Par Zhang Di, Chine

À la fin du mois de novembre 2023, j’ai coopéré avec deux sœurs pour superviser le travail d’abreuvement dans plusieurs Églises. Chaque fois que nous faisions un compte rendu des écarts et des problèmes dans notre travail, j’éprouvais une grande pression. Mes capacités de travail n’étaient pas très bonnes, j’avais tendance à remarquer les problèmes lentement, je n’étais pas aussi réactive et je n’avais pas un calibre aussi bon que les deux sœurs avec qui je coopérais. Par exemple, parfois, les nouveaux arrivants ne se réunissaient pas régulièrement, les personnes chargées de l’abreuvement mentionnaient des raisons objectives et se contentaient de signaler les problèmes des nouveaux arrivants, sans chercher à savoir si elles avaient des écarts dans leurs devoirs. Puisque je manquais de discernement, je me contentais de suivre ce que disaient les personnes chargées de l’abreuvement et je me focalisais sur les nouveaux arrivants. Cependant, mes sœurs partenaires étaient capables d’analyser les détails des problèmes évoqués par les personnes chargées de l’abreuvement, en identifiant la cause profonde des problèmes. Cela conduisait à résoudre les problèmes avec plus d’efficacité. Chaque fois que je me comparais aux sœurs, je me sentais insuffisante, et même si les sœurs ne disaient rien, j’étais embarrassée. Je me souciais constamment : « Que vont-elles penser de moi ? Vont-elles dire que je n’ai pas fait beaucoup de progrès même après un certain temps de formation ? Vont-elles penser que je manque de calibre ? » Je me sentais très oppressée chaque fois que nous faisions un compte rendu de notre travail, et j’étais très réticente à faire face à ces situations.

Un jour de janvier 2024, nous nous sommes réunies pour faire un compte rendu de notre travail. Je me suis dit : « Je ne peux pas être la première à échanger cette fois-ci. Je vais attendre que les sœurs présentent leurs comptes rendus, puis je parlerai en dernier. Une fois qu’elles auront résumé la plupart des points, s’il y a des problèmes communs, je ferai simplement un court compte rendu à la fin. De cette façon, elles ne verront pas qui je suis réellement. » Donc, lorsque Sœur An Ran a demandé qui serait la première à présenter son compte rendu, j’ai gardé le silence. Après cela, An Ran a commencé à présenter un compte rendu de chaque Église et de chaque problème en détail. Plus ses comptes rendus étaient détaillés, plus je me sentais anxieuse et je pensais : « Une fois qu’An Ran aura fait un compte rendu aussi complet, est-ce que mon simple échange ne va pas me faire paraître insuffisante ? Va-t-on dire que je manque de discernement et que j’ai un faible calibre ? » Je n’arrivais pas à me concentrer sur les problèmes qu’An Ran résumait parce que je me sentais tellement agitée. Au bout d’un moment, An Ran a eu fini de parler et Yang Xi a pris le relais. Bien que le compte rendu de Yang Xi n’était pas aussi détaillé que celui d’An Ran, elle a pu souligner certains problèmes clés dans le travail d’abreuvement. À ce stade, j’étais vraiment anxieuse, et j’avais l’impression que le temps passait vite. Peu après, Yang Xi a également terminé, et elle a dit : « Les problèmes présents dans ces Églises sont assez similaires. » An Ran a acquiescé, en disant : « C’est vrai. » En entendant les sœurs dire cela, j’ai saisi l’occasion, j’ai pensé : « Puisqu’elles disent toutes que les problèmes sont similaires, cela veut-il dire que je n’ai pas besoin de faire de compte rendu ? De cette façon, je peux éviter de me ridiculiser avec un échange simple. » J’ai rapidement saisi l’occasion pour dire : « Mon compte rendu porte à peu près sur les mêmes problèmes que les vôtres. » En regardant l’horloge, j’ai vu qu’il était déjà plus de minuit, et que tout le monde semblait un peu fatigué. Alors j’ai pensé : « Maintenant que tout le monde a sommeil, même si l’on remarque que mon compte rendu est simple, on pourra penser que c’est juste parce que je n’étais pas très lucide. De cette façon, je pourrai m’en sortir sans problème. » Alors j’ai dit : « Il est trop tard maintenant, et mon esprit est un peu embrouillé. Mon compte rendu est similaire au vôtre, donc je vais juste l’exposer rapidement. » Mais contre toute attente, An Ran a dit : « Faire un compte rendu maintenant ne donnera pas de bons résultats, faisons cela demain matin. » Mais ensuite, j’ai pensé : « Demain matin, quand tout le monde sera plus énergique, ils entendront immédiatement mon simple compte rendu pour ce qu’il est. Que pensera-t-on de moi à ce moment-là ? Il vaut mieux que je présente mon compte rendu maintenant, ainsi, même s’il est simple, cela ne se remarquera peut-être pas. De cette façon, je pourrai sauver quelque peu les apparences. » J’ai rapidement dit : « Finissons le compte rendu ce soir, nous avons un autre travail demain matin. » Les sœurs n’ont rien répondu, semblant somnolentes alors qu’elles ont continué à écouter mon compte rendu. Après avoir parlé, j’ai finalement éprouvé un sentiment de soulagement.

Plus tard, lors d’une réunion, j’ai partagé cette expérience en discutant de mon état. En parlant, j’ai pris conscience que je m’étais beaucoup embrouillée rien qu’en faisant un compte rendu du travail ! Mes sœurs partenaires me l’ont également fait remarquer, en disant : « Regarde comme tes pensées se sont embrouillées à force de trop réfléchir ! Sais-tu pourquoi tu n’arrivais pas à identifier les problèmes ? C’est tout simplement parce que tu étais concentrée à protéger ton image, et ton esprit n’était pas sur la bonne tâche. » En effet, ce que les sœurs disaient était vrai. Récemment, l’efficacité de notre travail avait été faible, et je ne m’étais pas penchée sur la manière de résumer clairement les problèmes et les écarts pour apporter des solutions efficaces, ni sur la manière dont mes sœurs partenaires identifiaient et résumaient les problèmes, ni sur la façon d’apprendre d’elles. Au lieu de cela, j’avais concentré toute mon attention sur la manière de protéger mon image et mon statut. À ce stade, je me suis rappelé un article de témoignage d’expérience que j’avais lu quelques jours auparavant, qui citait un passage des paroles de Dieu qui disséquait un état très similaire au mien. J’ai rapidement trouvé ce passage pour le lire. Dieu Tout-Puissant dit : « Les antéchrists ont une humanité malhonnête, ce qui signifie qu’ils ne sont absolument pas sincères. Tout ce qu’ils disent et font est adultéré et comporte leurs propres intentions et buts, et tout cela dissimule leurs ruses et manigances inavouables et innommables. Donc, les paroles et les actes des antéchrists sont excessivement souillés et remplis de mensonges. Ils ont beau parler, il est impossible de savoir quelles paroles sont vraies ou fausses, lesquelles sont justes, lesquelles sont erronées. C’est parce qu’ils sont malhonnêtes, et que leurs esprits sont extrêmement compliqués, emplis de manigances fourbes et foisonnants de ruses. Rien de ce qu’ils disent n’est simple. Ils ne disent pas un pour dire un, deux pour deux, oui pour oui, et non pour non. Au lieu de cela, ils tournent autour du pot en toutes choses, et réfléchissent longuement, calculant les conséquences, soupesant les avantages et les inconvénients sous tous les angles. Ensuite, ils altèrent ce qu’ils veulent dire, employant le langage de sorte que tout ce qu’ils disent semble plutôt maladroit. Les gens honnêtes ne comprennent jamais ce qu’ils disent et sont facilement trompés et piégés par eux, et quiconque parle et communique avec ce genre de personne trouve l’expérience fatigante et laborieuse. Ils ne disent jamais un pour dire un, et deux pour dire deux, ils ne disent jamais ce qu’ils pensent, et ils ne décrivent jamais les choses telles qu’elles sont. Tout ce qu’ils disent est insondable, et les buts et intentions de leurs actions sont très compliqués. Si la vérité éclate – si d’autres les percent à jour et les attrapent – ils concoctent rapidement un autre mensonge pour s’en sortir » (La Parole, vol. 4 : Exposer les antéchrists, Annexe 4 : Résumé du caractère des antéchrists et de leur tempérament-essence (Partie I)). Dieu a exposé un certain type de personnes qui ont le tempérament d’un antéchrist. Elles manquent de tout élément d’honnêteté dans leurs paroles et leurs actions, elles agissent toujours avec des intentions et des objectifs personnels et leurs pensées sont toutes enchevêtrées. Même une simple question devient compliquée avec elles. Leur tempérament est très fourbe. J’étais exactement le genre de personne que Dieu a exposé. Pendant que je faisais un compte rendu du travail, parce que je n’avais pas identifié beaucoup de problèmes, je craignais que la simplicité de mon échange ne me fasse paraître méprisable aux yeux des autres sœurs, alors mon esprit avait commencé à bouillonner de plans et de stratagèmes, j’avais pensé que je pourrais attendre que les sœurs terminent leur échange et ensuite fournir un échange général à la fin. Quand j’avais vu que les sœurs avaient identifié des écarts et des problèmes clés dans le travail, pour éviter qu’elles ne découvrent que ma compréhension de la question était simple et que je me ridiculise, même s’il y avait des problèmes que je n’avais pas remarqués, je m’étais quand même contentée d’acquiescer aux remarques des sœurs, affirmant que mon compte rendu était le même que le leur. J’avais même choisi de faire le compte rendu quand tout le monde avait sommeil en essayant de leur faire croire que la simplicité de mon compte rendu n’était pas de ma faute, mais que c’était à cause de l’heure tardive et de mon esprit embrouillé. Lorsqu’An Ran avait suggéré de reporter le compte rendu au lendemain pour obtenir de meilleurs résultats, j’avais eu peur qu’en laissant passer cette occasion, je ne puisse pas m’en sortir en bluffant, alors j’avais insisté pour faire le compte rendu ce soir-là, en affirmant qu’un report retarderait le travail du lendemain. J’ai pris conscience que mes pensées, mes paroles et mes actions ne contenaient aucune trace d’honnêteté, et que mon esprit était devenu complètement embrouillé. En réalité, peu importe combien de problèmes j’aurais pu identifier, j’aurais dû parler honnêtement, et s’il y avait des problèmes que je n’avais pas remarqués, j’aurais pu chercher mes propres écarts et y remédier par la suite. Or j’avais rendu la situation plus complexe qu’elle ne l’était. Je ressentais le besoin de peser chaque mot que j’allais dire bien avant de le dire, et toutes mes pensées tournaient autour de la manière de sauver les apparences. Mon esprit était rempli de stratagèmes trompeurs, et j’étais tellement fourbe !

Plus tard, en mangeant et en buvant les paroles de Dieu, j’ai gagné une certaine compréhension de la raison pour laquelle j’étais fourbe et de la nature et des conséquences de la fourberie. Dieu Tout-Puissant dit : « Que dites-vous, la vie n’est-elle pas épuisante pour les gens fourbes ? Ils passent leur temps à mentir, puis ils mentent davantage pour dissimuler leurs mensonges précédents, et ils se livrent à la tromperie. Ils s’épuisent eux-mêmes. Ils savent qu’il est épuisant de vivre ainsi : alors pourquoi veulent-ils tout de même se montrer fourbes et ne veulent-ils pas être honnêtes ? Avez-vous déjà réfléchi à cette question ? C’est ce qui arrive quand les gens sont trompés par leur nature satanique, celle-ci les empêche de renoncer à ce genre de vie, à ce genre de tempérament. Ces gens sont prêts à accepter d’être trompés de la sorte et à vivre ainsi. Ils ne veulent pas pratiquer la vérité ni marcher sur le chemin de la lumière. Tu penses qu’il est épuisant de vivre ainsi et qu’agir de cette façon n’est pas nécessaire, mais les gens fourbes pensent que c’est absolument nécessaire. Ils pensent que ne pas le faire leur causerait une humiliation, que cela nuirait à leur image, à leur réputation et à leurs intérêts, également, et qu’ils perdraient trop. Ils chérissent ces choses, ils chérissent leur image, leur réputation et leur statut. Voilà le vrai visage des gens qui n’aiment pas la vérité. En bref, quand les gens ne sont pas disposés à être honnêtes et à pratiquer la vérité, c’est parce qu’ils n’aiment pas la vérité. Dans leur cœur, ils chérissent des choses comme la réputation et le statut, ils aiment suivre les tendances du monde et vivent sous l’emprise de Satan. C’est là un problème lié à leur nature. Il y a des gens, à présent, qui croient en Dieu depuis des années, qui ont entendu de nombreux sermons, qui savent parfaitement ce que croire en Dieu veut dire. Pourtant, ils ne pratiquent toujours pas la vérité et n’ont pas changé le moins du monde. Pourquoi en est-il ainsi ? C’est parce qu’ils n’aiment pas la vérité. Même s’ils comprennent un peu de la vérité, ils ne sont pas capables pour autant de la pratiquer. Pour de telles personnes, peu importe depuis combien d’années elles croient en Dieu, cela est vain. Les gens qui n’aiment pas la vérité peuvent-ils être sauvés ? C’est absolument impossible. Ne pas aimer la vérité est un problème de cœur, de nature. Cela ne peut pas être résolu. Que quelqu’un puisse ou non être sauvé dans sa foi dépend principalement du fait qu’il aime ou non la vérité. Seuls ceux qui aiment la vérité peuvent accepter la vérité : eux seuls peuvent subir des épreuves et payer un prix pour la vérité, et eux seuls peuvent prier Dieu et se fier à Lui. Eux seuls peuvent chercher la vérité, réfléchir et se connaître à travers leurs expériences, avoir le courage de se rebeller contre la chair et parvenir à la pratique de la vérité et à la soumission à Dieu. Seuls ceux qui aiment la vérité peuvent la poursuivre de cette manière, suivre le chemin du salut et gagner l’approbation de Dieu. Il n’y a pas d’autre chemin que celui-là. Il est très difficile pour ceux qui n’aiment pas la vérité de l’accepter. C’est parce que, du fait de leur nature, ils ont de l’aversion pour la vérité et la haïssent. S’ils voulaient arrêter de résister à Dieu ou ne pas faire le mal, cela leur serait très difficile, car ils sont de Satan et ils sont déjà devenus des démons et des ennemis de Dieu. Dieu sauve l’humanité, Il ne sauve pas les démons ni Satan. Certains posent des questions comme : “Je comprends vraiment la vérité. Je ne peux tout simplement pas la mettre en pratique. Que dois-je faire ?” Voilà quelqu’un qui n’aime pas la vérité. Si quelqu’un n’aime pas la vérité, alors il ne peut pas la mettre en pratique même s’il la comprend, car au fond, il ne veut pas le faire et il n’aime pas la vérité. Une telle personne ne peut pas être sauvée. Certaines personnes disent : “Il me semble que vous perdez beaucoup en étant une personne honnête, donc je ne veux pas en être une. Les personnes fourbes ne perdent jamais, elles tirent même profit des autres. Donc, je préférerais être une personne fourbe. Je ne veux pas laisser les autres connaître mes affaires privées, les laisser me saisir ou me comprendre. Mon destin doit être entre mes mains.” Par tous les moyens, alors, essaye et tu verras. Vois avec quel type de résultat tu te retrouves : vois qui va en enfer et qui est puni à la fin » (La Parole, vol. 3 : Discours de Christ des derniers jours, La pratique la plus fondamentale pour être une personne honnête). Après avoir lu les paroles de Dieu, j’ai compris qu’intrinsèquement, les personnes fourbes n’aiment pas la vérité et refusent de pratiquer l’honnêteté. Elles passent leur temps à manipuler et à duper pour protéger leur image et leur statut, et mènent ainsi une vie épuisante et douloureuse. Tout cela découle du tourment et de la ruse de leur nature satanique. Faire un compte rendu du travail afin d’identifier les problèmes et les écarts avait pour objectif d’améliorer le travail d’abreuvement à venir ; or j’étais toujours préoccupée par le fait que la simplicité de mon compte rendu pourrait amener les sœurs à me mépriser, alors je n’avais cessé de calculer et de manigancer. Il était évident que je n’avais pas identifié de problèmes, mais je n’osais pas dire la vérité en toute franchise. Les sœurs avec lesquelles je collaborais avaient proposé que, pour qu’un compte rendu donne des résultats, nous le fassions lorsque nous disposions de suffisamment d’énergie. Je savais que la suggestion de la sœur était bénéfique pour le travail. Pourtant, je continuais à recourir à la ruse pour sauver les apparences. J’étais tellement fourbe ! En apparence, il semblait que je complotais contre les autres, mais en vérité, je cherchais à tromper Dieu. Comme mes sœurs partenaires l’avaient souligné, lors du compte rendu du travail, je n’étais pas concentrée sur la tâche en cours, et je ne me servais pas non plus du compte rendu pour identifier les problèmes et les écarts afin d’améliorer le travail à l’avenir. Au contraire, je ne pensais qu’à mon image personnelle et à mon statut, élaborant méticuleusement des stratagèmes pour dissimuler mes lacunes. Non seulement ma manière de vivre était épuisante, mais je ne parvenais pas non plus à gagner l’éclairage ou la direction de Dieu. En réalité, je n’avais pas été seulement fourbe et trompeuse lors de cette séance de synthèse particulière. Même pendant nos discussions régulières, j’avais agi souvent avec fourberie pour éviter d’exposer mes lacunes. Pour les problèmes que je n’avais pas identifiés, je m’étais contentée de reprendre les propos des sœurs ou de trouver une excuse qui paraîtrait digne. J’ai réfléchi à la façon dont Dieu a exprimé tant de vérités, en nous guidant pour que nous poursuivions la vérité, soyons honnêtes et vivions une ressemblance humaine normale ; or je m’opposais constamment aux exigences de Dieu et je vivais selon mon tempérament satanique. En apparence, je me donnais une image de fermeté pour que mes sœurs partenaires ne perçoivent pas mes lacunes, et pour pouvoir maintenir momentanément le sentiment d’avoir une réputation et un statut. Mais Dieu scrute tout. Le tempérament fourbe que je révélais, ainsi que mon intention méprisable de protéger mes intérêts, avaient conduit Dieu à me détester et à m’exécrer. Je me suis souvenue de ce que le Seigneur Jésus a dit : « Je vous le dis en vérité, si vous ne vous convertissez et si vous ne devenez comme les petits enfants, vous n’entrerez pas dans le royaume des cieux » (Matthieu 18:3). Le tempérament de Dieu est juste et saint, et Il approuve ceux qui sont simples et honnêtes. Si je continuais à vivre selon mon tempérament fourbe, en cherchant constamment à duper les gens et Dieu sans pratiquer l’honnêteté, je finirais par être abandonnée et éliminée par Dieu.

Plus tard, j’ai trouvé un chemin de pratique et d’entrée grâce aux paroles de Dieu. Dieu Tout-Puissant dit : « Que Dieu demande aux gens d’être honnêtes prouve qu’Il abhorre et déteste véritablement les gens fourbes. L’aversion de Dieu pour les gens fourbes est une aversion pour leur façon de faire les choses, leurs tempéraments, leurs intentions et leurs méthodes de tromperie : toutes ces choses déplaisent à Dieu. Quand les personnes fourbes sont capables d’accepter la vérité, d’admettre leurs tempéraments fourbes, et sont disposées à accepter le salut de Dieu, alors elles aussi ont l’espoir d’être sauvées : car Dieu traite tous les hommes de la même manière, comme le fait la vérité. Et donc, si nous voulons devenir des gens qui plaisent à Dieu, la première chose que nous devons faire est de changer nos principes de comportement. Nous ne pouvons plus vivre selon les philosophies sataniques, nous ne pouvons plus nous reposer sur les mensonges et la ruse. Nous devons rejeter tous nos mensonges et devenir des gens honnêtes. Alors la vision que Dieu a de nous changera. Auparavant, les gens comptaient toujours sur les mensonges, les faux-semblants et la tromperie en vivant parmi les autres et prenaient des philosophies sataniques comme base de leur existence, de leur vie et le fondement de leur comportement. C’était quelque chose que Dieu détestait. Parmi les non-croyants, si tu parles franchement, que tu dis la vérité et que tu es une personne honnête, alors tu seras calomnié, jugé et abandonné. De ce fait, tu suis les tendances du monde et tu vis selon des philosophies sataniques : tu deviens de plus en plus habile à mentir et de plus en plus fourbe. Tu apprends également à utiliser des moyens insidieux pour atteindre tes objectifs et pour te protéger. Tu es alors de plus en plus prospère dans le monde de Satan et, par conséquent, tu tombes de plus en plus profondément dans le péché, jusqu’à ce que tu ne puisses plus t’en sortir. Dans la maison de Dieu, les choses sont exactement le contraire. Plus tu mens et joues à des jeux fourbes, plus les élus de Dieu se dégoûteront de toi et t’abandonneront. Si tu refuses de te repentir et que tu t’accroches toujours aux philosophies et à la logique sataniques, que tu recours à des complots et à des stratagèmes élaborés pour te déguiser et te valoriser, alors tu es très susceptible d’être révélé et éliminé. C’est parce que Dieu déteste les gens fourbes. Seuls les gens honnêtes peuvent prospérer dans la maison de Dieu, et les gens fourbes seront finalement abandonnés et éliminés. Tout cela est prédéterminé par Dieu. Seules les personnes honnêtes peuvent avoir leur part dans le royaume des cieux. Si tu ne t’efforces pas d’être une personne honnête, et que tu n’expérimentes pas et ne pratiques pas dans la direction de la poursuite de la vérité, si tu n’exposes pas ta propre laideur et ne te mets pas à nu, alors tu ne pourras jamais recevoir l’œuvre du Saint-Esprit ni gagner l’approbation de Dieu » (La Parole, vol. 3 : Discours de Christ des derniers jours, La pratique la plus fondamentale pour être une personne honnête). Après avoir lu les paroles de Dieu, j’ai pris conscience que Dieu nous demande de pratiquer la vérité et d’être des personnes honnêtes. Nous devons être capables d’accepter l’examen de Dieu lorsque des situations se présentent, nous devons changer nos intentions à la racine lorsque nous parlons et agissons, et nous ne devons pas tromper les autres ou Dieu pour protéger nos propres intérêts charnels, notre image ou notre statut. Au contraire, nous devons pratiquer la vérité et nous entraîner à être des personnes honnêtes. Lorsque nous parlons et agissons, nous devons être directs et honnêtes, sans aucune dissimulation ni hypocrisie. Seules de telles personnes peuvent gagner l’approbation de Dieu. Dès lors, je devais pratiquer le fait d’être une personne honnête, je ne pouvais plus dissimuler ni couvrir mes lacunes, je devais dire tout ce que je savais, et lorsque mes lacunes et mes manquements seraient exposés, je devais faire un compte rendu de mes écarts et apprendre des forces des autres. Plus tard, au moment de partager les opinions pendant le travail de synthèse avec les sœurs, je me suis sentie moins contrainte. Quand je ne comprenais pas les choses, je le disais et m’ouvrais pour demander de l’aide aux sœurs. Les sœurs ne me regardaient pas de haut, au contraire, elles me guidaient et m’aidaient. Grâce à leur aide, j’ai mieux compris la cause profonde de certains problèmes, et j’ai également commencé à trouver certains chemins pour faire un compte rendu du travail et résoudre les problèmes.

Plus tard, j’ai cherché comment je devais pratiquer et progresser par rapport à ce problème : J’avais toujours pensé que mon calibre était inférieur à celui des sœurs partenaires, et en particulier, pendant la synthèse des problèmes, je n’arrivais pas à identifier les problèmes comme elles en étaient capables, ce qui me faisait toujours me sentir contrainte lorsqu’il s’agissait de coopérer avec elles. J’ai lu un passage des paroles de Dieu : « La ligne suivante dans la chanson dit : “Bien que mon calibre soit bas, j’ai un cœur honnête.” Ces paroles semblent très réelles et parlent de quelque chose que Dieu exige des gens. Quelle est cette exigence ? Que si les gens manquent de calibre, ce n’est pas la fin du monde, mais ils doivent posséder un cœur honnête, et si tel est le cas, ils seront capables de recevoir l’approbation de Dieu. Quel que soit ta situation ou ton environnement, tu dois être honnête, t’exprimer avec honnêteté, agir avec honnêteté, être capable d’accomplir ton devoir de tout ton cœur et de tout ton esprit, être loyal envers ton devoir, ne pas chercher de raccourcis, ne pas être fuyant ou malhonnête, ne pas mentir ou tromper et ne pas tourner autour du pot. Tu dois agir selon la vérité et poursuivre la vérité. Beaucoup de gens pensent qu’ils sont de faible calibre et qu’ils ne remplissent jamais leur devoir correctement ou selon le standard. Ils donnent le meilleur d’eux-mêmes dans ce qu’ils font, mais ils n’arrivent jamais à saisir les principes et ils ne parviennent toujours pas à produire de très bons résultats. Au bout du compte, ils ne font que se plaindre d’être de trop faible calibre et ils deviennent négatifs. N’y a-t-il donc aucune manière d’avancer lorsqu’une personne est de faible calibre ? Être de faible calibre n’est pas une maladie mortelle et Dieu n’a jamais dit qu’Il ne sauverait pas les personnes de faible calibre. Comme Dieu l’a dit précédemment, Il est attristé par ceux qui sont honnêtes mais ignorants. Que signifie être ignorant ? L’ignorance découle souvent d’un faible calibre. Lorsque les gens sont de faible calibre, ils ont une compréhension superficielle de la vérité. Celle-ci n’est pas suffisamment spécifique ou concrète, et elle est souvent limitée à une compréhension de surface ou littérale : elle est limitée à la doctrine et aux règlements. C’est la raison pour laquelle ils n’arrivent pas à donner du sens à de nombreux problèmes et ils ne peuvent jamais saisir les principes tandis qu’ils accomplissent leur devoir, ni faire leur devoir correctement. Alors Dieu ne veut-Il pas des personnes de faible calibre ? (Si.) Quel chemin et quelle direction Dieu donne-t-Il aux gens ? (Être une personne honnête.) Peux-tu être une personne honnête simplement en l’affirmant ? (Non, on doit montrer qu’on est une personne honnête.) Quelles sont les manifestations d’une personne honnête ? Premièrement, c’est de ne pas douter des paroles de Dieu. C’est l’une des manifestations d’une personne honnête. En dehors de cela, la manifestation la plus importante, c’est de chercher et de pratiquer la vérité en toutes choses ; c’est ce qu’il y a de plus crucial. Tu prétends être honnête, mais tu relègues tout le temps les paroles de Dieu dans un coin de ton esprit et tu fais tout ce que tu veux. Est-ce la manifestation d’une personne honnête ? Tu dis : “Bien que mon calibre soit faible, j’ai un cœur honnête.” Et cependant, lorsqu’un devoir t’incombe, tu as peur de souffrir et de devoir en assumer la responsabilité si tu ne l’accomplis pas bien, donc tu présentes des excuses pour t’exonérer de ton devoir et tu suggères que quelqu’un d’autre le fasse. Est-ce la manifestation d’une personne honnête ? Clairement, non. Alors, comment doit se comporter une personne honnête ? Elle doit se soumettre aux arrangements de Dieu, être loyale envers le devoir qu’elle est censée accomplir et s’efforcer de satisfaire les intentions de Dieu. Cela se manifeste de plusieurs manières. D’une part, tu dois accepter ton devoir avec un cœur honnête, ne pas considérer tes intérêts charnels, ne pas être hésitant et ne pas manigancer pour ton propre profit. Ce sont les manifestations de l’honnêteté. Une autre manifestation consiste à accomplir ton devoir correctement, de tout ton cœur et de toutes tes forces, de bien faire les choses, de mettre ton cœur et ton amour dans l’accomplissement de ton devoir afin de satisfaire Dieu. Telles sont les manifestations qu’une personne honnête doit présenter en accomplissant son devoir » (La Parole, vol. 3 : Discours de Christ des derniers jours, Troisième partie). Les paroles de Dieu étaient comme un courant chaud qui réconfortait mon cœur et me montraient un chemin de pratique. Dieu dit que le fait d’avoir un faible calibre n’est pas le problème principal, et que Dieu regarde principalement si une personne a un cœur honnête dans son devoir, et si elle peut faire son devoir avec loyauté et coopérer du mieux qu’elle le peut. Même si nous rencontrons quelque chose que nous ne comprenons pas ou ne savons pas faire, nous devrions prier davantage Dieu et chercher Sa direction, nous concentrer sur la recherche des vérités-principes en toutes choses, et échanger avec les frères et sœurs avec lesquels nous coopérons. Une fois que nous avons compris, nous devons pratiquer selon les vérités-principes et ne pas protéger nos intérêts personnels, notre image ou notre statut, mais au contraire, nous devons faire de notre mieux pour coopérer là où nous pouvons. C’est la ressemblance humaine honnête que Dieu espère que nous puissions vivre, et c’est aussi le chemin de pratique que Dieu nous a montré pour bien faire nos devoirs. En réalité, les sœurs avec lesquelles je coopérais pouvaient trouver des problèmes et des écarts détaillés non seulement parce qu’elles avaient un meilleur calibre, mais aussi parce qu’elles déployaient des efforts et réfléchissaient vraiment aux choses. Mon calibre était moyen et pendant les comptes rendus du travail, mon cœur n’était pas apaisé, et je pensais toujours à la manière de protéger ma réputation et mon statut au lieu de me concentrer sur le travail. En outre, mon attitude envers mon devoir était incorrecte, et pour moi, réfléchir aux problèmes était épuisant, donc je ne voulais pas faire l’effort. En conséquence, je ne pouvais identifier que très peu de problèmes, et je ne pouvais même pas tirer parti des capacités que j’avais. En réalité, les sœurs avec lesquelles je coopérais connaissaient bien mon calibre, mais elles ne m’avaient jamais regardée de haut à cause de mon faible calibre. Au contraire, elles m’encourageaient souvent à voir correctement mes lacunes et à mettre davantage mes forces en avant. Quand elles remarquaient des problèmes avec moi, elles me guidaient patiemment et m’aidaient, et elles m’ont appris à voir les choses à la lumière des paroles de Dieu et de la vérité. Grâce à leur aide et à leur patience, j’ai trouvé certains chemins dans mon travail. Dieu avait arrangé le fait que je coopère avec ces sœurs dans mon devoir, donc je devais coopérer harmonieusement avec un cœur reconnaissant pour exécuter nos devoirs ensemble et satisfaire Dieu. Je ne pouvais plus être contrainte par mon faible calibre et j’ai dû rectifier mes intentions et utiliser mes points forts.

Lorsque j’ai pratiqué et suis entrée selon les paroles de Dieu, j’ai pu calmer mon esprit et réfléchir attentivement lors du travail de synthèse ou des discussions sur les problèmes. Parfois, je prenais l’initiative d’exprimer mes opinions en disant ce que je savais. Bien que cette façon de faire ait révélé bon nombre de mes lacunes, et que je me sois sentie un peu gênée, je pouvais désormais aborder cette question de manière correcte. Pratiquer l’honnêteté m’a rendue heureuse et m’a donné un sentiment de libération et de liberté. Dieu soit loué !