Je ne suis plus contrainte par ma destination

20 mars 2025

Par Li Yishun, Chine

Quand j’ai trouvé Dieu au début, j’étais très passionnée et deux mois plus tard, j’ai commencé à faire des devoirs liés aux affaires générales. Plus tard, j’ai pris en charge des devoirs d’hébergement et, malgré le fait que j’étais occupée par toutes sortes de tâches, je ne me suis jamais plainte de la souffrance ou de l’épuisement. Je croyais que pour être sauvée, je devais préparer plus de bonnes actions et que je devais endurer plus de souffrances et payer un prix dans mes devoirs. Deux ans plus tard, en 2007, j’ai été choisie comme dirigeante d’Église, j’ai investi encore plus d’efforts et je me suis dépensée encore plus. Ne pouvant pas faire de vélo, j’allais à pied aux réunions où les transports n’étaient pas pratiques. Je ne me sentais pas fatiguée, comme si j’avais une énergie inépuisable et je sentais que Dieu observait mes efforts et que, plus tard, Il récompenserait mes sacrifices par une bonne destination. Par la suite, j’ai activement coopéré à tous les devoirs que l’Église arrangeait et même si mon grand âge posait de réelles difficultés, je n’étais jamais contrainte par ces choses.

En 2017, j’avais 76 ans et les dirigeants ont arrangé que je fasse le travail de purge dans l’Église. J’étais très heureuse, sentant que malgré mon âge, j’avais encore la possibilité de faire mes devoirs, c’était vraiment Dieu qui me donnait Sa grâce et m’exaltait ! Je me suis dit que je devais chérir cette occasion de faire mes devoirs. Les devoirs m’occupaient beaucoup à cette époque et j’avais l’habitude de me coucher tard, mais je ne me sentais pas fatiguée. Un jour de 2019, j’ai eu soudain des vertiges et des difficultés à respirer quand je marchais. Après un contrôle à l’hôpital, on m’a diagnostiqué de la tension artérielle et une maladie cardiaque et le docteur m’a conseillé de me faire hospitaliser pour le traitement. Je me suis sentie inquiète et j’ai pensé : « Être hospitalisée n’est pas l’affaire de seulement un jour ou deux ; si je suis hospitalisée, les dirigeants trouveront définitivement quelqu’un d’autre pour reprendre mon devoir, perdrais-je donc ma chance de faire ce devoir ? À mon âge, avec mes problèmes de santé, je ne serai pas capable de faire d’autres devoirs non plus. Si je sors de l’hôpital et que je peux seulement accueillir des réunions de petits groupes, quelles bonnes actions serais-je capable d’accomplir dans un travail si insignifiant ? Sans bonnes actions, comment serais-je sauvée ? Non, je ne peux absolument pas abandonner mon devoir pour être hospitalisée et suivre le traitement. De plus, si Dieu me voit persister dans mes devoirs malgré ma maladie, Il me protègera sûrement. » J’ai dit rapidement : « Je ne resterai pas à l’hôpital ; je vais simplement rentrer à la maison et prendre un médicament comme traitement. » Après ça, j’ai continué à faire mes devoirs comme d’habitude, tous les jours.

Une nuit, deux ans plus tard, j’ai soudain senti une douleur aiguë me transpercer de la taille aux hanches. Le lendemain, ma fille m’a amenée à l’hôpital pour un examen et on m’a diagnostiqué une fracture spinale causée par l’ostéoporose. J’ai été sonnée et j’ai eu l’impression que le ciel me tombait dessus. J’ai senti mon cœur s’emballer et mes forces m’abandonner. Je me suis assise sur une chaise, ressentant en mon cœur une douleur indescriptible, ne sachant pas comment affronter cette réalité. J’ai pensé : « J’ai cru en Dieu pendant tant d’années et même si je n’ai pas subi de grandes souffrances dans mes devoirs, j’ai enduré beaucoup de petites difficultés. De plus, puisque je fais mes devoirs actuellement, comment une maladie pourrait-elle soudainement me frapper ? Dieu pourrait-Il utiliser cela pour que j’arrête de faire mes devoirs ? » Je me suis sentie véritablement désespérée. J’ai alors pensé : « Même si je guéris plus tard de cette maladie, à mon âge, je ne serais plus capable de faire des devoirs significatifs. Je serais tout au plus capable d’offrir l’hospitalité pour les réunions. Je serais incapable de souffrir ou de me dépenser, alors quelles bonnes actions pourraient venir de faire ainsi mes devoirs ? J’envie réellement ces frères et sœurs plus jeunes qui peuvent faire toutes sortes de devoirs. Comme ce serait merveilleux si je pouvais juste revenir en arrière de quelques dizaines d’années ! Pourquoi Dieu ne m’a-t-Il pas laissé naître quelques décennies plus tard ? » Quand je suis rentrée à la maison, je pouvais juste me coucher et je devais avancer à tout petits pas. Je ne pouvais faire aucun devoir. Quand les sœurs sont venues, même ouvrir la porte a été une lutte. Je me sentais réellement négative et je pensais : « Suis-je devenue inutile ? J’ai cru en Dieu pendant tant d’années, faisant toujours mes devoirs, souffrant et me dépensant tellement. J’ai cru à un moment que je pouvais être sauvée, mais je n’ai jamais imaginé que je deviendrais inutile et incapable de faire un quelconque devoir. » Ces pensées ont plombé mon cœur. Je vivais dans un état de négativité et mon cœur ne pouvait pas trouver la paix devant Dieu. Mon esprit est devenu vraiment sombre. Alors, j’ai prié Dieu : « Dieu, depuis que je suis tombée malade et que je ne peux pas faire mes devoirs, je me sens très déprimée. Je m’inquiète toujours de ne pas pouvoir être sauvée et je ne sais pas quel aspect de la vérité je dois chercher pour résoudre cela. S’il Te plaît, éclaire-moi et guide-moi pour que je reconnaisse mes problèmes. »

Plus tard, j’ai lu certaines paroles de Dieu : « Il y a aussi, parmi les frères et sœurs, des personnes âgées qui ont entre 60 ans et environ 80 ou 90 ans et qui, en raison de leur âge avancé, connaissent également certaines difficultés. Malgré leur âge, leur pensée n’est pas nécessairement très correcte ou très rationnelle, et leurs idées et points de vue ne correspondent pas nécessairement à la vérité. Ces gens âgés, eux aussi, ont des problèmes et ils s’inquiètent toujours : “Ma santé n’est plus très bonne et je suis limité dans les devoirs que je peux accomplir. Si j’accomplis simplement ce petit devoir, Dieu Se souviendra-t-Il de moi ? Parfois, je tombe malade et j’ai besoin que quelqu’un s’occupe de moi. Quand il n’y a personne pour s’occuper de moi, je ne suis pas en mesure d’accomplir mon devoir, alors que puis-je faire ? Je suis âgé, je ne retiens pas des paroles de Dieu quand je les lis et il m’est difficile de comprendre la vérité. Lorsque j’échange sur la vérité, je parle de manière confuse et illogique, et je n’ai aucune expérience qui mérite d’être partagée. Je suis âgé et je n’ai plus assez d’énergie, ma vue n’est plus très bonne et je ne suis plus fort. Tout est difficile pour moi. Non seulement je ne peux pas accomplir mon devoir, mais j’oublie des choses et me trompe facilement. Parfois, je suis confus et je cause des problèmes à l’Église et à mes frères et sœurs. Je veux obtenir le salut et poursuivre la vérité, mais c’est très difficile. Que puis-je faire ?” Lorsqu’ils pensent à ces choses, ils commencent à s’inquiéter, pensant : “Comment se fait-il que j’aie commencé à croire en Dieu seulement à cet âge ? Comment se fait-il que je ne sois pas comme ceux qui ont une vingtaine ou une trentaine d’années, ou même comme ceux qui ont une quarantaine ou une cinquantaine d’années ? Comment se fait-il que je n’aie rencontré l’œuvre de Dieu que maintenant, alors que je suis si vieux ? Ce n’est pas que mon destin soit mauvais ; au moins maintenant, j’ai rencontré l’œuvre de Dieu. Mon destin est bon et Dieu a été bienveillant avec moi ! Il y a juste une chose dont je ne suis pas satisfait, c’est que je suis trop vieux. Ma mémoire n’est pas très bonne et ma santé n’est pas vraiment excellente, mais j’ai une force intérieure inébranlable. C’est juste que mon corps ne m’obéit pas et que j’ai sommeil après avoir écouté pendant un moment lors des réunions. Parfois, je ferme les yeux pour prier et je m’endors, et mon esprit s’égare lorsque je lis les paroles de Dieu. Après avoir lu un peu, j’ai sommeil et je m’assoupis, et les mots ne rentrent pas. Que puis-je faire ? Avec de telles difficultés pratiques, suis-je encore capable de poursuivre et de comprendre la vérité ? Si tel n’est pas le cas, et si je ne suis pas capable de pratiquer conformément aux vérités-principes, alors toute ma foi ne sera-t-elle pas vaine ? Ne vais-je pas échouer à atteindre le salut ? Que puis-je faire ? Je suis tellement inquiet ! […]” […] ce n’est pas que les personnes âgées n’aient rien à faire, ni qu’elles ne soient pas capables d’accomplir leurs devoirs, et encore moins qu’elles soient incapables de poursuivre la vérité : elles ont beaucoup de choses à faire. Les diverses hérésies et idées fausses que tu as accumulées au cours de ta vie, ainsi que les diverses idées et notions traditionnelles, les choses ignorantes et obstinées, les choses conservatrices, les choses irrationnelles et les choses déformées que tu as accumulées se sont toutes amoncelées dans ton cœur, et tu devrais consacrer encore plus de temps que les jeunes à creuser, à disséquer et à reconnaître ces choses. Ce n’est pas que tu n’aies rien à faire, ni que tu devrais éprouver du désarroi, de l’angoisse ou de l’inquiétude lorsque tu es dans un moment creux : ce n’est ni ta tâche, ni ta responsabilité. Tout d’abord, les personnes âgées doivent avoir le bon état d’esprit. Même si tu vieillis et que tu es relativement âgé physiquement, tu dois néanmoins avoir un état d’esprit jeune. Même si tu vieillis, que ta réflexion est ralentie et que ta mémoire est mauvaise, si tu peux encore te connaître, comprendre les paroles que Je dis et comprendre la vérité, alors cela prouve que tu n’es pas âgé et que tu ne manques pas de calibre. Si quelqu’un a 70 ans mais n’est pas capable de comprendre la vérité, cela montre que sa stature est trop petite et qu’il n’est pas à la hauteur. Par conséquent, l’âge n’a aucune importance lorsqu’il s’agit de la vérité » (La Parole, vol. 6 : Sur la poursuite de la vérité, Comment poursuivre la vérité (3)). Après avoir lu les paroles de Dieu et réfléchi à mon état, j’ai pris conscience qu’il était exactement celui que Dieu avait exposé et je me suis sentie honteuse et embarrassée. Depuis de nombreuses années, je croyais en Dieu et je me concentrais sur un travail apparent plutôt que de faire des efforts vers la vérité et je n’avais pas une compréhension claire des vérités sur la façon dont Dieu œuvre pour sauver les gens. Quand je suis tombée malade, mon tempérament corrompu , mes pensées et mes idées fallacieuses et biaisées ont tous été exposés. Quand j’étais en bonne santé, sans maladie ou désastre qui me tombait dessus, je faisais mes devoirs tous les jours comme n’importe quelle personne jeune et je me sentais vraiment heureuse. Avec l’âge, différentes maladies étaient apparues les unes après les autres et je m’inquiétais constamment du moment où je pourrais tomber malade et être incapable de faire mes devoirs. J’étais souvent anxieuse et frustrée, pataugeant dans les émotions négatives. Plus tard, quand je suis tombée malade et que je n’ai pas pu faire mes devoirs, je me suis complètement écroulée et j’ai même mal compris Dieu, je pensais que Dieu voulait m’éliminer et qu’Il n’allait plus me sauver, alors je ne pouvais pas me lever et je vivais dans un état négatif. Maintenant, j’avais compris que, même âgée et malade et incapable de sortir faire mes devoirs, mon esprit était encore clair, je pouvais encore saisir les paroles de Dieu et je pouvais encore chercher la vérité pour résoudre mon tempérament corrompu. Sous la direction des paroles de Dieu, j’ai gagné la foi. Je me suis dit tout bas que tant que j’étais en vie, je devais saisir cette occasion limitée de faire des efforts pour la vérité et l’utiliser pour résoudre les pensées et les idées biaisées et fallacieuses en moi. J’ai prié Dieu : « Dieu, quand auparavant j’étais capable de me dépenser dans mes devoirs, je sentais que je poursuivais vraiment la vérité, mais maintenant que je suis tombée malade, j’ai développé des malentendus et je suis devenue excessivement chargée de négativité. Qu’est-ce qui a causé cela exactement ? S’il Te plaît, éclaire-moi et guide-moi pour que je puisse en tirer une leçon. »

J’ai lu deux passages des paroles de Dieu : « Quiconque en vient à croire en Dieu est seulement prêt à accepter Sa grâce, Ses bénédictions et Ses promesses et n’est disposé à accepter que Sa bonté et Sa compassion. Mais personne n’attend ni ne se prépare à accepter le châtiment et le jugement de Dieu, Ses épreuves et Son épurement, ou le fait qu’Il prive de quelque chose, et pas une seule personne ne fait des préparatifs en vue d’accepter le jugement et le châtiment de Dieu, le fait qu’Il prive de quelque chose, ou Ses malédictions. Cette relation entre les gens et Dieu est-elle normale ou anormale ? (Anormale.) Pourquoi dites-vous qu’elle est anormale ? En quoi n’est-elle pas à la hauteur ? Elle n’est pas à la hauteur en ce sens que les gens n’ont pas la vérité. C’est parce que les gens ont trop de notions et d’imagination, qu’ils se méprennent constamment sur Dieu et ne résolvent pas ces problèmes en cherchant la vérité, ce qui rend plus probable que des problèmes surviennent. En particulier, les gens ne croient en Dieu que pour être bénis. Ils veulent seulement conclure un marché avec Dieu et exiger des choses de Lui, mais ne poursuivent pas la vérité. C’est très dangereux. Dès qu’ils rencontrent quelque chose qui est en contradiction avec leurs notions, ils se mettent immédiatement à avoir des notions, des griefs et des incompréhensions en ce qui concerne Dieu, et peuvent même aller jusqu’à Le trahir. Les conséquences en sont-elles graves ? Quel chemin la plupart des gens suivent-ils dans leur foi en Dieu ? Même si vous avez peut-être écouté bien des sermons et éprouvez le sentiment d’avoir compris bon nombre de vérités, le fait est que vous suivez quand même le chemin de la croyance en Dieu uniquement pour vous rassasier de pain » (La Parole, vol. 6 : Sur la poursuite de la vérité, En quoi consiste la poursuite de la vérité (11)). « Les gens croient en Dieu pour être bénis, récompensés, couronnés. Ce désir n’existe-t-il pas dans le cœur de chacun ? C’est un fait. Bien que les gens n’en parlent pas souvent, et qu’ils dissimulent même leur motivation et leur désir d’obtenir des bénédictions, ce désir et cette motivation, au plus profond du cœur des gens, ont toujours été inébranlables. Quels que soient leur compréhension de la théorie spirituelle, leurs connaissances par l’expérience, le devoir qu’ils peuvent accomplir, les souffrances qu’ils endurent ou le prix qu’ils paient, ils n’abandonnent jamais cette motivation d’obtenir des bénédictions qui est cachée au plus profond de leur cœur et ils fournissent des efforts toujours silencieusement à son service. N’est-ce pas la chose la plus profondément enfouie dans le cœur des gens ? Sans cette motivation qui vise à recevoir des bénédictions, comment vous sentiriez-vous ? Quelle serait votre attitude en accomplissant votre devoir et en suivant Dieu ? Qu’adviendrait-il des gens si cette motivation visant à recevoir des bénédictions, qui est cachée dans leur cœur, se trouvait éliminée ? Il est possible que beaucoup de gens deviennent négatifs, tandis que d’autres se montreraient démotivés dans leurs devoirs. Ils se désintéresseraient de leur croyance en Dieu, comme si leur âme avait disparu. Ils donneraient l’impression que leur cœur a été arraché. C’est pourquoi Je dis que la motivation qui vise les bénédictions est quelque chose de profondément caché dans le cœur des gens » (La Parole, vol. 3 : Discours de Christ des derniers jours, Six indicateurs de croissance de vie). Ce que Dieu a exposé était mon véritable état. Depuis toutes ces années que je croyais en Dieu, mes dépenses et mes souffrances avaient toutes été menées par mon désir de gagner des bénédictions. Je considérais mes sacrifices et mes dépenses comme une monnaie d’échange pour entrer dans le royaume. Je croyais que plus j’endurais de souffrances, plus je payais un prix élevé et plus je préparais de bonnes actions, plus je serais qualifiée pour être sauvée. Alors je me concentrais sur la souffrance et la dépense dans mes devoirs, mais quand je suis tombée malade et que je n’ai plus pu faire mes devoirs, tout d’un coup, je me suis effondrée. Cela a vraiment révélé ce que j’étais exactement. Quand il y avait quelque chose à gagner, je me trouvais capable de tout rejeter, d’endurer des souffrances, de payer un prix et de me dépenser, mais une fois que j’ai vu que mon espoir de recevoir des bénédictions avait disparu, je me suis abandonnée moi-même, et en un instant, tous mes malentendus et toutes mes plaintes sont apparus. J’ai vu que je faisais mes devoirs seulement pour gagner des bénédictions, traitant mes efforts, mes souffrances, et le fait de me dépenser comme des moyens de marchander avec Dieu. J’étais vraiment méprisable ! Ce que j’ai fait non seulement a fait que Dieu me déteste et me hait, mais aussi que je me sens dégoûtée de moi-même. Une personne comme moi ne méritait pas le salut de Dieu ! C’est par l’exposition des paroles de Dieu que j’ai vu que j’étais sur le mauvais chemin dans ma foi et que si je ne me repentais pas, j’étais destinée à l’échec.

Un jour, j’ai lu d’autres paroles de Dieu : « Croire en Dieu ne consiste pas à gagner la grâce ou la tolérance et la pitié de Dieu. De quoi s’agit-il alors ? Il s’agit d’être sauvé. Alors, quelle est la marque du salut ? Quelles sont les normes requises par Dieu ? Que faut-il pour être sauvé ? La résolution de son tempérament corrompu. C’est le nœud du problème. Donc, au bout du compte, en définitive, quels que soient ce que tu as souffert et le prix que tu as payé et quelle que soit la mesure dans laquelle tu te proclames vrai croyant, si, à la fin, ton tempérament corrompu n’a pas été résolu du tout, cela signifie que tu n’es pas quelqu’un qui poursuit la vérité. Ou bien, on peut dire que parce que tu ne poursuis pas la vérité, ton tempérament corrompu n’a pas été résolu. Cela signifie que tu ne t’es pas du tout engagé sur le chemin du salut. Cela signifie que tout ce que Dieu dit et tout le travail qu’Il fait pour sauver l’homme n’a abouti à rien en toi, cela n’a conduit à aucun témoignage de ta part et cela n’a porté aucun fruit en toi » (La Parole, vol. 6 : Sur la poursuite de la vérité, En quoi consiste la poursuite de la vérité (2)). Grâce aux paroles de Dieu, j’ai compris que le salut n’est pas mesuré par le nombre de routes qu’on a parcourues ou par l’importance du prix qu’on a payé. Peu importe combien de routes une personne a empruntées ou combien elle a souffert, si son tempérament n’a pas changé, alors elle ne peut pas être sauvée et elle sera finalement éliminée. Elle ne peut gagner l’approbation de Dieu qu’en poursuivant la vérité et en changeant son tempérament. Dans le passé, j’avais cru que plus je faisais de devoirs et plus je souffrais, plus mes chances de salut étaient grandes. Alors je me suis uniquement concentrée sur la réalisation de mon devoir apparent, me dépensant et souffrant, et je pensais que si je faisais ces choses, j’aurais une chance de salut et j’ai même pensé que ma poursuite était justifiée. J’ai pris conscience que mes idées étaient vraiment déformées. Quand je suis tombée malade, je n’ai pas cherché la vérité pour résoudre mon tempérament corrompu, mais à la place, j’ai développé des malentendus et des plaintes envers Dieu et j’ai vécu dans un état de négativité. Avec mon manque de poursuite de la vérité, peu importe combien de routes j’avais empruntées ou combien j’avais souffert, si mon tempérament-vie ne changeait pas, alors je n’obtiendrais pas l’approbation de Dieu. L’occasion que Dieu donne aux gens de faire leurs devoirs est censée les rendre capables de se concentrer sur leur entrée dans la vie durant leurs devoirs et leur permettre de devenir capables d’agir selon les vérités-principes, de constamment réfléchir sur eux-mêmes et de chercher la vérité pour résoudre leur tempérament corrompu. C’est seulement en faisant cela qu’on peut atteindre le salut de Dieu. J’ai entendu un hymne des paroles de Dieu intitulé « Dieu souhaite que l’humanité poursuive la vérité et survive » :

[…]

3  En ce qui concerne chaque personne, quel que soit ton calibre, quel que soit ton âge ou la durée de ta croyance en Dieu, tu dois t’efforcer de te diriger vers le chemin de la poursuite de la vérité. Tu ne devrais pas mettre l’accent sur les moindres excuses objectives, tu devrais poursuivre la vérité de manière inconditionnelle. Ne te laisse pas aller sans objectif. Supposons que tu considères la vérité comme une grande affaire dans ta vie et que tu t’évertues à y consacrer tes efforts, et que les vérités que tu gagnes et que tu peux atteindre dans ta poursuite ne sont peut-être pas ce que tu aurais souhaité, mais que Dieu dise qu’Il te donnera une destination appropriée au vu de ton attitude consistant à poursuivre la vérité et de ta sincérité, alors comme ce sera merveilleux !

4  Pour l’instant, ne te concentre pas sur ce que seront ta destination ou ta fin, ou sur ce qui se passera et sur ce que l’avenir te réserve, ou sur le fait de savoir si tu seras ou non capable d’éviter le désastre et de ne pas mourir. Ne pense pas à ces choses et ne soumets pas de demandes concernant ces choses. Concentre-toi seulement sur les paroles et les exigences de Dieu, parviens à poursuivre la vérité, fais bien ton devoir, satisfais les intentions de Dieu et évite de décevoir les six mille ans d’attente de Dieu et Ses six mille ans d’anticipation. Apporte un certain réconfort à Dieu. Laisse-Le voir qu’il y a de l’espoir en toi et laisse Ses souhaits se réaliser en toi. Dis-Moi, Dieu te traiterait-Il injustement si tu faisais cela ? Même si, en fin de compte, le résultat n’est pas ce que les gens auraient souhaité, en tant qu’êtres créés, ils devraient se soumettre en toutes choses aux orchestrations et aux arrangements de Dieu, sans avoir aucun projet personnel. Il est juste d’avoir cet état d’esprit.

– La Parole, vol. 6 : Sur la poursuite de la vérité, Pourquoi l’homme doit-il poursuivre la vérité

Après cela, j’ai lu un passage des paroles de Dieu : « La poursuite de la vérité est une question considérable de la vie humaine. Aucune autre question n’est aussi importante que la poursuite de la vérité, et aucune autre question ne surpasse, en valeur, l’obtention de la vérité. A-t-il été facile de suivre Dieu jusqu’à aujourd’hui ? Dépêche-toi, et fais de ta poursuite de la vérité une question d’importance ! Cette étape de l’œuvre dans les derniers jours est l’étape la plus importante de l’œuvre que Dieu fait sur les gens dans Son plan de gestion de six mille ans. La poursuite de la vérité est la plus haute attente que Dieu a vis-à-vis de Son peuple élu. Il espère que les gens suivront le chemin correct, qui est la poursuite de la vérité » (La Parole, vol. 6 : Sur la poursuite de la vérité, Pourquoi l’homme doit-il poursuivre la vérité). Grâce aux paroles de Dieu, j’ai senti les intentions minutieuses de Dieu et mon cœur a été vraiment touché. Je n’ai pas pu retenir des larmes de regret et de culpabilité. En repensant à mes années de foi en Dieu, j’ai vu que je ne m’étais pas concentrée sur la recherche de la vérité dans les paroles de Dieu, mais seulement sur le travail apparent et que mon tempérament-vie avait à peine changé. Dieu, par Sa grâce, m’avait donné l’occasion de faire mes devoirs, entendant que je poursuive la vérité et l’entrée dans la vie pendant mes devoirs, mais je me suis égarée, en utilisant mes devoirs pour essayer de marchander avec Dieu. De quelle façon avais-je une quelconque conscience ou une quelconque raison ? Je ne pouvais plus me concentrer sur ma fin et ma destination. Sans tenir compte de la façon dont Dieu me traiterait, et que j’aie ou non une bonne fin, je devais sérieusement poursuivre la vérité et faire mon devoir de mon mieux pour réconforter le cœur de Dieu. Plus tard, quand ma santé s’est un peu améliorée, j’ai commencé mes devoirs d’hébergement.

Après cela, à cause des graves persécutions et des arrestations menées par le PCC, je n’ai plus pu faire mes devoirs d’hébergement. Je me suis sentie un peu perdue. Mais alors j’ai pensé que même si je ne pouvais pas faire mon devoir, je pouvais encore m’entraîner à manger et à boire les paroles de Dieu de manière autonome à la maison, investir plus d’efforts à y réfléchir et je pouvais aussi écrire des articles de témoignage d’expérience, chercher la vérité et réfléchir sur moi-même. De plus, je pouvais apprendre des leçons à la maison. Dans le passé, j’avais toujours voulu avoir le dernier mot, parler depuis une position de statut et répliquer quand les choses se produisaient, ce qui impliquait mon tempérament arrogant que je devais résoudre. Alors j’ai lu les paroles de Dieu et j’ai réfléchi sur moi-même et quand des choses me sont arrivées, je me suis consciemment soumise et j’en ai tiré des leçons, apprenant à me mettre de côté et à accepter le conseil des autres. Maintenant, je suis âgée et je ne peux faire aucun devoir important. Mais Dieu dit : « A-t-il été facile de suivre Dieu jusqu’à aujourd’hui ? Dépêche-toi, et fais de ta poursuite de la vérité une question d’importance ! Cette étape de l’œuvre dans les derniers jours est l’étape la plus importante de l’œuvre que Dieu fait sur les gens dans Son plan de gestion de six mille ans. La poursuite de la vérité est la plus haute attente que Dieu a vis-à-vis de Son peuple élu. Il espère que les gens suivront le chemin correct, qui est la poursuite de la vérité » (La Parole, vol. 6 : Sur la poursuite de la vérité, Pourquoi l’homme doit-il poursuivre la vérité). Les paroles de Dieu m’inspirent et je veux investir mes efforts dans la poursuite de la vérité. Aussi longtemps que je vivrai, je poursuivrai la vérité et je suivrai Dieu avec application !

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