Je suis sortie de l’anxiété liée à ma maladie
Par Xiaoxi, ChineEn juin 2022, plusieurs églises proches ont fait l’objet d’une descente du Parti communiste chinois. La quasi-totalité des...
Nous accueillons tous les chercheurs qui désirent ardemment l'apparition de Dieu !
En septembre 2022, j’ai collaboré avec sœur Li Ming pour abreuver les nouveaux arrivants. Je venais juste de commencer à me former à ce devoir, et comme Li Ming abreuvait les nouveaux arrivants depuis longtemps, je suis devenue très dépendante d’elle. Elle gérait la plupart des tâches liées au fait de cultiver les gens et de résoudre les diverses difficultés et problèmes que rencontraient les nouveaux arrivants. Parfois, quand Li Ming discutait avec moi des problèmes liés au fait de cultiver les gens, je l’ignorais, en me disant que du moment qu’elle était la principale responsable, c’était suffisant, et qu’il me suffisait d’abreuver les nouveaux arrivants dont j’étais responsable. Sur mon temps libre, je pouvais aussi lire les témoignages d’expérience des frères et sœurs et écouter des hymnes, et je trouvais que faire mon devoir de cette manière était plutôt agréable.
Par la suite, pour des besoins professionnels, Li Ming a été transférée dans une autre Église pour y faire ses devoirs, et j’ai soudain ressenti une grande pression, je me demandais : « Est-ce que je vais être capable d’abreuver autant de nouveaux arrivants toute seule ? Où puis-je trouver quelqu’un pour aider à les abreuver dans de si brefs délais ? Combien de temps ça va me prendre si je dois trouver et cultiver une nouvelle personne, combien de temps et d’énergie ? Je suis déjà très occupée à abreuver les nouveaux venus et maintenant je vais devoir cultiver une personne débutante. Est-ce que tout ça ne va pas m’accaparer encore plus ? Comment je pourrai me trouver du temps libre ? » J’ai senti une certaine résistance dans mon cœur, et tout ce que je voulais, c’était que les dirigeants prennent rapidement des dispositions pour que quelqu’un collabore avec moi afin d’alléger ma charge de travail. Mais trouver une personne convenable pour l’abreuvement prendrait du temps. Avant de partir, Li Ming m’avait dit qu’il y avait une sœur qui avait un bon calibre et une bonne compréhension, mais qu’elle était jeune et instable, et elle m’a donc encouragé à cultiver davantage cette sœur. J’avais marqué mon accord verbalement, mais intérieurement, je me sentais très lésée et étouffée et je me disais : « Cultiver cette sœur n’est pas une tâche facile. Combien d’efforts ça va demander, tout ça ? » Au cours des jours suivants, j’ai été très passive dans mes devoirs, et quand les nouveaux arrivants avaient des problèmes ou des difficultés, je ne me sentais pas motivée pour les résoudre. Je me contentais d’assister aux réunions avec les nouveaux arrivants sans m’investir, et ça ne donnait aucun résultat. Un jour, mon vélo électrique est tombé en panne à mi-parcours du trajet, alors j’ai dû le pousser, et il m’a fallu plus d’une heure pour rentrer à la maison. J’étais si épuisée que je ne pouvais plus bouger un seul muscle et je me sentais complètement vidée. Je savais que le fait d’être confrontée à cette situation n’était pas une coïncidence, j’ai donc réfléchi sur moi-même et j’ai prié Dieu : « Dieu, depuis que j’ai appris que Li Ming était transférée, je me suis sentie en résistance et je me suis plainte intérieurement. Je me rends compte que mon état est incorrect et je suis prête à réfléchir sur moi-même et à me repentir devant Toi. S’il Te plaît, guide-moi pour que je comprenne Ton intention ».
Après avoir prié, je me suis souvenu d’une phrase des paroles de Dieu : « Plus tu portes un fardeau pour le mandat de Dieu, plus il te sera facile d’être rendu parfait par Lui. » J’ai rapidement consulté le passage. Dieu Tout-Puissant dit : « Manger et boire les paroles de Dieu, prier, accepter le fardeau de Dieu et les tâches qu’Il te confie, tout cela a pour but d’ouvrir un chemin devant toi. Plus tu portes un fardeau pour le mandat de Dieu, plus il te sera facile d’être rendu parfait par Lui. Certains ne sont pas prêts à s’accorder avec les autres en servant Dieu, même quand ils y sont invités ; ce sont des gens paresseux qui ne veulent que se complaire dans le confort. Plus on te demandera de servir en t’accordant avec les autres, plus tu acquerras de l’expérience. Parce que tu as plus de fardeaux et plus d’expériences, tu auras plus de chances d’être rendu parfait. Par conséquent, si tu peux servir Dieu sincèrement, tu seras soucieux du fardeau de Dieu, et ainsi tu auras plus de chances d’être rendu parfait par Dieu. Un tel groupe d’hommes est perfectionné en ce moment. Plus tu es ému par le Saint-Esprit, plus tu consacreras de temps à être soucieux du fardeau de Dieu, plus tu seras rendu parfait par Dieu, plus tu seras gagné par Dieu, et à la fin, tu deviendras quelqu’un qui est utilisé par Dieu. À l’heure actuelle, certains ne portent aucun fardeau pour l’Église. Ces gens sont peu sérieux et négligents, et ils ne se soucient que de leur propre chair. Ces gens sont extrêmement égoïstes et ils sont aussi aveugles. Tu ne porteras aucun fardeau si tu ne parviens pas à comprendre cette question clairement. Plus tu montres de la considération pour les intentions de Dieu, plus lourd sera le fardeau qu’Il te confiera. Les égoïstes ne sont pas prêts à souffrir de telles choses, ils ne sont pas prêts à payer le prix, et à la fin, ils manqueront des occasions d’être rendus parfaits par Dieu. Ne se font-ils pas du tort à eux-mêmes ? » (La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, Sois soucieux de la volonté de Dieu afin d’atteindre la perfection). En réfléchissant aux paroles de Dieu, j’ai compris que le fait d’avoir ou non un sens du fardeau pour le mandat de Dieu affecte directement notre possibilité d’être perfectionné. Quand quelqu’un fait ses devoirs avec un sens du fardeau et poursuit la vérité en tenant compte des intentions de Dieu, le Saint-Esprit l’éclaire et le guide, ce qui lui permet de comprendre la vérité et de faire l’expérience de la croissance dans la vie dans le cadre de ses devoirs. En revanche, ceux qui ne poursuivent pas la vérité, qui sont très fainéants, qui ne sont pas disposés à prendre des responsabilités et qui ne tiennent pas compte des intentions de Dieu, sont incapables de recevoir l’œuvre du Saint-Esprit et au bout du compte n’y gagnent rien. En réfléchissant à mon état, j’ai vu que j’étais effectivement le genre de personne paresseuse et en quête de confort que Dieu exposait. Quand la charge de travail avait augmenté et que j’avais dû souffrir physiquement, je m’étais sentie résistante et peu encline à coopérer. Avec une telle attitude vis-à-vis de mes devoirs, je n’allais assurément pas être en mesure d’obtenir la vérité ou d’être perfectionnée. En songeant à ça, je me suis sentie quelque peu contrariée, et j’ai compris l’intention méticuleuse de Dieu. Maintenant que Li Ming avait été transférée, le travail d’abreuvement me revenait, mais Dieu ne me compliquait pas les choses ; en fait, Il me formait. Qu’il s’agisse d’abreuver les nouveaux venus ou de cultiver les autres, quand j’étais confrontée à des problèmes et à des difficultés, je ne pouvais compter sur personne, ce qui m’a encore plus encouragée à me fier à Dieu, à chercher la vérité et à apprendre à utiliser la vérité pour résoudre les problèmes. C’était la grâce de Dieu ! Pourtant, je m’étais souciée de ma chair, en craignant les difficultés et la fatigue, et j’avais été réticente à endosser des responsabilités. J’avais repoussé l’occasion pour que Dieu me perfectionne et qu’Il m’aide à gagner la vérité. Je ne savais réellement pas ce qui était bon pour moi !
J’ai alors lu un autre passage des paroles de Dieu : « Tous ceux qui ne recherchent pas la vérité accomplissent leurs devoirs avec un état d’esprit dépourvu de responsabilité. “Si quelqu’un dirige, je le suis ; où qu’il mène, je vais. Je ferai tout ce qu’on me fera faire. Quant à assumer des responsabilités et des préoccupations, ou se donner plus de mal pour faire quelque chose, faire quelque chose de tout mon cœur et de toutes mes forces, je ne suis pas prêt pour ça.” Ces gens ne veulent pas en payer le prix. Ils sont seulement disposés à se dépenser, pas à assumer des responsabilités. Ce n’est pas l’attitude avec laquelle on accomplit vraiment un devoir. On doit apprendre à accomplir son devoir en y mettant du cœur, et une personne qui a une conscience peut y parvenir. Si quelqu’un accomplit son devoir sans jamais y mettre du cœur, cela signifie qu’il n’a pas de conscience, et ceux qui n’ont pas de conscience ne peuvent pas obtenir la vérité. […] Accomplir son devoir en y mettant du cœur et savoir assumer des responsabilités demande de souffrir et de payer un prix. Il ne suffit pas de parler de ces choses. Si vous ne mettez pas du cœur dans votre devoir et que vous préférez seulement trimer, votre devoir risque fort de ne pas être bien accompli. Vous agirez simplement pour la forme, guère plus, et vous ne saurez pas si votre devoir a été correctement fait. Si tu y mets du cœur, tu en viendras peu à peu à comprendre la vérité. Sinon, elle t’échappera. Lorsque tu mets ton cœur dans l’accomplissement de ton devoir et dans la poursuite de la vérité, tu en arrives petit à petit à comprendre les intentions de Dieu, à découvrir ta propre corruption et ce qui te fait défaut, ainsi qu’à maîtriser chacun de tes états. Lorsque tu te concentres uniquement sur l’effort et que tu ne mets pas du cœur à réfléchir sur toi-même, tu es incapable de découvrir les véritables états de ton cœur, ainsi que tes myriades de réactions et tes manifestations de corruption dans différents environnements. Si tu ne sais pas quelles seront les conséquences lorsque des problèmes ne sont pas résolus, alors tu as de gros ennuis. […] Si ce que tu médites souvent au fond de toi, ce ne sont pas des questions liées à ton devoir ou des questions qui ont à voir avec la vérité et qu’au lieu de cela, tu es empêtré dans des choses extérieures, tes pensées dirigées vers les affaires de la chair, seras-tu capable de comprendre la vérité ? Seras-tu capable de bien accomplir ton devoir et de vivre devant Dieu ? Certainement pas. Une telle personne ne peut pas être sauvée » (La Parole, vol. 3 : Discours de Christ des derniers jours, Seul quelqu’un d’honnête peut vivre une véritable ressemblance humaine). J’ai vu que Dieu expose le fait que les gens qui ne sont pas disposés à payer un prix dans leurs devoirs, qui cherchent toujours le confort et l’aisance dans la chair, et qui sont complètement irresponsables dans leur travail ne peuvent pas obtenir la vérité, et Dieu ne les approuve pas. En réfléchissant à l’époque où j’avais commencé à abreuver les nouveaux arrivants, je m’étais beaucoup appuyée sur ma sœur associée, en me disant que puisqu’elle avait plus d’expérience dans l’abreuvement des nouveaux arrivants, il serait bon de la laisser échanger pour résoudre leurs difficultés. Je ne m’intéressais pas du tout à ces questions et je me comportais comme une étrangère. En faisant mes devoirs, je voulais simplement éviter la souffrance et la fatigue, et je prenais du temps en cachette pour faire des choses que j’aimais. Malgré ça, je n’avais jamais eu le sentiment de ne pas avoir de sens du fardeau pour mes devoirs. Quand j’ai appris que Li Ming allait être transférée, j’ai eu l’impression de perdre mon pilier de soutien, et quand j’ai pensé à tout le travail qui allait maintenant reposer uniquement sur mes épaules, je me suis sentie dépassée. J’ai commencé à réfléchir à mon confort, en voulant toujours choisir les tâches les plus faciles, et quand les choses n’allaient pas dans mon sens, je devenais négative et passive, je négligeais de cultiver ceux qui avaient besoin de l’être et je ne m’investissais pas pleinement dans l’abreuvement des nouveaux venus. J’avais l’habitude de dire que je voulais satisfaire Dieu et tenir compte de Ses intentions, mais quand il s’agissait de souffrir concrètement et de payer un prix, je me dérobais et ne voulais même pas faire le moindre effort. En quoi avais-je un cœur qui considérait les intentions de Dieu ? En songeant à ça, je me suis sentie très coupable. Par la suite, j’ai pris l’initiative d’examiner les difficultés et les problèmes des nouveaux arrivants et j’ai échangé avec eux pour les aider. J’ai également pris le temps de cultiver davantage les autres. Même s’il fallait que je me fasse plus de souci et que je souffre davantage, je ressentais de la paix et de la sérénité dans mon cœur.
Un mois plus tard, j’ai été transférée dans une autre Église pour abreuver les nouveaux arrivants. Les dirigeants m’ont dit que sœur Yang Qing avait de mauvaises capacités de travail et qu’elle n’était pas à la hauteur du rôle de dirigeante d’équipe, et qu’ils voulaient que j’assume ce rôle. J’ai ressenti beaucoup de pression et j’ai réfléchi : « Être dirigeante d’équipe implique non seulement d’abreuver les nouveaux venus, mais aussi de faire la synthèse des écarts dans le travail et d’échanger pour résoudre les problèmes des personnes chargées de l’abreuvement. Puis-je vraiment effectuer tout ce travail ? On dirait que c’est beaucoup de soucis à se faire ! » J’ai rapidement essayé de décliner le rôle et j’ai dit : « Yang Qing effectue le travail d’abreuvement depuis de nombreuses années et a fini par saisir certains principes. Pourquoi ne pas la laisser continuer dans le rôle de dirigeante d’équipe pour le moment ? Je peux la soutenir, et si ça ne marche pas, on pourra la réaffecter plus tard. » Les dirigeants ont vu que je ne voulais pas être dirigeante d’équipe, alors ils ne m’ont pas poussée, et je n’ai pas pu m’empêcher de pousser un soupir de soulagement.
Plus tard, j’ai découvert que Yang Qing avait un tempérament arrogant, et qu’elle s’appuyait sur son expérience et le respect des règles pour faire ses devoirs. Quand j’ai essayé d’échanger avec elle et de la corriger, elle n’a pas pu l’accepter, et elle a continué à faire les choses de la même manière. Je me suis dit : « Non seulement Yang Qing a de mauvaises capacités de travail, mais elle est également incapable de comprendre les principes sur lesquels on échange et son calibre est trop médiocre. Si ça continue, ça va retarder le travail. Elle n’est vraiment pas apte au rôle de dirigeante d’équipe. » Mais ensuite, je me suis dit : « Si nous la renvoyons, qui prendra en charge la direction ? Les autres frères et sœurs de l’équipe commencent à peine à se former et ne saisissent pas encore les principes. Même si j’ai moi aussi de nombreuses lacunes, j’abreuve les nouveaux venus depuis un certain temps et j’ai fini par comprendre certains principes, je serais donc l’option la plus adéquate. » Mais dès que je me suis dit qu’être dirigeante d’équipe représentait trop de pression, que j’allais devoir tout gérer et m’épuiser avec tous les soucis que j’aurais à me faire, j’ai rapidement écarté l’idée, en me disant plutôt : « Pourquoi ne pas simplement échanger davantage avec Yang Qing et l’aider dans son travail ? Ça devrait aller. » De cette façon, j’ai vu les problèmes de Yang Qing mais je ne les ai pas signalés. À ce moment précis, un frère de l’Église a eu un accident de voiture et s’est cassé le bras. J’ai entendu dire qu’il avait été constamment fuyant et machinal dans le cadre de ses devoirs, et qu’après avoir été renvoyé, il n’avait pas appris à se connaître, ne s’était pas repenti et n’avait pas changé. Maintenant que son bras était cassé, il ne pouvait plus faire ses devoirs, même s’il le voulait. Cet incident m’a vraiment frappée. J’ai vu que dans le cadre de leurs devoirs, si les gens sont sournois, se relâchent, sont négligents dans le travail qui leur revient, et qu’ils ne se repentent jamais, alors une fois qu’ils ont perdu l’occasion de faire leurs devoirs, il est trop tard pour avoir des regrets. J’ai eu le sentiment que l’expérience de ce frère était un rappel et un avertissement pour moi, et je me suis souvenue d’un passage des paroles de Dieu : « Si tu accomplis ton devoir de façon négligente et que tu l’abordes avec une attitude irrévérencieuse, quel sera le résultat ? Tu accompliras mal ton devoir, alors que tu as la capacité de l’accomplir correctement : le résultat ne sera pas à la hauteur, et Dieu sera très insatisfait de l’attitude que tu as vis-à-vis de ton devoir. Si tu avais pu prier Dieu, rechercher la vérité et y mettre tout ton cœur et ton esprit, si tu avais pu coopérer de cette manière, alors Dieu aurait tout préparé pour toi à l’avance, si bien que lorsque tu t’occuperais d’affaires, tout se mettrait en place et les résultats seraient bons. Tu n’aurais pas besoin d’employer une grande quantité d’énergie : quand tu aurais fait de ton mieux pour coopérer, Dieu aurait déjà tout arrangé pour toi. Si tu es fuyant et que tu te relâches, que tu ne t’occupes pas correctement de ton devoir et que tu suis toujours le mauvais chemin, Dieu n’agira pas sur toi : tu auras perdu cette chance et Dieu dira : “Tu n’es pas bon, Je ne peux pas t’utiliser. Écarte-toi. Tu aimes être rusé et te relâcher, n’est-ce pas ? Tu aimes être paresseux et être détendu, n’est-ce pas ? Eh bien sois détendu pour toujours !” Dieu donnera cette grâce et cette chance à quelqu’un d’autre. Qu’en pensez-vous : est-ce une perte ou un gain ? (Une perte.) C’est une perte énorme ! » (La Parole, vol. 3 : Discours de Christ des derniers jours, Troisième partie). J’ai senti combien le tempérament juste de Dieu ne tolère pas l’offense de l’homme. C’est par la grâce de Dieu que les gens ont l’occasion de faire leurs devoirs. L’intention de Dieu est que nous cherchions la vérité et que nous agissions conformément aux principes dans nos devoirs, que nous soyons capables de nous soumettre à Dieu et d’être loyaux envers Lui, et de faire nos devoirs d’une manière qui soit à la hauteur. Mais si je ne chérissais pas de telles opportunités, et que je faisais mes devoirs de façon fuyante et relâchée, sans y mettre tous mes efforts, en traitant mes devoirs à la légère, je serais détestée et abandonnée par Dieu, mise à l’écart et ignorée par Lui. Au début, les dirigeants avaient voulu que je sois dirigeante d’équipe, mais j’avais peur de souffrir et de travailler dur, alors j’avais refusé ce devoir. Mais maintenant qu’il avait été établi que Yang Qing n’était pas apte à être la dirigeante de l’équipe, continuer à la garder retarderait le travail d’abreuvement, il fallait donc que je signale rapidement ses problèmes. Mais je craignais de devoir assumer d’autres soucis si elle était renvoyée et que j’assumais le rôle de dirigeante d’équipe, alors, par souci du confort de ma chair, même si j’avais vu les problèmes de Yang Qing, je ne les ai pas signalés, je l’ai même laissée continuer à entraver le travail de l’Église et à lui nuire. J’ai alors réalisé à quel point être sournoise et me relâcher dans le cadre de mes devoirs avait de graves conséquences, et que si je ne me repentais pas, je finirais exactement comme ce frère, et que je pourrais très bien perdre l’occasion de faire mes devoirs. J’ai rapidement prié Dieu, en étant disposée à me repentir et à chercher la vérité pour résoudre mes problèmes.
En cherchant, j’ai lu quelques paroles de Dieu : « Puisque tu es une personne, tu dois réfléchir aux responsabilités qui sont celles d’une personne. Les responsabilités auxquelles les non-croyants accordent le plus de valeur, comme être filial, subvenir aux besoins de ses parents et faire la gloire de sa famille, n’ont pas besoin d’être mentionnées. Tout cela est vide et dépourvu de toute signification réelle. Quelle est la responsabilité minimale dont une personne doit s’acquitter ? Le plus réaliste est de savoir dans quelle mesure tu accomplis bien ton devoir aujourd’hui. Te contenter de faire dans l’à-peu-près, ce n’est pas t’acquitter de ta responsabilité ; et être seulement capable de parler de formules et de doctrines, ce n’est pas t’acquitter de ta responsabilité. C’est seulement en pratiquant la vérité et en faisant les choses selon les principes que tu t’acquittes de ta responsabilité. Ce n’est que lorsque ta pratique de la vérité aura été efficace et bénéfique pour les gens que tu te seras vraiment acquitté de ta responsabilité. Quel que soit le devoir que vous fassiez, ce n’est que lorsque vous persisterez à agir selon les vérités-principes en toutes choses que vous aurez vraiment assumé vos responsabilités. Agir machinalement selon la manière humaine de faire les choses, c’est être superficiel ; ce n’est qu’en adhérant aux vérités-principes que tu accomplis correctement ton devoir et assumes tes responsabilités. Et quand tu assumes tes responsabilités, n’est-ce pas l’une des manifestations de la loyauté ? C’est l’une des manifestations du fait d’accomplir ton devoir avec loyauté. Ce n’est que lorsque tu auras ce sens des responsabilités, cette détermination et ce désir, et cette manifestation de la loyauté vis-à-vis de ton devoir, que Dieu te considérera de façon favorable et t’approuvera. Si tu n’as même pas ce sens des responsabilités, Dieu te considérera comme un paresseux, un idiot, et te méprisera. […] Par conséquent, si tu veux que Dieu te considère de façon favorable, il faut au moins que tu te rendes digne de confiance aux yeux des autres. Si tu veux que les autres te fassent confiance, qu’ils te considèrent de façon favorable, qu’ils aient une haute opinion de toi, tu dois au moins être digne, avoir le sens des responsabilités, être fidèle à ta parole et digne de confiance. De plus, devant Dieu, tu dois te montrer diligent, responsable et loyal ; et tu auras alors essentiellement satisfait les exigences de Dieu à ton égard. Il y aura donc un espoir pour toi d’obtenir l’approbation de Dieu, n’est-ce pas ? » (La Parole, vol. 5 : Les responsabilités des dirigeants et des ouvriers, Les responsabilités des dirigeants et des ouvriers (8)). Après avoir lu les paroles de Dieu, je me suis sentie profondément transpercée en plein cœur et déstabilisée. Je me suis rendu compte que j’avais été fuyante et irresponsable dans mes devoirs, ce qui me rendait complètement indigne de confiance. Je savais que Yang Qing n’était pas adaptée au rôle de dirigeante d’équipe en raison de son piètre calibre et aussi qu’à ce moment-là, il n’y avait pas d’autres candidats appropriés pour le poste de dirigeant dans l’équipe, mais je n’étais toujours pas disposée à endosser le fardeau de protéger le travail de l’Église. Je n’avais réellement aucun sens des responsabilités ! J’ai songé à la manière dont certains parents élèvent leurs enfants jusqu’à l’âge adulte, mais quand les enfants grandissent, ils ne s’intéressent qu’à leur propre jouissance et à leur propre plaisir, en négligeant leurs parents quand ils tombent malades ou qu’ils ont besoin que l’on s’occupe d’eux pendant leur vieillesse. De telles personnes sont dénuées de conscience et d’humanité. J’avais profité de tant d’abreuvement et de provision de Dieu à travers Ses paroles, mais quand le travail d’abreuvement nécessitait la coopération des gens, j’étais égoïste et méprisable et je ne me préoccupais que de mon confort charnel, sans tenir compte du travail de l’Église le moins du monde. Je n’avais réellement aucune humanité ! J’ai commencé à me détester et à avoir honte de mes actes, mais plus encore, je me suis sentie pleine de regrets et de culpabilité, et j’ai cessé de vouloir vivre de manière égoïste et méprisable.
Par la suite, je me suis demandé : « Pourquoi est-ce que je me sens réfractaire et peu encline à coopérer à chaque fois qu’il s’agit d’un devoir qui exige une souffrance de la chair ? Quelle est la racine de ce problème ? » Un jour, je suis tombée sur un passage des paroles de Dieu : « Tant que les gens n’ont pas fait l’expérience de l’œuvre de Dieu ni compris la vérité, c’est la nature de Satan en eux qui domine. Quelles sont les spécificités de cette nature ? Par exemple, pourquoi es-tu égoïste ? Pourquoi protèges-tu ton propre statut ? Pourquoi as-tu des sentiments aussi forts ? Pourquoi te réjouis-tu de ces choses injustes ? Pourquoi aimes-tu ces fléaux ? Sur quoi repose ton penchant pour de telles choses ? D’où viennent ces choses ? Pourquoi es-tu si heureux de les accepter ? Désormais, vous avez tous compris que la cause principale de toutes ces choses, c’est que le poison de Satan est en l’homme. Quel est donc le poison de Satan ? Comment peut-il être exprimé ? Par exemple, si tu leur demandes : “Comment les gens devraient-ils vivre ? Pour quoi les gens devraient-ils vivre ?” les gens répondront : “Chacun pour soi, Dieu pour tous.” Cette seule phrase exprime la racine du problème. La philosophie et la logique de Satan sont devenues la vie des gens. Quoi que les gens poursuivent, ils le font pour eux-mêmes : et donc, ils ne vivent que pour eux-mêmes. “Chacun pour soi, Dieu pour tous”, voilà la philosophie de vie de l’homme, et cela représente aussi la nature humaine. Ces paroles sont déjà devenues la nature de l’humanité corrompue et elles font le véritable portrait de la nature satanique de l’humanité corrompue. Cette nature satanique est déjà devenue la base de l’existence de l’humanité corrompue. Depuis plusieurs milliers d’années, l’humanité corrompue vit de ce venin de Satan, jusqu’à aujourd’hui » (La Parole, vol. 3 : Discours de Christ des derniers jours, Comment suivre la voie de Pierre). En réfléchissant aux paroles de Dieu, j’ai compris que Satan utilise l’éducation scolaire, les influences sociales, ainsi que les pensées et les déclarations de personnalités célèbres et de grands personnages pour empoisonner les gens, en instillant divers poisons et philosophies sataniques chez les gens, comme : « Chacun pour soi, Dieu pour tous, » et « La vie est courte, alors profites-en tant que tu le peux. » Les gens vivent selon ces idées, en considérant la jouissance de la chair comme leur but et la direction de leur poursuite, et ils se mettent à poursuivre la nourriture, les vêtements, les plaisirs de la chair et les tendances malfaisantes, ce qui les conduit à une vie de plus en plus dégénérée, dépourvue de la conscience et de la raison de l’humanité normale. Je me suis rendu compte que j’étais exactement comme ça, surtout en me complaisant dans le confort matériel. Avant de trouver Dieu, je cherchais le confort au travail et j’évitais la souffrance et la fatigue. Que je gagne beaucoup ou peu d’argent n’avait pas d’importance, le simple fait d’avoir de quoi manger et boire me suffisait. Quand je voyais les gens souffrir autour de moi, se démener et s’épuiser pour avoir une vie meilleure, je me disais qu’ils étaient idiots, en me disant : « la vie ne dure que quelques courtes décennies, alors pourquoi se compliquent-ils les choses ? » Et à ce moment-là, tout en faisant mon devoir dans la maison de Dieu, j’avais encore des points de vue mondains, j’étais toujours avide de confort physique et je ne voulais pas souffrir ou m’épuiser. Parfois, après quelques jours bien remplis à faire mon devoir et à me sentir tendue mentalement, je voulais toujours chercher des occasions de me détendre physiquement et de ne pas me fatiguer. Quand le moment venait de porter un fardeau, de souffrir et de payer un prix, je voulais toujours me dérober ou rejeter la tâche sur quelqu’un d’autre. Les personnes qui sont réellement dotées de conscience et de raison réfléchissent à la manière de rendre à Dieu l’amour qu’Il leur porte dans leurs devoirs, en s’efforçant de toute leur énergie de faire le maximum et d’atteindre de bons résultats dans leurs devoirs, mais moi qui étais une personne égoïste et méprisable, je ne songeais qu’à mes propres intérêts matériels, je me montrais fuyante et je me relâchais, en étant réticente à fournir tous les efforts possibles dans mes devoirs. Même si je me sentais à l’aise dans mon corps et que je ne souffrais pas beaucoup, j’ai perdu de nombreuses occasions de gagner la vérité. Je me suis dérobée à plusieurs reprises, j’ai refusé mes devoirs et je me suis rebellée contre Dieu, et si ça continuait, j’allais finir par être détestée et abandonnée par Dieu et Il m’éliminerait. C’était un chemin qui menait à la mort ! À ce moment-là, j’ai réellement saisi le sens de ce qui est dit dans le Livre des Proverbes : « La sécurité des insensés les perd.» J’ai eu un sentiment de peur persistant dans le cœur. Si je n’avais pas entendu parler de l’accident de voiture de ce frère, je n’aurais pas réfléchi sur moi-même, je ne me serais pas rendu compte des graves conséquences de ma poursuite du confort et j’aurais encore moins été capable de me repentir ou de changer. J’ai remercié Dieu en silence.
Par la suite, je suis tombée sur un autre passage des paroles de Dieu, qui m’a apporté un chemin de pratique. Dieu Tout-Puissant dit : « Quelles sont les manifestations d’une personne honnête ? Premièrement, c’est de ne pas douter des paroles de Dieu. C’est l’une des manifestations d’une personne honnête. En dehors de cela, la manifestation la plus importante, c’est de chercher et de pratiquer la vérité en toutes choses ; c’est ce qu’il y a de plus crucial. Tu prétends être honnête, mais tu relègues tout le temps les paroles de Dieu dans un coin de ton esprit et tu fais tout ce que tu veux. Est-ce la manifestation d’une personne honnête ? Tu dis : “Bien que mon calibre soit faible, j’ai un cœur honnête.” Et cependant, lorsqu’un devoir t’incombe, tu as peur de souffrir et de devoir en assumer la responsabilité si tu ne l’accomplis pas bien, donc tu présentes des excuses pour t’exonérer de ton devoir et tu suggères que quelqu’un d’autre le fasse. Est-ce la manifestation d’une personne honnête ? Clairement, non. Alors, comment doit se comporter une personne honnête ? Elle doit se soumettre aux arrangements de Dieu, être loyale envers le devoir qu’elle est censée accomplir et s’efforcer de satisfaire les intentions de Dieu. Cela se manifeste de plusieurs manières. D’une part, tu dois accepter ton devoir avec un cœur honnête, ne pas considérer tes intérêts charnels, ne pas être hésitant et ne pas manigancer pour ton propre profit. Ce sont les manifestations de l’honnêteté. Une autre manifestation consiste à accomplir ton devoir correctement, de tout ton cœur et de toutes tes forces, de bien faire les choses, de mettre ton cœur et ton amour dans l’accomplissement de ton devoir afin de satisfaire Dieu. Telles sont les manifestations qu’une personne honnête doit présenter en accomplissant son devoir. Si tu ne réalises pas ce que tu sais et comprends, et si tu n’investis que 50 à 60 % de tes efforts, alors tu n’y mets pas tout ton cœur ni toutes tes forces. Au lieu de cela, tu es sournois et tu te relâches. Les gens qui accomplissent leurs devoirs de cette manière sont-ils honnêtes ? Absolument pas. Dieu n’a que faire de ces gens fuyants et fourbes : ils doivent être éliminés. Dieu n’utilise que des gens honnêtes pour accomplir des devoirs. Même les exécutants loyaux doivent être honnêtes. Les gens qui sont perpétuellement superficiels et sournois, et qui cherchent toujours des moyens de se relâcher, sont tous fourbes, et ils sont tous des démons. Aucun d’eux ne croit vraiment en Dieu et ils seront tous éliminés. Certains pensent : “Être une personne honnête, c’est simplement dire la vérité et ne pas raconter de mensonges. Il est vraiment facile d’être une personne honnête.” Que penses-tu de ce sentiment ? La définition de l’honnêteté a-t-elle vraiment une portée aussi limitée ? Absolument pas. Tu dois mettre ton cœur à nu et l’offrir à Dieu ; voilà l’attitude qu’une personne honnête devrait avoir. Voilà pourquoi un cœur honnête est très précieux. Qu’est-ce que ça implique ? Qu’un cœur honnête peut contrôler ton comportement et changer ton état. Il peut te conduire à faire les bons choix, à te soumettre à Dieu et à gagner Son approbation. Un tel cœur est réellement précieux. Si tu as un cœur honnête comme celui-là, alors c’est l’état dans lequel tu devrais vivre, c’est comme ça que tu devrais te comporter et c’est comme ça que tu devrais donner de toi-même » (La Parole, vol. 3 : Discours de Christ des derniers jours, Troisième partie). Après avoir lu les paroles de Dieu, j’ai compris que Dieu aime les gens honnêtes et ceux qui ont un sens du fardeau et de la responsabilité pour leurs devoirs. Les individus de ce type sont susceptibles d’être d’un calibre inférieur, mais leur cœur peut être tourné vers la maison de Dieu. Ils mettent tout leur cœur et toutes leurs forces dans leurs devoirs, sans faire de projets pour leurs propres intérêts. Dieu approuve de telles personnes. J’ai commencé à être disposée à pratiquer conformément aux paroles de Dieu. Même si être dirigeant d’équipe signifie faire face à certaines difficultés dans le travail, Dieu n’impose pas aux gens des fardeaux trop lourds à porter. Il fallait que je tienne compte de l’intention de Dieu, que je donne la priorité au travail de l’Église et que je déploie tous mes efforts pour faire ce que je pouvais, sans être sournoise ni relâchée, mais avec un cœur de soumission à Dieu dans mes devoirs. J’ai songé à Noé qui avait construit l’arche. À cette époque, l’industrie était sous-développée et les moyens de transport limités, et Noé n’était pas un constructeur de bateaux professionnel. La construction d’une arche aussi massive a été très difficile pour Noé, mais confronté au mandat de Dieu, Noé n’a pas reculé, il n’a pas tenu compte de ses propres intérêts physiques et n’a rien planifié en ce sens. Dès que l’ordre de Dieu lui est parvenu, il s’est immédiatement mis à pratiquer, sans attendre. Noé a aligné son cœur sur celui de Dieu et a fait du fardeau de Dieu son propre fardeau. Il avait un cœur simple et soumis vis-à-vis du mandat de Dieu, et c’est là ce qu’il y a de plus précieux et ce que Dieu approuve. Les dirigeants m’avaient demandé d’être dirigeante d’équipe afin de stimuler les frères et sœurs pour qu’ils fassent correctement leur travail d’abreuvement, et ça aurait simplement exigé que j’endure un peu plus de souffrances et que je paye un prix un peu plus élevé, mais je n’avais aucune attitude d’obéissance. Mon attitude envers mon devoir était aux antipodes de celle de Noé ! En me comparant à la simplicité, à l’honnêteté et à la soumission de Noé, je me suis sentie très honteuse et coupable. Maintenant que le travail d’abreuvement avait été entravé, il fallait que je tienne compte de l’intention de Dieu, que je prenne l’initiative de l’endosser et que je fasse tout mon possible pour accomplir ce que je devais faire et que je pouvais faire, pour ne rien regretter. J’ai donc signalé honnêtement les problèmes de Yang Qing ; il en a résulté que les dirigeants l’ont renvoyée et que je suis devenue la dirigeante de l’équipe.
Au début, pendant que je me formais en tant que dirigeante d’équipe, j’avais des lacunes dans de nombreux domaines, j’avais beaucoup de problèmes à résoudre, et je faisais souvent des heures supplémentaires. Au fil du temps, j’ai commencé à ressentir des émotions négatives, en ayant le sentiment que le rôle de dirigeante d’équipe comportait trop de préoccupations, et que mon devoir initial était bien plus facile. Quand j’ai pensé de la sorte, je me suis rendu compte que je recommençais à me préoccuper de ma chair, alors j’ai prié Dieu dans mon cœur, prête à me rebeller contre ma chair. J’ai lu un passage des paroles de Dieu : « Aujourd’hui, J’aime quiconque peut suivre Ma volonté, quiconque peut être attentif envers Mes fardeaux et quiconque peut tout donner pour Moi avec un vrai cœur et une vraie sincérité, et Je les éclairerai constamment, ne les laisserai pas s’éloigner de Moi. Je dis souvent : “Ceux d’entre vous qui se dépensent sincèrement pour Moi, Je les bénirai certainement en abondance.” À quoi se réfère “bénirai” ? Le sais-tu ? Dans le contexte de l’œuvre actuelle du Saint-Esprit, cela se réfère aux fardeaux que Je te confie. Les fardeaux et la sincérité de tous ceux qui sont capables de porter un fardeau pour l’Église et qui s’offrent sincèrement pour Moi sont les bénédictions qui viennent de Moi. De plus, Mes révélations à leur intention sont aussi Ma bénédiction » (La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, Déclarations de Christ au commencement, Chapitre 82). En méditant sur les paroles de Dieu, j’ai compris Son intention. Après être devenue dirigeante d’équipe, j’ai été en rapport avec davantage de personnes, d’événements et de choses. Chaque fois que j’étais confrontée à un problème ou à une difficulté, il fallait que j’apprenne à m’en remettre à Dieu et à chercher la vérité pour le résoudre. C’était plus bénéfique pour ma croissance dans la vie, et c’était la grâce de Dieu ! En songeant à ça, je me suis sentie encouragée et déterminée. Par la suite, j’ai effectué un suivi actif du travail, et chaque fois que je constatais que les frères et sœurs avaient de piètres états, j’échangeais sur la vérité pour trouver une solution. Je cherchais également les vérités-principes concernant les problèmes dans le cadre du travail. En pratiquant de la sorte, j’ai senti que je faisais des progrès dans mon entrée dans la vie comme dans mes devoirs. Après chaque échange avec les frères et sœurs, ils disaient qu’ils avaient gagné quelque chose, et je me sentais très heureuse. J’ai vu qu’en étant disposée à endosser activement des responsabilités, non seulement ça me profitait, mais j’étais également en mesure d’aider les autres. J’ai fini par me rendre compte que le fait de ne pas vivre pour la chair et de chercher à faire mon devoir correctement m’apportait un sentiment de bien-être et de paix.
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