Le choix d’un fonctionnaire du gouvernement
Par Xin Sheng, ChineMon père avait enfreint la loi et il avait été arrêté avant ma naissance. Comme une chose de ce genre était vraiment...
Nous accueillons tous les chercheurs qui désirent ardemment l'apparition de Dieu !
Mes parents sont décédés alors que j’étais encore jeune. Il y avait beaucoup de frères et sœurs à la maison, nous étions très pauvres, et les voisins nous méprisaient tous. Parfois, quand j’allais jouer avec les enfants des voisins, ces derniers trouvaient toujours une excuse pour me mettre à la porte. Je me sentais très triste et je pensais que les gens nous méprisaient parce que nous étions pauvres. Un printemps, alors que le temps commençait à se réchauffer, je n’avais pas de vêtements de saison pour me changer, alors je continuais à porter une veste et un pantalon en coton dont le rembourrage sortait. Quand je me promenais en public, les gens me montraient du doigt, en disant : « Regarde cette pauvre enfant sans mère ! » Je me sentais tellement envieuse de voir les autres bien manger et bien s’habiller, et je pensais : « Quand je serai grande, je vais gagner beaucoup d’argent, ainsi, je pourrais manger et m’habiller comme je veux et ne plus jamais être méprisée. » Plus tard, je me suis mariée, mais la famille de mon mari était aussi pauvre. Les proches et les voisins nous méprisaient, mais je pensais : « Tant que nous travaillons dur, nous pouvons sûrement changer notre situation et nous enrichir. » Mon mari et moi avons fait des petits boulots, monté de petites entreprises, et fait du commerce de produits agricoles. Peu importe ce que c’était, dès qu’on entendait parler d’un moyen de gagner de l’argent, on l’essayait. Mais après quelques années, nous arrivions tout juste à joindre les deux bouts pour survivre et n’avions pas beaucoup d’économies. Un jour, pendant un repas avec des amis, l’un d’eux s’est moqué de nous : « Ce n’est pas que je vous méprise, mais même si vous travaillez encore dix ans, vous ne vivrez jamais comme je vis maintenant ! » Ses mots m’ont mise tellement en colère. C’était comme si j’avais reçu une gifle, et mon visage brûlait. J’ai pensé : « Tu ferais bien de te taire. Comme on dit : “La pauvreté n’a pas de racines, et la richesse n’a pas de graines.” La richesse et la pauvreté ne sont pas gravées dans la pierre et tant que nous travaillons dur, nous ne serons pas pauvres éternellement ! » J’ai dit à mon mari : « Nous ne devons pas permettre que cela nous abatte, nous devons le surpasser et lui faire admettre qu’il avait tort. »
Plus tard, nous avons emprunté de l’argent pour lancer un commerce de gros en produits divers. Pour satisfaire nos clients, nous livrions les marchandises à leur porte, et mon mari et moi transportions les marchandises et vendions en porte-à-porte. Pour attirer les clients, nous leur vendions à bas prix ou à crédit. Certains clients disaient des choses désagréables, mais pour gagner de l’argent, il nous fallait simplement continuer à sourire. Je travaillais au moins dix heures par jour, et dans la journée, j’étais tellement fatiguée que je ne pouvais m’empêcher de somnoler, mais malgré cela, je ne m’autorisais aucun repos. À mesure que le commerce se développait, nous avons élargi nos activités. Pour économiser, nous n’avions recruté aucune aide, et nous faisions tout le chargement et le déchargement nous-mêmes. À la fin de chaque journée, nous étions tellement épuisés que nous n’avions même plus la force de parler. Après plusieurs années à vivre ainsi, nous avons finalement gagné de l’argent, remboursé nos prêts et acheté un véhicule de livraison. Nous avons même construit une maison et nous sommes devenus quelque peu célèbres dans notre quartier. Les proches et les amis nous admiraient et nous félicitaient pour notre habileté et notre compétence. Tous ces éloges de la part des amis et de la famille me rendaient fière, et je pensais : « L’époque où les gens me regardaient de haut est enfin terminée, et maintenant, je peux marcher la tête haute devant les autres. C’est génial d’avoir de l’argent ! Tant que je suis encore jeune et en forme pour travailler, je veux gagner encore plus d’argent, acheter une plus belle maison et une voiture plus luxueuse, et vivre une vie supérieure qui fera que les gens m’admireront davantage ! » Après cela, j’ai travaillé encore plus dur, et j’étais tellement occupée que je n’avais même pas le temps de prendre des repas réguliers. Lorsque j’étais allongée dans mon lit la nuit, mon esprit continuait de tourner autour des affaires, et parfois, je passais toute la nuit sans pouvoir dormir et même les somnifères ne m’aidaient pas. Avant même que le soleil ne se lève, je recevais des appels pour des livraisons, et je me précipitais pour les faire. J’étais sur les nerfs tous les jours. Parce que certains produits étaient inflammables, parfois, lorsque je dormais la nuit et que les phares des voitures éclairaient la maison, je pensais qu’un incendie s’était déclaré, je me levais d’un bond et me précipitais dehors pour vérifier s’il y avait le feu. Mes nerfs étaient constamment à vif, et vivre ainsi était épuisant. Mais lorsque je voyais combien d’argent j’avais gagné, je me sentais heureuse et je pensais à quel point je voulais gagner encore plus d’argent pour faire honte à ceux qui m’avaient méprisée.
Un jour, alors que mon mari n’était pas à la maison, j’ai déchargé un gros camion de marchandises toute seule, et cette nuit-là, j’ai eu très mal au dos pendant que je dormais. Le matin suivant, j’avais tellement mal au dos que je ne pouvais même pas me pencher, et il m’était même difficile de marcher. Je suis allée à l’hôpital et le médecin m’a diagnostiqué une hernie discale. Il m’a dit que je devais me reposer et que je ne pouvais plus faire de travaux lourds et que si je forçais à nouveau, cela pourrait empirer et éventuellement mener à une paralysie. Les paroles du médecin m’ont terrifiée. J’ai pensé à confier l’entreprise à mon mari et à me reposer un moment, mais ensuite, je me suis souvenue combien mon mari était négligent. Il ne se souciait pas des prix d’achat ou des prix de détail des produits du magasin, et sans moi, le magasin ne pouvait pas fonctionner. Le commerce marchait si bien que manquer même une journée signifiait perdre beaucoup d’argent. J’ai pensé que je continuerais tant que je le pouvais et que je m’arrêterais quand je finirais par m’effondrer. Alors, j’ai continué à travailler tout en intégrant des traitements chaque fois que je pouvais. Plus tard, j’ai développé une maladie cardiaque, des fibromes utérins, une rhinite allergique, et une neurasthénie. Parfois, je ne pouvais pas dormir de la nuit, je devenais très irritable, tout et tout le monde autour de moi m’énervaient, et je m’emportais souvent. Même si j’avais de l’argent, le tourment de la maladie me donnait l’impression que la vie ne valait pas la peine d’être vécue. Un souvenir qui me revient particulièrement est celui de la veille du Festival de printemps, alors qu’il était déjà très tard. Toutes les boutiques de la rue étaient fermées, et il ne restait que moi dans toute la rue. J’ai vu un gros tas de marchandises devant le magasin qu’il fallait rentrer à l’intérieur, mais j’étais tellement épuisée que je n’avais même plus la force de marcher. J’étais submergée par une vague de solitude et de désolation et je me sentais écrasée par la rudesse et la fatigue de cette vie. Avec des larmes dans les yeux, j’ai regardé le ciel et j’ai crié : « Oh, Ciel ! Je suis tellement fatiguée de vivre ainsi. La vie se résume-t-elle vraiment à gagner de l’argent ? Quel est le véritable but de la vie ? »
Alors que je luttais dans cette douleur et cette confusion, au printemps 2014, ma fille, qui venait d’accepter l’œuvre de Dieu des derniers jours, m’a prêché l’Évangile de Dieu Tout-Puissant des derniers jours. À ce moment-là, j’ai lu un passage des paroles de Dieu qui a profondément touché mon cœur. Dieu Tout-Puissant dit : « Le Tout-Puissant est miséricordieux envers ces personnes qui ont profondément souffert. Pendant ce temps, Il éprouve de l’aversion pour celles qui n’ont absolument aucune conscience, car Il a dû attendre trop longtemps la réponse des gens. Il souhaite chercher, chercher ton cœur et ton esprit et t’apporter de l’eau et de la nourriture, afin que tu te réveilles et que tu n’aies plus soif ni faim. Quand tu es las et que tu commences à ressentir quelque peu la morosité de ce monde, ne sois pas perdu, ne pleure pas. Dieu Tout-Puissant, le Veilleur, accueillera ton arrivée à tout moment. Il veille à tes côtés, attendant que tu te retournes. Il attend le jour où tu retrouveras tout à coup la mémoire : quand tu t’apercevras que tu viens de Dieu, mais qu’à un moment inconnu, tu as perdu ta direction, qu’à un moment inconnu, tu as perdu conscience en route et qu’à un moment inconnu, tu as acquis un “père” ; quand tu réaliseras en outre que le Tout-Puissant est là depuis le début, veillant et attendant ton retour depuis très, très longtemps. Il surveille avec une soif désespérée, attendant une réaction sans obtenir de réponse. Sa surveillance et Son attente n’ont pas de prix, et elles sont pour le bien du cœur et de l’esprit humains. Peut-être cette surveillance et cette attente sont-elles infinies, ou peut-être sont-elles terminées. Mais tu devrais savoir où sont exactement ton cœur et ton esprit maintenant » (La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, Les soupirs du Tout-Puissant). Après avoir lu les paroles de Dieu, j’ai été profondément émue, et je n’ai pas pu m’empêcher de pleurer. Il s’est avéré que Dieu avait toujours été à mes côtés et attendait que je revienne. Je m’étais épuisée et rendue malade en poursuivant l’argent. Je passais mes journées sur les nerfs et ma vie me semblait tellement douloureuse et vide. Dieu a utilisé ma fille pour me prêcher l’Évangile, ce qui m’a permis d’entendre la voix de Dieu et de revenir vers la maison de Dieu. À ce moment-là, j’avais l’impression d’être revenue aux côtés de mes parents et mon cœur était rempli de paix, de tranquillité et d’un sentiment d’avoir quelqu’un sur qui s’appuyer.
Après avoir trouvé Dieu, mon état mental s’est progressivement amélioré et peu à peu, mon rythme cardiaque est revenu à la normale. Ma rhinite allergique s’est également améliorée, et je pouvais dormir la nuit. Je savais que Dieu avait retiré ma maladie et mon cœur était rempli de gratitude envers Dieu. Plus tard, j’ai été chargée du devoir d’abreuvement des nouveaux venus dans l’Église. De cette manière, je faisais mon devoir tout en gérant mon commerce, mais la majorité du temps, mon cœur était encore concentré sur mon entreprise et je pensais que cela allait tant que cela ne retardait pas les réunions avec les nouveaux venus. Parfois, la veille d’une réunion, des clients venaient chercher des marchandises et pour vendre davantage, je leur montrais encore plus de produits. Lorsque je rentrais à la maison, il était déjà très tard, j’étais tellement fatiguée que j’avais mal partout et je m’endormais en priant à genoux. Parce que je ne m’étais pas bien reposée, je me sentais somnolente pendant les réunions avec les nouveaux venus le lendemain. À cette époque, une sœur que j’abreuvais était également occupée avec son commerce. Elle arrivait toujours en retard aux réunions, mais je parlais seulement de formules et de doctrines avec elle sans résoudre son état. Parfois, pendant les réunions, je pensais à me dépêcher de rentrer à la maison pour livrer des marchandises aux clients et je craignais qu’en retardant une livraison, les clients n’en voudraient plus. Mon cœur ne trouvait pas de repos et je voulais juste que les réunions se terminent rapidement. Une autre fois, mon mari est parti en ville pour acheter des marchandises et il s’est absenté pendant plusieurs jours. Pendant ces jours-là, je devais abreuver les nouveaux venus et si je sortais pour faire mon devoir, le magasin devait fermer. Je pensais : « Je peux gagner plus de mille yuans par jour. Combien d’argent vais-je perdre si je ferme le magasin pendant plusieurs jours ? » Alors, j’ai dit sournoisement à la dirigeante : « Si je garde le magasin fermé, les voisins commenceront à suspecter que je crois en Dieu et cela pourrait causer un risque pour la sécurité. » Alors, j’ai demandé à la dirigeante d’héberger les réunions pour les nouveaux venus à ma place. Un soir, après le dîner, je me suis soudain sentie étourdie et j’ai ressenti une gêne dans l’estomac, ce qui m’a fait vomir tout ce que je venais de manger. Au début, j’ai pensé que c’était peut-être dû à quelque chose que j’avais mangé, mais après avoir vomi, les étourdissements se sont aggravés. Mon mari m’a emmenée à l’hôpital et j’ai continué à prier Dieu dans mon cœur : « Dieu, Tu as permis que cette maladie s’abatte sur moi aujourd’hui. S’il Te plaît, éclaire-moi pour que je puisse comprendre Ton intention et voir où je me suis trompée. Je suis disposée à me repentir. »
Dans ma recherche, j’ai pensé à un passage des paroles de Dieu : « Si Je déposais maintenant de l’argent devant vous et que Je vous laissais la liberté de choisir – sans vous condamner pour votre choix –, la plupart d’entre vous choisiraient l’argent et renonceraient à la vérité. Les meilleurs d’entre vous renonceraient à l’argent et choisiraient la vérité à contrecœur, tandis que ceux qui se trouvent entre les deux prendraient l’argent dans une main et la vérité dans l’autre. Votre vrai visage ne deviendrait-il pas alors évident ? Au moment de choisir entre la vérité et n’importe quelle chose à laquelle vous êtes fidèles, vous feriez tous ce choix et votre attitude resterait la même. N’est-ce pas le cas ? N’êtes-vous pas nombreux à avoir oscillé entre le bien et le mal ? Dans toutes les luttes entre le positif et le négatif, le noir et le blanc, entre la famille et Dieu, les enfants et Dieu, l’harmonie et la rupture, la richesse et la pauvreté, le statut et la banalité, le soutien et le rejet par autrui, et ainsi de suite ; vous êtes sans aucun doute conscients des choix que vous avez faits. Entre une famille harmonieuse et une famille brisée, vous avez choisi la première, et ce, sans aucune hésitation ; entre la richesse et le devoir, vous avez là aussi choisi la première, sans même la volonté de regagner la terre ferme ; entre le luxe et la pauvreté, vous avez choisi le premier ; au moment de choisir entre vos fils, filles, époux, et Moi, vous avez choisi les premiers ; et entre la notion et la vérité, vous avez, là encore, choisi la première. Devant vos méfaits de toutes sortes, J’ai simplement perdu foi en vous. Je suis tout simplement sidéré que vos cœurs soient à ce point incapables d’être adoucis. Le sang du cœur que j’ai dépensé pendant de nombreuses années ne m’a étonnamment rien apporté d’autre qu’abandon et résignation de votre part, mais l’espoir que Je place en vous grandit chaque jour qui passe, car Mon jour a été entièrement révélé devant tout le monde. Pourtant, vous persistez à rechercher des choses sombres et mauvaises, et vous refusez de lâcher prise. Quelle sera alors votre fin ? Y avez-vous déjà prêté une attention particulière ? Si l’on vous demandait de choisir à nouveau, quelle attitude opteriez-vous ? Le premier choix, encore ? M’apporteriez-vous encore déception et chagrin misérable ? Votre cœur contiendrait-il encore une once de chaleur ? Ne sauriez-vous toujours pas quoi faire pour réconforter Mon cœur ? En cet instant même, que choisissez-vous ? » (La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, À qui es-tu fidèle ?). En réfléchissant aux paroles de Dieu et en pensant à mon comportement, n’étais-je pas exactement la personne dont Dieu parlait, qui essayait de saisir l’argent d’une main et la vérité de l’autre ? Même si je croyais en Dieu et que je faisais mon devoir, mon esprit était toujours préoccupé par le commerce chaque jour et je pensais constamment à comment gagner plus d’argent. Je passais tout mon temps à poursuivre l’argent et je mangeais ou buvais rarement les paroles de Dieu. Je traitais mon devoir comme quelque chose à faire dans mon temps libre et quand je le faisais, c’était de manière vraiment superficielle, juste pour faire les choses machinalement. Le fait que j’aie pu être formée dans mon devoir d’abreuvement des nouveaux venus était pour moi l’élévation que Dieu m’accordait et je devais sérieusement tenir compte de la façon de bien faire mon devoir et de résoudre les états et les difficultés de mes frères et sœurs. Pourtant, je n’avais pas considéré mon devoir comme ma responsabilité et mon esprit était uniquement concentré sur la manière de gagner plus d’argent. Je veillais tard chaque jour pour mon commerce, ce qui me rendait somnolente pendant les réunions avec les nouveaux venus le lendemain et je ne faisais qu’échanger des formules et des doctrines. Bien que j’avais du temps pendant les réunions pour échanger davantage avec les frères et sœurs, j’avais peur que si les réunions se terminaient tard, cela retarderait mes ventes, alors je terminais les réunions à la hâte. Pour gagner plus d’argent, j’ai même menti à la dirigeante en lui demandant de me remplacer pour héberger les réunions avec les nouveaux venus. Avant de trouver Dieu, je m’affairais chaque jour pour de l’argent, je m’épuisais et je me rendais malade. J’étais tourmentée et dans une douleur insupportable, au point que j’avais même perdu le courage de vivre. C’était Dieu qui m’avait sauvée et m’avait laissée entendre Sa voix, et je devais être reconnaissante pour le salut de Dieu et saisir cette opportunité unique de bien faire mon devoir pour satisfaire Dieu. Mais mon esprit était encore rempli de pensées sur la façon de gagner plus d’argent et chaque fois que mon devoir entrait en conflit avec mes intérêts personnels, je mettais toujours mon devoir de côté. J’avais été vraiment égoïste et méprisable, et dépourvue d’humanité ! Dieu dit : « Si l’on vous demandait de choisir à nouveau, quelle attitude opteriez-vous ? Le premier choix, encore ? » J’avais l’habitude de me concentrer uniquement sur la poursuite de l’argent et je ne faisais pas mon devoir correctement, mais Dieu m’a donnée une autre chance de choisir. J’étais disposée à m’appuyer sur Dieu, à mettre de côté la poursuite de l’argent, à manger et à boire davantage de paroles de Dieu, à poursuivre la vérité et à consacrer mon cœur à mon devoir.
Plus tard, j’ai lu un autre passage des paroles de Dieu : « Les gens passent leur vie à courir après l’argent et la gloire ; ils se raccrochent au moindre espoir, pensant qu’ils sont leurs seuls moyens de soutien, comme si, en les ayant, ils pouvaient continuer à vivre et être dispensés de la mort. Mais ce n’est que lorsqu’ils sont sur le point de mourir qu’ils se rendent compte combien ces choses sont distantes d’eux, combien ils sont faibles face à la mort, combien ils volent facilement en éclats, combien ils sont seuls et impuissants, sans aucun recours. Ils se rendent compte que la vie ne peut pas être achetée avec de l’argent ou la renommée, que peu importe la richesse d’une personne, peu importe sa haute position, tous les hommes sont pareillement pauvres et insignifiants face à la mort. Ils se rendent compte que l’argent ne peut pas acheter la vie, que la renommée ne peut abolir la mort, que ni l’argent ni la renommée ne peuvent prolonger la vie d’une personne d’une seule minute, d’une seule seconde » (La Parole, vol. 2 : Sur la connaissance de Dieu, Dieu Lui-même, l’Unique III). Les paroles de Dieu ont touché mon cœur. J’ai travaillé sans relâche pour gagner de l’argent simplement pour être admirée par les autres en croyant que l’argent me donnerait tout. Mais quand la souffrance de la maladie est arrivée, l’argent n’a rien fait pour soulager ma douleur. Ce n’est qu’alors que j’ai pris conscience que : « Si je perds la vie, à quoi bon gagner plus d’argent ? Si je meurs, à quoi serviront l’admiration et les éloges éphémères des gens ? » J’ai pensé à deux de mes voisins aisés. Une voisine avait contracté une leucémie dans la trentaine et malgré les sommes importantes dépensées, elle ne pouvait toujours pas être guérie. Finalement, elle a laissé derrière elle deux jeunes enfants et elle est décédée. Un autre voisin, dans la quarantaine, avait eu une hémorragie cérébrale, il est tombé dans un état végétatif et est mort peu de temps après. En voyant cela, j’ai pris conscience qu’aucune somme d’argent ne peut prolonger la vie d’une personne et je savais que je ne pouvais pas risquer ma vie juste pour gagner de l’argent. Par la suite, j’ai commencé à me concentrer sur mon devoir. En dehors de mes devoirs, je m’entraînait à me calmer devant Dieu, à manger à et boire Ses paroles et à m’équiper de la vérité. Progressivement, les résultats de mon devoir se sont améliorés et j’ai également trouvé une grande joie à vivre la vie d’Église avec chacun.
Un jour, après avoir terminé mon devoir, je suis retournée au magasin, mon mari m’a tendu le bon de vente et j’ai remarqué que quelques articles n’étaient pas comptabilisés. Lorsque j’ai vérifié avec le client, je me suis rendue compte que mon mari avait omis d’enregistrer plusieurs articles. Il y avait aussi une facture où il aurait dû facturer 500 yuans, mais il n’en avait noté que 50. J’ai pensé : « J’ai toujours su que mon mari était négligent, il facturait souvent moins cher et donnait des marchandises en plus et avec des clients qui viennent acheter des produits chaque jour, à ce rythme, aucune somme d’argent ne couvrira nos pertes. Il semble que le magasin ne puisse vraiment pas fonctionner sans moi. » J’ai eu du mal à laisser cette affaire de côté. À ce moment-là, j’ai pris conscience que je me concentrais à nouveau sur l’argent, alors j’ai réfléchi : « Je sais que la quantité d’argent qu’une personne possède est prédestinée par Dieu, alors pourquoi ai-je toujours autant de mal à mettre de côté la poursuite de l’argent ? » J’ai lu que les paroles de Dieu disent : « “L’argent fait tourner le monde” est une philosophie de Satan. Elle prévaut dans l’humanité tout entière, dans toutes les sociétés humaines : vous pourriez dire que c’est une tendance. En effet, elle a été instillée à tous les hommes, qui au début n’acceptaient pas ce dicton, mais lui ont ensuite donné leur accord tacite lorsqu’ils sont entrés en contact avec la vie réelle et ont commencé à sentir que ces mots, en fait, étaient vrais. Ce processus n’est-il pas celui de la corruption de l’homme par Satan ? Peut-être que les gens ne comprennent pas ce dicton au même degré, mais chaque personne a une manière différente de l’interpréter et de le comprendre en se fondant sur des choses qui se sont passées autour d’elle et sur ses expériences personnelles. N’est-ce pas le cas ? Peu importe l’expérience que quelqu’un a de ce dicton, quel est l’effet négatif qu’il peut avoir sur le cœur de quelqu’un ? Quelque chose est révélé par le tempérament humain des gens dans ce monde, y compris chacun d’entre vous. De quoi s’agit-il ? C’est le culte de l’argent. Est-il difficile d’enlever cela du cœur de quelqu’un ? C’est très difficile ! Il semble que la corruption de l’homme par Satan soit profonde, en effet ! Satan utilise l’argent pour tenter les gens et les corrompt en leur faisant adorer l’argent et vénérer les choses matérielles. Et comment cette adoration de l’argent se manifeste-t-elle chez les gens ? Ne sentez-vous pas que vous ne pourriez pas survivre dans ce monde sans argent, que même un jour sans argent serait tout simplement impossible ? Le statut des gens est basé sur la quantité d’argent qu’ils possèdent, tout comme le respect qu’ils inspirent. Les pauvres courbent le dos de honte alors que les riches profitent de leur statut élevé. Ils gardent la tête haute, ils sont fiers, ils parlent fortement et vivent avec arrogance. Qu’est-ce que ce dicton et cette tendance apportent aux gens ? N’est-il pas vrai que beaucoup de gens feraient n’importe quel sacrifice afin d’obtenir de l’argent ? Beaucoup de gens ne perdent-ils pas leur dignité et leur intégrité en quête de plus d’argent ? Beaucoup de gens ne perdent-ils pas la possibilité d’accomplir leur devoir et de suivre Dieu à cause de l’argent ? Perdre l’occasion de gagner la vérité et d’être sauvé, n’est-ce pas la plus grande des pertes pour les gens ? Satan n’est-il pas sinistre d’utiliser cette méthode et ce dicton pour corrompre l’homme à un tel degré ? » (La Parole, vol. 2 : Sur la connaissance de Dieu, Dieu Lui-même, l’Unique V). Après avoir lu les paroles de Dieu, j’ai pris conscience que chercher la richesse pour gagner de l’admiration n’est pas une chose positive et que c’est une méthode que Satan utilise pour corrompre les gens. Les gens vivent pour l’argent et une fois qu’ils en ont un peu, ils en veulent plus. Leur désir de richesse ne fait que s’accentuer et à la fin, ils meurent pour de l’argent, ils perdent l’opportunité de poursuivre la vérité et d’être sauvés. Quand j’étais jeune, notre famille était pauvre et notre entourage se moquait de nous, alors, je me sentais inférieure aux autres. Quand j’ai grandi et que je n’arrivais toujours pas à gagner de l’argent, mes amis et mes proches me méprisaient et je ressentais encore plus fortement que sans argent, la vie était insupportable. Alors, gagner de l’argent est devenu mon objectif de vie. J’ai vécu selon les poisons tels que : « L’argent n’est pas tout, mais sans ça, vous ne pouvez rien faire », « L’argent fait tourner le monde », « L’homme meurt pour la richesse comme les oiseaux le font pour la nourriture », et d’autres poisons que Satan inculque aux gens. Tant que je pouvais gagner de l’argent, j’étais disposée à endurer n’importe quelle souffrance et même quand j’avais été au bord de la paralysie à cause d’une hernie discale, je ne m’étais pas reposée. Je m’inquiétais que si je ne travaillais pas je gagnerais moins d’argent, alors je continuais à me forcer, comme si je faisais du vélo et que je ne m’arrêterais que lorsqu’il tomberait. Finalement, ma maladie m’a causé tant de douleur que je ne voulais plus vivre. Même après avoir trouvé Dieu, j’ai continué à vivre selon ces poisons sataniques. Même si je faisais mes devoirs, mon cœur était toujours concentré sur la façon de gagner plus d’argent et je faisais simplement les choses machinalement et je tuais le temps dans les réunions. Cela a causé des pertes dans l’entrée dans la vie de mes frères et sœurs et je n’ai fait aucun progrès. Vivre selon les poisons de Satan ne m’a apporté que de la douleur et des transgressions dans l’exécution de mes devoirs. La poursuite de la richesse pour gagner de l’admiration est une façon pour Satan de contrôler les gens et de les conduire à la destruction. Je ne voulais plus être tentée par Satan et perdre mon temps à courir après la richesse. Je devais concentrer mon énergie sur le fait de manger et boire les paroles de Dieu et faire mes devoirs. Après cela, je me suis moins concentrée sur le commerce, je me rendais au magasin moins fréquemment et je me sentais beaucoup plus détendue, à la fois physiquement et mentalement. Plus tard, j’ai lu davantage de paroles de Dieu : « Comme des personnes normales qui poursuivent l’amour pour Dieu, l’entrée dans le royaume afin de faire partie du peuple de Dieu constitue votre véritable avenir et une vie qui a la plus grande valeur et la plus haute signification ; personne n’est plus béni que vous. Pourquoi dis-Je cela ? Parce que ceux qui ne croient pas en Dieu vivent pour la chair, et ils vivent pour Satan, mais aujourd’hui vous vivez pour Dieu et vivez pour suivre la volonté de Dieu. C’est pourquoi Je dis que vos vies sont de la plus haute signification » (La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, Connaître la plus nouvelle œuvre de Dieu et suivre Ses pas). Auparavant, je vivais pour la chair et l’argent, je poursuivais l’admiration des autres et je marchais sur un chemin de destruction. Maintenant, je pouvais suivre Dieu, poursuivre la vérité et faire mon devoir en tant qu’être créé. C’est la vie la plus précieuse et la plus significative. Je dois concentrer mes pensées sur la poursuite de la vérité et sur mes devoirs et je dois mener à bien mes devoirs pour rendre l’amour de Dieu.
Un jour, mon mari est rentré à la maison et m’a dit qu’un hypermarché avait ouvert dans notre région et que le service commercial voulait commencer par attirer de grands commerçants pour stimuler les affaires. Ils offraient des conditions très favorables aux grands commerçants comme nous, ils nous accordaient trois ans de loyer gratuit et un espace d’entreposage gratuit. Mon mari a discuté de la question avec moi, il voulait stocker des marchandises pour que je les vende là-bas et il a dit que c’était un profit garanti. J’étais assez tentée et je me suis dit : « N’est-ce pas une opportunité en or qui tombe entre nos mains ? Nous payons des dizaines de milliers de yuans de loyer chaque année maintenant. Si nous nous lancions dans le commerce de gros et de détail sur ce nouveau marché, notre entreprise prospérerait à coup sûr et une fois que nous gagnerions plus, nous pourrions acheter une plus belle maison et une voiture plus luxueuse. Cela ferait que nos proches et amis nous admireraient et nous envieraient encore plus ! » Mais si j’acceptais, mon mari et moi devrions gérer des magasins séparés et bien que nous gagnerions beaucoup plus d’argent, nous serions certainement plus occupés et plus épuisés qu’auparavant. J’ai pensé à un passage des paroles de Dieu : « À chaque étape de l’œuvre que Dieu effectue sur les gens, à l’extérieur, tout apparaît comme des interactions entre les personnes, comme nées des arrangements humains ou d’une perturbation humaine. Mais, dans les coulisses, chaque étape de travail, tout ce qui arrive, est un pari que Satan a fait devant Dieu et requiert que les gens restent fermes dans leur témoignage en faveur de Dieu. Considérez quand Job a été éprouvé, par exemple : dans les coulisses, Satan faisait un pari avec Dieu, et ce qui est arrivé à Job est venu des actions des hommes et des perturbations des hommes. Derrière chaque étape du travail que Dieu fait en vous, il y a le pari de Satan avec Dieu. Derrière cela, tout est une bataille » (La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, Ce n’est qu’en aimant Dieu que l’on croit vraiment en Dieu). En réfléchissant aux paroles de Dieu, je me suis dit : « N’est-ce pas précisément une tentation de Satan ? Si nous ouvrons un autre magasin, nous pourrions gagner plus d’argent et rehausser notre réputation, mais alors, je n’aurais plus le temps de manger et de boire les paroles de Dieu ou de faire mes devoirs. Cela ne gâcherait-il pas ma chance d’être sauvée ? » J’ai pensé à ce que le Seigneur Jésus a dit : « Et que servirait-il à un homme de gagner tout le monde, s’il perdait son âme ? ou, que donnerait un homme en échange de son âme ? » (Matthieu 16:26). C’était tout à fait juste. Peu importe combien d’argent je gagnerais, à quoi cela servirait-il si je finissais par perdre ma vie ? Dieu m’avait déjà suffisamment bénie, je ne pouvais donc pas continuer à consacrer tout mon temps et mon énergie à gagner de l’argent. En comprenant l’intention de Dieu, j’ai persuadé mon mari d’abandonner l’idée d’ouvrir un magasin dans le nouveau marché. À ma grande surprise, il a accepté et j’ai ressenti un profond sentiment d’aisance dans mon cœur. M’être libérée des chaînes de l’argent est le résultat de l’œuvre des paroles de Dieu en moi !
La douleur cessera et les larmes s'arrêteront. Faites confiance à Dieu, Il a entendu nos appels dans notre souffrance, et Il nous sauvera de notre douleur. Contactez-nous pour connaître la bonne nouvelle de Dieu de nous sauver.
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