Les leçons que j’ai tirées de mon licenciement
Par Chen Jin, ChineEn 2012, j’ai été choisie pour être dirigeante d’Église. Avec la direction de Dieu, le travail d’évangélisation de notre...
Nous accueillons tous les chercheurs qui désirent ardemment l'apparition de Dieu !
En juin 2021, j’ai été élue dirigeante d’Église. À l’époque, c’était honnêtement assez inattendu, car j’étais plutôt jeune par rapport aux autres dirigeants, et comme mon entrée dans la vie était assez superficielle, je ne savais pas si j’allais être capable de gérer ce devoir. Mais quand j’ai vu combien de frères et sœurs avaient voté pour moi, j’ai senti que tout le monde m’approuvait, j’ai donc accepté ce devoir. J’ai continué à m’équiper activement des vérités-principes et, quand je rencontrais des problèmes que je ne comprenais pas, je cherchais rapidement de l’aide auprès d’autres personnes. Ainsi, j’ai progressivement acquis une meilleure compréhension de la façon de travailler dans l’Église. Un jour, une sœur qui était ma partenaire de travail m’a dit : « Le dirigeant supérieur a dit que tu étais tournée vers le progrès et que tu étais capable de surmonter activement les difficultés. C’est très bien. » J’étais vraiment heureuse d’entendre ça, et je ne m’attendais pas à recevoir de tels éloges de la part de la direction, et il semblait que j’étais à leurs yeux une personne qui poursuivait la vérité et qui tenait à s’améliorer, et je me suis décidée à continuer de travailler dur. Mais peu de temps après, des problèmes ont commencé à surgir dans mon travail, les uns après les autres. Les superviseurs que j’avais choisis ne faisaient pas de travail concret, et je ne suivais pas et ne supervisais pas continuellement leur travail, ce qui a entraîné de graves pertes dans le travail. Le dirigeant m’a reproché d’avoir été irresponsable dans mon devoir, en me qualifiant de gratte-papier qui ne protégeait pas le travail de l’Église. J’ai ressenti un pincement de culpabilité face à ma négligence et je me suis inquiétée de ce que le dirigeant penserait de moi. Allait-il penser que je n’avais pas respecté les principes dans la sélection du personnel ? Allait-il me renvoyer parce que je n’étais pas apte à diriger ? Qu’est-ce que mes frères et sœurs penseraient de moi si j’étais vraiment renvoyée ? Diraient-ils qu’ils avaient eu tort de m’élire dirigeante ? Je me suis sentie vraiment abattue. J’ai repensé à la manière dont le dirigeant m’avait traitée de gratte-papier irresponsable dans son devoir. Je ne voulais pas que cette étiquette me colle à la peau, alors je me suis dit que l’évaluation du dirigeant à mon égard pourrait peut-être changer si j’étais performante à l’avenir, et que les frères et sœurs me respecteraient à un tout autre niveau. Ils pourraient dire que même après avoir été émondée, je n’avais pas baissé les bras de façon négativiste, mais que j’avais au contraire continué à faire mon devoir normalement, ce qui montrait que j’étais une personne qui poursuivait la vérité. Ainsi, ma réputation d’être une personne motivée et tournée vers le progrès serait préservée. En gardant ces choses à l’esprit, j’ai tenté de résoudre les problèmes dans mon travail aussi rapidement que possible.
Plus tard, le dirigeant supérieur m’a souvent demandé des nouvelles de mon travail, mais je ne faisais plus les choses de manière aussi directe qu’auparavant. Au lieu de m’adresser rapidement au dirigeant si je rencontrais des problèmes ou des difficultés, j’avais maintenant peur qu’il ne découvre quelque chose d’autre que je n’avais pas fait convenablement. Une fois, il nous a fallu trouver quelqu’un pour superviser le travail des affaires générales. Ma première pensée est allée à Sœur Khloé, qui était assez douée pour s’occuper des affaires générales, elle était capable de protéger les intérêts de l’Église lorsque des événements survenaient et elle était disposée à se donner du mal dans ses devoirs sans craindre de s’épuiser. Mais je me suis alors souvenue qu’elle avait déjà été renvoyée en tant que superviseure par le passé en raison de son tempérament arrogant et de son incapacité à travailler avec les autres. Si je la promouvais à nouveau et qu’elle se comportait de la même façon, le dirigeant penserait-il que j’étais dépourvue de discernement et que je ne voyais que les apparences chez les gens ? Je n’étais pas certaine que Khloé soit à même d’assumer à nouveau un rôle de superviseure, mais j’avais trop peur de demander conseil au dirigeant, et le processus de sélection d’un superviseur est resté inachevé. Il y avait aussi la question de la dirigeante d’Église, Harlow. Six frères et sœurs s’étaient réunis pour la dénoncer pour son arrogance hors du commun, et le fait qu’elle utilisait sa position pour prendre les gens de haut et les réprimer. Je suis allée voir les chefs d’équipe et les superviseurs pour examiner la question. J’ai découvert que Harlow était en effet assez arrogante et qu’elle aimait faire la leçon aux autres, mais certains ont également dit qu’elle le faisait parce que les frères et sœurs violaient les principes. Devant ces évaluations contradictoires, je ne parvenais pas à y voir clair. J’ai songé à demander conseil au dirigeant supérieur, mais j’ai alors pensé au fait que j’avais commis plusieurs erreurs à la suite dans mon discernement des gens, que le dirigeant avait échangé avec moi sur de nombreux principes et que, pourtant, confrontée à une situation, j’étais toujours incapable de discerner les gens, et je me demandais s’il penserait que j’étais d’un calibre médiocre, incapable de comprendre les principes, peu importe dans quelle mesure on les échangeait avec moi, et que j’étais inapte à être dirigeante. J’ai hésité, en me disant que je devrais d’abord l’observer davantage et ne la renvoyer qu’une fois que j’aurais pleinement compris la situation.
Un jour, le dirigeant a remarqué des problèmes dans mon choix de la personne responsable de superviser le travail des affaires générales et il a échangé avec moi sur les principes de la gestion de ces questions. Il a dit : « Le fait d’avoir été renvoyé auparavant ne signifie pas que l’on ne peut plus être superviseur, ça dépend de la repentance de la personne. Par ailleurs, la sélection d’un superviseur des affaires générales est différente de celle d’un dirigeant d’Église. La priorité n’est pas sa poursuite de la vérité, mais de savoir si c’est la bonne personne et si elle peut maintenir le travail de l’Église. De plus, si la plupart des gens estiment qu’elle a du talent pour ça, alors elle peut pratiquer. Si tu n’es pas sûre, tu peux demander à d’autres frères et sœurs de coopérer avec elle. » Après cet échange, il m’a également émondée pour avoir retardé le problème pendant si longtemps sans chercher de solutions. Il m’a dit que je me montrais trop égoïste et que je ne protégeais pas le travail de l’Église. Je ne m’attendais pas à ce que de plus en plus de problèmes soient exposés à mesure que j’essayais de me déguiser et de dissimuler des choses. Inconsciemment, j’avais commencé à prêter plus d’attention au ton et aux expressions des gens. Lorsque le dirigeant me parlait, j’essayais de deviner au ton de sa voix si l’idée qu’il se faisait de moi s’empirait, s’il évaluait mon aptitude en tant que dirigeante, et s’il allait cesser de me confier des responsabilités. À ma grande surprise, un mois plus tard, le dirigeant a pris des dispositions pour que je supervise du travail vidéo. Je me suis dit : « Si je ne m’en sors pas bien cette fois-ci, je risque vraiment d’être renvoyée. Il faut que je saisisse cette occasion et que je sois performante. » Cependant, je n’étais pas habituée au travail vidéo et lorsque des problèmes sont apparus, je n’ai pas su comment les résoudre. Lorsque le dirigeant me questionnait sur l’état d’avancement du travail, je devenais très nerveuse, de peur qu’il ne remarque quelque chose que je n’avais pas fait convenablement. Alors, lorsque je faisais mon rapport sur le travail, je ne communiquais que les bonnes nouvelles et pas les mauvaises, en soulignant les domaines qui avaient connu des avancées, et je disais que je travaillais dur pour trouver des solutions dans les domaines qui ne progressaient pas. Pendant cette période, j’ai ressenti une immense pression. Plusieurs fois, j’ai envisagé d’avouer au dirigeant que j’étais incapable de gérer ce poste, mais je craignais qu’en faisant cela, je perdrais définitivement ma seule qualité rédemptrice, celle d’être tournée vers le progrès, aux yeux des autres. Six mois se sont écoulés sans que je ne les voie passer, et le travail qui aurait dû prendre un mois avait été retardé de six mois. Mon état n’a cessé de se dégrader. Lorsque je mangeais et buvais les paroles de Dieu, je ne recevais aucune lumière et je somnolais sans cesse, et j’avais la sensation que mes prières étaient déconnectées de Dieu. Je ressentais une anxiété et un malaise constants.
À un moment donné, le dirigeant m’a interrogée de façon un peu plus poussée ; il a découvert ces problèmes et il m’a renvoyée. Il a dit : « Tu ne poursuis pas la vérité et tu es trop vaniteuse. Tu préfères faire ton devoir seule, tu ne consultes jamais les autres et tu ne cherches pas leur aide, et tu es trop préoccupée par ta réputation et ton statut ! Compte tenu de ton comportement constant, tu ne peux pas continuer à être dirigeante. » Au moment où j’ai été renvoyée, il était clair pour moi que le juste tempérament de Dieu s’abattait sur moi, et que je ne pouvais m’en prendre qu’à moi-même. Peu de temps après, j’ai appris que Harlow s’était déchaînée dans l’Église, en formant des cliques, et en réprimant et en tourmentant ceux qui ne la suivaient pas. L’Église était en pleine tourmente, les gens étaient devenus désorganisés, et elle avait fini par être isolée à cause de son humanité malfaisante. Confrontée à ce résultat, j’ai été profondément déstabilisée. Mon incapacité à voir clairement ses problèmes et à demander conseil en temps voulu avait laissé une personne malfaisante dans une position de direction, ce qui avait causé du tort aux frères et sœurs pendant très longtemps et gravement perturbé le travail de l’Église. En songeant à quel point j’avais mal fait mes devoirs, j’étais emplie de culpabilité et j’avais trop honte pour regarder les frères et sœurs en face. Je n’arrêtais pas de me demander : comment en suis-je arrivée là ? Je me suis agenouillée devant Dieu pour prier, en Lui demandant de m’éclairer et de me guider afin que je puisse réellement réfléchir à tout ce que j’avais fait et le comprendre.
Plus tard, en lisant quelques paroles de Dieu, j’ai commencé à gagner une certaine compréhension de mon état. Dieu Tout-Puissant dit : « Si vous êtes un dirigeant ou un ouvrier, avez-vous peur que la maison de Dieu se renseigne sur votre travail et le supervise ? Avez-vous peur que la maison de Dieu découvre des lacunes et des erreurs dans votre travail et vous émonde ? Avez-vous peur que le Supérieur, ayant pris connaissance de votre véritable calibre et de votre véritable stature, vous voit sous un jour différent et n’envisage pas de promotion pour vous ? Si tu as ces craintes, cela prouve que tes intentions ne visent pas l’intérêt du travail d’Église, que tu travailles pour la réputation et le statut, ce qui montre que tu as le tempérament d’un antéchrist. Si tu as le tempérament d’un antéchrist, tu vas probablement suivre le chemin des antéchrists et commettre tout le mal qu’ils causent. Si, dans ton cœur, tu ne crains pas que la maison de Dieu supervise ton travail, et que tu es capable d’apporter de vraies réponses aux questions et interrogations du Supérieur, sans rien cacher, et que tu dis tout ce que tu sais, alors, peu importe si ce que tu dis est vrai ou faux, et quelle que soit la corruption que tu as révélée – même si tu as révélé le tempérament d’un antéchrist –, tu ne seras absolument pas défini comme étant un antéchrist. Ce qui est essentiel, c’est de savoir si tu es capable de connaître ton propre tempérament d’antéchrist, et si tu es capable de chercher la vérité pour résoudre ce problème. Si tu es quelqu’un qui accepte la vérité, ton tempérament d’antéchrist peut être corrigé. Si tu sais parfaitement bien que tu as un tempérament d’antéchrist, et que, pourtant, tu ne cherches pas la vérité pour le corriger, si tu essaies même de dissimuler les problèmes qui surviennent et de fuir les responsabilités, ou de mentir à ce propos, et si tu n’acceptes pas la vérité quand tu es soumis à l’émondage, alors il s’agit là d’un sérieux problème, et tu n’es guère différent d’un antéchrist. Sachant que tu as le tempérament d’un antéchrist, pourquoi n’oses-tu pas y faire face ? Pourquoi ne peux-tu pas aborder le sujet franchement et te dire : “Si le Supérieur s’enquiert de mon travail, je dirai tout ce que je sais, et même si les mauvaises choses que j’ai faites sont révélées et que le Supérieur ne se sert plus de moi quand il le saura, et que je perds mon statut, je dirai toujours clairement ce que j’ai à dire” ? Ta peur de la supervision et des enquêtes sur ton travail par la maison de Dieu prouve que tu chéris ton statut plus que la vérité. N’est-ce pas le tempérament d’un antéchrist ? Chérir le statut par-dessus tout est le tempérament d’un antéchrist » (La Parole, vol. 4 : Exposer les antéchrists, Point 8 : Ils voudraient que les autres ne se soumettent qu’à eux, et non à la vérité ou à Dieu (Partie II)). La parole de Dieu exposait mon état. Je craignais que le dirigeant ne supervise mon travail et ne se renseigne à son sujet, principalement parce que j’étais mue par des préoccupations liées à ma réputation et à ma position. Je craignais que le dirigeant découvre des problèmes dans mon travail et me renvoie, et je craignais de perdre ma position. Alors, quand j’étais confrontée à des déviations et à des problèmes dans mon travail, je faisais de mon mieux pour les camoufler, et du moment que je pouvais conserver ma position, je préférais recourir à la fourberie et retarder le travail. Le fait que j’aime à ce point ma position révélait mon tempérament d’antéchrist. Je sentais que les frères et sœurs et le dirigeant avaient une bonne opinion de moi, alors j’avais voulu obtenir de bons résultats dans tous les aspects afin de conserver ma position de dirigeante. En raison de mon irresponsabilité dans mon devoir et de mon manque de principes dans la sélection des personnes, j’avais été émondée à plusieurs reprises. Après ça, j’avais commencé à me demander si le dirigeant n’allait pas dire que mon calibre était insuffisant et me renvoyer, en me faisant perdre ma position. C’était la source de ma peur. J’avais donc commencé à me déguiser et à me dissimuler. Quand le dirigeant assurait le suivi du travail et posait des questions, je prenais le temps de réfléchir avant de répondre, en tentant de minimiser l’exposition des problèmes. Je rendais compte des progrès accomplis dans mon travail, mais je taisais les problèmes. Lorsque je rencontrais des gens ou des questions qui n’étaient pas claires pour moi, je ne cherchais pas à obtenir des conseils. Au lieu de ça, je me déguisais pour faire croire au dirigeant que j’étais capable de gérer et de résoudre de vrais problèmes. Et même lorsque certains travaux étaient au point mort et ne pouvaient pas avancer, je continuais à me déguiser et je ne cherchais pas à me faire conseiller, tout ça pour protéger mon statut. Aveuglée par mon souci de préserver ma réputation et mon statut, j’avais commis une succession d’erreurs, ce qui avait entraîné des retards dans de nombreux travaux et les avait empêchés de progresser normalement. Je me suis souvenue des paroles de Dieu qui disent : « Pourquoi ne peux-tu pas aborder le sujet franchement et te dire : “Si le Supérieur s’enquiert de mon travail, je dirai tout ce que je sais, et même si les mauvaises choses que j’ai faites sont révélées et que le Supérieur ne se sert plus de moi quand il le saura, et que je perds mon statut, je dirai toujours clairement ce que j’ai à dire” ? Ta peur de la supervision et des enquêtes sur ton travail par la maison de Dieu prouve que tu chéris ton statut plus que la vérité. N’est-ce pas le tempérament d’un antéchrist ? Chérir le statut par-dessus tout est le tempérament d’un antéchrist. » Face à l’exposition des paroles de Dieu, je me suis sentie profondément condamnée. Dieu nous enseigne que nous devons parler honnêtement lorsque nous rendons compte de notre travail, quels que soient les problèmes. Même si ça implique de perdre notre statut, il nous faut parler clairement des problèmes et ne pas les dissimuler, et rendre compte des problèmes honnêtement. Toutefois, j’avais agi de manière tout à fait opposée. J’avais préféré mentir, me déguiser et tromper, en sacrifiant mon intégrité pour protéger ma réputation et mon statut. Les paroles de Dieu m’ont pleinement convaincue, en me montrant que ce que je poursuivais et appréciais réellement n’était que la réputation et le statut.
Plus tard, j’ai lu un autre passage des paroles de Dieu : « Les antéchrists sont foncièrement malveillants ; ils ne possèdent pas un cœur honnête, d’amour de la vérité, ni d’amour des choses positives. Ils vivent souvent dans des recoins sombres ; ils n’agissent pas avec une attitude d’honnêteté, ils ne parlent pas avec sincérité et ils nourrissent des cœurs malveillants et fourbes à la fois envers les autres et envers Dieu. Ils veulent tromper les autres, et tromper Dieu aussi. Ils n’acceptent pas le contrôle des autres, et encore moins l’examen de Dieu. […] Une fois qu’une personne de ce genre a acquis un statut, elle devient encore plus subreptice dans son comportement avec les autres. Elle veut protéger ses ambitions, sa réputation, son image et son nom, son statut et sa dignité, etc. C’est pourquoi elle ne veut pas être franche sur sa manière de faire les choses ou sur ses motivations pour les faire. Même lorsqu’elle commet une erreur, qu’elle révèle un tempérament corrompu ou que les motifs et les intentions derrière ses actions sont mauvais, elle ne veut pas s’ouvrir et permettre aux autres de le découvrir, et elle donne souvent une apparence d’innocence et de perfection pour tromper les frères et les sœurs. Et avec le Supérieur et Dieu, elle ne dit que des choses agréables et utilise souvent des tactiques trompeuses et des mensonges pour maintenir ses relations avec le Supérieur. Lorsqu’elle rend compte de son travail au Supérieur et qu’elle s’adresse à Lui, elle ne dit jamais rien de désagréable, afin que personne ne puisse découvrir ses points faibles. Elle ne mentionne jamais ce qu’elle a fait en coulisses, les questions qui ont surgi dans l’Église, les problèmes ou les défauts de son travail, ou les choses qu’elle ne parvient pas à comprendre ou percer à jour. Elle ne pose jamais de questions ou ne consulte jamais le Supérieur à ces sujets, et se contente de donner une image et l’impression qu’elle est compétente dans son travail, qu’elle est capable de l’assumer entièrement. Elle ne signale aucun des problèmes qui existent dans l’Église au Supérieur, et quel que soit le chaos qui règne dans l’Église, l’ampleur des failles qui sont apparues dans son travail, ou ce qu’elle a fait exactement en coulisses, elle dissimule tout encore et encore, s’efforçant de ne jamais laisser le Supérieur avoir vent de quoi que ce soit à ce sujet ou de se tenir informé, allant même jusqu’à transférer les personnes qui sont liées à ces questions ou qui connaissent la vérité à ce sujet dans des endroits reculés, dans un effort pour dissimuler ce qui se passe réellement. De quelles pratiques s’agit-il ? Quel est ce comportement ? Est-ce le genre de manifestation que devrait avoir une personne qui recherche la vérité ? Très clairement, ce n’est pas le cas. C’est le comportement d’un démon. Les antéchrists feront tout leur possible pour dissimuler, pour couvrir tout ce qui pourrait avoir un impact sur leur statut ou leur réputation, en cachant ces choses aux autres et à Dieu. Ils trompent ceux qui sont au-dessus et au-dessous d’eux » (La Parole, vol. 4 : Exposer les antéchrists, Point 11). Dieu dissèque la nature malveillante des antéchrists. Lorsqu’il s’agit de leur propre statut et de leur réputation, les antéchrists, même s’ils ont commis des erreurs ou fait le mal, font pourtant beaucoup d’efforts pour déguiser, tromper et créer de fausses apparences pour les autres. Ils trompent à la fois leurs supérieurs et ceux qui leur sont subordonnés, sans jamais chercher la vérité pour résoudre ou corriger les choses, ni réfléchir ou se repentir. Depuis que j’avais été émondée, j’avais commencé à suspecter que le dirigeant avait une piètre opinion de moi. Par la suite, que ce soit en parlant, en agissant ou en rendant compte de mon travail, ma principale préoccupation avait été de maintenir ma réputation et mon statut. Lorsque je ne parvenais pas à percer les gens à jour et que je ne savais pas comment gérer les situations de manière appropriée, je ne cherchais pas à obtenir de l’aide ou à en faire part au dirigeant, mais au lieu de ça, j’ignorais les problèmes et les mettais de côté, ce qui retardait le travail. Lorsque le travail vidéo connaissait des difficultés et que je ne savais pas comment procéder, je ne cherchais toujours pas à me faire conseiller et je ne rendais pas compte honnêtement des problèmes ou de la situation réelle au dirigeant. La pensée qui me traversait le plus l’esprit était que, en tant que dirigeante, si je ne parvenais pas à résoudre ces problèmes, je risquais d’être renvoyée. Ainsi, quelle que soit l’importance du travail, j’avais continué à protéger ma réputation et mon statut, en utilisant diverses tromperies pour me présenter comme étant capable de résoudre les problèmes, ce qui avait retardé le travail vidéo de pas moins de six mois. En substance, je mentais comme un arracheur de dents et je trompais mes supérieurs et mes subordonnés. J’ai vu que mon tempérament était vraiment malveillant et fourbe ! J’ai réfléchi à mes anciennes expériences professionnelles dans le monde. Chaque fois que des dirigeants venaient inspecter le travail et évaluer les unités exceptionnelles, dès lors que nous apprenions sur quoi porterait l’inspection, nous faisions des heures supplémentaires pour ajouter diverses ressources factices afin de faire face à l’inspection, et nous effacions toutes les traces des éléments qui présentaient des performances médiocres ou les problèmes signalés. De cette manière, nous parvenions généralement à nous tirer des inspections et à recevoir le titre d’« unité exceptionnelle ». Sous l’influence d’une telle tendance malfaisante, les gens ne se concentrent plus sur le fait de parler ou de faire les choses honnêtement ; ils se trompent les uns les autres et emploient tous les moyens à leur disposition pour atteindre leurs objectifs. J’étais incapable de discerner les choses positives des choses négatives avant d’accepter l’œuvre de Dieu des derniers jours. Je me conformais aux tendances malfaisantes du monde et je vivais sans aucune ressemblance humaine. À présent, même après avoir accepté l’œuvre de Dieu des derniers jours pendant de nombreuses années, après avoir mangé et bu de nombreuses paroles de Dieu et compris certaines bases quant au fait d’être humain, j’avais encore recours à la fourberie et aux apparences trompeuses dans mes devoirs pour maintenir ma réputation et mon statut, en ne rendant compte que des bonnes choses et en laissant de côté les mauvaises, ce qui revenait à commettre sciemment une offense, à tromper Dieu et à m’opposer à Lui. En réfléchissant à ça, la crainte m’a envahie. Par le passé, quand j’avais entendu parler du fait que Dieu exposait le comportement des antéchrists, j’avais toujours associé ces paroles à ceux qui commettaient de nombreux maux et qui étaient clairement des antéchrists, sans jamais m’y identifier sérieusement. À présent, à travers l’exposition des paroles de Dieu et la révélation des faits, je voyais que j’avais effectivement le tempérament et les comportements d’un antéchrist. J’ai prié Dieu avec insistance dans mon cœur, avec le souhait de me repentir et de changer ; je ne voulais plus me conduire de la sorte.
Plus tard, j’ai lu quelques passages des paroles de Dieu, qui m’ont permis de mieux comprendre mes problèmes et de trouver un chemin de pratique. Dieu Tout-Puissant dit : « Certains sont promus et cultivés par l’Église, c’est pour eux une bonne occasion de se former. C’est une bonne chose. On peut dire qu’ils ont été élevés et honorés par Dieu. Alors, comment devraient-ils faire leur devoir ? Le premier principe qu’ils doivent respecter est de comprendre la vérité – quand ils ne comprennent pas la vérité, ils doivent chercher la vérité, et s’ils ne comprennent toujours pas après avoir cherché par eux-mêmes, ils peuvent trouver quelqu’un qui comprend la vérité avec qui échanger et chercher, ce qui permettra de résoudre le problème plus rapidement et dans de meilleurs délais. Si tu te préoccupes uniquement de passer plus de temps à lire les paroles de Dieu par toi-même et de consacrer plus de temps à méditer ces paroles afin de parvenir à comprendre la vérité et de résoudre le problème, c’est trop lent. Comme le dit le dicton : “Des remèdes trop lents à agir ne peuvent répondre aux besoins urgents.” Si, en ce qui concerne la vérité, tu souhaites faire des progrès rapides, alors il faut que tu apprennes à travailler en harmonie avec les autres, à poser plus de questions et à chercher davantage. Ce n’est qu’alors que ta vie grandira rapidement et que tu pourras résoudre les problèmes promptement, sans aucun retard pour l’un ou pour l’autre. Parce que tu viens juste d’être promu, que tu es toujours en probation, que tu ne comprends pas vraiment la vérité et ne possèdes pas la vérité-réalité – parce que tu n’as toujours pas cette stature –, ne pense pas que ta promotion signifie que tu possèdes la vérité-réalité, ce n’est pas le cas. Si tu es promu et cultivé, c’est simplement parce que tu as le sens du fardeau dans le travail et que tu possèdes le calibre d’un dirigeant. Tu dois avoir cette raison. Si, ayant été promu et étant devenu dirigeant ou ouvrier, tu commences à affirmer ton statut, et que tu crois que tu es quelqu’un qui poursuit la vérité et que tu possèdes la vérité-réalité – et si, quels que soient les problèmes que rencontrent les frères et sœurs, tu prétends les comprendre et tu te prétends spirituel, alors c’est une façon d’être qui est stupide et semblable à celle des pharisiens hypocrites. Tu dois parler et agir honnêtement. Lorsque tu ne comprends pas, tu peux demander aux autres ou aller chercher l’échange du Supérieur : il n’y a rien de honteux dans tout cela. Même si tu ne demandes rien, le Supérieur connaîtra tout de même ta véritable stature et saura que la vérité-réalité est absente chez toi. Chercher et échanger sont ce que tu dois faire : telle est la raison que l’on devrait trouver dans l’humanité normale et le principe auquel devraient adhérer les dirigeants et les ouvriers. Il n’y a pas là de quoi être gêné. Si tu penses qu’une fois que tu es un dirigeant, il est gênant de ne pas comprendre les principes, ou de poser sans cesse des questions aux autres ou au Supérieur, et que tu crains que les autres te regardent de haut, si bien que tu joues la comédie pour faire croire que tu comprends tout, que tu sais tout, que tu as des capacités de travail, de faire n’importe quel travail d’Église, en prétendant n’avoir besoin de personne pour te le rappeler ou échanger avec toi, ni pour subvenir à tes besoins ou te soutenir, alors c’est dangereux, et tu es trop arrogant et suffisant, trop dépourvu de raison. Tu ne connais même pas ta propre mesure : et cela ne fait-il pas de toi une personne confuse ? De telles personnes ne remplissent pas vraiment les critères pour être promues et cultivées par la maison de Dieu, et tôt ou tard elles seront renvoyées et éliminées » (La Parole, vol. 5 : Les responsabilités des dirigeants et des ouvriers, Les responsabilités des dirigeants et des ouvriers (5)). « Certains disent aussi : “Lorsque nous rencontrons des difficultés ou des problèmes, nous devons d’abord réfléchir pendant quelques jours, et ne le signaler que si nous ne trouvons vraiment pas de solution.” On pourrait croire que ceux qui disent cela ont une raison de le faire, mais ces jours de réflexion ne risquent-ils pas de provoquer des retards ? Peux-tu être certain que quelques jours de réflexion résoudront le problème ? Peux-tu garantir que cela n’entraînera pas de retard supplémentaire ? D’autres disent : “Si nous signalons un problème immédiatement, le Supérieur ne pensera-t-il pas que nous ne sommes même pas capables de percer à jour ce problème mineur ? Ne va-t-il pas nous traiter d’idiots et d’ignorants et nous émonder ?” Ils ont tort de dire cela, que tu signales ou non le problème, la qualité de ton calibre est déjà évidente ; le Supérieur sait tout. Penses-tu que le Supérieur t’estimera si tu ne signales pas un problème ? Si tu signales le problème et que cela n’a pas entraîné de retard dans des affaires importantes, la maison de Dieu ne t’en tiendra pas pour responsable. Cependant, si tu ne le signales pas et que cela entraîne des retards, tu seras tenu directement pour responsable et tu seras immédiatement renvoyé, pour ne plus jamais être utilisé. Le peuple élu de Dieu te considérera également comme un ignorant, un idiot, un faible d’esprit et un déséquilibré et il te haïra et te méprisera à jamais. […] À présent, vous devriez tous être capables de percer à jour ce genre de problèmes, n’est-ce pas ? Lorsque vous rencontrez des problèmes que vous ne pouvez pas gérer, signalez-les rapidement et échangez pour trouver des solutions avec le groupe décisionnaire. Si le groupe décisionnaire ne peut pas les gérer, signalez-les immédiatement au Supérieur ; ne vous inquiétez pas de ceci ou de cela, le plus important est de pouvoir résoudre rapidement le problème » (La Parole, vol. 5 : Les responsabilités des dirigeants et des ouvriers, Les responsabilités des dirigeants et des ouvriers (7)). Les paroles de Dieu m’ont réveillée. Être un dirigeant dans la maison de Dieu repose simplement sur le fait de pratiquer et de se faire cultiver. Ainsi, quand on est confronté à des confusions et à des difficultés dans son devoir, il faut coopérer et discuter avec d’autres personnes et chercher de l’aide auprès des supérieurs afin d’éviter de retarder le travail. Si une personne se place toujours sur un piédestal, en pensant qu’avoir été choisie comme dirigeante signifie qu’elle devrait dès lors comprendre les vérités-principes et avoir la capacité de résoudre des problèmes, et qu’elle se déguise et refuse de chercher des solutions même lorsqu’elle rencontre des problèmes qu’elle ne comprend pas, alors une personne de ce type est dénuée de raison et protège à l’excès sa propre réputation et son propre statut, et elle peut facilement retarder le travail de l’Église. J’en étais un exemple vivant. Je savais que ma compréhension de la vérité était superficielle et que beaucoup de choses me faisaient défaut, mais je pensais que, étant donné que j’avais été choisie comme dirigeante, je devais donc avoir une meilleure compréhension des vérités-principes que les frères et sœurs et avoir plus de capacités qu’eux pour résoudre les problèmes, et que, de cette manière, les frères et sœurs pourraient être conquis et que le dirigeant supérieur pourrait m’approuver. Quand j’avais ce point de vue erroné, je ne pouvais m’empêcher de vouloir me déguiser. Quand des problèmes que je ne savais pas comment résoudre surgissaient dans mes devoirs, je n’arrivais jamais à m’exprimer et à chercher de l’aide, de peur de passer pour une incompétente et d’être embarrassée, j’essayais donc toujours de résoudre les problèmes par moi-même. Je m’enlisais dans le bourbier de la réputation et du statut, comme si mon esprit était embrouillé. Je continuais à me déguiser et à tromper les gens, ce qui retardait gravement le travail de l’Église. En y réfléchissant, je me suis donné quelques gifles vigoureuses et je me suis sentie profondément coupable et pleine de remords. J’ai alors lu ce passage des paroles de Dieu : « Quelles que soient les confusions ou les difficultés que tu rencontres dans ton travail, tant qu’elles peuvent affecter le peuple élu de Dieu dans l’exécution de ses devoirs ou entraver le progrès normal du travail de l’Église, les problèmes doivent être résolus rapidement. Si tu ne peux pas résoudre un problème par toi-même, tu dois chercher quelques personnes qui comprennent la vérité pour le résoudre avec toi. Si même cela ne fonctionne pas, alors tu dois prendre le problème en main et le rapporter au Supérieur pour chercher une solution. C’est la responsabilité et l’obligation des dirigeants et des ouvriers » (La Parole, vol. 5 : Les responsabilités des dirigeants et des ouvriers, Les responsabilités des dirigeants et des ouvriers (7)). Grâce aux paroles de Dieu, j’ai compris un principe. Pour les questions relatives au travail et aux devoirs dans l’Église, quelle que soit la situation, dès lors qu’un problème affecte les devoirs du peuple élu de Dieu, ou qu’il entrave le déroulement normal du travail de l’Église, il doit être résolu dans les meilleurs délais. Quant aux choses que nous ne comprenons pas, il faut consulter des personnes bien informées et trouver des solutions aussi rapidement que possible. Toutefois, j’avais toujours cru que j’enquêtais sur ces problèmes et que je les résolvais activement lorsque j’y étais confrontée, mais je ne m’étais jamais demandé si je pouvais réellement les résoudre, ou bien, même si je le pouvais, combien de temps ça prendrait, ou si ça retarderait le travail. Je ne tenais pas compte de ces facteurs et, sans le savoir, je manquais le meilleur moment pour traiter les problèmes. Je n’accomplissais pas activement le travail, et je faisais encore moins face aux difficultés sans détour. Je travaillais clairement de manière indépendante et imprudente, ce qui n’était pas responsable vis-à-vis du travail de l’Église et le retardait grandement. J’étais vraiment absurde et stupide ! En fait, lorsque les dirigeants s’enquièrent du travail ou nous demandent si nous avons des problèmes, c’est dans l’espoir que nous évoquions les réels problèmes et que nous cherchions à échanger. Ça nous aide à comprendre la vérité, à saisir les principes et à apprendre progressivement à gérer du travail réel. C’est une chose très positive ! Plus j’y songeais, plus je regrettais ce que j’avais fait. Si j’avais reconnu l’essence et les conséquences du fait de me déguiser et si j’avais changé de cap plus tôt, je n’aurais pas causé tant de pertes au travail, et je n’aurais pas manqué tant d’occasions de gagner la vérité.
Un jour, le dirigeant a pris des dispositions pour que je supervise les travaux de peinture et nous avons échangé de nombreuses fois sur les principes et les exigences. Sur le coup, j’ai eu le sentiment de bien comprendre ces choses, mais quand j’ai réellement commencé à travailler, je me suis rendu compte que je ne comprenais pas certains détails et que je ne savais pas comment procéder. Je me suis à nouveau sentie anxieuse. Lorsque le dirigeant avait échangé avec moi, j’avais affirmé avec insistance que je comprenais, mais à présent que je faisais effectivement le travail, je ne savais pas ce que je faisais. Que fallait-il faire ? Je voulais à nouveau interroger le dirigeant, mais je me suis alors demandé si le dirigeant allait répondre : « Comment se fait-il que tu ne comprennes toujours pas, alors que j’ai échangé avec toi en détail et que je me suis répété plusieurs fois ? On dirait que ton calibre est vraiment insuffisant ! » Alors, une fois de plus, je n’ai pas osé demander de l’aide au dirigeant. Trois jours ont passé, et j’étais très anxieuse. Je me suis donc agenouillée pour prier Dieu et je Lui ai fait part de mon état. Après avoir prié, j’ai songé à mon expérience des échecs précédents et je me suis souvenue de ces paroles de Dieu : « Quelles que soient les confusions ou les difficultés que tu rencontres dans ton travail, tant qu’elles peuvent affecter le peuple élu de Dieu dans l’exécution de ses devoirs ou entraver le progrès normal du travail de l’Église, les problèmes doivent être résolus rapidement. Si tu ne peux pas résoudre un problème par toi-même, tu dois chercher quelques personnes qui comprennent la vérité pour le résoudre avec toi. Si même cela ne fonctionne pas, alors tu dois prendre le problème en main et le rapporter au Supérieur pour chercher une solution. C’est la responsabilité et l’obligation des dirigeants et des ouvriers » (La Parole, vol. 5 : Les responsabilités des dirigeants et des ouvriers, Les responsabilités des dirigeants et des ouvriers (7)). Les paroles de Dieu m’ont rappelé que si je ne cherchais pas rapidement la compréhension, au fil des jours, si le travail n’était pas achevé à temps, les avancées seraient retardées. En prenant conscience de ça, j’ai décidé d’être honnête et de ne pas me dissimuler ou me déguiser, peu importe l’opinion que le dirigeant pourrait avoir de moi. J’ai alors sollicité l’aide du dirigeant, et il a à nouveau échangé sur tout avec moi, et le problème a été résolu immédiatement. J’ai fait une prière pour rendre grâce à Dieu et Le louer. Pratiquer de la sorte était vraiment doux et libérateur.
En réfléchissant à cette expérience, je suis profondément reconnaissante à Dieu d’avoir fait les arrangements nécessaires pour que je traverse toutes ces situations. Bien qu’elles aient révélé une grande partie de ma corruption, elles ont été pour moi les meilleures occasions de me comprendre. Grâce à l’exposition, à l’éclairage et à la direction des paroles de Dieu, j’ai acquis une meilleure compréhension de moi-même, j’ai tiré quelques leçons, et j’ai trouvé des moyens de mener à bien mes devoirs correctement. Je rends grâce à Dieu du fond du cœur.
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