Réflexions après la perte de mon devoir
Par Ding Xiao, ChineEn octobre 2015, j’étais responsable du travail vidéo dans l’Église. Deux mois plus tard, en raison de la lourde charge...
Nous accueillons tous les chercheurs qui désirent ardemment l'apparition de Dieu !
Dès mon plus jeune âge, j’ai toujours beaucoup aimé danser. Ma mère m’a dit que quand j’étais très jeune, chaque fois qu’il y avait de la musique, je me trémoussais naturellement en suivant le rythme. En grandissant, j’ai continué à être passionnée par la danse, et tout ce qui concernait la danse m’intéressait particulièrement. Surtout quand je voyais des danseurs se produire sur scène à la télé et exécuter sans effort des mouvements de danse très complexes tandis que le public fasciné regardait, applaudissant et acclamant, Je ne pouvais pas les quitter des yeux et leurs performances ont eu un impact majeur sur moi. C’était tout simplement magnifique ! Je me disait ceci : « Comme ce serait merveilleux si moi aussi je devenais danseuse, je pouvais m’exprimer à travers la danse et gagner les applaudissements et les éloges de mon public ! » Pour faire de mon rêve une réalité, j’ai suivi des cours de danse, et débuté une période de formation professionnelle. J’étudiais de très près les mouvements du professeur pendant les cours et m’efforçais de réaliser chaque mouvement à la perfection. Mon professeur disait que j’avais un sérieux potentiel en tant que danseuse et mes pairs affirmaient tous que j’avais sans aucun doute un avenir dans la danse. J’étais heureuse d’entendre cela, je me disais que j’avais un réel talent en tant que danseuse et que je pouvais faire carrière dans la danse. Peut-être que poursuivre la danse était la mission que m’avait confiée le Ciel.
Plus tard, j’ai eu la chance d’accepter l’œuvre des derniers jours de Dieu Tout-Puissant, et en regardant les vidéos de l’Église, j’ai appris que l’Église a également un devoir de danse. En observant les frères et sœurs chanter, danser et louer Dieu, je me suis dit : « La danse dans le monde profane est faite pour les non-croyants et n’a que peu de valeur, mais danser à l’Église est un devoir et me permet de louer Dieu, ça a vraiment du sens ! De plus, les vidéos de l’Église sont mises en ligne et regardées dans le monde entier. Si je pouvais montrer mes talents de danseuse dans ces vidéos, n’obtiendrais-je pas encore plus d’éloges et de reconnaissance ? À l’avenir, je dois passer plus de temps à pratiquer la danse, afin de pouvoir gagner moi-même un devoir de danse. » Plus tard, notre Église a été persécutée par le PCC et de nombreux frères et sœurs ont été arrêtés, et nous avons donc à peine eu l’occasion de nous réunir et d’accomplir nos devoirs normalement, encore moins d’occasions de monter un groupe de danse. Je voulais tellement quitter la Chine et pratiquer ma foi et faire mon devoir dans un pays libre et démocratique. Afin de ne pas me sentir trop crispée, je faisais des étirements et des exercices chaque fois que j’avais du temps libre. Parfois, quand j’écoutais de la musique, je m’imaginais sur scène dans un spectacle de danse. Peu de temps après, au cours d’une réunion, la police a soudainement fait irruption et a commencé à procéder à des arrestations. J’ai été détenue pendant 37 jours, puis libérée sous caution en attendant mon procès. Par crainte d’être à nouveau arrêtée, j’ai quitté la maison et me suis cachée. Chaque jour, je regardais le vaste ciel bleu par ma fenêtre et j’entrais dans un état second, me disant : « À présent que j’ai été arrêtée, c’est comme si j’avais été détenue par le PCC. À l’avenir, je ne pourrai plus aller nulle part librement et je ne pourrai plus quitter le pays. Comment aurai-je encore une chance de me produire sur scène ? Cela ne signifie-t-il pas la fin de mon rêve de devenir danseuse ? » Ces pensées me remplissaient d’effroi. Plus tard, l’Église m’a demandé de composer des hymnes, mais même si extérieurement je faisais mon devoir, mon cœur n’y était pas. J’ai même pensé que j’étais juste faite pour être danseuse et que ce devoir n’était pas adapté pour moi. Ma dirigeante m’a renvoyée après avoir vu que je me vautrais dans cet état négatif et que je ne parvenais pas à m’améliorer.
Après avoir été renvoyée, je passais chaque jour dans un état de confuse hébétude. À chaque fois que je pensais à la façon dont mon rêve de danse avait été anéanti, je me sentais angoissée et désorientée. En plein désarroi, j’ai prié Dieu : « Ô Dieu, je sais que depuis que j’ai été renvoyée, j’ai dû Te dégoûter d’une certaine manière, mais je suis trop insensible et je ne sais pas où j’ai commis une erreur. S’il Te plaît, guide-moi et éclaire-moi afin que je gagne en connaissance de moi-même. » Chaque jour, je priais Dieu de cette manière. Une fois, pendant des dévotions, je suis tombée sur un passage des paroles de Dieu qui m’a permis de comprendre quelque peu mon problème. Dieu Tout-Puissant dit : « Les hommes pensent qu’il n’y a rien de mal à acquérir des connaissances, que c’est le cours naturel des choses. Pour le dire avec douceur, nourrir de grands idéaux ou avoir des ambitions, c’est avoir de la détermination, ce qui devrait être le bon chemin dans la vie. Si les hommes peuvent réaliser leurs idéaux ou réussir leur carrière, n’est-il pas plus glorieux de vivre de cette façon ? C’est non seulement une façon d’honorer ses ancêtres, mais aussi de marquer potentiellement l’histoire. N’est-ce pas là une bonne chose ? C’est une bonne chose aux yeux des gens de ce monde, pour qui ce devrait être quelque chose de juste et de positif. Est-ce que Satan, cependant, avec ses sombres motivations, emmène tout simplement les hommes sur ce genre de chemin et estime alors qu’il a réussi ? Certainement pas. En fait, peu importe la grandeur des idéaux de l’homme, quel que soit le réalisme de ses désirs ou s’ils sont convenables, tout ce qu’il veut atteindre, tout ce qu’il cherche est inextricablement lié à deux mots. Ces deux mots sont d’une importance vitale pour la vie de chaque personne, et ce sont des choses que Satan a l’intention d’inculquer à l’homme. Quels sont-ils ? La “gloire” et le “gain”. Satan s’y prend d’une façon très subtile, en accord avec les notions des hommes ; ce n’est pas un chemin drastique. De façon tout à fait inconsciente, les gens en viennent à accepter le mode et les règles de vie de Satan, à établir des objectifs de vie et leur direction dans la vie et, sans le savoir, ils en arrivent également à avoir des ambitions dans la vie. Quelle que soit la noblesse de ces ambitions, elles restent étroitement liées à la “gloire” et au “gain” » (La Parole, vol. 2 : Sur la connaissance de Dieu, Dieu Lui-même, l’Unique VI). En lisant ce passage, j’ai eu une soudaine prise de conscience et j’ai rapidement compris que je suivais le chemin de la recherche de la réputation et du gain. Par le passé, j’avais toujours pensé que chercher à concrétiser mes rêves était le bon chemin dans la vie. Je pensais qu’accomplir quelque chose dans ma vie signifiait que j’avais de l’ambition et de l’aspiration, et qu’être plus forte que mes pairs et me faire un nom était une façon de prouver ma valeur. Cela me rendrait bien meilleure que ceux qui n’avaient ni rêves ni aspirations et se satisfaisaient de leur vie médiocre. C’est seulement à ce moment-là que j’ai pris conscience que poursuivre ses rêves et ses aspirations est l’une des manières de Satan pour corrompre les gens et les pousser à s’engager sur le chemin de la quête de la réputation et du gain. Plus on cherche la réputation et le gain, plus on s’éloigne des exigences de Dieu. Dieu demande que nous agissions honnêtement et concrètement comme des êtres créés et que nous menions à bien nos devoirs, mais ceux qui cherchent la réputation et le gain ne pensent qu’à exceller au-dessus de leurs pairs et ne sont tout simplement jamais satisfaits de leur situation. Je réfléchissais à la raison pour laquelle je m’acharnais à devenir danseuse. Quand je voyais des danseurs à la télévision obtenir les applaudissements du public grâce à leurs mouvements difficiles, je les enviais énormément, et je rêvais du jour où je pourrais moi aussi me tenir au centre de la scène, être le centre de l’attention de tous, gagner leurs acclamations et leurs applaudissements et réaliser mon objectif de me distinguer. Pour faire de mon rêve une réalité, je m’entraînais à danser de l’aube au crépuscule, et j’étais extrêmement motivée. Mais parce que j’avais un casier après avoir été arrêtée par le PCC, j’ai perdu ma chance de partir à l’étranger. Lorsque j’ai pris conscience que mon rêve avait été brisé, j’ai été déprimée et abattue, et je suis devenue insouciante et déconcentrée dans mon devoir. J’avais l’impression d’être devenue une personne différente. Ce n’est qu’à ce moment-là que j’ai vu que la réputation et le gain sont les moyens utilisés par Satan pour attirer et corrompre les gens. En apparence, ils peuvent apporter aux gens des applaudissements et des éloges, mais en réalité, ils corrompent idéologiquement les gens, les faisant penser uniquement à la réputation et au gain et oublier d’adorer Dieu, et encore moins poursuivre la vérité et mener à bien leur devoir. En fin de compte, cela conduit les gens à s’éloigner de Dieu et à perdre complètement leur chance de salut.
Plus tard, j’ai lu un autre passage des paroles de Dieu : « L’attachement des antéchrists à leur réputation et à leur statut va au-delà de celui des gens normaux, et cela fait partie de leur tempérament-essence ; ce n’est ni un intérêt temporaire, ni l’effet transitoire de leur environnement : c’est quelque chose dans leur vie, leurs os, et c’est donc leur essence. C’est-à-dire que dans tout ce que font les antéchrists, leur première considération est leur propre réputation et leur propre statut, rien d’autre. Pour les antéchrists, la réputation et le statut sont leur vie et le but de toute leur vie. Dans tout ce qu’ils font, leur première considération est la suivante : “Qu’adviendra-t-il de mon statut ? Et de ma réputation ? Est-ce que faire cela me donnera une bonne réputation ? Cela élèvera-t-il mon statut dans l’esprit des gens ?” C’est la première chose à laquelle ils pensent, ce qui est une preuve suffisante qu’ils ont le tempérament et l’essence des antéchrists ; c’est pour cela qu’ils considèrent les choses de cette façon. On peut dire que pour les antéchrists, la réputation et le statut ne sont pas une exigence supplémentaire quelconque, encore moins des choses qui sont externes à eux et dont ils pourraient se passer. Cela fait partie de la nature des antéchrists, c’est dans leurs os, dans leur sang, et c’est inné. Les antéchrists ne sont pas indifférents à la question de savoir s’ils possèdent réputation et statut : telle n’est pas leur attitude. Alors, quelle est leur attitude ? La réputation et le statut sont intimement liés à leur vie quotidienne, à leur état quotidien, à ce qu’ils poursuivent au quotidien. Et donc, pour les antéchrists, le statut et la réputation sont leur vie. Peu importe comment ils vivent, peu importe l’environnement dans lequel ils vivent, leur travail, ce qu’ils poursuivent, leurs objectifs, la direction de leur vie, tout tourne autour d’une bonne réputation et d’un statut élevé. Et ce but ne change pas : ils ne peuvent jamais mettre de côté de telles choses. C’est là le vrai visage des antéchrists et leur essence. Vous pourriez les mettre dans une forêt vierge au fond des montagnes, et ils ne mettraient toujours pas de côté leur poursuite de la réputation et du statut. Vous pouvez les mettre dans n’importe quel groupe de gens, et tout ce à quoi ils pourront penser, ce seront toujours la réputation et le statut. Bien que les antéchrists croient aussi en Dieu, ils voient la poursuite de la réputation et du statut comme équivalente à la foi en Dieu et lui accordent le même poids. C’est-à-dire qu’en marchant sur le chemin de la foi en Dieu, ils poursuivent aussi leur propre réputation et leur propre statut » (La Parole, vol. 4 : Exposer les antéchrists, Point 9 (Partie III)). Dieu a exposé comment les antéchrists chérissent particulièrement la réputation et le statut et vont même jusqu’à considérer la réputation et le statut comme leur vie et le but qu’ils poursuivent dans la vie. Peu importe quand et où ils se trouvent, rien ne change la direction de leur poursuite. En fait, j’étais exactement comme cela. Petite déjà, j’aimais me mettre en valeur et voir les autres m’admirer et me louer. En voyant comment les danseurs à la télévision gagnaient l’admiration et l’adulation de leur public, je les admirais et j’aspirais à leur ressembler. J’avais même comme objectif de devenir une danseuse exceptionnelle. Même après être entré dans la foi et avoir fait mon devoir, je n’ai pas changé d’objectif dans la vie, et quand je n’ai pas été en mesure de faire un devoir de danse dans mon Église locale, j’ai aspiré à partir à l’étranger afin que mon grand rêve de monter sur scène en tant qu’artiste devienne réalité. Même après avoir été arrêtée par le PCC et m’être retrouvée avec un casier judiciaire, ce qui m’a empêchée de quitter le pays, je ne pouvais toujours pas m’empêcher de penser constamment à mon rêve d’être danseuse et je suis devenue négative et angoissée parce que je n’avais pas atteint mon objectif, faisant mon devoir de manière superficielle et négative et me relâchant. Je pensais souvent à mon avenir et à ma réputation et je ruminais sur mes perspectives. Je voyais mon devoir comme le tremplin qui m’aiderait à concrétiser mes rêves. Je ne m’occupais pas de mes propres devoirs et je résistais à Dieu ! En prenant conscience de cela, j’ai prié Dieu en disant : « Ô Dieu, à travers le jugement et l’exposition de Tes paroles, j’ai vu à quel point je voue une véritable obsession pour la réputation, le gain et le statut. Je cherche toujours à concrétiser mes rêves et je ne parviens pas à faire correctement mon devoir. Je suis prête à me repentir, à abandonner ces désirs extravagants et à simplement chercher à mener à bien mon devoir. » Plus tard, je suis tombée sur ce passage des paroles de Dieu : « Tu devrais être capable d’assumer tes responsabilités, de répondre à tes obligations et d’accomplir tes devoirs, et de mettre de côté tes désirs, intentions et motivations égoïstes. Tu dois montrer de la considération pour les intentions de Dieu, et faire passer en premier les intérêts de la maison de Dieu, le travail de l’Église, et le devoir que tu es censé accomplir. Après en avoir fait l’expérience quelque temps, tu sentiras que c’est une bonne manière de se comporter. C’est mener une vie franche et honnête, et ne pas être quelqu’un d’abject et de vil. C’est vivre de façon juste et honorable, plutôt que d’être méprisable, abject et bon à rien. Tu sentiras que c’est ainsi qu’une personne devrait agir et que c’est l’image que cette personne devrait vivre » (La Parole, vol. 3 : Discours de Christ des derniers jours, On ne peut gagner la liberté et la libération qu’en se débarrassant de son tempérament corrompu). J’ai réfléchi au fait que dans le passé, je ne faisais mon devoir que pour satisfaire mes propres ambitions et désirs. Je ne tenais pas du tout compte des intentions de Dieu et je vivais d’une manière basse et méprisable. Je savais que si j’avais une autre chance de faire un devoir, je devrais mettre de côté mes désirs personnels et faire mon devoir correctement pour satisfaire Dieu. Je ne pouvais pas me laisser aller à plus de regrets et de culpabilité. Après avoir réfléchi un certain temps, j’ai de nouveau fait mon devoir dans l’Église. Même si ce devoir concernait les affaires générales et n’avait rien à voir avec la danse, je savais que c’était Dieu qui me donnait une chance de me repentir, j’étais donc prête à me soumettre et à faire mon devoir correctement en tant qu’être créé.
Plus de six mois se sont ainsi écoulés, et même si je ne me sentais plus négative et déprimée de ne pas pouvoir concrétiser mes rêves, je ressentais toujours une certaine confusion. Parfois, je me demandais : « Beaucoup de gens ont des talents, des intérêts et des passe-temps, est-ce que toutes ces choses sont négatives ? Les gens ne devraient-ils vraiment pas poursuivre ces choses ? » Un jour, j’ai lu un passage des paroles de Dieu sur ce sujet qui a apporté quelques réponses à mes questions. Dieu Tout-Puissant dit : « Les centres d’intérêt et les passe-temps des gens ne sont pas intrinsèquement mauvais et, bien entendu, on ne peut certainement pas dire qu’il s’agit de choses négatives. On ne devrait pas les condamner ou les critiquer. Que les gens aient des centres d’intérêt, des passe-temps, et des talents dans certains domaines relève de l’humanité normale, tout le monde en a. Certains aiment danser, certains aiment chanter, dessiner, se produire sur scène, ou aiment la mécanique, l’économie, l’ingénierie, la médecine, l’agriculture, la voile, ou certains sports. D’autres aiment étudier la géographie, la géologie ou l’aviation et, bien entendu, d’autres encore peuvent aimer étudier des sujets bien plus obscurs. Quels que soient les centres d’intérêt et les passe-temps d’une personne, ils relèvent tous de l’humanité et de la vie humaine normale. Ils ne devraient pas être dénigrés comme s’il s’agissait de choses négatives, pas plus qu’ils ne devraient être critiqués, et encore moins interdits. Autrement dit, tous les centres d’intérêt et passe-temps que tu as peut-être sont légitimes. Puisque tous les centres d’intérêt ou passe-temps sont légitimes et puisque leur existence devrait être permise, comment doit-on traiter les idéaux et désirs qui sont liés à ces centres d’intérêt et passe-temps ? Par exemple, certains aiment la musique. Ils disent : “Je veux devenir musicien ou chef d’orchestre”, puis ils ignorent tout le reste pour aller étudier la musique et s’améliorer dans ce domaine, se fixant comme objectif et direction dans la vie d’occuper la place d’un musicien. Est-ce la bonne chose à faire ? (Ce n’est pas la bonne chose à faire.) Si tu ne crois pas en Dieu, si tu fais partie du monde et que tu passes ta vie à réaliser les idéaux et désirs établis par tes propres centres d’intérêt et passe-temps, nous n’avons rien à en dire. Par contre, en tant que croyant en Dieu, si tu as de tels centres d’intérêt et passe-temps, et que tu veux y consacrer toute ta vie, en payant le prix de toute une vie pour réaliser les idéaux et les désirs établis par tes propres centres d’intérêt et passe-temps, ce chemin est-il bon ou mauvais ? Est-il digne d’être encouragé ? (Il n’en est pas digne.) Ne nous demandons pas tout de suite si oui ou non ce chemin est digne d’être encouragé. Tout devrait être examiné solennellement, alors comment procéder pour déterminer si cette question est bonne ou mauvaise ? Tu dois te demander si les poursuites, les idéaux et les désirs que tu as établis ont le moindre rapport avec les enseignements de Dieu, et avec Son salut et Ses attentes te concernant, avec l’intention de Dieu de sauver l’humanité, avec ta mission et ton devoir. Tu dois te demander s’ils t’aideront à achever ta mission et à accomplir ton devoir plus efficacement, ou s’ils augmenteront tes chances d’être sauvé et s’ils t’aideront à satisfaire les intentions de Dieu. En tant que personne ordinaire, ta poursuite des idéaux et des désirs est ton droit, mais quand tu réaliseras tes propres idéaux et désirs et poursuivras ce chemin, te conduiront-ils au chemin du salut ? Te mèneront-ils au chemin qui consiste à craindre Dieu et à s’éloigner du mal ? Te mèneront-ils, en fin de compte, au résultat de la soumission absolue à Dieu et de l’adoration absolue envers Dieu ? (Ils ne le feront pas.) C’est certain. Puisqu’ils ne le feront pas, alors, en tant que croyant en Dieu, les idéaux et les désirs établis du fait de tes centres d’intérêt, de tes passe-temps, et même de tes talents et de tes dons, sont-ils positifs ou négatifs ? Devrais-tu les avoir ou non ? (Ils sont négatifs, nous ne devrions pas les avoir.) Tu ne devrais pas les avoir » (La Parole, vol. 6 : Sur la poursuite de la vérité, Comment poursuivre la vérité (8)). Après avoir lu les paroles de Dieu, j’ai pris conscience que les intérêts et les passe-temps font partie de l’humanité normale des gens, sont donnés à l’homme par Dieu et ne sont pas intrinsèquement négatifs, mais lorsque les gens commencent à considérer leurs passe-temps et leurs intérêts comme des idéaux et des désirs à poursuivre, alors la nature du problème change. Dès que quelqu’un considère son passe-temps comme un idéal à poursuivre, il y consacrera certainement beaucoup de temps et d’énergie. Pour les gens ordinaires, cela peut sembler être leur liberté et leur droit, mais pour les croyants en Dieu, la poursuite d’idéaux et de désirs ne peut pas conduire les gens sur le chemin du salut ; au contraire, cela les amène à consacrer leur temps et leur énergie à des choses sans rapport avec la vérité. Cela les empêche dans une certaine mesure de mener à bien leur devoir. De plus, si les gens cherchent à concrétiser leurs idéaux, ils ne peuvent pas se soumettre aux orchestrations et aux arrangements de Dieu et ne feront que s’éloigner davantage de Dieu. J’en ai fait l’expérience moi-même. J’ai accepté l’œuvre des derniers jours de Dieu à un jeune âge, j’ai commencé à faire mon devoir et j’ai eu l’occasion de poursuivre la vérité et d’atteindre le salut. Mais je n’ai pas suivi le bon chemin, je n’ai pas chéri l’opportunité que Dieu m’a donnée, et je me suis entêtée à chercher à concrétiser mes rêves. Parce que j’ai mis toutes mes pensées et mon énergie à poursuivre mes idéaux et mes désirs, et que je ne me suis pas concentrée sur la poursuite de la vérité, je n’ai fait aucun progrès dans mon devoir pendant une longue période. Ma vision de la vie et mes valeurs étaient toutes de nature satanique. Après mon arrestation par la police, je n’ai pas cherché la vérité ni tiré les leçons de cette expérience, au lieu de cela, je suis devenue résistante à Dieu et je L’ai blâmé pour l’environnement qu’Il avait orchestré après mon arrestation m’avait empêchée de voyager à l’étranger et que mon rêve de devenir danseuse avait été brisé. En tant qu’être créé, j’aurais dû me soumettre aux arrangements du Créateur et avoir un sens de l’intention de Dieu à travers mon expérience. Mais je me suis accrochée obstinément à mon rêve, je n’étais pas satisfaite de la souveraineté et des arrangements de Dieu, et j’ai fait les choses machinalement et j’ai été distraite dans mon devoir. Comment Dieu n’aurait-Il pas été dégoûté par mon attitude et mon comportement ? Si je ne renonçais pas à poursuivre mes rêves et mes désirs, et si un jour j’étais capable de faire un devoir en tant que danseuse, je témoignerais certainement de moi-même et me ferais connaître afin de concrétiser mon rêve. Témoigner de moi-même au lieu de Dieu dans mon devoir était une sorte d’opposition à Dieu et devrait être accueilli par les malédictions de Dieu !
J’ai lu un autre passage des paroles de Dieu : « Si des enfants s’intéressent aux arts, doivent-ils se lancer dans ce travail et doivent-ils le faire toute leur vie ? Pas nécessairement. Cela dépend de l’ordination de Dieu, de la façon dont Dieu exerce Sa souveraineté et arrange les choses. Si Dieu arrange pour ces enfants qu’ils travaillent dans le monde des arts, ils ne quitteront jamais ce domaine de toute leur vie. Mais si Dieu n’a pas arrangé ou ordonné qu’ils travaillent dans ce domaine, ils auront simplement les arts comme centre d’intérêt et comme passe-temps, et même s’ils aiment les arts, ils ne pourront pas se lancer dans ce travail. Certaines personnes aiment les arts depuis leur enfance. Leurs parents, voyant que leur enfant a ce centre d’intérêt et ce passe-temps, pensent : “Cultivons ce talent, alors. Peut-être que notre famille peut produire quelqu’un de talentueux dans le monde des arts. Peut-être que notre enfant deviendra même célèbre et remarquable !” Alors les parents se mettent à cultiver leur enfant pour que celui-ci apprenne la danse et le chant, et finalement, l’enfant est admis dans une école d’art. Même si son intérêt et sa passion pour les arts ne faiblissent pas après qu’il a obtenu son diplôme, il n’est pas certain qu’il puisse s’engager dans ce métier. Il est possible, lorsqu’il est sur le point de s’engager dans ce travail, que son état d’esprit change, que son attitude et ses opinions vis-à-vis de ce travail changent, et il est également possible que, pour diverses raisons dans l’environnement objectif, il rate l’occasion de faire partie de ce domaine. Toutes ces choses sont possibles. Cela dépend de l’ordination de Dieu » (La Parole, vol. 7 : Sur la poursuite de la vérité, Comment poursuivre la vérité (11)). Après avoir lu ce passage, je me suis sentie très soulagée. Dans le passé, je pensais que je devais poursuivre un travail lié à mes intérêts et à mes passe-temps. Je pensais que mes intérêts étaient probablement une mission que Dieu m’avait confiée, et que comme j’étais passionnée par la danse, je devais faire un devoir lié à la danse. Alors, quand on m’a assigné un devoir qui n’avait rien à voir avec la danse, j’ai eu le sentiment que ce devoir ne me convenait pas et je ne voulais pas l’accomplir. Mais dans la vie concrète, je n’ai rencontré que de la frustration, je n’arrivais tout simplement pas à décrocher un devoir lié à la danse. Maintenant, je comprends que tout cela était la souveraineté et les arrangements de Dieu. Je pensais à la nièce d’une danseuse célèbre qui avait montré des talents de danseuse dès son plus jeune âge, et la danseuse, sa tante, avait voulu qu’elle reprenne le flambeau familial, mais même après l’avoir formée personnellement, sa nièce n’a toujours pas fini par se lancer dans la danse et est devenue actrice. Il existe également d’innombrables exemples de personnes qui ont certaines compétences ou certains talents, mais finissent quand même par passer leur vie dans des emplois ordinaires pour nourrir leur famille et qui sont incapables de travailler dans un domaine lié à leurs intérêts et à leurs loisirs. À partir de là, j’ai pris conscience que Dieu détient la souveraineté sur le travail que les gens feront dans leur vie et l’arrange ; les gens n’ont rien à dire à ce sujet et ne peuvent pas forcer de telles choses à se produire. Même si je ne suis pas capable de faire un devoir lié à mes intérêts, Dieu m’a donné le calibre pour faire d’autres devoirs. Maintenant, je fais un travail textuel, un devoir que je n’aurais jamais imaginé accomplir dans le passé. En lisant divers articles et sermons, j’ai appris certaines vérités sur les visions, j’ai compris un peu l’œuvre de Dieu et j’ai expérimenté par moi-même comment les situations que Dieu arrange pour nous sont les meilleures et sont bénéfiques pour nos vies. Que je sois ou non capable de faire un devoir de danse à l’avenir, je suis prête à me soumettre, à poursuivre la vérité et à faire l’expérience de l’œuvre de Dieu dans n’importe quel environnement que Dieu orchestre. De plus, pendant mon temps libre, j’ai appris les chorégraphies de l’Église, donc je continue à cultiver mes intérêts. Parfois, après le dîner, je danse un peu et je me sens toujours un peu plus heureuse après. Je pense que c’est la bonne façon de traiter mes passe-temps et mes intérêts. Je remercie Dieu du fond du cœur de m’avoir donné ce passe-temps, car il a rendu ma vie un peu plus intéressante. Je dois travailler encore plus dur pour faire mon devoir correctement et rendre à Dieu Son amour.
La douleur cessera et les larmes s'arrêteront. Faites confiance à Dieu, Il a entendu nos appels dans notre souffrance, et Il nous sauvera de notre douleur. Contactez-nous pour connaître la bonne nouvelle de Dieu de nous sauver.
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