Une expérience unique pendant la pandémie
Par Mingxin, ChineDébut novembre 2022, la situation pandémique dans la région où je faisais mes devoirs devenait de plus en plus grave, et...
Nous accueillons tous les chercheurs qui désirent ardemment l'apparition de Dieu !
Lors des élections de l’Église de 2023, j’ai entendu dire que certains frères et sœurs voulaient voter pour moi, mais dans mon cœur, je ne voulais pas être dirigeante. Je me suis souvenue qu’il y a quelque temps, une dirigeante avait pris des dispositions pour que certains frères et sœurs transfèrent des offrandes, mais vu qu’elle n’avait pas choisi les bonnes personnes, les offrandes ont été saisies par le grand dragon rouge, et plusieurs frères et sœurs ont été arrêtés. L’Église enquêtait pour en connaître les raisons précises. Même si cette dirigeante n’a pas été renvoyée, il s’agit quand même d’une grande transgression. J’ai également pensé à une sœur que je connaissais avant et qui, tout en étant dirigeante, avait agi selon sa propre volonté, avait retardé le travail, et avait fini par devenir une fausse dirigeante et par être renvoyée. Quand je pensais à ces choses-là, je ressentais de l’appréhension. Je me disais que la responsabilité d’un dirigeant était importante, et que l’on pouvait être renvoyé à tout moment si on violait les principes dans ses agissements. J’ai pensé : « À présent, l’œuvre de Dieu entame sa phase finale, et c’est aussi le moment où Dieu détermine l’issue de chaque personne. Si, à ce moment critique, non seulement je ne parviens pas à préparer de bonnes actions, mais qu’en plus, je fais le mal et que je suis condamnée, comment pourrais-je avoir une bonne issue ? Il serait préférable de prendre en charge un travail à tâche unique sans prendre de risque. » Avec cela à l’esprit, je n’ai plus été disposée à assumer le rôle de dirigeante. Quelques jours plus tard, lors des élections de l’Église, j’ai été élue dirigeante. En voyant ce résultat, je ne me suis pas sentie heureuse. Au lieu de ça, je me suis sentie réprimée et en souffrance. Je me suis dit : « Ne pas l’accepter montrerait un manque de soumission. Si je l’accepte, non seulement je devrai travailler plus dur et endurer davantage que les autres, mais en plus, si je gâche le travail, ce sera un gros problème. Si j’offense le tempérament de Dieu, mon cheminement de croyance en Dieu prendra fin, et toutes ces années de croyance en Dieu ne seraient-elles pas vaines ? Il vaudrait mieux que je fasse bien mon devoir actuel de façon pragmatique. » Quand je pensais de cette façon, je m’en voulais dans mon cœur, mais lorsque je tenais compte de la lourde responsabilité du rôle de dirigeant, et de la vitesse à laquelle on serait révélé et éliminé si on commettait une erreur, je ne voulais toujours pas assumer le rôle de dirigeante. Je ressentais une lutte intérieure, comme un combat acharné. J’ai alors prié Dieu, Lui demandant de me conduire et me guider.
Un jour, j’ai lu un passage des paroles de Dieu, et cela m’a profondément émue. Dieu Tout-Puissant dit : « Si tu sens que tu peux accomplir un certain devoir, mais, qu’en même temps, tu crains aussi de faire une erreur et d’être éliminé, et que tu es timide, que tu stagnes et ne parviens pas à faire des progrès, alors est-ce là une attitude soumise ? Par exemple, si tes frères et sœurs te choisissent comme leur dirigeant, alors il se peut que tu te sentes obligé d’accomplir ce devoir parce que tu as été choisi, mais tu ne considères pas ce devoir avec une attitude proactive. Pourquoi n’es-tu pas proactif ? Parce que tu as des préjugés à ce sujet et que tu penses ceci : “Être dirigeant n’est pas du tout une bonne chose. C’est comme vivre sur le fil du rasoir ou s’aventurer en terrain glissant. Si je fais du bon travail, alors il n’y aura pas de récompense particulière, mais si je fais du mauvais travail, alors je serai émondé. Et être émondé n’est même pas le pire de tout. Que se passera-t-il si l’on me remplace ou si je suis éliminé ? Si cela arrivait, tout ne serait-il pas fini pour moi ?” À ce stade, tu commences à éprouver des sentiments partagés. Quelle est cette attitude ? C’est être sur la défensive et c’est de l’incompréhension. Ce n’est pas l’attitude que les gens devraient avoir vis-à-vis de leur devoir. C’est une attitude démoralisée et négative. Donc, comment devrait être une attitude positive ? (Nous devrions faire preuve d’ouverture d’esprit et de franchise et avoir le courage d’endosser les fardeaux.) Ça devrait être une attitude de soumission et de coopération proactive. Ce que vous dites est un peu vide. Comment peux-tu faire preuve d’ouverture d’esprit et de franchise lorsque tu as aussi peur ? Et que signifie avoir le courage d’endosser des fardeaux ? Quelle mentalité te donnera le courage d’endosser des fardeaux ? Si tu as toujours peur que quelque chose aille mal et que tu ne puisses pas le gérer, et si tu as beaucoup d’obstacles en toi, alors tu n’auras fondamentalement pas le courage d’endosser les fardeaux. Les phrases : “faire preuve d’ouverture d’esprit et de franchise”, “d’avoir le courage d’endosser les fardeaux” ou “de ne jamais reculer même face à la mort” dont tu parles ressemblent un peu aux slogans criés par les jeunes en colère. Les slogans peuvent-ils régler des problèmes concrets ? Ce qu’il faut maintenant, c’est une attitude correcte. Pour avoir une attitude correcte, tu dois comprendre cet aspect de la vérité. C’est le seul moyen de résoudre tes difficultés internes et de te permettre d’accepter en douceur ce mandat, ce devoir. C’est le chemin de pratique, et seul cela est la vérité. Si tu utilises des termes comme “faire preuve d’ouverture d’esprit et de franchise” et “avoir le courage d’endosser des fardeaux” pour faire face à la peur que tu ressens, cela sera-t-il efficace ? (Non.) Cela indique que ces choses ne sont pas la vérité, et qu’elles ne sont pas non plus un chemin de pratique. Il se peut que tu dises : “Je sais faire preuve d’ouverture d’esprit et de franchise, je suis de stature indomptable, mon cœur ne renferme aucune pensée étrangère ni aucun contaminant étranger, et j’ai le courage d’endosser des fardeaux.” En apparence, tu assumes la charge de ton devoir, mais plus tard, après y avoir réfléchi un moment, tu continues de penser que tu ne peux pas l’assumer. Il se peut que tu continues d’avoir peur. En outre, il se peut que tu voies les autres être émondés, et que tu aies encore plus peur, comme un chien battu terrifié par le fouet. Tu auras de plus en plus l’impression que ta stature est trop petite, et que ce devoir est comme un abysse immense, infranchissable, et finalement, tu seras toujours incapable d’assumer cette charge. C’est pourquoi scander des slogans ne peut résoudre les problèmes pratiques. Donc, comment peux-tu réellement résoudre ce problème ? Tu dois chercher activement la vérité et adopter une attitude soumise et coopérative. Cela peut entièrement résoudre le problème. La timidité, la crainte et l’inquiétude ne servent à rien. Y a-t-il le moindre rapport entre le fait d’être révélé et éliminé et le fait d’être dirigeant ? Si tu n’es pas dirigeant, ton tempérament corrompu disparaîtra-t-il ? Tôt ou tard, tu devras résoudre le problème de ton tempérament corrompu. En outre, si tu n’es pas dirigeant, alors tu n’auras pas davantage d’occasions de pratiquer et tu progresseras lentement dans la vie, en ayant peu de chances d’être perfectionné. Même si l’on souffre un peu plus quand on est dirigeant ou ouvrier, il y a aussi de nombreuses récompenses, et si tu peux suivre le chemin de la poursuite de la vérité, tu pourras être perfectionné. Quelle grande bénédiction ! Tu dois donc te soumettre et coopérer activement. C’est ton devoir et ta responsabilité. Peu importe le chemin à parcourir, tu dois avoir un cœur de soumission. Voilà l’attitude avec laquelle tu devrais accomplir ton devoir » (La Parole, vol. 3 : Discours de Christ des derniers jours, Comment accomplir son devoir de façon adéquate ?). Ces paroles de Dieu exposaient si minutieusement les pensées que j’avais dans mon cœur que je me suis sentie honteuse et gênée. J’ai réfléchi sur moi-même, sur la raison pour laquelle j’avais eu si peur d’être dirigeante. C’était parce que j’avais vu une dirigeante ne pas choisir les bonnes personnes lorsqu’elle a organisé le transfert les offrandes. Résultat, les offrandes avaient été saisies par le grand dragon rouge et plusieurs frères et sœurs avaient été arrêtés. J’avais également vu la façon dont la maison de Dieu avait enquêté et géré l’affaire. Par conséquent, j’avais eu peur que si je devenais dirigeante et que je commettais une grosse erreur dans le travail, cela cause non seulement des pertes pour l’Église, mais que cela retarde aussi l’entrée dans la vie des frères et sœurs. Ce serait là une grande transgression, et je serais rapidement révélée et éliminée. Il serait alors plus sûr de prendre en charge un travail à la tâche unique à la place. J’avais constamment tenu compte de mes propres intérêts et n’avais pas osé assumer le devoir de dirigeante. J’ai vu que j’avais été trop égoïste, sans aucune soumission. Même si le fait d’être dirigeante implique davantage de travail, cela offre davantage d’opportunités pour la formation, plus de chances de gagner la vérité, et une croissance de vie plus rapide. Les intentions sincères de Dieu étaient derrière tout cela, mais je ne comprenais pas les intentions de Dieu, et au lieu de ça, j’avais des réserves et des incompréhensions vis-à-vis de Dieu dans mon cœur. N’était-ce pas profondément blessant pour Dieu ? Je devais me soumettre et coopérer activement, chercher la vérité pour résoudre mes réserves et mes incompréhensions vis-à-vis de Dieu.
Après ça, j’ai lu un autre passage des paroles de Dieu : « Même s’il se consacre entièrement à son devoir, démissionne de son travail et renonce à sa famille, s’il ne donne pas son cœur à Dieu et se méfie de Dieu, est-ce là un bon état ? Est-ce là l’état normal d’entrée dans la vérité-réalité ? Le développement futur de cet état n’est-il pas terrifiant ? Si une personne persiste dans cet état, peut-elle obtenir la vérité ? Peut-elle gagner la vie ? Peut-elle entrer dans la vérité-réalité ? (Non.) Êtes-vous conscients de posséder vous-mêmes cet état précis ? Lorsque vous en prenez conscience, vous dites-vous : “Pourquoi suis-je toujours méfiant envers Dieu ? Pourquoi est-ce que je pense toujours de cette façon ? Penser ainsi est vraiment effrayant ! C’est s’opposer à Dieu et rejeter la vérité. Se méfier de Dieu, c’est la même chose que Lui résister” ? Être dans un état de méfiance envers Dieu, c’est exactement comme être un voleur : vous n’osez pas vivre dans la lumière, vous avez peur d’exposer votre visage démoniaque et, en même temps, vous êtes effrayés : “On ne peut pas prendre Dieu à la légère. Il peut juger et châtier les gens à tout moment et en tout lieu. Si vous mettez Dieu en colère, dans les cas les plus bénins, Il vous émondera, et dans les cas plus graves, Il vous punira, vous rendra malade ou vous fera souffrir. Les gens ne peuvent pas supporter ces choses-là !” Les gens n’ont-ils pas ces mauvaises compréhensions ? Est-ce là un cœur qui craint Dieu ? (Non.) Ce genre d’état n’est-il pas terrifiant ? Quand une personne est dans cet état, quand elle se méfie de Dieu, et qu’elle a sans cesse ces pensées, quand elle a toujours ce genre d’attitude envers Dieu, est-ce qu’elle traite Dieu comme Dieu ? Est-ce là croire en Dieu ? Lorsqu’une personne croit en Dieu de cette manière, lorsqu’elle ne traite pas Dieu comme Dieu, n’est-ce pas un problème ? Au minimum, les gens n’acceptent pas le tempérament juste de Dieu, ni le fait de Son œuvre. Ils pensent : “Il est vrai que Dieu est miséricordieux et aimant, mais Il est aussi courroucé. Lorsque la colère de Dieu s’abat sur une personne, l’effet est désastreux. Dieu peut frapper les gens à mort à tout moment, détruisant qui Il veut. N’invoquez pas la colère de Dieu. Il est vrai que Sa majesté et Sa colère ne permettent aucune offense. Tenez-vous à distance de Lui !” Si une personne a ce genre d’attitude et ces idées, peut-elle venir pleinement et sincèrement devant Dieu ? Elle ne le peut pas » (La Parole, vol. 3 : Discours de Christ des derniers jours, Ce n’est qu’en pratiquant la vérité que l’on peut se défaire des chaînes d’un tempérament corrompu). Alors que je pensais aux paroles de Dieu et que je réfléchissais sur moi-même, j’ai pris conscience que même si je croyais en Dieu depuis de nombreuses années, qu’en apparence, j’avais renoncé à ma famille et à ma carrière pour faire mon devoir, je n’avais jamais vraiment donné mon cœur à Dieu. Je m’étais toujours accrochée aux règles de survie de Satan, telles que « Plus on s’élève et plus dure sera la chute », et « On est seul au sommet », les considérant comme des maximes et de sages paroles. J’avais vécu selon les règles de survie de Satan, et n’avais pas cru au tempérament juste de Dieu. J’avais considéré que la maison de Dieu était exactement comme le monde, qu’elle manquait d’équité et de justice, j’avais imaginé que Dieu était comme les gens corrompus, et j’avais cru que même une petite erreur commise par inadvertance conduirait à la condamnation et à l’élimination. Alors lorsque j’avais vu les autres être émondés ou renvoyés, j’étais devenue encore plus méfiante envers Dieu dans mon cœur. J’avais eu peur d’être renvoyée et éliminée si je ne faisais pas bien le travail, et je pensais qu’il était plus sûr de simplement faire un travail à la tâche unique. À cause de ces points de vue fallacieux, je ne pouvais pas me soumettre aux orchestrations et aux arrangements de Dieu. En réalité, le fait qu’une personne soit révélée et éliminée n’a rien à voir avec son statut. Cela est déterminé par le chemin qu’elle emprunte. Si quelqu’un ne poursuit pas la vérité, même s’il n’a pas de statut, il sera quand même révélé et éliminé. Certains dirigeants et ouvriers peuvent connaître des écarts ou des échecs dans leur travail, mais peuvent chercher la vérité et réfléchir sur eux-mêmes par la suite, faire tous les efforts possibles pour agir conformément aux principes, et plus ils font leurs devoirs, plus ils gagnent une compréhension plus profonde de la vérité. Pour ce genre de personnes, assumer un poste de dirigeant est un moyen par lequel ils peuvent être rendus parfaits. La dirigeante que je connaissais avant avait été renvoyée parce qu’elle n’avait consacré ni temps, ni énergie aux vérités-principes, qu’elle avait interrompu et perturbé le travail, et obstinément refusé de se connaître. Même quand ses problèmes avaient été exposés et que des échanges avaient eu lieu à ce sujet, elle avait rétorqué et s’était défendue au lieu de se repentir. Cela avait conduit à son renvoi. De plus, ces antéchrists expulsés par la maison de Dieu n’étaient pas détruits par le statut, ou éliminés à cause d’une seule transgression. C’était parce que lorsqu’ils étaient dirigeants, ils avaient agi de manière imprudente et autocratique, et avaient formé des factions pour établir des royaumes indépendants, ce qui avait sérieusement perturbé le travail de l’Église. Même après avoir été émondés et avertis, ils avaient refusé obstinément de se repentir. Ils avaient été expulsés et éliminés parce qu’ils appartenaient à la catégorie de gens qui ont de l’aversion pour la vérité et la détestent. Leur échec était déterminé par leur nature-essence et le chemin qu’ils avaient emprunté. Dans la maison de Dieu, la décision de renvoyer ou d’éliminer quelqu’un n’est pas basée sur son comportement momentané ou sur le fait qu’il ait commis une seule erreur, mais plutôt sur leur nature-essence et leur comportement constant. De plus, Dieu donne à chaque personne de multiples occasions pour se repentir. Il ne s’agit pas d’expulser ou d’éliminer toute personne qui a commis une erreur. Tout comme avec notre dirigeante d’Église : même s’il y avait eu un gros problème avec les arrangements pour le transfert des offrandes, elle avait cherché la vérité par la suite, réfléchi sur elle-même et montré une volonté de se repentir. Par conséquent, pour le moment, elle n’a pas été renvoyée. J’ai vu que ma croyance en « plus on s’élève et plus dure sera la chute » n’était foncièrement pas conforme à la vérité, et j’ai réalisé à quel point mon point de vue était déformé ! Je m’étais sans cesse préoccupée de mon propre avenir et de mon propre destin, craignant de ne pas avoir une bonne issue ni une bonne destination si je devenais dirigeante et que je gâchais le travail. Si ces poursuites erronées et ces points de vue incorrects n’étaient pas résolus en cherchant la vérité, alors même si je ne devenais pas dirigeante, ma nature de résistance à Dieu étant profondément ancrée en moi, je finirais par être éliminée. À ce moment-là, j’ai senti que vivre selon la philosophie de Satan était vraiment dangereux, car cela pouvait m’inciter à me rebeller contre Dieu et à m’éloigner de Lui en tout temps et en tout lieu.
Après ça, j’ai lu ces paroles de Dieu : « Les antéchrists n’obéissent jamais aux arrangements de la maison de Dieu et ils font toujours un lien étroit entre, d’une part, leur devoir, leur renommée, le gain et leur statut et, d’autre part, leur espoir de gagner des bénédictions et leur future destination, comme si, dans le cas où ils perdraient leur réputation et leur statut, ils n’avaient aucun espoir de gagner des bénédictions et des récompenses, et pour eux, ce serait comme s’ils perdaient la vie. Ils se disent : “Je dois faire attention, je ne dois pas être imprudent ! On ne peut pas se fier à la maison de dieu, aux frères et sœurs, aux dirigeants et aux ouvriers, ni même à dieu. Je ne peux faire confiance à aucun d’entre eux. La personne à laquelle tu peux le plus te fier et qui est la plus digne de confiance, c’est toi-même. Si tu ne fais pas de projets pour toi-même, alors qui va s’occuper de toi ? Qui va réfléchir à ton avenir ? Qui va se demander si, oui ou non, tu vas recevoir des bénédictions ? Par conséquent, je dois faire des projets et des calculs avec soin dans mon propre intérêt. Je ne peux pas faire d’erreurs ou même être le moins du monde imprudent, sinon, que ferais-je si quelqu’un essayait de profiter de moi ?” Et donc, ils se méfient des dirigeants et des ouvriers de la maison de Dieu, craignant que quelqu’un les discerne ou voie dans leur jeu, craignant d’être ensuite renvoyés et de voir leur rêve de bénédictions gâché. Ils se disent qu’ils doivent préserver leur réputation et leur statut, pour qu’ils aient l’espoir de gagner des bénédictions. Un antéchrist considère qu’être béni, c’est plus vaste que les cieux, plus vaste que la vie, plus important que la poursuite de la vérité, le changement de tempérament, ou le salut personnel, et plus important que de bien faire son devoir et d’être un être créé qui soit à la hauteur des normes. Il pense qu’être un être créé qui soit à la hauteur, bien faire son devoir et être sauvé sont autant de choses dérisoires qui valent à peine d’être mentionnées ni remarquées, tandis que gagner des bénédictions est la seule chose de toute la vie qui ne puisse jamais être oubliée. Face à ce qu’il rencontre, peu importe que ce soit grand ou petit, il relie tout au fait d’être béni, il est extrêmement prudent et attentif, et il se ménage toujours une issue » (La Parole, vol. 4 : Exposer les antéchrists, Point 12 : Ils veulent se retirer lorsqu’ils n’ont aucun statut et aucun espoir de gagner des bénédictions). Grâce à ces paroles de Dieu, j’ai vu que dans toute situation que les antéchrists rencontrent, ils déterminent d’abord s’ils peuvent gagner des bénédictions ou pas. Tant que quelque chose est bénéfique pour gagner des bénédictions, ils le feront, alors que si ce n’est pas le cas, ils ne le feront pas. Ils ne tiennent jamais compte de leurs responsabilités ou de leurs devoirs, ni des intérêts de la maison de Dieu. En réfléchissant à mon propre comportement, j’ai pris conscience que j’avais agi de la même façon. Les frères et sœurs m’avaient élue dirigeante – c’était là une exaltation de Dieu et une opportunité pour moi de me former. J’aurais dû coopérer activement, mais j’avais accordé trop d’importance au gain de bénédictions, tenant compte de mon propre avenir et de mon propre destin avant tout. Dès que j’avais pensé aux lourdes responsabilités d’un dirigeant, et à l’impact négatif potentiel sur mon avenir et ma destination si je faisais une quelconque transgression, j’étais devenue réticente à assumer le rôle. J’avais considéré le fait de gagner des bénédictions comme étant plus important que mes propres devoirs et responsabilités. J’avais été vraiment égoïste et dénuée d’humanité ! En réalisant cela, j’ai fait une prière de repentance à Dieu, et j’ai activement assumé le devoir de dirigeante.
Peu de temps après, on m’a donné la responsabilité du transfert des offrandes. J’éprouvais encore une certaine crainte dans mon cœur, j’avais peur qu’une erreur survienne à cause de mes arrangements inadéquats, alors je voulais reculer. À ce moment-là, j’ai reconnu que cet état n’était pas juste, alors je me suis présentée devant Dieu pour prier : « Ô mon Dieu, je vois que je suis trop égoïste et que je me concentre de nouveau sur mon propre avenir et mon propre destin. Ce devoir qui me parvient aujourd’hui, c’est Toi qui me testes. Je ne devrais pas vivre dans la crainte, ni tenir compte de mes propres intérêts. Je devrais me fier à Toi et coopérer conformément aux principes, assumer activement ce fardeau, et ne plus penser aux gains ou aux pertes personnels. » Après avoir prié, j’ai pensé à un passage des paroles de Dieu : « Quel genre de personne ose prendre ses responsabilités ? Quel genre de personne a le courage de porter une lourde charge ? Quelqu’un qui prend des initiatives et qui va courageusement de l’avant au moment le plus décisif dans le travail de la maison de Dieu, qui ne craint pas d’endosser de lourdes responsabilités et d’endurer de grandes épreuves quand il voit le travail qui est le plus important et crucial. Voilà une personne loyale envers Dieu, un bon soldat de Christ. Est-ce que les gens craignent de prendre leurs responsabilités dans leurs devoirs parce qu’ils ne comprennent pas la vérité ? Non. C’est parce que leur humanité pose problème. Ils n’ont pas le sens de la justice ou des responsabilités, ils sont égoïstes et ignobles, ce ne sont pas de vrais croyants en Dieu et ils n’acceptent pas la vérité le moins du monde. Pour cette raison, ils ne peuvent être sauvés » (La Parole, vol. 4 : Exposer les antéchrists, Point 8 : Ils voudraient que les autres ne se soumettent qu’à eux, et non à la vérité ou à Dieu (Partie I)). Alors que je réfléchissais à ces paroles de Dieu, j’ai compris que ceux qui croyaient sincèrement en Dieu et avaient une bonne humanité faisaient leurs devoirs avec le sens des responsabilités. Ils protègent les intérêts de la maison de Dieu sans tenir compte des gains ou des pertes personnels. Surtout dans un travail crucial, ils affrontent les difficultés de front, et sont capables d’assumer de lourds fardeaux et de tenir compte des intentions de Dieu. Les risques ont beau être importants, ils ne battent pas en retraite mais sont capables de se fier à Dieu pour faire l’expérience de choses. Ces personnes ont vraiment une conscience et une raison. Ce sont les piliers de l’Église et ce sont eux que Dieu apprécie. Mais pour ce qui est de ceux qui tiennent constamment compte de leurs propres gains et pertes dans l’exécution de leurs devoirs, et qui ne protègent pas du tout les intérêts de la maison de Dieu, ils manquent d’humanité et sont égoïstes et méprisables. Aux yeux de Dieu, ce sont des incrédules et des non-croyants. En réfléchissant à tout cela, j’ai ressenti du désarroi, je m’en suis voulue, et je suis devenue disposée à assumer cette responsabilité et à coopérer activement pour transférer les offrandes vers un endroit sûr au plus vite. Après avoir pratiqué ainsi, j’ai ressenti un sentiment de paix et de réconfort dans mon cœur.
Si Dieu n’avait pas arrangé des environnements pour me révéler, je n’aurais pas connu mon tempérament égoïste et méprisable et mes perspectives erronées sur ce qu’il faut poursuivre, et je n’aurais pas non plus compris les efforts minutieux de Dieu pour sauver les gens. Je suis reconnaissante envers Dieu pour avoir arrangé ces environnements, et pour l’éclairage et la direction de Ses paroles qui ont conduit à cette connaissance et à cette transformation.
La douleur cessera et les larmes s'arrêteront. Faites confiance à Dieu, Il a entendu nos appels dans notre souffrance, et Il nous sauvera de notre douleur. Contactez-nous pour connaître la bonne nouvelle de Dieu de nous sauver.
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