Dans l’épreuve de la mort
Dieu Tout-Puissant dit : « Dieu est venu œuvrer sur terre pour sauver l’humanité corrompue ; il n’y a là aucune supercherie. Dans le cas contraire, Il ne serait certainement pas venu faire Son œuvre en personne. Dans le passé, Son moyen de salut consistait à faire preuve du plus grand amour et de la plus grande compassion, au point qu’Il a tout donné à Satan en échange de l’humanité entière. Le présent n’a rien à voir avec le passé : le salut qui vous est accordé aujourd’hui est réalisé au temps des derniers jours, durant le classement de chacun selon son espèce ; le moyen de votre salut n’est pas l’amour ou la compassion, mais le châtiment et le jugement, pour que l’homme soit plus complètement sauvé. Ainsi, vous ne recevez que le châtiment, le jugement et des coups impitoyables, mais sachez ceci : dans ces coups cruels, il n’y a pas la moindre punition. Quelle que soit la sévérité de Mes paroles, ce qui s’abat sur vous, ce ne sont que quelques paroles qui vous paraissent peut-être tout à fait cruelles, et quelle que soit l’intensité de Ma colère, ce qui vous arrive, ce sont encore des paroles d’enseignement, et Je ne veux pas vous faire de mal ou vous mettre à mort. Tout cela n’est-il pas vrai ? Sachez que, de nos jours, que ce soit le jugement juste ou l’épurement cruel et le châtiment, tout vise le salut. Peu importe si aujourd’hui chacun est classé selon son espèce ou si les catégories d’hommes sont dévoilées, le but de toutes les paroles et de toute l’œuvre de Dieu est de sauver ceux qui L’aiment vraiment. Le jugement juste est porté pour purifier l’homme et l’épurement cruel est fait pour le débarrasser de ses souillures ; les paroles sévères et le châtiment sont tous les deux faits pour la purification et le salut » (La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, Tu devrais mettre de côté les bénédictions du statut et comprendre la volonté de Dieu d’apporter le salut à l’homme). Les paroles de Dieu m’émeuvent beaucoup et me rappellent l’expérience inoubliable que j’ai faite, il y a vingt ans, pendant l’épreuve de la mort. Elle m’a vraiment permis de comprendre que le jugement et le châtiment de Dieu sont le salut et Son amour pour l’homme. Même si les paroles de Dieu sont dures ou bouleversantes, elles ne visent qu’à nous purifier et nous transformer.
C’était en février 1992. Après l’épreuve des exécutants, Dieu a fait de nous Son peuple à l’ère du Règne et nous a fait part de Ses exigences : lire Ses paroles et les mettre en pratique, chercher à Le connaître, témoigner de Lui par des épreuves et atteindre le niveau de peuple du royaume le plus vite possible. À l’époque, les paroles de Dieu mentionnaient souvent « les gens de Ma maison » et « le peuple de Mon règne ». Ces paroles me donnaient l’impression qu’Il nous voyait comme Sa famille. Me sentant encouragé, j’ai essayé de mériter d’appartenir au peuple de Dieu. Je priais, lisais les paroles de Dieu et y cherchais Sa volonté. Je faisais mon devoir de mon mieux et j’étais décidé à suivre Dieu toute ma vie. J’avais vingt-deux ans. La plupart des gens de mon âge étaient mariés et avaient des enfants. Mes parents, des non-croyants, ont essayé de me trouver une femme. J’ai toujours refusé.
J’adorais chanter « L’Hymne du royaume », surtout ce passage : « Le royaume de Satan s’effondre au son du salut du royaume, détruit par le tonnerre de l’hymne du royaume. Et il ne se relèvera jamais ! » « Qui sur terre ose se lever et résister ? Alors que Dieu descend sur terre, Il apporte le feu, Il apporte la colère, Il apporte tous types de désastres. Les royaumes terrestres sont maintenant le royaume de Dieu ! » (« L’hymne du royaume (II) Dieu est venu, Dieu est Roi » dans Suivre l’Agneau et chanter des cantiques nouveaux). Je songeais que le royaume de Dieu se manifesterait sur terre, que les grands désastres viendraient quand Dieu aurait achevé Son œuvre et que tous ceux qui s’opposaient à Lui seraient détruits. Nous qui Le suivions, en revanche, survivrions et Il nous mènerait dans le royaume pour qu’on y jouisse de bénédictions éternelles. C’était merveilleux de penser tout ça. À l’époque, je pensais qu’accepter le nom de Dieu Tout-Puissant et rejoindre le peuple du royaume signifiait qu’il était acquis que j’entrerais dans le royaume de Dieu dans cette vie. J’étais ravi. Nous étions motivés et pleins de joie. Nous nous dépensions pour Dieu sans compter.
Mais Dieu est juste et saint. Il voit dans nos cœurs et Il connaît nos notions, nos imaginations et nos désirs fous. Alors que nous espérions entrer dans le royaume et nous délecter de Ses bénédictions, fin avril, Il a prononcé de nouvelles paroles qui nous ont plongés dans l’épreuve de la mort.
Un jour, un dirigeant d’Église a organisé une réunion et lu ces paroles de Dieu : « Pendant que les gens rêvent, Je parcours les pays du monde en répandant sur les hommes l’“odeur de la mort” que J’ai entre les mains. Tous les hommes abandonnent immédiatement la vitalité et entrent dans le niveau suivant de la vie humaine. Parmi les hommes, on ne voit plus d’êtres vivants. Les cadavres sont éparpillés partout, les choses qui sont remplies de vitalité disparaissent immédiatement sans laisser de traces, et l’odeur étouffante des cadavres imprègne le pays. […] Aujourd’hui, ici, les cadavres de tous les hommes sont dispersés en désordre. Sans que les gens le sachent, Je libère la peste dans Mes mains et les corps des hommes se décomposent, aucune trace de chair ne restant de la tête aux pieds, et Je M’éloigne très loin des hommes. Je ne Me rassemblerai plus jamais avec les hommes, Je ne viendrai plus jamais parmi les hommes, car la phase finale de Ma gestion entière a pris fin et Je ne vais pas créer l’humanité de nouveau, ne prêterai aucune attention à l’homme de nouveau. Après avoir lu les paroles de Ma bouche, tous les hommes perdent espoir, car ils ne veulent pas mourir, mais qui ne “meurt” pas pour “revivre” ? Quand Je dis aux hommes que Je manque de la magie qui les ferait revivre, ils éclatent en sanglots dans la douleur ; en effet, bien que Je sois le Créateur, J’ai seulement le pouvoir de faire mourir les hommes et n’ai pas la capacité de les faire revivre. En cela, Je M’excuse auprès de l’homme. Ainsi, J’ai dit à l’homme à l’avance que “Je lui dois une dette impossible à acquitter”, mais il pensait que J’étais poli. Aujourd’hui, avec l’avènement des faits, Je le dis encore. Je ne trahirai pas les faits lorsque Je parle. Dans leurs notions, les hommes croient que Je parle de trop de façons différentes, et donc ils s’accrochent toujours aux paroles que Je leur donne en espérant autre chose. Est-ce que ce ne sont pas les motivations erronées de l’homme ? C’est dans ces circonstances que J’ose dire “audacieusement” que l’homme ne M’aime pas vraiment. Je ne Me détournerais pas de la conscience ni ne fausserais les faits, car Je ne conduirais pas les gens dans leur pays idéal ; à la fin, quand Mon œuvre sera terminée, Je les conduirai au pays de la mort » (La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, Les paroles de Dieu à l’univers entier, Chapitre 40). Quand j’ai lu « bien que Je sois le Créateur, J’ai seulement le pouvoir de faire mourir les hommes et n’ai pas la capacité de les faire revivre », ça m’a troublé. Je me suis demandé : « Pourquoi Dieu dit-Il une chose pareille ? La vie et la mort des hommes sont entre Ses mains. Pourquoi dit-Il qu’Il n’a pas la “capacité” de donner la vie ? Les croyants mourront-ils quand même à la fin ? Comment pouvons-nous mourir si nous sommes le peuple du royaume ? C’est impossible ! Mais Dieu ne plaisante pas. Ses parles affirment clairement : “Quand Mon œuvre sera terminée, Je les conduirai au pays de la mort.” Cela veut-il dire que la mort nous attend ? De quoi s’agit-il ? » Je n’arrivais pas à comprendre pourquoi Dieu avait dit ça. Mes frères et sœurs semblaient aussi perdus que moi. Alors le dirigeant d’Église nous a expliqué : « Notre chair est profondément corrompue par Satan. Nous sommes arrogants, malhonnêtes, égoïstes et cupides, et nous continuons à mentir et à tricher en permanence. Même si nous croyons en Dieu et nous dépensons pour Lui, nous ne sommes pas capables de mettre Ses paroles en pratique. Nous Le jugeons et Le blâmons encore quand nous subissons des épreuves et des malheurs. Ça prouve que notre chair appartient à Satan et résiste à Dieu. Le tempérament de Dieu est juste, saint et ne peut pas être offensé. Comment pourrait-Il laisser des gens qui appartiennent à Satan entrer dans Son royaume ? Ainsi, quand Il aura achevé Son œuvre et que les grands désastres viendront, si nous n’avons pas gagné la vérité et changé nos tempéraments de vie, nous mourrons. »
Cet échange du dirigeant m’a bouleversé. Je ne savais plus ce que j’étais censé ressentir. J’avais l’impression que le ciel m’était tombé sur la tête. J’étais en état de choc. Mon esprit était rempli de confusion et de ressentiment. J’ai pensé : « Puisque nous sommes la dernière génération, ne sommes-nous pas les plus bénis ? Dieu a fait de nous le peuple de l’ère du Règne. Nous sommes les piliers de Son royaume. Comment pouvons-nous mourir à la fin ? J’ai renoncé à ma jeunesse et à mes espoirs de mariage pour suivre Dieu. Je me suis démené, dépensé pour Dieu et j’ai beaucoup souffert. J’ai été arrêté et persécuté par le PCC, humilié et calomnié par les mécréants. Pourquoi faut-il que je meure à la fin ? Ai-je tant souffert en vain ? » Ces pensées étaient très douloureuses. J’étais oppressé au point d’avoir du mal à respirer. Je voyais tout le monde autour de moi ressentir la même chose. Certains pleuraient discrètement, d’autres se lamentaient, le visage caché dans les mains. Après la réunion, ma mère m’a dit en soupirant : « J’ai plus de soixante ans et j’ai accepté la mort. Mais tu es si jeune… Ta vie ne fait que commencer. » Ça m’a encore plus bouleversé et je n’ai pas pu retenir mes larmes. Je n’ai pas fermé l’œil cette nuit-là. Je n’y comprenais rien. Je m’étais dépensé ardemment pour Dieu et j’avais renoncé à tout pour Le suivre, alors pourquoi devais-je mourir dans les grands désastres ? Comme je ne l’acceptais pas, je me suis mis à feuilleter les paroles de Dieu, espérant trouver quelque chose qui indiquait que notre fin pouvait être changée. Mais je n’ai pas trouvé les réponses que je voulais. Abasourdi, j’ai pensé : « On dirait que Dieu nous a vraiment condamnés et que notre mort est certaine. Personne ne peut changer ça. C’est un décret du Ciel. »
J’ai été très déprimé pendant plusieurs jours. J’étais à peine audible quand je parlais et je ne voulais rien faire. Auparavant, je transcrivais les paroles de Dieu pendant des heures jusqu’à avoir mal aux doigts, ce qui ne me dérangeait pas. Je voulais juste que les frères et sœurs lisent les nouvelles paroles de Dieu le plus vite possible. Je ne ressentais plus cette responsabilité. Ma ferveur s’était brusquement évanouie. Quand je transcrivais les paroles de Dieu, je pensais désormais : « Je suis encore jeune et je n’ai pas reçu les bénédictions du royaume des cieux. Je ne veux pas mourir comme ça ! » Je pleurais quand j’y pensais. J’avais le cœur gros, à cette époque. Je souffrais comme si on y avait planté un poignard. Le monde avait perdu sa saveur. J’avais l’impression que les grands désastres pouvaient se produire d’un instant à l’autre, je ne savais pas quand j’allais mourir. J’avais l’impression que c’était la fin du monde.
J’ai lu les paroles de Dieu et gagné un peu de connaissance de moi-même. Peu à peu, je me suis senti libéré. J’ai lu ceci dans les paroles de Dieu : « Aujourd’hui, au moment d’avancer vers la porte du royaume, tous les hommes commencent à aller de l’avant, mais quand ils arrivent devant la porte, Je ferme la porte, J’empêche les hommes d’entrer et J’exige qu’ils montrent leur laissez-passer. Une action si étrange va totalement à l’encontre des attentes des hommes, et ils sont tout étonnés. Pourquoi la porte, qui a toujours été grande ouverte, a-t-elle été soudainement fermée aujourd’hui ? Les hommes tapent des pieds et vont de long en large. Ils s’imaginent qu’ils peuvent négocier leur entrée, mais quand ils Me montrent leur faux laissez-passer, Je les jette aussitôt dans l’abîme de feu et, voyant leurs propres “efforts laborieux” s’envoler en flammes, ils perdent espoir. Ils se prennent la tête et pleurent en regardant les belles scènes du royaume tout en étant incapables d’y entrer. Malgré tout, Je ne les laisse pas entrer à cause de leur pitoyable état. Qui peut contrarier Mon plan à sa guise ? Les bénédictions du futur sont-elles accordées en échange du zèle des hommes ? Est-ce que le sens de l’existence humaine réside dans l’entrée de Mon royaume à sa guise ? […] J’ai depuis longtemps perdu la foi en l’homme et J’ai depuis longtemps perdu l’espoir dans les hommes, car ils manquent d’ambition, ils n’ont jamais pu Me donner un cœur qui aime Dieu et Me donnent toujours leurs motivations à la place. J’ai beaucoup parlé à l’homme, et puisque les hommes ignorent encore Mon conseil aujourd’hui, Je Leur raconte Ma vision afin de les empêcher de mal comprendre Mon cœur dans le futur ; qu’ils vivent ou meurent dans les temps à venir est leur affaire, Je n’ai aucun contrôle sur cela. J’espère qu’ils trouveront leur propre voie de survie. Je suis impuissant à ce sujet » (La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, Les paroles de Dieu à l’univers entier, Chapitre 46). « Lorsque les hommes sont prêts à sacrifier leur vie, tout devient insignifiant, et personne ne peut l’emporter sur eux. Qu’est-ce qui pourrait être plus important que la vie ? Ainsi, Satan devient incapable de faire plus chez les hommes, il ne peut rien faire avec l’homme. Même si, dans la définition de la “chair”, on dit que la chair est corrompue par Satan, si les gens se livrent réellement et ne sont pas conduits par Satan, alors personne ne peut l’emporter sur eux et, à ce moment-là, la chair accomplira son autre fonction et commencera à recevoir formellement la direction de l’Esprit de Dieu. C’est un processus nécessaire, il doit se faire étape par étape, sinon, Dieu n’aurait aucun moyen d’œuvrer dans la chair obstinée. Telle est la sagesse de Dieu » (La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, Les paroles de Dieu à l’univers entier, Chapitre 36). Ces paroles de Dieu m’ont affligé. Si j’étais négatif et malheureux, n’était-ce pas parce que je craignais la mort et que je désirais trop les bénédictions ? Au début, je croyais en Dieu pour les bénédictions et pour entrer dans le royaume des cieux. Même si j’avais traversé l’épreuve des exécutants, un peu renoncé à mon désir de bénédictions et décidé d’exécuter du service pour Dieu, ma nature satanique malhonnête et mauvaise était profondément enracinée en moi. Quand Dieu a fait de nous Son peuple, mon cœur a de nouveau bondi de joie. J’ai pensé que j’étais sûr d’entrer au royaume des cieux, cette fois. J’ai cru qu’en acceptant le nom de Dieu, en étant élevé par Lui au sein du peuple du royaume, en renonçant à tout, en me dépensant, j’entrerais dans le royaume des cieux. J’en étais certain. Quand l’œuvre de Dieu a anéanti mes notions et m’a dépouillé de mes espoirs et de ma fin, je suis devenu faible, négatif et j’ai blâmé Dieu. J’ai même regretté les sacrifices que j’avais faits dans le passé. J’ai compris que je n’avais fait tant d’efforts que pour obtenir les bénédictions du royaume des cieux en échange. N’était-ce pas négocier avec Dieu, Le tromper et L’utiliser ? Dans l’épreuve, je ne révélais que de la rébellion et des plaintes. Je voulais Lui obéir, mais j’en étais incapable, et je ne pouvais pas pratiquer des vérités que je connaissais bien. J’ai compris que je résistais à Dieu par nature, que j’appartenais à Satan. Quelqu’un comme moi, plein de tempéraments sataniques, méritait de mourir et d’être détruit. Je n’étais pas digne d’entrer dans le royaume de Dieu. C’était déterminé par Son tempérament juste. Mais avoir la chance de suivre Dieu et de connaître Son tempérament juste signifiait que ma vie n’était pas vaine ! J’ai alors prié Dieu : « Je ne veux plus vivre pour ma chair. Je veux me soumettre à Ton règne et à Tes arrangements. Quelle que soit ma fin, même si je meurs, je louerai Ta justice. » Quand j’ai arrêté de penser à ma fin et décidé d’obéir aux arrangements de Dieu, même au prix de ma propre vie, j’ai été merveilleusement soulagé.
Sauf qu’à l’époque, même si nous étions capables d’obéir à Dieu et de Le suivre sans nous soucier de notre fin, nous n’avions pas de but. Mais, en mai 1992, Dieu a exprimé de nouvelles paroles pour nous encourager à chercher Son amour et à vivre des vies pleines de sens. Dieu nous a fait entrer dans le temps d’aimer Dieu, qui a mis fin à l’épreuve de la mort. En lisant les paroles de Dieu et en échangeant, j’ai compris que même si le destin des hommes est entre Ses mains et si personne ne peut échapper à la mort, Dieu ne veut pas qu’on affronte la mort de manière négative. Il veut qu’on cherche à L’aimer tant qu’on est en vie, qu’on pratique la vérité, qu’on rejette nos tempéraments corrompus et qu’on soit pleinement sauvés. Alors seulement nous serons dignes d’entrer dans Son royaume. J’ai finalement compris qu’en nous infligeant l’épreuve de la mort, Dieu ne nous menait pas vers nos morts, mais nous révélait Son tempérament juste. Il l’a fait pour qu’on comprenne qui Il sauve, qui Il détruit et qui est digne d’entrer dans Son royaume. J’ai aussi vu à quel point j’étais corrompu par Satan, ce qui m’a permis de renoncer à mes notions, mes imaginations et mon désir de bénédictions. J’ai aussi été capable de réellement me soumettre au règne et aux arrangements de Dieu et de chercher la vérité. C’est comme ça que Dieu m’a sauvé ! Surtout, j’ai vu que Dieu ne juge et ne châtie pas les gens parce qu’Il nous hait ou veut nous tourmenter, mais pour nous mener sur la voie de la recherche de la vérité et nous sauver ! Dieu n’agit pas en nous en faisant advenir des faits. Il obtient des résultats en exprimant des paroles qui nous jugent, nous châtient, nous mettent à l’épreuve et nous épurent. L’œuvre de Dieu est sage et le salut et Son amour pour l’homme sont bien réels !
La douleur cessera et les larmes s'arrêteront. Faites confiance à Dieu, Il a entendu nos appels dans notre souffrance, et Il nous sauvera de notre douleur. Contactez-nous pour connaître la bonne nouvelle de Dieu de nous sauver.