Témoignage chrétien : Comment abandonner la haine entre les concurrents du même métier ?
Xiao Wu J’étais mon propre patron. Je vendais principalement des tissus de toutes sortes et confectionnais aussi des vêtements pour mes...
Nous accueillons tous les chercheurs qui désirent ardemment l'apparition de Dieu !
Je suis née dans une famille ordinaire de fermiers et mes parents m’ont appris depuis mon plus jeune âge que je devais étudier durement pour que, devenue adulte, je puisse faire quelque chose de moi, vivre une bonne vie et ne pas finir comme eux, sans instruction, et seulement capable de vivre de l’agriculture, puisque ce n’était pas seulement dur et épuisant mais aussi méprisé des autres. Alors, je me suis promis que j’étudierais durement et que je gagnerais beaucoup d’argent pour vivre une vie meilleure. Adulte, je suis devenue médecin. Après m’être mariée, j’ai travaillé dur pour améliorer mes compétences professionnelles, j’ai beaucoup étudié et réussi mes examens de certification. J’ai passé mes journées comme un robot, dormant parfois seulement deux heures par nuit. Grâce à mon dur labeur, je suis entrée dans un hôpital d’une grande ville et j’ai commencé à gagner un bon salaire. Parce que je gagnais beaucoup, mes voisins, mes proches et mes amis m’enviaient tous. Je me sentais heureuse et j’avais un sentiment de supériorité et je pensais : « Avoir de l’argent est vraiment super ! » Même si j’ai développé de graves insomnies parce que je travaillais trop et que je n’arrivais pas dormir la nuit, je pensais encore que ce que j’avais fait en valait la peine. En mars 2013, une collègue et moi avons ouvert une grande clinique de consultation externe. Nous avions plusieurs départements et quelques médecins à la retraite et les affaires marchaient bien. Pendant un dîner, ma famille, mes amis et des camarades de classe ont tous loué mes capacités, en disant : « Tu es si jeune et tu as déjà une maison et une voiture et maintenant tu as ouvert une grande clinique. Tu as vraiment accompli beaucoup pour quelqu’un de ton âge ! » J’étais tellement heureuse et je voulais que mes affaires se développent et s’améliorent encore plus. Plus tard, je suis devenue la représentante légale de la clinique et j’en ai géré tous les aspects, grands et petits. A cette époque-là, j’avais accepté l’œuvre de Dieu Tout-Puissant des derniers jours depuis plus de deux mois et grâce aux réunions et aux lectures des paroles de Dieu, j’ai compris que tout ce que j’avais venait de Dieu et que Dieu est souverain sur tout, pourvoit à tout et contrôle tout. Dieu m’avait fait entrer dans Sa maison et m’avait donné la chance d’être sauvée et je me sentais très chanceuse. Durant les réunions, je participais activement à l’échange et chaque réunion m’apportait une joie immense et de nombreux gains. Je profitais vraiment de jours comme ceux-là et même si mon travail m’occupait beaucoup, j’essayais toujours d’organiser mon temps pour assister aux réunions.
Trois mois plus tard, le dirigeant m’a demandé si je voulais bien prendre en charge les réunions du groupe d’accueil et suivre le travail d’évangélisation des frères et sœurs. Je voulais vraiment pratiquer en faisant mon devoir, mais j’ai pensé à la façon dont cela c’était passé lors d’une réunion précédente : quand un collègue avait adressé un patient à la clinique, et que la clinique avait perdu plus d’un millier de yuan parce qu’ils ne pouvaient pas me joindre au téléphone. Ma collègue m’avait réprimandé avec colère à ce moment-là et m’avait dit que si ça se reproduisait, je devrais payer pour les pertes. Elle a même mis à son nom les cartes bancaires pour les transactions de la clinique. Alors, si j’acceptais ce devoir, il serait chronophage et j’aurais aussi moins de temps à la clinique. J’avais peur de l’impact sur les affaires, alors j’ai refusé. Quelque temps après, le dirigeant m’a encore approchée, en disant qu’il y avait un devoir urgent et qu’ils ne trouvaient pas la bonne personne à ce moment-là et il m’a demandé si j’étais disposée à coopérer. J’étais très partagée, parce que l’activité de la clinique était plus intense que jamais, et le corps médical devait aussi suivre une formation, j’étais la représentante légale, donc si je n’y allais pas, je devrais réapprendre pour pouvoir pratiquer et cela retarderait les affaires de plusieurs mois et provoquerait d’énormes pertes. Alors j’ai trouvé une excuse pour éviter encore le devoir. Ce soir-là, je me suis sentie un peu contrariée à propos de mon excuse pour éviter le devoir, alors j’ai prié Dieu : « Dieu, je veux faire mon devoir, mais la clinique m’occupe tellement et je ne peux vraiment pas partir. Je me sens vraiment bouleversée d’avoir refusé mon devoir, s’il Te plaît, guide-moi pour comprendre Ton intention. »
Plus tard, j’ai lu les paroles de Dieu : « Aujourd’hui, vous n’avez pas à répondre à des exigences supplémentaires, mais vous devez accomplir le devoir de l’homme et ce qui devrait être fait par tous les gens. Si vous êtes incapables de faire même votre devoir, ou de le faire bien, alors ne vous attirez-vous pas des problèmes ? Ne courtisez-vous pas la mort ? Comment pourriez-vous encore espérer un avenir et une expectative ? L’œuvre de Dieu est faite dans l’intérêt de l’humanité et la coopération de l’homme est donnée dans l’intérêt de la gestion de Dieu. Après que Dieu a fait tout ce qu’Il est censé faire, l’homme est tenu d’être sans failles dans sa pratique et de coopérer avec Dieu. Dans l’œuvre de Dieu, l’homme ne devrait épargner aucun effort, devrait offrir sa loyauté, et ne devrait pas se livrer à de nombreuses notions ou s’asseoir passivement et attendre la mort. Dieu peut Se sacrifier pour l’homme, alors pourquoi l’homme ne peut-il pas offrir sa loyauté à Dieu ? Dieu Se donne de cœur et d’esprit à l’homme, alors pourquoi l’homme ne peut-il pas coopérer un peu ? Dieu œuvre pour l’humanité, alors pourquoi l’homme ne peut-il pas effectuer une partie de son devoir pour le bien de la gestion de Dieu ? L’œuvre de Dieu a progressé jusqu’à aujourd’hui, et encore vous voyez, mais n’agissez pas, vous entendez, mais ne bougez pas. De telles gens ne sont-ils pas l’objet de la perdition ? Dieu S’est déjà donné complètement à l’homme, alors pourquoi, aujourd’hui, l’homme est-il incapable d’accomplir sincèrement son devoir ? Pour Dieu, Son œuvre est Sa priorité et l’œuvre de Sa gestion est de la plus haute importance. Pour l’homme, la priorité est de mettre les paroles de Dieu en pratique et de satisfaire aux exigences de Dieu. Vous devriez tous comprendre cela » (La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, L’œuvre de Dieu et la pratique de l’homme). Dieu se dévoue de tout cœur à sauver l’humanité, en en payant silencieusement le prix. Il s’est personnellement fait chair et a prononcé des millions de paroles sur cette terre, fournissant toute la vérité dont l’humanité a besoin, permettant aux gens de gagner la vérité et d’être sauvés. Mais j’ai été ingrate et pour le bien des affaires de la clinique, j’ai rejeté mon devoir plusieurs fois pour gagner plus d’argent et vivre une vie meilleure sans considérer du tout les besoins du travail de l’Église. De quelle manière étais-je quelqu’un qui croyait en Dieu ? Chaque fois que je pensais à toutes les fois où j’avais rejeté mon devoir, je me sentais profondément coupable. Je ne voulais pas vivre comme je l’avais fait avant, sans aucune conscience. A ce moment-là, j’ai eu une idée. Je pourrais mettre la clinique en location et même si je gagnais moins d’argent, cela suffirait et je pourrais faire mon devoir l’esprit tranquille. J’ai appelée ma collègue pour lui faire part de mes pensées, mais elle a dit : « Es-tu stupide ? Cette clinique a un brillant avenir, si nous continuons comme ça, nous serons riches dans deux ans et nous aurons tout ce que nous avons toujours voulu. Nous devons vivre avec un peu de réalisme. Dans cette société, personne ne te respecte sans argent ! » Les paroles de ma collègue m’ont fait hésiter et j’ai pensé : « Si je loue les parts, je ne gagnerai pas autant d’argent et je pourrais même ne pas recouvrer mon capital de départ, qu’est-ce que mes proches et mes amis penseront de moi ? » Alors, j’ai prié Dieu pour Sa direction. Je me suis souvenue d’une réunion où les frères et soeurs ont parlé de la façon de voir clair dans les plans de Satan et de rester ferme dans le témoignage dans les difficultés et les tentations, et j’ai commencé à chercher les paroles de Dieu sur ce sujet. Dieu dit : « À chaque étape de l’œuvre que Dieu accomplit sur les gens, à l’extérieur, tout apparaît comme des interactions entre les personnes, comme nées des arrangements humains ou d’une perturbation humaine. Mais, dans les coulisses, chaque étape de travail, tout ce qui arrive, est un pari que Satan a fait avec Dieu et requiert que les gens restent fermes dans leur témoignage en faveur de Dieu. Considérez quand Job a été éprouvé, par exemple : dans les coulisses, Satan faisait un pari avec Dieu, et ce qui est arrivé à Job est venu des actions des hommes et des perturbations des hommes. Derrière chaque étape du travail que Dieu fait en vous, il y a le pari de Satan avec Dieu. Derrière tout cela, il y a une bataille » (La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, Ce n’est qu’en aimant Dieu que l’on croit vraiment en Dieu). Après avoir lu les paroles de Dieu, j’ai compris que les gens, les événements et les choses que nous rencontrons tous les jours semblent être des interactions entre les gens, mais que derrière, il y a une bataille spirituelle et que nous devons rester fermes dans notre témoignage. Tout comme quand Job a été confronté à ses épreuves, il semblait qu’il avait perdu ses enfants et que des voleurs avaient pris ses biens pendant la nuit, mais, en réalité, les tentations de Satan étaient derrière cela. Quand Job est resté ferme dans son témoignage de Dieu, Satan a eu honte et a fui. En apparence, les conseils bienveillants de ma collègue semblaient être pour mon bien, mais derrière il y avait la machination de Satan, qui essayait d’utiliser l’argent pour me tenter à continuer à gérer la clinique, ce qui faisait que je n’avais pas de temps pour mes devoirs et qu’ainsi je m’éloignais de Dieu. Je ne pouvais pas céder aux ruses de Satan. Alors, j’ai dit à ma collègue, « Aide-moi à sous-louer la clinique, tu prends 60 % et je prendrai 40 % et ta part continuera à rapporter des dividendes. » Ma collègue a dit qu’elle contacterait un de ses camarades de classe pour prendre le relais, mais, contre toute attente, l’autre partie a tellement baissé le prix qu’à la fin, il ne l’a pas louée. Je ne comprenais pas très bien, pourquoi ne louait-il pas à un prix si bas ? Plus tard, j’ai découvert que le camarade de classe de ma collègue était en fait son petit-ami et qu’ils s’étaient entendus pour me presser de sous-louer la clinique à bas prix. J’étais vraiment bouleversée, j’avais le sentiment que, tandis que je l’avais traitée avec sincérité, ma collègue m’avait trompée. J’ai eu l’impression que le monde était vraiment terrifiant et qu’il n’y avait pas réellement de vrais amis ! J’ai senti qu’il était bon de croire en Dieu, car les frères et sœurs sont purs et ouverts, mangent et boivent les paroles de Dieu, échangent sur la vérité et cherchent à se débarrasser de leurs tempéraments corrompus, alors, je n’ai plus voulu gérer la clinique avec ma collègue. Mais quand j’ai pensé à toutes les économies que j’avais investies au fil des ans dans l’ouverture de la clinique et au fait que j’abandonnerais avant d’avoir recouvrer mon capital de départ, je me suis demandé comment les autres me verraient. Tout le monde dit que diriger une clinique est très rentable mais si je perds tout mon argent en le faisant, que penseront de moi mes amis et ma famille ? Que penseront-ils de moi mes confrères ? Quand j’ai réfléchi à tout cela, j’ai senti beaucoup de pression et de tristesse et j’ai senti que ma seule option était de rester dans la clinique.
En septembre 2013, un petit garçon, d’environ un an et demi, est venu à la clinique pour une perfusion intraveineuse. Le premier jour, j’ai fait un test cutané pour le médicament, et j’ai demandé aux parents de confirmer que l’enfant n’avait pas d’historique d’allergies, mais contre toute attente, le troisième matin, après avoir terminé la perfusion intraveineuse, juste quand j’allais retirer l’aiguille, ses yeux se sont révulsés, son corps a commencé à convulser et son visage a viré au violet, puis ses yeux se sont fermés fermement et il n’a pas pu crier. J’étais surprise et je me suis dépêchée de traiter cela comme une allergie médicamenteuse. Deux minutes ont passé et le visage de l’enfant a pris une nuance violet noirâtre, comme s’il allait mourir. J’étais terrifiée, dans un état de panique totale et je pensais : « C’est la fin ! C’est la fin ! Cet enfant est en train de mourir entre mes mains. Que vais-je faire s’il meurt ? » Plus j’y pensais, plus j’étais effrayée et je continuais à appeler Dieu dans mon cœur : « Dieu, s’il te plaît, veille sur cet enfant ! Dieu, s’il Te plaît, sauve-le ! » Après quelques instants, un fort pressentiment a émergé en moi, « Le fluide que cet enfant a reçu contient du potassium. Est-ce que ça pourrait être de l’hyperkaliémie ? » J’ai rapidement couru en salle de traitement, j’ai dilué l’injection de calcium et j’ai donné à l’enfant une injection intraveineuse. J’ai appelé Dieu dans mon cœur tandis que je lui faisais l’injection. A la moitié de l’injection, l’enfant a crié fort, recrachant des glaires et de la salive de sa gorge et son visage a perdu la nuance de violet noirâtre qu’il avait avant. Quand j’ai fini de donner l’injection de calcium, la main de l’enfant n’était plus rigide et était revenue normale. À ce moment-là, j’ai réalisé combien la vie est fragile. Je savais aussi que Dieu avait entendu ma prière et avait sauvé cet enfant. J’ai continué à remercier Dieu dans mon cœur. Nous avons ensuite appelé une ambulance pour emmener l’enfant à l’hôpital. Dans les jours qui ont suivi, j’étais emplie d’inquiétude et de peur et je me demandais : « Que va-t-il arriver à cet enfant ? Aura-t-il de graves séquelles ? Combien devrais-je payer en indemnisation ? » J’ai aussi eu peur de perdre tout mon argent, ma réputation et mon gain si quelque chose de potentiellement fatal comme cela arrivait de nouveau. J’ai eu l’impression qu’une pierre géante pesait sur mon cœur et j’ai passé la nuit d’après sans pouvoir dormir. Contre toute attente, seulement quelques jours plus tard, un autre accident s’est produit. Un homme d’âge moyen est venu à la clinique pour une intraveineuse. J’ai fait un test cutané avant de lui administrer le médicament et il m’a confirmé qu’il n’avait pas d’historique d’allergies. À la moitié de l’injection, l’homme a soudain eu du mal à respirer et s’est retrouvé à bout de souffle. Son visage est passé de pâle à une couleur bleuâtre foncé. J’étais effrayée et anxieuse et j’ai pensé : « Le problème de l’enfant n’est pas encore résolu et maintenant ce patient a aussi un accident ! Et il faut que ça m’arrive à moi ? » J’ai eu l’impression que mon coeur se brisait et je n’osais plus penser. J’ai prié Dieu pour Sa protection et mon cœur s’est lentement calmé. J’ai rapidement suivi les procédures de traitement des allergies et j’ai pu le sauver. Pendant cette période, il y a eu une série d’incidents à la clinique, et sans l’attention et la protection de Dieu et Sa direction pour m’éclairer pour que je pense aux mesures d’urgence, ces deux personnes seraient déjà mortes, et peu importe l’argent gagné au cours de ma vie, je n’aurais jamais les moyens de payer l’indemnisation ! C’est alors que j’ai pris conscience que cet argent, cette réputation, ce gain et cette richesse matérielle sont comme un château de cartes et qu’il peuvent disparaître à n’importe quel moment. C’est seulement en vivant devant Dieu et en faisant bien mon devoir que je pouvais avoir une vraie paix et une vraie sérénité.
Plus tard, je me suis souvenue d’un passage des paroles de Dieu que j’avais lues à une réunion : « Si Je déposais maintenant de l’argent devant vous et que Je vous laissais la liberté de choisir – sans vous condamner pour votre choix –, la plupart d’entre vous choisiraient l’argent et renonceraient à la vérité. Les meilleurs d’entre vous renonceraient à l’argent et choisiraient la vérité à contrecœur, tandis que ceux qui se trouvent entre les deux prendraient l’argent dans une main et la vérité dans l’autre. Votre vrai visage ne deviendrait-il pas alors évident ? Au moment de choisir entre la vérité et n’importe quelle chose à laquelle vous êtes fidèles, vous feriez tous ce choix et votre attitude resterait la même. N’est-ce pas le cas ? N’êtes-vous pas nombreux à avoir oscillé entre le bien et le mal ? Dans la lutte entre le positif et le négatif, le noir et le blanc, vous êtes certainement conscients de ce que vous avez choisi entre la famille et Dieu, les enfants et Dieu, la paix et la dislocation, la richesse et la pauvreté, le statut et la banalité, le soutien et le rejet par autrui, et ainsi de suite. Entre une famille paisible et une famille brisée, vous avez choisi la première, et ce, sans aucune hésitation ; entre la richesse et le devoir, vous avez là aussi choisi la première, sans même la volonté de regagner la terre ferme ; entre le luxe et la pauvreté, vous avez choisi le premier ; au moment de choisir entre vos fils, filles, époux, et Moi, vous avez choisi les premiers ; et entre la notion et la vérité, vous avez, là encore, choisi la première. Devant vos méfaits de toutes sortes, J’ai simplement perdu foi en vous. Simplement cela Me sidère que vos cœurs soient si résistants à l’adoucissement. Toutes ces années de dévouement et d’efforts semblent ne M’avoir apporté qu’abandon et résignation de votre part, mais l’espoir que Je place en vous grandit chaque jour qui passe, car Mon jour a été entièrement révélé devant tout le monde. Pourtant, vous persistez à rechercher des choses sombres et mauvaises, et vous refusez de lâcher prise. Quelle sera alors votre fin ? Y avez-vous déjà prêté une attention particulière ? Si l’on vous demandait de choisir à nouveau, pour quoi opteriez-vous ? Le premier choix, encore ? M’apporteriez-vous encore déception et chagrin misérable ? Votre cœur contiendrait-il encore une once de chaleur ? Ne sauriez-vous toujours pas quoi faire pour réconforter Mon cœur ? » (La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, À qui es-tu fidèle ?). J’ai vu l’intention urgente de Dieu et les efforts minutieux dans Ses paroles. Dieu espère que chacun d’entre nous puisse poursuivre la vérité pour atteindre le salut. J’ai pensé que, depuis que j’avais ouvert la clinique, j’avais toujours réfléchi à la façon de gagner plus d’argent, à vivre une vie meilleure et à gagner l’admiration et l’envie des autres. J’ai aussi pensé à la manière dont j’avais rejeté mes devoirs plusieurs fois et au fait que je n’avais pas voulu consacrer du temps et de l’énergie à poursuivre la vérité et à faire mes devoirs. Je voulais croire en Dieu et être sauvée, mais je voulais aussi gagner plus d’argent. Je voulais saisir à la fois la richesse et la vérité et si je ratais l’opportunité de gagner la vérité et d’être sauvée, il serait trop tard pour pleurer et grincer des dents de regret au milieu des catastrophes. Je me suis souvenue que le Seigneur Jésus disait : « Et que servirait-il à un homme de gagner tout le monde, s’il perdait son âme ? ou, que donnerait un homme en échange de son âme ? » (Matthew 16:26). A ce moment-là, j’ai pris conscience combien j’étais stupide et que j’avais été incapable de voir clairement les choses. Je ne savais pas quelle était la chose la plus importante à poursuivre dans la vie. S’il n’y avait pas eu ces deux accidents, mon cœur insensible et intransigeant n’aurait pas fait volte-face. S’il n’y avait pas eu la pitié et la protection de Dieu, ces deux personnes auraient pu mourir et même sacrifier ma vie, n’aurait servi à rien. J’aurais probablement dû vivre ma vie dans la misère d’être redevable en termes de vie et d’argent et je n’aurais jamais trouvé la paix. Lorsque j’ai réfléchi à la façon dont j’avais refusé mes devoirs à plusieurs reprises, j’ai senti que je ne méritais pas réellement l’amour et le salut de Dieu. Je n’ai plus voulu abandonner l’opportunité de gagner la vérité juste pour poursuivre l’argent. Plus tard, j’ai appelé ma collègue et je lui ai parlé de transférer la clinique. Ma collègue a vu combien j’étais déterminée et n’a rien dit de plus. Peu après, parce que ses exigences étaient trop dures, la clinique n’a pas pu être transférée avec succès. Je me suis tournée vers Dieu et je Lui ai tout confié, espérant qu’Il ouvrirait une voie pour moi. Plus tard, un groupe de médecins travaillant dans un hôpital de ville a pris en location la clinique et a signé un contrat de deux ans. Après cela, j’ai commencé à faire mes devoirs à l’Église, j’ai souvent assisté à des réunions, mangé et bu les paroles de Dieu et échangé sur la vérité et j’ai trouvé paix et sérénité dans mon cœur.
Cependant, après un an et deux mois, l’autre partie a mis fin au contrat. Quand elle m’a vue, ma collègue a dit : « Si tu reviens gérer la clinique, je t’assure que tu deviendras riche. Si tu ne le fais pas, je rachèterai ta part de la clinique à bas prix. » Un autre collègue a dit : « Nous pouvons la gérer tous les deux, tu peux t’occuper de tes propres affaires, cela n’interfèrera pas avec ta foi. De nombreux patients te font encore confiance. J’aiderai à ramener des patients de l’hôpital et en un an, nous aurons gagné plein d’argent et d’ici-là, nous aurons à la fois la richesse et le succès dans nos carrières. Tout le monde nous enviera ! » J’ai pensé : « Si je reprends la clinique, non seulement je rentrerai dans mes fonds, mais j’aurais aussi une vie meilleure. » Mais alors j’ai pensé, « Si je reprends, mes devoirs en seront sans aucun doute affectés. » Après y avoir réfléchi, j’ai décidé de ne pas accepter. Plus tard, j’ai lu des paroles de Dieu : « Satan contrôle les pensées des hommes par la gloire et le gain, jusqu’à ce qu’ils ne pensent plus qu’à cela. Ils luttent pour la gloire et le gain, endurent des difficultés pour la gloire et le gain, supportent l’humiliation pour la gloire et le gain, sacrifient tout ce qu’ils ont pour la gloire et le gain, porteront des jugements et prendront des décisions pour la gloire et le gain. De cette façon, Satan attache les hommes avec des chaînes invisibles, dont ils n’ont ni la force ni le courage de se libérer. Alors, sans le savoir, ils portent ces chaînes et avancent avec beaucoup de difficulté. À cause de la gloire et du gain, l’humanité s’éloigne de Dieu, Le trahit et devient de plus en plus malveillante. Ainsi, les générations sont détruites les unes après les autres par la gloire et le gain avec lesquels Satan les a tentées. Si l’on regarde maintenant les actions de Satan, ses sombres motivations ne sont-elles pas abominables ? Peut-être qu’aujourd’hui vous ne pouvez toujours pas les percer à jour parce que vous pensez qu’il n’y a pas de vie sans gloire ni gain. Vous pensez que si les gens y renoncent, alors ils ne verront plus la voie à suivre, perdront de vue leurs objectifs et leur avenir deviendra sombre, obscur et lugubre. Cela dit, avec le temps, vous comprendrez tous un jour que la gloire et le gain sont des chaînes monstrueuses que Satan utilise pour attacher l’homme. Ce jour-là, tu résisteras totalement au contrôle de Satan et aux liens qu’il utilise pour t’enchaîner. Quand tu voudras te débarrasser de tout ce qu’il t’a inculqué, tu te sépareras entièrement de Satan et détesteras vraiment tout ce qu’il t’a imposé. C’est seulement alors que tu auras un véritable amour et un véritable désir pour Dieu » (La Parole, vol. 2 : Sur la connaissance de Dieu, Dieu Lui-même, l’Unique VI). « Satan utilise l’argent pour tenter les gens et les corrompt en leur faisant adorer l’argent et vénérer les choses matérielles. Et comment cette adoration de l’argent se manifeste-t-elle chez les gens ? Ne sentez-vous pas que vous ne pourriez pas survivre dans ce monde sans argent, que même un jour sans argent serait tout simplement impossible ? Le statut des gens est basé sur la quantité d’argent qu’ils possèdent, tout comme le respect qu’ils inspirent. Les pauvres courbent le dos de honte alors que les riches profitent de leur statut élevé. Ils gardent la tête haute, ils sont fiers, ils parlent fortement et vivent avec arrogance. Qu’est-ce que ce dicton et cette tendance apportent aux gens ? N’est-il pas vrai que beaucoup de gens feraient n’importe quel sacrifice dans leur quête d’argent ? Beaucoup de gens ne perdent-ils pas leur dignité et leur intégrité en quête de plus d’argent ? Beaucoup de gens ne perdent-ils pas la possibilité d’accomplir leur devoir et de suivre Dieu à cause de l’argent ? Perdre l’occasion de gagner la vérité et d’être sauvé, n’est-ce pas la plus grande des pertes pour les gens ? Satan n’est-il pas sinistre d’utiliser cette méthode et ce dicton pour corrompre l’homme à un tel degré ? Cela n’est-il pas une ruse malveillante ? » (La Parole, vol. 2 : Sur la connaissance de Dieu, Dieu Lui-même, l’Unique V). L’exposition des paroles de Dieu est très claire. Satan utilise la réputation et le gain pour contrôler les pensées des gens et pour nous induire en erreur et nous corrompre. Au fil des ans, j’avais poursuivi à la fois la réputation et le gain et je m’étais efforcée de me démarquer. J’avais compté sur des dictons comme « L’homme lutte pour s’élever ; l’eau coule vers l’aval », « L’argent d’abord », « L’argent fait tourner le monde » et « L’argent n’est pas tout, mais sans ça, vous ne pouvez rien faire ». Ces philosophies sataniques en étaient venues à guider ma vie et j’ai pensé qu’avec l’argent, j’avais tout. Je voulais seulement toujours gagner plus d’argent, devenir très riche, pour gagner l’admiration et l’envie des autres et vivre une vie éminente. Je pensais que peu importe combien d’épreuves je subissais pour l’argent, la gloire et le gain, cela le valait complètement, et même si je savais que Dieu s’est fait chair et exprime la vérité pour sauver les gens, je n’ai pas poursuivi la vérité ou fait mes devoirs. Dans ma poursuite de l’argent, j’ai rejeté de façon répétée mes devoirs et je me suis éloignée de Dieu. La vérité était que ma famille était déjà aisée et que je n’avais aucun souci pour manger ou m’habiller, mais je n’étais pas satisfaite et je voulais encore plus d’argent. J’estimais l’argent, la réputation et les gains par dessus tout, ce qui m’a fait perdre ma chance de faire mes devoirs et de gagner la vérité. C’est seulement là que j’ai pris conscience que j’avais été aveuglée par l’argent, la réputation et le gain, que j’étais devenue esclave de l’argent et que si je ne faisais pas volte-face, je deviendrais victime de la réputation et du gain.
Donc j’ai lu plus de paroles de Dieu : « Les gens épuisent leur énergie toute leur vie pour lutter contre le destin, et ils passent toute leur vie à s’affairer en essayant de subvenir aux besoins de leur famille et en se précipitant dans tous les sens par souci du prestige et du profit. Les choses que les gens chérissent sont l’amour familial, l’argent, la gloire et le gain, et ils les considèrent comme les choses les plus précieuses de la vie. Tous les gens se plaignent d’être malheureux, mais continuent à refouler au fond de leur esprit les questions qu’ils devraient comprendre et explorer avant tout : pourquoi l’homme est en vie, comment l’homme devrait vivre, et ce que sont la valeur et la signification de la vie humaine. Ils passent leur vie entière, quel qu’en soit le nombre d’années, à simplement courir partout en cherchant la gloire et le gain, jusqu’à ce que leur jeunesse soit révolue, jusqu’à ce qu’ils grisonnent et soient ridés ; jusqu’à ce qu’ils se rendent compte que la gloire et le gain ne peuvent pas les empêcher de vieillir, que l’argent ne peut pas combler le vide de leur cœur, et jusqu’à ce qu’ils comprennent que personne ne peut échapper aux lois de la naissance, du vieillissement, de la maladie et de la mort, et que personne ne peut se débarrasser des arrangements du destin. Ce n’est que lorsqu’ils ont à affronter le dernier tournant de la vie qu’ils comprennent vraiment que même si l’on possède une grande fortune et d’importants capitaux, même si l’on est privilégié et de rang élevé, on ne peut quand même pas échapper à la mort et l’on doit retourner à sa position d’origine : une âme solitaire, sans rien qui lui soit propre » (La Parole, vol. 2 : Sur la connaissance de Dieu, Dieu Lui-même, l’Unique III). « Les gens passent leur vie à courir après l’argent et la gloire ; ils se raccrochent au moindre espoir, pensant qu’ils sont leurs seuls moyens de soutien, comme si, en les ayant, ils pouvaient continuer à vivre et être dispensés de la mort. Mais ce n’est que lorsqu’ils sont sur le point de mourir qu’ils se rendent compte combien ces choses sont distantes d’eux, combien ils sont faibles face à la mort, combien ils volent facilement en éclats, combien ils sont seuls et impuissants, sans nulle part où se tourner. Ils se rendent compte que la vie ne peut pas être achetée avec de l’argent ou la renommée, que peu importe la richesse d’une personne, peu importe sa haute position, tous les hommes sont pareillement pauvres et insignifiants face à la mort. Ils se rendent compte que l’argent ne peut pas acheter la vie, que la renommée ne peut abolir la mort, que ni l’argent ni la renommée ne peuvent prolonger la vie d’une personne d’une seule minute, d’une seule seconde » (La Parole, vol. 2 : Sur la connaissance de Dieu, Dieu Lui-même, l’Unique III). Après avoir lu les paroles de Dieu, j’ai compris que si on passe toute sa vie à poursuivre l’argent, la réputation et le gain, c’est, au final, entièrement vain. Les deux accidents quasiment fatals à la clinique m’ont fait comprendre que quand le danger arrive, l’argent et la richesse ne peuvent pas protéger la sécurité d’une personne ou lui sauver la vie, et que Dieu est le seul dont une personne a vraiment besoin, et sur Lequel elle puisse compter, et seul Dieu règne et contrôle la destinée d’une personne. J’ai aussi pensé à une des mes voisines. Elle était directrice générale d’un département de la Banque de Chine, son mari était directeur du bureau des transports et son père était chef de section à la Banque populaire de Chine. Sa famille était riche et influente, et à cette époque, tout le monde dans notre rue l’admirait et l’enviait, mais à l’âge de trente-deux ans, on lui a diagnostiqué un cancer du sein et elle est décédée peu après. J’ai aussi eu un proche, très riche et renommé qui, plus tard, est mort lors d’un voyage. Il était clair pour moi que peu importe l’argent, la réputation ou l’admiration que tu gagnes, quand la mort vient, l’argent, la réputation et le gain ne peuvent pas sauver ta vie. L’argent, la réputation et le gain ne peuvent apporter qu’une satisfaction et un plaisir temporaires à la chair, et si tu n’as pas le soin et la protection de Dieu, tu mourras. Dans ce cas, quel sens aurait le fait d’avoir plus d’argent ? J’ai prié Dieu, « Dieu, Tu m’as donné la chance de poursuivre la vérité et d’être sauvée mais je ne l’ai pas chérie. J’ai utilisé tout mon temps et toute mon énergie à poursuivre l’argent, la réputation et le gain. J’étais vraiment aveugle et stupide ! Maintenant, je sais que chercher à gagner la vérité et faire mes devoirs sont les choses les plus significatives et les plus importantes que je puisse faire. » Après cela, j’ai appelé ma collègue et dit que peu importe combien je perdais sur mes parts et de mon capital de départ de la clinique, je voulais les transférer. Peu après, j’ai transféré mes parts de la clinique. Bien que j’aie perdu des dizaines de milliers de yuans, au moment où je l’ai fait, je me suis sentie libérée et heureuse.
Plus tard, j’ai consacré plus de temps et d’énergie à mes devoirs et dès que j’avais du temps, je lisais les paroles de Dieu et je comprenais plus de vérités. J’ai pu aussi mieux percevoir les méthodes corrompues de Satan. C’est si bon de savoir qu’en croyant en Dieu et en faisant mes devoirs, je peux comprendre la vérité ! Dernièrement, certains de mes amis ont dit qu’ils voulaient coopérer avec moi dans l’ouverture d’une clinique et m’ont encouragée à continuer à la gérer et certains m’ont même conseillé de travailler dans un hôpital, mais je n’étais plus influencée par ces choses. Je choisis de faire les devoirs d’un être créé, de prêcher l’Évangile et de témoigner de Dieu. Cela a plus de sens et de valeur que tout ce que je pourrais faire dans ce monde, et c’est le choix le plus sage que j’aie jamais fait de ma vie.
La douleur cessera et les larmes s'arrêteront. Faites confiance à Dieu, Il a entendu nos appels dans notre souffrance, et Il nous sauvera de notre douleur. Contactez-nous pour connaître la bonne nouvelle de Dieu de nous sauver.
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