Ce que j’ai gagné en étant émondée

25 octobre 2024

Par Miriam, Japon

En juin 2022, j’ai été élue dirigeante d’Église. Penser à tout le travail que j’allais prendre en charge, à la grande diversité d’expériences que j’allais vivre, et à quel point ce serait bénéfique à ma croissance dans la vie, m’a enthousiasmée. J’étais également reconnaissante à Dieu pour cette occasion de pratiquer. Mais je débutais à ce poste de direction et il y avait donc de nombreux principes que je ne connaissais pas. De plus, quand des problèmes survenaient, je ne cherchais pas les principes, je me contentais d’avancer à l’aveuglette, de faire au mieux. Il n’a donc pas fallu attendre longtemps pour que des problèmes surgissent dans mon travail. Une superviseuse que j’avais choisie était toujours superficielle dans son devoir et retardait le travail. Quand une dirigeante supérieure l’a découvert, elle m’a réprimandée : « Pour quelque chose d’aussi important que la nomination du personnel, pourquoi ignorer les principes et prendre des décisions seule, sans en discuter avec tes collaborateurs ? Quelle arrogance et suffisance ! » Je me suis sentie très mal quand je l’ai entendue dire ça. J’ai reconnu que j’avais été très arrogante et suffisante, mais en même temps, cela m’a beaucoup inquiétée. Maintenant que mon problème avait été exposé, la dirigeante et les autres frères et sœurs allaient voir à quelle hauteur je me situais réellement. Si ce même vieux problème ne cessait d’apparaître, la dirigeante allait-elle me renvoyer ? À ma grande surprise, très vite, une autre tâche sur laquelle je travaillais a dû être refaite, parce que j’avais procédé à ma guise, ce qui a retardé le travail et j’ai été émondée une nouvelle fois. On m’a dit, « En tant que dirigeante, tu ne t’occupes pas de tes affaires personnelles, tu fais un travail qui concerne l’Église toute entière. Les dirigeants doivent chercher les principes et discuter de tous les problèmes avec leurs collaborateurs. Pourquoi ne fais-tu sans cesse que ce que tu veux ? Tu es bien trop arrogante et suffisante. » L’entendre dire ça m’a fait l’effet d’un coup de poignard dans le cœur et je n’ai pu m’empêcher de pleurer à chaudes larmes. Elle avait raison : elle avait déjà souligné ce problème-là. Pourquoi avais-je commis la même erreur ? Si je faisais constamment les choses à ma façon et commettais des erreurs dans mon devoir, j’allais forcément être renvoyée, tôt ou tard. Durant cette période, j’ai remarqué que certains, autour de moi, ne cherchaient pas les vérités-principes dans leurs devoirs et qu’ils faisaient les choses à leur façon, ce qui provoquait des perturbations dans le travail et leur valait d’être émondés, et certains étaient même renvoyés. Voir ça m’a rendue encore plus nerveuse et effrayée. Je me suis dit que je devais vraiment faire attention, désormais, et ne jamais commettre la moindre erreur, sinon, je serais la prochaine à être renvoyée. Si j’étais réellement renvoyé, aurais-je encore une bonne fin et une bonne destination ? Après ça, je suis devenue vraiment prudente au travail. Même dans les discussions de travail ordinaires, quand il fallait donner son opinion, j’hésitais à ouvrir la bouche, de peur de me tromper et d’exposer mon problème. Quand je faisais des suggestions concernant des problèmes que j’avais remarqués dans le suivi du travail, je doutais de moi et me disais : « Est-ce vraiment un problème ? Si j’ai tort, la dirigeante va-t-elle m’émonder ? Tant pis, mieux vaut ne pas en parler. De cette façon, au moins, je n’aurais pas tort et on ne m’émondera pas. » Pensant cela, j’ignorais simplement tout ce dont je n’étais pas certaine. Mais du coup, je me sentais un peu coupable et je me rendais compte que je me montrais irresponsable vis-à-vis de mon travail. Je me suis dit que je devais d’abord demander à mes collaborateurs leur avis avant de gérer les problèmes. Ainsi, la dirigeante ne dirait pas que j’étais arrogante et suffisante et agissais obstinément. Un jour, l’Église a eu besoin de choisir un diacre pour le travail d’évangélisation. Un frère était doué pour le partage de l’Évangile, mais les autres disaient qu’il n’avait pas une bonne humanité, et qu’il avait attaqué d’autres membres et s’était vengé d’eux. Je ne savais pas s’il s’agissait d’un candidat viable, alors j’en ai discuté avec mes collaborateurs. Tout le monde a dit qu’il fallait essayer. Je me sentais un peu mal à l’aise à l’époque et je voulais en discuter davantage, mais ensuite je me suis dit que j’étais la seule à penser que ce frère ne convenait pas. Et si je faisais une suggestion qui n’allait pas et que la dirigeante disait que non seulement je ne comprenais pas les principes, étais aussi arrogante et présomptueuse, m’émonderait-elle ? Je n’ai donc pas évoqué mes inquiétudes et je me suis même rassurée : j’avais déjà demandé l’avis de tous, si quelque chose tournait mal, je ne serais donc pas la seule responsable. Peu après, la dirigeante supérieure a examiné notre travail et a découvert que ce frère n’avait pas une bonne humanité. Il n’écoutait pas les suggestions des autres et il s’attaquait même à eux et s’en vengeait. La dirigeante a dit : « S’il n’est pas renvoyé tout de suite, le travail s’en trouvera affecté. » L’entendre dire ça m’a vraiment contrariée, parce que j’avais été consciente du problème, au départ, mais comme j’avais eu peur que mon point de vue soit erroné et d’être émondée en cas de problème, je n’avais rien dit. Heureusement, la dirigeante l’avait remarqué et avait fait renvoyer ce frère, sinon le travail en aurait certainement pâti. Je me suis sentie vraiment coupable. J’avais eu le net sentiment qu’il y avait un problème, alors pourquoi n’avais-je pas eu le courage d’en parler ? Pourquoi n’avais-je pas protégé le travail d’Église ? Pourquoi avais-je eu aussi peur d’être émondée ? J’ai prié Dieu, Lui demandant de me guider pour que je comprenne mon problème.

Puis, un jour, j’ai lu un passage des paroles de Dieu : « Certains suivent leur propre volonté lorsqu’ils agissent. Ils violent les principes et quand ils sont émondés, ils admettent en quelques mots qu’ils sont arrogants et qu’ils ont fait une erreur simplement parce qu’ils n’ont pas la vérité. Mais au fond d’eux-mêmes, ils se plaignent : “Personne d’autre ne s’en occupe, moi seul, et à la fin, quand quelque chose ne va pas, c’est sur moi qu’on rejette toute la responsabilité. N’est-ce pas stupide de ma part ? Je ne peux pas faire la même chose la prochaine fois, tendre le cou comme ça. L’oiseau qui sort la tête se fait tirer dessus !” Que pensez-vous de cette attitude ? Est-ce une attitude de repentance ? (Non.) De quelle attitude s’agit-il ? Ne sont-ils pas devenus fuyants et sournois ? Au fond d’eux-mêmes, ils se disent : “J’ai de la chance cette fois-ci, cela ne s’est pas transformé en catastrophe. On dirait qu’‘une chute dans le fossé est un gain pour la sagesse’. Je dois être plus prudent à l’avenir.” Ils ne cherchent pas la vérité, ils se servent de leur mesquinerie et de leurs manigances sournoises pour s’occuper de la question et la gérer. Peuvent-ils gagner la vérité de cette façon ? Non, car ils ne se sont pas repentis. La première chose à faire quand tu te repens, c’est de reconnaître ce que tu as fait de mal : pour voir où était ton erreur, l’essence du problème et le tempérament corrompu que tu as manifesté. Tu dois réfléchir à ces choses-là et accepter la vérité, puis pratiquer selon la vérité. Cela seul est une attitude du repentir. Si, d’un autre côté, tu considères de façon exhaustive les manières sournoises, tu deviens plus fuyant qu’avant, tes techniques sont plus astucieuses et discrètes et que tu as davantage de méthodes pour traiter les choses, alors le problème ne se résume pas à être simplement malhonnête. Tu utilises des moyens sournois et tu as des secrets que tu ne peux pas divulguer. C’est de la malveillance. Non seulement tu ne t’es pas repenti, mais tu es devenu plus fuyant et malhonnête. Dieu voit que tu es trop intransigeant et malveillant, que tu admets en surface que tu avais tort et tu acceptes d’être émondé mais en réalité, tu n’as pas du tout une attitude de repentir. Pourquoi dis-Je cela ? Parce que pendant que cet événement se produisait ou par la suite, tu n’as pas cherché du tout la vérité, tu n’as pas réfléchi ni essayé de te connaître toi-même et tu n’as pas pratiqué selon la vérité. Ton attitude consiste à utiliser les philosophies, la logique et les méthodes de Satan pour résoudre le problème. En réalité, tu évites le problème et tu l’enrobes dans un bel emballage pour que les autres n’en voient aucune trace, n’en laissant rien paraître. À la fin, tu te crois très malin. Voilà les choses que Dieu voit, plutôt que de constater que, véritablement, tu as réfléchi, que tu t’es confessé et repenti de ton péché dans le contexte de ce qui t’arrive, puis que tu as fini par chercher la vérité et pratiquer selon la vérité. Ton attitude ne consiste pas à chercher la vérité ou à pratiquer la vérité ni à te soumettre à la souveraineté et aux arrangements de Dieu ; elle consiste à employer les techniques et les méthodes de Satan pour résoudre ton problème. Tu donnes aux autres une fausse impression et résistes au fait d’être révélé par Dieu, et tu es sur la défensive et dans la confrontation quant aux circonstances que Dieu a orchestrées pour toi. Ton cœur est plus fermé qu’avant et séparé de Dieu. De la sorte, un bon résultat peut-il en découler ? Peux-tu quand même vivre dans la lumière, profiter de la paix et de la joie ? Non. Si tu évites la vérité et que tu évites Dieu, tu tomberas à coup sûr dans les ténèbres et tu pleureras et grinceras des dents » (La Parole, vol. 3 : Discours de Christ des derniers jours, C’est seulement en poursuivant la vérité que l’on peut résoudre ses notions et ses incompréhensions au sujet de Dieu). Les paroles de Dieu m’ont permis de comprendre que les personnes qui aiment et acceptent la vérité, sont capables de chercher la vérité en étant émondées, de réfléchir sur elles-mêmes et d’apprendre en quoi elles se sont trompées, quels tempéraments corrompus elles ont révélés et comment ces tempéraments doivent être résolus. Après quoi, elles peuvent faire leur devoir selon les principes. C’est vraiment là accepter le fait d’être émondé et faire preuve d’un véritable repentir. Mais quand ceux qui n’acceptent pas la vérité sont émondés, même s’ils peuvent reconnaître verbalement qu’ils avaient tort, ils ne cherchent pas la vérité ou ne réfléchissent pas sur eux-mêmes pour se connaître. À la place, ils utilisent des moyens habiles et fourbes pour se dissimuler et empêcher les autres de voir leurs problèmes, afin de se protéger. Les personnes de ce genre ne sont pas seulement fourbes, elles sont également malveillantes. J’ai réfléchi sur moi-même en me comparant à ce qui était exposé dans ces paroles de Dieu. Quand j’étais devenue dirigeante, j’ignorais de nombreux principes et je ne les avais pas cherchés, je m’étais contentée de faire les choses à ma façon. Cela avait perturbé le travail. La dirigeante avait souligné mon problème, afin de m’aider. J’avais reconnu avoir commis des erreurs, mais je n’avais pas réfléchi sur moi-même après ça, ni fait des efforts pour comprendre les principes. J’avais agi au jugé et j’étais restée sur mes gardes, pensant que, puisque la dirigeante avait déjà vu ce que je valais réellement, je risquais d’être renvoyée si je commettais une nouvelle erreur, et ensuite, je n’aurais pas une bonne fin et une bonne destination. Je n’avais cessé de me déguiser pour me protéger, ne montrant pas mes problèmes ou mes défauts. J’avais été vraiment prudente dans tout ce que je disais et faisais. J’avais pesé le pour et le contre avant d’évoquer un problème ou de donner mon opinion, me demandant si je risquais d’être émondée si j’avais tort et quelles en seraient les conséquences. Je ne disais quelque chose que si j’étais sûre que tout serait infaillible. Mais je ne disais pas un mot quand je n’étais pas certaine de quelque chose, sans envisager que le travail pouvait en pâtir si le problème était ignoré. Pour éviter d’en assumer la responsabilité, quand il fallait que je choisisse quelqu’un, je demandais l’avis de mes collaborateurs, mais ce n’était que pour les apparences. Même si j’étais troublée par leur suggestion, je n’en discutais pas davantage, et par conséquent, la mauvaise personne était choisie. Cela nuisait aux frères et sœurs, ainsi qu’au travail. J’ai vu que lorsque j’étais émondée, je ne faisais preuve d’aucun repentir. Je devenais simplement plus fuyante et fourbe, pensant constamment à éviter de me tromper et d’être émondée, me méfiant toujours de Dieu et des dirigeants. Que je fasse mon devoir de cette façon était dégoûtant et odieux pour Dieu. Je n’obtiendrais jamais l’œuvre et la direction du Saint-Esprit ainsi. Si je ne me repentais pas, je savais que je finirais par être éliminée par Dieu.

Un jour, au cours de mes dévotions, j’ai lu un passage des paroles de Dieu où Il expose la façon dont les antéchrists réagissent au fait d’être émondés, qui m’a aidé à comprendre mon propre problème. Dieu Tout-Puissant dit : « Certains antéchrists qui travaillent dans la maison de Dieu décident en silence d’agir scrupuleusement, d’éviter de faire des erreurs, d’être émondés, d’irriter le Supérieur et d’être surpris par leurs dirigeants en train de faire quelque chose de mal, et ils s’assurent d’avoir un public quand ils font de bonnes actions. Pourtant, aussi scrupuleux qu’ils soient, parce que leurs motivations et le chemin qu’ils prennent sont incorrects, et parce qu’ils parlent et agissent uniquement dans l’intérêt de leur renommée, de leur gain et de leur statut, et qu’ils ne cherchent jamais la vérité, ils violent souvent les principes, interrompent et perturbent le travail de l’Église, agissent comme des laquais de Satan et commettent même souvent de nombreuses transgressions. Il est très courant et très typique que ces gens violent souvent les principes et commettent des transgressions. Alors, bien sûr, il leur est très difficile d’éviter d’être émondés. Ils ont vu que certains antéchrists avaient été révélés et éliminés parce qu’ils avaient été sévèrement émondés. Ils ont vu ces choses de leurs propres yeux. Pourquoi les antéchrists agissent-ils avec autant de prudence ? L’une des raisons, bien sûr, est qu’ils craignent d’être révélés et éliminés. Ils se disent : “Je dois faire attention, après tout, ‘Prudence est mère de sûreté’ et ‘Les bons ont une vie paisible’. Je dois suivre ces principes et me rappeler à tout moment d’éviter de mal faire et d’avoir des ennuis, et je dois réprimer ma corruption et mes intentions, et ne laisser personne les voir. Tant que je ne fais pas le mal et que je peux persévérer jusqu’au bout, j’obtiendrai des bénédictions, j’éviterai les désastres et je gagnerai quelque chose dans ma croyance en dieu !” Souvent, ils s’exhortent, se motivent et s’encouragent de cette manière. Au fond d’eux, ils croient que s’ils font le mal, leurs chances d’obtenir des bénédictions diminueront significativement. Est-ce que ce ne sont pas le calcul et la croyance qui occupent le fond de leur cœur ? Mis à part le fait que ce calcul ou cette croyance des antéchrists sont bons ou mauvais, sur la base de cela, à propos de quoi seront-ils le plus inquiets lorsqu’ils seront émondés ? (De leurs perspectives et de leur destin.) Ils associent le fait d’être émondés à leurs perspectives et à leur destin : cela a à voir avec leur nature malveillante. Ils se disent : “Suis-je émondé ainsi parce que je vais être éliminé ? Est-ce parce qu’on ne veut pas de moi ? La maison de dieu m’empêchera-t-elle d’accomplir ce devoir ? Est-ce que je ne semble pas digne de confiance ? Vais-je être remplacé par quelqu’un de meilleur ? Si je suis éliminé, puis-je encore être béni ? Puis-je encore entrer dans le royaume des cieux ? Il semble que mes performances n’aient pas été très satisfaisantes, je dois donc être plus prudent à l’avenir et apprendre à être obéissant et sage et à ne pas créer de problèmes. Je dois apprendre à être patient et survivre en gardant la tête baissée. Chaque jour, quand je fais des choses, je dois imaginer que je marche sur des œufs. Je ne peux pas baisser ma garde. Bien que je me sois révélé négligemment cette fois et que j’aie été traité, leur ton ne semblait pas très strict. Il semble que le problème ne soit pas très grave, il semble que j’aie encore une chance : je peux encore échapper aux désastres et être béni, donc je devrais simplement accepter cela humblement. Ce n’est pas comme si j’allais être congédié, encore moins éliminé ou expulsé, donc je peux accepter d’être émondé de cette façon.” Est-ce une attitude d’acceptation d’être émondé ? Est-ce vraiment connaître son tempérament corrompu ? Est-ce vraiment vouloir se repentir et tourner une nouvelle page ? Est-ce vraiment être déterminé à agir selon les principes ? Non, ce n’est pas le cas. Alors pourquoi agissent-ils ainsi ? À cause de cette lueur d’espoir de pouvoir échapper aux désastres et être bénis. Tant que cette lueur d’espoir existe encore, ils ne peuvent pas se révéler, ils ne peuvent pas révéler leur vrai moi, ils ne peuvent pas dire aux autres ce qu’il y a au plus profond de leur cœur et ils ne peuvent pas faire connaître aux autres le ressentiment qu’ils nourrissent intérieurement. Ils doivent cacher ces choses, ils doivent rester la queue entre leurs jambes et ne pas permettre aux autres de les voir pour qui ils sont vraiment. Par conséquent, ils ne changent pas du tout après avoir été émondés, et ils continuent à faire les choses comme avant. Alors, quel est le principe qui sous-tend leurs actions ? Il s’agit simplement de protéger leurs propres intérêts en tout. Quelles que soient les erreurs qu’ils commettent, ils ne le font pas savoir aux autres : ils doivent faire croire à tout le monde autour d’eux qu’ils sont des personnes parfaites sans fautes ni défauts et qu’ils ne font jamais d’erreurs. C’est ainsi qu’ils se déguisent. Après avoir longtemps gardé leurs déguisements, ils se confortent dans l’idée qu’ils sont plus ou moins certains d’échapper aux désastres, d’être bénis et d’entrer dans le royaume des cieux » (La Parole, vol. 4 : Exposer les antéchrists, Point 9 (Partie VIII)). Grâce à ces paroles de Dieu, j’ai vu que lorsque les antéchrists sont émondés pour avoir violé les principes ou fait le mal, ce qui les inquiète le plus, c’est d’être éliminés, puis de ne pas gagner la moindre bénédiction. Après ça, ils deviennent donc incroyablement prudents dans tout ce qu’ils font, et se méfient de Dieu et des hommes. Ils pensent que tant qu’ils ne commettent aucune erreur et qu’ils n’exposent pas leurs défauts, pour que les autres ne puissent pas les découvrir, ils seront à même de conserver leur poste et que les bénédictions leur seront garanties. J’ai vu que les antéchrists étaient terriblement égoïstes, vils, fourbes et malveillants. Ils ne croient en Dieu que par souci des bénédictions. Quand ils sont émondés, ils ne pensent qu’à leur propre avenir et à leurs intérêts. Ils peuvent bien se comporter et devenir dociles un moment, mais ce n’est qu’une apparence, pour pouvoir rester dans l’Église afin d’éviter les désastres. J’ai vu que mon attitude vis-à-vis du fait d’être émondée correspondait exactement à la façon dont les antéchrists agissaient, en associant l’émondage au fait de recevoir des bénédictions. Quand on m’émondait, je me demandais si la dirigeante allait me renvoyer et je m’inquiétais de savoir si j’allais avoir un bon avenir et une bonne destination. Ensuite, je marchais sur des œufs dans mon devoir. Je pensais et repensais aux moindres suggestions que j’avançais ou aux problèmes que je voulais soulever, ayant très peur de commettre une erreur et d’exposer mes insuffisances. La dirigeante saurait ce que je valais et me renverrait. J’étais encore plus sur la défensive face à Dieu lorsque je voyais d’autres frères et sœurs autour de moi renvoyés, craignant de commettre une erreur et d’être émondée une nouvelle fois, ou renvoyée. Je n’avais pas vraiment accepté le fait d’avoir été émondée, ni réfléchi sur moi-même et vu mes erreurs. Simplement, je me méfiais aveuglément de Dieu et j’employais des tactiques fourbes pour me déguiser. Je me disais que tant que je ne montrais pas mon vrai visage et que je ne faisais pas de nouvelles erreurs, ou qu’on ne m’émondait pas, je ne serais pas renvoyée et ensuite, je pourrais rester dans l’Église et me retrouver avec une bonne fin et une bonne destination. J’étais sans cesse méfiante vis-à-vis de Dieu, je me creusais la cervelle pour calculer mes gains ou pertes personnels. Je voyais les problèmes, mais je ne cherchais pas et je ne les signalais pas. Je ne me souciais que de surveiller mes arrières et je ne tenais absolument pas compte du travail d’Église. J’étais vraiment égoïste et fourbe. En me déguisant de cette façon, je pouvais tromper la dirigeante un moment et ne pas être renvoyée tout de suite, mais si je ne réfléchissais jamais sur moi-même, si je ne me repentais jamais ou n’opérais jamais de changements, je serais révélée et éliminée par Dieu tôt ou tard. Comprenant cela, j’ai dit une prière, prête à me repentir et à chercher la vérité pour résoudre mon problème.

En cherchant, j’ai lu certaines paroles de Dieu sur la façon de gérer correctement le fait d’être émondé. Dieu dit : « En réalité, la maison de Dieu émonde les gens uniquement parce qu’ils agissent de manière obstinée et arbitraire dans l’accomplissement de leurs devoirs, perturbant et interrompant ainsi le travail de la maison de Dieu, et qu’ils ne réfléchissent pas ou ne se repentent pas – alors seulement la maison de Dieu les émonde. Dans cette situation, leur émondage signifie-t-il qu’ils sont en train d’être éliminés ? (Non.) Absolument pas, les gens devraient accepter cela de manière positive. Dans ce contexte, tout émondage, qu’il soit effectué par Dieu ou par l’homme, qu’il provienne de dirigeants et d’ouvriers ou de frères et sœurs, n’est pas malintentionné et est profitable pour le travail de l’Église. Être capable d’émonder une personne lorsqu’elle a agi de manière obstinée et arbitraire et perturbé le travail de la maison de Dieu est une chose juste et positive. C’est quelque chose que les gens intègres et ceux qui aiment la vérité devraient faire » (La Parole, vol. 4 : Exposer les antéchrists, Point 9 (Partie VIII)). « Lorsqu’il s’agit d’être émondé, qu’est-ce que les gens devraient savoir au minimum ? L’émondage est une expérience que l’on doit faire pour pouvoir accomplir son devoir de façon adéquate, c’est indispensable. C’est une chose à laquelle les gens doivent se confronter quotidiennement et qu’ils doivent expérimenter souvent afin d’atteindre leur salut dans leur foi en Dieu. Personne ne peut se passer d’être émondé. Est-ce qu’émonder quelqu’un est quelque chose qui met en jeu ses perspectives et son destin ? (Non.) Mais alors, à quoi sert-il d’émonder quelqu’un ? Est-ce fait pour condamner cette personne ? (Non, c’est fait pour aider les gens à comprendre la vérité et à faire leur devoir selon les principes.) C’est juste. C’est la compréhension la plus correcte. Émonder quelqu’un est une sorte de discipline, une sorte de châtiment, et naturellement c’est aussi une façon d’aider et de corriger les gens. Être émondé te permet également de modifier à temps ta poursuite incorrecte. Cela te permet de reconnaître rapidement les problèmes que tu rencontres actuellement et de reconnaître à temps les tempéraments corrompus que tu révèles. Quoi qu’il en soit, être émondé t’aide à reconnaître tes erreurs et à accomplir tes devoirs conformément aux principes, cela t’évite d’entraîner des déviations et de t’égarer, avec le temps, et cela t’empêche de provoquer des catastrophes. N’est-ce pas là l’aide la plus grande, le remède le plus grand ? Ceux qui sont dotés de conscience et de raison devraient être capables de traiter correctement l’émondage » (La Parole, vol. 4 : Exposer les antéchrists, Point 9 (Partie VIII)). Grâce à Ses paroles, j’ai appris que l’émondage est l’une des façons de purifier et de perfectionner les gens. C’est également quelque chose que nous devons affronter et subir au cours de notre processus de croissance dans la vie. Les paroles de l’émondage peuvent être vraiment dures et bouleversantes, parfois, mais elles visent nos tempéraments corrompus. Elles exposent et dissèquent directement notre corruption et notre rébellion. Elles ne comportent absolument aucune malveillance à notre égard et ne sont pas destinés à nous condamner et à nous éliminer, elles n’ont aucun rapport avec notre avenir et notre destin. Mais je croyais de façon déformée qu’être émondée, c’était être condamnée, et que j’allais être renvoyée et éliminée. Mal comprendre Dieu ainsi, c’était renier Sa justice et blasphémer contre Lui ! La dirigeante m’avait émondée principalement parce que j’étais arrogante et suffisante et agissais obstinément, et que cela perturbait le travail de l’Église, ce qui était vraiment rageant. La dirigeante voulait que j’opère des changements dès que possible pour protéger le travail de l’Église. Prendre un ton sévère était la chose la plus normale du monde, et elle ne me renvoyait pas. Ces paroles d’émondage allaient jusqu’au cœur de mes problèmes, de mes écarts, et de mes tempéraments corrompus, et elles me permettaient de voir la gravité du problème. Mon cœur était si insensible et inflexible que, sans cela, j’aurais complètement ignoré des paroles aimables visant à me conseiller et j’aurais continué à faire la même erreur. Ensuite, je n’aurais jamais progressé dans mon devoir. J’aurais continué à faire le mal et à perturber le travail d’Église. Chaque fois que j’avais été émondée, cela avait rapidement corrigé mes écarts et mes erreurs, stoppant net ma malfaisance. Voilà ce qui était vraiment le plus utile, à mes yeux. En réfléchissant soigneusement aux moments où j’avais réalisé le plus de gains dans la vérité, j’ai vu que c’était arrivé les fois où j’avais trébuché, chuté et été émondée. J’ai vraiment eu l’impression qu’être émondé était la meilleure méthode de Dieu, et la plus efficace, pour nous juger et nous purifier. Être capable de faire l’expérience de l’émondage est la grâce de Dieu, et Sa faveur particulière à mon égard. Mais je ne cherchais pas la vérité et je ne réfléchissais pas sur moi-même. Je continuais simplement à vivre en me méprenant sur Dieu, inquiète pour mon avenir et mon destin. J’étais vraiment déraisonnable et je ne savais pas ce qui était bon pour moi.

Un jour, durant une réunion, j’ai lu un passage des paroles de Dieu, qui m’a vraiment affectée. Dieu Tout-Puissant dit : « Si quelqu’un n’a toujours en tête que ses propres intérêts et perspectives lorsqu’il accomplit son devoir, et qu’il n’accorde pas d’attention au travail de l’Église ou aux intérêts de la maison de Dieu, alors cela n’est pas accomplir un devoir. C’est de l’opportunisme, c’est faire les choses pour son propre bénéfice et pour obtenir des bénédictions pour soi-même. De cette façon, la nature qui sous-tend l’accomplissement de son devoir change. Il s’agit simplement de conclure un accord avec Dieu et de vouloir utiliser l’accomplissement de son devoir pour atteindre ses propres objectifs. Cette façon de faire risque fortement de perturber le travail de la maison de Dieu. Si cela ne cause que des pertes mineures au travail de l’Église, alors il y a encore une possibilité de rédemption et il peut toujours avoir la possibilité d’accomplir son devoir, plutôt que d’être exclu ; mais si cela cause de grandes pertes au travail de l’Église et qu’il encourt la colère de Dieu et des gens, alors il sera révélé et éliminé, sans autre possibilité d’accomplir son devoir. Certains sont renvoyés et éliminés de cette manière. Pourquoi sont-ils éliminés ? En avez-vous trouvé la cause première ? La cause première est qu’ils considèrent toujours leurs propres gains et pertes, se laissent emporter par leurs propres intérêts, sont incapables de se rebeller contre la chair et n’ont pas du tout une attitude de soumission envers Dieu, si bien qu’ils ont tendance à se comporter de manière irréfléchie. Ils croient en Dieu uniquement pour obtenir du profit, de la grâce et des bénédictions, et absolument pas pour gagner la vérité, de sorte que leur croyance en Dieu échoue. C’est la racine du problème. Pensez-vous qu’il soit injuste de les révéler et de les éliminer ? Ce n’est pas du tout injuste, c’est entièrement déterminé par leur nature. Quiconque n’aime pas la vérité ou ne poursuit pas la vérité sera finalement révélé et éliminé » (La Parole, vol. 3 : Discours de Christ des derniers jours, Seule la recherche des vérités-principes permet de bien accomplir son devoir). Dieu expose que si sans cesse, vous tenez compte de vos propres intérêts et planifiez votre avenir dans votre devoir, la nature de ce que vous faites a changé et ce n’est plus accomplir un devoir. Vous finirez forcément par faire le mal et perturber le travail d’Église, puis vous serez renvoyés et éliminés. J’ai pensé au fait que je débutais en tant que dirigeante et ne connaissais pas les principes, et que j’agissais surtout à ma guise. Même après avoir été émondée, non seulement je ne me repentais pas, mais je continuais à réfléchir à mon avenir et à mon destin et j’avais peur d’être transférée. Je voyais clairement les problèmes, mais pour me protéger, je préférais retarder le travail plutôt que de signaler ces problèmes. Ce n’était pas faire un devoir, c’était compromettre le travail d’Église et faire le mal. Certaines des personnes que j’avais vues être renvoyées et éliminées protégeaient sans cesse leurs propres intérêts dans leur devoir. Quand des problèmes apparaissaient et qu’elles étaient émondées, elles ne consacraient guère d’efforts aux vérités-principes et se contentaient de se déguiser, devenant méfiantes vis-à-vis de Dieu et des dirigeants. Elles s’inquiétaient constamment d’être renvoyées et éliminées, elles vivaient sans cesse dans ce cycle de méchanceté. Leur relation avec Dieu n’était pas normale et elles n’obtenaient jamais de résultats dans leur devoir. Certaines faisaient même le mal et perturbaient le travail d’Église. Elles finissaient par être révélées et éliminées. J’ai pu voir, d’après leurs échecs, qu’une motivation correcte et un point de départ dans sa foi et son devoir, ainsi que le chemin que l’on choisit, étaient essentiels. Ces éléments affectaient directement leur fin et leur destination. Mon état, mon comportement et le chemin que je suivais étaient tous identiques à ceux de ces gens. Craignant sans cesse de commettre des erreurs dans mon devoir et d’être émondée, j’étais craintive et je me méfiais de Dieu, je m’accrochais inflexiblement à mes propres intérêts et à mon avenir, mais je cherchais rarement les vérités-principes pour résoudre les problèmes que j’avais et pour lesquels la dirigeante m’avait émondée. Si cela avait continué plus longtemps, non seulement je n’aurais pas fait de progrès dans mon devoir, mais cela aurait nui au travail et j’aurais laissé une transgression derrière moi. La nature et les conséquences de tout cela sont graves. Cela n’aurait pas été Dieu qui me révélait et m’éliminait, mais moi qui anéantissais mon propre avenir. À ce stade, j’ai compris ce que je devais absolument faire : ne pas m’inquiéter d’être renvoyée et éliminée, mais réfléchir vraiment aux problèmes que la dirigeante avait soulignés, faire l’effort de chercher les vérités-principes et en tenir compte, et faire tout mon possible pour suivre ces principes dans mon devoir. Si je n’obtenais pas de bons résultats alors que je faisais tout mon possible, et si j’étais renvoyée, alors je devrais encore me soumettre aux arrangements de Dieu.

Puis j’ai trouvé d’autres paroles de Dieu à pratiquer et dans lesquelles entrer. Les paroles de Dieu disent : « Votre destination et votre destin sont très importants pour vous ; ils sont des plus sérieuses préoccupations. Vous croyez que si vous ne faites pas les choses avec grand soin, cela voudra dire que vous n’aurez aucune destination, que vous aurez détruit votre propre destin. Mais ne vous est-il jamais venu à l’esprit que les gens qui déploient des efforts seulement dans l’intérêt de leur destination font des efforts en vain ? De pareils efforts ne sont pas authentiques : ils sont faux et trompeurs. Si c’est le cas, alors ceux qui ne travaillent que pour leur destination sont au seuil de leur défaite définitive, car l’échec dans la croyance des hommes en Dieu survient à cause de la tromperie. J’ai précédemment dit que Je n’aimais pas être flatté ou encensé, ou traité avec enthousiasme. J’aime les gens honnêtes qui font face à Ma vérité et à Mes attentes. Plus encore, J’aime que les gens soient capables de montrer le plus grand soin et la plus grande considération pour Mon cœur, et qu’ils puissent même tout abandonner à cause de Moi. C’est seulement de cette façon que Mon cœur peut être réconforté » (La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, Concernant la destination). « Les gens doivent aborder leurs devoirs et Dieu avec un cœur honnête. S’ils le font, ils seront de ceux qui craignent Dieu. Quel genre d’attitude envers Dieu ont les gens qui ont un cœur honnête ? Au minimum, ils ont un cœur qui craint Dieu, un cœur de soumission à Dieu en toutes choses, ils ne posent pas de question sur les bénédictions ou les malheurs, ils ne parlent pas de conditions, ils s’abandonnent à la merci des orchestrations de Dieu – voilà des gens avec un cœur honnête » (La Parole, vol. 3 : Discours de Christ des derniers jours, Seule la recherche des vérités-principes permet de bien accomplir son devoir). Dieu disait que les gens qui tiennent sans cesse compte de leur propre avenir et de leur destination dans leur devoir, et qui ne pensent qu’à leurs propres intérêts, ne sont pas sincères vis-à-vis de Dieu, mais se servent de Lui et trichent avec Lui. Ils dégoûtent Dieu et Dieu les déteste. Dieu aime les gens honnêtes qui ne se soucient pas des bénédictions ou des malédictions, qui ne posent pas de conditions et qui sont sincères dans leur devoir. Seul ce genre de personne obtient l’approbation de Dieu. Quand j’ai compris l’intention de Dieu, j’ai trouvé un chemin de pratique. Dans mon devoir, je devais me concentrer sur le fait d’essayer d’être une personne honnête, ouvrir mon cœur à Dieu et renoncer aux gains ou pertes personnels. Quand on m’émondait, quelle que soit l’attitude de la dirigeante à mon égard, et que je sois renvoyée ou non, je devais chercher les principes pour bien faire mon devoir, c’était la clef. À ce moment-là, la dirigeante m’avait principalement émondée parce que j’étais arrogante et suffisante, et que je faisais les choses à ma guise. Si ce problème n’était pas résolu, il était probable que je continuerais à agir ainsi. Alors j’ai résumé chacun des problèmes qui étaient apparus et je les ai comparés aux principes, les uns après les autres. Quand je ne comprenais pas quelque chose clairement, j’allais échanger avec les autres. Après ça, quand j’ai été confrontée à quelque chose dont je n’étais pas certaine, je ne me suis plus fait confiance aussi vite et j’ai cessé d’agir au gré de mes propres idées. Je priais Dieu et cherchais calmement les principes. Je discutais aussi avec des collaborateurs jusqu’à ce que nous parvenions à un consensus. Après avoir procédé ainsi un petit moment, moins d’erreurs sont apparues dans mon devoir. Quand je rencontrais des défis que je ne parvenais vraiment pas à relever, je demandais l’aide des dirigeantes supérieures. Un jour, alors que je me renseignais, je suis restée dans l’incertitude après qu’un dirigeant supérieur a terminé son échange. J’avais l’impression d’avoir encore des questions et je voulais les poser, mais j’avais peur, si ce n’étaient pas de bonnes questions, que ce dirigeant dise que j’ai un faible calibre et que je manquais de perspicacité. Juste au moment où j’hésitais, j’ai compris que je me souciais de nouveau de mes propres gains et pertes. J’ai commencé à prier Dieu, encore et encore, prête à pratiquer la vérité et à être une personne honnête. Que je voie le problème avec précision ou non, j’étais prête à corriger mes motivations et à gagner en clarté sur cet aspect de la vérité. Finalement, j’ai rassemblé mon courage pour poser mes questions. Après m’avoir écoutée, le dirigeant a dit que ces points posaient vraiment problème. Il a également échangé : « S’il y a encore quoi que ce soit qui n’est pas clair, qui n’a pas été pleinement résolu, tu dois en parler tout de suite. Cela aidera le travail de l’Église. » En entendant le dirigeant dire ça, j’ai été vraiment reconnaissante à Dieu et j’ai éprouvé la paix intérieure qui accompagne le renoncement aux intérêts personnels et le fait d’être une personne honnête.

Grâce à ces expériences, j’ai appris qu’être émondé nous était vraiment bénéfique. Être émondé peut être difficile sur le coup, mais désormais, je suis capable d’y faire face convenablement et je peux me soumettre, et chercher les vérités-principes pour résoudre mes problèmes. Ainsi, je me sens bien plus sereine.

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