Après que tout le monde a été promu sauf moi
En janvier 2021, le projet dont j’étais responsable était presque terminé. Mes frères et sœurs ont été progressivement transférés à d’autres devoirs, jusqu’à ce qu’il ne reste plus que quelques partenaires et moi pour finaliser le travail. À ce moment-là, j’étais concentrée sur l’achèvement de mon travail en cours et le fait d’assumer mon devoir jusqu’au bout. À ma grande surprise, j’ai appris un jour qu’une de mes partenaires était promue dirigeante. Elle serait chargée du travail d’évangélisation. Ҫa m’a perturbée et rendue un peu amère. Pourquoi n’étais-je pas promue dirigeante ? Ne pouvais-je pas servir comme dirigeante ou superviseuse, moi aussi ? Mais alors j’ai pensé : « Elle a peut-être été promue avant moi parce que c’est une ouvrière plus compétente. De toute manière, mon travail n’est pas encore fini et mes partenaires poursuivent aussi leurs devoirs ici. On nous arrangera sûrement de nouveaux devoirs quand le travail sera terminé. » Mais, peu après, mes trois autres partenaires ont aussi été promus dirigeants d’Église ou superviseuses d’Église. Cette nouvelle m’a mise encore plus mal à l’aise. J’étais restée à mon poste alors qu’ils avaient tous été promus dirigeants et ouvriers. Je devais me charger de tout ce sur quoi ils travaillaient. Visiblement, je serais responsable de l’ensemble du travail jusqu’à la toute fin. Je travaillais aussi dans l’équipe, alors pourquoi étaient-ils tous promus à ma place ? Étais-je vraiment si mauvaise que ça ? Mes frères et sœurs semblaient penser que mes partenaires valaient mieux que moi. De nous tous, c’était moi qui m’en sortais le plus mal. Mes dirigeants pensaient-ils que je ne méritais pas d’être cultivée ? Avaient-ils des préjugés contre moi ? Je n’avais vraiment pas envie de me charger du travail des autres. J’avais l’impression que plus j’en ferais, moins je pourrais faire d’autres sortes de travail. Quand j’en aurais fini avec mon travail, mes partenaires auraient déjà pratiqué pendant un certain temps. Leur travail leur serait devenu familier et ils auraient maîtrisé certains principes, alors que je serais une parfaite novice. Si on me chargeait ensuite de prêcher l’Évangile ou d’abreuver des nouveaux venus et qu’un de mes anciens partenaires devenait mon superviseur, il y aurait un fossé très embarrassant entre nous. Plus j’y pensais, plus ça me contrariait. Quand mes frères et sœurs m’ont demandé d’effectuer leurs tâches, je m’y suis farouchement opposée. J’étais contrariée et je ne voulais pas le faire. Pendant plus de deux jours, je n’ai pas essayé d’apprendre à faire les tâches qu’ils m’avaient confiées. Je ne me suis pas beaucoup souciée de mon propre travail, j’ai remis des choses à plus tard, je n’ai pas assuré le suivi du travail, et je ne me suis pas demandé quels problèmes avaient besoin d’être résolus ni comment bien faire les choses. Même si je me disais que je devais obéir à l’environnement que Dieu avait arrangé, je me sentais passive, démotivée et indifférente. Je ne savais pas quoi dire quand je priais et je ne lisais pas les paroles de Dieu avec tout mon cœur. J’en avais vaguement conscience. Je me suis présentée devant Dieu et j’ai prié : « Ô Dieu, je résiste beaucoup au fait de me charger du travail de mes partenaires, ces temps-ci. Je sais que mon état n’est pas bon. S’il Te plaît, guide-moi pour que je puisse me connaître. »
Après avoir prié, j’ai lu un passage des paroles de Dieu qui m’a donné une plus grande conscience de mon état. La parole de Dieu dit : « Maintenant, vous tous êtes les interprètes à plein-temps de vos devoirs. Vous n’êtes pas contraints ou coincés par la famille, le mariage ou la richesse. Vous vous en êtes déjà extraits. Cependant, les notions, les imaginations, les connaissances et les intentions et les désirs personnels qui remplissent vos têtes restent inchangés par rapport à leur forme originale. Donc, dès qu’il s’agit de réputation, de statut, ou de ce qui vous donne de la visibilité, si, par exemple, vous entendez dire que la maison de Dieu prévoit de cultiver une variété de talents, le cœur de chacun d’entre vous bondit d’anticipation et chacun de vous a toujours envie de se faire un nom et d’être reconnu. Tout le monde veut se battre pour le statut et la réputation, et tout le monde en a honte, mais les gens se sentent coupables s’ils ne le font pas. Ils ressentent de la jalousie et de la haine quand ils voient quelqu’un sortir du lot, ils éprouvent du ressentiment et ont l’impression que c’est injuste, et ils pensent : “Pourquoi ne puis-je pas me démarquer ? Pourquoi est-ce que ce sont toujours d’autres qui récoltent la gloire ? Pourquoi n’est-ce jamais mon tour ?” Et quand ils éprouvent du ressentiment, ils essaient de le réprimer, mais en vain. Ils prient Dieu et se sentent mieux pendant un moment, mais quand ils se retrouvent à nouveau dans ce genre de situation, ils n’arrivent encore pas à surmonter cela. N’est-ce pas le signe d’une stature immature ? Quand les gens sont plongés dans ces états, ne sont-ils pas tombés dans le piège de Satan ? Ce sont les chaînes de la nature corrompue de Satan qui lient les humains. […] Plus tu luttes, plus les ténèbres t’encercleront, et la jalousie et la haine dans ton cœur augmenteront, et tu auras un désir plus fort d’acquérir. Plus ton désir d’acquérir sera ardent, moins tu seras capable de le faire, et en acquérant moins, ta haine augmentera. À mesure que ta haine augmentera, tu deviendras plus sombre à l’intérieur. Plus tu seras sombre à l’intérieur, plus tu accompliras ton devoir médiocrement, et moins tu seras utile à la maison de Dieu. C’est un cercle vicieux où tout est interconnecté. Si tu n’arrives jamais à accomplir ton devoir correctement, alors, progressivement, tu seras rejeté » (« Offre à Dieu un cœur vrai, et tu pourras obtenir la vérité », dans Sermons de Christ des derniers jours). Ces paroles de Dieu révélaient mon état. Je résistais autant et j’étais aussi contrariée parce que mon désir de réputation et de statut n’était pas satisfait. Ce désir s’était éveillé quand j’avais vu mes partenaires être promus. J’avais espéré être promue aussi, pour obtenir un statut et l’estime des gens, mais quand, n’étant pas promue moi-même, j’avais dû me charger du travail de mes partenaires j’étais devenue jalouse d’eux et j’avais cru que les dirigeants avaient des préjugés contre moi ou me méprisaient. Quand je m’étais dit que j’étais la plus mauvaise aux yeux de mes dirigeants, que je n’avais aucune position alors que tous mes partenaires avaient été promus dirigeants et superviseurs, j’avais été malheureuse et insatisfaite. J’avais même passé ma colère sur mon travail. J’avais arrêté de me soucier des tâches qui m’étaient confiées et je n’avais plus mis tout mon cœur dans mon travail. Dieu détestait me voir vivre dans cet état de rébellion, alors je n’avais rien à dire en prière, je ne tirais aucun éclairage de Sa parole et je devenais plus mauvaise dans mon devoir. La parole de Dieu dit que rivaliser pour le statut est un cercle vicieux qui mène aux ténèbres, et j’y étais tombée. En repensant à cette période, je me suis souvenue que je m’étais juré d’assumer mon devoir jusqu’à la toute fin. Pourtant, dès que j’avais vu d’autres être promus et que mon désir de statut avait été frustré, je m’étais désintéressée de mon devoir. Mon désir de statut était trop grand. Je devais vite chercher la vérité pour résoudre mon état.
Ensuite, j’ai lu un passage de la parole de Dieu sur la manière d’aborder le fait d’être promu et cultivé qui a résolu mon état. La parole de Dieu dit : « Si tu t’estimes apte à être dirigeant, si tu t’estimes doté du talent, du calibre et de l’humanité nécessaires pour diriger, et que, pourtant, la maison de Dieu ne t’a pas promu et que les frères et sœurs ne t’ont pas élu, comment dois-tu aborder la question ? Il existe un chemin sur lequel tu peux pratiquer. Tu dois te connaître en profondeur. Demande-toi si tu n’as pas en fait un problème d’humanité, si l’un des aspects de ton tempérament corrompu ne repousse pas les gens, si tu ne possèdes pas la réalité de la vérité et si tu es peu convaincant, ou si tu accomplis ton devoir de manière insatisfaisante. Tu dois réfléchir à toutes ces choses et identifier dans quel domaine, exactement, tu es défaillant. Après mûre réflexion, et après avoir trouvé où était le problème, tu dois rapidement chercher la vérité pour le corriger, entrer dans la réalité de la vérité, et lutter pour parvenir à un changement et grandir, de sorte qu’en te voyant faire cela, ton entourage dise : “Ces jours-ci, il est bien meilleur qu’avant. Il travaille consciencieusement et prend sa mission au sérieux, et il est particulièrement concentré sur les principes de la vérité. Il n’agit pas de façon impétueuse, négligente ou superficielle, et il est davantage appliqué et responsable dans son travail. Auparavant, il parlait haut et fort de ce qu’il faisait, mais maintenant, il est beaucoup plus discret et n’est plus péremptoire. Il ne se vante pas de ce qu’il est capable de faire, et quand il a fini quelque chose, il y réfléchit à maintes reprises, de crainte d’avoir mal fait. Il fait les choses avec une plus grande attention, et il craint Dieu dans son cœur à présent ; et surtout, il arrive à échanger sur la vérité pour résoudre certains problèmes. Il a vraiment grandi.” Ceux qui auront interagi avec toi pendant un certain temps trouveront, à l’évidence, que tu as changé et grandi. Dans ta vie quotidienne et dans ta conduite envers les autres, dans ton attitude vis-à-vis du travail, et, de la même manière, dans ta façon de considérer les principes de la vérité, tu déploieras davantage d’efforts qu’avant, et tu seras plus rigoureux dans tes paroles et tes actes. Si les frères et sœurs remarquent tout cela et le prennent au sérieux, alors peut-être seras-tu capable de te présenter à la prochaine élection. En tant que candidat, tu auras tes chances ; si tu peux vraiment accomplir un devoir important, tu obtiendras la bénédiction de Dieu. Si tu as vraiment accepté une charge et disposes d’un réel sens des responsabilités, et que tu désires porter un fardeau, alors dépêche-toi de te former. Concentre-toi sur la pratique de la vérité et mets-toi à agir selon les principes ; une fois que tu auras acquis une expérience de vie et que tu pourras écrire des essais sur des témoignages, tu auras véritablement grandi. Et si tu peux témoigner de Dieu, alors tu pourras certainement obtenir l’œuvre du Saint-Esprit. Si le Saint-Esprit œuvre, alors Dieu te regardera favorablement, et grâce au Saint-Esprit qui te guidera, une opportunité se présentera bientôt à toi. Même si tu avais une charge à assumer maintenant, ta stature serait insuffisante et ton expérience de vie trop superficielle, aussi, même si tu devais devenir dirigeant, tu risquerais de chuter. Tu dois poursuivre l’entrée dans la vie, corriger tes désirs extravagants, être disposé à devenir un disciple, et parvenir à obéir à Dieu de manière sincère, sans aucune expression de ressentiment vis-à-vis de ce qu’Il orchestre ou planifie, quoi que ce soit. Quand tu auras acquis cette stature, une opportunité se présentera à toi. Le fait que tu désires porter un lourd fardeau, que tu assumes cette charge est une bonne chose. Cela montre que ton cœur est positif, proactif, et que tu veux suivre la volonté de Dieu et être attentif à Ses intentions. Ce n’est pas une ambition, mais une véritable charge ; c’est la responsabilité de ceux qui poursuivent la vérité et c’est l’objet de leur poursuite. Si tu n’es pas égoïste, que tu n’agis pas dans ton propre intérêt, mais pour témoigner de Dieu et Le satisfaire, alors Dieu bénira ce que tu fais au plus haut point, et Il mettra en œuvre les arrangements qui te conviennent. […] Dieu désire gagner davantage de gens qui puissent Lui rendre témoignage. Il désire perfectionner tous ceux qui L’aiment, et former, au plus vite, un groupe de personnes qui soient d’un seul cœur et d’un seul esprit avec Lui. Par conséquent, dans la maison de Dieu, tous ceux qui poursuivent la vérité ont de formidables perspectives, et les perspectives de ceux qui aiment Dieu sincèrement sont illimitées. Tous devraient comprendre Sa volonté. Avoir cette charge, c’est effectivement quelque chose de positif, et que devraient posséder ceux qui sont doués de conscience et de raison, mais tous ne seront pas nécessairement capables d’assumer une lourde charge. D’où vient ce décalage ? Quels que soient tes forces ou tes aptitudes, et le niveau de ton QI, ce qui est fondamental, c’est ta poursuite et le chemin que tu suis » (La Parole apparaît dans la chair, vol. 4, Les responsabilités des dirigeants et des ouvriers). Grâce à ces paroles de Dieu, j’ai compris que le fait qu’on soit promus et cultivés ou non dépend de notre poursuite et de notre chemin. Si on cherche la vérité, qu’on porte authentiquement un fardeau et qu’on a un certain calibre et du talent, la maison de Dieu nous donnera des opportunités et des promotions, elle nous cultivera et nous confiera des tâches importantes. Mais si les gens ne cherchent pas la vérité et prennent le mauvais chemin, même s’ils deviennent dirigeants, ça ne durera pas longtemps. Il n’est pas approprié de promouvoir les gens comme ça. Je me suis appliqué la parole de Dieu et j’ai eu honte. J’ai compris que j’étais déraisonnable et que je n’avais aucune connaissance de moi-même et de ma vraie stature. Je me croyais particulièrement bonne et compétente, et je pensais que si mes partenaires étaient promus, je méritais de l’être aussi. Je ne me demandais pas si j’étais quelqu’un qui cherchait la vérité, si mon humanité était suffisante ni si je pouvais porter le fardeau du travail. Au lieu de ça, je me comparais aveuglément aux autres et je voulais être promue. En réalité, je ne me souciais pas du tout de la volonté de Dieu. Je ne voulais pas prendre ma part du travail de l’Église et assumer mes responsabilités. Je voulais prouver que je ne valais pas moins que mes partenaires et obtenir un statut élevé pour m’afficher devant plus de gens et me faire admirer. J’accomplissais mon devoir avec mes propres ambitions et désirs, alors j’aurais continué à poursuivre le statut si j’étais devenue une dirigeante. Travailler pour la réputation et le statut rend impossible de bien faire son devoir. Que je ne sois pas dirigeante me protégeait. J’ai aussi compris que quelqu’un qui a une raison authentique, quand il n’est pas promu, se satisfait de bien faire son devoir. Il réfléchit aussi sur ses lacunes, cherche la vérité pour résoudre ses problèmes et s’efforce de progresser et de changer. En réfléchissant sur moi-même sur la base de la parole de Dieu, j’ai vu que j’avais en réalité un calibre moyen et que je n’étais pas quelqu’un qui cherchait la vérité. Je me contentais de finir mes tâches quotidiennes et je ne me concentrais pas sur la résolution de mes tempéraments corrompus. Du coup, après des années de foi en Dieu, j’avais toujours l’esprit de compétition, je m’inquiétais souvent de ma réputation et de mon statut et, quand je n’obtenais pas de statut, je passais ma colère sur mon devoir et négligeais le travail. Je ne possédais aucune des réalités de la vérité et, malgré ça, je voulais être promue. Je n’avais pas la moindre connaissance de moi-même. Je savais que je ne devais plus poursuivre les promotions. À la place, je devais être obéissante et faire mon devoir de manière terre-à-terre. Voilà quelle raison je devais posséder. Quand je l’ai compris, j’ai arrêté de broyer du noir et j’ai commencé à progresser normalement dans mon travail. J’ai aussi commencé à me demander comment finaliser le travail de manière plus détaillée, plus soigneusement, pour le terminer sans avoir de regrets. J’ai aussi passé en revue les déviations du devoir, ses erreurs et ses bénéfices avec mes frères et sœurs. En pratiquant ainsi, je me suis sentie à l’aise et en confiance.
Après quelque temps, l’Église m’a chargée de superviser plusieurs Églises à temps partiel. Cet arrangement m’a inspiré des sentiments mitigés. Je croyais que j’avais trop de lacunes et que je commencerais par abreuver des nouveaux venus, mais l’Église me donnait une chance d’être cultivée en faisant de moi une superviseuse. J’avais mal compris et supposé que mes dirigeants avaient des préjugés contre moi et faisaient exprès de ne pas me promouvoir. En réalité, ils avaient évalué les choses en se basant sur les principes de sélection et d’utilisation des gens, et sur les besoins de travail de l’Église. Je n’avais pensé ça que parce que je vivais dans un état de rivalité pour le statut qui me rendait déraisonnable. Ҫa m’a embarrassée d’y penser. En pratiquant comme superviseuse, j’ai ressenti beaucoup de pression et j’ai voulu être bien équipée de la vérité pour bien accomplir mon devoir. Au cours des jours suivants, quand j’étais confrontée à des choses que je ne comprenais pas, je cherchais des réponses avec mes partenaires, et j’ai consacré presque tout mon temps au travail de l’Église. Mais, quelque temps plus tard, le travail des Églises que je supervisais n’étant pas très efficace, j’ai compris que j’avais de nombreuses lacunes. Je me suis aussi rendu compte que, même avec un statut, on ne peut pas bien travailler si la vérité nous fait défaut, alors j’ai encore plus eu honte d’avoir toujours voulu devenir une dirigeante. Pendant cette période, j’ai arrêté de chercher à me faire admirer par les autres et je n’ai plus voulu que bien accomplir mon devoir. Comme j’avais une attitude plus terre-à-terre envers mon devoir, j’ai cru que ma poursuite de la renommée et du statut avait un peu changé et que je pouvais me concentrer sur le fait d’accomplir mon devoir convenablement. Mais quand un autre environnement s’est présenté, j’ai été de nouveau révélée.
En juin 2021, l’Église m’a confié un autre projet avec une grosse charge de travail et une date butoir proche. Même si on a rencontré beaucoup de difficultés, grâce au dur labeur de tous, notre travail est devenu plus efficace après quelques mois et on en a accompli deux fois plus que l’année précédente. J’étais très fière de moi et j’avais l’impression que c’était en partie grâce à moi qu’on avait obtenu de tels résultats, alors je me suis dit que les dirigeants penseraient sûrement à moi s’ils voulaient promouvoir quelqu’un. À mon grand étonnement, dans les jours suivants, j’ai appris que les dirigeants parlaient de promouvoir et de former des gens et, de temps à autre, j’entendais mentionner les noms de frères et sœurs que je connaissais. Cette nouvelle m’a rendue amère et mon esprit a recommencé à s’agiter. J’ai pensé : « On dirait qu’ils cherchent des gens à promouvoir et à cultiver partout et qu’ils songent à n’importe qui qui convient vaguement. J’ai été efficace dans mon devoir, alors pourquoi les dirigeants ne songent-ils pas à me promouvoir, s’ils manquent autant de personnel ? M’ont-ils percée à jour et en ont-ils conclu que je ne cherchais pas la vérité ? Pensent-ils que je ne peux me charger que de tâches externes ? Si c’est le cas, aurai-je jamais une occasion d’être promue et cultivée ? » Ces pensées m’ont beaucoup perturbée et l’avenir me paraissait sombre. J’avais l’impression que je ne progresserais jamais, quel que soit l’effort que je consacrais à ma poursuite. J’ai aussi développé des préjugés contre les dirigeants. Parfois, quand ils me parlaient, je me contentais de les ignorer. J’en disais le moins possible et je n’aimais même pas voir mes sœurs autour de moi. J’étais toujours renfrognée, je ne voulais pas parler et je voulais être seule tout le temps. Sans m’en rendre compte, j’ai arrêté de porter un fardeau dans mon devoir. J’avais l’impression que les dirigeants ne voyaient pas mes efforts et mon dévouement, alors pourquoi me donner tant de mal ? Il valait mieux que j’en fasse juste assez pour m’en sortir.
Un jour, j’ai lu un passage de la parole de Dieu. « Au fond d’eux-mêmes, les antéchrists croient que la foi en Dieu et la poursuite de la vérité sont la poursuite du statut et du prestige ; la poursuite du statut et du prestige est aussi la poursuite de la vérité, et obtenir un statut et du prestige, c’est gagner la vérité et la vie. S’ils sentent qu’ils n’ont aucun prestige et aucun statut, que personne ne les admire, ne les vénère ni ne les suit, alors ils sont très frustrés, ils croient qu’il n’y a aucun intérêt à croire en Dieu, aucune valeur à cela, et ils se disent : “Une telle foi en Dieu est-elle un échec ? Est-ce sans espoir ?” Ils réfléchissent souvent à de telles choses dans leur cœur, ils réfléchissent à la façon dont ils peuvent se tailler une place dans la maison de Dieu et avoir une haute réputation dans l’Église, afin que les gens écoutent quand ils parlent, les soutiennent quand ils agissent et les suivent partout où ils vont : afin qu’ils aient une voix dans l’Église, une réputation, afin qu’ils jouissent d’avantages et aient un statut : ils réfléchissent souvent à de telles choses. C’est là ce que ces gens poursuivent. Pourquoi pensent-ils toujours à de telles choses ? Après avoir lu les paroles de Dieu, après avoir entendu des sermons, ne comprennent-ils vraiment pas tout cela, ne sont-ils vraiment pas capables de discerner tout cela ? Les paroles de Dieu et la vérité ne sont-elles vraiment pas capables de changer leurs notions, idées et opinions ? Ce n’est pas du tout le cas. Le problème commence avec eux, c’est entièrement parce qu’ils n’aiment pas la vérité, parce que, dans leur cœur, ils n’en peuvent plus de la vérité et par conséquent, ils sont totalement insensibles à la vérité – ce qui est déterminé par leur nature et leur essence » (« Ils ne font leur devoir que pour se distinguer et nourrir leurs propres intérêts et ambitions ; ils ne tiennent jamais compte des intérêts de la maison de Dieu, et vendent même ces intérêts en échange de la gloire personnelle (Partie III) », dans Exposer les antéchrists). Grâce à cette parole de Dieu, j’ai compris que les antéchrists chérissaient la renommée et le statut et les considéraient comme plus importants que tout. Quand ils n’ont pas de statut, ils trouvent fastidieux de croire en Dieu. Ils n’ont aucune sincérité dans leur foi en Dieu et leur devoir, et ils ne font pas ces choses pour comprendre la vérité. Au lieu de ça, ils les font pour obtenir de la renommée et du statut, et pour que les gens les admirent. Ҫa prouve que les tempéraments des antéchrists sont particulièrement mauvais. J’ai pensé à la manière dont j’avais toujours voulu être promue et cultivée et au fait que je devenais passive et démotivée quand je ne l’étais pas. Ma poursuite de la renommée et du statut était déjà hors de mon contrôle. Elle était semblable à ce que les antéchrists manifestent. J’ai pensé à la manière dont, à l’école, j’avais pris « L’homme se débat vers le haut ; l’eau coule vers le bas », « Un soldat qui ne rêve pas de devenir général est un mauvais soldat » et des toxines sataniques du même genre comme des lois de survie, ce qui m’avait poussée à vouloir avoir les meilleures notes. Si je n’étais pas la première de ma classe, il fallait au moins que je sois une excellente élève et que j’obtienne les louanges de mes camarades et de mes professeurs. Quand j’ai gagné la foi, je me suis donné pour but de devenir dirigeante, me disant qu’un statut me permettrait d’avoir une place dans la maison de Dieu, d’affirmer ma présence, de me faire admirer par plus de gens, et donnerait du poids à mes paroles. Du coup, quand le travail de l’Église avait requis des gens de toute urgence et que les dirigeants avaient eu l’air de ne pas penser à moi, j’étais devenue passive et malheureuse, je n’avais plus eu envie d’accomplir mon devoir, et j’avais même eu l’impression que je n’avais plus de direction ou de but à poursuivre dans ma foi en Dieu. Je me suis rendu compte que la poursuite de la renommée et du statut était devenue ma vie. Chaque jour, elle contrôlait ma vie et mes actions. Alors, quel que soit le groupe dans lequel j’étais, je voulais toujours être admirée et louée par les autres, et je détestais être laissée à la traîne. Quand les dirigeants m’appréciaient, avaient une haute opinion de moi et me confiaient des tâches importantes, j’étais très satisfaite, mais, sans leur appréciation et sans promotion, je devenais négative et dépravée, je négligeais mes devoirs, je m’en désintéressais et je voulais même laisser tomber. Je voyais clairement, à présent, que ma foi en Dieu n’était pas sincère, que je ne croyais que pour le statut. Quand j’avais un statut élevé, je poursuivais énergiquement, mais quand je n’obtenais pas de statut, je perdais ma direction et mes buts dans ma poursuite. J’ai vu que ma poursuite de la renommée et du statut s’était enracinée en moi. À chaque fois que je me trouvais dans une situation similaire, je devenais négative et faible, je vivais dans un état de rébellion et je n’avais plus l’intention d’accomplir mon devoir. J’ai subitement pris conscience que je serais en grand danger si je continuais comme ça.
Après ça, j’ai lu dans la parole de Dieu : « Certains chérissent vraiment le statut et le prestige. Ils y sont profondément attachés, et ne supportent pas d’y renoncer. Ils pensent que sans statut ni prestige, il n’y a ni joie ni espoir dans la vie, qu’il n’y a d’espoir dans cette vie que lorsqu’ils vivent pour le statut et le prestige, qu’ils continueront malgré tout à se battre ne serait-ce que pour avoir un peu de renommée, et qu’ils ne renonceront jamais. Si tu as ces pensées et ce point de vue, si ton cœur est rempli de telles idées, alors tu es incapable d’aimer et de poursuivre la vérité, tu n’as pas la bonne orientation ni les bons objectifs dans ta foi en Dieu, et tu es incapable de poursuivre la connaissance de toi-même, de te débarrasser de la corruption et de vivre l’image de l’homme ; tu négliges des choses quand tu accomplis ton devoir, tu es dépourvu de tout sens des responsabilités, et tu te satisfais simplement de ne pas faire le mal, de ne pas créer de problèmes, de ne pas être jeté dehors. Les gens comme ça peuvent-ils accomplir leur devoir en respectant une norme acceptable ? Et peuvent-ils être sauvés par Dieu ? Non, c’est impossible. Quand tu agis pour la réputation et le statut, tu penses encore : “S’afficher n’est pas malfaisant. Je fais mon devoir ; tant que ce que je fais n’est pas une mauvaise action et ne constitue pas une perturbation, alors, même si ma motivation est erronée, personne ne peut le voir ou me condamner.” Tu ne sais pas que Dieu examine toutes choses minutieusement. Si tu n’acceptes pas ou que tu ne pratiques pas la vérité, et que tu es détesté et rejeté par Dieu, tout est fini pour toi. Tous ceux qui ne craignent pas Dieu se croient intelligents ; en fait, ils ne savent même pas quand ils offensent Dieu. Certains ne voient pas ces choses clairement, ils pensent : “Je ne poursuis la réputation que pour pouvoir en faire plus, pour assumer davantage de responsabilités. Cela ne constitue pas une interruption ou une perturbation du travail de la maison de Dieu, et cela ne nuit assurément pas aux intérêts de Sa maison. Ce n’est pas un problème grave. Ce que Dieu exige n’est pas grand-chose, et Il ne force pas les gens à faire des choses qu’ils ne sont pas capables de faire ou qu’ils ne veulent pas faire. J’aime peut-être le statut, et je protège peut-être mon statut, mais ce n’est pas un acte malfaisant.” En surface, une telle poursuite peut sembler ne pas être un acte malfaisant, mais à quoi mène-t-elle, en fin de compte ? Les gens comme ça gagneront-ils la vérité ? Obtiendront-ils le salut ? Absolument pas. Par conséquent, poursuivre la réputation et le salut n’est pas le bon chemin, c’est un chemin qui se dirige précisément dans une direction opposée à celle de la poursuite de la vérité. En résumé, quel que soit la direction ou la cible de ta poursuite, si tu ne réfléchis pas à la poursuite du statut et du prestige, et si tu as beaucoup de mal à mettre de côté ces choses, alors elles affecteront ton entrée dans la vie ; tant que le statut aura une place dans ton cœur, cela contrôlera et influencera complètement l’orientation de ta vie et les objectifs que tu cherches à atteindre, auquel cas, il te sera très difficile d’entrer dans la réalité de la vérité, sans parler d’opérer des changements dans ton tempérament ; que tu puisses, en fin de compte, gagner l’approbation de Dieu est, bien entendu, un autre sujet. De plus, si tu n’es jamais capable de mettre de côté ta poursuite du statut, cela affectera ta capacité à accomplir ton devoir de façon adéquate, et il te sera donc très difficile de devenir une créature de Dieu acceptable. Pourquoi dis-Je cela ? Dieu déteste plus que tout que des gens poursuivent le statut, parce que la poursuite du statut est un tempérament satanique, c’est un mauvais chemin, issu de la corruption de Satan, c’est quelque chose qui est condamné par Dieu, et c’est précisément ce que Dieu juge et purifie. Dieu méprise plus que tout les gens qui poursuivent le statut, et pourtant, tu rivalises encore avec entêtement pour le statut, tu chéris et protèges immanquablement le statut, en essayant sans cesse de te l’accaparer. Et par nature, tout cela n’est-il pas hostile à Dieu ? Le statut n’est pas ordonné pour les gens par Dieu ; Dieu fournit aux gens la vérité, le chemin et la vie, et finalement Il fait de chacun d’eux une créature acceptable de Dieu, une créature de Dieu petite et insignifiante, pas quelqu’un qui a un statut et du prestige et qui est vénéré par des milliers de personnes. Et donc, quelle que soit la perspective à partir de laquelle elle est considérée, la poursuite du statut est une impasse. Peu importe à quel point ton excuse pour rechercher un statut est raisonnable, cette voie est toujours la mauvaise et elle n’est pas louée par Dieu. Quels que soient tes efforts et le prix que tu payes, si tu désires un statut, Dieu ne te le donnera pas ; s’il n’est pas donné par Dieu, tu échoueras dans ta lutte pour l’obtenir, et si tu continues à lutter, il n’y aura qu’un seul résultat : tu seras exposé et expulsé, ce qui constitue une impasse » (« Ils ne font leur devoir que pour se distinguer et nourrir leurs propres intérêts et ambitions ; ils ne tiennent jamais compte des intérêts de la maison de Dieu, et vendent même ces intérêts en échange de la gloire personnelle (Partie III) », dans Exposer les antéchrists). Après avoir lu ces paroles de Dieu, j’ai été terrifiée et j’ai eu l’impression que Dieu m’avertissait. En continuant à chérir mon statut et à penser que la vie était sans espoir sans un statut et un rôle important, en poursuivant de cette manière, je rivaliserais pour le statut, m’opposerais à Dieu, je ne me conduirais pas et n’accomplirais pas mon devoir comme un être créé et, parce que ce chemin était une impasse, je finirais par être envoyée en enfer et punie ! Effrayée et tremblante, j’ai lu ce passage de la parole de Dieu plusieurs fois de suite et j’ai senti, au plus profond de moi, que le tempérament juste de Dieu ne supportait aucune offense. Autrefois, je pensais que puisque les humains avaient des tempéraments corrompus, il était normal de poursuivre la renommée et le statut, que tout le monde essayait d’améliorer son statut et que ceux qui ne le faisaient pas manquaient d’ambition, de buts et de détermination. Alors je ne prenais pas ma corruption dans ce domaine très au sérieux. Je me sentais juste négative par moments et je me disais que je me sentirais mieux après quelques jours. Comme ca ne retardait pas trop mon travail et je ne dépassais pas les bornes, je me disais que ce n’était pas un gros problème. Mais Dieu a clairement dit que la poursuite du statut était une impasse ! En y réfléchissant, j’ai compris quelque chose. Poursuivre la renommée et le statut est un tempérament satanique et c’est un chemin de résistance à Dieu. Poursuivre de cette manière, c’est s’opposer à Dieu, rivaliser avec Lui pour le statut, et ceux qui le font seront punis par Dieu pour Lui avoir résisté. J’ai pensé à l’archange, dont le statut était déjà assez élevé, mais qui n’était pas satisfait. Il a convoité le statut de Dieu, voulu être Son égal, et, finalement, Dieu l’a projeté dans les airs. J’étais déjà responsable d’un certain travail dans l’Église. Dieu m’avait donné un calibre et une stature, et je ne méritais pas de me charger d’un travail aussi important. Malgré ça, je n’étais pas satisfaite. Je ne m’efforçais pas d’obtenir les meilleurs résultats dans mon propre devoir. Au lieu de ça, je voulais faire un travail plus important pour m’afficher et me faire admirer. N’étais-je pas semblable à l’archange ? Et quand je vivais dans mon état de lutte pour la renommée et le statut, il ne s’agissait pas que de quelques jours de négativité, comme je le croyais, ça finissait par entraver le travail. Ҫa en arrivait au point où j’étais prête à abandonner quand je n’obtenais pas de statut, où je ne prenais pas le travail de la maison de Dieu au sérieux, où je devenais indifférente à mon devoir, tirais au flanc quand je le pouvais, remettais les choses à plus tard, et où je ne me souciais plus du tout du fait que le travail de la maison de Dieu en pâtisse. Je ne voulais pas me soumettre aux arrangements de Dieu, je luttais toujours pour le statut, et je devenais passive et hostile si je n’en obtenais pas un. J’empruntais le chemin de la résistance à Dieu, alors comment aurait-Il pu ne pas me détester ? En y pensant, j’ai éprouvé de la peur et du regret. Je me suis empressée de prier Dieu pour dire que je voulais me repentir et que je ne voulais plus poursuivre la renommée et le statut.
Ensuite, j’ai trouvé un chemin pour échapper aux chaînes de la renommée et du statut dans les paroles de Dieu, et j’ai compris ce qu’un être créé devait poursuivre. La parole de Dieu dit : « Comme l’une des créatures, l’homme doit garder sa propre place et se comporter consciencieusement. Garde avec dévouement ce qui t’est confié par le Créateur. N’agis pas de manière déplacée, ne fais rien qui dépasse tes capacités ou qui soit répugnant pour Dieu. N’essaie pas d’être grand, surhumain ou au-dessus des autres et ne cherche pas non plus à devenir Dieu. C’est comme cela que les gens ne devraient pas désirer être. Chercher à devenir grand ou surhumain est absurde. Chercher à devenir Dieu est encore plus scandaleux ; c’est vraiment dégoûtant et aussi méprisable. Ce qui est louable et ce à quoi les créatures devraient tenir plus que toute autre chose, c’est de devenir une véritable créature ; c’est le seul objectif que tout le monde devrait poursuivre » (La Parole, vol. 2 : Sur la connaissance de Dieu, Dieu Lui-même, l’Unique I). Cette parole de Dieu dit clairement que Dieu déteste la poursuite du statut et le désir d’être un surhomme. Ce que les gens doivent poursuivre, c’est le fait d’être des êtres créés authentiques. Après avoir lu cette parole de Dieu, j’ai su ce que je devais poursuivre. Je suis un être créé et c’est Dieu qui sait le mieux ce que je peux entreprendre. Quelle que soit ma position, ce que Dieu veut, c’est que je remplisse le rôle d’une être créé d’une manière terre-à-terre et que j’accomplisse correctement mon devoir. Je dois prier Dieu pour renoncer à mes ambitions et mes désirs et, quel que soit mon devoir, je dois obéir aux arrangements de Dieu, assumer sincèrement mes responsabilités et m’efforcer d’être efficace dans mon devoir. Voilà ce qu’un être créé doit faire. Après ça, j’ai arrêté de me soucier d’être promue. À la place, je me suis consciemment demandé comment être plus efficace pour obtenir les meilleurs résultats et j’ai réfléchi à des moyens de résoudre les problèmes qui se présentaient. Après un certain temps, j’ai travaillé avec mes frères et sœurs pour surmonter certaines difficultés et notre travail est devenu plus efficace.
Dans les jours qui ont suivi, j’ai encore appris de temps à autre que mes anciens partenaires étaient promus dirigeants ou superviseurs. Même si j’ai encore été un peu déçue, parce que j’avais l’impression que les autres pouvaient affirmer leur présence en étant promus alors que j’étais toujours coincée au même endroit, j’ai vite compris que mon désir de statut me contrôlait de nouveau. Alors je me suis empressée de prier et de renoncer à moi-même, et j’ai songé à cette parole de Dieu : « Le statut n’est pas ordonné pour les gens par Dieu ; Dieu fournit aux gens la vérité, le chemin et la vie, et finalement Il fait de chacun d’eux une créature acceptable de Dieu, une créature de Dieu petite et insignifiante, pas quelqu’un qui a un statut et du prestige et qui est vénéré par des milliers de personnes. » Alors, mes buts sont devenus clairs dans mon cœur. J’ai compris que Dieu ne prédéterminait pas que les gens aient un statut. Quel que soit notre devoir, on assume notre responsabilité. Il s’agit aussi d’employer nos points forts et nos compétences dans la bonne position. Être un dirigeant ne veut pas dire qu’on a un statut et il n’y a pas de positions plus élevées ou plus basses. Ce que Dieu exige des gens, c’est qu’ils deviennent des êtres créés qualifiés et qu’ils obéissent à Ses arrangements. Ce sont les seules poursuites convenables. Si les gens ne peuvent pas obéir à Dieu, s’en tenir à leurs devoirs, s’ils cherchent seulement à gravir les échelons et à gagner un statut, c’est honteux. J’ai aussi compris que le fait que je voie des frères et sœurs être promus autour de moi était une manière que Dieu avait de me tester. Dieu observait mon attitude. En priant et en lisant les paroles de Dieu, j’ai pu recevoir ces choses correctement, je n’ai plus été négative et j’ai pu accomplir mon devoir convenablement. Après avoir traversé ça, j’ai compris les intentions de Dieu. Si, avec mon amour du statut, j’étais vraiment devenue dirigeante, j’aurais emprunté le chemin des antéchrists sans le vouloir et j’aurais couru à ma perte. Maintenant, je suis capable d’être obéissante et terre-à-terre dans mon devoir. Ce sont les effets du jugement des paroles de Dieu. Dieu soit loué !