Répandre l’Évangile est mon devoir impérieux

13 juillet 2024

Par Li Hui, Chine

J’ai grandi à la campagne avec huit frères et sœurs. Ma mère n’était pas en bonne santé et ne pouvait pas travailler, tandis que mon père ne s’occupait pas de la maison et ne gagnait pas d’argent. Nous ne pouvions gagner notre vie qu’avec le travail agricole. Tout le monde se moquait de ma mère et de mon père parce qu’ils n’avaient aucune compétence, et même les membres de notre famille nous dédaignaient et ne voulaient rien avoir à faire avec nous. Au fur et à mesure que le temps passait, j’avais l’impression que, puisque je vivais dans cette famille, mon statut social n’était pas élevé et que j’étais une personne de bas-étage. Quand je sortais, je n’osais même pas échanger des mots avec les autres. Puis je me suis mariée avec un ouvrier agricole ordinaire. Tous ses homologues étaient plus prometteurs que lui. Et dès qu’ils nous voyaient, ils se donnaient de grands airs : parfois, ils nous parlaient de manière sarcastique ou même nous grondaient. Je trouvais cela très dur et j’avais une piètre opinion de moi-même. Et cela, jusqu’à ce que je croie en Dieu et que je lise Ses paroles. C’est à ce moment-là que je me suis rendu compte de mes points de vue erronés et que mon cœur a été libéré.

En 2021, j’ai commencé à répandre l’Évangile. Plus tard, j’ai rencontré des destinataires potentiels de l’Évangile qui étaient soit des patrons, soit des cadres : ils avaient tous un certain statut et un certain rang. Je me suis sentie mal à l’aise, je me disais que ma famille était pauvre, que je n’avais ni savoir, ni statut et que je n’étais pas à la hauteur pour faire face à ces gens au statut et au rang élevés. Mais je me suis rendu compte que c’était mon devoir et que je ne pouvais pas y couper. J’ai donc prié Dieu, disant que j’étais disposée à le faire.

Un jour, je me préparais à répandre l’Évangile à une patronne d’entreprise. Quand elle a découvert que j’étais ouvrière agricole, elle a refusé catégoriquement en disant : « Ne la laissez pas venir ici. Je ne rencontre que des gens ayant statut et prestige. » Ces mots ont été assez durs à entendre. Je me suis dit : « Mon statut et mon rang sont bas. Je ne mérite même pas de voir une destinataire potentielle de l’Évangile. Comment puis-je répandre l’Évangile ? Si j’avais un certain statut et un certain rang, et si ma famille venait d’un milieu un peu plus favorisé, peut-être que les gens ne me dédaigneraient pas ainsi. » Quand je pensais à ça, je n’étais pas très disposée à lui prêcher l’Évangile. Je voulais retourner là où j’habitais avant. Là-bas, beaucoup étaient des ouvriers agricoles. Ils avaient à peu près le même statut et le même rang que moi : ils ne me dédaigneraient pas. J’ai dit au dirigeant que répandre l’Évangile ici était difficile, que les gens d’ici avaient de l’argent et de l’influence, mais que moi, je n’étais qu’une ouvrière agricole, qu’il m’était donc difficile de créer des liens avec eux. De plus, la pandémie était grave et il m’était impossible de coopérer. Le dirigeant était d’accord. À mon retour, je n’ai pas réfléchi une seule fois sur moi-même, le sujet est donc resté en suspens.

Durant l’été 2022, une personne qui avait été exclue m’a fourni une destinataire potentielle de l’Évangile venue d’une confession religieuse. Lors de ma rencontre avec la personne qui avait été exclue, cette dernière, qui trouvait que j’étais peu raffinée et que mes vêtements étaient banals, m’a donc demandé : « Peux-tu répandre l’Évangile ? Comprends-tu la Bible ? » À l’époque, je ne me rendais pas compte de la signification de ses mots, je lui ai donc répondu en toute honnêteté : « J’ai prêché l’Évangile à des gens religieux et je comprends un peu la Bible. » Elle a continué : « Non pas que je te prenne de haut, mais la destinataire potentielle de l’Évangile… sa famille a une bonne situation et son statut et son rang sont élevés ! » Je l’avais très mal pris à l’époque, je me disais : « Je suis vêtue sobrement et de manière convenable. C’est juste que je ne porte pas de vêtements luxueux, alors elle me prend de haut. Si c’était elle la destinataire potentielle de l’Évangile, elle me prendrait de haut, c’est certain. Mon statut et mon rang ne sont pas à la hauteur et ce sera difficile de répandre l’Évangile ! » Je pensais que si j’étais issue d’un milieu favorisé, si mon statut et mon rang étaient un peu plus élevés, et si j’avais de l’argent et de l’influence, alors répandre l’Évangile ne serait pas nécessairement aussi difficile. Je me sentais assez déprimée, alors j’ai prié et cherché auprès de Dieu, Lui demandant de me guider afin que je puisse tirer une leçon de tout ça. Tout en cherchant, j’ai lu un passage des paroles de Dieu : « En prêchant l’Évangile, on rencontre souvent des moqueries, des railleries, des ricanements et des calomnies de ce genre, ou on se trouve même dans des situations dangereuses. Certains frères et sœurs, par exemple, sont dénoncés ou enlevés par des gens malfaisants, et d’autres reçoivent la visite de la police et sont livrés au gouvernement. Certains peuvent être arrêtés et emprisonnés, tandis que d’autres peuvent même être battus à mort. Tout cela, ce sont des choses qui arrivent. Mais maintenant que nous connaissons ces choses, devons-nous changer d’attitude vis-à-vis du travail d’évangélisation ? (Non.) Évangéliser est le devoir et l’obligation de chacun. À tout moment, peu importe ce que nous entendons, ce que nous voyons ou la façon dont nous sommes traités, nous devons toujours maintenir cette responsabilité de faire connaître l’Évangile. En aucun cas ne pouvons-nous renoncer à ce devoir pour raison de négativité ou de faiblesse. Le devoir d’évangélisation n’est pas une sinécure, mais il est semé de dangers. Lorsque vous évangéliserez, vous n’aurez pas en face de vous des anges, des extraterrestres ou des robots. Vous aurez affaire à une humanité mauvaise et corrompue, des démons vivants et des bêtes. Tous sont des êtres humains qui survivent dans cet espace où règne le mal, dans ce monde malfaisant, et qui ont été profondément corrompus par Satan et résistent à Dieu. Par conséquent, dans l’évangélisation, il y a certainement toutes sortes de dangers, sans parler de la calomnie mesquine, des ricanements et des malentendus, qui sont des phénomènes courants. Si tu considères vraiment l’évangélisation comme une responsabilité, comme une obligation et comme ton devoir, tu pourras avoir un regard juste sur ces choses, et même y apporter une réponse juste. Tu n’abandonneras pas tes responsabilités et tes obligations, pas plus que tu ne dévieras de ton intention première, qui était d’évangéliser et de témoigner de Dieu à cause de ces choses, et tu ne mettras jamais cette responsabilité de côté, car c’est ton devoir. Comment comprendre ce devoir ? Comme la valeur et l’obligation première de la vie humaine. Répandre la bonne nouvelle de l’œuvre de Dieu dans les derniers jours et l’Évangile de l’œuvre de Dieu est la valeur de la vie humaine » (La Parole, vol. 3 : Sermons de Christ des derniers jours, Évangéliser est le devoir auquel sont tenus par honneur tous les croyants). Ces paroles de Dieu nous enseignent qu’en répandant l’Évangile, il est normal qu’on se moque de nous, qu’on nous ridiculise, qu’on nous méprise et nous humilie, car les gens auxquels nous sommes confrontés lorsque nous répandons l’Évangile sont tous des êtres humains corrompus par Satan. Mais qu’importe les circonstances ou les difficultés que nous rencontrons, nous devons continuer d’assumer cette responsabilité de répandre l’Évangile. À l’époque, quand j’ai appris que la destinataire potentielle de l’Évangile ne voulait pas me voir, j’étais d’avis que, puisque mon statut et mon rang n’étaient pas à sa hauteur et qu’elle me prendrait de haut et me mettrait mal à l’aise, il valait mieux que je ne lui prêche pas l’Évangile pour pouvoir m’éviter l’humiliation. Il en allait de même aujourd’hui. Mes vêtements étaient ordinaires, je n’avais ni statut, ni rang. Les autres me prenaient de haut. J’avais l’impression que si je prêchais l’Évangile à la destinataire potentielle de l’Évangile, elle me dédaignerait et me mettrait mal à l’aise. J’ai donc commencé à me retirer, craignant que cela ait une incidence négative sur mon visage et ma fierté. J’ai mis cela sur le compte de mon milieu pauvre. Je ne me rendais pas compte que c’était vaniteux, que c’était mon désir de réputation et de statut qui posait problème. J’ai pensé à ces frères et sœurs qui ont été arrêtés et torturés par le régime satanique parce qu’ils répandaient l’Évangile. Ils ont enduré de nombreuses difficultés, certains y ont presque perdu la vie, mais ils pouvaient compter sur Dieu et tenir ferme dans leur témoignage. Quand ils ont été libérés de prison, ils ont malgré tout répandu l’Évangile et rendu témoignage à Dieu. Comparé à eux, mes difficultés étaient dérisoires. J’ai perdu la volonté de répandre l’Évangile après avoir seulement perdu un peu la face. J’ai découvert que je ne faisais pas mon devoir sincèrement : j’étais complètement dépourvue de témoignage. Dieu a exprimé des millions de paroles durant Son œuvre des derniers jours afin de sauver ceux qui croient sincèrement en Lui et cherchent Son apparition. En tant qu’être créé, je devrais tenir compte de l’intention de Dieu, en répandant l’Évangile, en portant témoignage de Dieu, en laissant les gens entendre Sa voix et voir Son apparition. C’est là la chose la plus juste et il s’agit de ma mission et de ma responsabilité. Même si durant cette période, il est probable que nous subissions des difficultés et que nous soyons humiliés, tout cela est précieux et significatif. Après avoir compris l’intention de Dieu, je ne voulais plus m’échapper ou me retirer. Peu importe si la destinataire potentielle de l’Évangile me prenait de haut ou me mettait mal à l’aise, je devais abandonner ma propre fierté et accomplir mon devoir. Au même moment, je me suis également rendu compte qu’après que Satan a corrompu l’humanité, les hommes ne se souciaient que de l’apparence extérieure d’une personne et de savoir si elle a un statut et un rang élevés. Si c’est le cas, alors cette personne est admirée et respectée, mais si elle manque de statut et de rang, d’argent et d’influence, alors on la prend de haut. Tout cela est dû au fait que Satan a corrompu l’humanité. La personne ayant été exclue et la destinataire potentielle de l’Évangile me prenaient de haut à cause de mon statut et de mon rang : c’était normal. Quand j’ai réalisé ça, mon état a pris une sorte de tournant. Plus tard, j’ai de nouveau contacté la personne qui avait été exclue et elle était disposée à coopérer. J’ai pris contact avec la destinataire potentielle de l’Évangile et j’ai découvert qu’elle avait une compréhension très absurde et surtout qu’elle s’accrochait à ses propres notions et à son imagination. Nous avons dû abandonner. Mais cette situation m’a permis de mieux me connaître : c’est là l’amour de Dieu.

Après cela, j’ai lu un passage des paroles de Dieu et j’ai pu mieux connaître mon état. Dieu Tout-Puissant dit : « Quels que soient ton identité ou ton statut, tout cela est prédéterminé par Dieu. Quel que soit le genre de famille ou d’antécédents familiaux que Dieu a prédéterminé pour toi, l’identité que tu as héritée de tout cela n’est ni honteuse ni honorable. Le principe selon lequel tu traites ton identité ne doit pas reposer sur l’honneur et la honte. Quel que soit le genre de famille dans lequel Dieu te fait naître, quel que soit le genre de famille dont Il te permet d’être issu, tu n’as qu’une seule identité devant Dieu, l’identité d’un être créé. Devant Dieu, tu es un être créé, donc, aux yeux de Dieu, tu es l’égal de tous ceux qui, au sein de la société, ont une identité et un statut social différents. Vous appartenez tous à l’humanité corrompue et vous êtes tous des individus que Dieu veut sauver. Et bien entendu, devant Dieu, vous avez tous la même possibilité d’accomplir vos devoirs en tant qu’êtres créés et vous avez tous la même possibilité de poursuivre la vérité et d’atteindre le salut. Sur ce plan, étant donné l’identité d’être créé qui t’a été donnée par Dieu, tu ne dois pas avoir une haute opinion de ta propre identité et tu ne dois pas non plus mépriser cette identité. Au contraire, tu devrais traiter correctement l’identité qui te vient de Dieu, celle d’un être créé, et être capable de t’entendre harmonieusement avec tout le monde, sur un pied d’égalité, et conformément aux principes que Dieu enseigne aux gens et avec lesquels Il les avertit. Quels que soient le statut social ou l’identité sociale des autres individus et quels que soient ton propre statut social ou ton identité sociale, quiconque entre dans la maison de Dieu et vient devant Dieu n’a qu’une seule identité, celle d’un être créé. Par conséquent, ceux qui ont un statut social et une identité sociale modestes ne doivent pas se sentir inférieurs. Que tu aies du talent ou non, que ton calibre soit élevé ou non, que tu aies des capacités ou non, tu dois abandonner ton statut social. Tu dois également abandonner les idées ou opinions concernant le fait de classer ou d’évaluer les gens, ou de les ranger dans la catégorie des gens distingués ou humbles en te basant sur leurs antécédents familiaux et leur histoire familiale. Tu ne dois pas te sentir inférieur à cause de ton identité sociale et de ton statut social modestes. Tu devrais être content que Dieu ne t’ait pas abandonné, alors que tes antécédents familiaux ne sont guère puissants et spectaculaires, et que le statut dont tu as hérité est modeste. Dieu retire les gens humbles du tas de fumier et de la poussière, et te donne la même identité qu’aux autres individus, celle d’un être créé. Dans la maison de Dieu et devant Dieu, ton identité et ton statut sont égaux à ceux de tous les autres individus qui ont été choisis par Dieu. Quand tu comprends cela, tu dois abandonner ton complexe d’infériorité et cesser de t’y accrocher » (La Parole, vol. 6 : Sur la poursuite de la vérité I, Comment poursuivre la vérité (13)). Après avoir lu ces paroles de Dieu, j’ai été assez émue. Avant, je pensais que les personnes jouissant d’un statut social élevé et de bonnes conditions familiales avaient un rang noble, qu’ils appartenaient à une classe supérieure, et que ceux qui n’avaient ni statut, ni rang étaient de bas-étage. Cette vision n’était pas en accord avec la vérité. Depuis ma plus tendre enfance, ma famille était défavorisée. Je n’ai ni reçu une bonne éducation, ni acquis aucune compétence. On m’a regardée de haut pendant toute mon enfance et jusqu’à l’âge adulte. Une fois mariée, vu que mon mari était lui aussi pauvre et qu’il n’avait aucun statut social, mon statut et mon rang me paraissaient trop modestes et je me sentais particulièrement inférieure. J’enviais et j’admirais surtout les gens ayant un certain statut et un certain rang. Après avoir cru en Dieu, puisque j’étais une ouvrière, la destinataire potentielle de l’Évangile n’a pas voulu que je lui prêche l’Évangile, alors je me suis sentie encore plus contrainte. Je pensais venir d’un milieu pauvre, avoir un statut inférieur, que les autres ne feraient que m’humilier, et qu’il serait difficile de répandre l’Évangile : j’ai donc voulu m’échapper et me retirer. En réalité, aux yeux de Dieu, nous sommes tous des êtres créés, nous avons tous le même statut et le même rang, aucune distinction n’existe entre les favorisés et les défavorisés. Les êtres humains se placent dans différentes classes selon leur milieu familial et leur statut social, mais Dieu traite tout le monde équitablement. Les gens doivent seulement accepter la vérité pour que Dieu les sauve. Je suis un être créé, je dois donc accomplir mon devoir, sans être contrainte par mon statut et mon rang.

Plus tard, un frère m’a montré un passage des paroles de Dieu qui m’a plutôt touchée. Dieu Tout-Puissant dit : « Pensez à cela – comment devez-vous appréhender la valeur d’un homme, son statut social et son milieu familial ? Quelle est l’attitude correcte que vous devriez avoir ? Tout d’abord, vous devriez l’envisager à partir des paroles de Dieu, la façon dont Il aborde ces questions ; c’est seulement de cette façon, que vous parviendrez à comprendre la vérité et à ne rien faire qui aille à son encontre. Alors, comment Dieu envisage-t-Il le milieu familial d’une personne, son statut social, son éducation future et les richesses qu’elle possède dans la société ? Si tu ne vois pas les choses basées sur les paroles de Dieu et, si tu ne peux pas te tenir au côté de Dieu et accepter les choses comme venant de Dieu, alors la façon dont tu vois les choses sera certainement très éloignée de l’intention de Dieu. S’il n’y a pas beaucoup de différence, seulement une petite divergence, alors il n’y a pas de problème ; si la façon dont tu vois les choses va complètement à l’encontre de l’intention de Dieu, alors elle est en désaccord avec la vérité. En ce qui concerne Dieu, ce qu’Il donne aux personnes et combien Il donne Le regarde, et le statut social des personnes est aussi décrété par Dieu et n’est absolument pas arrangé par les personnes elles-mêmes. Si Dieu fait souffrir quelqu’un en causant douleur et pauvreté, cela signifie-t-il qu’il n’a aucun espoir d’être sauvé ? S’il a une valeur inférieure et une position sociale inférieure, Dieu ne le sauvera-t-Il pas ? S’il a un statut inférieur dans la société, a-t-il un statut inférieur aux yeux de Dieu ? Pas nécessairement. De quoi cela dépend-il ? Cela dépend du chemin que cette personne emprunte, de ce qu’elle poursuit et de son attitude envers la vérité et Dieu. Si le statut social de quelqu’un est très bas, sa famille très pauvre et qu’il a un niveau d’instruction bas, mais qu’il croit en Dieu de façon terre-à-terre et qu’il aime la vérité et les choses positives, alors, aux yeux de Dieu, a-t-il une valeur élevée ou faible, est-il précieux ou sans valeur ? Il est précieux. En adoptant ce point de vue, de quoi dépend la valeur d’une personne – qu’elle soit élevée ou faible, noble ou inférieure ? Cela dépend de la façon dont Dieu te voit. Si Dieu te voit comme quelqu’un qui poursuit la vérité, alors tu as de la valeur et tu es précieux – tu es un vase précieux. Si Dieu voit que tu ne poursuis pas la vérité et que tu ne te dépenses pas sincèrement pour Lui, alors tu es sans valeur et tu n’es pas précieux – tu es un vase sans valeur. Peu importe ton niveau d’instruction ou combien ton statut est élevé dans la société, si tu ne poursuis ou ne comprends pas la vérité alors ta valeur ne peut jamais être élevée ; même si de nombreuses personnes te soutiennent, t’apprécient et t’adorent, tu restes un malheureux méprisable. Alors pourquoi Dieu voit-Il les gens de cette façon ? Pourquoi une personne si “noble”, avec un statut social si élevé, avec tant de personnes qui l’apprécient et l’admirent, même avec un prestige si élevé, est-elle vue par Dieu comme basse ? Pourquoi la façon dont Dieu voit les personnes est-elle totalement contradictoire avec l’opinion que les personnes ont des autres ? Dieu Se place-Il Lui-même intentionnellement en opposition aux personnes ? Pas du tout. C’est parce que Dieu est vérité, Dieu est droiture, alors que l’homme est corrompu et n’a ni vérité ni droiture, et Dieu mesure l’homme selon Ses propres normes et Sa norme pour mesurer l’homme est la vérité » (La Parole, vol. 4 : Exposer les antéchrists, Section 7 : Ils sont malfaisants, insidieux et malhonnêtes (Partie I)). À travers les paroles de Dieu, j’ai compris que les endroits et les familles dans lesquelles nous naissons étaient tous ordonnés par Dieu : les êtres humains ne peuvent pas les choisir. Les gens devraient donc se soumettre à la souveraineté et aux arrangements de Dieu. Dieu ne regarde pas le statut social ou l’éducation des gens, qu’ils soient supérieurs ou inférieurs. Il regarde si les gens peuvent pratiquer Ses paroles et faire leur devoir conformément aux vérités-principes. Si une personne a un statut social élevé et qu’elle est issue d’un bon milieu familial, mais qu’elle ne poursuit pas et n’accepte pas la vérité, Dieu ne la sauvera pas. Si une personne n’a ni savoir, ni statut, mais qu’elle aime les choses positives, qu’elle peut accepter la vérité et qu’elle agit conformément aux paroles de Dieu, alors Dieu lui accordera de l’importance. Dieu regarde le cœur des gens et leur attitude envers la vérité. Qu’importe si le statut social d’une personne est élevé ou non, si elle peut se présenter devant Dieu, lire Ses paroles, chercher à Le connaître, et accomplir le devoir d’un être créé, elle est noble aux yeux de Dieu. Tous ceux qui ne se présentent pas devant Dieu sont inférieurs et ne valent rien. Puisque je pouvais être exaltée par Dieu et recevoir Sa grâce, en accomplissant le devoir d’un être créé, je devrais chérir l’opportunité que Dieu m’a donnée d’accomplir mon propre devoir.

Plus tard, j’ai lu un autre passage des paroles de Dieu : « Que ta famille t’apporte gloire ou honte, et que l’identité et le statut social que tu as hérités de ta famille soient nobles ou humbles, en ce qui te concerne, cette famille n’est rien de plus que cela. Elle ne détermine pas le fait que tu puisses ou non comprendre la vérité, poursuivre la vérité ou t’engager sur le chemin de la poursuite de la vérité. Par conséquent, les gens ne devraient pas considérer la famille comme une question très importante, car elle ne détermine ni le destin ni l’avenir d’une personne, et encore moins le chemin qu’elle suit. L’identité que tu as héritée de ta famille ne peut déterminer que tes propres sentiments et perceptions parmi les autres. Que l’identité que tu as héritée de ta famille soit quelque chose que tu méprises ou qui mérite que tu t’en vantes, elle ne peut pas déterminer si tu seras en mesure de t’engager sur le chemin de la poursuite de la vérité. Donc, lorsqu’il s’agit de poursuivre la vérité, peu importe le type d’identité ou de statut social que tu hérites de ta famille. Même si l’identité dont tu hérites te fait te sentir supérieur et honoré, cela ne vaut pas la peine d’être mentionné. Ou bien, si elle t’inspire un sentiment de honte, d’infériorité et une faible estime de toi-même, cela n’affectera pas ta poursuite de la vérité. N’en est-il pas ainsi ? (Si.) Cela n’affectera en rien ta poursuite de la vérité, ni ton identité en tant qu’être créé devant Dieu. Au contraire, quels que soient l’identité et le statut social que tu hérites de ta famille, du point de vue de Dieu, chacun a la même chance d’être sauvé, et chacun accomplit son devoir et poursuit la vérité avec le même statut et la même identité. L’identité que tu hérites de ta famille, qu’elle soit honorable ou honteuse, ne détermine pas ton humanité, ni le chemin que tu empruntes. Cependant, si tu y attaches beaucoup d’importance et que tu la considères comme une partie essentielle de ta vie et de ton être, alors tu t’y accrocheras fermement, tu ne l’abandonneras plus jamais et tu en tireras de la fierté. Si l’identité que tu hérites de ta famille est noble, alors tu la considéreras comme une sorte de capital, tandis que si l’identité que tu hérites de ta famille est modeste, tu la considéreras comme une chose honteuse. Que l’identité que tu hérites de ta famille soit noble, glorieuse ou honteuse, il ne s’agit là que de ta compréhension personnelle et c’est seulement le résultat d’un examen de la question du point de vue de ton humanité corrompue. Il s’agit simplement de tes propres sentiments, de tes propres perceptions et de ta propre compréhension, qui ne sont pas conformes à la vérité et n’ont rien à voir avec la vérité. Ce n’est pas essentiel à ta poursuite de la vérité et, bien sûr, ce n’est pas une entrave à ta poursuite de la vérité. Si ton statut social est noble et élevé, cela ne veut pas dire qu’il est un capital pour ton salut. Si ton statut social est inférieur et humble, cela ne signifie pas qu’il constitue une entrave à ta poursuite de la vérité, et encore moins une entrave à ta poursuite du salut » (La Parole, vol. 6 : Sur la poursuite de la vérité I, Comment poursuivre la vérité (12)). Après avoir lu ces paroles de Dieu, j’ai compris que la famille et le statut social des gens n’avaient rien à voir avec leur croyance en Dieu, leur poursuite de la vérité et leur obtention du salut. De plus, répandre l’Évangile n’a rien à voir avec le statut et le rang d’une personne. C’est lié à son attitude envers son devoir, ainsi qu’à sa capacité à échanger clairement sur l’œuvre de Dieu et à témoigner de Lui en répandant l’Évangile et à la sincérité de la croyance en Dieu du destinataire potentiel de l’Évangile. Car seuls ceux qui croient sincèrement en Dieu sont les brebis de Dieu et eux seuls peuvent entendre et comprendre la voix de Dieu. J’ai pensé à un frère dans un film sur l’Évangile : c’était un prêtre catholique avec un statut et un rang assez élevés. Quand les frères et sœurs lui prêchaient l’Évangile, il ne cherchait pas à connaître leur statut et leur rang, mais il a entendu les paroles de Dieu et était disposé à chercher et à étudier. Il a établi que c’était la voix de Dieu et a accepté. J’ai compris que ce que les croyants sincères voulaient entendre, c’était les paroles de Dieu et la vérité. Je me sentais souvent contrainte par mon statut et mon rang inférieurs parce que je n’avais pas de place pour Dieu dans mon cœur et je ne voyais pas les choses selon les paroles de Dieu. À ce stade, j’ai compris que j’étais un être créé et que répandre l’Évangile était ma responsabilité et mon obligation. Que le statut et le rang d’un destinataire potentiel de l’Évangile soient élevés ou non, ce sont tous des gens corrompus qui ont besoin du salut de Dieu. Ma responsabilité consistait à témoigner de ce que Dieu dit et fait. Quant à savoir s’ils pouvaient l’accepter, tout dépendait s’ils étaient des brebis de Dieu ou non. Si c’était le cas, ils pourraient naturellement entendre et comprendre la voix de Dieu.

En août 2023, une sœur m’a demandé de prêcher l’Évangile à une destinataire potentielle de l’Évangile. Quand j’ai appris que la famille de cette destinataire potentielle de l’Évangile était fortunée et influente, et qu’un des membres de sa famille était un haut responsable de l’armée, j’ai de suite pensé à mon statut et à mon rang inférieurs, au fait qu’il y avait un trop grand fossé entre nous et que je ne pouvais pas coopérer. Et si elle me prenait de haut et qu’elle n’était pas disposée à m’écouter porter témoignage ? J’ai repensé à ce que je ressentais quand on se moquait de moi et qu’on me prenait de haut, alors je ne voulais pas vraiment entrer en contact avec les gens qui avaient un statut élevé. Puis j’ai repensé à ces paroles de Dieu : « Alors, comment Dieu envisage-t-Il le milieu familial d’une personne, son statut social, son éducation future et les richesses qu’elle possède dans la société ? Si tu ne vois pas les choses basées sur les paroles de Dieu et, si tu ne peux pas te tenir au côté de Dieu et accepter les choses comme venant de Dieu, alors la façon dont tu vois les choses sera certainement très éloignée de l’intention de Dieu » (La Parole, vol. 4 : Exposer les antéchrists, Section 7 : Ils sont malfaisants, insidieux et malhonnêtes (Partie I)). Je me suis rendu compte que j’étais toujours contrainte par mon statut et ma situation et que je devais voir les choses selon les paroles de Dieu. Qu’importe si le statut et le rang du destinataire potentiel de l’Évangile sont élevés ou non, aux yeux de Dieu, nous sommes tous des êtres créés, notre tempérament corrompu est le même et nous avons tous besoin du salut de Dieu. Tout ce que je devais faire, c’était me fier à Dieu et faire de mon mieux pour coopérer. Quant à savoir si la destinataire potentielle de l’Évangile pouvait l’accepter ou non, c’était entre les mains de Dieu. En pensant à cela, je ne me sentais plus contrainte. Plus tard, quand j’ai prêché l’Évangile à cette destinataire potentielle, je me suis sentie très en paix, je ne pensais qu’à la convaincre. Qui aurait pu penser qu’elle nous accueillerait très chaleureusement ? Je lui ai lu les paroles de Dieu Tout-Puissant, j’ai échangé et j’ai témoigné de Son œuvre des derniers jours. Elle a écouté et a été en mesure de comprendre. Quand j’ai échangé pour la quatrième fois, elle a dit : « Ma sœur, j’aime t’écouter prêcher : tu peux venir chez moi tous les jours. Si tu amènes des gens pour tenir une réunion, alors viens chez moi au cinquième étage. Je vais te faire visiter de suite. » Quand j’ai constaté que non seulement elle ne m’avait pas snobée, mais qu’en plus elle était disposée à étudier l’œuvre de Dieu, j’ai été très émue. J’ai constaté que ceux qui croyaient sincèrement en Dieu entendaient Ses paroles et la vérité, et qu’il nous suffisait d’échanger clairement et de témoigner de l’œuvre de Dieu auprès d’eux pour atteindre des résultats. Si ce sont des brebis de Dieu, alors ils peuvent entendre et comprendre Sa voix et peuvent se présenter devant Lui. Leur statut et leur rang dans la société n’ont pas d’importance. Plus tard, quand j’ai rencontré des destinataires potentiels de l’Évangile ayant un statut et un rang élevés en répandant l’Évangile, j’évaluais si c’était des personnes à qui on pouvait prêcher l’Évangile ou non en me basant sur les paroles de Dieu. S’ils croyaient sincèrement en Dieu, je coopérais de tout mon cœur, j’échangeais et je témoignais de l’œuvre de Dieu. Je ne me sentais plus contrainte par le statut et le rang, et mon cœur était libéré. Dieu soit loué !

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