Les dommages causés par la négligence
En octobre 2021, j’ai commencé à pratiquer l’abreuvement des nouveaux arrivants. Une semaine plus tard, je me suis aperçue qu’il y avait trop de choses à apprendre. J’ai dû m’équiper de la vérité des visions et j’ai dû aussi pratiquer l’échange sur la vérité pour résoudre leurs problèmes, mais ma compréhension de la vérité était superficielle et bavarder n’était pas mon fort. Je trouvais que c’était un devoir vraiment difficile. Lorsque la cheffe d’équipe m’a demandé de résoudre rapidement les problèmes des nouveaux arrivants, cela m’a semblé particulièrement difficile à accomplir. Tous les nouveaux arrivants avaient pas mal de problèmes. Donc, pour les résoudre, j’ai dû rechercher beaucoup de vérités ciblées et réfléchir à la manière d’échanger clairement. Cela m’a demandé beaucoup d’efforts. J’ai donc dit à la cheffe d’équipe que je manquais de calibre et que je ne pouvais pas le faire correctement. La cheffe d’équipe a échangé avec moi et m’a dit que je devais assumer un fardeau dans mon devoir et ne pas craindre de souffrir. Après avoir entendu son échange, j’ai accepté à contrecœur, mais dans mon cœur, je ne voulais pas payer un prix. Lors des réunions, je continuais à échanger avec les nouveaux arrivants comme je l’avais toujours fait, et comme je ne comprenais pas leurs difficultés, je me contentais de radoter dans mes échanges sans obtenir de résultats, ce qui a fait que le nombre de nouveaux arrivants assistant régulièrement aux réunions a commencé à diminuer. Lorsque la cheffe d’équipe a constaté des problèmes, elle m’a demandé de les aider immédiatement, mais je me suis dit : « Le personnel d’évangélisation a déjà beaucoup échangé avec eux sur la vérité des visions. Donc, s’ils ne viennent toujours pas aux réunions, est-ce que ma présence va accomplir quoi que ce soit ? De plus, tous ces nouveaux arrivants ne se sont pas réunis récemment, donc aller échanger avec eux va certainement me prendre beaucoup de temps, ce qui sera épuisant. » À cette pensée, je leur ai juste envoyé des messages pour leur dire brièvement bonjour, et j’ai mis de côté ceux qui ne répondaient pas, sans leur prêter attention. Ceux qui avaient plus de problèmes, je les ai mis en dernier sur ma liste pour l’échange, ou je les ai simplement adressés à des ouvriers d’évangélisation pour qu’ils les soutiennent. Rapidement, certains nouveaux arrivants ont cessé de se réunir parce que leurs problèmes étaient restés non résolus depuis fort longtemps. Je me sentais coupable et contrariée chaque fois que je remarquais que les nouveaux arrivants ne se réunissaient pas. Je sentais aussi que je devrais payer un prix plus élevé pour résoudre leurs problèmes. Mais quand j’ai pensé au tracas que ce serait, j’ai juste laissé tomber.
Je me souviens d’une nouvelle arrivante, une ancienne catholique qui a développé des notions sur l’incarnation et l’œuvre de Dieu dans les derniers jours et cessé d’assister aux réunions. J’avais beau lui envoyer des messages et l’appeler, elle m’ignorait. Deux jours plus tard, elle m’a laissé ce message : « Je suis née dans une famille catholique. Je suis catholique depuis toute petite, ça fait maintenant 64 ans. Je ne peux croire qu’au Seigneur Jésus : je ne peux plus croire en Dieu Tout-Puissant. » Je lui ai répondu : « Dieu Tout-Puissant est le Seigneur Jésus revenu. Le seul moyen d’entrer dans le royaume de Dieu est d’accepter l’apparition et l’œuvre du Seigneur dans les derniers jours. » Mais elle n’a pas répondu. J’ai plusieurs fois tenté de la contacter, mais elle m’ignorait. J’ai donc renvoyé ce problème à la cheffe d’équipe, et j’ai été surprise quand elle m’a envoyé des passages pertinents des paroles de Dieu en me demandant de chercher la vérité pour résoudre ce problème. Je voyais que j’avais besoin de m’équiper de beaucoup de vérités et de réfléchir à la façon d’échanger pour obtenir des résultats. Tout cela me semblait vraiment éprouvant. La nouvelle arrivante ne me répondait pas et même si je passais du temps à m’équiper, elle risquait de ne toujours pas écouter mon échange, alors je l’ai juste mise de côté et je l’ai ignorée. Il y avait une nouvelle venue qui était tous les jours très occupée par son travail et qui n’avait jamais le temps d’assister aux réunions auxquelles je l’invitais. Au début, j’ai continué à lui envoyer des paroles de Dieu et des hymnes tous les jours, mais à chaque fois, elle répondait seulement « Amen », et ensuite elle n’apparaissait pas aux réunions. À la fin, j’ai arrêté de lui envoyer des paroles de Dieu. J’avais l’impression qu’elle était trop occupée par son travail et que c’était cela sa réalité et que, quel que soit le temps que j’y consacrais, je ne pouvais pas résoudre ce problème. Je savais que j’aurais dû prévoir du temps en réunion pour ses difficultés, puis trouver des passages des paroles de Dieu pertinents pour échanger sur ses notions, et que c’était le seul moyen d’obtenir des résultats. Je trouvais que c’était trop compliqué et ennuyeux, donc je ne voulais pas payer ce prix. Mais si je ne partageais pas cet échange et que la dirigeante s’en apercevait, elle me traiterait pour ne pas avoir fait de travail sérieux. Je devais donc me forcer à échanger quelques fois avec cette nouvelle arrivante, et quand j’ai vu qu’elle n’assistait toujours pas aux réunions, j’ai eu le sentiment qu’elle n’avait pas soif de la vérité et que ce n’était pas un manque d’efforts de ma part. En fin de compte, j’ai donc fini par l’ignorer. J’avais toujours été négligente dans mon devoir, esquivant toutes les difficultés. Lorsque je rencontrais des nouveaux arrivants ayant des notions ou de réelles difficultés, je ne voulais pas faire l’effort de réfléchir à la façon de résoudre leurs problèmes, et je les remettais simplement à la cheffe d’équipe. Au bout de quelques mois, très peu de nouveaux venus se réunissaient normalement. La dirigeante de l’Église m’a traitée quand elle a découvert ce problème. Elle m’a dit que j’étais négligente dans mon devoir et que je devais changer tout de suite. J’ai alors juré de renoncer à ma chair et d’abreuver les nouveaux arrivants correctement. Mais face à de nouveaux arrivants ayant beaucoup de problèmes, je n’étais toujours pas disposée à payer un prix pour résoudre leurs problèmes. Je dirais plutôt que je manquais de calibre et que je n’étais pas apte à ce devoir. Je restais superficielle, je ne faisais pas amende honorable et mon devoir ne donnait rien, si bien que la cheffe m’a traitée durement : « Tu es trop négligente dans ton devoir. Tu ne poses jamais de questions sur les difficultés des nouveaux arrivants, et même lorsque tu en apprends un peu à leur sujet, tu ne fais pas d’effort pour les résoudre. De quelle manière est-ce faire un devoir ? Tu ne fais que nuire aux nouveaux arrivants. Si tu ne changes pas, tu seras renvoyée ! » Traitée et avertie de cette façon, je me suis sentie coupable et j’ai eu peur. J’ai commencé à réfléchir sur moi-même : pourquoi ne pouvais-je pas faire ce devoir correctement et le trouvais-je toujours trop dur ?
Un jour, dans mes dévotions, j’ai lu ce passage des paroles de Dieu : « Certaines personnes n’ont aucun principe lorsqu’elles accomplissent leur devoir, elles suivent toujours leurs propres inclinations et agissent de manière arbitraire. C’est de la négligence et de la superficialité, n’est-ce pas ? Ces gens trompent Dieu, n’est-ce pas ? Et avez-vous déjà réfléchi aux conséquences ? Si vous ne faites pas attention à la volonté de Dieu lorsque vous accomplissez votre devoir, si vous n’avez pas de conscience, si vous êtes inefficaces dans tout ce que vous faites, si vous êtes totalement incapables d’agir de tout votre cœur et de toutes vos forces, pouvez-vous obtenir l’approbation de Dieu ? Beaucoup de gens accomplissent leur devoir avec beaucoup de réticence et ne peuvent pas continuer durablement. Ils ne supportent pas la souffrance, ne serait-ce qu’un peu, ils ont toujours le sentiment qu’elle leur a causé un grand tort et ils ne cherchent pas non plus la vérité pour résoudre les difficultés. Pouvez-vous suivre Dieu jusqu’au bout en accomplissant votre devoir de cette manière ? Est-il acceptable que vous soyez négligents et superficiels dans tout ce que vous faites ? Cela sera-t-il acceptable, du point de vue de votre conscience ? Même à l’aune des critères des hommes, ce n’est pas satisfaisant : alors peut-on considérer cela comme l’accomplissement satisfaisant d’un devoir ? Si tu accomplis ton devoir de cette manière, tu n’obtiendras jamais la vérité. Tu es insatisfaisant, même pour rendre service. Comment, alors, pourrais-tu obtenir l’approbation de Dieu ? Beaucoup de gens craignent les difficultés lorsqu’ils accomplissent leur devoir, ils sont trop paresseux, ils convoitent le confort de la chair et ne font aucun effort pour acquérir des compétences spécialisées, ils n’essaient pas non plus de méditer les vérités des paroles de Dieu. Ils pensent qu’être superficiels de cette manière leur évite des ennuis. Ils n’ont pas besoin de chercher quoi que ce soit, ni de poser des questions à qui que ce soit, ils n’ont pas besoin d’utiliser leur cerveau ni de réfléchir. Cela leur évite vraiment beaucoup d’efforts et ne leur coûte aucune épreuve physique, et ils parviennent toujours à terminer leur tâche. Et si tu traites avec eux, ils sont provocants et trouvent des excuses : “Je n’étais pas paresseux et ne me dérobais pas, ma tâche était accomplie : pourquoi es-tu si pointilleux ? N’est-ce pas juste du pinaillage ? J’obtiens de bons résultats en accomplissant mon devoir comme ça, pourquoi n’es-tu pas satisfait ?” Pensez-vous que ces gens-là peuvent encore faire des progrès ? Ils sont constamment superficiels lorsqu’ils accomplissent leur devoir et se trouvent toujours tout un tas d’excuses, et lorsque des problèmes surviennent, ils ne laissent personne s’exprimer. De quel tempérament s’agit-il ? C’est le tempérament de Satan, n’est-ce pas ? Les gens peuvent-ils accomplir leur devoir de manière satisfaisante lorsqu’ils suivent un tel tempérament ? Peuvent-ils satisfaire Dieu ? » (« Seul celui qui accomplit son devoir de tout son cœur, de tout son esprit et de toute son âme aime Dieu », dans La Parole, vol. 3, « Sermons de Christ des derniers jours »). Dieu expose beaucoup de gens pour avoir été trop paresseux dans leur devoir, toujours en quête de confort charnel, pas assez diligents, et pour s’être contentés de paraître occupés. On ne peut jamais bien faire son devoir de cette façon. Je me suis rendu compte que si je n’obtenais pas de résultat dans mon devoir, ce n’était pas parce que je manquais de calibre mais plutôt parce que j’étais paresseuse et que j’avais peur de souffrir pour mon devoir. J’avais l’impression que pour pouvoir abreuver les nouveaux arrivants, il me fallait connaître beaucoup de vérités et apprendre à résoudre leurs nombreux problèmes, et que cela en faisait un devoir vraiment éprouvant. Donc, je faisais juste dans l’à-peu-près. La cheffe d’équipe voulait que je m’occupe des problèmes des nouveaux arrivants aussi vite que possible, et j’aurais pu, si j’avais travaillé dur. Mais quand j’ai vu que cela exigeait plus de temps et d’efforts de ma part, j’ai laissé ça à la cheffe d’équipe et aux ouvriers d’évangélisation. J’avais vu des nouveaux arrivants ne pas assister aux réunions parce qu’ils avaient des notions ou rencontraient des difficultés, et pourtant j’avais été indifférente. J’étais insensible quand on me parlait de voies de résolution. Parfois, j’envoyais aux nouveaux arrivants des paroles de Dieu ou des hymnes, mais au bout de quelques jours, je ne pouvais plus continuer et je les ignorais tout simplement. Je voyais que j’étais vraiment paresseuse, avide des plaisirs de la chair, et que je n’étais pas du tout sincère dans mon devoir. J’étais malhonnête, j’allais à la dérive dans l’Église. J’étais vraiment dégoûtante et odieuse aux yeux de Dieu !
Après cela, j’ai lu ces paroles de Dieu : « Actuellement, il n’y a pas beaucoup d’opportunités d’accomplir un devoir, tu dois donc les saisir quand tu le peux. C’est précisément face à un devoir que tu dois t’exercer : c’est à ce moment que tu dois t’offrir, te dépenser pour Dieu, et que tu as l’obligation de payer le prix. Ne retiens rien, ne nourris aucun stratagème, ne te laisse aucune marge de manœuvre et ne te donne aucune issue. Si tu te laisses une quelconque marge de liberté, si tu calcules, ou si tu es rusé et traître, alors tu accompliras inévitablement du mauvais travail. Supposons que tu te dises : “Personne n’a vu la combine. Parfait !” Qu’est-ce donc que cette façon de penser ? Penses-tu avoir berné les gens, et Dieu aussi ? Mais dans la réalité, Dieu ne sait-Il pas ce que tu as fait ? Il le sait. En fait, toute personne qui interagit avec toi pendant un certain temps apprendra ta corruption et ta méchanceté, et bien qu’elle ne te le dise pas franchement, elle aura son opinion sur toi dans son cœur. Beaucoup de gens ont été exposés et chassés parce que beaucoup d’autres ont fini par les comprendre. Une fois que les gens ont compris l’essence de ces personnes, ils les ont révélées pour ce qu’elles étaient et les ont expulsées. Ainsi, qu’ils poursuivent ou non la vérité, les gens doivent bien faire leur devoir, au mieux de leurs capacités ; ils doivent employer leur conscience à faire des choses pratiques. Tu peux avoir des défauts, mais si peux être efficace dans l’accomplissement de ton devoir, cela n’ira pas jusqu’à te faire chasser. Si tu penses toujours que tout va bien pour toi, que tu es sûr de ne pas être chassé et que tu ne réfléchis toujours pas sur toi-même et n’essayes pas de te connaître, et que tu ignores tes propres tâches, restant toujours négligent et superficiel, alors quand les élus de Dieu en auront vraiment assez d’être tolérants envers toi, ils t’exposeront pour ce que tu es et selon toute vraisemblance, tu seras chassé. C’est que tout le monde t’aura percé à jour et que tu auras perdu ta dignité et ton intégrité. Si personne ne te fait confiance, est-ce que Dieu pourrait te faire confiance ? Dieu regarde au plus profond du cœur de l’homme : Il ne pourrait absolument pas faire confiance à une telle personne. […] Les personnes dignes de confiance sont des personnes qui ont de l’humanité, et les personnes qui ont de l’humanité sont dotées de conscience et de bon sens, et il devrait leur être très facile de bien accomplir leur devoir car elles traitent leur devoir comme leur obligation. Les personnes dépourvues de conscience et de bon sens sont vouées à mal accomplir leur devoir et n’ont aucun sens des responsabilités envers leur devoir, quel qu’il soit. Il faut toujours que d’autres s’en soucient, les surveillent et s’enquièrent de leurs progrès, sinon, les choses pourraient déraper dans l’accomplissement de leur devoir, les choses pourraient mal tourner dans l’exécution d’une tâche, ce qui serait plus problématique qu’autre chose. Bref, il faut toujours se demander, lorsque l’on remplit une tâche : “Ai-je accompli correctement ce devoir ? L’ai-je fait avec cœur ? Ou est-ce que je me suis contenté d’à-peu-près ?” Si tu es toujours négligent et superficiel, tu es en danger. À tout le moins, cela signifie que tu n’as aucune crédibilité et qu’on ne peut pas te faire confiance. Plus sérieusement, si tu ne fais les choses que pour la forme quand tu accomplis ton devoir et que tu trompes toujours Dieu, alors tu es en grand danger ! Quelles sont les conséquences quand on est sciemment malhonnête ? Tout le monde peut voir que tu transgresses sciemment, que tu ne vis que selon ton propre tempérament corrompu, que tu n’es que négligent et superficiel, que tu ne pratiques pas la vérité : ce qui fait que tu es dépourvu de toute humanité ! Si cela se manifeste en toi d’un bout à l’autre, que tu évites les erreurs majeures mais que tu es sans cesse en train d’en faire de petites et que tu es impénitent du début à la fin, alors tu fais partie des méchants, des non-croyants, et tu devrais être exclu. De telles conséquences sont détestables : Tu es complètement exposé et rejeté en tant que non-croyant et personne mauvaise » (« L’entrée dans la vie commence par l’accomplissement de son devoir », dans La Parole, vol. 3, « Sermons de Christ des derniers jours »). « Ta manière de considérer les commissions de Dieu est extrêmement importante, et c’est une question très sérieuse. Si tu ne peux pas terminer ce que Dieu a confié aux gens, alors tu n’es pas digne de vivre en Sa présence et tu devrais être puni. Il est ordonné par le ciel et reconnu par la terre que les humains terminent toutes commissions que Dieu leur confie ; c’est leur suprême responsabilité, tout aussi importante que leur vie même. Si tu ne prends pas les commissions de Dieu au sérieux, alors tu Le trahis de la manière la plus grave ; en cela, tu es plus lamentable que Judas et tu devrais être maudit » (« Comment connaître la nature de l’homme », dans La Parole, vol. 3, « Sermons de Christ des derniers jours »). Face à la révélation des paroles de Dieu, j’ai pu percevoir Son dégoût et Sa colère vis-à-vis de ceux qui sont superficiels dans leur devoir. Ils manquent de conscience, de raison, de caractère et de dignité, et sont totalement indignes de confiance. S’ils continuent à ne pas se repentir, ce sont des malfaiteurs, des non-croyants, et ils devraient être bannis. L’abreuvement des nouveaux arrivants est un travail important. Ils viennent d’accepter la nouvelle œuvre de Dieu, ils ont donc besoin d’être abreuvés davantage pour s’enraciner sur le vrai chemin afin que Satan ne les détourne pas. De plus, celui qui accepte l’œuvre de Dieu ne le fait jamais si facilement ni en douceur, et il faut qu’un certain nombre de gens payent un prix en l’abreuvant et en l’aidant. Ce n’est qu’alors qu’il peut être amené devant Dieu. En tant que personnel d’abreuvement, abreuver les nouveaux arrivants était ma responsabilité. Surtout quand j’ai vu des nouveaux arrivants ayant des difficultés, j’aurais dû avoir un sentiment d’urgence et chercher la vérité pour résoudre ces problèmes. Mais au lieu de cela, j’évitais les travaux difficiles et j’étais fuyante. Lorsque je voyais des nouveaux arrivants confrontés à des difficultés, je choisissais toujours les problèmes faciles à résoudre et je laissais de côté les problèmes difficiles et je les ignorais. Pire encore, j’étais clairement traître et irresponsable dans mon devoir, amenant certains nouveaux arrivants à ne pas assister aux réunions, et même à abandonner. Mais je fuyais mes responsabilités en disant qu’ils n’avaient pas soif de la vérité, ou bien je disais que je manquais de calibre et ne pouvais pas résoudre leurs problèmes, afin de tromper les autres et de me disculper d’avoir été négligente. Ne faisais-je pas mon devoir tout comme une incroyante travaille pour son patron ? Je jouais des tours, faisant dans l’à-peu-près au quotidien, sans conscience ni lucidité. Après toutes mes années de foi, j’essayais encore de tromper Dieu sans même sourciller. J’étais vraiment fourbe et malhonnête ! Je n’avais aucune humanité. Quand j’ai accepté pour la première fois l’Évangile de Dieu des derniers jours, j’étais occupée par le travail tous les jours et mes parents faisaient obstacle à ma foi. J’étais vraiment stressée et je songeais même à renoncer aux réunions. Mais les frères et sœurs ont patiemment échangé la vérité avec moi encore et encore et organisé des réunions en fonction de mon emploi du temps. Parfois, je ne pouvais pas y assister parce que j’étais trop occupée par mon travail, alors mes frères et sœurs faisaient de longs trajets à vélo pour échanger avec moi sur la parole de Dieu, pour m’aider et me soutenir. Ce n’est qu’alors que j’ai entendu parler de l’œuvre de Dieu et vu que la seule façon d’être sauvée est de poursuivre la vérité. J’ai alors accepté d’assister à des réunions et d’assumer un devoir. L’Église souligne toujours que l’abreuvement des nouveaux arrivants demande de la patience et une grande considération pour leurs difficultés, qu’il faille les encourager à assister aux réunions afin qu’ils puissent s’enraciner sur le vrai chemin le plus tôt possible. J’ai vu que Dieu était plein d’amour et de miséricorde pour nous et qu’Il nous sauvait dans toute la mesure du possible. Il est incroyablement consciencieux envers chaque personne qui examine le vrai chemin. Il n’abandonnera pas s’il y a ne serait-ce qu’une once d’espoir. Mais quant à moi, j’étais froide et n’avais aucun sens des responsabilités envers les nouveaux arrivants. Je ne me souciais pas du tout de leur vie, ce qui faisait que leurs problèmes n’étaient pas résolus rapidement et que certains ne voulaient plus assister aux réunions. Compte tenu de mon comportement, en quoi était-ce accomplir un devoir ? Je faisais le mal, j’essayais de tromper Dieu et de tricher avec Lui ! Je me suis sentie très coupable quand j’en ai pris conscience et je me suis haïe d’avoir tellement manqué d’humanité.
Plus tard, j’ai lu ce passage des paroles de Dieu : « Es-tu satisfait de vivre sous l’influence de Satan, dans la paix et la joie et un peu de confort charnel ? N’es-tu pas le plus abject de tous ? Aucun n’est plus insensé que ceux qui ont vu le salut, mais ne cherchent pas à le gagner ; ceux-là sont des gens qui se perdent par la chair et jouissent de Satan. Tu espères que ta foi en Dieu n’entraînera aucun défi et aucune tribulation, ni la moindre difficulté. Tu poursuis toujours ces choses qui ne valent rien et tu n’attaches aucune valeur à la vie ; au lieu de cela, tu fais passer tes propres pensées extravagantes avant la vérité. Tu ne vaux absolument rien ! Tu vis comme un cochon ; quelle différence y a-t-il entre toi et les cochons et les chiens ? Ceux qui ne poursuivent pas la vérité et qui aiment la chair ne sont-ils pas tous des animaux ? Est-ce que ces morts sans esprit ne sont pas tous des cadavres ambulants ? Combien de paroles ont été prononcées parmi vous ? Y a-t-il eu seulement un peu de travail fait parmi vous ? Combien ai-Je fourni parmi vous ? Alors pourquoi ne l’as-tu pas gagné ? Qu’as-tu à te plaindre ? N’est-il pas vrai que tu n’as rien gagné parce que tu es trop amoureux de la chair ? Et n’est-ce pas parce que tes pensées sont trop extravagantes ? N’est-ce pas parce que tu es trop stupide ? Si tu es incapable de gagner ces bénédictions, peux-tu blâmer Dieu de ne pas te sauver ? […] Je te donne le vrai chemin sans rien demander en retour, mais tu ne le poursuis pas. Es-tu de ceux qui croient en Dieu ? Je te donne la vraie vie humaine, mais tu ne la poursuis pas. N’es-tu pas différent d’un cochon ou d’un chien ? Les cochons ne poursuivent pas la vie de l’homme, ils ne cherchent pas à être purifiés et ils ne comprennent pas ce qu’est la vie. Chaque jour, après avoir mangé à satiété, ils dorment simplement. Je t’ai donné le vrai chemin, mais tu ne l’as pas gagné : tu restes les mains vides. Es-tu prêt à continuer dans cette vie, la vie d’un cochon ? Quelle est la signification de la vie de ces personnes ? Ta vie est méprisable et ignoble, tu vis au milieu de la souillure et de la débauche et tu ne poursuis aucun but. Ta vie n’est-elle pas la plus ignoble de toutes ? As-tu l’effronterie de regarder Dieu ? Si tu continues à vivre de cette façon, obtiendras-tu quelque chose ? La vraie voie t’a été donnée, mais que tu puisses finalement la gagner ou non dépend de ta poursuite personnelle » (« Les expériences de Pierre : sa connaissance du châtiment et du jugement », dans La Parole, vol. 1, « L’apparition et l’œuvre de Dieu »). En lisant toutes ces paroles de Dieu qui nous demandent des comptes, j’ai ressenti une immense culpabilité et me suis fait des reproches. Afin de purifier et transformer nos tempéraments corrompus, et de nous donner une chance de salut, Dieu nous a sincèrement nourris de tant de vérités et Il a échangé en détail sur chaque aspect de la vérité, de peur que nous ne la comprenions pas. Dieu a payé un prix très élevé pour nous. Toute personne ayant de l’humanité devrait s’efforcer de rechercher la vérité et être dévouée à son devoir. Mais j’étais totalement dénuée de conscience. Je ne recherchais pas du tout la vérité, je ne me souciais que du confort physique et je vivais toujours selon des philosophies sataniques, comme « Vis ta vie en pilotage automatique » et « Prends ton plaisir, car la vie est de courte durée ». Je trouvais que nous devions bien nous traiter durant les quelques décennies que nous passons sur terre et ne pas trop nous fatiguer. Nous devions rendre notre vie insouciante et heureuse. J’accomplissais un devoir à condition de ne pas souffrir d’inconfort charnel ni de lassitude. Je faisais ce qui était le plus facile. Chaque fois que je devais me creuser la tête à propos de quelque chose, je me mettais à résister et à fuir, soit en rejetant le problème sur quelqu’un d’autre, soit en le mettant de côté, en l’ignorant. Je ne prenais pas du tout mon devoir au sérieux, si bien que les problèmes de certains nouveaux arrivants n’étaient pas résolus et qu’ils cessaient d’assister aux réunions. Ce n’est qu’alors que j’ai compris que ces philosophies sataniques m’avaient rendue de plus en plus dépravée. J’étais comme un porc, avide de confort et ne poursuivant pas du tout la vérité, faisant un gâchis de mon devoir et ne m’en souciant pas du tout. Je négligeais mes devoirs, n’obtenais pas les vérités que j’aurais dû acquérir et n’assumais pas mes responsabilités. N’étais-je pas une parfaite bonne à rien ? J’ai vraiment constaté que le besoin de confort charnel me faisait du mal et ruinait ma chance de salut. Rencontrer des difficultés dans un devoir est en fait une bonne occasion de s’appuyer sur Dieu et de chercher la vérité. Les difficultés me forçant à rechercher la vérité et à apprendre à suivre les principes dans mon devoir étaient pour moi de bons biais pour poursuivre la vérité et l’entrée dans la vie. Mais je traitais ces choses comme une nuisance, un fardeau dont il fallait se débarrasser. En comprenant cela, j’ai vraiment regretté la façon dont j’avais choyé ma chair et perdu tant de bonnes occasions d’apprendre la vérité. Je ne voulais pas continuer à m’embrouiller. Je devais renoncer à la chair et mettre du cœur dans mon devoir.
Un jour, j’ai lu un passage des paroles de Dieu qui m’a fait mieux comprendre les conséquences quand je suis superficielle dans mon devoir. Les paroles de Dieu disent : « Supposons qu’un travail puisse être terminé en un mois par une seule personne. S’il faut six mois pour faire ce travail, est-ce que cinq mois, sur ces six mois, ne représentent pas une perte ? Lorsqu’il s’agit de diffuser l’Évangile, certaines personnes sont prêtes à étudier le vrai chemin et un mois suffit pour les convertir, après quoi elles rejoignent l’Église et continuent d’être abreuvées et pourvues. Six mois leur suffisent pour créer un fondement. Mais si l’attitude de celui qui diffuse l’Évangile est une attitude d’indifférence et de négligence, que les dirigeants et les ouvriers n’ont aucun sens des responsabilités et qu’il faut finalement six mois pour convertir la personne, ces six mois ne constituent-ils pas une perte dans sa vie ? Si elle est confrontée à un grand désastre et manque de fondement, elle sera en danger, et ne leur devras-tu pas quelque chose ? Une telle perte ne se mesure pas financièrement, ni en utilisant de l’argent. Tu as retardé de six mois sa compréhension de la vérité, tu as retardé de six mois l’établissement d’un fondement par cette personne et l’accomplissement de son devoir. Qui va en assumer la responsabilité ? Les dirigeants et les ouvriers sont-ils capables d’en assumer la responsabilité ? La responsabilité de la vie de quelqu’un est au-delà de la capacité de quiconque à l’assumer » (La Parole, vol. 5, « Les responsabilités des dirigeants et des ouvriers »). Ce que les paroles de Dieu révélaient était vraiment pénible et difficile. J’étais comme une fausse dirigeante qui ne fait pas de vrai travail, négligente dans mes devoirs et irresponsable, faisant que les nouveaux arrivants ne se réunissaient pas et que certains quittaient même la foi parce que leurs problèmes n’étaient pas résolus. N’était-il pas néfaste pour eux d’abreuver les nouveaux arrivants de cette façon ? Même si certains n’ont pas abandonné la foi, leurs vies en ont pâti parce qu’ils se sont accrochés à des notions et ne se sont pas réunis pendant longtemps. C’est un mal que je n’ai aucun moyen de réparer. Si je ne m’étais pas souciée autant de ma chair, si j’avais été capable de payer un prix et si j’avais traité les problèmes de chaque nouveau venu avec sérieux, alors peut-être que certains d’entre eux auraient pu s’enraciner sur le vrai chemin et apprendre la vérité plus tôt, vivre une vie d’Église, faire un devoir, accumuler les bonnes actions plus tôt, et les choses ne se seraient pas passées de la même façon. Mais à ce moment-là, il était trop tard pour les mots. En pensant à ces nouveaux venus qui ne voulaient pas assister aux réunions, je me suis sentie vraiment bouleversée et coupable, et extrêmement redevable à Dieu. C’était une transgression, une tache que j’avais laissée sur mon devoir ! J’ai été remplie de regrets et de peur, aussi. J’ai eu le sentiment d’avoir causé d’énormes problèmes. En larmes, j’ai prié : « Ô Dieu, je convoite toujours la facilité et je suis négligente dans mon devoir, ce qui Te dégoûte. Je veux me repentir auprès de Toi et réparer mes transgressions par des actes pratiques. S’il Te plaît, scrute mon cœur, et si je continue à être superficielle, châtie-moi et discipline-moi. »
J’ai alors contacté les nouveaux venus qui étaient négatifs, faibles et absents aux réunions, et j’ai commencé à chercher des paroles de Dieu pour résoudre leurs problèmes. J’ai aussi posé des questions sur les principes et les approches aux sœurs qui étaient douées pour l’abreuvement. J’ai alors cherché à joindre la nouvelle arrivante qui avait des notions religieuses et n’assistait pas aux réunions. Je lui ai envoyé plusieurs messages auxquels elle n’a pas répondu. Je me sentais un peu découragée et j’avais l’impression que je devais oublier ça. De toute façon, c’était elle qui avait cessé de répondre : cela au moins était vrai. J’ai aussi envoyé un message à la nouvelle arrivante qui était occupée par son travail, et quand je l’ai vue refuser mon invitation à la réunion, je n’ai pas voulu payer un prix plus élevé pour la soutenir. J’ai alors pensé à ma prière à Dieu ainsi qu’à ces paroles de Lui : « Quand les gens accomplissent leur devoir, ils font en réalité ce qu’ils doivent faire. Si tu l’accomplis devant Dieu, que tu accomplis ton devoir et te soumets à Dieu avec honnêteté et avec le cœur, une telle attitude ne sera-t-elle pas beaucoup plus correcte ? Alors, comment devrais-tu appliquer cette attitude dans ta vie quotidienne ? Il faut que “vénérer Dieu avec le cœur et avec honnêteté” devienne ta réalité. Chaque fois que tu veux te relâcher et te contenter d’agir pour la forme, que tu veux agir de manière fuyante et être paresseux, et chaque fois que tu es distrait ou que tu préférerais t’amuser, tu devrais bien réfléchir : “En me comportant ainsi, suis-je peu digne de confiance ? De cette façon, est-ce que je mets mon cœur à faire mon devoir ? Suis-je déloyal en faisant cela ? En me conduisant de la sorte, mon effort pour être à la hauteur de la commission que Dieu m’a confiée est-il un échec ?” C’est ainsi que tu devrais réfléchir sur toi-même. Si tu peux arriver à savoir que tu es toujours négligent et superficiel dans ton devoir, et déloyal, et que tu as blessé Dieu, que dois-tu faire ? Tu dois te dire : “J’ai senti sur le moment qu’il y avait quelque chose qui n’allait pas ici, mais je ne l’ai pas traité comme un problème. Je l’ai juste passé sous silence négligemment. Je ne m’étais pas rendu compte jusqu’à présent que j’avais vraiment été négligent et superficiel, que je n’avais pas été à la hauteur de ma responsabilité. Je manque vraiment de conscience et de raison !” Tu as trouvé le problème et tu en sais un peu plus sur toi-même, alors maintenant, tu dois faire demi-tour ! Ton attitude vis-à-vis de l’accomplissement de ton devoir était mauvaise. Tu étais négligent, comme dans un travail d’appoint, et tu n’y mettais pas ton cœur. S’il t’arrive de nouveau d’être négligent et superficiel comme cela, tu dois prier Dieu et Lui demander de te discipliner et de te châtier. Il faut avoir une telle volonté dans l’accomplissement de son devoir. Alors seulement, on peut se repentir de façon sincère. On ne fait demi-tour que lorsque sa conscience est claire et que son attitude vis-à-vis de l’accomplissement de son devoir est transformée » (« Seules la lecture fréquente des paroles de Dieu et la méditation sur la vérité permettent d’avancer », dans La Parole, vol. 3, « Sermons de Christ des derniers jours »). Ces paroles de Dieu m’ont permis de voir que bien faire un devoir n’était pas difficile, que nous devons être sincères, accepter l’examen de Dieu et faire de notre mieux pour mener à bien ce que nous savons, ce que nous pouvons, ne pas recourir à la ruse ni être négligents, et que nous avons besoin de ce type d’attitude pour faire notre devoir convenablement. Alors j’ai décidé que cette fois je ne décevrais plus Dieu. Je devais montrer à Dieu que je me repentais, que j’étais vraiment travailleuse et sincère, et que même si ces nouveaux venus n’assistaient pas aux réunions malgré mon aide et mon soutien, j’aurais tout de même assumé ma responsabilité et serais sans culpabilité.
Je suis allée parler à une autre sœur, à la recherche d’un chemin de pratique, et j’ai aussi contacté cette nouvelle arrivante qui avait des notions religieuses, pour échanger. Je me suis ouverte à elle au sujet de mon chemin de foi. À ma grande surprise, elle a répondu à mes messages. En fait, elle appréciait vraiment les réunions mais elle avait quelques notions et confusions non résolues. J’ai été vraiment émue par les paroles sincères de cette nouvelle arrivante et j’ai échangé à propos de ses notions. En fin de compte, elle a accepté d’assister à des réunions et peu de temps après, elle a assumé un devoir. Quand j’ai vu les choses tourner ainsi, j’ai eu ce sentiment indescriptible : j’ai ressenti à la fois de la joie et des remords. Sans l’éclairage des paroles de Dieu me permettant de me connaître moi-même et de corriger mon attitude envers mon devoir, j’aurais commis une nouvelle transgression. Après cela, j’ai de nouveau contacté la nouvelle arrivante qui était prise par son travail. Avant, je l’avais toujours poussée à assister à des réunions sans tenir compte de ses difficultés. Cette fois, j’ai échangé sur les paroles de Dieu pour l’aider, en tenant compte de sa situation réelle, et j’ai ajusté les horaires des réunions de manière adéquate. Lorsqu’elle n’avait pas le temps d’assister à une réunion, je lui lisais des paroles de Dieu avec elle quand elle avait du temps libre, et j’échangeais patiemment. Et puis elle a accepté de m’ouvrir son cœur et de me parler des paroles de Dieu qu’elle avait lues. Elle m’a également dit avec joie que quoi qu’il arrive, elle ne renoncerait pas aux réunions ni à manger et boire les paroles de Dieu. Après cela, elle n’a plus jamais manqué une réunion et, quelle que soit sa charge de travail, elle consacrait du temps à méditer les paroles de Dieu. Plus tard, j’ai soutenu d’autres nouveaux arrivants et les ai fait revenir dans le giron. Ayant corrigé mon attitude, m’étant appuyée sur Dieu et y ayant consacré de véritables efforts, j’ai obtenu de meilleurs résultats dans mon devoir.
Avant, j’étais toujours traître et superficielle dans mon devoir. Même si je ne souffrais pas physiquement, je vivais toujours dans l’épreuve. Je ne sentais pas la direction de Dieu, j’en accomplissais de moins en moins dans mon devoir, je manquais totalement d’éclairage et je craignais toujours que Dieu m’abandonne et me chasse. J’étais vraiment déprimée et je souffrais Une fois que j’ai mis mon cœur dans mon devoir, j’ai pu sentir la présence et la direction de Dieu. J’ai aussi progressé dans mon devoir et acquis un sentiment de paix et de confort. J’ai vraiment ressenti l’importance de l’attitude que l’on a envers son devoir. Face aux difficultés, ce n’est qu’en payant un prix réel et en tenant compte de la volonté de Dieu que nous pouvons gagner l’éclairage du Saint-Esprit et faire des gains dans notre devoir.
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