Devons-nous vivre selon les vertus traditionnelles ?
Quand j’étais à l’école primaire, un texte m’a profondément marquée : l’histoire de Kong Rong offrant des poires. Kong Rong avait offert les plus grosses poires à ses frères aînés et à son frère cadet, et pris la plus petite. Il avait alors été félicité par son père. Son histoire est racontée dans Le Classique des trois caractères. À l’époque, je trouvais que son caractère était excellent, et j’avais pensé que je devais être comme lui, moi aussi. Et donc, depuis l’enfance, face à des choses particulièrement délicieuses ou amusantes, même si elles me faisaient envie, j’imitais Kong Rong, en les offrant à mes sœurs plus jeunes et plus âgées, sans jamais me battre pour les avoir. Mes sœurs m’aimaient beaucoup pour cela, et les anciens redoublaient de louanges et disaient aux autres enfants de prendre exemple sur moi. Cela a renforcé en moi l’idée que c’était le type d’humanité que les gens devaient posséder. Après avoir commencé à croire en Dieu, j’ai continué à me comporter comme ça avec mes frères et sœurs. Et dans mon devoir comme dans la vie, je ne me battais jamais pour obtenir des choses. Dans tous les domaines, je faisais toujours passer les autres en premier. J’ai donc été bien accueillie par mes frères et sœurs : tout le monde disait que j’étais facile à vivre, désintéressée et attentionnée envers les autres. J’étais très fière de mon comportement et j’ai toujours pensé que j’avais une bonne humanité. Plus tard, grâce à la révélation de certains environnements, j’ai fini par gagner une certaine compréhension de mes points de vue erronés sur les choses.
En janvier de cette année, afin de répondre aux besoins du travail d’évangélisation, il a fallu trouver de nombreux ouvriers pour assurer l’évangélisation et l’abreuvement. J’ai donc dû constamment chercher et former du personnel d’abreuvement. Parfois, quand je trouvais des frères et des sœurs aptes à l’abreuvement, le personnel d’évangélisation leur mettait la main dessus avant moi. Cela me rendait très malheureuse, mais j’étais trop gênée pour le dire, car je pensais que tout le monde me jugerait égoïste. Alors, j’ai trouvé une méthode. J’ai délibérément envoyé un message au diacre d’abreuvement, lui rapportant que les personnes aptes à l’abreuvement étaient récupérées par les ouvriers chargés de l’évangélisation. Cela a conduit le diacre d’abreuvement à avoir des préjugés contre les ouvriers chargés de l’évangélisation et a rendu impossible une coopération harmonieuse entre eux. Quand une dirigeante supérieure l’a appris, elle m’a traitée sévèrement et elle m’a exposée pour avoir semé la discorde et perturbé le travail de l’Église. Être émondée et traitée m’a attristée, mais je n’ai pas du tout réfléchi ou essayé de me comprendre.
Puis, un jour, j’ai entendu parler d’une sœur nommée Lyse, qui avait un bon calibre et une bonne compréhension. Elle convenait donc parfaitement pour faire un travail d’abreuvement. J’ai demandé à la dirigeante d’Église qu’elle transfère cette sœur à l’abreuvement des nouveaux venus. Mais plus tard, on a eu un besoin urgent d’effectifs pour prêcher l’Évangile, alors la dirigeante d’Église a envoyé Lyse diffuser l’Évangile. Lorsque j’ai appris cette nouvelle, je me suis sentie très offensée et j’ai voulu en parler à la dirigeante d’Église, mais j’ai ensuite pensé que si je faisais ça, mes frères et sœurs allaient certainement croire que j’étais égoïste et que j’aimais me battre pour obtenir des choses. Je me suis dit : « Non, je ne peux pas faire ça. Ainsi, j’aurai l’air généreuse et accommodante. » Donc, j’ai réprimé mon ressentiment. J’ai hypocritement dit que j’étais heureuse pour Lyse, et que les travaux d’abreuvement et d’évangélisation appartenaient tous deux au travail de la maison de Dieu. Plus tard, j’ai entendu la dirigeante d’Église dire : « Frère Jérôme a un bon calibre et il échange bien sur la vérité pour résoudre les problèmes. » J’ai voulu demander à ce frère de venir abreuver les nouveaux arrivants, mais de façon inattendue, la dirigeante d’Église a dit qu’elle l’avait déjà envoyé faire du travail d’évangélisation. Je n’ai pas pu le supporter. La fois précédente, elle avait demandé à Sœur Lyse de prêcher l’Évangile. Pourquoi avait-elle aussi affecté la personne suivante au travail d’évangélisation ? Nous avions désespérément besoin d’effectifs pour le travail d’évangélisation. Donc, j’ai expliqué la situation à la dirigeante d’Église. Après m’avoir écoutée, celle-ci m’a dit : « Puisqu’on a davantage besoin de lui pour faire un travail d’abreuvement, je te laisse Frère Jérôme, si tu veux. » Mais j’ai compris que, puisque la dirigeante d’Église l’avait déjà envoyé faire du travail d’évangélisation, si j’insistais pour le garder, on allait dire que j’étais égoïste et que j’exigeais d’avoir des gens compétents, ce qui m’a inquiétée. J’ai donc décidé de laisser Frère Jérôme prêcher l’Évangile. Cela montrerait que j’avais une bonne humanité, que je n’étais pas égoïste et que j’étais capable de tenir compte des autres. J’ai envoyé un message au groupe, en disant que Jérôme allait faire un bon ouvrier d’évangélisation, et j’ai ajouté une série d’émojis festifs. En fait, tout cela était factice. Cela m’avait mise de très mauvaise humeur et j’étais pleine de récriminations. Comment cette dirigeante pouvait-elle penser que seul le travail d’évangélisation nécessitait du personnel compétent ? Elle ne voyait pas nos difficultés réelles. Plus j’y ai pensé, plus je me suis sentie mécontente.
Quelques jours plus tard, un nouvel environnement s’est présenté à moi. La dirigeante nous a demandé de faire un rapport sur le personnel qui venait d’être cultivé. J’ai vu que les ouvriers d’évangélisation cultivaient davantage de gens que nous, ouvriers d’abreuvement, ce que, de nouveau, je n’ai pas pu supporter. L’insatisfaction et la rancœur ont instantanément envahi mon esprit. Je ne m’étais pas attendue à ce qu’ils cultivent autant de gens. Je les avais même laissé garder Lyse et Jérôme. C’était vraiment injuste. Désormais, il y avait davantage d’ouvriers d’évangélisation que d’ouvriers d’abreuvement. Songeant qu’il allait y avoir un énorme afflux de nouveaux venus à l’avenir, et que nous disposions de si peu d’ouvriers d’abreuvement, j’ai ressenti une forte pression, et j’ai eu des préjugés contre ma dirigeante. Je me suis dit qu’elle ne pensait qu’au travail d’évangélisation et que personne ne songeait au travail d’abreuvement. Plus j’y ai réfléchi, plus je me suis sentie triste, et je n’ai pas pu m’empêcher de pleurer. En écoutant le diacre d’évangélisation et la dirigeante d’Église parler avec enthousiasme des nouveaux venus dans notre groupe, je me suis sentie exclue, et cela m’a tellement frustrée que j’ai même eu envie de quitter le groupe. Ce jour-là, à midi, je me suis sentie si malheureuse que je n’ai pas pu déjeuner. Je me suis couchée en sanglotant, et je me suis dit que si je continuais comme ça, j’allais forcément tomber malade. Quand une sœur que je connaissais a vu mon état, elle m’a dit que je ne parlais pas franchement, que je me déguisais pour qu’on me trouve humble et qu’on m’admire. Quand cette sœur m’a rappelée à l’ordre, j’ai commencé à réfléchir sur moi-même.
Dans la parole de Dieu, j’ai lu ceci : « Savez-vous qui sont vraiment les pharisiens ? Y a-t-il des pharisiens autour de vous ? Pourquoi appelle-t-on ces gens des “pharisiens” ? Comment décrit-on les pharisiens ? Ce sont des gens qui sont hypocrites, complètement faux et qui jouent la comédie dans tout ce qu’ils font. Quelle comédie jouent-ils ? Ils font semblant d’être bons, gentils et positifs. Est-ce ainsi qu’ils sont réellement ? Absolument pas. Étant donné qu’ils sont hypocrites, tout ce qui est manifesté et révélé en eux est faux : tout n’est que simulacre, ce n’est pas leur vrai visage. Où est caché leur vrai visage ? Il est caché au plus profond de leur cœur, pour ne jamais être vu par les autres. Tout ce qui se trouve à l’extérieur est un jeu, tout est faux, mais ils ne peuvent que tromper les gens : ils ne peuvent tromper Dieu. […] Aux yeux des certains autres, ces personnes semblent très dévotes et humbles, mais en réalité c’est faux. Elles semblent tolérantes, indulgentes et aimantes, mais c’est en fait un simulacre. Elles disent qu’elles aiment Dieu, mais c’est en réalité une comédie. D’autres pensent que ces personnes sont saintes, mais en fait, c’est faux. Où peut-on trouver une personne vraiment sainte ? La sainteté humaine est toute fausse. Tout cela n’est qu’une comédie, un simulacre. Vus de l’extérieur, ces gens semblent loyaux envers Dieu, mais ils ne font qu’offrir aux autres un spectacle. Quand personne ne regarde, ils ne sont pas loyaux le moins du monde, et tout ce qu’ils font est superficiel. En surface, ils se dépensent pour Dieu et ont abandonné leurs familles et leurs carrières. Mais que font-ils en secret ? Ils mènent leur propre entreprise et exercent leur propre activité dans l’Église, en profitant de l’Église et en volant les offrandes en secret sous couvert de travailler pour Dieu […]. Ces gens sont les pharisiens hypocrites d’aujourd’hui » (La Parole, vol. 3 : Sermons de Christ des derniers jours, Six indicateurs de croissance de vie). « Si ce que tu poursuis est la vérité, si ce que tu pratiques est la vérité et que la base de tes paroles et de tes actes est la parole de Dieu, alors les autres tireront profit et gain de tes paroles et de tes actes fondés sur des principes. Cela ne serait-ce pas avantageux, pour eux comme pour toi ? Si tu vis sous la contrainte de la pensée de la culture traditionnelle, que tu joues la comédie tandis que d’autres font de même et que tu leur prodigues des subtilités maniérées pendant qu’ils s’inclinent avec obséquiosité, chacun jouant la comédie pour l’autre, alors ce n’est une bonne chose ni d’un côté ni de l’autre. Eux et toi, vous vous prosternez obséquieusement et vous engagez dans des subtilités toute la journée, sans un mot de vérité, vous ne pratiquez dans la vie que le bon comportement tel qu’il est promu par la culture traditionnelle. Bien qu’un tel comportement soit conventionnel vu de l’extérieur, ce n’est que de l’hypocrisie, un comportement qui trompe et dupe les autres, un comportement qui berne les gens et les mystifie, sans qu’on entende une seule parole sincère. Si tu te lies d’amitié avec une telle personne, tu finiras par être dupé et trompé. Dans ce bon comportement, il n’y a rien qui puisse t’édifier. Tout ce que tu peux en apprendre, c’est le mensonge et la supercherie : tu les trompes, ils te trompent. Ce que tu ressentiras, en fin de compte, c’est une dégradation extrême de ton intégrité et de ta dignité, que tu devras tout simplement supporter. Tu devras tout de même te présenter avec une courtoisie maniérée, avec une civilité cultivée, sans chicaner avec les autres ni trop exiger d’eux. Il te faudra tout de même être patient et tolérant, affectant la nonchalance et la magnanimité avec un sourire radieux. Combien d’années d’entraînement intensif faut-il pour atteindre un tel état ? Si tu t’astreins à vivre ainsi devant les autres, une telle vie ne t’épuisera-elle pas ? Faire semblant d’avoir autant d’amour, sachant très bien que ce n’est pas le cas, une telle hypocrisie n’est pas chose facile ! Tu ressentiras encore plus fortement cet épuisement en te comportant de cette façon, en tant que personne. Dans ta prochaine vie, tu préférerais naître sous la forme d’une vache ou d’un cheval, d’un cochon ou d’un chien plutôt que d’un être humain. Les humains sont tout simplement trop faux et trop mauvais pour toi » (« En quoi consiste la poursuite de la vérité (3) », dans La Parole, vol. 6, « Sur la poursuite de la vérité »). Dieu révélait que les gens vivent de façon hypocrite, en se basant sur des idées de la culture traditionnelle, ce qui n’apporte que souffrance, dépression et isolement. Cela m’a beaucoup émue, parce que ces idées m’avaient profondément blessée. Surtout quand j’ai lu : « Faire semblant d’avoir autant d’amour, sachant très bien que ce n’est pas le cas, une telle hypocrisie n’est pas chose facile ! » J’ai eu vraiment honte. Ces paroles me décrivaient. Clairement, je n’étais pas très généreuse, mais je me sentais obligée de faire semblant de l’être, et quand je ne tenais pas compte du travail de l’Église, je prétendais le contraire. Quand on avait demandé à Lyse et Jérôme de prêcher l’Évangile, cela m’avait évidemment mécontentée, mais je m’étais forcée à sourire, et j’avais même envoyé un message disant que j’étais ravie de les voir prêcher l’Évangile. J’avais vraiment fait semblant, je m’étais déguisée. Cette parole de Dieu révélait que les pharisiens étaient des hypocrites qui se déguisaient constamment. En apparence, ils avaient une bonne humanité, ils se montraient tolérants, humbles et pieux, mais en réalité, ils employaient cette méthode pour tromper et piéger les gens, afin de protéger leur statut et leur situation. Leur essence était de détester la vérité et Dieu, et, pour cette raison, le Seigneur Jésus les avait condamnés comme autant de serpents, et les avait voués au malheur. En y réfléchissant, j’ai pris peur. Mon hypocrisie était exactement comme celle des pharisiens. Concernant l’affectation du personnel, j’avais montré que je ne voulais pas m’opposer aux autres, et j’avais voulu troquer ce comportement contre l’estime d’autrui. J’avais dit que tout ce que je faisais, c’était dans l’intérêt de l’Église, mais en fait, je n’avais tenu compte que de ma propre image. J’avais eu peur que les ouvriers d’évangélisation disent que j’étais égoïste, que j’avais une humanité médiocre, et que je ne tenais pas compte du travail de l’Église, alors j’avais dû me contrôler. Même si, en apparence, je semblais généreuse et magnanime, je souffrais énormément et j’avais beaucoup de rancœur, et j’avais même des préjugés contre la dirigeante d’Église et le diacre d’évangélisation. Mais je cachais ces pensées, pour qu’on ne puisse pas s’en apercevoir, et afin que mes frères et sœurs pensent que j’avais une bonne humanité que j’étais capable de défendre le travail de l’Église. J’ai alors réfléchi à mes intentions et à ce que je révélais, et mon comportement m’a dégoûtée. Avec mes bonnes actions apparentes, je trompais et j’attirais les gens, j’asseyais ma propre image, et tout ce que je disais et faisais était dégoûtant et détestable pour Dieu.
Plus tard, j’ai écouté plusieurs fois l’échange de Dieu qui analysait la culture et la vertu traditionnelles, et j’ai commencé à réfléchir. Par quelles sortes d’idées de la culture traditionnelle étais-je contrôlée pour vivre de façon aussi hypocrite et douloureuse ? J’ai alors lu ces paroles de Dieu : « Dans la culture traditionnelle, il y a cette histoire de Kong Rong[a] qui offre des poires. Qu’en pensez-vous, est-ce que quelqu’un qui ne peut pas être comme Kong Rong n’est pas une bonne personne ? Les gens pensaient autrefois que quiconque pouvait être comme Kong Rong était noble de caractère, résolument intègre, altruiste et désintéressé : une bonne personne. Le Kong Rong de ce récit historique est-il un modèle que tout le monde a suivi ? Le personnage a-t-il une certaine place dans le cœur des gens ? (Oui.) Ce n’est pas son nom qui occupe une place dans le cœur des gens, mais ses pensées et ses pratiques, sa moralité et son comportement. Les gens estiment ces pratiques et les approuvent, et ils admirent intérieurement la vertu de Kong Rong » (« En quoi consiste la poursuite de la vérité (10) », dans La Parole, vol. 6, « Sur la poursuite de la vérité »). « Les intellectuels sont profondément influencés par la culture traditionnelle. Ils ne se contentent pas de l’accepter : ils acceptent de nombreuses pensées et opinions de la culture traditionnelle au plus profond de leur cœur, où ils les traitent comme des choses positives. Ils traitent même certains dictons célèbres comme des maximes. Ce faisant, ils se sont égarés dans la vie. La culture traditionnelle est incarnée dans les enseignements du confucianisme, qui contiennent un ensemble d’idéologies et de théories promouvant principalement la morale et la culture traditionnelles. À travers les dynasties, ces enseignements ont été tenus en haute estime par les classes dirigeantes, qui vénéraient Confucius et Mencius comme des sages. Les enseignements du confucianisme soutiennent qu’en tant que personne, il faut veiller à cultiver la bienveillance, la justice, la courtoisie, la sagesse et la sincérité, ce qui signifie qu’il faut d’abord apprendre à être calme et serein quand des choses se produisent, à être indulgent, à bien dire ce qu’on a à dire, à ne pas rivaliser ni lutter, et qu’il faut apprendre à être courtois, afin de gagner le respect des autres : seule une telle personne est exemplaire dans son comportement. Une telle personne se positionne au-dessus des gens ordinaires. Pour elle, il faut tolérer tout le monde et faire plaisir à tout le monde. L’“effet” de cette connaissance est assez énorme ! Ces personnes ne ressemblent-elles pas beaucoup à des hypocrites ? Avec suffisamment de connaissances, les gens deviennent hypocrites. L’expression qui désigne bien ce groupe d’universitaires érudits et raffinés est “l’élégance savante”. […] Ces intellectuels s’appliquent surtout à étudier et à imiter les manières raffinées que ces gentilshommes ont adoptées. Quel est leur ton quand ils se parlent, quand ils discutent ? Ils véhiculent des expressions très tendres et leurs paroles sont polies et subtiles, n’exprimant que leur propre opinion. Ils ne diront pas que l’opinion d’un autre est fausse, même s’ils le savent : personne ne blesserait un autre de cette façon. Et leur discours est si doux, c’est comme du coton effleurant du coton : des plaisanteries indolores qui écœurent ceux qui les écoutent et les rendent anxieux et furieux. De telles personnes sont vraiment prétentieuses. Elles appliquent leur prétention même à la plus petite chose, l’emballant soigneusement, sans que personne ne la désigne par ce qu’elle est. Devant des gens ordinaires, quelle sorte de posture veulent-ils montrer ? Quelle sorte d’image veulent-ils projeter ? Ils tâchent de faire en sorte que les gens ordinaires les voient comme d’humbles gentlemen. Les gentlemen se distinguent de tous les autres : ce sont des personnes à admirer. Les gens pensent que leurs opinions comptent plus que celles de la personne moyenne et qu’ils comprennent mieux les choses, alors ils consultent ces intellectuels à propos de toutes leurs affaires. C’est le genre de résultat que les intellectuels souhaitent atteindre. Tous souhaitent être vénérés comme des sages » (« Section 9 : Ils ne font leur devoir que pour se distinguer et nourrir leurs propres intérêts et ambitions ; ils ne tiennent jamais compte des intérêts de la maison de Dieu, et vendent même ces intérêts en échange de la gloire personnelle (Partie I) », dans La Parole, vol. 4, « Exposer les antéchrists »). Cette parole de Dieu décrivait avec précision mon problème. Comment pouvais-je considérer ces bonnes actions hypocrites comme des choses positives à imiter ? C’était parce que j’étais influencée par cette idée issue de la culture traditionnelle concernant Kong Rong, qui avait offert des poires. J’avais vécu conformément à cette idée depuis mon enfance. Pour qu’on pense que j’étais une enfant gentille, j’avais donné bon nombre de mes jouets et de mes goûters préférés à mes sœurs. En grandissant, je m’étais également montrée humble et généreuse en toutes choses. Même si je l’avais fait en rechignant, je m’étais dit que ce n’était qu’ainsi que je pouvais montrer que j’avais une bonne humanité et de bonnes manières, et que c’était la seule façon de gagner le respect des autres, alors j’avais subi, à contrecœur. Quand j’avais commencé à croire en Dieu, j’avais continué à pratiquer cette notion traditionnelle comme s’il s’agissait de la vérité. Concernant la nomination de ces deux ouvriers, je m’étais montrée patiente. Nous manquions clairement de personnel d’abreuvement, mais j’avais affiché une dévotion désintéressée et permis à ces deux personnes aptes à l’abreuvement de prêcher l’Évangile. Cela m’avait fait paraître vraiment noble et généreuse, mais en fait, j’avais été si négative que j’avais pleuré plusieurs fois en secret à cause du manque de personnel. J’avais eu des préjugés contre la dirigeante d’Église, et en fin de compte, le travail d’abreuvement s’en était trouvé affecté. À quoi servait-il « d’offrir » de cette façon ? Pour préserver ma bonne image, j’avais adopté une posture noble, comme Kong Rong, et je ne m’étais pas demandé si le travail de l’Église allait s’en trouver affecté. J’étais une authentique hypocrite. Si je m’étais vraiment souciée du travail de l’Église, j’aurais évalué nos besoins en personnel en fonction des exigences réelles du travail d’abreuvement, mais pour protéger mon image, je n’avais pas du tout suivi les principes. Même quand le travail d’abreuvement avait été affecté par la pénurie de personnel, j’avais persisté à laisser généreusement partir des gens. J’avais récolté des louanges au détriment du travail d’abreuvement, qui s’était trouvé retardé. Pas étonnant que Dieu dise que de tels gens étaient des hypocrites. J’ai compris que mon comportement était vraiment faux.
Plus tard, j’ai lu ces paroles de Dieu, qui m’ont émue. Dieu Tout-Puissant dit : « Vous devez comprendre clairement qu’aucune prétention à la vertu n’est la vérité, et que prétendre à la vertu peut encore moins remplacer la vérité. Prétendre à la vertu n’est même pas une chose positive. On peut dire avec certitude que ces prétentions à la vertu sont des idées fausses et hérétiques, avec lesquelles Satan séduit les gens. Elles ne sont pas, en elles-mêmes, la réalité de la vérité que les gens devraient posséder, ni des choses positives que l’humanité normale devrait vivre. Ces prétentions à la vertu constituent des contrefaçons, des faux-semblants, des falsifications et des ruses : ce sont des comportements factices, qui n’émanent pas du tout de la conscience et de la raison de l’homme, ni de sa pensée normale. Par conséquent, toutes les affirmations issues de la culture traditionnelle, concernant la vertu, sont des idées fausses et des hérésies absurdes. Avec ces quelques échanges, les prétentions de Satan en matière de vertu ont été aujourd’hui condamnées à mort dans leur intégralité. Si ce ne sont même pas des choses positives, comment se fait-il que les gens puissent les accepter ? Comment les gens peuvent-ils vivre selon ces idées et points de vue ? La raison en est que ces prétentions à la vertu s’alignent parfaitement sur les notions et l’imagination des gens. Elles suscitent l’admiration et l’approbation, de sorte que les gens les acceptent au fond d’eux-mêmes, et bien qu’ils ne puissent pas les mettre en pratique, intérieurement, ils les embrassent et les vénèrent avec enthousiasme. Et donc, Satan utilise diverses prétentions à la vertu pour séduire les gens, pour contrôler leur cœur et leur comportement, car au fond d’eux-mêmes les gens adorent toutes sortes de prétentions à la vertu et y croient aveuglément, et ils aimeraient tous recourir à ces prétentions pour pouvoir feindre une plus grande dignité, noblesse et bonté, et atteindre ainsi leur objectif, qui est d’être estimés et loués. En bref, selon toutes ces prétentions, les gens devraient adopter un certain comportement ou faire preuve d’une certaine qualité humaine en matière de vertu. Ces comportements et qualités humaines semblent tout à fait nobles, et sont vénérés, de sorte que tous, dans leur cœur, y aspirent ardemment. Mais ce qu’ils n’ont pas envisagé, c’est que ces prétentions à la vertu ne sont pas du tout les principes de comportement qu’une personne normale devrait suivre : il s’agit plutôt de divers comportements hypocrites que l’on peut feindre. Ce sont des écarts par rapport aux normes de la conscience et de la raison, des écarts par rapport à la volonté de l’humanité normale. Satan utilise des affirmations fausses et feintes, en matière de vertu, pour séduire les gens, pour les amener à le vénérer, et à vénérer ces soi-disant sages hypocrites, et ainsi, à voir l’humanité normale et les critères du comportement humain comme des choses ordinaires, simples et même insignifiantes. Les gens méprisent ces choses et les considèrent comme déplorables. C’est parce que les prétentions à la vertu embrassées par Satan sont très agréables à regarder, et bien alignées sur les notions et l’imagination de l’homme. Le fait est, cependant, qu’aucune prétention à la vertu, quelle qu’elle soit, n’est un principe que les gens devraient suivre dans leur comportement ou leurs interactions dans le monde. Réfléchissez-y : n’en est-il pas ainsi ? Par essence, ces prétentions à la vertu ne sont que des exigences pour que les gens vivent en apparence une vie plus digne et plus noble, ce qui leur permet d’être vénérés ou loués par les autres, plutôt que méprisés. L’essence de ces prétentions montre qu’il s’agit simplement d’exiger que les gens fassent preuve de vertu par un bon comportement, ce qui dissimule et restreint les ambitions et les désirs extravagants de l’humanité corrompue, et dissimule la nature et l’essence malfaisantes et hideuses de l’homme. Ces prétentions sont censées mettre en valeur la personnalité des gens grâce à un comportement et des pratiques superficiellement bons, leur permettre d’avoir une meilleure image et d’être davantage estimés par tout le monde. Ces points montrent que les prétentions à la vertu consistent à dissimuler les pensées et les opinions intérieures des gens, leur visage hideux, leur nature et leur essence, grâce à un comportement et des pratiques superficiels. Ces choses peuvent-elles être dissimulées avec succès ? En essayant de les dissimuler, ne les rend-on pas encore plus apparentes ? Mais Satan ne s’en soucie pas. Son but est de dissimuler le visage hideux de l’humanité corrompue, de dissimuler la vérité de la corruption de l’homme. Ainsi, Satan demande aux gens d’adopter les manifestations comportementales de la vertu pour se déguiser, ce qui signifie qu’il utilise les règles et les comportements de la vertu pour faire de l’apparence de l’homme un ensemble soigné, en améliorant les qualités humaines et la personnalité des gens afin qu’ils puissent être estimés et loués par leurs semblables. Fondamentalement, ces prétentions à la vertu déterminent si une personne est noble ou humble sur la base de son comportement » (« En quoi consiste la poursuite de la vérité (10) », dans La Parole, vol. 6, « Sur la poursuite de la vérité »). Ce n’est qu’après avoir lu ces paroles de Dieu que j’ai compris que mon point de vue avait toujours été erroné : j’avais traité les vertus de la culture traditionnelle comme une norme permettant d’évaluer si l’humanité d’une personne était bonne ou mauvaise. J’avais considéré à tort ces vertus comme la vérité, et pensé que les gens vertueux avaient une bonne humanité. En fait, la vertu n’est pas le principe de vie que les gens doivent suivre. C’est faire acte d’hypocrisie, et, par essence, c’est une méthode que Satan utilise pour tromper et corrompre les gens. Satan se sert de la culture traditionnelle pour inculquer des normes morales, que les gens doivent respecter, de sorte qu’ils utilisent des bonnes actions apparentes afin de se déguiser et de dissimuler leur corruption intérieure, dans le but de gagner l’estime des autres, et par conséquent, les gens deviennent encore plus hypocrites et malhonnêtes. J’ai vu que je me comportais comme ça, moi aussi. Les vertus de la culture traditionnelle me servaient de critères pour agir. En apparence, je ne me battais pas pour obtenir des choses, et je m’entendais bien avec les autres, mais en fait, je me forçais à faire des bonnes actions, pour que les gens disent que j’étais accommodante, et pour qu’ils aient une bonne image de moi dans leur cœur, alors que je disais que je tenais compte du travail de l’Église. J’étais vraiment malhonnête !
Plus tard, j’ai lu ceci dans la parole de Dieu : « Une personne intelligente et sage devrait rapidement analyser les divers comportements et exigences qui découlent des principes de bienveillance, de justice, de courtoisie, de sagesse et de sincérité de la culture traditionnelle. Vois lequel d’entre eux tu chéris le plus, celui que tu observes constamment, celui qui est la base et la ligne directrice constantes de la façon dont tu perçois les gens et les événements, de la manière dont tu te comportes et dont tu agis. Ensuite, tu dois confronter ces choses que tu observes aux paroles et aux exigences de Dieu, à des fins de comparaison, et regarder si ces choses de la culture traditionnelle contredisent les vérités que Dieu exprime et s’y opposent. Si tu découvres réellement un problème, tu dois immédiatement analyser en quoi exactement cette culture traditionnelle a fait erreur et est absurde. Lorsque tu auras clarifié ces questions, tu sauras ce qui est vrai et ce qui est faux. Tu auras un chemin pour pratiquer et tu choisiras le chemin que tu dois suivre. Cherche la vérité de cette manière, et tu pourras t’amender » (« En quoi consiste la poursuite de la vérité (5) », dans La Parole, vol. 6, « Sur la poursuite de la vérité »). Grâce à cette parole de Dieu, j’ai compris que si l’on ne voulait pas vivre selon ces idées traditionnelles, on devait d’abord les discerner et les analyser, et découvrir en quoi elles étaient erronées et absurdes, comment elles violaient la vérité, et ce qu’entraînait le fait de vivre selon ces idées. Ce n’était que lorsque l’on voyait clairement ces choses que l’on pouvait y renoncer et accepter la vérité. Je me suis alors demandé : le fait « d’offrir », comme Kong Rong avait offert des poires, était-il conforme aux principes de la vérité ? Était-ce l’une des exigences de Dieu pour avoir une humanité normale ? Ceux qui, en toutes choses, s’abstenaient, étaient-ils vraiment des gens de qualité ? Ma propre tolérance aveugle avait eu pour effet une pénurie grave en matière d’effectifs dans le travail d’abreuvement. Pour faire preuve de générosité et de patience en toutes choses, j’avais dit de nombreux mensonges hypocrites. Avoir été éduquée selon ces idées traditionnelles, n’avait pas fait de moi une bonne personne, mais quelqu’un d’hypocrite et de malhonnête. Gagner l’estime des autres ne m’avait pas rendue heureuse, j’étais même devenue de plus en plus déprimée et malheureuse. Voilà quels avaient été pour moi les fruits amers de la vénération de la culture traditionnelle. Sans Dieu pour révéler l’essence de la culture traditionnelle, je serais restée aveugle toute ma vie. Je n’ai pu m’empêcher de remercier Dieu pour avoir exprimé la vérité et analysé ces idées traditionnelles, ce qui m’avait permis de m’éveiller.
Après ça, j’ai pensé : « Puisque la vertu de Kong Rong, quand il avait offert des poires, n’était un bon comportement qu’en apparence, et que cela ne signifiait pas qu’il avait une bonne humanité, qu’était une humanité authentiquement bonne ? » Dans la parole de Dieu, j’ai lu ceci : « Il doit y avoir une norme pour “avoir une bonne humanité”. Cela n’implique pas de prendre le chemin de la modération, de ne pas s’en tenir aux principes, de s’efforcer de n’offenser personne, de chercher à s’attirer des faveurs partout où l’on va, d’être doux et doucereux avec tous ceux qu’on rencontre, et d’amener tout le monde à dire du bien de vous. Ce n’est pas la norme. Alors, quelle est la norme ? C’est d’avoir des principes et d’assumer ses responsabilités dans sa façon de considérer Dieu, la vérité, l’accomplissement du devoir et toutes sortes de gens, d’événements et de choses. C’est évident pour tout un chacun, tout le monde le sait clairement dans son cœur. De plus, Dieu sonde le cœur des hommes et connaît leur situation ; quels qu’ils soient, aucun d’entre eux ne peut berner Dieu. Certains hommes se vantent toujours de posséder une bonne humanité, de ne jamais dire du mal des autres, de ne jamais nuire aux intérêts de quiconque, et ils affirment n’avoir jamais convoité les biens d’autrui. Quand il y a des conflits d’intérêts, ils préfèrent même subir des pertes, plutôt que de profiter des gens, et tous les autres pensent qu’ils sont bons. Cependant, quand ils accomplissent leurs devoirs dans la maison de Dieu, ils sont astucieux et fuyants, complotant toujours à leur propre avantage. Ils ne pensent jamais aux intérêts de la maison de Dieu, ils ne considèrent jamais comme étant urgent ce que Dieu considère comme étant urgent, ne pensent jamais comme Dieu et ne mettent jamais de côté leurs propres intérêts pour accomplir leurs devoirs. Ils ne renoncent jamais à leurs propres intérêts. Même quand ils voient des malfaiteurs commettre le mal, ils ne les dénoncent pas ; ils n’ont absolument aucun principe. Quelle sorte d’humanité est-ce là ? Ce n’est pas une bonne humanité. N’accordez aucune attention à ce que dit une telle personne ; vous devez voir ce qu’elle vit, ce qu’elle révèle et quelle est son attitude quand elle accomplit ses devoirs, et aussi ce qu’est son état intérieur et ce qu’elle aime. Si son amour de sa propre gloire et de sa propre fortune l’emporte sur sa fidélité envers Dieu, si son amour de sa propre gloire et de sa propre fortune l’emporte sur les intérêts de la maison de Dieu, ou si son amour de sa propre gloire et de sa propre fortune l’emporte sur la considération qu’elle montre pour Dieu, alors une telle personne possède-t-elle une humanité ? Ce n’est pas là une personne avec de l’humanité. Sa conduite peut être vue par les autres et par Dieu. Il est très difficile pour une telle personne d’accéder à la vérité » (La Parole, vol. 3 : Sermons de Christ des derniers jours, En offrant son cœur à Dieu, on peut obtenir la vérité). Grâce à cette parole de Dieu, j’ai compris qu’une personne dotée d’une humanité véritablement bonne aimait la vérité et les choses positives, qu’elle était responsable dans son devoir, suivait les principes de la vérité et défendait le travail de l’Église. Quant à ceux qui, en apparence, n’offensent personne, tolèrent aveuglément et sans principe, et préfèrent subir des pertes plutôt que de profiter des autres, même si, en apparence, ils ont bon caractère, dans leur devoir, ils cherchent toujours à protéger leurs propres intérêts, ils ne pratiquent jamais la vérité et ne tiennent jamais compte du travail de l’Église. Ces gens n’ont pas une bonne humanité. Je n’ai plus voulu vivre selon la culture traditionnelle et être faussement une bonne personne. J’ai voulu vivre une ressemblance humaine conformément aux exigences de Dieu.
En lisant cette parole de Dieu, j’ai trouvé un chemin de pratique : « Vous devez chercher la vérité pour résoudre tout problème qui se pose, quel qu’il soit, et ne devez en aucun cas vous déguiser ni présenter aux autres un faux visage. Vos insuffisances, vos déficiences, vos défauts, vos tempéraments corrompus : soyez complètement ouverts sur tous ces sujets, et échangez sur tous ces sujets. Ne les gardez pas pour vous. Apprendre à vous ouvrir est le premier pas pour entrer dans la vérité, et c’est le premier obstacle et le plus difficile à surmonter. Une fois que tu l’as surmonté, il est facile d’entrer dans la vérité. Que signifie franchir ce pas ? Cela signifie que tu ouvres ton cœur et que tu montres tout ce que tu as, le bon et le mauvais, le positif et le négatif ; que tu te mets à nu devant les autres et devant Dieu ; que tu ne caches rien à Dieu, ne dissimulant rien, ne déguisant rien, exempt de tromperie et de ruse, et également ouvert et honnête avec les autres. De cette façon, tu vis dans la lumière, et non seulement Dieu te scrutera, mais les autres aussi pourront voir que tu agis selon les principes et avec une certaine transparence. Tu n’as pas besoin d’avoir recours à une quelconque méthode pour protéger ta réputation, ton image et ton statut, et tu n’as pas besoin non plus de dissimuler ni de déguiser tes erreurs. Tu n’as pas besoin de te consacrer à ces efforts inutiles. Si tu peux abandonner ces choses, tu seras très détendu, tu vivras sans chaînes ni douleurs et tu vivras entièrement dans la lumière » (La Parole, vol. 3 : Sermons de Christ des derniers jours, Troisième partie). Grâce à cette parole de Dieu, j’ai compris que je ne devais pas me déguiser pour donner aux autres une fausse image de moi. Je devais plutôt être honnête, simple et ouverte, et je devais m’ouvrir et communiquer au sujet de tous les problèmes que je rencontrais, pour que mes frères et sœurs puissent mieux m’aider. Quand je n’avais rien dit, quand j’avais aveuglément tout supporté et que je m’étais déguisée, tout le monde avait cru qu’aucune pénurie ne touchait le personnel d’abreuvement, et pensé que le travail se portait bien, mais en fait, j’avais souffert, et le travail de l’Église en avait pâti. Alors, j’ai délibérément pratiqué conformément à la parole de Dieu, et communiqué clairement avec mes frères et sœurs. Ensuite, ils m’ont tous fourni du personnel pour assurer le travail d’abreuvement. Cela m’a montré à quel point il était facile et agréable de pratiquer selon la parole de Dieu. En vivant selon la culture traditionnelle, nous devenons de plus en plus corrompus, de plus en plus faux et malhonnêtes, et de plus en plus malheureux. Ce n’est qu’en pratiquant la vérité que nous pouvons vivre une ressemblance humaine, devenir des gens authentiquement bons, et faire l’expérience d’une paix et d’une joie véritables ! Dieu soit loué !
Note de bas de page :
a. Kong Rong est un personnage qui apparaît dans une histoire chinoise bien connue, traditionnellement utilisée pour éduquer les enfants quant aux valeurs de courtoisie et d’amour fraternel. Cette histoire raconte comment, lorsque sa famille reçut un panier de poires, Kong Rong, âgé de quatre ans, offrit les plus grosses poires à ses frères aînés et prit la plus petite pour lui.
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