Le fruit du prêche de l’Évangile
Par Patricia, Corée du SudEn septembre 2017, j’ai rencontré une chrétienne des Philippines, nommée Teresa, sur Internet. Elle disait que...
Nous accueillons tous les chercheurs qui désirent ardemment l'apparition de Dieu !
Je dirige une équipe d’abreuvement dans l’Église. Je pensais que quiconque voulait être un chef d’équipe qualifié et compétent devait tout prendre en charge lui-même, et je n’en attendais pas moins de moi-même. Aussitôt que je remarquais que quelque chose devait être fait dans notre équipe, je prenais l’initiative de le faire moi-même, quelle que soit son importance, y compris certaines affaires générales. Je prenais même en charge des tâches que mes frères et sœurs pouvaient faire, et disais généreusement : « Je vais m’en occuper. Tu n’as pas besoin de le faire. » Chaque fois que cela arrivait, j’éprouvais un inexplicable sentiment de fierté, et avais l’impression d’être un chef d’équipe attentionné et responsable. Au fil du temps, mes frères et sœurs ont commencé à venir me voir chaque fois qu’ils avaient un problème quelconque. Mon superviseur m’a également félicité car je passais de longues heures à accomplir mon devoir et parce que je pouvais endurer des difficultés et payer un prix. Entendre cela était très gratifiant, car cela me donnait l’impression d’être un chef d’équipe vraiment compétent.
Plus tard, de plus en plus de nouveaux croyants ont accepté l’œuvre de Dieu dans les derniers jours, et j’ai eu beaucoup plus de nouveaux arrivants à abreuver qu’auparavant. Outre me réunir avec les nouveaux croyants tous les jours, je les entraînais également, leur apprenais comment organiser des réunions, diffuser l’Évangile, et ainsi de suite. Mon emploi du temps était déjà très chargé, mais en plus de tout cela, les frères et sœurs de mon équipe d’abreuvement voulaient ma permission pour tout, même pour organiser des réunions pour les nouveaux croyants. Avec autant de choses à faire, j’étais souvent retenu par ces questions triviales, ce qui perturbait mon emploi du temps, et j’étais alors trop occupé pour faire mes dévotions. Même si, chaque jour, j’étais vraiment très occupé et jamais désœuvré, je n’assurais pas beaucoup le suivi des tâches prioritaires. Cela me rendait souvent anxieux, mais je ne savais pas quoi faire à ce sujet. Une fois, ma partenaire m’a demandé : « Tu dis toujours que tu es occupé, mais que fais-tu réellement tous les jours ? » Face à la question de ma sœur, je me suis senti très mécontent qu’elle ne compatisse pas. Plus tard, lorsque les frères et sœurs ont rencontré des problèmes en abreuvant des nouveaux croyants et qu’ils sont venus m’en parler, j’ai grommelé pour moi-même : « C’est un principe de base que les personnes chargées de l’abreuvement doivent maîtriser. Pourquoi venez-vous me voir pour résoudre des problèmes aussi simples ? Ne pouvez-vous pas apprendre à les résoudre vous-mêmes ? Est-ce parce que vous ne voulez pas faire d’effort ? » Je ne voulais plus m’occuper de ces questions, et je pensais que mes frères et sœurs devaient les gérer eux-mêmes, de façon indépendante. Mais, ensuite, je me suis dit : « Je suis le chef d’équipe. Si je ne m’occupe pas de ces problèmes et laisse plutôt les frères et sœurs les gérer, cela ne va-t-il pas discréditer ma valeur en tant que chef d’équipe ? Quelqu’un pourrait-il dire que je n’ai pas assumé mes responsabilités et que je me suis soustrait à mes devoirs ? Si la dirigeante s’en aperçoit, risque-t-elle de dire que je suis incompétent ? Tant pis. Si c’est quelque chose que je peux faire moi-même, alors, je le ferai. » La plupart du temps, je continuais donc de faire moi-même tout le travail de l’équipe, des tâches principales telles qu’organiser les réunions et résoudre les problèmes des nouveaux arrivants, aux tâches subalternes comme aider les frères et sœurs à passer des messages et trouver des gens pour s’occuper des affaires générales. Je m’empressais de faire ces choses, même si je n’en avais pas vraiment envie, afin que personne ne doute de moi en tant que chef d’équipe. Je ne saurais décrire à quel point parfois je me sentais épuisé à jongler avec tant de choses différentes en même temps. Tout ce que je pouvais faire était de me consoler en me disant : « Après tout, je suis chef d’équipe. Les chefs d’équipe doivent être disposés à travailler dur. » Et ainsi, je continuais à prendre tout en charge, aussi bien des choses importantes que des choses insignifiantes, et je vivais dans un état d’affairement perpétuel. Même si le fait d’être extrêmement occupé tous les jours me valait l’admiration et l’approbation de certains de mes frères et sœurs, je n’avais ni paix ni joie dans le cœur. J’avais toujours l’impression de faire n’importe quoi dans mon devoir, et je n’avais pas le temps de faires les tâches primordiales, car j’étais submergé par des questions triviales.
Une fois, j’ai fait part de mes difficultés à la dirigeante, et ce n’est qu’après son échange que j’ai gagné certains principes de pratique. Elle m’a demandé : « Ne prends-tu pas en charge un peu trop de travail ? Si tu ne laisses pas les frères et sœurs faire leur propre travail et qu’au lieu de cela, tu assumes tout, tu seras forcément très occupé. Tu peux les laisser pratiquer à faire certaines des tâches les moins importantes. Même s’ils ne les font pas bien, cela n’aura pas un impact important sur le travail de l’Église. Si c’est vraiment un travail que personne d’autre ne peut faire, alors tu dois t’en charger. Mais si d’autres personnes peuvent le faire, et que tu ne les laisses pas essayer ou que tu ne leur laisses pas l’occasion de pratiquer, et qu’au lieu de cela, tu prends tout en charge, n’est-ce pas les sous-estimer et essayer de te mettre en avant ? C’est un déversement de corruption. » En ce qui concerne mon état, son échange a tapé dans le mille. J’avais toujours pensé que le fait d’en faire davantage montrait que je portais un fardeau, mais je n’avais jamais réfléchi à la question de savoir si mes actions étaient basées sur les principes, ou si elles étaient altérées. Lorsque j’y ai réfléchi, ma motivation secrète de tout assumer dans mon devoir était de me mettre en avant plutôt que de porter un fardeau. Dans certains cas, ce n’était pas que les autres ne pouvaient pas faire une tâche ou qu’ils n’avaient pas le temps, mais c’était plutôt que je pensais que plus j’en faisais, plus tout le monde m’approuverait et dirait que je suis un chef d’équipe compétent qui est responsable et porte un fardeau dans son devoir. Je considérais le fait de faire mon devoir comme un moyen de gagner l’admiration des autres. J’étais « occupé » et « portais un fardeau » afin de montrer ma valeur en tant que chef d’équipe et gagner une place dans le cœur des autres. Comme j’avais les mauvaises intentions dans mon devoir et que je voulais toujours protéger mon statut, une grande partie du travail de l’équipe reposait sur mes épaules, et mes frères et sœurs n’avaient aucune opportunité de pratiquer. Et comme il y avait une limite à ce que je pouvais faire, certaines tâches essentielles avaient fini par être retardées, ce qui a nui au travail de l’Église et à la vie de mes frères et sœurs.
Plus tard, après avoir lu les paroles de Dieu, j’ai gagné une certaine compréhension quant à mes problèmes. Dieu Tout-Puissant dit : « Certaines personnes témoignent à leur propre sujet en utilisant le langage et prononcent des paroles pour se mettre en avant, tandis que d’autres utilisent des comportements. Quelles sont les manifestations d’une personne qui utilise des comportements pour témoigner à son propre sujet ? En surface, ils adoptent des comportements plutôt conformes aux notions des gens, qui attirent l’attention des gens, et qui sont considérés par les gens comme assez nobles et plutôt conformes aux normes morales. Ces comportements font croire aux gens qu’ils sont honorables, qu’ils ont de l’intégrité, qu’ils aiment vraiment Dieu, qu’ils sont très pieux, et qu’ils possèdent vraiment un cœur qui craint Dieu, et qu’ils sont quelqu’un qui poursuit la vérité. Ils affichent souvent de bons comportements en apparence afin de fourvoyer les gens : cela n’a-t-il pas aussi l’odeur nauséabonde du fait de s’exalter et de se rendre témoignage à soi-même ? D’habitude, les personnes s’exaltent et se rendent témoignage à elles-mêmes par le biais de paroles, en utilisant un discours clair pour exprimer en quoi elles sont différentes des masses, et en quoi elles ont des opinions plus sages que les autres, pour que les gens les tiennent en haute estime et les admirent. Cependant, il existe des méthodes qui n’impliquent pas de discours explicite, où les personnes utilisent plutôt des pratiques externes pour témoigner qu’elles sont meilleures que d’autres. Ce genre de pratiques sont bien réfléchies, elles portent en elles une motivation et une certaine intention, et elles sont tout à fait délibérées. Elles ont été enveloppées et traitées pour que les gens voient des comportements et des pratiques qui sont en accord avec les notions de l’homme, qui sont nobles, pieux et conformes à la sainte décence, et qui sont même aimants de Dieu, craignant Dieu et en accord avec la vérité. Cela remplit le même objectif que de s’exalter et de se rendre témoignage à soi-même, et de faire en sorte que les gens les tiennent en haute estime et les adorent. Avez-vous déjà fait face ou vu une telle chose ? Possédez-vous ces manifestations ? Ces choses et ce sujet dont Je discute sont-ils séparés de la vie réelle ? En fait, ils ne le sont pas. […] Certaines personnes boivent du café pour avoir plus d’énergie le soir afin de se préparer à veiller tard pour faire leurs devoirs. Les frères et sœurs s’inquiètent pour leur santé et leur préparent un bouillon de poulet. Quand ils finissent le bouillon, ces personnes disent : “Grâce à dieu ! J’ai joui de la grâce de dieu. Je ne le mérite pas. Maintenant que j’ai terminé ce bouillon de poulet, je dois être plus efficace pour faire mes devoirs !” En réalité, ils continuent à faire leur devoir comme d’habitude, sans améliorer du tout leur efficacité. Ne font-ils pas semblant ? Ils font semblant, et ce type de comportement c’est aussi, subrepticement, s’exalter et se rendre témoignage à soi-même ; le résultat obtenu est de faire en sorte que les gens les approuvent, les tiennent en haute estime et deviennent leurs adeptes inconditionnels. Si les gens ont ce genre de mentalité, n’ont-ils pas oublié Dieu ? Ils n’ont plus Dieu dans leur cœur, alors, à qui pensent-ils jour et nuit ? Il est leur “bon dirigeant”, leur “bien-aimé”. Certains antéchrists sont en apparence très affectueux envers la plupart des gens, et ils emploient des techniques quand ils parlent, afin que les gens voient qu’ils sont aimants et qu’ils veuillent se rapprocher d’eux. Ils font un grand sourire à tous ceux qui s’approchent d’eux et entrent en contact avec eux, et ils parlent à ces personnes avec un ton très doux. Même s’ils voient que certains frères et sœurs ont été dépourvus de principes dans leurs actions, et ont ainsi nui aux intérêts de l’Église, ils ne les émondent pas le moins du monde, ils les exhortent simplement et les réconfortent, et les amadouent quand ils font leurs devoirs : ils amadouent les gens, et les amadouent, jusqu’à ce qu’ils aient rallié tout le monde devant eux. Les gens sont peu à peu émus par ces antéchrists ; tout le monde approuve leur cœur aimant et les qualifie de personnes qui aiment Dieu. Finalement, tout le monde les adore et cherche leur échange sur toutes les questions, racontant à ces antéchrists toutes leurs pensées et leurs sentiments les plus intimes, au point qu’ils ne prient même plus Dieu ou ne cherchent plus la vérité dans les paroles de Dieu. Ces personnes n’ont-elles pas été fourvoyées par ces antéchrists ? Il s’agit d’un autre moyen utilisé par les antéchrists pour fourvoyer les gens. Lorsque vous vous impliquez dans ces comportements et ces pratiques, ou que vous entretenez ces intentions, êtes-vous conscients qu’il y a un problème à ce sujet ? Et quand tu en prends conscience, peux-tu changer le cours de tes actions ? Si tu peux réfléchir sur toi-même et ressentir de vrais remords lorsque tu en prends conscience et examiner que ton comportement, tes pratiques ou tes intentions sont problématiques, cela prouve que tu as changé de cap » (La Parole, vol. 4 : Exposer les antéchrists, Point 4 : Ils font leur propre éloge et témoignent à leur propre sujet). Grâce à la révélation des paroles de Dieu, j’ai compris qu’en apparence, les gens adoptent divers « bons » comportements conformes aux notions de l’homme afin de gagner l’admiration et l’appréciation des autres, mais en essence, ces comportements sont simplement un moyen de s’exalter et de témoigner de soi-même en cachette, ce qui est très hypocrite et peut aisément induire les gens en erreur. Lorsque j’y ai réfléchi, j’ai vu que j’étais ce genre de personne. En apparence, j’avais l’air occupé à accomplir mon devoir chaque jour, à endurer des difficultés, à payer un prix et à prendre tout en charge. J’avais l’air d’un chef d’équipe qualifié et compétent. Mais derrière tout cela, je nourrissais mon propre dessein secret et méprisable qui était de gagner l’admiration des gens. J’ai pensé au fait que les frères et sœurs, quand ils faisaient leurs devoirs, venaient m’interroger sur toutes sortes de sujets, aussi bien des sujets importants que des sujets triviaux, et au fait qu’ils comptaient sur moi pour tout résoudre. Le fait est qu’ils auraient pu discuter et résoudre certains de ces problèmes sans ma contribution. Mais penser que tout le monde me faisait confiance et m’admirait m’a poussé à mettre de côté nos priorité en matière de travail et à tout faire moi-même, même si je n’avais pas le temps, uniquement pour protéger ma fierté et mon statut. Parfois, si je sautais un repas pour organiser une réunion pour des nouveaux croyants, mes sœurs me pressaient d’aller manger. En fait, je me réjouissais secrètement à l’idée qu’elles me voient trop occupé par mes devoirs pour manger. Je me disais qu’elles devaient m’admirer et penser que je pouvais vraiment endurer des difficultés et payer un prix, et que j’étais un chef d’équipe compétent. Comme j’étais « occupé », je jouissais également de toutes sortes de « privilèges » et je gagnais la compassion des autres, ce que j’utilisais pour dissimuler certaines de mes déviations et de mes insuffisances. Par exemple, si je n’écrivais pas un article de témoignage d’expérience de vie, je me justifiais en me disant que j’étais trop occupé. Lorsque certaines tâches de l’équipe dont j’étais responsable n’étaient pas faites à temps, je me complaisais et je disais que c’était parce que j’étais trop occupé. Et lorsque des déviations et des erreurs apparaissaient dans mon devoir et que je n’obtenais pas de bons résultats dans l’abreuvement des nouveaux croyants, je servais les même excuses aux frères et sœurs afin qu’ils fassent preuve d’indulgence à mon égard. Et simplement comme ça, je restais occupé toute la journée et montrais aux gens que j’étais un bon chef d’équipe avec un emploi du temps chargé. Non seulement j’étais apprécié par mon superviseur, mais certains frères et sœurs m’admiraient et comptaient sur moi. Et pourtant, en même temps, je dissimulais aussi les déviations et les erreurs dans mon travail. Mes intentions étaient vraiment méprisables ! J’ai réfléchi à la raison pour laquelle les frères et sœurs aimaient venir me voir chaque fois qu’ils rencontraient des problèmes et s’en remettaient à moi pour tout faire. C’était principalement parce que j’essayais de tout prendre en charge. Mes frères et sœurs m’admiraient, j’avais une place dans leur cœur, et chaque fois qu’ils rencontraient des problèmes, ils ne priaient pas Dieu et ne se fiaient pas à Lui. Ils ne cherchaient pas non plus les vérités-principes, ils se contentaient de venir me demander mon avis. À être ainsi occupé, je ne faisais vraiment qu’agir de façon obstinée, je me mettais en avant, gagnais le cœur des gens et les éloignais de Dieu en cachette.
À cette époque, j’ai pensé à un passage des paroles de Dieu que j’avais lu un jour : « Certaines personnes semblent assez enthousiastes dans leur croyance en Dieu. Elles aiment s’occuper et se préoccuper des affaires de l’Église, et elles prennent toujours de l’avance. Et pourtant, de façon inattendue, elles déçoivent tout le monde une fois qu’elles ont un poste de dirigeant. Elles ne se concentrent pas sur la résolution des problèmes concrets du peuple élu de Dieu, mais font tout leur possible pour agir au nom de leur propre réputation et de leur statut. Elles aiment se mettre en valeur pour que les autres les estiment, et elles parlent toujours de la façon dont elles se dépensent et souffrent pour Dieu, mais elles ne mettent pas leurs efforts dans la poursuite de la vérité et de leur entrée dans la vie. Ce n’est pas ce que l’on attend d’elles. Bien qu’elles s’occupent de leur travail, se mettent en valeur dès que l’occasion se présente, prêchent des formules et des doctrines, gagnent l’estime et l’adoration de certaines personnes, fourvoient le cœur des gens et consolident leur statut, qu’en est-il en fin de compte ? Indépendamment du fait que ces personnes utilisent de petites faveurs pour soudoyer les autres, ou exhibent leurs dons et leurs capacités, ou utilisent diverses méthodes pour fourvoyer les gens et ainsi gagner une opinion favorable de leur part, quelle que soit la méthode qu’elles utilisent pour rallier le cœur des gens et y occuper une place, qu’ont-elles perdu ? Elles ont perdu l’occasion de gagner la vérité tout en faisant les devoirs d’un dirigeant. En même temps, en raison de leurs diverses manifestations, elles ont également accumulé des actes malfaisants qui mèneront à leur résultat final. Indépendamment du fait qu’elles utilisent de petites faveurs pour soudoyer et piéger les gens, ou qu’elles s’exhibent, ou qu’elles utilisent des façades pour fourvoyer les gens, et peu importe le nombre d’avantages et combien de satisfaction elles semblent obtenir extérieurement en faisant cela, en le regardant maintenant, est-ce que ce chemin est correct ? Est-ce le chemin de la poursuite de la vérité ? Est-ce le chemin qui peut conduire au salut ? Il est clair que non. Quel que soit le degré d’intelligence de ces méthodes et de ces ruses, elles ne pourraient pas tromper Dieu et elles sont toutes condamnées et détestées par Dieu, en définitive, car derrière de tels comportements se dissimulent l’ambition de l’homme et une attitude et une essence d’opposition envers Dieu. Dans le cœur de Dieu, Il ne reconnaîtrait absolument jamais ces personnes comme étant celles qui font leurs devoirs, et Il les définirait plutôt comme des malfaiteurs. Quel est le verdict que rend Dieu quand Il S’occupe de malfaiteurs ? “Retirez-vous de moi, vous qui commettez l’iniquité.” Quand Dieu dit : “Retirez-vous de moi”, où veut-Il que ces gens aillent ? Il les livre à Satan, là où habitent les foules de Satan. Quelle est la conséquence finale pour eux ? Ils sont tourmentés à mort par les esprits malfaisants, ce qui veut dire qu’ils sont dévorés par Satan. Dieu ne veut pas ces gens, ce qui signifie qu’Il ne les sauvera pas, ils ne sont pas les brebis de Dieu, et encore moins Ses disciples, et ils ne font donc pas partie de ceux qu’Il sauvera. C’est ainsi que ces gens sont définis par Dieu. Donc, quelle est au juste la nature d’une personne qui essaie de rallier le cœur des gens ? C’est emprunter le chemin d’un antéchrist ; c’est un comportement et l’essence d’un antéchrist. L’essence d’une personne qui rivalise avec Dieu au sujet de Son peuple élu est encore plus grave ; de telles personnes sont les ennemies de Dieu. Voici comment les antéchrists sont définis et catégorisés et c’est totalement exact » (La Parole, vol. 4 : Exposer les antéchrists, Point 1 : Ils essaient de rallier les gens à leur cause). Les paroles de Dieu ont révélé mon problème de façon exacte. Depuis que j’étais devenu chef d’équipe, j’avais essayé de tout prendre en charge. En apparence, j’étais un chef d’équipe compréhensif et attentionné qui aidait activement ses frères et sœurs à faire tout ce qui devait être fait, mais mon intention et mon objectif véritables étaient de faire des choses qui servaient ma propre réputation et mon propre statut et de gagner le cœur et l’admiration des gens. C’était une sorte d’imposture et de tromperie ! J’étais exactement comme les fonctionnaires du grand dragon rouge, qui trompent les personnes ordinaires en faisant un peu de travail, uniquement pour se faire bien voir sous le prétexte de « servir le peuple », afin que ces personnes les vénèrent et chantent leurs louanges. J’étais exactement pareil : en apparence, j’étais occupé à accomplir mon devoir, mais je voulais secrètement que les gens pensent que je travaillais dur, et je voulais qu’ils m’admirent et me vénèrent. Comme j’avais tout assumé tout seul, personne d’autre n’avait eu l’occasion de pratiquer dans ses devoirs. Néanmoins, ils m’admiraient tout de même, à tel point que, chaque fois qu’ils rencontraient un problème, ils ne cherchaient pas Dieu pour le résoudre mais comptaient plutôt sur moi. Ils n’avaient pas de place pour Dieu dans leur cœur. Je n’accomplissais pas du tout mon devoir correctement ! Je faisais clairement le mal et je suivais le chemin des antéchrists ! J’ai prié Dieu et Lui ai demandé de me guider dans la recherche des vérités-principes pour résoudre mes problèmes et cesser d’agir selon mon tempérament corrompu.
Plus tard, j’ai lu un autre passage des paroles de Dieu : « Dans l’accomplissement de ton devoir, tu n’es pas tenu de tout assumer toi-même, tu n’es pas non plus tenu de te tuer à la tâche, ni d’être “le seul à t’épanouir”, ni de te démarquer : au lieu de cela, tu es tenu d’apprendre à coopérer avec les autres en harmonie et de faire tout ton possible, d’assumer tes responsabilités, de déployer toute ton énergie. Voilà ce que signifie accomplir ton devoir. Accomplir ton devoir, c’est brandir toute la puissance et toute la lumière dont tu disposes pour arriver à un résultat. C’est suffisant. N’essaie pas de toujours te mettre en valeur, de toujours prononcer des paroles grandiloquentes, de faire les choses tout seul. Tu dois apprendre à travailler avec les autres et tu dois t’attacher davantage à écouter les suggestions des autres et à découvrir leurs points forts. De cette façon, coopérer en harmonie devient facile. Si tu essaies toujours de te mettre en valeur et de faire passer ce que tu dis, tu ne coopères pas en harmonie. Que fais-tu ? Tu crées une perturbation et tu discrédites les autres. Provoquer une perturbation et discréditer les autres, c’est jouer le rôle de Satan : ce n’est pas l’accomplissement du devoir. Si tu fais toujours des choses qui perturbent et discréditent les autres, alors, quels que soient les efforts que tu déploieras et les soins que tu prendras, Dieu ne S’en souviendra pas. Tu n’es peut-être pas très fort, mais si tu es capable de travailler avec les autres et d’accepter des suggestions appropriées, et si tu as les bonnes intentions et que tu peux protéger le travail de la maison de Dieu, alors tu es une personne qui a raison. Parfois, avec une seule phrase, tu peux résoudre un problème et apporter quelque chose à tout le monde ; parfois, lorsque tu as échangé sur une seule déclaration de la vérité, les gens ont tous un chemin de pratique et sont capables de travailler ensemble harmonieusement, tous s’efforcent d’atteindre un objectif commun et partagent les mêmes points de vue et opinions, et ainsi le travail est particulièrement efficace. Même si personne ne se rappelle que tu as joué ce rôle et que tu n’as pas l’impression d’avoir fait beaucoup d’efforts, Dieu verra que tu es une personne qui pratique la vérité, une personne qui agit selon les principes. Dieu Se rappellera que tu l’as fait. C’est là ce qu’on appelle accomplir son devoir loyalement » (La Parole, vol. 3 : Discours de Christ des derniers jours, Le bon accomplissement de son devoir requiert une coopération harmonieuse). Grâce à ces paroles de Dieu, j’ai compris mes problèmes de façon claire et j’ai trouvé quelques chemins de pratique. Si je voulais accomplir mon devoir correctement, je devais apprendre à me coordonner harmonieusement avec les autres et m’efforcer de leur permettre de faire usage de leurs points forts. Il y a des limites à ce qu’une seule personne peut accomplir. Personne n’est capable de faire tout le travail tout seul. Nous ne pouvons obtenir de bons résultats dans nos devoirs que lorsque nous sommes d’un seul cœur et d’un seul esprit et quand nos points forts respectifs sont mis à contribution. Ce n’est que lorsque les gens ont les bonnes intentions, à savoir protéger le travail de l’Église, qu’ils accomplissent leurs devoirs en accord avec les intentions de Dieu. C’est bien plus efficace qu’une personne prenant en charge tout le travail. Dans le passé, je m’étais non seulement épuisé à courir à droite à gauche et à essayer d’être la seule étoile à briller, mais j’avais également fait n’importe quoi dans mes devoirs. Les points forts de mes frères et sœurs n’avaient pas été utilisés, et beaucoup de travaux importants avaient été retardés. En comparant la révélation des paroles de Dieu à mon propre comportement, j’ai finalement compris pourquoi Dieu dit que se mettre toujours en avant dans son devoir et ne pas coopérer harmonieusement avec les autres perturbe le travail de l’Église.
Après cela, j’ai sciemment mis les paroles de Dieu en pratique. J’ai réparti le travail de façon logique. J’ai principalement assumé la responsabilité du suivi des tâches essentielles, et j’ai attribué les autres tâches aux frères et sœurs appropriés, en me basant sur leurs domaines d’expertise. Lorsque les autres rencontraient des problèmes qu’ils ne pouvaient pas résoudre, nous cherchions les principes tous ensemble. Une fois que les frères et sœurs comprenaient les principes, ils avaient naturellement une direction et un chemin pour accomplir leurs devoirs. À présent que j’ai mis les paroles de Dieu en pratique pendant un certain temps, je constate que mes frères et sœurs portent davantage un fardeau dans leurs devoirs. Ils sont capables de prendre des initiatives et de chercher les principes pour résoudre certains problèmes, et ils peuvent finir certaines tâches de façon indépendante en se fiant à Dieu. Parfois, quand je rencontre des difficultés dans les tâches dont je suis responsable, je demande également de l’aide à mes frères et sœurs, et j’en retire beaucoup. Notre équipe a obtenu des résultats de plus en plus satisfaisants en coopérant de la sorte. Les frères et sœurs sont capables de pratiquer à des degrés divers, et ils ont fait des progrès. Je me sens beaucoup plus détendu et en paix. Petit à petit, j’ai commencé à trouver le temps de réfléchir sur les problèmes dans mon propre travail, et j’ai recommencé à écrire normalement des articles de témoignage d’expérience. Je n’ai plus l’air aussi occupé qu’avant, mais je trouve qu’il est plus facile d’identifier les déviations et les problèmes dans le travail, et je suis devenu plus efficace dans mon devoir.
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