Quand l’accomplissement des devoirs est incompatible avec la piété filiale
Par Mu Cheng, ChineCes dernières années, j’ai accompli mes devoirs loin de chez moi. Parfois, ma mère me manquait, mais mon devoir...
Nous accueillons tous les chercheurs qui désirent ardemment l'apparition de Dieu !
Dès mon plus jeune âge, j’ai toujours aimé regarder des drames romantiques, et j’ai toujours été très envieuse des relations amoureuses entre les personnages principaux. J’en suis donc venue à croire que rien ne pouvait me rendre plus heureuse que d’avoir un mari qui m’aimait et prenait soin de moi. À dix-sept ans, j’ai rencontré mon futur mari. Son apparence correspondait parfaitement à mes goûts, il était relativement candide et dans nos interactions, j’ai vu qu’il était plutôt attentionné et prévenant envers moi, donc nous nous sommes mariés comme ça. Après notre mariage, mon mari a continué à être très bon avec moi et à être très arrangeant. Il s’occupait des tâches ménagères et m’achetait tout ce que je voulais. Parfois, si j’étais malheureuse, il me remontait le moral et tolérait ma mauvaise humeur. Je pensais être si chanceuse d’avoir un mari qui prenait soin de moi et m’aimait comme il le faisait, et j’ai donc décidé de chérir notre mariage.
C’est en 2019, pendant la pandémie, que ma mère m’a prêché l’Évangile de Dieu des derniers jours. Après cela, j’ai commencé à faire mon devoir au mieux de mes capacités. Mon mari était athée, et toute mention de la croyance en Dieu l’exaspérait. De plus, la condamnation, l’arrestation et la calomnie subie par l’Église de Dieu Tout-Puissant par le PCC l’avaient rendu très opposé à ma croyance en Dieu. Un jour, alors que les frères et sœurs se réunissaient chez nous, mon mari est revenu soudainement. Quand il a vu tous les frères et sœurs là-bas, il s’est mis très en colère et sauvagement menacé, « Si cela se reproduit, j’appelle les flics ! » Après quoi, il est sorti en trombe, en claquant la porte. Je n’avais jamais vu mon mari aussi en colère, c’était comme s’il était devenu une personne totalement différente. J’ai eu vraiment peur quand j’ai vu à quel point mon mari résistait à ma foi et je me suis dit, « Que dois-je faire ? S’il nous surprend à nouveau, appellera-t-il vraiment la police ? Va-t-il s’en prendre à moi ce soir quand il rentrera à la maison ? Comment lui expliquer cela sans mettre en péril notre relation ? » À l’époque, une dirigeante d’Église m’a raconté son expérience personnelle dans un échange et a lu le passage suivant des paroles de Dieu : « À chaque étape de l’œuvre que Dieu effectue sur les gens, à l’extérieur, tout apparaît comme des interactions entre les personnes, comme nées des arrangements humains ou d’une perturbation humaine. Mais, dans les coulisses, chaque étape de travail, tout ce qui arrive, est un pari que Satan a fait devant Dieu et requiert que les gens restent fermes dans leur témoignage en faveur de Dieu » (La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, Ce n’est qu’en aimant Dieu que l’on croit vraiment en Dieu). Après avoir lu les paroles de Dieu, j’ai pris conscience que de l’extérieur, c’était comme si c’était mon mari qui m’entravait, mais en réalité, il y avait un plan de Satan derrière tout cela. Satan utilisait la menace de mon mari pour m’inquiéter et me faire peur et même m’éloigner de Dieu et Le trahir, et abandonner ma foi et mon devoir afin de préserver notre relation. Mon mari nous a surpris en train de nous réunir avec la permission de Dieu. Dieu espérait que je resterais ferme dans mon témoignage dans cette situation, et je dois rester aux côtés de Dieu et ne pas céder à Satan. Une fois que j’ai compris l’intention de Dieu, j’ai ressenti une foi renouvelée. Mon mari était en effet très en colère quand il est rentré à la maison. Il a dit qu’il ferait installer des caméras de surveillance et que s’il me surprenait à nouveau, il appellerait la police et divorcerait. En l’entendant dire tout ça, je me suis sentie incroyablement triste et les larmes ont coulé sur mon visage. À ce moment-là, je me suis rappelée ces paroles de Dieu : « Tout ce qui arrive est un pari que Satan a fait devant Dieu et requiert que les gens restent fermes dans leur témoignage en faveur de Dieu » (La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, Ce n’est qu’en aimant Dieu que l’on croit vraiment en Dieu). Satan travaillait par l’intermédiaire de mon mari pour me faire cesser de croire en Dieu. Je devais y voir clair dans son complot diabolique. J’ai donc résolument déclaré : « Si tu as peur que ma foi te cause des ennuis, je ne peux pas te forcer à rester avec moi. Si tu veux divorcer, qu’il en soit ainsi, car je ne peux pas renoncer à ma foi. » Il était tellement en colère que ses yeux sont devenus injectés de sang et il a frappé le lit avec ses poings. Je n’ai peut-être pas cédé à mon mari à ce moment-là, mais je redoutais toujours le divorce, et je ne voulais pas que ma foi fasse obstacle à notre relation.
Après avoir découvert ma foi en Dieu, mon mari a cessé de me traiter correctement et s’en prenait à moi tout le temps et me reprochait mes défauts. « Que fais-tu à la maison toute la journée ? Comment à ton âge peux-tu croire en Dieu ? Regarde les femmes des autres, qui passent toute la journée à la maison à chercher des plats délicieux à cuisiner, et qui savent tout cuisiner. À quoi me sers-tu alors ? Je ferais mieux d’avoir un chien ! Tu ne fais pas de ton mieux pour gagner de l’argent. Notre enfant devra aller à l’école un jour et devra être soigné s’il tombe malade. Si tu n’économises pas un peu d’argent, tu n’auras plus que ton Dieu pour te soutenir quand tu seras vieille ! Si ta croyance en Dieu conduit à ton arrestation, cela affectera les chances de notre enfant de servir dans l’armée et d’entrer à l’université. En Chine, vous devez écouter le Parti communiste : les faibles ne peuvent pas battre les puissants… » J’étais très peinée face à ce traitement injuste de la part de mon mari. Après avoir commencé à croire en Dieu, j’avais quelque peu changé à tous égards. Avant, j’étais très égoïste, je cuisinais rarement, je rangeais ou je nettoyais rarement, et je m’énervais souvent contre lui. Désormais, parce que je croyais en Dieu, que je comprenais la vérité et que je pratiquais selon les paroles de Dieu, j’ai pu vivre une vie humaine normale petit à petit. Avant de croire en Dieu, je dépensais tout l’argent que je gagnais pour acheter des produits de beauté et des beaux vêtements. Une fois avoir cru en Dieu, j’ai continué à travailler et, même si je gagnais moins d’argent, j’essayais d’économiser autant que possible, en utilisant tout mon salaire pour couvrir les dépenses de la famille. Comment pouvait-il donc prétendre que je ne gagnais plus d’argent ? Mais le cœur de mon mari semblait aussi dur que du fer, incapable de voir le moindre changement en moi. Il m’a même menacée en disant : « Je vais te briser les jambes et t’enfermer à la maison, puis nous verrons si tu crois toujours en Dieu ! » Une fois, il m’a attrapée par la gorge et m’a dit : « Je vais t’étrangler et voir si ton Dieu vient te sauver ! » Cette nuit-là, en pensant à la façon dont mon mari se montrait attentionné envers moi autrefois et à la façon dont il me reprochait désormais au quotidien mes défauts car je croyais en Dieu, j’ai ressenti une telle injustice que j’ai fondu en larmes. Le lendemain matin, mes yeux étaient encore gonflés à cause des pleurs, mais mon mari n’a eu aucune réaction quand il m’a vue. Quand j’ai pensé que si je ne croyais pas en Dieu, mon mari ne me traiterait pas de cette façon, j’ai hésité un peu, mais ensuite j’ai pensé à la façon dont Dieu était venu pour faire Son œuvre et sauver l’humanité et que je devais bien pratiquer la foi et emprunter le droit chemin, donc je savais que je ne pouvais pas renoncer à ma foi pour mon mari. Mais je ne voulais pas non plus perdre mon mariage. Après cela, j’ai soigneusement entretenu notre relation et j’ai réfléchi aux moyens de me faire bien voir de mon mari. Sachant que mon mari était rebuté par ma foi, j’ai essayé de cacher mes livres de la parole de Dieu hors de sa vue, et après les réunions, je rangeais la pièce et ne laissais pas la moindre trace de la séance. Peu importe à quel point j’étais fatiguée après m’être occupée de mon enfant, je prenais toujours le temps de nettoyer la maison et de préparer les repas. Je ne faisais mes dévotions que lorsque mon mari n’était pas à la maison de peur qu’il ne me prenne en défaut. Parfois, quand mon mari faisait des heures supplémentaires, je profitais de l’occasion pour lire les paroles de Dieu, mais je n’arrivais pas à me concentrer parce que j’avais peur qu’il rentre trop tôt à la maison. J’avais toujours une oreille sur la porte, et dès qu’elle s’ouvrait, je fermais frénétiquement l’ordinateur et rangeais mes livres. Après cela, mon mari ne m’a plus surprise à pratiquer la foi ou à lire les paroles de Dieu, et son attitude envers moi s’est progressivement améliorée. En 2021, ma fille étant devenue un peu plus grande, ma belle-mère a commencé à s’occuper d’elle, et j’ai pu commencer à abreuver les nouveaux venus. Un peu plus tard, j’ai été choisie comme une diaconesse d’abreuvement. Comme je portais un certain fardeau dans mon devoir, j’ai été choisie comme dirigeante d’Église en mars 2023. En tant que dirigeante, je devais organiser des réunions et ma charge de travail a augmenté. Parfois, je devais répondre à des questions par courrier le soir, mais je ne me risquais pas vraiment à m’en occuper tard le soir. Je me suis dit : « Il ne sait pas que je continue à pratiquer ma foi et à faire mon devoir. Notre relation commence à peine à s’améliorer, mais s’il découvre que je continue à croire et à faire mon devoir, ne recommencera-t-il pas à me trouver des défauts toute la journée comme avant ? Si je ne peux pas travailler la nuit, ce n’est pas grave, je travaillerai simplement davantage pendant la journée. » Comme je n’osais pas répondre aux lettres la nuit et que j’avais des réunions tous les jours, les lettres non lues ont commencé à s’accumuler. L’œuvre de purge et d’expulsion de l’Église a continué à être retardée et notre travail d’évangélisation a également ralenti. J’étais moi-même très inquiète à ce sujet, mais je me suis dit : « Puisque ma belle-mère et mon beau-père vivent avec nous, s’ils découvrent ma foi et s’associent à mon mari pour me harceler ou encourager mon mari à divorcer, que dois-je faire ? » Je ne voulais pas perdre ce mariage, alors je me suis sentie contrainte en faisant mon devoir.
Une fois, lors d’une réunion, j’ai entendu ce passage des paroles de Dieu : « Une fois qu’ils sont mariés, certains sont prêts à consacrer tout ce qu’ils peuvent faire à leur vie conjugale et ils se préparent à faire de gros efforts, à se battre et à travailler dur pour leur mariage. Certains gagnent très difficilement de l’argent et souffrent, et bien sûr, encore plus nombreux parmi eux sont ceux qui remettent leur bonheur entre les mains de leur partenaire. Ils croient que leur bonheur et leur joie dans la vie dépendent de la manière dont se comportera leur partenaire, si c’est une bonne personne ou non ; si sa personnalité et ses intérêts correspondent aux leurs ; s’il s’agit de quelqu’un qui peut faire vivre sa famille et la diriger ; s’il s’agit de quelqu’un qui peut leur assurer les nécessités de base à l’avenir et leur fournir une famille heureuse, stable et merveilleuse ; et si c’est quelqu’un qui peut les réconforter quand ils traversent des souffrances, des tribulations, des échecs ou des revers. Pour vérifier cela, ils se montrent particulièrement attentifs à leur partenaire pendant qu’ils vivent ensemble. Avec beaucoup de soins et d’attention, ils observent et enregistrent les pensées, points de vue, discours et comportements de leur partenaire, chaque mouvement qu’il exécute, ainsi que chacune de ses forces et de ses faiblesses. Ils se rappellent en détail toutes les pensées, visions, paroles et tous les comportements révélés par leur partenaire de vie, afin de pouvoir mieux le comprendre. En même temps, ils espèrent aussi être mieux compris de leur partenaire, ils le laissent entrer dans leur cœur et ils rentrent eux aussi dans le cœur de leur partenaire pour pouvoir mieux se contenir l’un l’autre, ou pour pouvoir être la première personne présente lorsqu’il arrive quelque chose à leur partenaire, la première personne à l’aider, la première personne à se manifester pour les soutenir, les encourager et être leur roc. Dans de telles conditions de vie, le mari et la femme essayent rarement de discerner quel genre de personne est leur partenaire, car ils vivent entièrement à travers leurs sentiments pour leur partenaire et utilisent leurs sentiments pour s’occuper de leur partenaire, le tolérer, gérer toutes ses failles, tous ses défauts, et toutes ses poursuites, jusqu’à répondre même à ses moindres désirs. Par exemple, le mari d’une femme dit : “Tes réunions durent trop longtemps. Vas-y seulement pendant une demi-heure et ensuite reviens à la maison.” Elle répond : “Je ferai de mon mieux.” Bien entendu, la fois suivante, lorsqu’elle se rend à une réunion, elle reste une demi-heure et revient à la maison, et cette fois, son mari lui dit : “C’est mieux comme ça. La prochaine fois, tu n’as qu’à y aller pour te montrer et ensuite, tu reviens.” Elle dit : “Oh, alors je te manque tant que cela ? Alors d’accord, je ferai de mon mieux.” Bien entendu, elle ne le déçoit pas et lorsqu’elle se rend à une réunion la fois suivante, elle revient à la maison après environ dix minutes. Son mari est très content et heureux et il dit : “Voilà qui est mieux !” S’il lui demande d’aller à droite, elle n’ose pas se diriger vers la gauche ; s’il veut qu’elle rie, elle n’ose pas pleurer. Il la voit lire les paroles de Dieu et écouter des hymnes et il déteste cela, ça le dégoûte. Il dit alors : “À quoi cela te sert-il de lire ces paroles et de chanter ces chants en permanence ? Ne peux-tu pas éviter de lire ces paroles et de chanter ces chants quand je suis à la maison ?” Elle répond : “D’accord, d’accord, je ne les lirai plus.” Elle n’ose plus lire les paroles de Dieu ou écouter des hymnes. À cause des exigences de son mari, elle finit par comprendre qu’il n’aime pas qu’elle croie en Dieu ou qu’elle lise les paroles de Dieu, alors elle lui tient compagnie quand il est à la maison, ils regardent la télévision ensemble, mangent leurs repas, discutent et elle l’écoute même se plaindre. Elle est prête à tout faire pour lui, tant que cela le rend heureux. Elle croit que ce sont les responsabilités qu’une épouse doit endosser. Alors, quand lit-elle les paroles de Dieu ? Elle attend que son mari sorte, puis elle ferme la porte à clé derrière lui et se dépêche de commencer à lire. Lorsqu’elle entend quelqu’un arriver, elle pose rapidement le livre et elle a tellement peur qu’elle n’ose plus le lire. Et lorsqu’elle ouvre la porte, elle voit que ce n’est pas son mari qui revient, c’était une fausse alerte, alors elle continue à lire. Tandis qu’elle continue de lire, elle se sent comme sur des charbons ardents, elle est nerveuse et effrayée, et elle pense : “Et s’il revient vraiment à la maison ? Je devrais arrêter de lire pour le moment. Je vais l’appeler et lui demander où il est et quand il compte rentrer.” Elle lui téléphone donc et il dit : “Il y a pas mal de travail aujourd’hui, alors il se peut que je ne rentre pas à la maison avant quinze ou seize heures.” Cela l’apaise, mais arrive-t-elle pour autant à calmer son esprit pour pouvoir lire les paroles de Dieu ? Non ; son esprit a été perturbé. Elle se précipite devant Dieu pour prier, et que dit-elle ? Dit-elle que sa croyance en Dieu manque de foi, qu’elle a peur de son mari et qu’elle n’arrive pas à calmer son esprit pour lire les paroles de Dieu ? Elle a le sentiment de ne pas pouvoir dire ces choses, alors elle n’a rien à dire à Dieu. Mais ensuite, elle ferme les yeux et joint les mains. Elle se calme et se sent moins agitée, alors elle retourne lire les paroles de Dieu, mais les mots ne s’ancrent pas en elle. Elle se dit : “Où en étais-je déjà ? Où en suis-je arrivée dans mes contemplations ? J’ai complètement perdu le fil de mes pensées.” Plus elle y pense, plus elle se sent agacée et mal à l’aise. “Je ne lirai simplement pas aujourd’hui. Ce n’est pas bien grave si je rate mes dévotions spirituelles pour une fois.” Qu’en penses-tu ? La vie se déroule-t-elle bien pour elle ? (Non.) Est-ce de la détresse conjugale ou du bonheur conjugal ? (De la détresse.) » (La Parole, vol. 6 : Sur la poursuite de la vérité, Comment poursuivre la vérité (11)). Les paroles de Dieu ont parfaitement exposé mon état. Il est parfaitement naturel et justifié que les gens pratiquent la foi et accomplissent leurs devoirs. Mais lorsque mon mari m’en a empêchée, afin de maintenir notre relation, de continuer à profiter de ses soins et de son attention, et de ne pas perdre mon mariage, je n’ai pas hésité à mettre mon devoir de côté et j’ai fait tout ce que j’ai pu pour obtenir ses bonnes grâces. Comme mon mari n’aimait pas que je pratique ma foi, je n’osais pas manger et boire les paroles de Dieu lorsqu’il était à la maison, et quand je l’entendais arriver à la maison, j’avais peur et je cachais frénétiquement mes livres. Si mon mari n’avait pas été là, quand je rentrais à la maison le soir, j’aurais pu régulièrement faire des dévotions, revoir les erreurs dans mon travail, manger et boire les paroles de Dieu pour corriger mon tempérament corrompu, et ma vie se serait développée plus vite. Cela aurait aussi été bénéfique pour mon devoir. Mais, afin de préserver le bonheur de mon mariage, j’ai mis mon devoir et ma recherche de la vérité de côté et je n’ai pratiquement pas fait de dévotions à la maison. Comme je ne pouvais pas résister à certaines tendances maléfiques du monde, je me laissais souvent prendre à regarder des vidéos et de films de non-croyants, mes liens avec Dieu se sont distendus et mon entrée dans la vie s’est détériorée. De plus, je n’ai pas été en mesure de répondre aux lettres dans les délais le soir et une grande partie du travail a été retardée et ne pouvait être effectuée que lorsque la dirigeante viendrait vérifier et me mettre la pression. J’ai vu que je ne me souciais que de moi. Je ne me souciais pas de savoir si les intérêts de l’Église étaient compromis tant que je pouvais préserver mon mariage, et, par conséquent, bien des projets ont été retardés. Je manquais vraiment de conscience et de raison et j’étais si égoïste et méprisable.
Après cela, j’ai vu le passage suivant : « Dieu a ordonné le mariage pour toi dans le seul but que tu puisses apprendre à remplir tes responsabilités, apprendre à vivre en paix avec une autre personne, à partager ta vie, et à faire l’expérience de ce qu’est la vie partagée avec ton partenaire et de la manière de gérer ensemble tout ce que vous rencontrez, pour rendre ta vie plus riche et plus différente. Cependant, Il ne te vend pas au mariage et, bien sûr, Il ne te vend pas à ton partenaire pour devenir son esclave. Tu n’es pas son esclave, et il n’est pas non plus ton esclavagiste. Vous êtes égaux. Tu n’as que les responsabilités d’une épouse ou d’un époux envers ton partenaire et lorsque tu remplis ces responsabilités, Dieu considère que tu es une épouse ou un époux satisfaisant. Ton partenaire n’a rien que tu n’aies pas et tu n’es pas pire que ton partenaire. Si tu crois en Dieu et que tu poursuis la vérité, que tu peux accomplir ton devoir, fréquemment assister aux réunions, lire en priant les paroles de Dieu et venir devant Dieu, alors ce sont des choses que Dieu accepte, c’est ce qu’un être créé devrait faire et la vie normale qu’un être créé devrait mener. Il n’y a rien de honteux là-dedans et tu ne dois pas non plus avoir le sentiment que tu dois quelque chose à ton partenaire parce que tu vis ce genre de vie ; tu ne lui dois rien. […] En termes de relations charnelles, en dehors de tes parents, la personne qui est la plus proche de toi dans ce monde est ton conjoint. Pourtant, parce que tu crois en Dieu, il te traite comme un ennemi, il t’attaque et te persécute. Il s’oppose à ce que tu assistes à des réunions, s’il entend la moindre rumeur, il rentre à la maison pour te réprimander et te maltraiter. Même lorsque tu pries ou que tu lis les paroles de Dieu à la maison, sans que cela n’affecte aucunement sa vie normale, il te réprimande et s’oppose à toi malgré tout, et il va jusqu’à te battre. Dis-Moi, de quel genre de chose s’agit-il ? N’est-il pas un démon ? Est-ce là la personne la plus proche de toi ? Une telle personne mérite-t-elle que tu remplisses une quelconque responsabilité envers elle ? (Non.) Non, elle ne le mérite pas ! Donc, certains de ceux qui sont dans ce genre de mariage obéissent encore au doigt et à l’œil à leur partenaire, ils sont prêts à tout sacrifier, à sacrifier le temps qu’ils devraient passer à accomplir leurs devoirs, l’opportunité d’accomplir leur devoir et même leur opportunité d’atteindre le salut. Ils ne devraient pas faire cela, et la moindre des choses serait qu’ils renoncent à ce genre d’idées » (La Parole, vol. 6 : Sur la poursuite de la vérité, Comment poursuivre la vérité (11)). En lisant les paroles de Dieu, j’ai appris que Dieu ordonne le mariage pour aider les gens à apprendre à vivre en paix ensemble, à s’accompagner et à prendre soin les uns des autres et à apprendre à assumer leurs responsabilités. L’idée est d’avoir quelqu’un à qui s’adresser en cas de difficultés, quelqu’un avec qui gérer les problèmes dans le cadre du mariage. Dieu ne me livre pas au mariage, et je ne suis pas l’esclave de mon mari. Nous sommes tous des êtres créés, nous sommes égaux. Après avoir cru en Dieu, j’ai continué à faire de mon mieux pour prendre soin de mon mari. Quand il rencontrait des difficultés, je me tenais à ses côtés, et quand il tombait malade, je prenais soin de lui. J’assumais pleinement ma responsabilité dans notre mariage, je ne lui devais rien. En fait, c’était lui qui me reprochait constamment mes défauts et menaçait de divorcer, il n’appréciait pas beaucoup notre mariage et pourtant j’ai travaillé bêtement pour le préserver et j’étais même contrainte par lui et n’osais pas pratiquer la foi et rechercher la vérité. Comme j’ai été stupide ! Je me suis sentie bien plus lucide après avoir lu les paroles de Dieu. Je ne le dérangeais pas du tout lorsque j’assistais à des réunions à l’extérieur ou que je mangeais et buvais les paroles de Dieu à la maison, mais non seulement mon mari ne me soutenait pas, mais il faisait même constamment pression sur moi et m’entravait, en me menaçant de divorcer et d’appeler la police. Cela montrait que mon mari manquait d’humanité et qu’il était, en substance, un démon. Il ne méritait pas que je me montre si bonne envers lui, et je ne devrais certainement pas renoncer au fait de manger et de boire les paroles de Dieu, de rechercher la vérité, de faire mon devoir et même d’avoir une chance d’être sauvée, uniquement pour lui. Quand je suis rentrée à la maison, je me suis dit : « Je ne peux plus être contrainte par mon mari. » Le lendemain, j’ai commencé à faire mon devoir à la maison. Quand j’ai commencé concrètement à coopérer, mon mari a cessé de créer des problèmes. Bien sûr, il faisait quelques remarques ici et là, mais je n’étais plus contrainte et je pouvais faire mon devoir normalement.
Plus tard, j’ai réfléchi à la raison pour laquelle, j’accordais tant d’importance à un mariage heureux, et pourquoi je le considérais même comme mon objectif premier dans la vie. J’ai vu deux passages des paroles de Dieu : « D’abord, certaines opinions concernant le mariage deviennent populaires dans la société et ensuite, diverses œuvres littéraires véhiculent les idées et les opinions des auteurs concernant le mariage ; tandis que ces œuvres littéraires sont traduites en programmes télévisuels et en films pour grand écran, elles exposent de manière encore plus évidente les différentes opinions des gens concernant le mariage, les divers idéaux, poursuites, et désirs à ce sujet. En grande ou en petite quantité, de manière visible ou invisible, ces choses sont continuellement instillées en vous. Avant que vous n’ayez un concept précis du mariage, ces opinions et ces messages sociétaux au sujet du mariage créent des idées préconçues en vous, et vous les acceptez ; ensuite, vous commencez à fantasmer sur ce que sera votre propre mariage et sur ce à quoi ressemblera votre moitié. Que tu acceptes ces messages à travers la télévision, les films et les romans ou à travers ton cercle social et les gens qui t’entourent, peu importe la source ; ces messages viennent tous des humains, de la société et du monde, ou pour parler avec précision, ils évoluent et se développent à partir de tendances malveillantes. Bien sûr, pour parler de manière encore plus précise, ils viennent de Satan. N’en est-il pas ainsi ? (Si.) […] Ces opinions de la société concernant le mariage, ces choses qui imprègnent les pensées des gens et le fond de leur âme, tournent principalement autour de l’amour romantique. Ces opinions sont introduites dans l’esprit des gens et les poussent à développer toutes sortes de fantasmes au sujet du mariage. Par exemple, ils fantasment au sujet de la personne dont ils vont tomber amoureux, quel genre de personne ce sera, et quelles sont leurs exigences pour un partenaire dans le mariage. En particulier, il y a des messages aux multiples facettes qui viennent de la société, disant qu’il faut certainement être amoureux de la personne et que cette personne soit amoureuse en retour, que c’est seulement ça le véritable amour romantique et que seul un véritable amour romantique peut conduire au mariage, que seul un mariage basé sur l’amour romantique est bon et heureux et qu’un mariage sans amour romantique est immoral » (La Parole, vol. 6 : Sur la poursuite de la vérité, Comment poursuivre la vérité (10)). « Beaucoup de gens font dépendre leur bonheur de leur mariage, et leur but en poursuivant le bonheur, c’est la poursuite du bonheur et de la perfection de leur mariage. Ils croient que si leur mariage est heureux et qu’ils sont heureux avec leur partenaire, alors ils auront une vie heureuse, et ils voient donc le bonheur dans leur mariage comme étant la mission de leur vie, qu’ils doivent atteindre par d’inlassables efforts. […] Ainsi, lorsque la maison de Dieu exige que ceux qui poursuivent avant tout le bonheur de leur mariage quittent leur foyer et se rendent loin de là pour répandre l’Évangile et accomplir leur devoir, ceux-ci se sentent souvent frustrés, impuissants et même mal à l’aise, car ils pourraient bientôt perdre leur bonheur conjugal. Certains abandonnent ou refusent d’accomplir leurs devoirs afin de maintenir leur bonheur conjugal et certains refusent même les importants arrangements de la maison de Dieu. Il y en a aussi qui, pour maintenir leur bonheur conjugal, essayent souvent de connaître les sentiments de leur conjoint. Si leur conjoint est légèrement mécontent ou qu’il montre même un tout petit peu de mécontentement ou d’insatisfaction par rapport à leur foi, au chemin de foi en Dieu qu’ils ont emprunté, et par rapport au fait qu’ils accomplissent leurs devoirs, ils changent immédiatement de direction et font des concessions. Pour maintenir leur bonheur conjugal, ils font souvent des concessions à leur conjoint, même si cela signifie abandonner l’occasion d’accomplir leur devoir et renoncer à prendre du temps pour les réunions, pour lire les paroles de Dieu et pour effectuer leurs dévotions spirituelles dans le but de montrer à leur conjoint qu’ils sont là, pour éviter que leur conjoint se sente seul et isolé et pour que ce dernier se sente aimé ; ils préfèrent faire cela que perdre leur conjoint ou vivre sans son amour. C’est parce qu’ils ont l’impression que s’ils renoncent à l’amour de leur conjoint pour le bien de leur foi ou du chemin de foi en Dieu qu’ils ont emprunté, cela signifie qu’ils ont abandonné leur bonheur conjugal, qu’ils ne seront plus capables de ressentir ce bonheur conjugal, et qu’ils deviendront quelqu’un de solitaire, de pitoyable et de lamentable. Qu’est-ce que cela veut dire d’être quelqu’un de lamentable et de pitoyable ? Cela signifie être quelqu’un qui n’a ni l’amour ni l’adoration de quelqu’un d’autre. Même si ces personnes comprennent certaines doctrines et la signification de l’accomplissement de l’œuvre de salut de Dieu, et bien sûr, elles comprennent qu’en tant qu’être créés elles devraient accomplir le devoir d’un être créé, mais parce qu’elles remettent leur propre bonheur entre les mains de leur conjoint et qu’elles rendent leur bonheur dépendant de leur bonheur conjugal, même si elles comprennent et savent ce qu’elles devraient faire, elles n’arrivent toujours pas à abandonner leur poursuite du bonheur conjugal. Elles se trompent en considérant la poursuite du bonheur conjugal comme la mission qu’elles devraient poursuivre tout au long de leur vie, et elles se trompent en considérant la poursuite du bonheur conjugal comme la mission qu’un être créé devrait poursuivre et accomplir. N’est-ce pas là une erreur ? (Si.) » (La Parole, vol. 6 : Sur la poursuite de la vérité, Comment poursuivre la vérité (11)). Les paroles de Dieu ont exposé comment les opinions fallacieuses des gens sur le mariage ont été propagées par Satan. Je me souviens que lorsque j’étais petite, on pouvait entendre des chansons romantiques dans tout le quartier. Chaque fois que j’entendais ces chansons, j’espérais et rêvais toujours d’avoir un mariage heureux. Des idées et des points de vue tels que « Puissé-je gagner un cœur fidèle à moi-même, et puissions-nous ne jamais nous séparer jusqu’à la fin de nos jours » et « se tenir la main et vieillir ensemble » ont été progressivement inculqués dans mon système de croyances. J’en suis venue à croire que mon mari m’accompagnerait tout au long de ma vie et que rien n’était plus important que d’avoir un mari qui m’aime et prend soin de moi. Après avoir cru en Dieu, j’ai lu de nombreuses paroles de Dieu concernant l’exécution des devoirs, et j’ai su en théorie que j’avais de la chance d’être née dans les derniers jours, que l’exécution de mon devoir en tant qu’être créé devait être ma principale poursuite dans la vie et était la plus significative de toutes les choses. Mais j’étais liée et entravée par ces idées et ces points de vue mondains. Je pensais que mon mari devait m’accompagner tout au long de ma vie et qu’un mariage sans amour serait désolant et triste. Alors, quand mon mari a cessé de prendre soin de moi et de m’aimer à cause de ma foi, je n’ai tout simplement pas pu le supporter. J’étais terrifiée à l’idée que si mon mariage se brisait, je finirais dans un état pitoyable sans que personne ne m’aime et ne prenne soin de moi/sans personne pour m’aimer et prendre soin de moi. J’ai donc fait tout ce que j’ai pu pour regagner l’amour de mon mari. Voyant qu’il s’opposait à ma foi, je lui ai cédé et j’étais prête à passer moins de temps à manger et à boire les paroles de Dieu et à retarder le travail à l’Église afin de maintenir mon mariage. Comme j’étais égoïste et méprisable ! J’ai repensé à la façon dont depuis que j’avais commencé à croire en Dieu, mon mari avait complètement changé et commencé à me critiquer en permanence, me menaçant souvent de divorcer ou d’appeler la police. J’ai vu que le fait que mon mari me traite bien n’était pas du véritable amour, c’était juste un acte qui était basé sur ma capacité à lui donner un enfant et à entretenir notre ménage. Lorsque ma foi a menacé ses intérêts, il a arraché son masque et révélé son essence démoniaque. L’amour romantique et un mariage heureux ne sont rien d’autre que des canulars créés par Satan pour tromper et piéger les gens. Si je prenais toujours mon devoir à la légère parce que j’essayais de préserver le bonheur conjugal, je n’atteindrais jamais la vérité et finirais par être éliminée par Dieu.
En juin 2023, j’ai été choisie comme dirigeante de district. Je savais que c’était l’exaltation de Dieu, mais après un mois à faire ce devoir, j’ai remarqué que quelqu’un de suspicieux me suivait souvent partout. Dans ce genre de situation, la seule façon pour moi de faire mon devoir en toute sécurité était de quitter la maison. Cependant, je savais que si je quittais la maison, mon mari pourrait divorcer, et j’ai donc sombré dans l’inquiétude et l’indécision. En cherchant, j’ai trouvé ces deux passages de la parole de Dieu : « Peu importe ton rôle dans la famille ou dans la société, que tu sois une épouse, un époux, un enfant, un parent, un employé ou quoi que ce soit d’autre, et peu importe que ton rôle dans la vie conjugale soit important ou non, tu n’as qu’une seule identité devant Dieu et c’est celle d’un être créé. Tu n’as pas d’autre identité devant Dieu. Par conséquent, lorsque la maison de Dieu t’appelle, c’est le moment où tu devrais accomplir ta mission. C’est-à-dire qu’en tant qu’être créé, tu n’es pas censé accomplir ta mission uniquement lorsque les conditions sont réunies pour préserver ton bonheur conjugal et la plénitude de ton mariage, au contraire, tant que tu es un être créé, alors la mission que Dieu t’accorde et te confie devrait être remplie de manière inconditionnelle ; peu importe les circonstances, il t’incombe de toujours donner la priorité à la mission que Dieu t’a confiée, tandis que la mission et les responsabilités conférées par ton mariage sont secondaires. La mission que Dieu t’a confiée et que tu dois remplir en tant qu’être créé doit toujours être ta priorité absolue dans toutes les conditions et circonstances. Ainsi, peu importe à quel point tu désires préserver le bonheur de ton mariage, ou la situation conjugale dans laquelle tu te trouves, ou le prix élevé que ton conjoint paye pour votre mariage, rien de tout cela n’est une raison de refuser la mission que Dieu t’a confiée » (La Parole, vol. 6 : Sur la poursuite de la vérité, Comment poursuivre la vérité (10)). « Si ta poursuite du bonheur conjugal affecte, bloque ou même gâche l’accomplissement de ton devoir en tant qu’être créé, alors tu devrais abandonner non seulement ta poursuite du bonheur conjugal, mais tout ton mariage. Quels sont le but final et la signification finale d’échanger sur ces questions ? C’est pour que le bonheur conjugal n’entrave pas tes pas, ne te lie pas les mains, ne t’aveugle pas, ne distorde pas ta vision, ne vienne pas perturber et occuper ton esprit ; c’est pour que la poursuite du bonheur conjugal ne prenne pas toute la place dans ton chemin de vie et ta vie, pour que tu abordes de manière correcte les responsabilités et obligations que tu devrais assumer dans le mariage et que tu fasses les bons choix en ce qui concerne tes responsabilités et les obligations que tu devrais remplir. Une meilleure manière de pratiquer est de consacrer plus de temps et d’énergie à ton devoir, d’accomplir le devoir que tu devrais accomplir et la mission que Dieu t’a confiée. Tu ne dois jamais oublier que tu es un être créé, que c’est Dieu qui t’a conduit à travers la vie jusqu’à ce moment, que c’est Dieu qui t’a donné ton mariage, qui t’a donné ta famille, et que c’est Dieu qui t’a confié les responsabilités que tu dois assumer dans le cadre du mariage, que ce n’est pas toi qui as choisi le mariage. Tu ne t’es pas marié par hasard et tu n’es pas capable de maintenir ton bonheur conjugal en t’appuyant sur tes propres capacités et forces » (La Parole, vol. 6 : Sur la poursuite de la vérité, Comment poursuivre la vérité (10)). En lisant les paroles de Dieu, j’ai pris conscience que même si dans mon propre foyer j’étais une épouse et une mère, j’étais aussi un être créé, créé par Dieu, et lorsqu’on m’assignait un devoir, je devais l’accepter sans condition et en faire ma priorité numéro un. Mener à bien mon devoir en tant qu’être créé est ma seule mission dans la vie. Dieu m’a fait don de la vie. Il a non seulement créé les cieux, la terre et toutes choses, fournissant à l’humanité tout ce dont elle a besoin, Il exprime également toutes les vérités pour sauver l’humanité, nous enseigne comment nous conduire, comment échapper aux ravages de la corruption de Satan et comment vivre avec un vrai semblant d’humanité. Si je rejetais mon devoir afin de préserver mon mariage, ce serait incroyablement inadmissible et déraisonnable. Si cela ne retardait pas mon devoir en tant qu’être créé, je pourrais assumer mes responsabilités dans le cadre du mariage, mais comme ma poursuite d’un mariage heureux influençait mon devoir, je devais mettre de côté mon mariage, mettre plus d’énergie et de temps à faire mon devoir en tant qu’être créé et cesser d’être freinée par mon mariage. C’est alors que j’ai clairement compris que je devais arrêter de sacrifier les progrès dans mon devoir pour maintenir mon mariage. J’ai donc décidé de quitter la maison pour faire mon devoir. Quand j’ai évoqué avec mon mari le fait que je devais quitter la maison pour me cacher pendant un certain temps, il a immédiatement voulu divorcer. Il a dit : « Je pourrais t’attendre si tu étais arrêtée et emprisonnée pendant quelques années, mais si tu quittes la maison, c’est fini. » J’ai été profondément déçue d’entendre ça. Je ne pouvais pas croire que mon mari aurait préféré que je sois arrêtée et emprisonnée plutôt que de me laisser me cacher. J’ai vu que mon mari avait l’essence de la haine envers Dieu. J’ai séché mes larmes et j’ai résolument répondu : « L’homme est créé par Dieu et nous devrions donc L’adorer. Même si je suis arrêtée, je continuerai à croire une fois libérée. Si tu peux accepter cela, nous pouvons rester ensemble ; autrement, nous suivrons chacun notre propre chemin. » Le lendemain, nous avons signé nos papiers de divorce.
Maintenant que je suis loin de chez moi et que je ne suis plus entravée par mon mari, je peux consacrer davantage de temps à lire les paroles de Dieu et à faire mon devoir. Chaque fois que j’ai des problèmes, je peux aller trouver mes frères et sœurs pour échanger et chercher immédiatement une solution. Lorsque je révèle un tempérament corrompu dans mon devoir et que mes frères et sœurs le soulignent, j’ai maintenant plus de temps pour me calmer et réfléchir. J’ai également plus de temps pour vérifier le travail et résoudre rapidement tout problème que je rencontre. Grâce à cela, nous avons commencé à obtenir de meilleurs résultats dans notre travail. Je vois à présent que j’avais l’habitude de vivre selon les opinions et les idées que Satan m’avait inculquées, que j’ai perdu de nombreuses occasions d’atteindre la vérité et que je n’ai pas fait mon devoir correctement. C’est grâce aux conseils des paroles de Dieu que j’ai pu me libérer des entraves et des contraintes du mariage. Dieu soit loué !
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