Ne doutez pas de ceux que vous employez : cette idée est-elle justifiée ?
Par Lin Ping, ChineEn juillet 2020, j’ai été élue dirigeante, et j’ai pris la responsabilité du travail de plusieurs Églises. Sœur Liu Jing...
Nous accueillons tous les chercheurs qui désirent ardemment l'apparition de Dieu !
Fin 2017, j’ai été élue dirigeante d’Église. Je me sentais un peu sous pression parce que je n’avais jamais fait ce devoir auparavant, mais je savais que ma capacité à assumer ce devoir était due aux louanges et à la grâce de Dieu, alors j’ai été disposée à prendre ce poste. Au début, lorsques des frères et sœurs rencontraient des problèmes, je me fiais à Dieu et cherchais les vérités-principes pour les résoudre. Parfois, je travaillais tard le soir, mais je ne trouvais pas que c’était difficile ou épuisant. Au bout d’un moment, plusieurs points du travail de l’Église ont vu quelques améliorations, et je suis parvenue à saisir certains des principes en lien avec ce devoir, ce qui a atténué un peu la pression que j’avais ressenti.
Les années ont passé, et en mars 2021, la charge de travail a augmenté à cause du nombre croissant de membres dans l’Église, et j’ai commencé à me sentir sous pression. Sœur Jing Yuan, qui coopérait avec moi à l’époque, était une nouvelle arrivante. Elle n’était pas encore compétente au travail, et avait tendance à devenir négative lorsqu’elle était confrontée à des difficultés, alors la plupart du travail de l’Église me retombait dessus. Au début, j’arrivais à aborder les choses correctement, je me disais que vu que Jin Yuan n’était croyante que depuis peu et qu’elle ne pouvait pas gérer le travail, ce n’était pas grave si j’en faisais plus. La journée, j’étais occupée avec les réunions pour mettre le travail en œuvre et résoudre les problèmes des frères et sœurs. Quand je rentrais le soir, il fallait aussi que je résume les écarts et les problèmes dans le travail. Après avoir fait cela pendant longtemps, j’ai ressenti qu’être dirigeante était trop difficile et fatiguant, et que je n’avais aucun temps libre. J’étais en mauvaise santé, j’avais eu un cancer auparavant, je n’étais rétablie que depuis quelques années, et le médecin m’avait dit de me reposer beaucoup. Je me suis dit : « Je suis tellement occupée chaque jour. Si je continues à m’épuiser comme ça, ma maladie ne reviendra-t-elle pas ? Si cela arrive, non seulement mon corps souffrira, mais il se pourrait aussi que je meure. » En pensant à cela, j’étais très inquiète, et je ne voulais plus faire mon devoir en tant que dirigeante. Je voulais changer pour un devoir plus simple, pour avoir un peu plus de temps pour me reposer. À de nombreuses reprises, j’ai voulu écrire ma lettre de démission. Chaque fois que j’y pensais, je me sentais un peu coupable. L’Église n’avait personne qui convenait pour être dirigeant, alors qu’adviendrait-il du travail de l’Église si je démissionnais ? Plus tard, je suis allée mettre en œuvre le travail d’évangélisation, et j’ai découvert que les frères et sœurs avaient de nombreux points de vue erronés qui les entravaient. Au début, j’arrivais à déployer des efforts pour échanger et résoudre des choses, mais après un certain temps, les résultats du travail d’évangélisation étaient toujours médiocres. Chaque fois que je pensais au temps et aux efforts que je devais fournir pour résumer les écarts et résoudre les problèmes, au fait que je devais continuer à faire le suivi de tous les problèmes et à les résoudre que les destinataires potentiels de l’Évangile avaient, et à la quantité de travail qu’il fallait faire, je me sentais fatiguée. Je me disais : « J’ai déjà beaucoup de travail à faire. Comment suis-je censée tout gérer ? Et si mon corps lâchait ? Mon corps m’appartient, il faut que je me ménage, je ne peux pas m’épuiser comme ça. » Alors chaque fois que je voyais les frères et sœurs, je leur demandais juste brièvement s’il y avait des destinataires potentiels de l’Évangile à prêcher, puis je prononçais quelques paroles de doctrine et je partais. Peu de temps après, le dirigeant supérieur a envoyé une lettre, disant que si le travail d’évangélisation n’obtenait pas de résultats, c’était sûrement parce que la dirigeante ne faisait pas de travail concret. J’étais un peu contrariée, et je me suis dit : « Je suis responsable du travail d’évangélisation, et le manque de résultats est directement en lien avec moi. » Je me suis également sentie un peu réprimée. Je pensais qu’il valait mieux faireune tâche qui n’a qu’une facette, telle que l’abreuvement des nouveaux arrivants de l’Église, ainsi je pourrais me détendre un peu et ne pas trop m’épuiser. Être dirigeante était tellement difficile, et si le travail n’était pas bien fait, je devais en assumer la responsabilité. J’avais juste envie de reconnaître ma responsabilité et de démissionner. Donc, quand j’ai vu le dirigeant supérieur, je me suis plaint des difficultés et des épreuves, disant que je n’avais pas le calibre requis pour faire ce devoir, que le fait que j’occupe le poste de dirigeante retardait l’entrée dans la vie des frères et sœurs et affectait le travail de l’Église, et que c’était là commettre le mal. Le dirigeant n’a pas accepté ma démission, et à la place, il m’a offert échange et aide. J’ai réalisé que je ne manquais pas de calibre, mais plutôt que je me souciais trop de ma propre chair. Et chaque fois que je pensais au fait de devoir subir des souffrances physiques, j’avais encore peur que mon corps ne s’écroule, et je me demandais ce qui arriverait si mon ancienne maladie revenait et que je mourais. Même si j’avais l’air de faire mes devoirs, je souffrais et me sentais réprimée. Plus tard, la sœur responsable du travail d’évangélisation m’a dit : « Les faibles résultats du travail d’évangélisation dans ton Église sont directement liés à toi. » Je n’ai pas réfléchi sur moi-même, et au lieu de ça, j’ai inventé des excuses et je me suis justifiée, disant que je manquais de calibre et que je ne pouvais pas gérer le travail. Après ça, j’ai continué à être passive dans mon devoir.
Un jour, en juin 2021, j’ai été arrêtée par la police lors d’une réunion. À ce moment-là, j’ai clairement réalisé que c’était là Dieu qui me châtiait. J’avais toujours été passive dans mon devoir, toujours à me soucier de ma chair et voulant toujours démissionner, ne souhaitant pas faire le devoir d’une dirigeante, et maintenant, j’avais raté ma chance de faire mon devoir. J’avais l’impression que Dieu avait utilisé cette situation pour me retirer la qualification de faire mon devoir, et mon cœur était rempli de tourments. Par la suite, grâce à la protection de Dieu, j’ai rapidement été libérée. Pour éviter d’être surveillée et arrêtée par la police, j’ai dû me cacher pendant un moment et je ne pouvais pas sortir faire mon devoir. Je souffrais énormément et me sentais très négative. Je me demandais si cette situation signifiait que Dieu me révélait et qu’Il ne voulait plus de moi. Plus tard, j’ai lu un passage de la parole de Dieu et j’ai compris Son intention. Dieu dit : « Parfois, Dieu Se sert d’un certain sujet pour te révéler ou te discipliner. Est-ce que cela signifie que tu as été éliminé ? Cela signifie-t-il que ta fin est venue ? Non. […] En fait, dans bien des cas, les inquiétudes des gens sont liées à leurs intérêts personnels. De façon générale, il s’agit de la crainte de n’avoir aucune fin. Ils pensent constamment : “Et si Dieu me révèle, m’élimine et me rejette ?” C’est ta mauvaise compréhension de Dieu : ce ne sont que tes suppositions partiales. Il faut que tu détermines quelle est l’intention de Dieu. Quand Il révèle les gens, ce n’est pas dans le but de les éliminer. Les gens sont révélés pour exposer leurs défauts, leurs erreurs et leur nature-essence, pour qu’ils se connaissent eux-mêmes, et deviennent capables d’une vraie repentance. Le fait de révéler les gens a pour raison de permettre à leur vie de se développer. Sans une compréhension pure, les gens sont susceptibles de mal interpréter Dieu et de devenir négatifs et faibles. Ils peuvent même céder au désespoir. En fait, être révélé par Dieu ne signifie pas nécessairement que vous serez éliminés. Il s’agit de te permettre de connaître ta propre corruption et te pousser au repentir. Souvent, parce que les gens sont rebelles et ne cherchent pas une solution dans la vérité lorsqu’ils révèlent de la corruption, Dieu doit faire preuve de discipline. Et donc, parfois, Il révèle les gens, exposant leur laideur et leur état pitoyable et en faisant en sorte qu’ils se connaissent, ce qui permet que leur vie se développe. Révéler les gens a deux implications différentes : concernant les gens malfaisants, le fait d’être révélé signifie qu’ils sont éliminés. Concernant ceux qui sont capables d’accepter la vérité, c’est un rappel et un avertissement : cela les amène à réfléchir sur eux-mêmes, à voir leur véritable état et à cesser d’être capricieux et irréfléchis, parce que continuer ainsi serait dangereux. Révéler ainsi les gens, c’est leur adresser un rappel afin qu’en accomplissant leur devoir, ils ne deviennent pas confus et négligents, qu’ils ne prennent pas les choses au sérieux, qu’ils se contentent de quelques résultats, pensant avoir rempli leur devoir selon une norme acceptable, alors qu’en réalité, à l’aune de ce que Dieu exige, ils sont loin d’être à la hauteur, mais sont toujours complaisants et pensent que tout va bien. Dans de telles circonstances, Dieu disciplinera, mettra en garde et rappellera les gens. Parfois, Dieu révèle leur laideur, ce qui sert manifestement de rappel. Dans ces moments-là, tu dois réfléchir sur toi-même : accomplir ton devoir de cette manière est inadéquat, il y a de la rébellion en toi, il y a beaucoup trop d’éléments négatifs, tout ce que tu fais est superficiel et si tu ne te repens toujours pas, tu seras puni de plein droit. Lorsque Dieu te discipline parfois, et te révèle, cela ne signifie pas nécessairement que tu seras éliminé. Cette question doit être abordée correctement. Même si tu es éliminé, tu dois l’accepter et t’y soumettre, et te hâter de réfléchir et de te repentir » (La Parole, vol. 3 : Discours de Christ des derniers jours, Ce n’est qu’en pratiquant la vérité et en se soumettant à Dieu que l’on peut réaliser un changement de tempérament). Ces paroles de Dieu ont dissipé mon incompréhension à Son sujet. J’avais pensé que le fait d’être arrêtée et de perdre mon devoir était Dieu qui utilisait cette situation pour me révéler et m’éliminer. Mais en réalité, c’était un rappel et un avertissement de Dieu, et cela m’a poussée à réfléchir sur moi-même. Je m’étais toujours plainte des difficultés et des épreuves, et j’avais convoité le confort au lieu de faire du travail concret dans mon devoir, ce qui n’avait fait qu’entraver le travail. Si cette situation ne m’était pas arrivée, je n’aurais pas réfléchi sur moi-même et j’aurais continué à prendre mon devoir à la légère. Cela aurait causé des pertes irréparables au travail et aurait mis Dieu en colère, ce qui aurait sans aucun doute entraîné mon élimination. Je savais que je devais soigneusement réfléchir sur moi-même et vraiment me repentir, car cela était en accord avec l’intention de Dieu. Je ne pouvais plus mal comprendre Dieu. Alors j’ai commencé à réfléchir, et j’ai prié Dieu, Lui demandant de me guider pour tirer une leçon de cette situation.
Plus tard, j’ai lu ces paroles de Dieu : « Quand les gens font un devoir, ils choisissent toujours des travaux peu éprouvants, des travaux qui ne sont pas fatigants, et qui n’impliquent pas de braver les éléments à l’extérieur. C’est là choisir les tâches faciles et esquiver celles qui sont difficiles, et c’est une manifestation qui montre que l’on convoite le confort de la chair. Quoi d’autre ? (Se plaindre sans cesse quand son devoir est un peu difficile, un peu fatigant, quand il implique de payer un prix.) (Être préoccupé par la nourriture et les vêtements, et les plaisirs de la chair.) Tout cela relève de manifestations qui montrent que l’on convoite le confort de la chair. Quand un individu de ce genre voit qu’une tâche est trop laborieuse ou risquée, il l’impose à quelqu’un d’autre. Lui-même ne fait qu’un travail facile, et il se trouve des excuses, en disant qu’il est de calibre médiocre, qu’il manque de capacités de travail et ne peut pas assumer cette tâche, alors qu’en réalité, c’est parce qu’il convoite le confort de la chair. Il ne souhaite pas souffrir, peu importe le travail qu’il fait ou le devoir qu’il accomplit. […] Il y a également des moments où les gens se plaignent constamment de leurs difficultés quand ils font leur devoir, des moments où ils ne veulent faire aucun effort, des moments où, dès qu’ils ont un peu de temps libre, ils se reposent, bavardent oisivement ou s’adonnent à des loisirs et des divertissements. Et quand le travail reprend et que cela casse le rythme et la routine de leur vie, ils en sont mécontents et insatisfaits. Ils râlent et se plaignent, et se mettent à faire leur devoir de façon superficielle. C’est là convoiter le confort de la chair, n’est-ce pas ? […] Même si le travail de l’Église est abondant ou si leurs devoirs sont chargés, leur routine quotidienne et les conditions habituelles de leur vie ne sont jamais perturbées. Elles ne sont jamais négligentes face aux moindres détails de la vie de la chair et elles les contrôlent parfaitement, en se montrant très strictes et très sérieuses. Mais quand elles s’occupent du travail de la maison de Dieu, même quand la question est importante et même si celle-ci concerne la sécurité des frères et sœurs, elles s’en occupent négligemment. Elles ne se soucient même pas des choses qui concernent la commission de Dieu ou le devoir qu’elles devraient faire. Elles ne prennent aucune responsabilité. C’est là s’adonner au confort de la chair, n’est-ce pas ? Les gens qui s’adonnent au confort de la chair conviennent-ils pour faire un devoir ? Dès que quelqu’un parle de faire son devoir, ou de payer un prix et d’endurer des souffrances, ces gens ne cessent de secouer la tête. Ils ont de trop nombreux problèmes, ils sont pleins de récriminations et sont emplis de négativité. Les personnes de ce genre ne servent à rien, elles ne sont pas qualifiées pour faire leur devoir et elles devraient être éliminées » (La Parole, vol. 5 : Les responsabilités des dirigeants et des ouvriers, Les responsabilités des dirigeants et des ouvriers (2)). « C’est parce que ce qui reflète de la façon la plus perceptible ce qui te lie à Dieu, c’est la façon dont tu traites les affaires que Dieu te confie, le devoir qu’Il t’assigne et l’attitude que tu adoptes. Ce qui est le plus observable et le plus concret, c’est cet aspect. Dieu attend. Il veut voir ton attitude. À cet instant crucial, tu devrais te dépêcher de faire connaître ta position à Dieu, d’accepter Sa commission et de bien accomplir ton devoir. Quand tu auras saisi ce point crucial et rempli la commission que Dieu t’a donnée, ta relation avec Lui sera normale. Si, quand Dieu te confie une tâche ou te dit d’accomplir un certain devoir, ton attitude est hâtive et apathique et tu ne prends pas cela au sérieux, est-ce qu’au lieu d’y mettre tout ton cœur et toutes tes forces, tu ne fais pas précisément le contraire ? Peux-tu accomplir ton devoir correctement de cette façon ? Certainement pas. Tu n’accompliras pas ton devoir de façon satisfaisante. Lorsque tu accomplis ton devoir, ton attitude est donc de la plus haute importance, tout comme la méthode et le chemin que tu choisis. Peu importe le nombre d’années pendant lesquelles ils ont cru en Dieu, ceux qui ne réussissent pas à accomplir leurs devoirs correctement seront éliminés » (La Parole, vol. 3 : Discours de Christ des derniers jours, Troisième partie). En réfléchissant à ces paroles de Dieu, j’ai eu l’impression que mon cœur avait été transpercé, comme si Dieu se tenait devant moi et me jugeait. Dieu confie des mandats aux gens dans l’espoir qu’ils puissent les remplir avec tout leur cœur et toute leur force. Mais j’avais eu une telle attitude dédaigneuse envers mon devoir, et je n’avais pas du tout assumé mes responsabilités. Quand mes devoirs étaient devenus quelque peu intenses ou qu’il y avait eu des difficultés qui nécessitaient que je réfléchisse ou que je paye un prix, j’avais convoité le confort et m’étais plainte, refusant de subir des difficultés ou de payer un prix. J’avais même voulu démissionner et fuir mes devoirs. J’ai repensé au moment où j’ai commencé à assumer le devoir de dirigeante d’Église. Même s’il y avait beaucoup de travail à faire, je me fiais à Dieu et payais un prix réel. Dieu me guidait, et le travail avançait un peu. Par la suite, alors que le nombre de membres de l’Église a augmenté, il y avait plus de travail à faire, et la sœur avec laquelle je collaborais était encore une nouvelle arrivante, alors la plupart du travail de l’Église avait néccessité mon implication personnelle. J’étais occupée jour et nuit, et je sentais que je souffrais physiquement. Je craignais surtout que mon cancer revienne, alors je ne voulais plus mettre tout mon cœur dans mes devoirs. Voyant que le travail d’évangélisation n’avançait pas, je m’étais plainte des difficultés et des épreuves. Je prenais comme excuse de ne pas pouvoir gérer le travail parce que je manquais de calibre, et je voulais toujours fuir mes responsabilités pour un devoir plus facile. En réalité, si j’avais été disposée à payer un prix, j’aurais pu bien faire le travail. Mais j’avais peur des problèmes, et je ne voulais pas faire l’effort de chercher les paroles de Dieu afin de résoudre les difficultés des frères et sœurs. J’avais peur que mon corps lâche, alors je me contentais de regarder le lent avancement du travail sans m’en soucier. Résultat, le travail d’évangélisation a été inefficace pendant des mois. Tout cela était dû à mon désir excessif de confort. Alors même que cela était le cas, lorsque la sœur m’a émondée, je n’ai pas réfléchi. Et à la place, j’ai essayé de ma justifier. Dieu haïssait mon attitude envers mes devoirs et elle le dégoûtait. Dieu a utilisé cette situation pour arrêter mes devoirs, révélant totalement Son tempérament juste. Or, je n’ai pas réfléchi sur moi-même, je pensais que Dieu utilisait cette situation pour me révéler et m’éliminer, et je vivais dans l’incompréhension. Je ne comprenais pas du tout les bonnes intentions de Dieu ! En réalisant cela, je me suis sentie profondément redevable à Dieu, alors j’ai prié Dieu : « Ô mon Dieu, je n’ai pas assumé mes responsabilités, et face aux difficultés, je me suis plainte, me souciant uniquement de ma chair et craignant l’épuisement. Je n’ai pas du tout fait preuve de considération envers Ton intention. À présent, je reconnais ma rébellion et suis disposée à me repentir. Je ne sais pas si à l’avenir, j’aurai l’opportunité de faire des devoirs. Mais si c’est le cas, je suis disposée à faire preuve de considération envers Ton intention, et à ne plus chercher le confort physique. »
Après ça, je me suis calmée, j’ai lu les paroles de Dieu et prié Dieu, en réfléchissant à la raison pour laquelle je n’étais pas disposée à souffrir ou à payer un prix dans mes devoirs. Plus tard, j’ai lu un passage des paroles de Dieu : « Tu espères que ta foi en Dieu n’entraînera aucun défi et aucune tribulation, ni la moindre difficulté. Tu poursuis toujours ces choses qui ne valent rien et tu n’attaches aucune valeur à la vie ; au lieu de cela, tu fais passer tes propres pensées extravagantes avant la vérité. Tu ne vaux absolument rien ! Tu vis comme un cochon ; quelle différence y a-t-il entre toi et les cochons et les chiens ? Ceux qui ne poursuivent pas la vérité et qui aiment la chair ne sont-ils pas tous des animaux ? Est-ce que ces morts sans esprit ne sont pas tous des cadavres ambulants ? Combien de paroles ont été prononcées parmi vous ? Y a-t-il eu seulement un peu de travail fait parmi vous ? Combien ai-Je fourni parmi vous ? Alors pourquoi ne l’as-tu pas gagné ? Qu’as-tu à te plaindre ? N’est-il pas vrai que tu n’as rien gagné parce que tu es trop amoureux de la chair ? Et n’est-ce pas parce que tes pensées sont trop extravagantes ? N’est-ce pas parce que tu es trop stupide ? Si tu es incapable de gagner ces bénédictions, peux-tu blâmer Dieu de ne pas te sauver ? […] Un lâche comme toi qui poursuit toujours la chair – as-tu un cœur, as-tu un esprit ? N’es-tu pas une bête ? Je te donne le vrai chemin sans rien demander en retour, mais tu ne le poursuis pas. Es-tu de ceux qui croient en Dieu ? » (La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, Les expériences de Pierre : sa connaissance du châtiment et du jugement). Dieu expose que lorsque les gens sont confrontés à des difficultés dans leurs devoirs, ils se plaignent et ne sont pas disposés à les faire. Ce genre de personnes qui cherchent le confort sont comme des cochons : ils ne savent que se gaver de nourriture, de boisson et de sommeil, sans aucune poursuite positive. En réfléchissant aux paroles de Dieu, j’ai vu que j’étais exactement comme ça. Faire le devoir de dirigeante était pour moi l’occasion de pratiquer. Cela me permettait de chercher la vérité et d’assumer le travail en cas de difficultés. Mais quand j’ai vu qu’être dirigeante était synonyme de beaucoup d’inquiétude et de dur labeur, je me suis sentie réfractaire, et lorsque le travail d’évangélisation était inefficace et nécessitait que je souffre et que je paie un prix, je me souciais uniquement de mon corps, de peur que l’épuisement ne fasse revenir mon cancer. Alors je trouvais sans cesse des excuses et je voulais démissionner. J’ai vu que je n’avais aucune conscience, ni aucun sens des responsabilités. J’avais été irresponsable envers mes devoirs et je les avais pris à la légère. Résultat, le travail d’évangélisation n’avançait pas, et je n’apportais aucune aide aux frères et sœurs non plus. Même si je ne m’épuisais pas, je retardais le travail de l’Église. J’avais été égoïste et peu digne de confiance, comment Dieu pouvait-il ne pas me haïr et ne pas être dégoûté par moi ? En repensant à l’époque où l’Église avait moins de membres, même s’il y avait beaucoup de tâches et quelques difficultés dans le travail, en payant un prix, au bout d’un moment, le travail avait montré des signes d’amélioration, et j’étais parvenue à comprendre certaines vérités-principes. À mesure que le nombre de membres de l’Église augmentait, et que certains problèmes apparaissaient dans le travail, je n’étais pas disposée à payer un prix ou à chercher la vérité pour les résoudre, car j’avais peur que mon corps lâche. Par conséquent, non seulement le travail était inefficace, mais je ne gagnais aucune vérité non plus. Dieu a payé un tel prix pour moi, Il a arrangé de nombreuses situations pour purifier et changer mon tempérament corrompu, et Il m’a donné l’opportunité de gagner la vérité à travers mes devoirs. Mais, j’ai reculé face aux difficultés qui impliquaient une souffrance physique. Cela signifiait que non seulement j’avais laissé tomber l’intention minutieuse de Dieu, mais que j’avais aussi causé des pertes au travail de l’Église, et que j’avais laissé des transgressions dans mon sillage. Je me sentais vraiment coupable. J’ai prié Dieu, souhaitant me repentir.
Après avoir prié, je me suis souvenue d’un passage des paroles de Dieu : « Ta manière de considérer les commissions de Dieu est extrêmement importante, et c’est une question très sérieuse. Si tu ne peux pas terminer ce que Dieu a confié aux gens, alors tu n’es pas digne de vivre en Sa présence et tu devrais être puni. Il est parfaitement naturel et justifié que les humains terminent toutes commissions que Dieu leur confie. C’est la suprême responsabilité des hommes, tout aussi importante que leur vie même. Si tu ne prends pas les commissions de Dieu au sérieux, alors tu Le trahis de la manière la plus grave. En cela, tu es plus lamentable que Judas et tu devrais être maudit » (La Parole, vol. 3 : Discours de Christ des derniers jours, Comment connaître la nature de l’homme). C’était vrai. J’avais été dédaigneuse, je m’étais sentie réfractairee et j’avais manqué de sens du fardeau envers mes devoirs. C’était là une grave trahison envers Dieu et j’avais été encore plus lamentable que Judas. Judas a vendu le Seigneur Jésus pour ses propres intérêts, et à cette époque-là, Dieu ne le prêchait pas beaucoup. Mais aujourd’hui, j’avais lu tant de paroles de Dieu, je comprenais certaines vérités et les intentions de Dieu de sauver les gens, et pourtant, au lieu de faire de mon mieux pour exécuter mes devoirs afin de rendre à Dieu Son amour, j’écoutais ma chair et étais irresponsable envers le travail de l’Église. Mes actions n’étaient-elles pas plus répugnantes que celles de Judas ? Dans mes devoirs, je ne tenais compte que de ma chair, choisissais toujours la facilité, et ignorais complètement le travail de l’Église. Mon comportement représentait une trahison envers Dieu, et garantissait que je sois maudite et punie par Dieu. En réalité, si j’avais été plus assidue dans mes devoirs et disposée à déployer des efforts et à payer le prix, alors le travail d’évangélisation n’aurait pas été inefficace pendant des mois. J’avais pris mes devoirs à la légère et retardé le travail d’évangélisation. C’était là une grave transgression ! En réalisant cela, j’ai eu peur. J’ai réfléchi au fait que Dieu était vraiment dégoûté par mon attitude envers mes devoirs et qu’Il la haïssait, et que je méritais d’être maudite. Mais Dieu ne me traitait pas en fonction de mes actions. Au lieu de ça, Il utilisait mes arrestations par le PCC pour me forcer à me présenter devant Lui pour que je réfléchisse à mon tempérament corrompu et le reconnaisse, dans l’espoir que je puisse renoncer à ma chair et me tourner vers Lui. J’étais disposée à accepter le jugement de Dieu et à me repentir devant Dieu. Et à l’avenir, peu importe à quel point mes devoirs sont fatigants et difficiles, je ne les fuirai pas, et je voulais juste faire de mon mieux pour les accomplir.
Par la suite, afin de m’occuper de ma peur constante que mon corps lâche et de mon état qui a peur de la mort, j’ai lu davantage de paroles de Dieu qui ont résolu mes inquiétudes. Dieu dit : « De fait, si on a vraiment la foi en Dieu dans son cœur, on doit savoir, avant tout, que la durée de vie d’une personne est entre les mains de Dieu. Les dates de naissance et de mort sont prédestinées par Dieu » (La Parole, vol. 3 : Discours de Christ des derniers jours, Troisième partie). « Certains font tout ce qu’ils peuvent et emploient diverses méthodes pour soigner leur maladie, mais, quel que soit le traitement qu’ils utilisent, ils ne peuvent pas être guéris. Plus ils se soignent, plus la maladie devient grave. Au lieu de prier Dieu pour trouver ce qu’il se passe exactement, quelle est la cause profonde de leur maladie, ils prennent les choses en main propre. Ils finissent par utiliser de nombreuses méthodes et dépenser une somme d’argent importante, mais leur maladie n’est toujours pas guérie. Ensuite, une fois qu’ils ont abandonné leur traitement, la maladie guérit toute seule après un certain temps, sans qu’ils s’y attendent, et ils ne savent pas comment cela a pu se produire. D’autres contractent une maladie bénigne et ne s’en inquiètent pas vraiment, mais un jour, leur état s’aggrave et ils meurent subitement. Qu’est-ce que cela veut dire ? Les gens sont incapables de le comprendre. Mais en réalité, du point de vue de Dieu, c’est parce que la mission de la personne dans ce monde est achevée, et donc Il l’a emmenée. Les gens disent souvent : “Les gens ne meurent pas s’ils ne sont pas malades.” Est-ce vraiment le cas ? Chez certaines personnes, qui ont été examinées à l’hôpital, on n’a trouvé aucune maladie. Elles étaient en excellente santé mais sont mortes en quelques jours. C’est ce qu’on appelle mourir sans maladie. Cela arrive à beaucoup de gens. Cela veut dire qu’une personne a atteint le terme de sa vie et qu’elle est retournée dans le domaine spirituel. Certaines personnes ont survécu à un cancer et à la tuberculose et vivent jusqu’à soixante-dix ou quatre-vingts ans. C’est le cas de nombreuses personnes. Tout cela dépend de ce que Dieu a ordonné. Comprendre cela, c’est avoir la vraie foi en Dieu » (La Parole, vol. 3 : Discours de Christ des derniers jours, Troisième partie). Grâce à ces paroles de Dieu, j’ai compris que le retour de ma maladie et ma mort sont entre les mains de Dieu, et que ce n’était pas des choses que je pouvais contrôler. Tout comme mon cancer n’était pas le produit de ma propre volonté, le moment où je suis tombée malade et le moment où j’ai été guérie étaient tous prédestinés par Dieu. Je devais me soumettre à la souveraineté et aux arrangements de Dieu, bien faire mon devoir, et ne pas m’inquiéter inutilement de la vie et de la mort. J’avais toujours eu peur qu’en m’épuisant dans mes devoirs ma maladie revienne et que je meure. Je n’avais pas porté de sens du fardeau dans mes devoirs, et j’avais retardé le travail de l’Église. À ce stade, j’ai compris que la vie et la mort d’une personne étaient entre les mains de Dieu, et que même si mon cancer devait revenir, je devais bien faire mes devoirs, et que si Dieu permettait à la mort de s’abattre sur moi, je devais avoir une attitude d’acceptation et de soumission, ce qui est conforme à l’intention de Dieu.
J’ai également pensé à la façon dont Noé a traité le mandat de Dieu. Dieu dit : « Face à toutes sortes de problèmes, de situations difficiles et de défis, Noé n’a pas reculé. Quand certains de ses travaux techniques les plus difficiles échouaient, ce qui arrivait fréquemment, et qu’ils subissaient des dégâts, même si Noé se sentait contrarié et angoissé dans son cœur, quand il pensait aux paroles de Dieu, quand il se souvenait de chaque mot que Dieu avait employé pour lui donner Ses ordres, et de son élévation par Dieu, alors il se sentait souvent extrêmement motivé : “Je ne peux pas abandonner, je ne peux pas rejeter ce que Dieu m’a ordonné de faire et ce qu’Il m’a confié ; c’est là la commission de Dieu, et comme je l’ai acceptée, comme j’ai entendu les paroles prononcées par Dieu et la voix de Dieu, comme j’ai accepté cela de Dieu, alors je dois me soumettre absolument, c’est ce qui devrait être atteint par un être humain.” Donc, peu importe le genre de difficultés qu’il affrontait, peu importe le genre de moqueries ou de calomnies qu’il rencontrait, peu importe à quel point son corps s’était fatigué, à quel point il s’était affaibli, Noé n’a pas renoncé à ce que Dieu lui avait confié, il a constamment gardé à l’esprit le moindre mot présent dans ce que Dieu avait dit et ordonné. Peu importe la façon dont son environnement changeait, peu importe la difficulté à laquelle il faisait face, Noé avait confiance et se disait que rien de tout cela n’allait continuer pour toujours, que seules les paroles de Dieu ne s’éteindraient jamais, et que seul ce que Dieu avait ordonné serait certainement accompli. Noé avait en lui une vraie foi en Dieu, ainsi que la soumission qu’il devait avoir, et il a continué à construire l’arche que Dieu lui avait demandé de construire. Jour après jour, année après année, Noé a vieilli, mais sa foi n’a pas diminué, et il n’y a eu aucun changement dans son attitude et sa détermination à achever la commission de Dieu. Même si, à certains moments, son corps s’est fatigué et épuisé, même si Noé est tombé malade et s’il a été faible dans son cœur, sa détermination et sa persévérance quant à l’accomplissement de la commission de Dieu et la soumission aux paroles de Dieu ne se sont pas atténuées. Au cours des années pendant lesquelles Noé a construit l’arche, Noé pratiquait l’écoute des paroles que Dieu avait prononcées, et se soumettait aux paroles que Dieu avait dites, et il pratiquait aussi une vérité importante pour un être créé et une personne ordinaire ayant la nécessité d’achever la commission de Dieu » (La Parole, vol. 4 : Exposer les antéchrists, Annexe 3 : Comment Noé et Abraham ont écouté les paroles de Dieu et se sont soumis à Lui (Partie II)). Grâce aux paroles de Dieu, j’ai vu que Noé avait été capable de faire preuve de considération envers l’intention de Dieu. Face à l’immense difficulté de la construction de l’arche, même si son corps avait dû subir beaucoup de souffrances, il n’avait pas reculé. Au lieu de ça, il avait persévéré dans le mandat que Dieu lui avait donné jour après jour pendant 100 ans, jusqu’à ce que l’arche soit construite. En comparant la pratique de Noé et la mienne, j’ai eu vraiment honte et je me suis sentie vraiment humiliée. Je n’avais pas persisté dans mon devoir. Au lieu de cela, je m’étais plainte des difficultés et des épreuves, et je n’avais pensé qu’à mon corps à la moindre occasion. Je n’étais en rien comparable à Noé, j’étais juste une personne sans conscience. J’avais eu un cancer et j’avais été guérie sous la protection de Dieu, et pendant toutes ces années où j’ai fait mon devoir, ma maladie n’était pas revenue. Mais au lieu d’essayer de rendre à Dieu Son amour, je pensais toujours à ma chair, j’avais peur que mon cancer revienne, et je cherchais toujours le confort physique. Plus d’une fois, j’ai même voulu fuir mon devoir. Je n’avais aucune loyauté envers Dieu, j’avais été vraiment égoïste et méprisable, sans aucune humanité ni raison ! Plus j’y pensais, plus je me sentais coupable et indigne de l’exaltation et du salut de Dieu. Je devais suivre l’exemple de Noé et arrêter d’écouter ma chair. Si on me donnait une autre opportunité de faire mes devoirs, je devais la chérir.
Plus tard, les dirigeants supérieurs m’ont confié la supervision du travail d’une Église de nouveaux arrivants. J’étais très heureuse. Je savais que c’était là Dieu qui me donnait une chance de me repentir. Lorsque je suis arrivée à l’Église des nouveaux arrivants, j’ai vu que les résultats du travail étaient médiocres, que le travail d’évangélisation, en particulier n’avait pas progressé de que l’équipe était en sous-effectif. J’ai senti que les difficultés étaient vraiment considérables, et je me suis dit : « Pour bien faire ce travail, cela demandera beaucoup d’efforts, et il faudra aussi étudier et maîtriser divers principes du travail. Je ne suis pas en très bonne santé, et si mon corps lâche ? » Alors je ne voulais pas payer un prix. Mais j’ai réalisé que ma pensée était erronée, alors j’ai prié Dieu : « Ô mon Dieu, je ne veux plus écouter ma chair lorsque le travail de l’Église rencontre des difficultés. Il faut que j’aie une conscience et une raison pour coopérer avec Toi. Guide-moi, s’il Te plaît. Je suis disposée à travailler en totale collaboration avec les frères et sœurs pour bien faire le travail. » Après ça, j’ai fait des efforts pour trouver des maisons d’accueil appropriées lorsque j’ai vu qu’il n’y avait pas d’endroits pour les réunions, pour que mes frères et sœurs puissent vivre une vie d’Église. Je me suis également sentie perturbée lorsque j’ai vu les frères et sœurs qui prêchaient l’Évangile vivre en difficulté, mais je me suis dit que prêcher l’Évangile est l’intention de Dieu et que je ne pouvais pas fuir face aux difficultés. J’ai alors cherché les paroles de Dieu pour résoudre les états des frères et sœurs, et j’ai échangé sur la façon dont Noé avait traité le mandat de Dieu, permettant aux frères et sœurs de comprendre l’importance de la prédication de l’Évangile et de l’intention urgente de Dieu. Après mon échange, les états des frères et sœurs se sont améliorés, et ils ont été disposés à accomplir le travail d’évangélisation. Au bout d’un moment, le travail d’évangélisation s’est quelque peu amélioré comparé à avant, tout ça grâce à la direction de Dieu !
À travers cette expérience, j’ai gagné une certaine compréhension de l’essence et des conséquences liées à l’envie de confort, et j’ai aussi gagné une certaine compréhension du tempérament juste de Dieu. Aujourd’hui, je suis capable de corriger mon attitude et d’avoir le sens des responsabilités envers mes devoirs. Ce sont les paroles de Dieu qui ont permis d’arriver à ce résultat. Dieu soit loué !
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