chose n’est rien d’autre que d’apprendre qu’ils ont été exclus et expulsés, et qu’ils ont été révélés et éliminés par Dieu – telle est la chose la plus douloureuse et la plus affligeante, et dès que l’on croit en Dieu, personne ne veut que cela lui arrive. Alors, comment les gens peuvent-ils éviter que cela ne leur arrive ? Au minimum, il faut agir selon sa conscience, c’est-à-dire qu’il faut d’abord apprendre à assumer ses responsabilités ; il ne faut surtout pas être négligent et il ne faut pas retarder ce que Dieu nous a chargés de faire. Puisque tu es une personne, tu dois réfléchir aux responsabilités qui sont celles d’une personne. Les responsabilités que les non-croyants tiennent en haute estime, comme être filial, subvenir aux besoins de ses parents et faire la gloire de sa famille, n’ont pas besoin d’être mentionnées. Tout cela est vide et dépourvu de toute signification réelle. Quelle est la responsabilité minimale dont une personne doit s’acquitter ? Le plus pratique est de savoir si tu fais bien ton devoir aujourd’hui. Te contenter de faire dans l’à-peu-près, ce n’est pas t’acquitter de tes responsabilités ; et être seulement capable de parler de formules et de doctrines, ce n’est pas t’acquitter de tes responsabilités. C’est seulement en pratiquant la vérité et en faisant les choses selon les principes que tu t’acquittes de tes responsabilités. Ce n’est que lorsque ta pratique de la vérité aura été efficace et bénéfique pour les gens que tu te seras vraiment acquitté de ta responsabilité. Quel que soit le devoir que vous fassiez, ce n’est que lorsque vous persisterez à agir selon les vérités-principes en toutes choses que vous aurez vraiment assumé vos responsabilités. Agir machinalement selon la manière humaine de faire les choses, c’est être superficiel ; ce n’est qu’en adhérant aux vérités-principes que tu fais correctement ton devoir et assumes tes responsabilités. Et quand tu assumes tes responsabilités, n’est-ce pas l’une des manifestations de la loyauté ? C’est l’une des manifestations de la loyauté envers ton devoir. Ce n’est que lorsque tu auras ce sens des responsabilités, cette volonté et ce désir, et cette manifestation de la loyauté vis-à-vis de ton devoir, que Dieu te favorisera et te regardera avec approbation. Si tu n’as même pas ce sens des responsabilités, Dieu te considérera comme un paresseux, un idiot, et te méprisera. D’un point de vue humain, cela signifie te manquer de respect, ne pas te prendre au sérieux et te mépriser. C’est comme si tu avais été en contact avec quelqu’un depuis un certain temps et que tu voyais cette personne parler sans retenue, de manière extravagante et sans fondement, et que tu remarquais qu’elle aimait se vanter et fanfaronner, et qu’elle n’était pas fiable ; est-ce que tu la respecterais ? Oserais-tu lui confier la moindre tâche ? Elle risquerait de retarder la tâche que tu lui confierais pour une raison ou une autre, si bien que tu n’oserais rien confier à des gens de la sorte, tu les détesterais du fond du cœur, et tu regretterais de t’être jamais associé avec eux. Tu t’estimerais heureux de ne pas leur avoir confié quoi que ce soit, car si tu l’avais fait, tu le regretterais toute ta vie. Supposons que tu discutes avec quelqu’un et que, au fil de la conversation et du contact, tu constates que cette personne possède non seulement une bonne humanité, mais aussi le sens des responsabilités ; et que lorsque tu lui confies une tâche, elle imprime dans son esprit tout ce tu dis dans les moindres détails, et qu’elle réfléchit aux moyens de bien s’acquitter de la tâche pour te satisfaire, et que si elle ne s’acquitte pas bien de la tâche que tu lui as confiée, elle se montre gênée lorsque vous vous revoyez : voilà bien une personne qui a le sens des responsabilités. Prenons une personne ayant le sens des responsabilités, chaque fois qu’on lui dit quelque chose ou qu’on la charge de quelque chose, que ce soit de la part d’un dirigeant, d’un ouvrier ou du Supérieur, elle se dira toujours : « Eh bien, puisqu’il a pour moi une telle estime, je dois bien gérer ce dossier et ne pas le décevoir. » N’oserais-tu pas confier un dossier à une telle personne dotée de conscience et de raison ? La personne à qui tu peux confier la gestion d’un dossier est une personne que tu considères résolument comme digne de confiance et dont tu as une bonne opinion. Tu te diras qu’elle est une personne digne de confiance, surtout si toutes les choses qu’elle a faites pour toi ont été réalisées très consciencieusement et ont complètement répondu à tes exigences. En ton for intérieur, tu l’admireras vraiment et tu auras une haute opinion d’elle. Les gens sont prêts à s’associer à ce type de personne, sans parler de Dieu. Pensez-vous que Dieu confierait un travail et une tâche d’Église que l’homme est obligé de faire à une personne qui ne serait pas digne de confiance ? (Non.) Quelle est l’attente de Dieu vis-à-vis d’une personne à qui Il a confié une tâche particulière dans l’Église ? Premièrement, Dieu espère qu’elle sera responsable, qu’elle accordera à la tâche une grande importance et qu’elle l’accomplira bien. Deuxièmement, Dieu espère que cette personne sera digne de confiance, que, quel que soit le temps qui passe et la façon dont son environnement changera, son sens des responsabilités ne faiblira pas et son caractère résistera à l’épreuve. Si c’est une personne de confiance, Dieu sera rassuré. Il ne surveillera plus et ne suivra plus ce dossier, car intérieurement, Il lui fait confiance. Lorsque Dieu lui confie cette tâche, on peut être sûr qu’elle l’exécutera sans aucun dérapage. Quand Dieu confie une tâche à des gens, n’est-ce pas Sa volonté ? (Si.) Alors, une fois que tu as compris l’intention de Dieu, tu dois savoir dans ton cœur comment satisfaire les exigences de Dieu, comment faire en sorte que tu trouves grâce aux yeux de Dieu, et comment faire en sorte que Dieu te fasse confiance. Si tu peux voir clairement tes performances et ton comportement, et l’attitude avec laquelle tu abordes ton devoir, si tu te connais toi-même, et que tu sais ce que tu es, n’est-il pas alors déraisonnable pour toi d’exiger que Dieu trouve grâce en toi, ou qu’Il te réserve un traitement de faveur ? (Oui, c’est vrai.) Si tu te déprécies déjà toi-même, si tu te méprises déjà toi-même, alors il n’est pas logique que tu demandes à Dieu de trouver grâce en toi. Par conséquent, si tu veux que Dieu t’accorde Sa faveur, il faudrait déjà que les autres puissent te faire confiance. Si tu veux que les autres te fassent confiance, qu’ils t’apprécient, qu’ils aient une bonne opinion de toi, tu dois au moins être digne, responsable, fidèle à ta parole et inspirer la confiance. Puis, devant Dieu, tu dois être responsable et loyal ; et tu auras alors satisfait une grande partie des exigences de Dieu à ton égard. Il y a donc un espoir pour toi d’obtenir l’approbation de Dieu, n’est-ce pas ? (Oui, en effet.) Est-ce difficile à atteindre ? (Non.) Tout le monde veut trouver une personne fiable pour accomplir des tâches et s’associer avec elle, alors est-ce excessif de la part de Dieu de demander à ce que les gens fassent bien leurs devoirs, qu’Il ait cette toute petite exigence envers les gens ? (Non, ce n’est pas excessif.) Ce n’est pas excessif du tout. Ce n’est pas pour rendre les choses difficiles aux gens, mais simplement que c’est tout à fait approprié. C’est juste que les gens n’ont pas le cœur à faire cela, ils ne réfléchissent pas aux pensées de Dieu et ils n’apprécient pas les intentions de Dieu. Tout ce qu’ils savent faire, c’est d’exiger constamment des choses à Dieu : « Tu dois me bénir ! Tu dois me faire grâce ! Tu dois me guider ! » Alors, que fais-tu pour ta part ? Peux-tu vraiment accomplir ton devoir selon ta conscience et ta raison ? Peux-tu vraiment assumer tes responsabilités, et être loyal ? C’est la condition minimale que tu dois remplir pour trouver grâce aux yeux de Dieu. N’est-ce pas là la direction vers laquelle les gens devraient s’efforcer d’aller ? Tu crois en Dieu, tu dois donc t’efforcer d’approcher la vérité et les exigences de Dieu – telle est la direction dans laquelle les gens devraient orienter leur dur labeur. Les gens doivent travailler dur dans la bonne direction. De cette façon, leur recherche de la satisfaction de Dieu ne sera plus creuse.
Les faux dirigeants ont-ils dans leur cœur la moindre conception de la satisfaction de Dieu à travers leur croyance en Lui ? Ont-ils une quelconque attitude ? De toute évidence, non. Ils se contentent de s’en sortir dans le monde, et ils traitent Dieu de la même manière, d’une façon incroyablement irrévérencieuse et dédaigneuse. Ce type d’attitude constitue une véritable humiliation et un blasphème envers Dieu, et Dieu déteste cela. Dieu leur a donné la vie et tout ce qu’une personne possède, et pourtant, leur attitude par rapport à tout ce que Dieu leur a donné, par rapport aux arrangements que Dieu prévoit pour eux, par rapport à la mission et à l’œuvre de Dieu, et par rapport à leurs propres devoirs, relève du mépris et du dédain. Que signifie le terme « dédain » ? Il désigne le fait de vouloir s’en sortir dans la vie de tous les jours et de ne rien prendre au sérieux. Dieu déteste au plus haut point leur attitude, et c’est pourquoi Il ne sauvera absolument pas de telles personnes. Que devriez-vous comprendre ici ? C’est le fait que vous ne devriez pas être ce type de personne. Que tu sois ou non un dirigeant, que tu aies ou non l’ambition et le désir de devenir un dirigeant, tu dois d’abord apprendre à bien te comporter, et ne jamais être un oisif, un paresseux ou une personne minable. Dans ton comportement, tu dois adopter une attitude droite, faire preuve de dignité et avoir le sens de la responsabilité – c’est le strict minimum. C’est seulement sur cette base que les gens peuvent satisfaire aux exigences de Dieu et accomplir Sa commission. Si tu n’as même pas la moindre base, alors la discussion n’a pas lieu d’être.
Le 3 avril 2021