Il est merveilleux de se libérer des entraves du statut
Par Liang Zhi, Chine Je m’appelle Liang Zhi, et cela fait six ans que j’ai accepté le salut de Dieu dans les derniers jours. Lors d’une...
Nous accueillons tous les chercheurs qui désirent ardemment l'apparition de Dieu !
En avril 2023, l’Église s’est arrangée pour que je fasse mes devoirs ailleurs. J’étais vraiment enthousiaste et j’ai fait mes bagages très rapidement avant de partir. Cependant, je me suis alors souvenue que j’avais un problème gynécologique et qu’il est difficile de trouver des soins médicaux dans un lieu inconnu. Je suis donc allée à l’hôpital pour un contrôle avant de partir. Après avoir pris connaissance de mes symptômes, le docteur a recommandé un curetage utérin pour une biopsie, en indiquant le risque que tout délai pourrait permettre à la maladie de se développer en cancer. Pendant que j’attendais les résultats, je me sentais mal à l’aise, ne sachant pas ce qu’allait révéler le diagnostic. Quelques jours plus tard, les résultats sont arrivés, avec un rapport montrant « une suspicion de cancer endométrial. » J’ai été abasourdie. Après m’être reprise, j’ai demandé : « Il est dit “suspicion de cancer”, donc peut-il ne pas s’agir d’un cancer ? » Le docteur a répondu : « Il est rare que les docteurs affirment directement qu’il s’agit d’un cancer ; ils laissent de la place à l’interprétation. Des examens supplémentaires sont nécessaires pour déterminer son type et ensuite le traitement se basera sur les conditions particulières. » Après avoir entendu cela, ma tête s’est vidée et je n’ai rien pu intégrer d’autre de ce que le docteur disait. Face à un cancer soudain et inattendu, je n’étais pas du tout préparée. J’ai pensé : « Comment cela peut-il être un cancer ? Comment pourrais-je avoir un cancer ? » Même si je n’ai exprimé aucun ressentiment envers Dieu, intérieurement je refusais d’accepter cette réalité. Je me suis demandé : « Ce diagnostic de cancer est-il la façon dont Dieu me révèle ou m’élimine ou est-ce un épurement ? Quelle est l’intention de Dieu ? »
Quand je suis rentrée à la maison, j’ai ressenti un vide en moi et mon esprit était plein de pensées sur le fait que j’avais seulement quelques jours à vivre. Quand je suis sortie faire mes devoirs avec une sœur cet après-midi-là, je n’étais pas d’humeur et je me sentais distraite et démotivée. Au retour, j’ai regardé vers le ciel bleu et j’ai pensé : « Comme c’est beau ! Combien de jours me reste-t-il à vivre ? Combien de temps encore serais-je capable de regarder ce beau ciel ? Si je meurs, je ne témoignerai jamais de la grandeur sans précédent de la diffusion de l’Évangile. » Après cela, j’ai cherché des informations sur le cancer de l’utérus sur mon téléphone. En ligne, j’ai vu que certaines personnes qui avaient un cancer endométrial à cinquante ans pouvaient être soignées tandis que d’autres ne le pouvaient pas. Cela disait que les patientes à un stade avancé vivaient seulement de trois à cinq ans et dans certains cas graves, elles pouvaient ne survivre qu’un an. Plus je lisais, plus j’étais effrayée, me demandant à quel stade était mon cancer et combien de temps il pouvait me rester. Cette nuit-là, je suis restée allongée sur mon lit, mon esprit continuait à s’agiter et j’ai pensé : « J’avais espéré que croire en Dieu signifiait que je serais sauvée et que je ne serais jamais confrontée à la mort, mais ne vais-je pas mourir maintenant que j’ai un cancer ? Toutes ces années de foi ont-elles été vaines ? J’aurais aussi bien pu ne pas croire en Dieu ! » Quand j’ai pensé cela, j’ai pris conscience que c’était inexact, et que c’était trahir Dieu. J’ai pensé au fait que même ceux qui ne croient pas en Dieu tombent malades et, en tant que croyante en Dieu, je devais tout de même aussi faire face à la maladie. Y a-t-il quelqu’un en ce monde qui ne tombe pas malade ? De plus, en tant que personne corrompue, n’était-il pas tout à fait normal que je tombe malade ? Puisque j’étais malade, je devais me soumettre aux orchestrations et aux arrangements de Dieu. Mais je me sentais misérable à la pensée de mourir. « Ô Dieu, je ne veux pas mourir. J’ai abandonné ma famille et ma carrière et fait mon devoir toutes ces années et pourtant, maintenant, j’ai un cancer. Cela signifie-t-il que Tu es en train de m’abandonner et de m’éliminer ? » Vivant dans la détresse et l’inquiétude, les larmes ont coulé sur mon visage. Dans mon cœur, j’ai dit à Dieu : « Dieu, que dois-je faire ? » À ce moment-là, je me suis souvenue des paroles de Dieu : « Comment devriez-vous faire l’expérience de la maladie lorsqu’elle survient ? Vous devriez venir devant Dieu et prier, chercher l’intention de Dieu et tâtonner pour la connaître. […] Habituellement, quand tu es confronté à une maladie grave ou à un mal étrange qui te fait beaucoup souffrir, cela n’arrive pas par hasard. Que tu sois malade ou en bonne santé, l’intention de Dieu est là » (La Parole, vol. 3 : Discours de Christ des derniers jours, Quand on croit en Dieu, gagner la vérité est le plus essentiel). Les paroles de Dieu m’ont rappelé que les gens ne sont pas affligés de maladies graves par hasard ; les intentions de Dieu y sont toujours. Alors, j’ai prié Dieu dans mon cœur : « Dieu, je sais que Ton intention est que j’ai un cancer et que je dois en tirer des leçons, mais je ne comprends pas quelle est Ton intention. S’il Te plaît, éclaire-moi et guide-moi. »
Ensuite, mes frères et sœurs m’ont envoyé un passage des paroles de Dieu : « Quand la maladie arrive, quel chemin les gens doivent-ils suivre ? Comment devraient-ils choisir ? Les gens ne devraient pas sombrer dans le désarroi, l’angoisse et l’inquiétude, et envisager leurs propres perspectives et voies d’avenir. Au contraire, plus les gens se trouvent dans de tels moments, dans des situations et des contextes si particuliers, et plus ils se trouvent dans des difficultés aussi immédiates, plus ils doivent chercher et poursuivre la vérité. C’est uniquement si tu fais cela que les sermons que tu as entendus dans le passé et les vérités que tu as comprises ne seront pas vains et prendront effet. Plus tu te trouves dans de telles difficultés, plus tu dois abandonner tes propres désirs et te soumettre aux orchestrations de Dieu. Le dessein de Dieu en créant ce genre de situation et en arrangeant ces conditions pour toi n’est pas de te faire sombrer dans des émotions de désarroi, d’angoisse et d’inquiétude, ni de te donner la possibilité de tester Dieu pour voir s’Il te guérira lorsque la maladie surviendra, en sondant ainsi la vérité sur ce sujet. Dieu établit ces situations et conditions spéciales pour toi de telle sorte que tu puisses apprendre les leçons pratiques dans de telles situations et conditions, afin d’atteindre une entrée plus profonde dans la vérité et dans la soumission à Dieu, et qu’ainsi tu saches plus clairement et plus précisément comment Dieu orchestre toutes les personnes, tous les évènements et toutes les choses. Les destinées de l’homme sont entre les mains de Dieu et, que les hommes le sentent ou non, qu’ils en soient réellement conscients ou non, ils doivent se soumettre à Dieu et ils ne doivent pas Lui résister, Le rejeter, et certainement pas Le tester. Tu peux mourir dans tous les cas et si tu résistes à Dieu, Le rejettes ou Le testes, alors ton résultat sera une évidence. Inversement, si, dans les mêmes situations et conditions, tu es capable de chercher comment un être créé devrait se soumettre aux orchestrations du Créateur, de chercher quelles leçons tu dois apprendre et quels tempéraments corrompus tu dois connaître dans les situations que Dieu met en place pour toi, que tu comprends les intentions de Dieu dans de telles situations et que tu portes correctement ton témoignage pour répondre aux exigences de Dieu, alors c’est ce que tu dois faire. Lorsque Dieu fait en sorte que quelqu’un contracte une maladie, qu’elle soit grave ou mineure, Son but n’est pas de te faire ressentir les tenants et les aboutissants de la maladie, le mal que la maladie te fait, les désagréments et les difficultés que la maladie te cause et la profusion de sentiments qu’elle te fait ressentir. Son but n’est pas que tu ressentes la maladie en étant malade. Son but est plutôt que tu tires les leçons de la maladie, que tu apprennes à saisir les intentions de Dieu, que tu connaisses les tempéraments corrompus que tu révèles et les mauvaises attitudes que tu adoptes envers Dieu lorsque tu es malade, et que tu apprennes comment te soumettre à la souveraineté et aux arrangements de Dieu, afin que tu puisses parvenir à une véritable soumission à Dieu et être capable de rester ferme dans ton témoignage : c’est absolument essentiel. Dieu souhaite te sauver et te purifier par la maladie. Que souhaite-t-Il purifier chez toi ? Il souhaite purifier tous tes désirs et exigences extravagants envers Lui, et même purifier les divers calculs, jugements et plans que tu fais à tout prix pour survivre et vivre. Dieu ne te demande pas de faire des projets, Il ne te demande pas de juger, et Il ne te permet pas d’avoir des désirs extravagants à Son égard : Il exige seulement que tu te soumettes à Lui et que, dans ta pratique et l’expérience de soumission, tu connaisses ta propre attitude envers la maladie et que tu connaisses ton attitude vis-à-vis de ces conditions physiques qu’Il te donne, ainsi que tes propres souhaits personnels. Lorsque tu apprends à connaître ces choses, tu peux alors comprendre à quel point il est bénéfique pour toi que Dieu ait arrangé les circonstances de la maladie pour toi et qu’Il t’ait donné ces conditions physiques, et tu peux ressentir à quel point elles sont utiles pour changer ton tempérament, pour que tu atteignes le salut, et pour ton entrée dans la vie. C’est pourquoi, lorsque la maladie se présente, il ne faut pas toujours te demander comment y échapper, la fuir ou la rejeter » (La Parole, vol. 6 : Sur la poursuite de la vérité, Comment poursuivre la vérité (3)). Grâce aux paroles de Dieu, j’ai compris que l’intention de Dieu en m’apportant la maladie n’était pas que je vive dans la détresse et l’angoisse ni que je sois sensible aux tenants et aux aboutissants de ma maladie à travers cette expérience. Il s’agissait plutôt pour moi de tirer des leçons de cette maladie, de finir par connaître les impuretés de ma foi et mes désirs extravagants envers Dieu. Dieu voulait utiliser cette maladie pour me purifier, me transformer et me sauver. Mais je n’avais pas compris l’intention de Dieu. Quand j’ai appris que j’avais un cancer, j’ai vécu dans la détresse et l’angoisse, craignant constamment que ma maladie soit incurable et craignant que si je meure, je ne puisse jamais plus être capable de lire les paroles de Dieu ou de faire mes devoirs et donc que je sois incapable d’atteindre le salut. J’ai même essayé de raisonner avec Dieu, pensant que, puisque j’avais abandonné ma famille et ma carrière pour faire mon devoir et croire en Dieu pendant toutes ces années et que je n’avais pas trahi Dieu quand j’avais été confrontée à la persécution de ma famille, Dieu n’aurait pas dû me laisser avoir un cancer. Je vivais dans la peur de la mort, je n’avais pas foi en Dieu et je n’avais aucune motivation pour mes devoirs. Par la révélation des faits, j’ai vu que je manquais de conscience, de raison et d’humanité et que je n’avais pas du tout Dieu dans mon cœur. Une fois ces choses comprises, je pouvais affronter correctement ma maladie.
Deux jours plus tard, le docteur m’a appelée pour me dire qu’il avait mes résultats d’examens et que c’était un cancer à un stade précoce. Il a dit que c’était une chance de l’avoir vu tôt et il m’a dit de venir à l’hôpital pour une opération dès que possible. La nuit précédant l’opération, je me tournais et retournais dans mon lit, incapable de dormir et je me sentais quelque peu mal à l’aise et effrayée. Je ne savais pas si l’opération serait un succès et se passerait bien, ou si j’allais mourir sur la table d’opération. J’ai prié Dieu en silence : « Dieu, j’ai une opération demain. Sans tenir compte du fait qu’elle soit ou non un succès ou que je puisse mourir sur la table d’opération, je place tout entre Tes mains et je me soumets à Tes orchestrations et à Tes arrangements. » J’ai ensuite lu plus de paroles de Dieu : « Que tu sois confronté à une maladie grave ou mineure, dès que ta maladie s’aggrave ou que tu fais face à la mort, rappelle-toi simplement une chose : ne crains pas la mort. Même si tu es aux derniers stades d’un cancer, même si le taux de mortalité dû à ta maladie est très élevé, n’aie pas peur de la mort. Quelle que soit l’ampleur de ta souffrance, si tu crains la mort, tu ne te soumettras pas. Certains disent : “En T’entendant dire cela, je me sens inspiré et j’ai une idée encore meilleure. Non seulement je n’aurai pas peur de la mort, mais je l’implorerai. Cela ne facilitera-t-il pas le passage ?” Pourquoi implorer la mort ? Implorer la mort est une idée extrême, alors que ne pas craindre la mort est une attitude raisonnable à adopter. N’est-il pas vrai ? (En effet.) Quelle est la bonne attitude que tu devrais adopter pour ne pas craindre la mort ? Si ta maladie devient grave au point que tu puisses en mourir, que le taux de mortalité pour cette maladie est élevé, quel que soit l’âge de la personne qui a contracté la maladie, et que le délai entre le moment où les gens contractent la maladie et leur décès est très court, que dois-tu penser au fond de toi ? “Je ne dois pas craindre la mort, tout le monde finit par mourir. Cependant, se soumettre à Dieu est quelque chose que la plupart des gens ne peuvent pas faire, et je peux utiliser cette maladie pour m’entraîner à me soumettre à Dieu. Je dois avoir la pensée et l’attitude de soumission aux orchestrations et aux arrangements de Dieu, et je ne dois pas craindre la mort.” Mourir est facile, bien plus facile que vivre. Tu peux ressentir une douleur extrême sans t’en rendre compte, et dès que tes yeux se ferment, ta respiration s’arrête, ton âme quitte ton corps et ta vie se termine. C’est ainsi que se passe la mort : c’est aussi simple que cela. Ne pas craindre la mort est une attitude à adopter. En plus de cela, tu ne dois pas t’inquiéter de savoir si ta maladie va s’aggraver ou non, si tu vas mourir dans le cas où tu ne peux pas être guéri, dans combien de temps tu vas mourir, ou quelle douleur tu ressentiras quand le temps sera venu de mourir. Tu ne dois pas t’inquiéter de ces choses : ce ne sont pas des choses dont tu devrais t’inquiéter. En effet, il faut que ce jour vienne, et il doit arriver au cours d’une année donnée, d’un mois donné et à une date particulière. Tu ne peux pas t’en cacher et tu ne peux pas y échapper : c’est ton destin. Ton destin, comme on dit, a été prédestiné par Dieu et est déjà arrangé par Lui. La durée de ta vie ainsi que l’âge et l’heure de ta mort sont déjà fixés par Dieu, alors de quoi t’inquiètes-tu ? Tu peux t’en inquiéter, mais cela ne changera rien. Tu peux t’en inquiéter, mais tu ne peux pas empêcher que cela se produise. Tu peux t’en inquiéter, mais tu ne peux pas empêcher ce jour d’arriver. Par conséquent, ton inquiétude est superflue et ne fait qu’alourdir encore plus le fardeau de ta maladie » (La Parole, vol. 6 : Sur la poursuite de la vérité, Comment poursuivre la vérité (3)). « La question de la mort est de même nature que les autres questions. Ce n’est pas aux gens de choisir eux-mêmes, et cela peut encore moins être changé par la volonté de l’homme. La mort est comme tout autre événement important de la vie : elle dépend entièrement de la prédestination et de la souveraineté du Créateur. Si quelqu’un suppliait de mourir, il ne mourrait pas nécessairement, et s’il suppliait de vivre, il ne vivrait pas nécessairement. Tout cela est sous la souveraineté et la prédestination de Dieu, tout cela est changé et décidé par l’autorité de Dieu, par le tempérament juste de Dieu, et par la souveraineté et les arrangements de Dieu. Par conséquent, supposons que tu contractes une maladie grave, une maladie grave et potentiellement mortelle. Tu ne mourras pas nécessairement. Qui décide si tu vas mourir ou non ? (Dieu.) C’est Dieu qui décide. Et puisque c’est Dieu qui décide et que les gens ne peuvent pas décider d’une telle chose, pourquoi les gens sont-ils angoissés et dans le désarroi ? C’est comme l’identité de tes parents et le moment et le lieu de ta naissance : ce n’est pas toi, qui peux choisir ces choses-là non plus. Le choix le plus sage dans ces domaines est de laisser les choses suivre leur cours naturel, de se soumettre, de ne pas choisir, de ne consacrer aucune réflexion et aucune énergie à cette question et de ne pas être dans le désarroi, angoissé, ou inquiet à ce sujet. Puisque les gens ne peuvent pas choisir par eux-mêmes, consacrer autant d’énergie et de réflexion à cette question est stupide et peu sage. Ce que les gens devraient faire lorsqu’ils sont confrontés à la question extrêmement importante de la mort, ce n’est pas être dans le désarroi, ou s’inquiéter au sujet de la mort, ni la craindre, mais faire quoi, alors ? Les gens devraient attendre, non ? (En effet.) N’est-ce pas ? Attendre, cela signifie-t-il attendre la mort ? Attendre de mourir quand on est face à la mort ? Est-ce correct ? (Non, les gens devraient y faire face de manière positive et se soumettre.) C’est juste, cela ne signifie pas attendre la mort. Ne sois pas tétanisé face à la mort et ne consacre pas toute ton énergie à penser à la mort. Ne pense pas toute la journée : “Vais-je mourir ? Quand vais-je mourir ? Que ferai-je quand je serai mort ?” N’y pense pas, tout simplement. Certains diront : “Pourquoi ne pas y penser ? Pourquoi ne pas y penser quand je suis sur le point de mourir ?” Parce qu’on ne sait pas si tu mourras ou non, et qu’on ne sait pas si Dieu permettra que tu meures. Ces choses ne sont pas connues. Plus précisément, on ne sait pas quand tu mourras, où tu mourras, à quelle heure tu mourras, ni comment ton corps se sentira quand tu mourras. Te creuser les méninges à méditer et réfléchir à des choses que tu ne connais pas et être angoissé et inquiet à leur sujet, cela ne fait-il pas de toi quelqu’un de stupide ? Puisque cela fait de toi quelqu’un de stupide, tu ne devrais pas te creuser les méninges à propos de ces choses-là » (La Parole, vol. 6 : Sur la poursuite de la vérité, Comment poursuivre la vérité (4)). Grâce aux paroles de Dieu, j’ai fini par comprendre que la vie et la mort d’une personne sont toutes les deux prédestinées par Dieu. Même si quelqu’un a un cancer, il ne mourra pas si ce n’est pas le moment. Et quand le temps d’une personne est passé, elle mourra même si elle n’est pas malade. Personne ne peut mourir ou vivre plus longtemps juste parce qu’on le veut ; tout est décidé par Dieu et Dieu est souverain sur tout et arrange tout. Depuis que j’avais un cancer, en y repensant, je m’étais inquiétée que ma maladie soit incurable, si j’allais mourir, et si j’allais périr sur la table d’opération. Je vivais chaque jour dans un état constant de détresse et d’angoisse. D’habitude, je disais toujours que Dieu est souverain sur tout et que la vie et la mort des hommes sont entre Ses mains, mais quand j’ai été effectivement malade, cela a révélé que je n’avais aucune compréhension du tout de la toute-puissance de Dieu et de Sa souveraineté, aucune véritable foi en Dieu, et encore moins de soumission. En comprenant cela, je me suis sentie profondément honteuse. J’ai pris conscience que j’avais besoin d’affronter positivement l’opération. Qu’elle réussisse ou qu’elle échoue était entre les mains de Dieu et même si cela signifiait que j’allais mourir un jour, je me soumettrais à Ses orchestrations et à Ses arrangements. Les paroles de Dieu m’ont donné une immense foi et un immense courage. Quand ils m’ont conduite en salle d’opération, je ne me sentais plus aussi effrayée. L’opération a duré six heures. Quand je me suis réveillée et que j’ai réalisé que j’étais encore en vie, je me suis sentie très heureuse. Le jour suivant, quand le docteur est venu contrôler mon état, il m’a dit : « L’opération a été un grand succès. Si aucune conséquence exceptionnelle ne survient, un traitement supplémentaire ne sera pas nécessaire. Nous allons faire un suivi de contrôle dans quelques jours et voir ce que disent les résultats des examens. Si une radiothérapie est nécessaire, nous la ferons, mais votre état n’est pas grave. » En entendant cela, j’ai su dans mon cœur que ce n’était pas grâce aux compétences du médecin mais bien à la souveraineté de Dieu et à Ses arrangements.
Plus tard, j’ai secrètement lu les paroles de Dieu dans ma chambre d’hôpital et je suis tombée sur deux passages : « Dans leur croyance en Dieu, ce que les gens poursuivent, c’est obtenir des bénédictions pour l’avenir ; c’est le but de leur foi. Tous les gens ont cette intention et cet espoir, mais la corruption dans leur nature doit être résolue à travers les épreuves et l’épurement. Quels que soient les aspects pour lesquels tu n’es pas purifié et révèles de la corruption, ce sont les aspects dans lesquels tu dois être épuré – c’est l’arrangement de Dieu. Dieu crée pour toi un environnement, te forçant à y être épuré de sorte que tu puisses connaître ta propre corruption. À terme, tu atteins un stade auquel tu préfèrerais mourir afin d’abandonner tes intentions et tes désirs, et de te soumettre à la souveraineté et à l’arrangement de Dieu. Ainsi, si les gens n’ont pas quelques années d’épurement et s’ils n’endurent pas une certaine quantité de souffrance, ils ne seront pas capables de se débarrasser de la contrainte de la corruption de la chair dans leurs pensées et dans leur cœur. Quels que soient les aspects où les gens sont encore soumis à la contrainte de leur nature satanique et quels que soient les aspects où ils ont encore leurs propres désirs et leurs propres exigences, ce sont ces aspects-là dans lesquels ils devraient souffrir. Ce n’est que par la souffrance que des leçons peuvent être apprises, ce qui signifie être capable de gagner la vérité et de comprendre l’intention de Dieu. En fait, de nombreuses vérités sont comprises en faisant l’expérience de souffrances et d’épreuves. Personne ne peut comprendre l’intention de Dieu, connaître la toute-puissance et la sagesse de Dieu ou goûter le juste tempérament de Dieu quand il est dans un environnement confortable et facile, ou quand les circonstances sont favorables. Ce serait impossible ! » (La Parole, vol. 3 : Discours de Christ des derniers jours, Troisième partie). « Si nombreux sont ceux qui croient en Moi seulement pour que Je les guérisse. Si nombreux sont ceux qui croient en Moi seulement pour que J’utilise Mon pouvoir afin de chasser les esprits impurs de leur corps. Si nombreux sont ceux qui ne croient en Moi que pour que Je leur confère la paix et la joie. Si nombreux sont ceux qui ne croient en Moi que pour Me demander une plus grande richesse matérielle. Si nombreux sont ceux qui ne croient en Moi que pour passer cette vie en paix et être sains et saufs dans le monde à venir. Si nombreux sont ceux qui ne croient en Moi que pour éviter les souffrances de l’enfer et recevoir les bénédictions du ciel. Si nombreux sont ceux qui ne croient en Moi que pour avoir du confort temporaire et qui, pourtant, ne cherchent pas à gagner quoi que ce soit dans le monde à venir. Lorsque J’accorde Ma fureur aux gens et M’empare de toute la joie et de toute la paix qu’ils possédaient autrefois, ils se mettent à douter. Quand J’accorde aux gens la souffrance de l’enfer et reprends les bénédictions du ciel, ils se mettent en rage. Quand les gens Me demandent de les guérir, et que Je ne leur prête pas attention et ressens de l’aversion envers eux, ils s’éloignent de Moi pour chercher plutôt la voie de la médecine malfaisante et de la sorcellerie. Quand J’enlève tout ce que les gens M’ont demandé, ils disparaissent tous sans laisser de traces. Par conséquent, Je dis que les gens ont foi en Moi parce que Ma grâce est trop abondante, et parce qu’il y a beaucoup trop d’avantages à gagner » (La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, Que connais-tu de la foi ?). Les paroles de Dieu ont identifié le motif et le but de ma foi pendant toutes ces années. J’avais souffert, payé un prix, abandonné des choses et je m’étais dépensée dans mes devoirs pour obtenir des bénédictions et pour m’assurer une fin libérée de la mort. J’ai repensé à quand j’avais commencé à croire en Dieu. J’avais appris que les croyants pouvaient obtenir le salut et la vie éternelle, donc j’avais proactivement lu les paroles de Dieu et fait mes devoirs. Même quand ma famille avait essayé de me persécuter et de me freiner et que mon mari m’avait quittée, je n’avais toujours pas trahi Dieu. J’ai proactivement coopéré à chaque devoir que l’Église a organisé pour moi et je n’ai jamais essayé de l’éviter. Mais quand on m’a diagnostiqué un cancer et que j’ai pensé à comment j’allais finir, en mourant après avoir abandonné des choses et m’être dépensée pendant toutes ces années dans ma croyance en Dieu, j’ai commencé à raisonner avec Dieu. J’ai pensé que le cancer n’était pas quelque chose qui devait m’arriver et j’ai même regretté ma foi, ne révélant rien d’autre que de la rébellion et de la trahison ! J’ai vu que je ne me dépensais pas véritablement pour Dieu en abandonnant ma famille et ma carrière pour faire mon devoir, mais que j’étais, au contraire, motivée par mon objectif fondamental qui est d’obtenir des bénédictions. Je voulais négocier mes efforts et mes dépenses pour la bénédiction d’entrer dans le royaume, j’essayais de marchander avec Dieu. Il est parfaitement naturel et justifié pour un être créé de faire un devoir ; c’est la responsabilité de l’homme et un homme ne doit avoir aucune exigence envers Dieu. Pourtant, quand ma maladie est apparue, je n’ai pas seulement raisonné avec Dieu et je ne me suis pas seulement plainte de Dieu, j’ai aussi eu une exigence envers Dieu, Lui demandant d’enlever ma maladie. J’ai vu que je n’avais pas du tout un cœur qui craignait Dieu. J’ai pensé à Job qui avait perdu tout son bétail et ses enfants et à son corps couvert de plaies. Il a tellement souffert mais non seulement il ne s’est pas plaint de Dieu il n’a pas voulu non plus que Dieu voit sa peine, mais il n’a pas souhaité peiner Dieu. Job a préféré se maudire plutôt que d’abandonner Dieu, il a encore été capable de louer le nom de Dieu et il a finalement porté un beau témoignage pour Dieu. J’ai vu que Job avait une humanité honnête et gentille et qu’il se soumettait à Dieu et Le craignait. Il y avait aussi Pierre. Il a eu une vraie connaissance de Dieu, il a accepté l’épurement comme les malheurs, il ne s’est pas mépris, ne s’est pas plaint de Dieu, n’a rien exigé de Lui et s’est soumis aux arrangements de Dieu et il a finalement été crucifié la tête en bas pour Dieu. En revanche, mon propre comportement a été vraiment honteux. Je ne croyais pas en Dieu et je n’ai pas fait mes devoirs pour connaître Dieu, ou pour poursuivre la vérité afin de transformer mon tempérament-vie, mais bien pour avoir des bénédictions et une fin sans mourir. J’étais tout comme Paul qui croyait qu’il avait fini sa course, fait un bon combat et qu’une couronne de justice lui était réservée. Il s’est employé et dépensé à marchander avec Dieu pour troquer cela contre une récompense et une couronne et il a offensé le tempérament de Dieu et souffert la punition de Dieu. Mon point de vue sur la croyance en Dieu était le même que celui de Paul. Si Dieu ne m’avait pas révélée par la maladie, je n’aurais jamais été capable d’en prendre conscience. J’aurais au contraire continué sur ce chemin erroné et j’aurais finalement été éliminée par Dieu. À cet instant, j’ai pris conscience que cette maladie était, en fait, Dieu qui me sauvait.
Plus tard, j’ai lu plus de paroles de Dieu : « Dis-Moi, qui, parmi les milliards de gens à travers le monde, a cette chance d’entendre autant de paroles de Dieu, de comprendre autant de vérités de la vie et de comprendre autant de mystères ? Qui, parmi ces gens, peut recevoir personnellement la direction de Dieu, Sa provision, Ses soins et Sa protection ? Qui est béni à ce point ? Très peu de gens. Par conséquent, que le petit nombre que vous êtes puisse vivre dans la maison de Dieu aujourd’hui, recevoir Son salut et Sa provision, cela en vaut la peine, même si vous deviez mourir tout de suite. Vous êtes vraiment bénis, n’est-ce pas ? (Oui.) En examinant les choses sous cet angle, les gens ne devraient pas être terrorisés par la question de la mort, ni être contraints par elle. Même si vous n’avez pas profité de la gloire et de la richesse du monde, vous avez reçu la pitié du Créateur et entendu tant de paroles de Dieu, n’est-ce pas merveilleux ? (Si.) Quel que soit le nombre d’années que tu vis dans cette vie, cela en vaut la peine, et tu n’as aucun regret, car tu as constamment accompli ton devoir dans l’œuvre de Dieu, tu as compris la vérité, tu as compris les mystères de la vie et tu as compris le chemin et les objectifs que tu dois poursuivre dans la vie. Tu as tellement gagné ! Tu as vécu une vie qui en vaut la peine ! Même si tu ne peux pas l’expliquer très clairement, tu es capable de mettre en pratique certaines vérités et de posséder une certaine réalité, et cela prouve que tu as gagné une certaine provision de vie et compris certaines vérités grâce à l’œuvre de Dieu. Tu as énormément gagné – en abondance, véritablement – et c’est une si grande bénédiction ! Depuis le début de l’histoire de l’humanité, personne à travers les âges n’a profité de cette bénédiction, or vous en profitez. Êtes-vous disposés à mourir maintenant ? Avec de telles dispositions, votre attitude envers la mort serait vraiment une attitude de soumission, n’est-ce pas ? (Oui.) » (La Parole, vol. 6 : Sur la poursuite de la vérité, Comment poursuivre la vérité (4)). Après avoir lu les paroles de Dieu, j’étais émue aux larmes. Dans cette époque malveillante, parmi des milliards de personnes, j’avais été assez chanceuse pour entrer dans la maison de Dieu, où j’avais reçu Son abreuvement et Sa nourriture, ce qui m’avait permis de comprendre de nombreuses vérités et de nombreux mystères. J’ai appris que l’homme vient de Dieu, que la vie de chaque personne lui est donnée par Dieu. J’ai appris comment on doit adorer Dieu et vivre, comment être une personne honnête, ce qu’est le bien et ce qu’est le mal et plus encore. Cela m’a donné un but pour ma poursuite et m’a placée sur un chemin de vie correct. J’ai tant gagné en suivant Dieu toutes ces années ; j’ai été vraiment tellement bénie, même si je devais mourir ensuite, cela le valait entièrement. En réfléchissant aux paroles de Dieu, j’ai été si heureuse que j’ai pleuré. Plus tard, j’ai eu un autre contrôle et le docteur a dit qu’il n’y avait aucun signe que le cancer s’était étendu, donc la radiothérapie n’était pas nécessaire. J’avais juste besoin d’un suivi de contrôle tous les trois mois et je pouvais sortir et rentrer à la maison. En entendant ces nouvelles, je me suis sentie tellement heureuse que j’ai continué à remercier Dieu. Plus tard, j’ai fait un suivi de contrôle et les résultats de l’examen ont montré que tout était normal.
Grâce à cette expérience de maladie, j’ai gagné une certaine connaissance de mon point de vue erroné sur ce qui doit être poursuivi dans ma foi et j’ai aussi gagné un peu de compréhension de la toute-puissance et de la souveraineté de Dieu. Les choses dont une personne fait l’expérience dans sa vie, la naissance, le vieillissement, la maladie et la mort, ne sont pas choisies par elle, tout ceci est prédestiné par Dieu. Sans tenir compte du fait que je vais vivre ou mourir dans l’avenir, je souhaite seulement me soumettre aux orchestrations et aux arrangements de Dieu, poursuivre la vérité et accomplir mes devoirs.
La douleur cessera et les larmes s'arrêteront. Faites confiance à Dieu, Il a entendu nos appels dans notre souffrance, et Il nous sauvera de notre douleur. Contactez-nous pour connaître la bonne nouvelle de Dieu de nous sauver.
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