Est-il juste de renoncer et de se dépenser pour recevoir des bénédictions

22 mars 2025

Par Su Enze, Chine

Je souffre d’hypertension, qui est héréditaire dans ma famille. En 2013, j’ai aussi commencé à avoir des maux de tête très intenses, qui revenaient tous les un ou deux jours. Lorsque la douleur survenait, je ne pouvais rien faire ; je me sentais totalement épuisé, incapable de tenir debout, et les maux de tête s’accompagnaient souvent de douleurs dentaires et de nausées. Malgré mes visites dans des hôpitaux importants, aucun diagnostic n’avait pu être posé. Parfois, la douleur était si intense que j’aurais pu me frapper la tête contre un mur, souhaitant plutôt mourir, mais en voyant ma femme et mon enfant nouveau-né, j’ai tenu bon. Plus tard, ma mère a partagé avec moi l’Évangile de Dieu Tout-Puissant des derniers jours, et j’ai placé mon espoir en Dieu, dans l’idée que puisque Dieu est Tout-Puissant, si je croyais en Lui de tout mon cœur, Il pourrait me bénir et guérir ma maladie. Après avoir commencé à croire en Dieu, ma condition s’est légèrement améliorée. Un jour, j’ai lu ces paroles de Dieu : « Ceux qui se dépensent sincèrement pour Moi, Je les bénirai certainement en abondance » (La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, Déclarations de Christ au commencement, Chapitre 55). J’étais rempli de joie et encore plus convaincu que, tant que je m’efforcerais de me dépenser pour Dieu, je serai béni par Lui à l’avenir. Plus tard, j’ai quitté mon travail bien rémunéré pour me consacrer pleinement à mon devoir, et peu importe la souffrance ou les difficultés que j’endurais, j’étais disposé et heureux de les affronter. Pendant ces années, mes maux de tête se sont nettement améliorés et la fréquence des crises a diminué. Quelques années plus tard, alors que je faisais mon devoir loin de chez moi, j’ai rencontré une sœur qui était médecin. Elle m’a expliqué que mes maux de tête étaient dus à une névralgie du trijumeau et m’a prescrit un médicament qui coûtait un peu plus de dix yuans. À ma grande surprise, après avoir pris le médicament pendant deux mois, ma névralgie du trijumeau a miraculeusement disparu. La maladie chronique dont j’avais souffert pendant des années avait disparu, et j’étais rempli de joie. Je savais qu’à première vue, on aurait cru que le médicament m’avait guéri, mais en réalité, c’était la grâce de Dieu qui m’avait touché. Il semblait que me dépenser pour Dieu apportait effectivement des récompenses, ce qui m’a encouragé à me dédier davantage à faire mon devoir.

En juillet 2023, j’ai commencé à me sentir constamment étourdi, et parfois j’avais aussi des maux de tête et des vertiges. Au début, je n’y ai pas prêté beaucoup d’attention, car je pensais qu’avec mon hypertension, des vertiges occasionnels étaient tout à fait normaux. Mais après plus d’un mois sans amélioration, les symptômes se sont aggravés au point où je ne pouvais accomplir mes devoirs que le matin. L’après-midi et le soir, ma tête se mettait à tourner et à me faire mal, et ma main gauche devenait engourdie. Lorsque les vertiges devenaient trop forts, je m’allongeais un moment pour me reposer. Un jour, après être sorti de la salle de bain, j’ai été pris de vertiges si forts que je me suis rapidement appuyé contre le mur et j’ai fermé les yeux, mais, contre toute attente, je me suis évanoui au bout de quelques instants. Lorsque je suis revenu à moi, j’ai ressenti une douleur intense à l’arrière de la tête et j’ai pris conscience que j’étais allongé sur le sol en béton. Après que mon frère m’a aidé à me relever, j’ai remarqué que j’avais cassé le cadre de la porte en tombant, et qu’il y avait une grosse bosse à l’arrière de ma tête. Je me suis dit : « Heureusement que je suis d’abord tombé contre le cadre de la porte ; si l’arrière de ma tête avait heurté le sol directement, les conséquences auraient été inimaginables ! » Je suis donc allé à l’hôpital pour un contrôle, et le diagnostic a révélé un infarctus cérébral. J’étais sous le choc et j’ai demandé au médecin : « Comment est-ce possible d’avoir un infarctus cérébral à un si jeune âge ? N’est-ce pas une maladie qui touche principalement les personnes âgées ? Est-ce qu’il n’y aurait pas une erreur ? » Le médecin m’a confirmé à plusieurs reprises qu’il s’agissait bien d’un infarctus cérébral et a organisé mon hospitalisation. Il m’a expliqué que si des petits vaisseaux sanguins étaient obstrués chez une personne jeune, en l’absence de traitement rapide, cela pourrait entraîner une obstruction des vaisseaux principaux, avec des conséquences graves. Les paroles du médecin me sont tombées sur le cœur comme une lourde pierre. J’avais vu beaucoup de personnes âgées souffrant d’infarctus cérébral ; certaines étaient gravement paralysées d’un côté du corps, parlaient de manière incompréhensible, avaient la bouche tordue, les yeux déviés, et des capacités mentales altérées. J’étais terrifié à l’idée de devenir comme elles et je me disais : « Si je finis comme ça, comment pourrai-je manger et boire les paroles de Dieu et accomplir mon devoir ? Sans accomplir mon devoir, comment pourrai-je gagner le salut ? » Ces pensées m’ont causé beaucoup d’angoisse et d’injustice, et j’ai commencé à me plaindre : « Pendant toutes ces années, j’ai mis ma famille et ma carrière de côté. Malgré les moqueries et les calomnies de mes proches et de mes amis, je n’ai jamais abandonné ma foi en Dieu. J’ai surmonté tant de difficultés pour faire mon devoir, alors pourquoi Dieu ne m’a-t-Il pas protégé ? Pourquoi m’a-t-Il permis d’attraper cette maladie ? Si je n’étais pas tombé malade, ne serais-je pas en mesure de faire mon devoir encore mieux ? » En particulier pendant mon séjour à l’hôpital, j’étais le plus jeune parmi près de cent patients, et lorsque ces derniers ont appris que j’avais cette maladie, ils étaient choqués et ont dit : « On peut comprendre que les personnes âgées aient cette maladie, mais comment une personne aussi jeune que toi peut avoir un infarctus cérébral ? » Entendre cela m’a encore plus bouleversé. En voyant plusieurs patients en soins intensifs qui s’étaient effondrés à cause d’infarctus cérébraux soudains, munis de tubes à oxygène et conscients de manière intermittente je me suis inquiété de finir comme eux si je m’évanouissais à nouveau. Je me suis dit : « Comment ai-je pu avoir autant de malchance pour finir par avoir une telle maladie ? » Je me sentais angoissé et inquiet. Après une période de traitement, mon état s’est stabilisé. De retour chez moi, je me suis concentré sur ma santé, je craignais de me surmener, et mes préoccupations ne tournaient plus autour de mon devoir.

Une nuit, alors que j’étais allongé dans mon lit, j’ai réfléchi au fait que ces derniers jours, je n’avais pas été aussi attentif à mes devoirs, car j’étais trop concentré sur ma santé, et je me suis senti un peu coupable. Le lendemain, j’ai prié Dieu : « Dieu Tout-Puissant, depuis que j’ai appris que j’ai un infarctus cérébral, je me suis constamment inquiété qu’il ne récidive et que je perde connaissance à nouveau. J’ai peur que si ma santé se dégrade gravement et que ma vie est en danger, je ne puisse pas gagner le salut. C’est pourquoi je n’ai pas été dans le bon état pour accomplir mon devoir et j’ai été plus inquiet de la préservation de ma santé. Dieu, je Te demande de m’accorder la foi et de me guider afin de chercher la vérité pour résoudre mon état. » Après ma prière, je me suis rappelé des paroles de Dieu qu’une sœur m’avait envoyés avant mon hospitalisation : « Dieu a prédéterminé la durée de vie de chacun. D’un point de vue médical, une maladie peut sembler en phase terminale, tandis que du point de vue de Dieu, si ta vie doit se poursuivre et que ton heure n’est pas encore venue, tu ne pourras pas mourir même si tu le veux. Si Dieu t’a donné un mandat, et que ta mission n’est pas terminée, tu ne mourras même pas d’une maladie qui est censée être mortelle : Dieu ne t’emportera pas encore. Même si tu ne pries pas et ne cherches pas la vérité, ou que tu ne t’occupes pas de traiter ta maladie, ou même si tu diffères ton traitement, tu ne mourras pas. C’est particulièrement vrai pour ceux qui ont reçu un mandat de la part de Dieu : tant que leur mission n’est pas encore achevée, quelle que soit la maladie qui les frappe, ils ne doivent pas mourir tout de suite. Ils doivent vivre jusqu’à la finalisation de leur mission. As-tu cette foi ? Si ce n’est pas le cas, tu n’offriras que des prières superficielles à Dieu : “Dieu ! Je dois mener à bien le mandat que Tu m’as donné. Je veux passer mes derniers jours dans la loyauté envers Toi, afin de ne pas laisser de regrets derrière moi. Tu dois me protéger !” Bien que tu pries ainsi, si tu ne prends pas l’initiative de chercher la vérité, alors tu n’auras pas la volonté et la force d’exercer ta loyauté. Comme tu n’as pas la volonté de payer le véritable prix, tu te caches souvent derrière ce type d’excuses et cette méthode pour prier Dieu et négocier avec Lui. Est-ce là une personne qui poursuit la vérité ? Si ta maladie venait à être guérie, serais-tu vraiment capable d’accomplir ton devoir correctement ? Pas forcément. De fait, que tu négocies pour guérir ta maladie et ne pas mourir, ou que tu le fasses parce que tu as une intention ou un objectif différent, du point de vue de Dieu, si tu peux accomplir ton devoir et que tu as encore une utilité, si Dieu a décidé de t’utiliser, alors tu ne mourras pas. Tu n’en seras pas capable, même si tu le souhaites. Mais si tu causes des problèmes, que tu commets toutes sortes d’actes malfaisants et que tu agaces le tempérament de Dieu, tu mourras rapidement, ta vie sera raccourcie. La durée de vie de chacun a été déterminée par Dieu avant la création du monde. Si chacun peut obéir aux arrangements et orchestrations de Dieu, alors, que la maladie les frappe ou non, et que leur santé soit bonne ou mauvaise, ils vivront le nombre d’années prédestinées par Dieu. As-tu foi en cela ? Si tu ne reconnais cela que parce que c’est la doctrine, alors ta foi n’est pas véritable, et il ne sert à rien de prononcer de belles paroles. Si tu confirmes du fond du cœur que Dieu agira ainsi, alors ton approche et ta façon de pratiquer vont changer naturellement » (La Parole, vol. 3 : Discours de Christ des derniers jours, Troisième partie). En lisant les paroles de Dieu, j’ai compris que la vie, la mort et la durée de vie de chaque personne sont toutes ordonnées par Dieu. Lorsque la mission d’une personne sur terre est terminée, sa durée de vie arrive à son terme, et c’est là que sa vie s’achève. Tant que la mission d’une personne n’est pas encore terminée, peu importe la gravité de sa maladie, sa vie ne s’achèvera pas. J’ai pris conscience que le moment de la mort d’une personne n’a rien à voir avec sa maladie, mais qu’il est déterminé par l’ordonnance de Dieu. J’ai pensé à certains frères et sœurs qui avaient été diagnostiqués avec des maladies très graves, et les médecins avaient annoncé qu’ils n’avaient plus longtemps à vivre, pourtant à la fin, leurs maladies ont miraculeusement guéri. J’avais également entendu parler d’un cas où un petit garçon était mort d’un simple rhume. Cela m’a fait comprendre que la vie et la mort d’une personne ne dépendent pas de la gravité de sa maladie, mais qu’elles sont déterminées par l’ordonnance de Dieu. Cependant, je n’avais pas encore vu cette question clairement. Après avoir appris que j’avais un infarctus cérébral, j’ai vécu dans la peur et l’inquiétude que ma condition ne s’aggrave, que je perde connaissance à nouveau, et qu’une chute violente ne mette ma vie en péril et ne me prive de l’opportunité de gagner le salut. Je me suis même plaint de ce que Dieu ne m’avait pas protégé et m’avait laissé contracter une telle maladie. À cause de cela, mon enthousiasme pour faire mon devoir avait diminué, et je me concentrais uniquement sur la préservation de ma santé, ce qui a révélé que je n’avais pas une foi véritable en Dieu. À présent, j’avais compris qu’il fallait que j’apaise mon cœur, que je fasse mon devoir avec diligence, et que je confie ma vie et ma mort à Dieu, Lui permettant de tout orchestrer. En pensant ainsi, je n’ai plus éprouvé la même tristesse ni la même inquiétude qu’auparavant, et mon cœur a pu se consacrer à l’accomplissement de mon devoir.

Plus tard, j’ai lu ces paroles de Dieu : « Certaines personnes pensent que croire en Dieu devrait apporter la paix et la joie et que, si elles font face à telle ou telle situation, elles n’ont qu’à prier Dieu pour que Celui-ci leur tende l’oreille, qu’Il leur accorde la grâce et les bénédictions et qu’Il veille à ce que tout se passe paisiblement et sans heurts pour elles. Leur but en croyant en Dieu est de chercher la grâce, de gagner des bénédictions et de profiter de la paix et du bonheur. C’est en raison de ces opinions qu’elles abandonnent leur famille ou quittent leur travail pour se dépenser pour Dieu et qu’elles peuvent endurer les difficultés et payer de leur personne. Elles croient que, du moment qu’elles renoncent à certaines choses, qu’elles se dépensent pour Dieu, endurent des difficultés et travaillent avec diligence, en faisant montre d’un comportement exceptionnel, elles gagneront les bénédictions et la faveur de Dieu et que, quelles que soient les difficultés qu’elles rencontrent, du moment qu’elles prient Dieu, Il les résoudra et leur ouvrira un chemin en toute chose. Tel est le point de vue de la majorité des gens qui croient en Dieu. Les gens estiment que ce point de vue est légitime et correct. La capacité de nombreuses personnes à maintenir leur foi en Dieu pendant des années sans abandonner leur foi est directement liée à ce point de vue. Elles se disent : “Je me suis tellement dépensé pour Dieu, mon comportement a été exemplaire et je n’ai commis aucun acte malfaisant ; Dieu me bénira sûrement. Comme j’ai beaucoup souffert et énormément payé de ma personne dans chaque tâche, en faisant tout selon les paroles et les exigences de Dieu sans commettre la moindre erreur, Dieu devrait me bénir ; Il devrait s’assurer que tout se passe bien pour moi et que la paix et la joie habitent régulièrement mon cœur, et que je profite de la présence de Dieu.” Ne s’agit-il pas là des notions et de l’imagination humaines ? D’un point de vue humain, les gens bénéficient de la grâce de Dieu et reçoivent des avantages, il est donc logique de souffrir un peu pour cela, et il vaut la peine d’échanger cette souffrance contre les bénédictions de Dieu. C’est là une mentalité qui consiste à passer des accords avec Dieu. Cependant, du point de vue de la vérité et du point de vue de Dieu, cela n’est fondamentalement pas conforme aux principes de l’œuvre de Dieu ni aux normes que Dieu exige des gens. Ce n’est là qu’un vœu pieux, ce sont des notions et des produits de l’imagination purement humains à propos de la croyance en Dieu. Qu’il s’agisse de conclure des accords avec Dieu ou d’exiger des choses de Lui, ou que cela contienne des notions et des produits de l’imagination humains, dans tous les cas, rien de tout cela ne s’aligne sur les exigences de Dieu, ni n’est conforme aux principes et aux normes de Dieu en matière de bénédiction des gens. Cette pensée et ce point de vue transactionnels offensent particulièrement le tempérament de Dieu, mais les gens ne s’en rendent pas compte. Lorsque Dieu fait des choses qui ne correspondent pas aux notions des gens, ils ne tardent pas à formuler des plaintes et à nourrir des malentendus à Son sujet dans leur cœur. Ils se sentent même lésés et commencent alors à raisonner avec Dieu, voire à Le juger et à Le condamner. Indépendamment des notions et des malentendus que les gens développent, de Son point de vue, Dieu n’agit ni ne traite jamais personne selon les notions ou les souhaits humains. Dieu fait toujours ce qu’Il désire faire, à Sa propre manière et selon Son propre tempérament-essence. Dieu a des principes dans la manière dont Il traite chaque personne ; rien de ce qu’Il fait à chaque personne ne se fonde sur les notions, les produits de l’imagination ou les préférences des humains – c’est là l’aspect de l’œuvre de Dieu le plus en contradiction avec les notions humaines. Lorsque Dieu arrange pour les gens un environnement qui contredit complètement leurs notions et les produits de leur imagination, ils se forgent dans leurs cœurs des notions, des jugements et des condamnations contre Dieu et peuvent même Le renier. Dieu peut-Il alors satisfaire leurs besoins ? Absolument pas. Dieu ne changera jamais Sa façon de travailler et Ses désirs en fonction des notions humaines. Qui doit changer, dans ce cas ? Les gens. Au lieu d’évaluer ce que Dieu fait à l’aune de leurs notions pour voir si c’est correct, les gens doivent abandonner leurs notions, accepter, se soumettre et faire l’expérience des environnements arrangés par Dieu, et chercher la vérité pour résoudre leurs propres notions. Lorsque les gens insistent pour s’accrocher à leurs notions, ils développent une résistance à l’égard de Dieu – cela se produit naturellement. Où se trouve la racine de cette résistance ? Elle réside dans le fait que ce sont sans aucun doute les notions et l’imagination des gens, et non la vérité, qui se trouvent généralement dans leur cœur. Par conséquent, lorsque l’œuvre de Dieu contredit les notions humaines, les gens peuvent défier Dieu et porter des jugements contre Lui. Cela prouve que les gens sont fondamentalement dénués d’un cœur soumis à Dieu, que leur tempérament corrompu est loin d’être purifié et qu’ils vivent essentiellement selon leur tempérament corrompu. Ils sont encore incroyablement loin d’atteindre le salut » (La Parole, vol. 5 : Les responsabilités des dirigeants et des ouvriers, Les responsabilités des dirigeants et des ouvriers (16)). « Certaines personnes, quel que soit l’environnement qu’elles rencontrent, ne cherchent pas la vérité. Au contraire, elles évaluent tous les environnements orchestrés par Dieu à partir de leurs notions, de leur imagination, et selon que cela leur est bénéfique ou non. Leurs considérations tournent toujours autour de leurs propres intérêts ; elles ne se soucient que de l’importance de l’avantage qu’elles peuvent tirer, du niveau de satisfaction de leurs intérêts en termes de choses matérielles, d’argent et de plaisir charnel ; et elles prennent toujours leurs décisions et abordent tout ce que Dieu organise en fonction de ces facteurs. Et au bout du compte, après s’être creusé la tête, elles choisissent de ne pas se soumettre à l’environnement organisé par Dieu, mais de le fuir et de l’éviter. Du fait de cette résistance, de ce rejet et de cet évitement, elles s’éloignent des paroles de Dieu, passent à côté de l’expérience de la vie et subissent des pertes, ce qui cause de la douleur et des tourments dans leur cœur. Plus elles s’opposent à ces environnements, plus la souffrance qu’elles endurent est grande. Lorsqu’une telle situation se présente, le peu de foi qu’elles ont en Dieu est finalement anéanti. À ce moment-là, les notions qui dominent leur cœur surgissent toutes en même temps : “Je me suis dépensé pour dieu pendant si longtemps, mais je ne m’attendais pas à ce que dieu me traite de cette façon. Dieu est injuste, il n’aime pas les gens ! Dieu a dit que ceux qui se dépensent sincèrement pour Lui ne manqueraient pas d’être bénis en abondance. Je me suis sincèrement dépensé pour dieu, j’ai renoncé à ma famille et à ma carrière, j’ai enduré des souffrances et j’ai travaillé dur – pourquoi dieu ne m’a-t-il pas béni en abondance ? Où sont les bénédictions de dieu ? Pourquoi ne puis-je pas les ressentir ou les voir ? Pourquoi dieu traite-t-il les gens injustement ? Pourquoi dieu ne respecte-t-il pas sa parole ? Les gens disent que dieu est fidèle, mais pourquoi ne puis-je pas ressentir sa fidélité ? En faisant abstraction de tout le reste, rien que dans cet environnement, je n’ai pas du tout senti que dieu était fidèle !” C’est parce que les gens ont des notions qu’ils se laissent facilement leurrer et égarer par elles. Même lorsque Dieu organise des environnements propices au changement de tempérament des gens et au développement de leur vie, ils ont du mal à l’accepter et comprennent incorrectement Dieu. Ils pensent que ce n’est pas la bénédiction de Dieu et que Dieu ne les aime pas. Ils pensent qu’ils se sont sincèrement dépensés pour Dieu, mais que Dieu n’a pas tenu Ses promesses. Ainsi, ces gens-là, qui ne poursuivent pas la vérité, sont si facilement révélés à la seule épreuve d’un environnement mineur » (La Parole, vol. 5 : Les responsabilités des dirigeants et des ouvriers, Les responsabilités des dirigeants et des ouvriers (16)). Dieu expose que les gens ont une certaine notion dans leur foi en Lui : Ils pensent que tant qu’ils renoncent à certaines choses et se dépensent pour Dieu, qu’ils endurent la souffrance et font des sacrifices pour Lui, alors Dieu devrait les bénir, les garder sous Sa surveillance, les protéger et leur accorder la paix intérieure et la joie. Lorsque Dieu ne les satisfait pas selon leurs notions, ils argumentent avec Lui, Le comprennent mal et se plaignent de Lui. C’est exactement ce que j’avais fait. Quand j’ai commencé à croire en Dieu, j’avais pensé que tant que je croyais pleinement en Lui, que j’étais disposé à endurer des difficultés et à payer un prix dans l’exécution de mon devoir, alors Dieu me bénirait et ma santé s’améliorerait. Motivé par ce point de vue, j’avais renoncé à ma famille et à ma carrière au fil des années pour accomplir mon devoir, et même lorsque ma névralgie du trijumeau me causait de terribles maux de tête, ou que ma pression artérielle élevée entraînait des vertiges, des vomissements et une grande faiblesse, je n’avais jamais retardé mon devoir. Je m’étais souvent réconforté en me disant que Dieu tiendrait compte de mes souffrances et de mes dépenses, et qu’Il veillerait sur moi et me protégerait, et qu’à l’avenir, Il m’accorderait de grandes bénédictions. Pourtant, lorsque j’avais appris que j’avais un infarctus cérébral, je m’étais senti injustement traité. J’avais pensé que Dieu ne m’avait pas béni avec une bonne santé ; et qu’au contraire, Il m’avait laissé contracter cette maladie, et au lieu de recevoir des bénédictions, j’avais subi le malheur. Cela m’a rempli de malentendus et de plaintes envers Dieu, et j’avais même argumenté avec Lui : « Si j’avais une bonne santé, ne serais-je pas capable d’accomplir mon devoir encore mieux ? » Je me suis rendu compte que pendant toutes ces années de foi en Dieu, je n’avais fait que tenter de marchander avec Lui et exiger des choses de Lui. Lorsque Dieu avait guéri ma maladie, j’étais devenu enthousiaste et diligent dans mon devoir, mais lorsqu’Il ne m’avait pas satisfait, ma motivation à accomplir mon devoir et à me dépenser pour Lui avait diminué. Je n’avais été rien d’autre qu’un être méprisable, uniquement préoccupé par mes propres intérêts, poursuivant avidement des bénédictions tout en fuyant les difficultés. J’avais été tellement égoïste ! Mes efforts avaient été manifestement pour moi-même et dans le but de gagner des bénédictions, mais j’avais pompeusement affirmé qu’ils visaient à satisfaire Dieu et à accomplir mon devoir. Quelle honte absolue !

Plus tard, j’ai lu un passage où Dieu expose et dissèque l’état de ceux qui croient en Lui uniquement pour gagner des bénédictions. Dieu dit : « Quel est le plus grand souci dans leur relation avec Dieu ? C’est que pour commencer, ils ne se sont jamais considérés comme des êtres créés et qu’ils n’ont jamais considéré Dieu comme le Créateur à adorer. Dès le début de leur croyance en Dieu, ils ont traité Dieu comme une vache à lait, une mine d’or ; ils L’ont considéré comme un Bodhisattva qui les délivrerait de la souffrance et du désastre, et se sont considérés comme les disciples de ce Bodhisattva, de cette idole. Ils ont pensé que croire en Dieu était comme croire en Bouddha, qu’il suffisait d’adopter un régime végétarien, de réciter les écritures, de brûler régulièrement de l’encens et de faire des courbettes pour obtenir ce qu’ils voulaient. Ainsi, tous les récits qui se sont développés après qu’ils ont cru en Dieu se sont produits dans les limites du domaine de leurs notions et de leur imagination. Ils ne montraient aucune des manifestations d’un être créé acceptant la vérité du Créateur, ni une once de la soumission qu’un être créé doit avoir envers le Créateur ; il n’y avait que des exigences constantes, des calculs permanents et des requêtes incessantes. Tout cela a finalement conduit à la rupture de leur relation avec Dieu. Ce type de relation est transactionnel et ne peut jamais rester ferme ; ce n’est qu’une question de temps avant que ces gens-là ne soient révélés » (La Parole, vol. 5 : Les responsabilités des dirigeants et des ouvriers, Les responsabilités des dirigeants et des ouvriers (16)). Après avoir lu les paroles de Dieu, j’ai ressenti une honte profonde. Les paroles de Dieu décrivaient exactement mon propre point de vue et ma poursuite. Ceux qui vénèrent Bouddha ou Guanyin les perçoivent comme des sources de richesse et de protection. Afin de gagner des promotions, de devenir riche ou de préserver la santé de leur famille, ils se prosternent, brûlent de l’encens, deviennent végétariens et récitent des textes sacrés bouddhistes, dans l’espoir d’échanger ces pratiques contre ce qu’ils convoitent. Leur poursuite est entièrement motivée par le gain personnel. De la même manière, après avoir commencé à croire en Dieu, j’avais pensé à tort que, tant que les gens se dépensaient et faisaient des sacrifices pour leur foi en Dieu, ils seraient récompensés, dans le sens où Dieu veillerait sur eux, les protégerait et leur accorderait une grâce infinie. J’avais traité Dieu comme un talisman, une source de grâce et de paix intérieure. Quand on m’avait diagnostiqué un infarctus cérébral, je m’étais plaint que Dieu n’avait pas veillé sur moi ni ne m’avait protégé. J’avais argumenté et formulé des exigences, sans montrer la moindre soumission envers Dieu, et par conséquent, je ne L’avais pas du tout traité comme Dieu. Quelle différence y avait-il entre mon point de vue sur la foi et celui de ceux qui vénèrent Bouddha ou Guanyin ? Dans les derniers jours, l’œuvre principale de Dieu consiste à exprimer la vérité pour juger et châtier les gens, afin de les purifier et de les sauver. Je n’avais pas poursuivi la vérité ; au contraire, j’avais traité Dieu comme Bouddha ou Guanyin, croyant qu’Il accorderait des bénédictions en fonction des contributions extérieures et des efforts des gens. Cela reflétait clairement le point de vue des incrédules et, pire encore, c’était une forme de blasphème contre Dieu ! Je me suis également rappelé le récit de la Bible dans lequel 5 000 personnes avaient suivi le Seigneur Jésus sur la montagne. Elles ne cherchaient pas à écouter Ses enseignements, mais convoitaient Ses bénédictions et Sa grâce. Ces personnes ne voyaient le Seigneur que comme un bienfaiteur et ne cherchaient qu’à combler leur appétit avec du pain, et le Seigneur Jésus n’a pas reconnu la foi de ces personnes. De la même façon, ma foi en Dieu avait été motivée par la recherche de gain et d’avantages venant de Lui. Ce n’était pas une vraie foi, mais plutôt le point de vue d’un incrédule cherchant uniquement à combler son appétit avec du pain, et en fin de compte, moi aussi, je serais certainement rejeté et éliminé par Dieu. J’ai ressenti de la peur dans mon cœur et je suis venu devant Dieu pour prier : « Ô Dieu, durant toutes ces années où j’ai cru en Toi, je T’ai traité comme quelqu’un auprès de qui je devais demander la grâce, croyant en Toi avec le même point de vue que ceux qui vénèrent Bouddha et Guanyin, en exigeant comme eux Ta grâce et Tes bénédictions. Ce point de vue est erroné, et je suis disposé à me repentir et à changer de voie. »

Plus tard, j’ai lu un passage des paroles de Dieu : « Dieu dit : “Ceux qui se dépensent sincèrement pour Moi, Je les bénirai certainement en abondance” – ces paroles ne sont-elles pas la vérité ? Ces paroles sont à cent pour cent la vérité. Elles ne contiennent ni impétuosité ni tromperie. Ce ne sont pas des mensonges, ni des idées grandiloquentes, et encore moins une sorte de théorie spirituelle – elles sont la vérité. Quelle est l’essence de ces paroles de vérité ? C’est que tu dois être sincère lorsque tu te dépenses pour Dieu. Que signifie “sincère” ? Volontaire et sans impuretés ; non motivé par l’argent ou la gloire, et certainement pas pour tes propres intentions, désirs et objectifs. Tu ne te dépenses pas parce qu’on t’y oblige, ou parce qu’on t’y incite, parce qu’on t’amadoue pour que tu le fasses ou qu’on t’y pousse, mais plutôt parce que cela vient de toi, volontairement ; cela naît de la conscience et de la raison. Voilà ce que signifie être sincère. S’agissant de la volonté de te dépenser pour Dieu, voilà ce que signifie être sincère. Comment la sincérité se manifeste-t-elle donc concrètement lorsque tu te dépenses pour Dieu ? Tu ne te livres pas au mensonge ou à la tricherie, ne recours pas à la ruse pour éviter le travail, et tu ne fais pas non plus les choses de manière superficielle ; tu y consacres tout ton cœur et tout ton esprit, tu fais tout ce que tu peux, et ainsi de suite – il y aurait trop à dire ici si l’on voulait entrer dans les détails ! En somme, la sincérité intègre les vérités-principes. Il y a une norme et un principe derrière les exigences de Dieu à l’égard de l’homme » (La Parole, vol. 5 : Les responsabilités des dirigeants et des ouvriers, Les responsabilités des dirigeants et des ouvriers (16)). À partir des paroles de Dieu, j’ai compris le véritable sens des mots suivants : « Ceux qui se dépensent sincèrement pour Moi, je les bénirai certainement en abondance. » Cette déclaration est destinée à ceux qui sont résolument dédiés à la poursuite de la vérité et à l’accomplissement de leurs devoirs pour satisfaire Dieu. Ils ne cherchent pas leur propre gain et ne se laissent pas induire en erreur ni ne se plaignent de Dieu face aux épreuves. Ils sont prêts à renoncer volontiers à ce qu’ils ont et à se dépenser entièrement pour Dieu, et de telles personnes plaisent à Dieu et recevront certainement Ses bénédictions à l’avenir. Prenons l’exemple de Job : Il a toujours suivi la voie de Dieu, priait fréquemment et offrait des sacrifices. Même lorsque sa richesse et ses enfants lui ont été enlevés et qu’il a été affligé de plaies douloureuses, Job n’a pas blâmé pas Dieu. Au contraire, il a dit : « L’Éternel a donné, et l’Éternel a ôté ; que le nom de l’Éternel soit béni ! » (Job 1:21). Job adorait véritablement Dieu. Il ne Le traitait pas comme un objet de demande, et il voyait encore moins ses actes de culte réguliers et ses sacrifices comme un capital pour obtenir la grâce et des bénédictions. Lorsqu’il a tout perdu, il ne s’est pas plaint de Dieu. Sa foi sincère et sa soumission ont finalement abouti aux bénédictions de Dieu. En me regardant, j’ai pris conscience que je n’avais pas une compréhension correcte des paroles de Dieu. J’avais cru à tort que tant que je pouvais renoncer à des choses, me dépenser, endurer des souffrances et payer le prix pour ma foi, je finirais par recevoir des bénédictions, la paix et la santé. Ma manière de poursuivre est exactement l’opposée de celle de Job. J’utilisais mes sacrifices et mes dépenses comme un moyen d’exiger la grâce et les bénédictions de Dieu. Je croyais en Lui uniquement pour satisfaire mes désirs égoïstes et mon gain personnel. Face à la maladie, je me suis même plaint de Dieu. J’avais vraiment honte, car je n’étais vraiment pas comparable à Job. Désormais, je comprenais qu’en tant qu’être créé, je devais croire en Dieu et L’adorer. Faire mon devoir est ma responsabilité, c’est une chose parfaitement naturelle et justifiée, et cela n’a rien à voir avec le fait de recevoir des bénédictions ou de souffrir de malheur. Même confronté à des adversités et à la maladie, je devrais toujours me soumettre à Dieu et rester ferme dans mon témoignage.

En mars 2024, j’ai eu une nouvelle récidive d’infarctus cérébral. Ma main gauche était engourdie, et j’étais constamment pris de vertiges. Je m’inquiétais de subir une nouvelle chute grave, et de pas être en mesure d’accomplir mon devoir ; comment pourrais-je alors poursuivre mon salut ? En observant les frères autour de moi, tous en meilleure santé que moi, je me suis senti envieux, pensant : « Pourquoi ne puis-je pas avoir un corps en aussi bonne santé que les autres ? » Lorsque j’ai eu ces pensées, j’ai pris conscience que je me plaignais encore, et j’ai lu ces paroles de Dieu : « Les bénédictions, la grâce, les récompenses, les couronnes : comment et à qui toutes ces choses sont octroyées dépend de Dieu. Pourquoi cela dépend-il de Dieu ? Ces choses appartiennent à Dieu. Ce ne sont pas des biens appartenant conjointement à l’homme et à Dieu qui peuvent être distribués à parts égales entre eux. Ces choses appartiennent à Dieu, et Dieu les accorde à ceux à qui Il promet de les accorder. Si Dieu ne promet pas de te les accorder, tu devrais quand même te soumettre à Lui. Si tu cesses de croire en Dieu pour cette raison, quels problèmes cela résoudra-t-il ? Cesseras-tu d’être un être créé ? Peux-tu échapper à la souveraineté de Dieu ? Dieu a encore la souveraineté sur toutes choses, c’est là un fait immuable. L’identité, le statut et l’essence de Dieu ne peuvent jamais être assimilés à l’identité, au statut et à l’essence de l’homme, pas plus que ces choses ne subiront jamais le moindre changement : Dieu sera Dieu à jamais et l’homme sera l’homme à jamais. Si une personne est capable de comprendre cela, que devrait-elle faire, alors ? Elle devrait se soumettre à la souveraineté et aux arrangements de Dieu, c’est la façon la plus rationnelle d’aborder les choses, et en dehors de cela, aucun autre chemin ne peut être choisi » (La Parole, vol. 4 : Exposer les antéchrists, Point 12 : Ils veulent se retirer lorsqu’ils n’ont aucun statut et aucun espoir de gagner des bénédictions). Les paroles de Dieu m’ont réveillé à temps. Je devrais voir clairement ma propre identité et mon propre statut. Je ne suis qu’un simple être créé, tandis que Dieu est le Créateur. Pourtant, j’avais constamment voulu dicter à Dieu comment Il devait agir et me traiter ; c’était déraisonnable. J’avais eu peur que si mon infarctus cérébral récidivait et que je ne pouvais pas accomplir mon devoir, je perdrais ma chance de salut, j’avais donc exigé que Dieu m’accorde la même bonne santé que les autres frères. Cela aussi était un manque de soumission ! Je devrais me soumettre à la souveraineté et aux arrangements de Dieu, faire de mon mieux pour accomplir mon devoir ; c’était la raison qui devrait m’animer. Alors, je suis venu devant Dieu pour prier, « Ô Dieu, peu importe la gravité des récidives de mon infarctus cérébral, puisses-Tu m’empêcher de me plaindre afin que je puisse tenir fermement à mon devoir. » Quelques jours plus tard, je suis allé à l’hôpital pour un contrôle. Le médecin a dit que mon état était assez bien contrôlé et que je n’avais qu’à prendre mes médicaments normalement. En entendant cette nouvelle, j’étais très heureux. Penser qu’il s’était écoulé plus de sept mois depuis mon dernier traitement, et que j’étais encore capable d’accomplir mes devoirs normalement ; tout cela était dû à la grâce de Dieu, et je Lui étais profondément reconnaissant pour Sa miséricorde.

Dieu Tout-Puissant dit : « Lorsque Dieu fait en sorte que quelqu’un contracte une maladie, qu’elle soit grave ou mineure, Son but n’est pas de te faire ressentir les tenants et les aboutissants de la maladie, le mal que la maladie te fait, les désagréments et les difficultés que la maladie te cause et la profusion de sentiments qu’elle te fait ressentir. Son but n’est pas que tu ressentes la maladie en étant malade. Son but est plutôt que tu tires les leçons de la maladie, que tu apprennes à saisir les intentions de Dieu, que tu connaisses les tempéraments corrompus que tu révèles et les mauvaises attitudes que tu adoptes envers Dieu lorsque tu es malade, et que tu apprennes comment te soumettre à la souveraineté et aux arrangements de Dieu, afin que tu puisses parvenir à une véritable soumission à Dieu et être capable de rester ferme dans ton témoignage : c’est absolument essentiel. Dieu souhaite te sauver et te purifier par la maladie. Que souhaite-t-Il purifier chez toi ? Il souhaite purifier tous tes désirs et exigences extravagants envers Lui, et même purifier les divers calculs, jugements et plans que tu fais à tout prix pour survivre et vivre. Dieu ne te demande pas de faire des projets, Il ne te demande pas de juger, et Il ne te permet pas d’avoir des désirs extravagants à Son égard : Il exige seulement que tu te soumettes à Lui et que, dans ta pratique et l’expérience de soumission, tu connaisses ta propre attitude envers la maladie et que tu connaisses ton attitude vis-à-vis de ces conditions physiques qu’Il te donne, ainsi que tes propres souhaits personnels. Lorsque tu apprends à connaître ces choses, tu peux alors comprendre à quel point il est bénéfique pour toi que Dieu ait arrangé les circonstances de la maladie pour toi et qu’Il t’ait donné ces conditions physiques, et tu peux ressentir à quel point elles sont utiles pour changer ton tempérament, pour que tu atteignes le salut, et pour ton entrée dans la vie » (La Parole, vol. 6 : Sur la poursuite de la vérité, Comment poursuivre la vérité (3)). J’ai lu ce passage des paroles de Dieu encore et encore et j’ai compris que cette maladie contenait l’intention sincère de Dieu. Dieu avait l’intention de me sauver et de m’aider à me comprendre, ce qui a conduit à une transformation de mon tempérament. Au début de ma foi en Dieu, j’avais l’intention de gagner des bénédictions. Au fil des années, je n’avais pas la compréhension réelle de mon intention de gagner des bénédictions. Étant donné que Dieu est saint, mon tempérament corrompu m’empêcherait d’être sauvé s’il n’était pas résolu avant la fin de l’œuvre de Dieu. Cette maladie a révélé mon désir de bénédictions, et mes exigences et mes notions envers Dieu, me poussant à rechercher la vérité, à me repentir et à changer. C’était le salut de Dieu pour moi. Cependant, je n’avais pas compris l’intention de Dieu et j’avais nourri des malentendus et des plaintes contre Lui. C’est comme un enfant qui emprunte une voie criminelle. Lorsque les parents utilisent des mesures strictes pour aider l’enfant à corriger ses manières, leurs intentions sont toujours pour le bien de l’enfant. Mais si l’enfant ne comprend pas le coeur de ses parents et sent qu’ils ne se soucient pas de lui, l’enfant devient déraisonnable et décevant pour eux. Ne suis-je pas cet enfant qui ne sait pas distinguer le bien du mal ? Malgré mes malentendus et mes plaintes, Dieu m’a patiemment guidé avec Ses paroles, et m’a aidé à sortir de mon état de rébellion et de négativité. Plus j’y réfléchissais, plus je ressentais de la honte et de la culpabilité. À partir de maintenant, peu importe si ma maladie s’améliore ou s’aggrave, même si elle met ma vie en danger, je ne souhaite plus mal comprendre ni me plaindre de Dieu. Je suis disposé à me soumettre aux arrangements et aux orchestrations de Dieu.

Après avoir traversé cette maladie, j’ai gagné une certaine compréhension de mon intention de chercher des bénédictions et j’ai eu une véritable appréciation des efforts sincères de Dieu pour sauver les gens. Je suis reconnaissant pour la direction de Dieu qui m’a permis d’acquérir ces gains !

La douleur cessera et les larmes s'arrêteront. Faites confiance à Dieu, Il a entendu nos appels dans notre souffrance, et Il nous sauvera de notre douleur. Contactez-nous pour connaître la bonne nouvelle de Dieu de nous sauver.

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