Il y a plus de bonheur à donner qu’à recevoir
Par Harry, EspagneIl y a quelques années, les dirigeants de l’Église ont pris des dispositions pour que je réalise des vidéos. Ils ont...
Nous accueillons tous les chercheurs qui désirent ardemment l'apparition de Dieu !
Chère Lin Yi,
J’ai reçu ta lettre. Le temps passe si vite. En un clin d’œil, voilà que nous ne nous sommes pas vues depuis presque un an. Dans ta lettre, tu me demandais ce que j’avais gagné jusqu’à présent en faisant mon travail. Pendant un moment, je n’ai même pas su par où commencer, mais l’expérience la plus marquante a été la réaffectation de mes devoirs, ce qui m’a permis de gagner une meilleure connaissance de ma nature à me complaire dans le confort et la facilité. À ce stade, tu dois te demander ce que j’ai traversé. Laisse-moi tout te raconter.
Au mois de janvier de cette année, j’étais en charge du travail sur le texte. Comme j’étais nouvelle dans ce rôle, que je n’avais pas maîtrisé beaucoup des principes et que je ne savais pas comment l’accomplir, j’ai été formée et j’ai appris auprès d’une sœur qui était mon binôme. Souvent, je prenais aussi l’initiative de me pencher sur le travail des différents groupes. Plus tard, chacun de ces groupes a sollicité mes conseils sur un grand nombre de questions, et j’ai dû écrire des lettres pour échanger et m’occuper de leurs états ainsi que de leurs écarts dans leur travail. J’étais surmenée tous les jours du matin jusqu’à tard le soir. Alors que le temps passait, j’ai un peu maugréé dans mon cœur : « Pour résoudre ces états, je dois examiner attentivement la cause fondamentale de chaque problème, et trouver les paroles de Dieu et les principes pertinents, ce qui requiert beaucoup de réflexion. C’est vraiment épuisant ! » Je ne voulais pas solliciter mon cerveau à ce point en permanence, alors j’espérais que les frères et sœurs poseraient moins de questions. Ainsi, je pourrais me détendre un peu. Plus tard, deux autres sœurs nous ont été associées. J’étais très heureuse en me disant que cela réduirait ma charge de travail, et qu’ainsi je n’aurais pas à me faire tant de soucis ni à trop me surmener. Parfois, je voyais un frère ou une sœur dans un mauvais état et le résultat de son travail décliner. Je me disais que je devais rapidement échanger avec eux pour le résoudre. Mais je me disais aussi : « Je ne peux pas complètement tirer au clair ces problèmes non plus. Il me faudrait passer du temps à réfléchir et trouver des paroles de Dieu et des principes pertinents. Ce serait si ennuyeux ! Je ferais mieux de m’en remettre aux sœurs associées pour les résoudre. » Alors je n’ai plus pris la peine de m’en occuper. Ainsi, chaque fois que je rencontrais un problème compliqué, je le trouvais pénible, et je le confiais à mes partenaires pour le résoudre. Je portais de moins en moins de fardeau dans mes devoirs, et je me contentais de suivre la routine et de m’occuper chaque jour de mes tâches quotidiennes. Si un peu plus de travail m’était assigné ou s’il était un peu plus difficile, j’étais contrariée. Je ne me concentrais que sur l’exécution de tâches simples et n’investissais aucun effort dans la poursuite de la vérité, et par conséquent, je ne faisais que peu de progrès. Mes partenaires ont fait remarquer que je n’avais pas un sens de fardeau dans mon devoir et m’ont conseillé de réfléchir et de résoudre cela. Mais je ne l’ai pas pris au sérieux. Peu à peu, j’ai eu de plus en plus de mal à voir clairement les problèmes et je m’assoupissais souvent, et mon efficacité au travail s’est beaucoup amoindrie.
Plus tard, les dirigeants ont remarqué qu’il me manquait un sens du fardeau dans mon devoir et que je n’obtenais pas de résultats, alors j’ai été renvoyée. Alors seulement j’ai commencé à réfléchir sur moi-même. Un jour, j’ai lu ces paroles de Dieu : « Les gens paresseux ne peuvent rien faire. Pour le résumer en deux mots, ce sont des personnes inutiles, ce sont des handicapés de seconde zone. Le calibre des gens paresseux aura beau être bon, il n’est rien d’autre que de la poudre aux yeux ; même si leur calibre est bon, il est inutile. Ils sont trop paresseux, ils savent ce qu’ils sont censés faire, mais ils ne le font pas, et même s’ils savent qu’il y a un problème, ils ne cherchent pas la vérité pour le résoudre, et bien qu’ils connaissent les difficultés qu’ils doivent surmonter pour que le travail soit efficace, ils sont réticents à endurer ces souffrances louables. En conséquence, ils ne peuvent gagner aucune vérité, et ils ne peuvent pas faire de travail concret. Ils ne désirent pas endurer les difficultés que les gens sont supposés endurer. Ils ne savent que profiter du confort, jouir des moments de joie et de loisir, et jouir d’une vie libre et paisible. Ne sont-ils pas inutiles ? Les gens qui ne sont pas capables d’endurer des difficultés ne méritent pas de vivre. Ceux qui souhaitent constamment vivre l’existence d’un parasite sont des gens dépourvus de conscience et de raison. Ce sont des bêtes, et de telles personnes sont inaptes à même rendre service. Puisqu’ils ne sont pas capables d’endurer des difficultés, même quand ils rendent service, ils ne sont pas capables de le faire correctement, et s’ils désirent gagner la vérité, il y a encore moins d’espoir à ce sujet. Quelqu’un qui ne peut pas souffrir et n’aime pas la vérité est une personne inutile, elle est non qualifiée même pour rendre service. C’est une bête, sans une once d’humanité. De telles personnes doivent être éliminées ; seulement ceci est en accord avec les intentions de Dieu » (La Parole, vol. 5 : Les responsabilités des dirigeants et des ouvriers, Les responsabilités des dirigeants et des ouvriers (8)). Lorsque j’ai vu ces termes dans les paroles de Dieu : « déchets », « handicapés de seconde zone », « bêtes », « inaptes à même rendre service », et « ne méritent pas de vivre », cela m’a fendu le cœur. J’ai ressenti le dégoût de Dieu à l’encontre des gens paresseux. Dieu m’avait exalté et montré la grâce, en me permettant d’effectuer le devoir d’un superviseur, afin que je puisse m’entraîner à utiliser la vérité pour résoudre des problèmes. Peu importe dans quelle mesure j’étais capable d’échanger et de résoudre, j’aurais dû faire de mon mieux pour y parvenir ; c’était la responsabilité que j’aurais dû assumer. Mais lorsque j’ai vu que les états des frères et sœurs étaient mauvais et que les résultats de leur travail déclinaient, j’ai eu le sentiment que cela représentait trop d’effort que c’était mentalement épuisant à résoudre, alors je me contentais de déléguer ce travail. Je ne faisais même pas ce que j’étais en mesure de faire. Lorsque je rencontrais des problèmes plus compliqués, je pouvais clairement en résoudre certains après mûre réflexion, mais je ne voulais pas faire d’effort et payer un prix, alors j’utilisais des excuses telles que « je n’ai pas réussi à tirer cela au clair », ou « je ne sais pas comment m’y prendre » afin de les déléguer aux sœurs avec lesquelles j’étais associée. Tous les jours, je ne faisais que du travail facile, et je n’avais pas une once de responsabilité vis-à-vis de mon devoir, et je dérivais sans but au fil des jours. N’étais-je pas qu’un parasite dans la maison de Dieu ? J’ai repensé au fait que certains frères et sœurs n’avaient pas un très bon calibre, mais qu’ils étaient capables de se dévouer corps et âme à l’exécution de leurs devoirs, et se surpassaient, et leur attitude vis-à-vis de leurs devoirs était donc acceptable pour Dieu. Mon calibre, en revanche, n’était pas trop faible et j’étais capable de résoudre certains problèmes, mais je chérissais sans cesse ma chair et m’abandonnais au confort, et je n’étais même pas disposée à trimer ou à endurer des difficultés dans l’accomplissement de mon devoir. Je n’avais vraiment ni conscience ni raison. En quoi étais-je digne d’être superviseur ? Dieu haïssait et était dégoûté par mon attitude vis-à-vis de mon devoir. Si cela continuait, je ne serais même plus capable de bien travailler, et je ne serais que détestée, abandonnée et éliminée par Dieu. En prenant conscience de cela, j’ai dit une prière, prête à réfléchir sur moi-même.
Après cela, j’ai réfléchi, quelle est la cause profonde de ma complaisance dans le confort et de ma réticence à être soucieuse et à endurer des difficultés ? Puis, j’ai vu ces paroles de Dieu : « Pendant de nombreuses années, les pensées sur lesquelles les gens ont compté pour leur survie ont rongé leur cœur au point qu’ils sont devenus traîtres, lâches et méprisables. Non seulement ils manquent de détermination et de résolution, mais ils sont aussi devenus cupides, arrogants et capricieux. Ils manquent absolument de toute détermination qui transcende leur être et, plus encore, ils n’ont pas du tout de courage pour se débarrasser des restrictions de ces influences sombres. Les pensées et la vie des gens sont tellement pourries que leurs perspectives sur la foi en Dieu sont encore insupportablement ignobles, et même lorsque les gens parlent de leurs perspectives sur la croyance en Dieu, c’est tout simplement insupportable à entendre. Les gens sont tous lâches, incompétents, méprisables et fragiles. Ils ne ressentent pas de dégoût pour les forces des ténèbres, et ils ne ressentent pas d’amour pour la lumière et la vérité, ils font, au contraire, tout leur possible pour les expulser » (La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, Pourquoi ne voulez-vous pas être un faire-valoir ?). « Es-tu satisfait de vivre sous l’influence de Satan, dans la paix et la joie et un peu de confort charnel ? N’es-tu pas le plus abject de tous ? Aucun n’est plus insensé que ceux qui ont vu le salut, mais ne cherchent pas à le gagner ; ceux-là sont des gens qui se perdent par la chair et jouissent de Satan. Tu espères que ta foi en Dieu n’entraînera aucun défi et aucune tribulation, ni la moindre difficulté. Tu poursuis toujours ces choses qui ne valent rien et tu n’attaches aucune valeur à la vie ; au lieu de cela, tu fais passer tes propres pensées extravagantes avant la vérité. Tu ne vaux absolument rien ! Tu vis comme un cochon ; quelle différence y a-t-il entre toi et les cochons et les chiens ? Ceux qui ne poursuivent pas la vérité et qui aiment la chair ne sont-ils pas tous des animaux ? Est-ce que ces morts sans esprit ne sont pas tous des cadavres ambulants ? Combien de paroles ont été prononcées parmi vous ? Y a-t-il eu seulement un peu de travail fait parmi vous ? Combien ai-Je fourni parmi vous ? Alors pourquoi ne l’as-tu pas gagné ? Qu’as-tu à te plaindre ? N’est-il pas vrai que tu n’as rien gagné parce que tu es trop amoureux de la chair ? Et n’est-ce pas parce que tes pensées sont trop extravagantes ? N’est-ce pas parce que tu es trop stupide ? Si tu es incapable de gagner ces bénédictions, peux-tu blâmer Dieu de ne pas te sauver ? Ce que tu cherches, c’est de pouvoir gagner la paix après avoir cru en Dieu : que tes enfants ne tombent pas malades, que ton mari ait un bon emploi, que ton fils trouve une bonne épouse, que ta fille trouve un mari décent, que tes bœufs et tes chevaux labourent bien la terre, que tu aies une année de beau temps pour tes récoltes. C’est ce que tu recherches. Ta poursuite n’est que de vivre dans le confort, qu’aucun accident n’arrive à ta famille, que les vents t’épargnent, qu’ils ne soufflent pas le sable dans ton visage, que les récoltes de ta famille ne soient pas inondées, que tu ne sois pas touché par les désastres, que tu puisses vivre dans l’étreinte de Dieu, que tu vives dans un nid douillet. Un lâche comme toi qui poursuit toujours la chair – as-tu un cœur, as-tu un esprit ? N’es-tu pas une bête ? Je te donne le vrai chemin sans rien demander en retour, mais tu ne le poursuis pas. Es-tu de ceux qui croient en Dieu ? Je te donne la vraie vie humaine, mais tu ne la poursuis pas. N’es-tu pas différent d’un cochon ou d’un chien ? Les cochons ne poursuivent pas la vie de l’homme, ils ne cherchent pas à être purifiés et ils ne comprennent pas ce qu’est la vie. Chaque jour, après avoir mangé à satiété, ils dorment simplement. Je t’ai donné le vrai chemin, mais tu ne l’as pas gagné : tu restes les mains vides. Es-tu prêt à continuer dans cette vie, la vie d’un cochon ? Quelle est la signification de la vie de ces personnes ? » (La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, Les expériences de Pierre : sa connaissance du châtiment et du jugement). Grâce aux paroles de Dieu, j’ai compris que ma poursuite constante de confort charnel était dû à mon adhésion à : « La vie ne consiste qu’à bien manger et bien s’habiller », « La vie est courte, profites-en tant que tu peux » et « Bois aujourd’hui le vin d’aujourd’hui, et soucie-toi demain de demain, » « La vie est courte, alors pourquoi se la compliquer ? » et autres philosophies sataniques de ce genre, qui considèrent le confort physique comme la poursuite la plus importante dans la vie. Sous l’influence de ces points de vue erronés, j’ai toujours poursuivi le confort, me figurant que les gens doivent être bons envers eux-mêmes et ne pas travailler trop dur. Avec le recul, dès mon plus jeune âge, mes parents m’ont gâtée. Ils ont tout fait pour que je n’aie à me soucier de rien, et j’ai grandi comme une fleur en serre, sous leur soigneuse protection. Comme j’étais habituée à une vie confortable, j’avais toujours peur de faire des efforts et de m’épuiser. Lorsque j’étais à l’université, je voyais certains camarades qui travaillaient dur et étudiaient jusqu’à tard pour se préparer aux études de troisième cycle, mais je traitais cela avec dédain. Je me disais : « La vie n’est l’affaire que de quelques décennies. Pourquoi tant se fatiguer ? Une licence suffit. Contente-toi de trouver un travail qui n’est pas trop fatigant et qui paie assez. » Lorsque je suis entrée à l’Église pour faire mon travail, je conservais ce point de vue. Je m’adonnais toujours au confort et j’étais réticente à investir le moindre effort ou me causer du souci. Chaque fois que je faisais face à des tâches complexes ou difficiles, je les déléguais. Je choisissais des tâches simples et j’évitais les plus difficiles, alors je progressais très lentement. C’était un tel honneur que la maison de Dieu me cultive pour que je fasse un devoir de direction, mais je ne chérissais pas cela et je me souciais sans cesse de ma chair. Lorsque je voyais des frères et sœurs se sentir négatifs, et leur efficacité au travail décliner, cela m’était égal. et je déléguais même les tâches difficiles. Je n’assumais pas du tout ma responsabilité. J’étais si égoïste et méprisable ! Je m’abandonnais toujours au confort, je choisissais sans cesse les tâches simples plutôt que les plus difficiles, et j’étais fuyante et fourbe. Même si je ne faisais aucun effort, je ne faisais pas non plus le moindre progrès. J’avais de plus en plus de mal à tirer mes problèmes au clair, et je n’étais même pas capable de gérer ce que je faisais autrefois correctement. Comme le dit le Seigneur Jésus : « On donnera à celui qui a, et il sera dans l’abondance, mais à celui qui n’a pas on ôtera même ce qu’il a » (Matthieu 13:12). J’ai pensé au fait que Dieu espère des adultes qu’ils puissent assumer leurs responsabilités, se concentrer sur les bonnes choses et faire leurs devoirs appropriés, mais mon cœur tout entier était concentré sur l’effort physique. Je plaçais mon confort physique au-dessus de tout le reste, devenant de plus en plus décadente et immorale, perdant chaque jour un peu plus de ma ressemblance humaine. Je ne pouvais pas continuer sur cette mauvaise voie. Je devais chercher la vérité pour résoudre mon tempérament corrompu et faire mon devoir correctement.
J’ai alors lu davantage de paroles de Dieu : « Quelle est la valeur de la vie d’une personne ? Est-ce simplement pour s’adonner à des plaisirs charnels tels que manger, boire et se divertir ? (Non.) Alors qu’est-ce que c’est ? S’il vous plaît, partagez vos pensées. (Remplir le devoir d’un être créé, voilà au moins ce qu’une personne devrait accomplir dans sa vie.) C’est exact. […] D’une part, il s’agit d’accomplir le devoir d’un être créé. D’autre part, il s’agit de faire du mieux que tu peux tout ce qui est en ton pouvoir et dans tes capacités, au moins pour atteindre un point où ta conscience ne t’accusera pas, où tu pourras être en paix avec ta propre conscience et être jugé acceptable aux yeux des autres. Pour aller un peu plus loin, tout au long de ta vie, quelles que soient la famille dans laquelle tu es né, ta formation et ton calibre, tu dois avoir une certaine compréhension des principes que les gens devraient comprendre dans la vie. Par exemple, quel genre de chemin les gens devraient emprunter, comment ils devraient vivre et comment vivre une vie pleine de sens : tu devrais au moins explorer un peu la vraie valeur de la vie. Cette vie ne peut pas être vécue en vain et l’on ne peut pas venir sur cette terre en vain. D’un autre côté, de ton vivant, tu dois remplir ta mission : c’est le plus important. Nous ne parlons pas d’accomplir une mission, un devoir ou une responsabilité formidable, mais tu dois au moins accomplir quelque chose » (La Parole, vol. 6 : Sur la poursuite de la vérité, Comment poursuivre la vérité (6)). Grâce aux paroles de Dieu, j’en suis venue à comprendre que la valeur de la vie ne se trouve pas dans le fait de manger, de boire, de s’amuser et de vivre selon la chair, mais dans la réalisation du devoir d’un être créé et le gain de l’approbation de Dieu. Dieu a décrété que je naîtrais dans les derniers jours, que j’entendrais Sa voix et que je ferais mon devoir, et c’est une chance unique. Dieu ne veut pas que je m’abandonne au confort et que je mène une vie de médiocrité et que je la gâche. Dieu espère que je pourrai poursuivre la vérité et bien faire mon travail, afin de parvenir à un changement de tempérament, être sauvé par Lui, et vivre une véritable ressemblance humaine. En repensant au fait que j’avais tendance à ne pas me concentrer sur l’entrée dans la vie, à me contenter de survoler les paroles de Dieu, mon expérience de vie était superficielle, et ma compréhension de la vérité limitée. Je ne parvenais pas à voir clairement les états et les difficultés de mes frères et sœurs, ce qui montrait que je ne comprenais pas la vérité de cet aspect. C’est à ce moment qu’il me fallait chercher et m’équiper de la vérité, et si je pouvais développer un sens concret du fardeau pour chercher la vérité et trouver les paroles de Dieu, je comprendrais davantage de vérité et je grandirais plus rapidement dans la vie. Mais j’avais raté tant d’occasions de gagner la vérité au nom du plaisir et d’un confort temporaire, ce qui avait entravé mon entrée dans la vie. J’avais laissé tant de remords dans mon devoir. J’avais vraiment été bête et stupide ! À présent, je comprenais enfin que peu importe le confort physique dont je pouvais jouir, il ne serait que temporaire et sans valeur concrète, et que si je ne cherchais pas correctement la vérité, si j’étais constamment négligente dans mon devoir, et si je persistais à essayer de fourvoyer Dieu, je finirais juste par être révélée et éliminée, et cela se solderait par une punition éternelle, et d’ici là, peu importe la somme des regrets, des pleurs et des grincements de dents, cela n’y changera rien.
Plus tard, durant mes dévotions, je me suis concentrée sur la lecture de paroles de Dieu relatives à la résolution de mon désir de céder au confort, et j’ai consigné ce que j’avais compris. Deux mois plus tard, le superviseur a pris des dispositions pour que je fasse de nouveau mon travail, et j’ai été très reconnaissante. Lorsque j’ai découvert que j’étais chargée de la supervision d’une Église, j’ai été abasourdie. Cette Église avait de nombreux nouveaux venus et beaucoup de problèmes et la résolution de ces problèmes nécessiterait beaucoup d’efforts. Mais j’ai ensuite pensé au fait que, par le passé, j’essayais toujours d’éviter les soucis et de déléguer les problèmes. À présent, le fait d’être assignée à la supervision de cette Église était une chance que Dieu m’offrait, me permettant de m’entraîner à échanger sur la vérité et de résoudre des problèmes. Tout cela visait à combler mes lacunes, et c’était bénéfique pour mon entrée dans la vie. Alors, j’ai pris cette tâche en charge. Au début, j’étais capable de l’accomplir activement, mais après quelques séries d’échanges, lorsque les résultats n’ont pas été manifestes, j’ai commencé à me décourager. J’avais l’impression que tout cela était trop difficile et stressant. En pensant de la sorte, je me suis rendu compte qu’à nouveau, je prenais juste en considération mes propres intérêts physiques, alors j’ai mangé et bu les paroles de Dieu relatives à mon état. Il y avait un passage des paroles de Dieu qui m’a vraiment émue. Dieu dit : « Les gens qui croient vraiment en Dieu accomplissent leurs devoirs volontairement, sans calculer leurs propres gains et pertes. Que tu sois ou non quelqu’un qui poursuit la vérité, tu dois compter sur ta conscience et ta raison et faire vraiment un effort lorsque tu accomplis ton devoir. Que signifie vraiment faire un effort ? Si tu te contentes de faire un effort symbolique et de souffrir un peu physiquement, mais que tu ne prends pas du tout ton devoir au sérieux et que tu ne recherches pas les vérités-principes, alors tu es simplement superficiel : cela ne s’appelle pas réellement faire un effort. Pour faire un effort, il est essentiel d’y mettre tout son cœur, de craindre Dieu dans son cœur, d’être attentif aux intentions de Dieu, d’être terrifié à l’idée de se rebeller contre Dieu et de blesser Dieu, et de subir toutes sortes de souffrances pour bien accomplir son devoir et satisfaire Dieu : si tu as un cœur qui aime Dieu de cette manière, tu pourras accomplir ton devoir correctement. S’il n’y a pas de crainte de Dieu dans ton cœur, tu n’auras aucun fardeau lorsque tu accompliras ton devoir, tu n’y auras aucun intérêt, tu seras inévitablement superficiel et tu feras les choses machinalement, sans produire aucun effet réel : ce n’est pas ce qui s’appelle accomplir un devoir. Si tu as vraiment le sentiment que tu es chargé d’un fardeau, qu’accomplir ton devoir est ta responsabilité personnelle et que si tu ne le fais pas, tu n’es pas digne de vivre et tu es une bête, que ce n’est que si tu accomplis correctement ton devoir que tu es digne d’être appelé un être humain et que tu peux faire face à ta propre conscience – si tu as ce sens du fardeau lorsque tu accomplis ton devoir – alors tu seras capable de tout faire consciencieusement, et tu seras capable de rechercher la vérité et de faire les choses selon les principes, et ainsi, tu seras en mesure d’accomplir ton devoir correctement et de satisfaire Dieu. Si tu es digne de la mission que Dieu t’a confiée, de tout ce que Dieu a sacrifié pour toi et de Ses attentes de ta part, alors c’est cela, faire réellement un effort » (La Parole, vol. 3 : Discours de Christ des derniers jours, Pour bien accomplir son devoir, on doit au moins posséder conscience et raison). Grâce aux paroles de Dieu, j’en suis venue à comprendre que ceux qui s’acquittent volontairement et fidèlement de leurs devoirs sont le vrai peuple de la maison de Dieu. Ils ne prennent pas en considération leurs intérêts physiques personnels, et ils paient un prix concret, investissant tous leurs efforts. De telles personnes sont responsables et fiables, et sont des gens capables de conscience et de raison. Même s’ils devaient endurer des souffrances physiques, ils peuvent satisfaire Dieu, atteindre une paix intérieure, et vivre une vie qui a du sens. En revanche, lorsque la tâche était trop ardue et que les résultats n’étaient pas bons, j’avais l’impression que le travail était trop dur et stressant, alors je commençais à penser à mon propre confort et j’avais envie de me dérober. Lorsque je me complaisais dans le confort, que j’évitais les devoirs difficiles pour de plus faciles, et que je me comportais sournoisement, même si mon corps ne souffrait pas, mon cœur était dans les ténèbres. J’étais incapable de sentir la présence de Dieu et je n’avais ni paix ni joie. Je ne voulais pas finir de nouveau ainsi. Je devais traiter mon devoir avec un cœur sincère, et peu importe à quel point j’étais en mesure de coopérer, je devais faire de mon mieux et assumer mes responsabilités. Alors j’ai cherché la vérité et j’ai échangé pour traiter des points de vue et difficultés avec mes frères et sœurs. Après quelque temps, il y a eu un certain progrès dans le travail, et j’ai remercié Dieu du fond du cœur. Plus tard, lorsque je rencontrais des choses, je me rebellais sciemment contre ma chair. Même s’il y avait beaucoup de travail à gérer au quotidien, et que je n’avais pas une minute pour moi, je ne me sentais pas épuisée. En pratiquant de cette manière, je me suis sentie plus proche de Dieu que jamais, et j’ai trouvé de nouvelles manières de coopérer dans mon devoir. J’ai trouvé de la paix et du soulagement dans mon cœur en agissant selon les paroles de Dieu.
Bien, arrêtons-nous là pour aujourd’hui. As-tu gagné beaucoup cette année, toi aussi ? N’hésite pas à m’écrire et à partager tes gains et tes compréhensions.
Cordialement,
Bai Lu
15 octobre 2023
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