Après le décès de ma femme
Par Zhanqi, ChineMa femme et moi avons accepté, l’un après l’autre, l’œuvre de Dieu des derniers jours à l’automne 2007. En lisant les...
Nous accueillons tous les chercheurs qui désirent ardemment l'apparition de Dieu !
En octobre 2019, j’ai accepté l’œuvre de Dieu Tout-Puissant des derniers jours. Dans les réunions, je voyais que les frères et sœurs étaient capables d’échanger sur leurs expériences et leur compréhension. Ils pouvaient s’ouvrir sur toute leur corruption et leurs défauts, sans aucune appréhension, ce qui me rendait vraiment envieux. Je voulais, moi aussi, être honnête et m’ouvrir aux autres, comme ils le faisaient, mais le moment venu, je n’arrivais tout simplement pas à parler honnêtement. Un jour, mes frères et sœurs m’ont demandé : « Tu es jeune, es-tu encore étudiant ? » En vérité, je n’étais plus étudiant depuis longtemps, je cuisinais et faisais le ménage dans un restaurant, mais je craignais que les autres me méprisent s’ils l’apprenaient, alors j’ai répondu que j’étais encore étudiant. Cela ne m’a pas paru important et je suis passé à autre chose. Un jour, j’ai lu ce passage de la parole de Dieu dans une vidéo de témoignage d’expérience qui m’a amené à réfléchir sur moi-même. Les paroles de Dieu disent : « Vous devez savoir que Dieu aime ceux qui sont honnêtes. En substance, Dieu est fidèle, et ainsi Ses paroles sont toujours fiables ; Ses actions, en plus, sont irréprochables et incontestables, ce qui explique pourquoi Dieu aime ceux qui sont absolument honnêtes avec Lui. L’honnêteté signifie donner son cœur à Dieu, être sincère avec Dieu en toutes choses, être ouvert avec Lui en toutes choses, ne jamais cacher les faits, ne pas essayer de tromper les supérieurs ni les inférieurs à soi et ne pas faire des choses simplement pour s’attirer la faveur de Dieu. Bref, être honnête, c’est être pur dans ses actions et ses paroles et ne tromper ni Dieu ni l’homme » (La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, Trois admonitions). Après avoir lu ces paroles de Dieu, j’ai compris que Dieu aime les gens honnêtes, que les gens honnêtes sont capables de s’ouvrir simplement à Dieu, qu’ils agissent et parlent sans équivoque et qu’ils n’essaient pas de tromper Dieu ou les autres. Quant à moi, quand on me demandait : « Es-tu encore étudiant ? », je n’arrivais même pas à dire la vérité, et j’arrivais encore moins à être honnête devant Dieu. Je n’étais pas honnête du tout ! J’ai donc eu envie de m’ouvrir aux autres, mais je craignais qu’ils se moquent de moi, et, en même temps, ne rien dire me mettait profondément mal à l’aise. Alors, j’ai prié Dieu, en Lui demandant de m’aider à pratiquer la franchise et l’honnêteté. Plus tard, lors d’une réunion, je me suis ouvert au sujet de ma corruption et j’ai exposé mes intentions d’utiliser les mensonges et la fourberie. Non seulement les autres ne m’ont pas méprisé, mais ils m’ont même envoyé des messages disant que mon expérience était bonne. Cela m’a donné davantage d’assurance pour être honnête. Mais, même si, à cette occasion, j’avais pratiqué l’honnêteté et dit la vérité, je n’avais encore aucune conscience de mon tempérament satanique, et dès que quelque chose touchait à ma réputation et à mes intérêts, je ne pouvais toujours pas m’empêcher de me déguiser.
Après un certain temps, on m’a choisi comme prédicateur et confié la responsabilité du travail de trois Églises. Au cours d’une réunion de collaborateurs, un dirigeant a voulu savoir en détails comment les nouveaux venus étaient abreuvés dans chaque Église et nous a demandé pourquoi certains d’entre eux n’avaient pas été soutenus correctement. Cela m’a un peu troublé, car je savais ce qui se passait dans l’une des Églises, mais pas dans les deux autres. Alors, qu’étais-je censé répondre ? Si je disais la vérité, qu’allait-on penser de moi ? Si je ne savais même pas ça, allait-on se demander si j’étais capable d’être prédicateur ? Ou allait-on dire que je ne faisais aucun travail concret et que j’étais incapable de faire ce devoir ? Si j’étais transféré ou renvoyé, ce serait vraiment embarrassant ! J’ai juste eu envie de m’enfuir, mais si je partais tôt, je craignais d’être découvert. Je n’ai donc pas eu d’autre choix que de rester et d’écouter, tandis que d’autres prédicateurs parlaient du travail dont ils avaient la charge. J’étais sur des charbons ardents et je ne savais pas quoi faire. Quand le dirigeant a dit mon nom, j’étais si tendu que j’ai fait semblant de ne pas l’avoir entendu, en demandant : « Qu’est-ce que tu as dit ? » Le dirigeant m’a dit : « Nous discutions de l’abreuvement des nouveaux venus, et tu as entendu ce que tout le monde vient de dire à l’instant. Veux-tu bien nous parler de tes nouveaux venus ? » Mon cœur battait la chamade. Je n’ai pas eu d’autre choix que d’évoquer en premier l’Église dont je connaissais la situation, mais je ne voulais pas parler des deux autres Églises. Mais comme je craignais que tout le monde sache que je n’avais assuré aucun suivi, j’ai serré les dents et j’ai menti, en disant : « Dans la seconde Église, beaucoup de nouveaux venus ne sont pas soutenus correctement, et, du fait de la pandémie, nous ne pouvons pas les contacter. Je ne suis pas très sûr de ce qui se passe dans la troisième Église, parce que j’ai assuré le suivi du travail des deux autres Églises pendant tout ce temps. » Avoir dit ça m’a mis très mal à l’aise. J’étais terrifié à l’idée que personne ne se laisse abuser par mes mensonges, ce qui aurait été encore plus humiliant. Je suis resté tendu pendant toute la réunion et je n’ai pu pousser un soupir de soulagement qu’après qu’elle ait pris fin. À ma grande surprise, le dirigeant m’a ensuite demandé séparément : « Au sujet de ces nouveaux venus qui ne sont pas soutenus correctement, du fait de la pandémie, as-tu demandé aux personnes chargées de l’abreuvement de les appeler, pour prendre de leurs nouvelles ? » Je n’ai pas su quoi lui répondre. J’ignorais les détails de la situation. Si je disais la vérité, le dirigeant allait-il comprendre que j’avais menti ? Je ne pouvais pas dire que je ne savais pas. J’ai donc continué de mentir : « J’en ai parlé avec l’équipe, mais certains nouveaux venus n’ont pas répondu au téléphone. » Le dirigeant m’a alors demandé : « Quels nouveaux venus ? » Je me suis dit : « Est-ce qu’il continue à me poser des questions parce qu’il a compris que je mentais ? » J’ai vite répondu : « Je crois qu’il s’agit d’une partie de ceux qui viennent d’accepter l’œuvre de Dieu. » Voyant que je ne m’expliquais pas clairement, le dirigeant a dit avec résignation : « Et bien, quand tu le sauras, dis-le moi. » Après avoir raccroché, je me suis senti très coupable. Une fois de plus, j’avais menti et trompé. Une fois que j’ai dit un mensonge, je dois dire plusieurs autres mensonges pour dissimuler le premier. Qu’il est pénible de mentir pour camoufler d’autres mensonges. J’ai repensé à cette réunion. Un prédicateur avait dit qu’il n’avait pas examiné l’une des trois Églises dont il avait la charge. Il avait été capable de dire la vérité, alors pourquoi ne pouvais-je pas prononcer une seule parole honnête ? J’ai menti, trompé, et donné une fausse impression, mais je ne pouvais pas tromper Dieu, car Dieu examine tout. J’étais si superficiel dans mon devoir, et tôt ou tard, j’allais être révélé. J’ai donc prié Dieu : « Dieu, aujourd’hui, dans la réunion, quand le dirigeant s’est renseigné sur le travail, je n’ai pas dit la vérité. J’ai craint que tout le monde me méprise et dise que je ne faisais aucun travail concret s’ils savaient la vérité. Dieu, s’il Te plait, aide-moi à me connaître et à me débarrasser de mon tempérament corrompu. »
Plus tard, j’ai lu ce passage de la parole de Dieu : « Dans leur vie de tous les jours, les gens racontent souvent des bêtises, des mensonges et des choses qui relèvent de l’ignorance, de la stupidité ou de la justification. La plupart de ces choses sont dites par vanité et par orgueil, pour satisfaire le propre ego de ces gens-là. Exprimer de telles faussetés révèle leurs tempéraments corrompus. Si tu résolvais ces éléments corrompus, ton cœur serait purifié et tu deviendrais progressivement plus pur et plus honnête. En réalité, les gens savent tous pourquoi ils mentent. Au nom d’un gain personnel et de l’orgueil, ou bien par vanité et pour le statut, ils essaient de rivaliser avec les autres et de se faire passer pour ce qu’ils ne sont pas. Au bout du compte, leurs mensonges sont toutefois révélés et exposés par les autres, et ils finissent par perdre la face, ainsi que leur dignité et leur personnalité. Tout cela est dû à une quantité excessive de mensonges. Tes mensonges sont devenus trop nombreux. Chaque parole que tu dis est frelatée et affectée, et pas une seule ne peut être considérée comme vraie ou honnête. Même si tu n’as pas l’impression de perdre la face quand tu mens, au fond, tu éprouves du déshonneur. Tu as mauvaise conscience et une piètre opinion de toi-même, et tu te dis : “Pourquoi est-ce que je mène une vie aussi pitoyable ? Est-ce si difficile de dire la vérité ? Dois-je recourir au mensonge au nom de mon orgueil ? Pourquoi ma vie est-elle aussi épuisante ?” Tu n’es pas obligé de mener une vie épuisante. Si tu peux pratiquer l’honnêteté, tu seras à même de mener une vie sereine, libre et affranchie. Cependant, tu as choisi d’entretenir ton orgueil et ta vanité en racontant des mensonges. Par voie de conséquence, tu mènes une existence ennuyeuse et misérable, que tu t’infliges à toi-même. Une personne peut gagner un sentiment d’orgueil en disant des mensonges, mais quel est donc ce sentiment d’orgueil ? Ce n’est qu’une chose vide, qui n’a aucune valeur. Dire des mensonges signifie brader sa personnalité et sa dignité. C’est se dépouiller de sa dignité et de sa personnalité ; cela déplaît à Dieu, et Il le déteste. Cela en vaut-il la peine ? Non. Est-ce le bon chemin ? Non. Ceux qui mentent fréquemment vivent selon leurs tempéraments sataniques. Ils vivent sous le pouvoir de Satan. Ils ne vivent ni dans la lumière ni dans la présence de Dieu. Tu passes ton temps à réfléchir à la manière de mentir et, après avoir menti, tu dois réfléchir à la manière de dissimuler ce mensonge. Et quand tu ne dissimules pas assez bien ton mensonge et qu’il est exposé, tu dois te creuser la tête pour essayer de résoudre les contradictions et rendre tout cela plausible. N’est-ce pas fatigant de vivre ainsi ? C’est éreintant. Cela en vaut-il la peine ? Non, cela n’en vaut pas la peine. Se creuser la tête pour dire des mensonges et pour les dissimuler ensuite, tout cela au nom de l’orgueil, de la vanité et du statut, quel sens cela a-t-il ? Finalement, tu réfléchis et tu te dis : “À quoi bon ? C’est trop épuisant de dire des mensonges et de devoir les dissimuler. Me conduire de cette manière ne fonctionnera pas. Ce serait plus facile si je devenais tout simplement quelqu’un d’honnête.” Tu désires devenir quelqu’un d’honnête, mais tu n’arrives pas à abandonner ton orgueil, ta vanité et tes intérêts personnels. Tu ne peux donc que recourir au mensonge pour maintenir ces choses en place. […] Si tu t’imagines que les mensonges peuvent entretenir la réputation, le statut, la vanité et l’orgueil que tu désires, tu te fourvoies complètement. En réalité, en mentant, non seulement tu ne parviens pas à préserver ta vanité, ton orgueil, ta dignité et ta personnalité, mais plus grave encore, tu passes à côté de l’occasion de pratiquer la vérité et d’être quelqu’un d’honnête. Même si, sur le coup, tu réussis à ménager ta réputation, ton statut, ta vanité et ton orgueil, tu auras sacrifié la vérité et trahi Dieu. Cela veut dire que ta chance d’être sauvé et perfectionné par Lui sera complètement perdue, ce qui est la plus grande perte qui soit et que tu regretteras toute ta vie. Ceux qui sont fourbes ne le comprendront jamais » (La Parole, vol. 3 : Discours de Christ des derniers jours, Seul quelqu’un d’honnête peut vivre une véritable ressemblance humaine). Ce que les paroles de Dieu exposaient était exactement mon état. Le dirigeant voulait savoir où en était l’abreuvement dans chaque Église. C’était clairement une question simple et il aurait suffi de dire la vérité, mais pour moi, rien n’aurait pu être plus difficile. J’étais plein d’appréhension, je craignais que, si le dirigeant et les autres prédicateurs découvraient la vérité, ils me disent que je ne faisais aucun travail concret et que je n’étais même pas capable de régler ce problème mineur. Et si j’étais renvoyé, ce serait humiliant ! Pour protéger ma réputation, mon statut et la bonne image que les autres avaient de moi, j’avais menti, en disant avoir examiné la situation de deux Églises, alors que je ne comprenais ce qui se passait que dans une seule. J’avais même donné des détails sur la deuxième Église, en disant que les nouveaux venus n’y étaient pas soutenus correctement du fait de la pandémie. N’était-ce pas là un mensonge éhonté ? Quand le dirigeant m’avait demandé si j’avais dit aux personnes chargées de l’abreuvement d’appeler les nouveaux venus, j’avais craint qu’il s’aperçoive du mensonge que je venais de dire, alors j’avais concocté un second mensonge pour camoufler le premier et j’avais inventé une excuse pour abuser le dirigeant. Pour protéger ma renommée et mon statut, j’avais dit un mensonge pour en dissimuler un autre. J’avais été vraiment malhonnête ! J’ai alors songé à un dialogue entre Dieu et Satan qui se trouve dans la Bible. Dieu demandait à Satan d’où il venait, ce à quoi Satan répondait : « De parcourir la terre et de m’y promener » (Job 1:7). Satan est vraiment fourbe. Il n’avait pas répondu directement à la question de Dieu, il avait parlé de façon tortueuse et décousue. Il est impossible de savoir d’où venait Satan. Sa bouche n’est remplie que de mensonges. Il ne parle jamais honnêtement, et s’exprime toujours de façon équivoque et ambiguë. En mentant et en trompant, n’étais-je pas comme le diabolique Satan ? Même si j’avais répondu au dirigeant, toutes mes réponses étaient vagues et peu claires, remplies de mensonges et de fourberie. Après avoir écouté ma réponse, le dirigeant ne connaissait toujours pas clairement l’état exact du travail d’abreuvement dont j’étais responsable et il ne pouvait donc pas juger si j’en assurais correctement le suivi. En fait, mentir et tromper de cette façon ne faisait que protéger temporairement mon statut et ma réputation, mais ce que je perdais réellement, c’était mon intégrité, ma dignité et la confiance des autres. Si je continuais ainsi, tôt ou tard, tout le monde allait voir que je n’étais ni honnête ni digne de confiance. Personne ne croirait en moi et, surtout, Dieu ne me ferait pas confiance. Ne serais-je pas alors privé de toute intégrité et dignité ? Ne serait-ce pas stupide de ma part ?
Puis, j’ai lu un autre passage de la parole de Dieu : « Que Dieu demande aux gens d’être honnêtes prouve qu’Il abhorre et déteste véritablement les gens fourbes. L’aversion de Dieu pour les gens fourbes est une aversion pour leur façon de faire les choses, leurs tempéraments, leurs intentions et leurs méthodes de tromperie : toutes ces choses déplaisent à Dieu. Quand les personnes fourbes sont capables d’accepter la vérité, d’admettre leurs tempéraments fourbes, et sont disposées à accepter le salut de Dieu, alors elles aussi ont l’espoir d’être sauvées : car Dieu traite tous les hommes de la même manière, comme le fait la vérité. Et donc, si nous voulons devenir des gens qui plaisent à Dieu, la première chose que nous devons faire est de changer nos principes de comportement. Nous ne pouvons plus vivre selon les philosophies sataniques, nous ne pouvons plus nous reposer sur les mensonges et la ruse. Nous devons rejeter tous nos mensonges et devenir des gens honnêtes. Alors la vision que Dieu a de nous changera. Auparavant, les gens comptaient toujours sur les mensonges, les faux-semblants et la tromperie en vivant parmi les autres et prenaient des philosophies sataniques comme base de leur existence, de leur vie et le fondement de leur comportement. C’était quelque chose que Dieu détestait. Parmi les non-croyants, si tu parles franchement, que tu dis la vérité et que tu es une personne honnête, alors tu seras calomnié, jugé et abandonné. De ce fait, tu suis les tendances du monde et tu vis selon des philosophies sataniques : tu deviens de plus en plus habile à mentir et de plus en plus fourbe. Tu apprends également à utiliser des moyens insidieux pour atteindre tes objectifs et pour te protéger. Tu es alors de plus en plus prospère dans le monde de Satan et, par conséquent, tu tombes de plus en plus profondément dans le péché, jusqu’à ce que tu ne puisses plus t’en sortir. Dans la maison de Dieu, les choses sont exactement le contraire. Plus tu mens et joues à des jeux fourbes, plus les élus de Dieu se dégoûteront de toi et t’abandonneront. Si tu refuses de te repentir et que tu t’accroches toujours aux philosophies et à la logique sataniques, que tu recours à des complots et à des stratagèmes élaborés pour te déguiser et te faire passer pour ce que tu n’es pas, alors tu es très susceptible d’être révélé et éliminé. C’est parce que Dieu déteste les gens fourbes. Seuls les gens honnêtes peuvent prospérer dans la maison de Dieu, et les gens fourbes seront finalement abandonnés et éliminés. Tout cela est prédéterminé par Dieu. Seules les personnes honnêtes peuvent avoir leur part dans le royaume des cieux. Si tu ne t’efforces pas d’être une personne honnête, et que tu n’expérimentes pas et ne pratiques pas dans la direction de la poursuite de la vérité, si tu n’exposes pas ta propre laideur et ne te mets pas à nu, alors tu ne pourras jamais recevoir l’œuvre du Saint-Esprit ni gagner l’approbation de Dieu » (La Parole, vol. 3 : Discours de Christ des derniers jours, La pratique la plus fondamentale pour être une personne honnête). En réfléchissant à ces paroles de Dieu, j’ai compris que Dieu n’aime pas les menteurs et qu’Il ne les sauve pas. Parce qu’ils appartiennent à Satan les gens fourbes emploient la fourberie et la ruse dans tout ce qu’ils font et parlent sans franchise, et tout ça pour protéger leur réputation, leur statut et leurs intérêts. Les intentions qu’ils nourrissent et les méthodes qu’ils utilisent sont odieuses et dégoûtantes aux yeux de Dieu. J’avais beau croire en Dieu, je n’avais pas gagné la moindre vérité et je vivais encore selon des philosophies sataniques telles que : « Chacun pour soi, Dieu pour tous » et « Un homme a besoin de sa fierté comme un arbre a besoin de son écorce ». Ces philosophies sataniques s’étaient déjà enracinées dans mon cœur, m’égarant et me corrompant, et me faisant prendre le chemin de la poursuite de la réputation, du gain et du statut. J’avais cru que les gens devaient vivre pour eux-mêmes, se distinguer des autres et gagner renommée et avantages, et que seulement alors ils ne se voyaient pas méprisés. J’avais pensé que si une personne disait toujours la vérité et ne mentait jamais, alors elle était stupide. Pour cette raison, j’avais toujours trompé les autres et répandu un tissu de mensonges pour protéger mes intérêts, devenant ainsi de plus en plus malhonnête, faux et dépourvu de toute ressemblance humaine normale. J’avais considéré la réputation et le statut comme plus importants que la vérité, et été prêt à mentir et à m’opposer à la vérité pour protéger ma réputation et mon statut. Satan est un menteur, aussi quand je mens et trompe de la sorte, ne suis-je pas comme lui ? Dans ce monde malfaisant, être honnête et candide ne marche pas. Mais dans la maison de Dieu, c’est exactement le contraire. Dans la maison de Dieu, la justice et la vérité règnent en maîtres, et plus quelqu’un trompe les autres, plus il est susceptible de chuter, et finalement, tous gens fourbes seront révélés et éliminés par Dieu. Dieu dit : « Si les gens souhaitent être sauvés, alors ils doivent commencer par être honnêtes » (La Parole, vol. 3 : Discours de Christ des derniers jours, Six indicateurs de croissance de vie). « Seules les personnes honnêtes peuvent avoir leur part dans le royaume des cieux » (La Parole, vol. 3 : Discours de Christ des derniers jours, La pratique la plus fondamentale pour être une personne honnête). Dieu est saint et les gens immondes ne sont pas autorisés à entrer dans le royaume des cieux. Quand j’ai compris ça, j’ai senti que le tempérament saint et juste de Dieu ne tolérait aucune offense et j’ai sincèrement regretté d’avoir menti à mes frères et sœurs. Je me suis vraiment détesté et j’ai voulu ne plus jamais mentir et tromper. J’ai voulu pratiquer la vérité, être honnête et parler honnêtement avec tout le monde. J’ai voulu extirper les mensonges de ma bouche et la fourberie de mon cœur. Ce n’est qu’en agissant de la sorte que je serai digne de l’approbation de Dieu et que j’aurai l’opportunité de gagner la vérité et d’être sauvé.
Au cours de l’une de mes dévotions, j’ai lu ce passage de la parole de Dieu : « Pratiquer l’honnêteté recouvre de nombreux aspects. En d’autres termes, respecter la norme, afin d’être honnête, ne concerne pas simplement un seul aspect ; vous devez être au niveau à de nombreux égards avant de pouvoir être honnêtes. Certains croient qu’il leur suffit de parvenir à ne pas mentir pour être honnêtes. Ce point de vue est-il correct ? Être honnête implique-t-il seulement de ne pas mentir ? Non, c’est également lié à plusieurs autres aspects. Premièrement, quelle que soit la situation que tu affrontes, qu’il s’agisse de quelque chose que tu as vu de tes propres yeux ou de quelque chose qu’on t’a rapporté, qu’il s’agisse d’interagir avec les autres ou de résoudre un problème, qu’il s’agisse du devoir que tu es censé accomplir ou de quelque chose que Dieu t’a confié, tu dois toujours l’aborder avec un cœur honnête. Comment doit-on s’entraîner à aborder les choses avec un cœur honnête ? Dis ce que tu penses et parle honnêtement ; ne prononce pas des paroles prétentieuses, ne dis pas des choses agréables à entendre, flatteuses ou hypocrites, mais prononce les mots qui sont dans ton cœur. C’est là être quelqu’un d’honnête. Exprimer les vraies pensées et opinions qui sont dans ton cœur : voilà ce que sont censés faire les gens honnêtes. Si tu ne dis jamais ce que tu penses, et que les mots s’enveniment dans ton cœur, que ce que tu dis est constamment en désaccord avec ce que tu penses, ce n’est pas ce qu’une personne honnête fait » (La Parole, vol. 3 : Discours de Christ des derniers jours, Seul quelqu’un d’honnête peut vivre une véritable ressemblance humaine). Cette parole de Dieu m’a donné un chemin de pratique. Qu’il s’agisse d’interagir avec les autres ou de faire mon devoir, je devais aborder les choses avec un cœur honnête. Comme je n’avais assuré aucun suivi, je devais simplement le dire et être honnête à ce sujet. Je ne devais pas me demander si ma réputation allait en pâtir. Pratiquer l’honnêteté est essentiel. À la réunion de collaborateurs suivante, j’ai voulu prendre l’initiative et exposer ma corruption, mais je me suis inquiété de ce que tout le monde allait penser de moi. J’ai compris que je voulais de nouveau protéger ma réputation et mon statut, alors j’ai adressé une prière silencieuse à Dieu, en Lui demandant de me guider et de me donner la force et le courage d’exposer ma corruption, en pratiquant la vérité et en étant une personne honnête. Je me suis souvenu de ce passage de la parole de Dieu que j’avais déjà lu : « Si tu ne pratiques pas selon les paroles de Dieu, que tu ne dissèques jamais tes secrets et tes difficultés et que tu ne t’ouvres jamais avec les autres, ni par l’échange, ni en disséquant, ni en mettant en lumière ta corruption et tes défauts fatals avec eux, alors tu ne peux pas être sauvé » (La Parole, vol. 3 : Discours de Christ des derniers jours, La pratique la plus fondamentale pour être une personne honnête). J’ai compris que si je n’étais pas honnête, si je continuais à dissimuler ma corruption et mes défauts, si je ne m’ouvrais pas, si je ne me révélais pas et si je ne me disséquais pas, alors je ne me débarrasserais jamais de mon tempérament corrompu et je ne serais jamais sauvé. J’ai adressé une autre prière à Dieu dans mon cœur : « Dieu ! S’il Te plait, donne-moi de la force pour que je puisse simplement m’ouvrir et être honnête. » Après cette prière, j’ai pris l’initiative de tout avouer aux autres frères et sœurs, en disant que j’avais menti et trompé tout le monde lors de la dernière réunion, quand le dirigeant a posé des questions sur l’abreuvement des nouveaux venus… Après avoir dit ça, ils ne m’ont ni réprimandé ni méprisé. Au contraire, ils ont dit qu’il était bon que je sois capable de m’ouvrir simplement et d’être honnête. Ayant pratiqué ainsi, je me suis senti bien plus satisfait et à l’aise.
Peu après, un dirigeant supérieur m’a demandé : « As-tu, actuellement, une compréhension de l’état des dirigeants d’Église ? » J’ai un peu hésité, face à cette question, car j’étais au courant de l’état d’un seul dirigeant, mais pas de celui des deux autres. J’ai pensé : « Si je dis la vérité, le dirigeant supérieur va-t-il penser que je n’ai pas fait de travail concret ? » Et donc j’ai eu envie de répondre que j’avais bien cette compréhension. Puis j’ai compris que je voulais de nouveau mentir, alors j’ai adressé une prière à Dieu. Puis j’ai dit la vérité : « Je ne connais l’état que d’un seul dirigeant, mais pas celui des deux autres. » Sur ce, le dirigeant supérieur ne m’a pas critiqué et, à la place, il m’a fait des suggestions, disant que je devais me soucier plus souvent de l’état des dirigeants d’Église, et les aider rapidement à résoudre leurs difficultés s’ils en avaient, et le dirigeant a échangé avec moi au sujet de certains chemins pour faire le travail. J’ai appris que quand je disais la vérité, j’étais honnête et osais exposer ma corruption et mes défauts, non seulement je pouvais être aidé par mes frères et sœurs et obtenir des gains, mais que cela était bénéfique au travail de l’Église et à la croissance de ma vie. Auparavant, je mentais et usait de fourberie pour protéger ma réputation et mon statut, mais chaque fois que je disais un mensonge, mon cœur s’alourdissait et ma conscience se sentait mise en accusation, et surtout, je perdais mon intégrité et ma dignité, et j’étais aussi détesté et haï par Dieu. Grâce à cette expérience, j’en suis venu à comprendre que les gens honnêtes sont aimés à la fois par Dieu et par les hommes, et que plus nous sommes honnêtes, plus nos relations avec les autres seront harmonieuses, et plus nous serons rangés et en paix. Non seulement les autres ne nous mépriseront pas, mais nous serons en fait aidés par nos frères et sœurs. Être honnête est vraiment formidable !
La douleur cessera et les larmes s'arrêteront. Faites confiance à Dieu, Il a entendu nos appels dans notre souffrance, et Il nous sauvera de notre douleur. Contactez-nous pour connaître la bonne nouvelle de Dieu de nous sauver.
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