Une évaluation qui m’a exposée
Par Caitlyn, États-UnisÀ la mi-mai 2021, une dirigeante d’Église est soudain venue me demander si je connaissais bien Sœur Lilah, si elle...
Nous accueillons tous les chercheurs qui désirent ardemment l'apparition de Dieu !
Lorsque j’avais six ans, ma mère a découvert que mon père avait une liaison et a développé une maladie mentale en raison du choc émotionnel provoqué par cette découverte. Deux ans plus tard, mon père est décédé des suites d’une maladie et les frais médicaux et funéraires nous ont laissés sans le sou. Pourtant, mon oncle et ma tante du côté de mon père n’ont pas jugé utile d’aider la veuve de leur frère et l’enfant de ce dernier. Ma mère et moi avons été exposées à beaucoup d’intimidations et de froideur et avons beaucoup souffert dans notre vie. À cette époque, ma mère avait déjà commencé à croire en Dieu et elle me disait souvent : « Si nous ne croyons pas en Dieu, nous ne vivrons pas longtemps dans ce monde. » Elle disait aussi que sa maladie mentale avait disparu d’une manière ou d’une autre après avoir cru en Dieu. En conséquence, j’étais très reconnaissante envers Dieu. Lorsque j’ai été mise à l’écart et malmenée par mes camarades de classe, j’ai prié Dieu en silence. À ma grande surprise, un camarade de classe avec lequel je ne m’entendais pas auparavant a commencé à m’aider de manière proactive et à empêcher les autres de m’intimider. Ma jeune âme a alors ressenti qu’il était vraiment bon de croire en Dieu, et que Dieu était mon pilier chaque fois que j’avais besoin de Lui. Je voulais me dépenser pour Dieu et faire un devoir comme ma mère quand je serais grande. Lorsque je suis entrée à l’école secondaire, j’ai commencé à assister officiellement à des réunions. Parfois, je demandais une dispense pour assister à des réunions, même si cela signifiait prendre du retard en classe. J’ai toujours été sujette aux maladies, j’avais des vertiges et j’avais souvent besoin d’injections et de médicaments, mais lorsque j’ai commencé à croire en Dieu, j’ai aussi commencé à aller mieux. Ce fut une expérience encore plus profonde de la grâce et des bénédictions de Dieu. Un jour, lors d’une réunion, quand j’ai entendu les frères et sœurs dire que c’était le moment crucial pour accomplir les devoirs, je me suis dit : « J’ai vraiment de la chance de vivre à l’époque de l’incarnation de Dieu, de l’expression de la vérité et du salut de l’humanité. Je dois saisir cette opportunité, tout mettre dans ma foi et bien faire mon devoir. » À ce moment-là, je n’ai pas hésité à me retirer du lycée d’élite que je fréquentais et j’ai commencé à faire mon devoir avec mes frères et sœurs. Je pensais que tant que je pratiquerais bien la foi et que j’accomplirais mon devoir avec enthousiasme, Dieu m’accorderait certainement sa grâce et veillerait à ce que tout se passe bien pour moi. Dès lors, j’ai assisté aux rassemblements et accompli mon devoir, qu’il pleuve ou qu’il vente. En hiver, il n’y avait pas de bus direct pour se rendre à l’endroit où j’arrosais les nouveaux arrivants, je devais donc faire plusieurs heures de vélo pour m’y rendre. Mon corps souffrait un peu, mais je pensais que la souffrance en valait la peine tant que je recevais les soins et les bénédictions de Dieu.
En avril 2020, j’ai accompli mon devoir loin de chez moi. Un midi, j’ai soudain senti mon cœur battre très fort et très vite, ma poitrine était si serrée que je n’arrivais pas à respirer, j’ai commencé à trembler et à me sentir faible. Je pouvais à peine tenir les baguettes que j’utilisais pour manger. J’étais mal à l’aise, mais je n’étais pas si inquiète. Je me suis dit : « J’ai toujours eu des problèmes cardiaques depuis que je suis jeune. J’ai des palpitations quand je suis fatiguée, mais ce n’est jamais un gros problème, alors ce n’est probablement pas le cas cette fois-ci non plus. De plus, Dieu est tout-puissant et mon corps et ma santé sont entre Ses mains. Tant que je reste fidèle à mon devoir, Dieu me protégera et veillera à ce qu’il ne m’arrive rien. » Ce soir-là, je me suis sentie un peu mieux. Les jours suivants, j’ai prié Dieu et placé ma maladie entre Ses mains. Si je parlais trop, j’avais des palpitations et je me sentais fatiguée, mais je pouvais encore manger et boire régulièrement les paroles de Dieu et continuer à faire mon devoir. Je me suis dit que Dieu me mettait probablement à l’épreuve avec cette situation et que tant que j’accomplirais mon devoir, Dieu me traiterait avec grâce et je me sentirais mieux, petit à petit. Mais à ma grande surprise, peu de temps après, j’ai eu un nouvel épisode. J’étais en train de dîner quand, tout à coup, j’ai commencé à avoir des palpitations, mes mains ont commencé à trembler et je ne parvenais plus à tenir la nourriture avec mes baguettes. Peu après, j’ai commencé à trembler, mon cœur battait de façon irrégulière. Mon visage a rougi, mes mains et mes pieds sont devenus froids et engourdis, et je me suis mise à trembler de façon incontrôlable. J’ai commencé à manquer d’air et j’ai eu une sensation de suffocation comme je n’en avais jamais connu auparavant. J’étais terrifiée à l’idée de ne pas pouvoir continuer à respirer et je me suis donc mise à prier Dieu en continu en Lui disant : « Oh mon Dieu, je ne veux pas mourir tout de suite, s’il Te plaît, sauve-moi. » Une sœur a commencé à appuyer sur un point d’acupuncture utilisé en cas d’urgence et m’a donné des médicaments. Au bout d’environ dix minutes, les convulsions ont cessé, mais je me sentais incroyablement faible et il m’était très difficile de parler. La sœur m’a emmenée à l’hôpital pour faire des examens et le médecin m’a dit que j’avais une maladie cardiaque congénitale. Avec l’âge, l’accumulation de déchets dans le sang et l’obstruction croissante des vaisseaux sanguins, mon débit cardiaque diminuerait et mon état s’aggraverait. Il n’existait pas de médicaments pour ma maladie et je ne pouvais que prendre certaines herbes chinoises et me reposer davantage. S’il n’y avait pas d’autres épisodes, j’irais bien, mais si je faisais une rechute, cela pourrait être très grave. Si je faisais beaucoup de rechutes, mon état de santé se dégraderait énormément et j’aurais peut-être besoin d’une opération. Je ne pouvais pas m’empêcher de m’inquiéter et je me disais : « J’ai fait mon devoir avec constance et enthousiasme, alors pourquoi Dieu ne me protège-t-il pas ? Pourquoi mon état s’est-il aggravé ? » J’ai prié Dieu silencieusement : « Dieu, Tu es tout-puissant et ma santé est entre Tes mains. Je ne demande pas à être aussi en forme qu’une personne normale et en bonne santé, et ce n’est pas grave si je suis un peu plus faible, tant que je n’ai pas de rechute et que je peux me rétablir lentement. Mon corps ne peut pas supporter toutes ces rechutes. Si ma santé devait vraiment se dégrader, que ferais-je alors ? » Par la suite, même si je prenais des médicaments, j’avais constamment peur d’avoir un nouvel épisode et je priais Dieu tous les jours pour ma santé. J’ai pourtant continué à avoir des problèmes cardiaques fréquents. Je me sentais bien pendant quelques jours, puis j’avais soudain une nouvelle crise, après laquelle je me sentais très faible. Comme j’étais en mauvaise santé, l’Église m’a demandé de rentrer chez moi pour me reposer et de faire ce que j’étais capable de faire.
À la maison, mon état de santé ne s’est pas amélioré malgré la prise de plantes médicinales. J’ai continué à avoir des palpitations et des engourdissements dans les mains, accompagnés de convulsions et d’essoufflement. Ma poitrine se resserrait tellement que j’avais l’impression que j’allais suffoquer. Les médicaments d’urgence dont je disposais pouvaient soulager temporairement les symptômes, mais ceux-ci revenaient toujours. Quand j’étais malade, le simple fait de me retourner dans mon lit m’épuisait tellement que j’avais des palpitations. Je passais au moins la moitié de ma journée au lit. Je me sentais terriblement isolée et impuissante. Les larmes coulaient sans cesse, et les plaintes et les malentendus surgissaient dans mon esprit. Je n’avais jamais vu quelqu’un d’autre souffrir d’épisodes cardiaques aussi fréquents. J’étais déjà si faible. Si cela continuait, ne serais-je pas condamnée ? Ma famille n’avait pas d’argent pour payer mon opération, alors j’étais censée continuer à endurer ? Je ne n’avais que 20 ans, allais-je devoir passer le reste de ma vie à rechuter continuellement et à être essentiellement handicapée ? Peut-être qu’un jour, je m’écroulerais et je mourrais. « Oh Dieu, ces dernières années, j’ai abandonné mes études et sacrifié ma jeunesse pour Te suivre. Je n’ai rien demandé d’autre, tout ce que je souhaite, c’est que Tu me gardes saine et sauve, alors pourquoi mon état a-t-il empiré ? Même après être tombée malade, j’ai continué à faire mon devoir. Pourquoi ne m’as-Tu pas protégée ? Quand irai-je mieux ? » Plus je réfléchissais, plus je me sentais lésée et attristée, et il m’arrivait souvent de m’allonger sur mon lit et de pleurer. J’achetais souvent des médicaments dont j’avais entendu dire qu’ils étaient bénéfiques pour les maladies cardiaques. Je n’utilisais que la médecine chinoise afin d’éviter les effets secondaires de la médecine occidentale. Mais après avoir pris des herbes pendant un certain temps, je n’allais toujours pas mieux et je sombrais souvent dans la négativité. Certains frères et sœurs qui voyaient ce que je vivais me communiquaient les intentions de Dieu, me disant que je devais tirer des leçons de la situation et chercher la vérité pour résoudre mon tempérament corrompu. Certains trouvaient des vidéos de témoignages d’expérience sur la maladie à partager avec moi. Cela a eu un certain impact sur moi : je n’avais pas cherché l’intention de Dieu dans ma maladie et je m’étais contentée de me plaindre au lieu de chercher la vérité. Où était mon témoignage ? Je devais cesser d’être aussi dépravée et commencer à chercher la vérité pour résoudre mes problèmes. Comprenant cela, j’ai prié Dieu en disant : « Dieu tout-puissant, je comprends en théorie que Tes bonnes intentions sont derrière ma maladie, et tout ce que Tu fais est bon. Mais les rechutes constantes font vraiment souffrir mon corps. Je me sens vraiment déprimée et abattue. Oh Dieu, je sais que je ne vais pas bien, et je suis prête à me tourner vers Toi et à cesser d’être si négative. Je Te prie de m’éclairer et de me guider vers une véritable compréhension de moi-même et de me délivrer de cet état négatif. »
Après cela, j’ai commencé à chercher des passages des paroles de Dieu en rapport avec mon état. Un jour, je suis tombée sur ce passage : « “La croyance en Dieu” signifie croire qu’il y a un Dieu ; c’est le concept le plus simple en ce qui concerne la foi en Dieu. De plus, croire qu’il y a un Dieu n’est pas la même chose que croire véritablement en Dieu ; au contraire, c’est une sorte de foi simple avec de fortes connotations religieuses. Voici ce que signifie la véritable foi en Dieu : sur la base d’une croyance que Dieu est souverain sur toutes choses, chacun fait l’expérience de Ses paroles et de Son œuvre, se libère de son tempérament corrompu, satisfait les intentions de Dieu et connaît Dieu. Seul un tel parcours peut être appelé “foi en Dieu”. Pourtant, les gens considèrent souvent que croire en Dieu est quelque chose de simple et de frivole. Les gens qui croient en Dieu de cette façon ne savent plus ce que cela signifie de croire en Dieu ; même s’il se peut qu’ils continuent de croire jusqu’au bout, ils n’obtiendront jamais l’approbation de Dieu, parce qu’ils empruntent le mauvais chemin. Aujourd’hui, il y a encore ceux qui croient en Dieu selon des paroles et une doctrine vide de sens. Ils ignorent qu’il leur manque l’essence de la croyance en Dieu et qu’ils ne peuvent pas obtenir l’approbation de Dieu. Malgré cela, ils prient Dieu pour qu’Il leur offre la sécurité et une grâce suffisante. Arrêtons-nous, faisons taire notre cœur et demandons-nous : croire en Dieu pourrait-il réellement être la chose la plus facile sur terre ? Croire en Dieu pourrait-il ne rien signifier de plus que recevoir beaucoup de grâces de Dieu ? Les gens qui croient en Dieu sans Le connaître, ou qui croient en Dieu, mais s’opposent à Lui sont-ils à même de satisfaire les intentions de Dieu ? » (La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, Préface). Dieu demande : « Croire en Dieu pourrait-il réellement être la chose la plus facile sur terre ? Croire en Dieu pourrait-il ne rien signifier de plus que recevoir beaucoup de grâces de Dieu ? Les gens qui croient en Dieu sans Le connaître, ou qui croient en Dieu, mais s’opposent à Lui sont-ils à même de satisfaire les intentions de Dieu ? » Chacune des questions de Dieu m’a fait ressentir de la honte. Même si je croyais en Dieu depuis très longtemps, je n’avais aucune idée de ce qu’était la vraie foi. Dieu dit que la vraie foi exige de faire l’expérience de l’œuvre et des paroles de Dieu, de se soumettre à chaque situation que Dieu présente et de chercher la vérité et Ses intentions dans ces situations, de réfléchir à son propre tempérament corrompu et aux impuretés de sa foi pour parvenir à la compréhension de la vérité et à la connaissance de Dieu et entrer dans la vérité-réalité. Seule une telle foi peut mériter l’approbation de Dieu. Si les gens souhaitent seulement obtenir la grâce et les bénédictions de Dieu mais ne cherchent pas les intentions de Dieu lorsqu’ils sont confrontés à des situations indésirables et ne font pas l’expérience des paroles et de l’œuvre de Dieu, alors c’est une foi de nom seulement, c’est une foi religieuse. Dieu n’accepte pas ce type de foi. Dieu fait l’œuvre de jugement, de châtiment, d’épreuve et d’épurement dans les derniers jours. Ce n’est qu’en faisant l’expérience du jugement des paroles de Dieu, en étant éprouvé par les divers environnements que Dieu orchestre, en cherchant la vérité et en apprenant à se connaître et à connaître Dieu à travers ces choses, que l’on progresse dans la vie. Je me suis rappelé que certains frères et sœurs étaient plus malades que moi, que certains avaient même été déclarés incurables par les hôpitaux, mais que cela ne les avait pas empêchés de chercher la vérité à travers leurs maladies, d’acquérir la connaissance de leur corruption, de rectifier leurs opinions erronées sur la croyance en Dieu et de faire des progrès. Bien que j’aie prétendu croire en Dieu pendant toutes ces années et que j’aie souvent échangé avec d’autres de la nécessité d’expérimenter les paroles et l’œuvre de Dieu dans la foi, lorsque je suis tombée malade moi-même, je n’ai pas cherché l’intention de Dieu et j’ai vécu dans un état négatif dont je ne parvenais pas à sortir. Ainsi, après être tombée malade, je n’ai obtenu aucune vérité. J’ai réalisé que je ne souffrais pas à cause de l’environnement que Dieu avait orchestré, mais parce que je ne cherchais pas la vérité. Étant donné que je croyais en Dieu, je devais me soumettre, chercher la vérité à travers ma maladie et rester ferme dans mon témoignage pour satisfaire Dieu. C’est la raison que j’aurais dû avoir. Réalisant tout cela, j’ai prié Dieu en disant : « Quoi qu’il arrive avec ma maladie, je suis prête à me soumettre et à me concentrer sur la recherche de la vérité pour résoudre mes problèmes. »
Plus tard, je suis tombée sur ce passage des paroles de Dieu : « Dès qu’il a commencé à croire en Lui, l’homme L’a considéré comme une corne d’abondance, un couteau suisse, et il s’est vu comme Son plus grand créancier, comme si c’était son droit et son obligation inhérents d’essayer d’obtenir de Lui des bénédictions et des promesses, tandis que Sa responsabilité était de le protéger, d’en prendre soin et de subvenir à ses besoins. Telle est la compréhension de base de la “croyance en Dieu” qu’ont ceux qui croient en Lui et voilà leur compréhension la plus approfondie de ce concept. De la nature-essence de l’homme à sa quête subjective, rien ne concerne la crainte de Dieu. Pour l’homme, le but de la croyance en Lui ne pourrait absolument pas avoir le moindre rapport avec l’adoration de Dieu. C’est-à-dire que l’homme n’a jamais considéré ni compris que croire en Lui exige de Le craindre et de L’adorer. Compte tenu de ces conditions, l’essence de l’homme est évidente. Et quelle est-elle ? C’est que le cœur de cet homme est méchant, recèle trahison et de tromperie, n’aime pas l’équité, la droiture ni ce qui est positif et est méprisable et cupide. Le cœur de l’homme ne pourrait pas être plus fermé à Dieu. Il ne le Lui a pas donné du tout. Dieu n’a jamais vu le vrai cœur de l’homme et Il n’a jamais été adoré par lui non plus. Quel que soit le prix que Dieu paie, l’ampleur de Son œuvre ou l’importance de Son apport à l’homme, celui-ci reste aveugle et totalement indifférent. Il ne Lui a jamais donné son cœur, il veut seulement s’occuper lui-même de son cœur et prendre ses propres décisions. Cela sous-entend que l’homme ne veut pas suivre la voie de la crainte de Dieu et de l’éloignement du mal, ni se soumettre à Sa souveraineté et à Ses arrangements, ni non plus L’adorer comme Dieu. Tel est l’état de l’homme aujourd’hui. Maintenant, regardons Job de nouveau. Tout d’abord, a-t-il transigé avec Dieu ? Avait-il des arrière-pensées en s’accrochant fermement à la voie de la crainte de Dieu et de l’éloignement du mal ? À cette époque, Dieu avait-Il parlé à qui que ce soit de la fin à venir ? En ce temps-là, Dieu n’avait fait de promesses à personne à propos de la fin. C’est dans ce contexte que Job a pu Le craindre et s’éloigner du mal. Les gens d’aujourd’hui peuvent-ils rivaliser avec lui ? La disparité est trop grande, ils ne jouent pas dans la même cour. Bien que Job ne connût pas beaucoup Dieu, il Lui avait donné son cœur et Lui appartenait. Il n’a jamais transigé avec Lui et n’avait pas de désirs extravagants envers Lui ni d’exigences de Lui. Au contraire, il croyait que “L’Éternel a donné, et l’Éternel a ôté.” C’est ce qu’il avait vu et obtenu en restant fidèle à la voie de la crainte de Dieu et de l’éloignement du mal pendant de nombreuses années. De même, il a également obtenu le résultat suivant : “nous recevons de Dieu le bien, et nous ne recevrions pas aussi le mal !” Ces deux phrases expriment ce qu’il avait vu et appris grâce à son attitude de soumission envers Dieu durant les expériences de sa vie. Elles étaient aussi ses armes les plus puissantes au moment de triompher des tentations de Satan, ainsi que le fondement de son inflexibilité dans son témoignage de Dieu » (La Parole, vol. 2 : Sur la connaissance de Dieu, L’œuvre de Dieu, le tempérament de Dieu et Dieu Lui-même II). Dieu a complètement exposé les points de vue des hommes en matière de croyance. Les hommes ne traitent pas Dieu comme Dieu, mais plutôt comme une corne d’abondance, un couteau suisse, ils se considèrent comme les plus grands créanciers de Dieu, et ils essaient de Lui arracher la grâce avec avidité. Ce type de croyance est impur et transactionnel et manque du moindre soupçon de sincérité. Dieu a parlé directement à mon état actuel. Lorsque ma famille a connu des difficultés et n’avait nulle part où aller, j’ai fait l’expérience des bénédictions et de la protection de Dieu, j’ai donc pensé que Dieu nous assurerait, à ma mère et à moi, une vie paisible et sereine. Je pensais que la croyance en Dieu me garantirait une immunité totale contre les souffrances, tout au long de ma vie. Si quelque chose arrivait, Dieu me protégerait et serait responsable de mon bien-être. Au cours de ces années, je prenais ainsi mes désirs pour des réalités dans ma quête et c’est l’obtention de la grâce et des bénédictions de Dieu qui m’a motivée à tout abandonner pour faire mon devoir. Lorsque je suis tombée malade et que Dieu ne m’a pas guérie, j’ai immédiatement changé. C’était comme si mon espoir de longue date avait été anéanti. J’ai commencé à argumenter auprès de Dieu sur la base de ce que j’avais abandonné et dépensé au cours des années précédentes. J’ai demandé à Dieu pourquoi Il me traitait ainsi, et je rechignais même à prier ou à lire Ses paroles. Je vivais dans un état négatif et rebelle. Ces années-là, Dieu m’avait protégée et avait pris soin de moi et m’avait accordé des grâces et des bénédictions matérielles par pitié pour ma petite stature, mais je n’étais pas du tout reconnaissante et j’étais même devenue plus avide. Après m’être dépensée un petit peu, j’ai exigé que Dieu me protège toute ma vie et quand j’ai vu que ce n’était pas le cas, je me suis mise en colère contre Lui. Comme j’étais effrontée et déraisonnable ! Job n’a jamais rien exigé de Dieu, il craignait Dieu et s’éloignait du mal, quelle que soit la situation ou l’environnement. Lorsque Dieu le bénissait, il Le remerciait, mais quand sa situation a changé et qu’il a perdu ses biens, que ses enfants sont morts et qu’il a eu des furoncles douloureux ; il a continué à avoir foi en Dieu et à Le craindre, et il ne s’est jamais plaint de Lui. Il a même loué le nom de Dieu. Quelle qu’ait été l’évolution de sa situation, il a su rester à sa place d’être créé et se soumettre à Dieu. Job était un véritable croyant en Dieu. Son humanité et sa raison m’ont fait honte. Je n’avais pas de véritable foi en Dieu, et je Le traitais comme un couteau suisse. Je voulais que la grâce et les bénédictions de Dieu m’accompagnent en permanence. Je n’arrivais pas à croire à quel point j’étais devenue égoïste ! J’ai pensé à la foule que le Seigneur Jésus avait nourrie avec cinq pains et deux poissons pendant l’ère de la Grâce. Ils ne s’intéressaient pas à Son sermon et voulaient juste obtenir la grâce, les bénédictions et les avantages de Sa part. Ce n’étaient que des opportunistes et des non-croyants. J’ai vu que mon avidité n’était pas différente de celle de la foule qui souhaitait simplement être nourrie et avoir le ventre plein. J’étais terriblement dépravée et j’ai certainement dégoûté et révolté Dieu. Si je continuais à croire sur la base de tels points de vue, je n’atteindrais jamais la vérité et le salut, même si je croyais toute ma vie. J’ai vu que ma maladie était la plus grande grâce que Dieu m’avait donnée. Si je n’avais pas été révélée par ma maladie, je n’aurais pas reconnu à quel point mon désir de bénédiction était fort, à quel point j’étais avide et méprisable. Il n’y aurait alors eu aucune chance que je me transforme. Dieu ne m’a pas traitée en fonction de mes actes et m’a même aidée par l’intermédiaire de frères et de sœurs ; il m’a éclairée et guidée pour que je comprenne Ses intentions à travers Ses paroles. Je me suis sentie honteuse et coupable, indigne de l’amour et du salut de Dieu. J’ai prié Dieu en pleurant, en disant : « Oh mon Dieu, en étant révélé par la maladie j’ai appris que pendant toutes ces années, je n’ai fait qu’exiger de Toi la grâce, et que je me plaignais quand je ne l’obtenais pas. Je Te dois trop et je ne suis pas digne d’être une croyante. Je sais que je suis très corrompue et que j’ai besoin de cette maladie pour m’épurer et me purifier. Même si je dois vivre avec cette maladie pour le reste de ma vie, je m’y soumettrai et ne me plaindrai plus jamais de Toi. » À ma grande surprise, lorsque mon attitude a changé, mon corps a commencé à guérir progressivement. Je n’avais plus d’épisodes aussi fréquents et j’ai pu recommencer à faire mon devoir.
Un jour, je suis tombée sur un passage des paroles de Dieu qui m’a permis de mieux comprendre mon état. Dieu Tout-Puissant dit : « Peu importe toutes les choses qui peuvent lui arriver, l’antéchrist est un type de personne qui n’essaie jamais de les aborder en cherchant la vérité dans les paroles de Dieu, et qui essaie encore moins de voir les choses à travers les paroles de Dieu – ce qui est entièrement dû au fait qu’il ne croit pas que chaque ligne des paroles de Dieu est la vérité. Quelle que soit la façon dont la maison de Dieu échange sur la vérité, les antéchrists demeurent sourds et, par conséquent, n’ont pas la bonne attitude, quelle que soit la situation à laquelle ils sont confrontés. Quand il s’agit, en particulier, de leur manière d’aborder Dieu et la vérité, les antéchrists refusent obstinément de mettre leurs notions de côté. Le dieu auquel ils croient est le dieu qui accomplit des signes et des miracles, un dieu surnaturel. Ils appellent dieu quiconque peut accomplir des signes et des miracles, que ce soit le Bodhisattva Guayin, Bouddha ou Mazu. Ils croient que seuls ceux qui peuvent accomplir des signes et des miracles sont des dieux qui possèdent l’identité des dieux, et que ceux qui ne le peuvent pas, quel que soit le nombre de vérités qu’ils expriment, ne sont pas nécessairement des dieux. Ils ne comprennent pas que l’expression de la vérité est le grand pouvoir et la toute-puissance de Dieu ; au contraire, ils pensent que seul le fait d’accomplir des signes et des miracles est le grand pouvoir et la toute-puissance des dieux. Par conséquent, en ce qui concerne l’œuvre concrète de Dieu incarné exprimant la vérité pour conquérir et sauver les gens, abreuvant, guidant et conduisant le peuple élu de Dieu, lui permettant d’expérimenter réellement le jugement, le châtiment, les épreuves et l’épurement de Dieu, et d’en venir à comprendre la vérité, à se débarrasser de leurs tempéraments corrompus et à devenir des gens qui se soumettent à Dieu et L’adorent, et ainsi de suite. Les antichrists considèrent tout cela comme le travail de l’homme, et non l’œuvre de Dieu. Dans l’esprit des antéchrists, les dieux devraient se cacher derrière un autel, et amener les gens à leur faire des offrandes, manger les aliments que les gens offrent, inhaler la fumée de l’encens qu’ils brûlent, tendre une main secourable lorsqu’ils ont des ennuis, montrer qu’ils sont très puissants et proposer une aide immédiate aux gens dans les limites de ce qui leur est compréhensible, et satisfaire leurs besoins, quand ils demandent de l’aide et sont sincères dans leurs supplications. Pour les antéchrists, seul un tel dieu est un vrai dieu. En même temps, tout ce que Dieu fait aujourd’hui se heurte au mépris des antéchrists. Et pourquoi cela ? À en juger par leur nature-essence, ce que les antéchrists exigent, ce n’est pas l’œuvre d’abreuvement, de conduite et de salut que le Créateur accomplit sur les êtres créés, mais c’est la prospérité et l’accomplissement de leurs aspirations en toutes choses, et c’est de ne pas être punis dans cette vie et d’aller au ciel dans la vie à venir. Leur point de vue et leurs besoins confirment leur essence de haine de la vérité » (La Parole, vol. 4 : Exposer les antéchrists, Point 15 : Ils ne croient pas à l’existence de Dieu et ils nient l’essence de Christ (Partie I)). Lorsque j’ai lu ce passage pour la première fois, j’ai été un peu surprise : Ne décrivait-il pas exactement mon état actuel ? Auparavant, je savais seulement que ma perspective sur la poursuite de ma foi était erronée, mais après avoir lu ce passage, j’ai pris conscience que tout ce temps, j’avais cru au Dieu de mes idées et de mon imagination. Dans le passé, j’avais bénéficié d’une grande partie de la grâce de Dieu et j’avais été témoin de certains de ses actes. Il s’agissait de la miséricorde et de la protection de Dieu à notre égard et Son ouverture d’un chemin pour nous en fonction de nos problèmes, nous permettant de mener une vie normale et d’avoir une situation convenable pour Le suivre. Lorsque j’ai commencé à comprendre progressivement certaines vérités, Dieu orchestrait des situations appropriées pour me purifier et me transformer en fonction de ce qui était nécessaire dans ma vie et me permettait d’acquérir une connaissance de Lui. C’est l’une des façons dont Dieu sauve l’humanité. Pourtant, après avoir bénéficié de tant de grâce de la part de Dieu, je L’ai limité dans mes notions, croyant qu’il était le Dieu de la grâce et des bénédictions. Lorsque les actions de Dieu n’étaient pas conformes à mes attentes, je Le jugeais sur la base de mes notions, croyant qu’Il devait me protéger et ne pas me laisser tomber malade. Je reconnaissais le nom de Dieu en paroles, mais je croyais au Dieu vague de mes notions et de mon imagination. C’était un blasphème à l’égard de Dieu. En réalisant cela, je me suis sentie horrifiée et j’ai compris encore plus que cette maladie était une sorte de grâce pour moi, car elle m’aidait à rectifier mes notions sur Dieu. C’était tout l’amour et le salut de Dieu. Je me suis empressée de prier Dieu de me repentir. Ma maladie n’était pas ponctuelle, elle était chronique et imprévisible, je devais donc chercher un chemin d’entrée.
Plus tard, j’ai vu ces passages des paroles de Dieu : « Tu penses peut-être que croire en Dieu c’est souffrir, ou faire beaucoup de choses pour Lui. Tu penses peut-être que l’objectif de la croyance en Dieu est que ta chair soit en paix, ou que tout se passe bien dans ta vie, ou que tu sois à ton aise en toute chose. Toutefois, aucune de ces raisons ne devrait justifier la croyance des hommes en Dieu. Si c’est ce que tu crois, alors ta perspective est incorrecte et tu ne pourras tout simplement pas être rendu parfait. Les actions de Dieu, le tempérament juste de Dieu, Sa sagesse, Ses paroles, Sa splendeur et Sa nature insondable sont toutes des choses que les gens devraient comprendre. Utilise cette compréhension pour te débarrasser de tes demandes, notions et espoirs personnels qui sont dans ton cœur. Ce n’est qu’en éliminant ces éléments que tu pourras répondre aux conditions posées par Dieu. Ce n’est que par cela que tu pourras avoir la vie et satisfaire Dieu. Croire en Dieu vise à Le satisfaire et à vivre avec le tempérament qu’Il exige, de sorte que Ses actions et Sa gloire puissent se manifester à travers ce groupe de personnes indignes. C’est la bonne perspective pour croire en Dieu, et aussi le but que tu devrais rechercher. Tu devrais avoir le juste point de vue de croire en Dieu et chercher à obtenir les paroles de Dieu. Tu dois manger et boire les paroles de Dieu, être capable de vivre la vérité et en particulier, de voir Ses actes concrets, Ses actes merveilleux à travers tout l’univers, ainsi que l’œuvre concrète qu’Il accomplit dans la chair. Par leurs expériences réelles, les hommes peuvent apprécier comment Dieu fait exactement Son œuvre en eux et ce qu’est Ses intentions pour eux. Tout cela a pour but d’éliminer leur tempérament satanique corrompu. […] Seules les personnes qui poursuivent réellement la vérité, qui cherchent la connaissance de Dieu et poursuivent la vie sont celles qui croient véritablement en Dieu » (La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, Ceux qui doivent être rendus parfaits doivent subir l’épurement). « Tu crois en Dieu et tu suis Dieu, et donc tu dois avoir un cœur qui aime Dieu. Tu dois te débarrasser de ton tempérament corrompu, tu dois chercher à satisfaire les intentions de Dieu, et tu dois mener à bien le devoir d’un être créé. Puisque tu crois en Dieu et Le suis, tu devrais tout Lui offrir et ne devrais pas faire des demandes ou des choix personnels, et tu devrais arriver à satisfaire les intentions de Dieu. Puisque tu as été créé, tu devrais te soumettre au Seigneur qui t’a créé, car tu ne peux pas intrinsèquement te dominer toi-même, et tu n’as aucune capacité à contrôler ton propre destin. Puisque tu es une personne qui croit en Dieu, tu devrais poursuivre la sainteté et le changement » (La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, Le succès ou l’échec dépendent du chemin que l’homme emprunte). Grâce aux paroles de Dieu, j’ai acquis une certaine compréhension de Ses exigences. Dans notre foi, nous ne devons pas rechercher les bénédictions et la paix mais plutôt nous tenir à notre place d’êtres créés pour faire l’expérience de l’œuvre de Dieu, comprendre les intentions de Dieu et Son tempérament à travers diverses situations, réfléchir sur nous-mêmes, nous connaître et renoncer à notre désir de bénédiction et à nos impuretés à travers ces situations. Ce n’est qu’ainsi que nous pourrons réaliser la transformation de nos tempéraments et atteindre le salut. Dans le passé, ma foi était basée sur l’obtention de la grâce. Ainsi, bien que malade depuis si longtemps, je n’ai jamais cherché la vérité et il y a eu des pertes dans ma vie. Lorsque je me suis soumise, que j’ai cherché la vérité et commencé à faire l’expérience des paroles et de l’œuvre de Dieu, j’ai commencé à percevoir les bonnes intentions de Dieu. Ma chair a souffert jusqu’à un certain point, mais cette situation a rectifié ma vision erronée de la foi et m’a permis de reconnaître mes intentions méprisables dans ma foi et de les rectifier à temps. Ce fut un exemple encore plus grand de la miséricorde et de l’amour de Dieu, plus grand encore que la grâce et les bénédictions qu’il a communiquées à ma chair. Je n’étais pas encore complètement rétablie et j’avais parfois des crises. Je ne pouvais pas me contenter de me soumettre et de ne pas me plaindre de Dieu, je devais continuer à chercher Son intention, réfléchir à la corruption que j’avais révélée, aux aspects de moi que Dieu détestait encore et accepter le jugement et le châtiment des paroles de Dieu pour résoudre mon tempérament corrompu. C’était le chemin que je devais parcourir. Après en avoir pris conscience, je me suis sentie moins éloignée de Dieu, je suis devenue plus proactive dans mon devoir, j’ai commencé à me concentrer sur l’examen des problèmes dans mon travail, j’ai étudié les principes liés aux domaines dans lesquels j’avais des lacunes et j’ai commencé à voir mes compétences professionnelles s’améliorer. Progressivement, ma santé a commencé à s’améliorer et les crises sont devenues moins fréquentes. Merci à Dieu de m’avoir guidée pour parvenir à cette compréhension et à cette transformation.
La douleur cessera et les larmes s'arrêteront. Faites confiance à Dieu, Il a entendu nos appels dans notre souffrance, et Il nous sauvera de notre douleur. Contactez-nous pour connaître la bonne nouvelle de Dieu de nous sauver.
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