L’arrestation de ma fille m’a révélée
Par Lin Zhi, ChineLe 14 octobre 2023 en début de soirée, une sœur m’a informée que la dirigeante de l’Église de Xinguang avait été arrêtée...
Nous accueillons tous les chercheurs qui désirent ardemment l'apparition de Dieu !
D’aussi loin que je me souvienne, je voyais fréquemment mon père se mettre en colère et s’en prendre à ma mère. En grandissant, ma mère me parlait souvent de son mariage malheureux. Elle disait qu’elle avait manqué de nourriture et de vêtements pendant tout le temps qu’elle avait vécu avec mon père, qu’elle n’avait jamais été heureuse avec lui, et qu’il se mettait souvent en colère contre elle. Elle me disait souvent : « Une femme ne peut trouver le bonheur pour toute la vie qu’en épousant un mari qui la traite bien. » Je pensais en moi-même : « Ma mère a vécu cela elle-même, donc ce qu’elle dit est vrai. Peu importe ce qui se passe, je ne peux pas finir comme elle. Je dois trouver un mari qui me traitera bien. » Plus tard, j’ai eu ce que je voulais et j’ai trouvé un mari doté d’un bon caractère qui me traitait bien. Après notre mariage, mon mari m’accompagnait dans tout ce que je faisais, et il ne haussait jamais le ton contre moi. Chaque fois qu’il rentrait du travail et ne me voyait pas, il m’appelait pour savoir où j’étais, et il se dépêchait de venir me chercher sur son vélo. Il prenait aussi grand soin de moi au quotidien, me demandant toujours dès qu’il me voyait contrariée : « Qu’est-ce qui ne va pas ? Est-ce que quelque chose te contrarie ? » J’étais très heureuse d’avoir trouvé un mari si aimant et si attentionné, et je me sentais comblée dans la vie.
En 2004, j’ai accepté la nouvelle œuvre de Dieu et j’ai prêché l’Évangile à mon mari. Il ne l’a pas accepté, mais il ne s’est pas non plus opposé à ma croyance. Mais plus tard, mon mari a commencé à croire aux rumeurs infondées fabriquées par le PCC à propos de l’Église de Dieu Tout-Puissant, et à partir de ce moment-là, il a commencé à m’empêcher de croire en Dieu. Il se plaignait également souvent de ma participation aux réunions. Un jour, en rentrant du travail, il m’a dit sur un ton sérieux : « Il est écrit en ligne que croire en Dieu va à l’encontre du PCC et que le gouvernement ne le permet pas. Tu ne peux plus croire en Dieu ! » En voyant son expression contrariée, j’ai compris qu’il avait été induit en erreur par les rumeurs infondées propagées par le PCC. Je lui ai dit que tout cela n’était que mensonges et calomnies, mais il ne voulait rien entendre de ce que je disais. Un soir, dès que mon mari est rentré à la maison, il m’a demandé : « Es-tu encore allée à une réunion aujourd’hui ? » J’ai répondu : « Oui. » Il s’est alors mis à me crier dessus : « Je t’ai dit d’arrêter de croire en Dieu, mais tu refuses d’écouter ! En rentrant aujourd’hui, j’ai vu qu’une enseignante avait été arrêtée parce qu’elle croyait en Dieu. Qui sait de combien d’années elle va écoper ? Si tu continues avec ta foi, tôt ou tard, tu seras arrêtée, toi aussi. Et ensuite, les enfants et moi serons aussi entraînés dans tout ça, et tu auras détruit notre famille ! » En disant cela, il a attrapé une chaussure et, sans un mot, il a commencé à me frapper sur la tête, en m’insultant à chaque coup : « Je t’ai dit de m’écouter, mais tu refuses de m’écouter ! Je vais te tuer ! » J’ai pensé qu’il me frapperait juste deux ou trois fois pour évacuer sa colère, mais il m’a frappée vraiment fort. Ma tête tournait sous l’effet des coups, et il ne semblait pas vouloir s’arrêter. Jamais je n’aurais imaginé qu’après tant d’années ensemble, il puisse être aussi impitoyable ! Puis, mon mari a dit aux enfants : « Allez parler à votre maman, faites-lui promettre qu’elle ne croira plus en Dieu à partir de maintenant. Si elle ne le dit pas, je vais la battre à mort aujourd’hui ! » Ma fille a commencé à pleurer et à me supplier. En voyant mes enfants pleurer, je me suis sentie faible. Je me suis dit : « Peut-être que, pour l’instant, je devrais simplement dire à mon mari que je ne croirai plus. Si je continue à résister comme ça, et qu’il se met encore plus en colère et demande le divorce, cette famille sera détruite. » Mais ensuite, j’ai pensé : « Quoi qu’il arrive, je ne peux pas renier le nom de Dieu. Dire que je ne croirai plus en Dieu reviendrait à Le trahir, et je ne peux pas dire ça. » Alors, j’ai continué à prier Dieu, Lui demandant de me donner la sagesse et la foi. Puis, j’ai pensé à un passage des paroles de Dieu : « À chaque étape de l’œuvre que Dieu accomplit sur les gens, à l’extérieur, tout apparaît comme des interactions entre les personnes, comme nées des arrangements humains ou d’une perturbation humaine. Mais, dans les coulisses, chaque étape de travail, tout ce qui arrive, est un pari que Satan a fait avec Dieu et requiert que les gens restent fermes dans leur témoignage en faveur de Dieu. Considérez quand Job a été éprouvé, par exemple : dans les coulisses, Satan faisait un pari avec Dieu, et ce qui est arrivé à Job est venu des actions des hommes et des perturbations des hommes. Derrière chaque étape du travail que Dieu fait en vous, il y a le pari de Satan avec Dieu. Derrière tout cela, il y a une bataille » (La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, Ce n’est qu’en aimant Dieu que l’on croit vraiment en Dieu). L’éclairage des paroles de Dieu m’a permis de comprendre que, bien qu’il semblait que mon mari me persécutait, en réalité, les stratagèmes de Satan étaient à l’œuvre derrière tout cela. Satan voulait que je renie Dieu et que je Le trahisse. Je ne pouvais pas dire que je ne croirais plus en Dieu simplement par peur de la colère de mon mari ; je devais rester ferme dans mon témoignage. Après cela, peu importe combien mes enfants me suppliaient, je restais silencieuse. Exaspéré à l’extrême, mon mari a crié : « Puisque ta mère ne veut pas le dire, je vais divorcer d’elle ce soir et la faire partir. Elle ne passera pas une nuit de plus dans cette maison ! » C’était un véritable choc. Je n’aurais jamais pensé qu’il voudrait vraiment divorcer. J’avais été à ses côtés corps et âme pendant tant d’années, mais juste à cause de ma croyance, il voulait divorcer, et il voulait même me chasser de la maison immédiatement. Comment pouvait-il être l’homme avec qui j’avais vécu plus d’une décennie ? J’avais le coeur complètement brisé. Je me suis demandé : « Si nous divorçons, comment vais-je survivre seule, sans aide et sans personne ? » C’était comme si mon cœur était découpé en morceaux, et les larmes coulaient sur mon visage. J’ai pensé que les êtres humains sont créés par Dieu, que Dieu nous a donné le souffle de vie et nous a fourni tout ce dont nous avons besoin, alors il est parfaitement naturel et légitime pour les gens d’adorer Dieu. Je sentais que je ne pouvais pas cesser de croire en Dieu, quoi qu’il arrive. Ma fille a alors dit à son père : « Si vous divorcez, mon frère et moi voulons rester avec maman, pas avec toi. » Ce n’est qu’à ce moment-là que mon mari a cédé et a abandonné l’idée du divorce. Par la suite, la persécution du PCC s’est intensifiée, et toutes sortes d’hérésies et de fausses conceptions visant à diffamer et discréditer l’Église de Dieu Tout-Puissant ont été affichées dans les rues. La persécution de mon mari à mon encontre s’est également aggravée. Chaque jour après le travail, il me harcelait, me demandant si je croyais toujours en Dieu, et il perdait son sang-froid pour la moindre chose. Le voir dans cet état me bouleversait. Même si je croyais en Dieu et faisais mon devoir, je m’occupais toujours de toutes les tâches ménagères et agricoles, et je prenais aussi soin des enfants. Il n’aurait pas dû me persécuter ainsi. Mais ensuite, j’ai pensé : « Si ce n’était pas à cause de la persécution et des rumeurs infondées du PCC, il ne me traiterait probablement pas de cette manière. Il a été dupé par le PCC. Si je ne le supporte pas, il est inévitable que nous finirons par divorcer. » Pour maintenir l’unité de notre famille et préserver notre mariage, peu importe combien mon mari me persécutait, je l’endurais en silence, allant même jusqu’à prendre l’initiative de bien m’occuper de lui et de lui préparer de bons repas. Parfois, cela retardait même mon devoir.
Plus tard, j’ai été choisie comme prédicatrice et chargée de plusieurs Églises. Certaines des Églises étaient loin de chez moi, donc je ne pouvais pas rentrer à la maison tous les jours, et cela m’inquiétait un peu. À cette époque, mon mari avait une liaison, et il m’avait dit plusieurs fois en rentrant chez nous après avoir bu qu’une femme lui avait avoué ses sentiments et voulait fonder une famille avec lui. J’avais peur que mon éloignement et mon incapacité à revenir facilement ne m’éloignent davantage de mon mari, et qu’il finisse par demander le divorce. Si cela arrivait, notre famille serait brisée. Mais ensuite, j’ai réfléchi au fait que ce devoir venait de Dieu, et que je ne pouvais pas refuser mon devoir simplement pour préserver l’harmonie familiale. Alors, je l’ai accepté. À cette époque, je rentrais chez moi environ une fois toutes les deux semaines pour quelques jours, je faisais tout le travail domestique et agricole, espérant ainsi garder le cœur de mon mari par ces efforts. Même si je savais qu’il avait une liaison, je ne l’avais jamais confronté à ce sujet, par peur que cela ne mène vraiment à un divorce. Cette situation me troublait souvent, et j’étais distraite même dans l’accomplissement de mon devoir. Souvent, je me contentais de faire les choses machinalement. Il y avait un faux dirigeant dans une Église qui aurait dû être renvoyé rapidement, mais j’ai pensé que l’élection d’un nouveau dirigeant après le renvoi prendrait du temps, alors j’ai repoussé cette tâche pour libérer du temps afin de rentrer chez moi. Cela a entraîné des retards dans le travail de l’Église. Une autre fois, la dirigeante supérieure m’a demandé d’aider une Église à traiter avec un antéchrist. À ce moment-là, certains frères et sœurs ne pouvaient pas discerner cet antéchrist, il était donc nécessaire d’échanger à temps sur les vérités relatives au discernement avec eux. J’ai pensé : « Pour que les frères et sœurs gagnent le discernement de cet antéchrist, il faudra peut-être une quinzaine de jours d’échange, et même dans ce cas, il n’y a aucune garantie de résultats. Alors, quand pourrais-je rentrer chez moi ? » J’ai donc dit à la dirigeante : « Cet antéchrist est trop rusé, et les méthodes des antéchrists pour induire les gens en erreur sont sophistiquées. Il ne sera pas facile pour les frères et sœurs de gagner en discernement concernant ces antéchrists et je ne peux pas non plus me charger d’eux. Pourquoi ne trouvez-vous pas quelqu’un d’autre pour s’en occuper ? » La dirigeante a vu que je n’étais pas disposée à coopérer et a dû trouver une autre sœur pour s’en charger. Mais en raison du manque de discernement de cette sœur, les progrès dans le traitement de cet antéchrist ont été lents, ce qui a permis à cet antéchrist de rester dans l’Église, d’induire en erreur le peuple de Dieu et de le contrôler pendant plus de deux mois. Tout le travail de l’Église était paralysé. Plus tard, à cause de mon irresponsabilité dans mon devoir et parce que j’avais sérieusement retardé le travail de l’Église, j’ai été renvoyée. Pendant une réunion, une sœur m’a dit : « Au vu de ton comportement, tu devrais être isolée pour réfléchir. » Ses paroles ont profondément transpercé mon cœur. Je rentrais souvent chez moi pour préserver mon mariage et je retardais le travail de l’Église. J’avais vraiment commis un acte malfaisant et je méritais d’être isolée pour réfléchir. Je me suis rappelé un passage des paroles de Dieu : « Ta manière de considérer les commissions de Dieu est extrêmement importante, et c’est une question très sérieuse. Si tu ne peux pas terminer ce que Dieu a confié aux gens, alors tu n’es pas digne de vivre en Sa présence et tu devrais être puni. Il est parfaitement naturel et justifié que les humains terminent toutes commissions que Dieu leur confie. C’est la suprême responsabilité des hommes, tout aussi importante que leur vie même. Si tu ne prends pas les commissions de Dieu au sérieux, alors tu Le trahis de la manière la plus grave. En cela, tu es plus lamentable que Judas et tu devrais être maudit » (La Parole, vol. 3 : Discours de Christ des derniers jours, Comment connaître la nature de l’homme). Les paroles de Dieu m’ont fait trembler de peur. J’ai ressenti la fureur de Dieu, comme si j’étais condamnée par Lui. Les frères et sœurs m’avaient choisie comme prédicatrice. L’intention de Dieu était que je mène les frères et sœurs à manger et boire Ses paroles et à entrer dans la vérité, et aussi à protéger les frères et sœurs afin qu’ils ne soient pas perturbés et fourvoyés par les faux dirigeants et les antéchrists. Mais mon cœur n’était pas du tout dans mon devoir. J’ai placé mon mariage et ma famille au-dessus de tout, allant souvent chez moi pour entretenir ma relation avec mon mari. Je savais qu’il y avait un faux dirigeant dans l’Église, mais je ne l’ai pas renvoyé à temps. Concernant l’antéchrist qui avait été révélé, je n’étais pas non plus disposée à passer du temps à échanger sur le discernement avec les frères et sœurs. J’ai même trouvé des excuses, disant que cet antéchrist était trop rusé pour que je puisse le gérer, et j’ai fui ma responsabilité. Cela a permis à l’antéchrist d’induire en erreur les frères et sœurs dans l’Église. Pour le bien de mon mariage et de ma famille, je traitais des travaux aussi importants que la sélection des dirigeants et des ouvriers, le renvoi des faux dirigeants, et le traitement de l’antéchrist, avec irrévérence et indifférence. Cela a nui au travail de l’Église et a causé des pertes dans les vies des frères et sœurs. J’avais été si égoïste et méprisable ! En quoi agissais-je comme une personne dotée d’humanité ? Alors je me suis présentée devant Dieu et j’ai prié, en confessant mes péchés, « Ô Dieu, dans ma poursuite du bonheur conjugal, je n’ai pas fait correctement mon devoir et j’ai transgressé. Selon Ton tempérament juste, Je mérite d’être punie. Pourtant, Tu ne m’as pas traitée selon mes transgressions, et Tu m’as encore donné une chance de faire mon devoir. À partir de maintenant, je suis disposée à aborder mon devoir avec un cœur qui Te craint. »
Un certain temps après, mon mari a appris qu’un peu plus de croyants avaient été arrêtés, et il m’a persécuté d’autant plus. Un jour, pour m’empêcher de croire en Dieu, il a brûlé tous mes vêtements. J’étais furieuse. Plus tard, la police est venue chez moi pour m’arrêter sous des accusations de prédication illégale, mais je n’étais pas à la maison à ce moment-là et j’ai pu éviter la catastrophe. À cause de cela, je n’ai pas osé retourner chez moi pendant cinq mois. Mon mari a appelé mes proches, essayant de me retrouver, et pour me forcer à revenir, il a même signalé ma cousine, qui croyait aussi en Dieu. J’ai été choquée d’entendre cela. Je n’aurais jamais pensé que mon mari ferait une chose pareille. Je sentais qu’il était vraiment terrifiant et malintentionné. S’il était disposé à dénoncer ma cousine, me dénoncerait-il aussi ? Je repensais aux sacrifices que j’avais faits pour maintenir notre mariage, et je me rendais compte qu’ils n’en avaient pas valu la peine. Mais quand je pensais au fait que je ne pouvais pas rentrer chez moi et que notre famille s’effondrerait ainsi, et que le mariage heureux que j’avais toujours poursuivi disparaîtrait, je ressentais encore beaucoup de douleur. Je me suis présentée devant Dieu pour prier, espérant qu’Il me guiderait hors de cet état erroné.
Après cela, j’ai lu un passage des paroles de Dieu : « Les gens mariés voient toujours le mariage comme un évènement majeur de la vie et accordent une grande importance au mariage. De ce fait, ils misent tout le bonheur de leur vie sur leur vie conjugale et leur conjoint, croyant que la poursuite du bonheur conjugal est le seul but qui doit être poursuivi dans cette vie. C’est pourquoi beaucoup de gens fournissent des efforts importants, payent le prix fort et consentent à de grands sacrifices pour le bien de leur bonheur conjugal. […] Il y a même des gens qui après avoir commencé à croire en Dieu, acceptent leur devoir et le mandat que leur a confié la maison de Dieu, mais pour pouvoir maintenir le bonheur et la satisfaction dans leur mariage, ils accomplissent leur devoir de façon médiocre. Au départ, ils devaient aller prêcher l’Évangile loin de chez eux et revenir une fois par semaine à la maison ou une fois de temps en temps, ou ils pouvaient quitter leur foyer et accomplir leur devoir à temps complet selon leurs divers calibres et conditions, mais ils craignent que cela déplaise à leur conjoint, que leur mariage ne soit pas heureux ou qu’ils perdent tout bonnement leur mariage, et pour maintenir leur bonheur conjugal, ils renoncent à une bonne partie du temps qu’ils devraient consacrer à accomplir leur devoir. Surtout quand ils entendent leur conjoint se plaindre, avoir l’air mécontent ou ronchonner, ils deviennent encore plus prudents en ce qui concerne la préservation de leur mariage. Ils font tout ce qu’ils peuvent pour satisfaire leur conjoint et travaillent dur pour rendre leur mariage heureux afin qu’il ne s’effondre pas. Bien sûr, ce qui est bien plus grave, ce sont les gens qui refusent l’appel de la maison de Dieu et qui refusent d’accomplir leur devoir afin de maintenir leur bonheur conjugal. Lorsqu’ils sont censés quitter la maison pour accomplir leur devoir, parce qu’ils ne peuvent supporter de se séparer de leur conjoint, ou parce que les parents de leur conjoint s’opposent à leur foi en Dieu et refusent qu’ils abandonnent leur travail et quittent leur foyer pour accomplir leurs devoirs, ils font des compromis et abandonnent leurs devoirs, choisissant plutôt de préserver leur bonheur conjugal et la plénitude de leur mariage. Afin de préserver leur bonheur conjugal et la plénitude de leur mariage, et d’éviter que leur mariage ne s’effondre et ne se termine, ils choisissent de remplir uniquement leurs responsabilités et obligations au sein de leur vie conjugale et d’abandonner leur mission en tant qu’être créé » (La Parole, vol. 6 : Sur la poursuite de la vérité, Comment poursuivre la vérité (10)). Les paroles de Dieu ont exposé mon état. Depuis mon enfance, j’avais été influencée par les valeurs familiales, je croyais que le bonheur d’une femme dans la vie dépendait du bonheur de son mariage et de l’amour de son mari. J’avais considéré la poursuite d’une famille heureuse comme le but de ma vie. Je vivais selon les pensées sataniques telles que « La vie est précieuse ; l’amour encore plus » et « Que je gagne un cœur fidèle et que nous ne nous séparions jamais jusqu’à la fin de nos jours ». J’avais fait de mon mari la personne la plus importante dans ma vie, et je lui avais confié le bonheur de toute ma vie. Avant de trouver Dieu, je me consacrais entièrement à mon mari et à ma famille poursuivant un mariage heureux. Après avoir trouvé Dieu, mon mari, influencé par les rumeurs infondées répandues par le PCC, a commencé à me persécuter, m’a interdit de croire en Dieu, et il m’a même menacée de divorce et a fait preuve de violence à mon égard. Pour éviter de briser notre mariage, je continuais à souffrir en silence et je faisais des compromis, et même lorsqu’il me traitait froidement et qu’il se moquait de moi, je cherchais toujours à lui plaire activement, en passant plus de temps à m’occuper de la maison et en négligeant les devoirs que j’aurais dû faire. Surtout quand j’étais prédicatrice, j’étais pleinement consciente que ce devoir était crucial et qu’il impliquait le travail de plusieurs Églises, mais je craignais que notre mariage ne se brise, alors je rentrais souvent à la maison pour entretenir ma relation avec mon mari, ce qui m’empêchait de m’engager de tout mon coeur envers mes devoirs. Lorsque des antéchrists et des faux dirigeants sont apparus dans les Églises, Je n’ai pas su les gérer en temps voulu parce que j’essayais de maintenir l’unité de ma famille, ce qui a retardé le travail de l’Église. Afin de préserver ma relation avec mon mari et de sauver notre mariage, j’ai complètement ignoré mes responsabilités et mes devoirs, et j’ai commis de graves transgressions. J’ai vu à quel point j’avais été intransigeante et égoïste. En réfléchissant, je me suis vraiment haïe.
Plus tard, j’ai lu un passage des paroles de Dieu : « Dieu a ordonné le mariage pour toi dans le seul but que tu puisses apprendre à remplir tes responsabilités, apprendre à vivre en paix avec une autre personne, à partager ta vie, et à faire l’expérience de ce qu’est la vie partagée avec ton partenaire et de la manière de gérer ensemble tout ce que vous rencontrez, pour rendre ta vie plus riche et plus différente. Cependant, Il ne te vend pas au mariage et, bien sûr, Il ne te vend pas à ton partenaire pour devenir son esclave. Tu n’es pas son esclave, et il n’est pas non plus ton esclavagiste. Vous êtes égaux. Tu n’as que les responsabilités d’une épouse ou d’un époux envers ton partenaire et lorsque tu remplis ces responsabilités, Dieu considère que tu es une épouse ou un époux satisfaisant. Ton partenaire n’a rien que tu n’aies pas et tu n’es pas pire que ton partenaire. Si tu crois en Dieu et que tu poursuis la vérité, que tu peux accomplir ton devoir, fréquemment assister aux réunions, lire en priant les paroles de Dieu et venir devant Dieu, alors ce sont des choses que Dieu accepte, c’est ce qu’un être créé devrait faire et la vie normale qu’un être créé devrait mener. Il n’y a rien de honteux là-dedans et tu ne dois pas non plus avoir le sentiment que tu dois quelque chose à ton partenaire parce que tu vis ce genre de vie ; tu ne lui dois rien. Si tu le souhaites, tu as l’obligation de rendre témoignage à ton partenaire de l’œuvre de Dieu. Cependant s’il ne croit pas en Dieu et ne suit pas le même chemin que toi, alors tu n’as pas besoin et tu n’es pas obligé de lui dire ou de lui expliquer quoi que ce soit, ni de lui donner une quelconque information au sujet de ta foi ou du chemin que tu suis. Il n’a pas non plus le moindre droit de savoir quoi que ce soit à ce sujet. Ce sont sa responsabilité et son obligation de te soutenir, t’encourager et te défendre. S’il ne peut pas faire cela, alors il n’a pas d’humanité. Pourquoi ? Parce que tu suis le bon chemin, et c’est parce que tu suis le bon chemin que ta famille et ton partenaire sont bénis et profitent de la grâce de Dieu avec toi. Il est tout à fait légitime que ton partenaire t’en soit reconnaissant plutôt qu’il fasse preuve de discrimination envers toi ou te harcèle à cause de ta foi ou parce que tu es persécuté, ou encore qu’il pense que tu devrais accomplir plus de tâches ménagères et autres, ou que tu lui dois quelque chose. Tu ne lui dois rien sur le plan émotionnel, spirituel ou de quelque autre manière. C’est lui qui te doit quelque chose. Grâce à ta foi en Dieu, il profite d’une grâce et de bénédictions supplémentaires de la part de Dieu et il gagne ces choses de manière exceptionnelle. Qu’est-ce que Je veux dire par : “Il gagne ces choses de manière exceptionnelle” ? Je veux dire que quelqu’un comme lui ne mérite pas de gagner ces choses et qu’il ne devrait pas les gagner. Pourquoi ne devrait-il pas les gagner ? Parce qu’il ne suit pas et ne reconnaît pas Dieu, de ce fait, la grâce dont il profite découle de ta foi en Dieu. Il en bénéficie avec toi et profite des bénédictions avec toi, et il est tout à fait légitime qu’il se montre reconnaissant envers toi. […] Ceux qui ne croient pas en Dieu ne sont toujours pas satisfaits, et ils oppriment et harcèlent même ceux qui croient en Dieu. La persécution à laquelle le pays et la société soumettent les croyants est déjà un désastre pour eux, et pourtant, les membres de leur famille se donnent encore plus de mal pour les mettre sous pression. Si dans de telles circonstances tu penses encore que tu déçois ton conjoint et tu acceptes de devenir esclave de ton mariage, alors c’est vraiment quelque chose que tu ne devrais pas faire. Ainsi, ton partenaire ne soutient pas ta croyance en Dieu ? Ce n’est pas grave. Il ne défend pas non plus ta croyance en Dieu ? Ce n’est pas grave non plus. Il est libre de ne pas le faire. Cependant, il ne devrait pas te traiter comme un esclave sous prétexte que tu crois en Dieu. Tu n’es pas un esclave, tu es un être humain, une personne digne et honnête. À minima, tu es un être créé devant Dieu et tu n’es l’esclave de personne. Si tu dois être un esclave, alors tu ne peux être l’esclave que de la vérité, l’esclave de Dieu, et non l’esclave de quiconque, et tu peux encore moins laisser ton conjoint être ton maître. En termes de relations charnelles, en dehors de tes parents, la personne qui est la plus proche de toi dans ce monde est ton conjoint. Pourtant, parce que tu crois en Dieu, il te traite comme un ennemi, il t’attaque et te persécute. Il s’oppose à ce que tu assistes à des réunions, s’il entend la moindre rumeur, il rentre à la maison pour te réprimander et te maltraiter. Même lorsque tu pries ou que tu lis les paroles de Dieu à la maison, sans que cela n’affecte aucunement sa vie normale, il te réprimande et s’oppose à toi malgré tout, et il va jusqu’à te battre. Dis-Moi, de quel genre de chose s’agit-il ? N’est-il pas un démon ? Est-ce là la personne la plus proche de toi ? Une telle personne mérite-t-elle que tu remplisses une quelconque responsabilité envers elle ? (Non.) Non, elle ne le mérite pas ! Donc, certains de ceux qui sont dans ce genre de mariage obéissent encore au doigt et à l’œil à leur partenaire, ils sont prêts à tout sacrifier, à sacrifier le temps qu’ils devraient passer à accomplir leurs devoirs, l’opportunité d’accomplir leur devoir et même leur opportunité d’atteindre le salut. Ils ne devraient pas faire cela, et la moindre des choses serait qu’ils renoncent à ce genre d’idées » (La Parole, vol. 6 : Sur la poursuite de la vérité, Comment poursuivre la vérité (11)). Les paroles de Dieu m’ont permis de comprendre que Dieu a ordonné le mariage pour que les gens apprennent à remplir leurs responsabilités et qu’ils expérimentent une vie d’abondance, et non pour être esclaves du mariage. Il devrait y avoir des principes lorsque l’on accomplit ses responsabilités dans le mariage. Si l’autre personne est dotée d’une bonne humanité et soutient notre croyance en Dieu, alors nous pouvons assumer nos responsabilités dans le cadre du mariage. En revanche, si l’autre personne entrave notre croyance en Dieu et même si elle nous persécute ou nous condamne, alors ce démon se révèle, et par son essence, il hait Dieu. Dans ce cas, nous n’avons pas à assumer nos responsabilités. Si une personne ne peut pas distinguer le bien du mal et souhaite tout de même rester avec un tel conjoint, alors, elle est vraiment stupide et ignorante ! Le fait que je crois en Dieu et que j’accomplisse le devoir d’un être créé répond à l’approbation de Dieu et c’est ce qu’il y a de plus juste, mais non seulement mon mari ne m’a pas soutenue, mais il m’a traitée comme une ennemie, il me frappait, m’insultait et me menaçait de divorce pour me forcer à abandonner ma croyance en Dieu. Les faits ont clairement montré que mon mari haïssait Dieu et que son essence était celle d’un démon. Il était bien conscient que le PCC me poursuivait et que je pouvais être arrêtée à tout moment si je rentrais à la maison, pourtant, il a dénoncé ma cousine pour essayer de me forcer à revenir. Il ne se souciait pas de ma vie ou de ma mort ! Il était vraiment égoïste et malintentionné ! Plus tard, j’ai pris conscience qu’autrefois, lorsqu’il me traitait bien, c’était parce que je pouvais m’occuper de notre famille et de sa mère, ce qui l’avantageait ; sinon, il aurait déjà divorcé depuis longtemps. Il ne m’aimait pas vraiment, et à ses yeux, je n’étais qu’un moyen pour arriver à ses fins. Mais je l’avais toujours considéré comme mon soutien et je lui avais confié tout mon bonheur. J’avais même mis de côté mes devoirs pour le retenir et gagner ses faveurs. En réfléchissant à tout cela, j’ai pris conscience que j’avais été trompée, et j’ai vu à quel point j’avais été aveugle ! Maintenant, il était évident pour moi que l’essence de mon mari était celle d’un démon qui haissait Dieu. Comment pourrais-je trouver le bonheur avec quelqu’un qui haissait Dieu ? Non seulement je ne trouverais pas le bonheur avec lui, mais je m’exposerais à plus de souffrances venant de lui. Je ne pouvais plus être contrainte par lui. Je devais poursuivre la vérité avec diligence et m’efforcer d’accomplir mes devoirs du mieux que je pouvais.
Après cela, j’ai lu un passage des paroles de Dieu : « Lorsqu’il s’agit du mariage, peu importe les failles qui apparaissent ou les conséquences qui en découlent, que le mariage continue ou non, que tu t’embarques dans une nouvelle vie au sein de ton mariage, ou que ton mariage se termine sur le champ, ton mariage n’est pas ta destination, et ton conjoint non plus. Dieu a simplement ordonné qu’il apparaisse dans ta vie et ton existence pour jouer un rôle et t’accompagner sur ton chemin dans la vie. S’il peut t’accompagner jusqu’au bout du chemin et être avec toi jusqu’à la fin, alors il n’y a rien de mieux que cela et tu devrais remercier Dieu pour Sa grâce. S’il y a un problème pendant le mariage, que des failles apparaissent ou qu’il se passe quelque chose qui ne te plaît pas, et que, finalement, ton mariage se termine, cela ne signifie pas que tu n’as plus de destination, que ta vie a été précipitée dans les ténèbres ou qu’il n’y a plus de lumière ni d’avenir pour toi. Il se peut que la fin de ton mariage signe le début d’une vie encore plus merveilleuse. Tout cela est entre les mains de Dieu et c’est Dieu qui l’orchestre et l’arrange. Il se peut que la fin de ton mariage t’apporte une compréhension et une appréciation plus profondes du mariage et t’aide à mieux le saisir. Bien sûr, il est possible que pour toi, la fin de ton mariage marque un tournant important au niveau de ta direction et de tes objectifs de vie et au niveau du chemin que tu suis. Cela ne va pas te laisser avec des souvenirs tristes et encore moins avec des souvenirs douloureux, et ce ne sera pas une accumulation d’expériences et de résultats négatifs, mais cela t’apportera plutôt des expériences actives et positives que tu n’aurais pas pu vivre si tu étais encore mariée. Si ton mariage avait continué, tu vivrais peut-être cette vie ordinaire, médiocre et ennuyeuse jusqu’à la fin de tes jours. Cependant, si ton mariage se brise et se termine, ce n’est pas forcément une mauvaise chose. Jusqu’à maintenant, tu étais limitée par le bonheur et les responsabilités au sein de ton mariage, ainsi que par les émotions et le mode de vie de ton conjoint dont tu te préoccupais, la nécessité de t’occuper de lui, d’être attentionnée envers lui, de prendre soin de lui et de t’inquiéter à son sujet. Cependant, à partir du jour où ton mariage se termine, toutes les circonstances de ta vie, tes objectifs et poursuites dans la vie subissent un changement profond et complet, et il faut dire que ce changement t’a été apporté par la fin de ton mariage. Peut-être que ce résultat, ce changement et cette transition représentent ce que Dieu veut que tu retires de ce mariage qu’Il avait ordonné pour toi, peut-être que c’est ce que Dieu voulait que tu reçoives en t’amenant à mettre fin à ton mariage. Bien que cela t’ait blessée et que tu aies emprunté un chemin tortueux, et bien que tu aies fait des sacrifices et des compromis inutiles dans le cadre du mariage, ce que tu reçois à la fin ne peut s’obtenir au sein de la vie conjugale » (La Parole, vol. 6 : Sur la poursuite de la vérité, Comment poursuivre la vérité (11)). Après avoir lu les paroles de Dieu, mon cœur s’est éclairci. Dieu a ordonné le mariage pour les êtres humains, mais le mariage n’est pas leur destination. Que le mariage d’une personne soit heureux et épanoui, ou qu’il se soit brisé ou ait pris fin, n’a rien à voir avec le fait que cette personne aura une bonne destination, et ne détermine pas non plus si sa vie sera heureuse. Pourtant, je considérais le mariage comme ma destination et mon mari comme mon soutien. Alors, lorsque je voyais mon mariage s’effondrer et que j’existais à peine, j’avais l’impression de ne plus avoir ni destination ni soutien. Mon cœur était lourd, je me sentais seule et démunie, et je ne savais pas comment faire face à ma vie à venir. À présent, j’ai pris conscience que mes points de vue n’étaient pas conformes à la vérité. À travers les paroles de Dieu, j’ai vu que la dissolution d’un mariage ne signifie pas qu’une personne n’a pas d’avenir ou que sa vie sera sombre ; cela pourrait être le début d’une vie plus merveilleuse. Dans le passé, pour maintenir un mariage heureux, je faisais toutes les corvées à l’intérieur comme à l’extérieur de la maison, et je passais mes journées à travailler jusqu’à en avoir mal au dos, et je devais également constamment surveiller les humeurs de mon mari. Mais pire encore, je ne pouvais pas me consacrer pleinement à mes devoirs. Je faisais les choses machinalement, ce qui retardait le travail de l’Église. Je me sentais souvent mal à l’aise, comme si une pierre pesait sur mon cœur, et je vivais dans un état de douleur et d’épuisement. La poursuite du bonheur conjugal ne m’a apporté que davantage d’oppression spirituelle et de douleur. Au cours des derniers mois, je ne pouvais pas rentrer chez moi à cause de la persécution du PCC, et lorsque j’apaisais mon cœur pour faire mes devoirs, j’étais moins fatiguée physiquement et mon cœur était beaucoup plus léger qu’auparavant. Quand je me recueillais pour manger et boire les paroles de Dieu et que je vivais une vie d’Église avec les frères et sœurs, j’ai pu comprendre certaines vérités, et mon cœur se remplissait de joie. Cela a vraiment été bénéfique pour ma vie. Aujourd’hui, bien que je n’aie pas la compagnie et les soins de mon mari, lorsque je fais face à des difficultés et à la douleur, je prie Dieu, et avec la direction des paroles de Dieu, je sens que Dieu est juste à mes côtés et qu’Il est mon véritable soutien. En comprenant ces choses, je ne m’inquiétais plus de préserver mon mariage, et mon cœur, qui avait été réprimé si longtemps, s’est senti libéré. Par la suite, j’ai continué à accomplir mes devoirs dans d’autres régions et je ne rentrais pas chez moi.
Un jour, trois ans plus tard, j’avais prévu de rencontrer une sœur dans un parc, et mon beau-frère m’a vue sur le trajet. Il était très surpris et a dit qu’il me cherchait. Sa femme avait eu un cancer et pouvait mourir à tout moment, et il m’a exhortée à venir chez lui. J’ai pensé au fait que mon mari appelait souvent notre fille pour savoir où je me trouvais, et qu’il allait aussi chez ma mère pour me chercher, et qu’il contactait sans cesse des proches pour essayer de me retrouver. Si j’allais chez sa sœur, il le saurait presque immédiatement. Et si mon mari me voyait et me suppliait de rester à la maison ? J’ai pensé à ma belle-mère âgée, et au fait que si sa sœur venait à mourir, sa vie serait vraiment difficile. Après tout, nous étions mariés depuis tant d’années, et j’étais partie depuis presque trois ans, continuerait-il donc à me persécuter comme avant ? Après y avoir réfléchi, je me sentais toujours tiraillée, alors j’ai prié Dieu en silence, je Lui ai demandé de me guider et de me conduire. Après avoir prié, je me suis rappelée d’un passage des paroles de Dieu : « Comment des démons peuvent-ils devenir des êtres humains ? C’est impossible. Obtenir que le grand dragon rouge pose son couteau de boucher est impossible, c’est sa nature. Les démons et Satan sont de la même cohorte, ils ne se distinguent que par la grandeur. La façon dont tu considères le grand dragon rouge est la façon dont tu devrais considérer les démons. Ceci est correct. Si tu considères les démons d’une façon différente de la façon dont tu considères Satan et le grand dragon rouge, cela prouve que tu n’as toujours pas une compréhension approfondie des démons. Si tu penses encore qu’ils sont des êtres humains, si tu crois qu’ils ont une humanité, qu’ils ont quelque chose de louable, qu’ils peuvent être rachetés, et que tu leur laisses encore des chances, alors tu es stupide, tu as cru à leurs ruses à nouveau, et tu auras à en payer le prix » (La Parole, vol. 7 : Sur la poursuite de la vérité, Comment poursuivre la vérité (15)). Un démon est un démon et ne deviendra jamais humain. Mon mari haïssait Dieu et s’opposait à Lui, et son essence était celle d’un démon. Je ne pouvais pas le plaindre, sinon il ne ferait que me blesser. Quoi qu’il en soit, je ne pouvais pas retourner en arrière. J’ai ensuite pensé aux intentions urgentes de Dieu. Dieu espère que plus de monde puisse venir devant Lui et accepte Son salut le plus tôt possible, ainsi, à ce moment critique, je devais faire de mon mieux pour coopérer au travail d’évangélisation. Je regrettais de ne pas avoir accompli mes devoirs dans le passé à cause de ma recherche du bonheur conjugal. Maintenant, je devais rattraper cela et être loyale dans mes devoirs pour rendre l’amour de Dieu. À partir de là, je me suis dédiée au travail d’abreuvement des nouveaux venus, et je me suis sentie à l’aise et en paix. Je suis sincèrement reconnaissante envers Dieu de m’avoir sauvée de la douleur du mariage.
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