Bien s’entendre signifie-t-il une coopération harmonieuse ?
Par Cecily, JaponAu début de l’année 2022, j’étais responsable du travail de plusieurs Églises. Un jour, quelques-uns d’entre nous...
Nous accueillons tous les chercheurs qui désirent ardemment l'apparition de Dieu !
En 2015, pour éviter d’être arrêtée et persécutée par le PCC, j’ai fui à l’étranger. J’ai travaillé tout en croyant en Dieu. J’ai trouvé un emploi de caissière dans un grand supermarché, et il s’agissait de mon tout premier travail dans ce vaste monde. J’aimais ce travail et je voulais le faire correctement, mais parce que je manquais d’expérience, que le supermarché vendait beaucoup d’articles différents, et que toute la communication se faisait dans une langue étrangère, je n’étais habituée à rien de tout cela. Le patron se mettait en colère et me disait de me dépêcher quand j’étais lente, mais quand je travaillais vite, je commettais plus facilement des erreurs, et le patron me réprimandait pour ma négligence, et quand les comptes étaient erronés, je devais rembourser le montant exact. En travaillant comme ça, j’étais sur les nerfs tous les jours. Même la nuit, je rêvais que je comptais de l’argent à la caisse. À cette époque, je ressentais une énorme pression tous les jours et je ne voulais vraiment pas continuer à travailler, mais ensuite, j’ai pensé à la difficulté de trouver un emploi à l’étranger, et à celle de trouver un autre emploi si je quittais celui-ci. Dans une telle situation, j’ai dû faire avec. Un jour, j’ai demandé à une caissière expérimentée : « Comment puis-je éviter de faire des erreurs quand il y a autant de clients et de choses à faire ? » La caissière m’a souri et m’a dit : « Les erreurs sont inévitables. Après tout, qui ne fait pas d’erreurs ? La clé, c’est de trouver comment résoudre le problème. Garde à l’esprit que la femme du patron est occupée tous les jours, comment va-t-elle alors pouvoir examiner chaque transaction ? Tant que le montant total est le bon, tout va bien. Parfois, lorsque les clients achètent certains articles, je prends simplement l’argent sans émettre de reçu ni enregistrer la vente ; de cette façon, je peux régler les comptes en toute discrétion et éviter de me faire sermonner, ou bien légèrement réduire l’écart. » J’étais abasourdie. L’astuce pour ne pas me faire rappeler à l’ordre était donc de tromper et d’user de ruses, et il s’agissait tout simplement de tromper la femme du patron. Je ne pouvais pas l’accepter dans mon cœur. Je croyais en Dieu et je devais être une personne honnête. Dieu déteste la fourberie et la ruse et je ne pouvais donc pas faire ça. Je devais rester consciencieuse et bien faire mon travail ; de cette façon, j’aurais l’esprit tranquille.
Cependant, même si j’étais minutieuse et consciencieuse, quand il y avait beaucoup de clients et beaucoup de choses à faire, les erreurs étaient malgré tout inévitables. Un jour, le patron m’a de nouveau avertie : « Si tu commets une autre erreur, tu devras rembourser trois fois le montant, ou tu seras virée ! » Quand j’ai entendu mon patron prononcer ces mots durs sans la moindre pitié, je me suis immédiatement effondrée. Si je ne trouvais pas rapidement une solution, je serais mise à la porte. J’ai donc commencé à faire ce que faisait la caissière plus expérimentée. Lorsque je constatais des écarts dans les comptes, je prenais simplement l’argent sans émettre de reçu lorsque les clients achetaient de petits articles. De cette façon, l’argent s’équilibrait et il n’y avait aucune trace dans le système informatique, et une fois l’écart pratiquement corrigé, je revenais aux pratiques habituelles de caisse enregistreuse. Au début, j’étais très nerveuse et j’avais peur que quelqu’un me surprenne, car après tout, la caisse enregistreuse se trouvait juste sous les caméras de surveillance, donc quiconque visionnait les images pouvait clairement voir chacun de mes gestes. Parfois, mon patron venait me voir et me demandait : « Pourquoi n’as-tu pas délivré de reçu pour ce client ? » et je réagissais rapidement avec désinvolture en répondant : « Ils ont dit que c’était juste un petit montant, donc ils n’avaient pas besoin de reçu, et j’ai simplement oublié. » Après avoir entendu cela, le patron n’insistait pas. La dissimulation des écarts s’est déroulée « parfaitement » de cette manière. Mais quoi qu’il en soit, je n’étais toujours pas satisfaite. En rentrant chez moi, je me suis effondrée sur mon lit, pensant que je croyais en Dieu et que je devais dire la vérité et être une personne honnête, mais je ne m’attendais pas à ce que mes valeurs cèdent aussi facilement face à mon intérêt personnel. Je me sentais quelque peu coupable et j’avais un cas de conscience, mais ensuite je me suis dit : « Je n’ai fait ça que parce que je n’avais pas le choix, je devais garder mon emploi. » J’ai donc utilisé cette justification pour me réconforter.
À ma grande surprise, au cours des jours qui ont suivi, des choses inattendues me sont arrivées. Des clients ont même échangé les étiquettes de prix sur les articles, et comme certains articles n’avaient pas de code-barres et qu’il y avait des outils que je ne reconnaissais pas, un article de 55 dollars a fini par être vendu 5 dollars. Il y avait aussi un chèque d’une valeur de plus de 400 dollars que j’ai accepté sans la signature du client. Mon patron a été informé de tous ces incidents. Abasourdie, je me suis dit : « Comment ai-je pu commettre autant d’erreurs impliquant des montants aussi importants ? » Après avoir entendu parler de ces incidents, mon patron a dit avec dureté : « C’en est fini de vous. Je visionnerai les images de surveillance plus tard pour voir comment vous avez commis ces erreurs. Si l’argent n’est pas restitué, vous devrez le rembourser au triple ! » J’avais l’impression que c’était fini pour moi, que je risquais de perdre mon emploi, et que tout l’argent que j’avais si durement gagné allait devoir être remboursé. J’avais l’impression que tout s’effondrait. Quand je suis rentrée chez moi, je n’arrivais pas à me calmer et je me sentais impuissante. Je ne savais pas comment compenser ces pertes, mais j’ai pris conscience que l’intention de Dieu était impliquée dans ces situations, alors je me suis présentée devant Dieu et j’ai prié, demandant à Dieu de me guider et de m’éclairer pour comprendre Son intention, afin que je sache comment agir de manière appropriée. Après avoir prié, j’ai lu un passage des paroles de Dieu : « Vous devez savoir que Dieu aime ceux qui sont honnêtes. En substance, Dieu est fidèle, et ainsi Ses paroles sont toujours fiables ; Ses actions, en plus, sont irréprochables et incontestables, ce qui explique pourquoi Dieu aime ceux qui sont absolument honnêtes avec Lui. L’honnêteté signifie donner son cœur à Dieu, être sincère avec Dieu en toutes choses, être ouvert avec Lui en toutes choses, ne jamais cacher les faits, ne pas essayer de tromper les supérieurs ni les inférieurs à soi et ne pas faire des choses simplement pour s’attirer la faveur de Dieu. Bref, être honnête, c’est être pur dans ses actions et ses paroles et ne tromper ni Dieu ni l’homme » (La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, Trois admonitions). Oui. L’essence de Dieu est sainte et fidèle, et Il parle en vérité. Dieu aime les gens honnêtes. Il nous dit que c’est seulement en étant des gens honnêtes que nous pouvons être sauvés et entrer dans le royaume des cieux. En tant que chrétienne, je dois pratiquer l’honnêteté selon les paroles de Dieu, en acceptant l’examen de Dieu en toutes choses, en appelant un chat un chat et en n’étant jamais fourbe. Lorsque j’interagis et travaille avec les autres, je dois essayer d’être digne de confiance, en faisant en sorte que les autres se sentent en sécurité et qu’ils puissent me faire confiance. Vivre ainsi apporte de la dignité et est en accord avec les intentions de Dieu. Or pendant ce temps, pour éviter d’être réprimandée par mon patron ou que mes erreurs soient découvertes, tout comme les non-croyants, j’avais commencé à agir de manière fourbe. Je vendais des articles, je prenais l’argent et je ne délivrais pas de reçus pour couvrir les écarts. J’utilisais ces moyens méprisables pour tromper mon patron et duper les gens. Bien que ma conscience se sente coupable, j’utilisais quand même des prétextes honorables pour me réconforter. Les gens ne remarquaient peut-être pas tout de suite ce que je faisais, mais Dieu scrute tout avec clarté. À ce moment-là, j’ai compris davantage l’intention et les exigences de Dieu. J’ai pris conscience qu’être une personne honnête reflète une véritable ressemblance humaine, et j’ai également reconnu que ces récents obstacles et revers étaient la manière pour Dieu de me rappeler et de m’avertir de ne pas continuer sur le mauvais chemin.
Après cela, j’ai commencé à réfléchir, en me demandant : « Qu’est-ce qui me poussait à suivre ceux qui m’entourent dans la fourberie ? Qu’est-ce qui me contrôlait ? » En cherchant, j’ai lu les paroles de Dieu disant : « Pourquoi les gens jouent-ils à être fourbes ? C’est pour accomplir leurs propres objectifs, pour atteindre leurs propres buts, et donc ils utilisent des moyens sournois. Ce faisant, ils ne sont pas ouverts et dénués d’ambiguïté et ce ne sont pas des gens honnêtes. C’est à ces moments-là que les gens révèlent leur côté insidieux et leur ruse, ou leur malignité et leur mépris. C’est là que réside la difficulté d’être honnête : avec ces tempéraments corrompus dans le cœur, il semblera en effet particulièrement difficile d’être une personne honnête. Mais si tu es quelqu’un qui aime la vérité et qui est capable d’accepter la vérité, alors être une personne honnête ne sera pas trop difficile. Tu auras le sentiment que c’est beaucoup plus facile. Ceux qui en ont une expérience personnelle savent très bien que les plus grands obstacles pour être une personne honnête sont le côté insidieux des gens, leur fourberie, leur malignité et leurs intentions méprisables. Tant que ces tempéraments corrompus subsisteront, être une personne honnête sera trop difficile » (La Parole, vol. 3 : Discours de Christ des derniers jours, La pratique la plus fondamentale pour être une personne honnête). En réfléchissant aux paroles de Dieu, je suis tombée dans une profonde réflexion. Il s’avérait que j’avais agi de manière fourbe pour protéger mes intérêts personnels. Confrontée à des pertes d’argent et à des atteintes dans mon orgueil, et même au risque de perdre mon emploi, j’avais commencé à agir de manière fourbe et trompeuse, et j’avais même porté préjudice aux intérêts des autres pour dissimuler mes erreurs. Pire encore, même mon cas de conscience ne m’avait pas réveillée. Je pensais que tout le monde trompait les autres de cette façon, donc mes actions ne dépassaient pas la limite. Après avoir fait des erreurs, j’avais usé de ruses et agi avec fourberie, et au lieu d’avoir honte, je m’étais trouvé des justifications pompeuses. Je manquais vraiment d’humanité ! Je vivais selon mon tempérament satanique corrompu, je mentais et je trompais. Cela avait amené Dieu à me détester et m’avait causé une grande douleur. Ce n’est qu’en me repentant devant Dieu et en me concentrant sur le fait de dire la vérité et d’être honnête que je pourrais trouver la paix et ne pas me sentir épuisée. Dieu utilisait ces situations pour réveiller mon cœur insensible, et je ne pouvais plus mentir ni tromper. Perdre mon argent et ma fierté était une chose, mais perdre ma dignité et mon intégrité en était une autre. En ayant cela à l’esprit, j’ai décidé de prendre mes responsabilités, et d’utiliser mon salaire du mois pour compenser ces pertes. De manière inattendue, les autres employés du supermarché ont reconnu la personne qui n’avait pas signé le chèque en visionnant les images de surveillance, et ont trouvé un moyen de le localiser. En ce qui concerne les outils pour lesquels j’avais fait une erreur sur le prix, la femme du patron a dit que les clients avaient aussi une responsabilité, et que comme j’étais jeune, on ne pouvait pas vraiment s’attendre à ce que je reconnaisse certains outils, on ne m’a donc demandé que de compenser la moitié du montant. Ces problèmes ont fini par être résolus facilement. Je savais que c’était Dieu qui orchestrait et arrangeait les gens, les événements et les choses autour de moi pour m’aider. J’ai exprimé mes sincères remerciements et mes louanges à Dieu, et ma foi en l’honnêteté s’est renforcée.
Un soir, en vérifiant les comptes, j’ai constaté qu’il me manquait huit dollars. Je me suis dit : « Ai-je pu mettre trop d’argent de réserve la nuit dernière ? Non. Se pourrait-il que certains coupons n’aient pas été comptés ? Non. Y a-t-il une erreur dans les comptes ? Non. » J’ai réfléchi à la question sous tous les angles, mais je n’arrivais toujours pas à déterminer où se trouvait l’erreur. J’ai ressenti une vague d’anxiété, pensant à la façon dont la femme du patron allait me passer un savon le lendemain, et je me suis sentie angoissée et anxieuse. Mon patron m’avait dit que si je commettais une autre erreur, je serais renvoyée, et maintenant que j’avais commis une autre erreur, je n’étais pas certaine de pouvoir garder mon emploi. Mais ensuite, je me suis dit : « La femme du patron ne vérifie généralement les comptes que tous les deux ou trois jours, elle ne vérifiera donc probablement pas aujourd’hui. Demain, je peux trouver une occasion de “rattraper le coup” ; de cette façon, je ne me ferai pas rappeler à l’ordre ou je ne perdrai pas mon emploi. » Mais quand j’ai pensé à la résolution que j’avais prise devant Dieu de dire la vérité et d’être honnête, je me suis sentie un peu coupable. Quand je suis rentrée chez moi, j’ai de nouveau prié Dieu au sujet de mes difficultés, en Lui demandant de me guider à nouveau et de me montrer la voie à suivre. Après avoir prié, j’ai lu que les paroles de Dieu disent : « Quand les gens vivent dans ce monde, sous l’influence de Satan, gouvernés et contrôlés par sa force, il leur est impossible d’être honnêtes. Ils ne peuvent que devenir de plus en plus fourbes. Au milieu d’une humanité corrompue, être une personne honnête implique à coup sûr de nombreuses difficultés. Nous sommes susceptibles d’être moqués, vilipendés, jugés, voire exclus et chassés par des non-croyants, des rois démons et des démons vivants. Alors, est-il possible de survivre en tant que personne honnête dans ce monde ? Y a-t-il une possibilité pour nous de survivre dans ce monde ? Oui. Nous avons à coup sûr la possibilité de survivre. Dieu nous a prédestinés et choisis, et Il nous ouvre certainement une voie. Nous croyons en Dieu et Le suivons entièrement sous Sa direction, et nous vivons entièrement par le souffle et la vie qu’Il nous accorde. Parce que nous avons accepté la vérité des paroles de Dieu, nous avons de nouvelles règles sur la façon de vivre et de nouveaux objectifs pour nos vies. Les fondements de nos vies ont été changés. Nous avons adopté une nouvelle façon de vivre, une nouvelle façon de nous comporter, entièrement dans le but d’obtenir la vérité et d’être sauvés. Nous avons adopté un nouveau mode de vie : nous vivons pour bien accomplir nos devoirs et satisfaire Dieu. Cela n’a absolument rien à voir avec ce que nous mangeons, ce que nous portons et où nous vivons physiquement : c’est notre besoin spirituel » (La Parole, vol. 3 : Discours de Christ des derniers jours, La pratique la plus fondamentale pour être une personne honnête). « Indépendamment des différences de capacité, d’intelligence et de volonté, les gens sont tous égaux face au destin qui ne fait aucune distinction entre les grands et les petits, ce qui est élevé et ce qui est bas, ce qui est exalté et ce qui est moyen. Le métier que l’on poursuit, ce que l’on fait pour vivre et la quantité de richesse que l’on amasse dans la vie, cela ne procède pas de la décision des parents, de ses talents, de ses efforts ou de ses ambitions, mais c’est prédéterminé par le Créateur » (La Parole, vol. 2 : Sur la connaissance de Dieu, Dieu Lui-même, l’Unique III). En lisant ces paroles de Dieu, je me suis sentie vraiment bien. Dans cette société perverse, les gens survivent en s’appuyant sur les philosophies de relations mondaines de Satan. Pour servir nos propres intérêts, nous nous trompons les uns les autres, et nous ne comprenons que la loi du talion. Il semble qu’il n’y ait aucun moyen de survivre si nous n’agissons pas de cette façon. Je crois en Dieu et je sais que ma vie vient de Lui, que Dieu est souverain sur ma destinée, et que le fait que je sois en vie et que je respire est dû à la souveraineté et à la protection de Dieu. Le type de travail que j’exerce dépend des ordinations et des arrangements de Dieu, et non d’un individu quelconque. Pourquoi devrais-je continuer à me creuser la tête en essayant de me battre pour des choses en recourant à la fourberie ? N’est-il pas préférable d’avoir un cœur ouvert, de faire ce que j’ai à faire, et de tout confier à Dieu ? En ayant cela à l’esprit, je me suis sentie bien plus détendue, et j’étais déterminée à être une personne honnête et à accepter l’examen de Dieu sur tous mes faits et gestes. Comme j’avais commis des erreurs, je devais en assumer la responsabilité, et quant à la manière de compenser et de savoir si je serais capable de garder cet emploi, tout cela était entre les mains de Dieu, et j’étais prête à me soumettre à la souveraineté et aux arrangements de Dieu.
Le lendemain, alors que j’étais de service à la caisse, l’occasion s’est présentée de ne pas délivrer de reçu, ce qui signifiait que je pouvais compenser ce manque à gagner de huit dollars. Mon cœur en a été à nouveau ébranlé, et juste au moment où j’allais agir, j’ai soudain pensé à ces paroles de Dieu : « Sois une personne honnête, et non quelqu’un qui est toujours astucieux, toujours trompeur. (Ici, Je vous demande encore une fois d’être des personnes honnêtes.) » (La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, Les transgressions conduiront l’homme en enfer). J’ai pris conscience que Dieu me rappelait d’être une personne honnête et non une personne fourbe. Les personnes fourbes sont honteuses. Je me suis rappelée les paroles de Dieu : « Dans tout ce qui arrive aux gens, Dieu a besoin qu’ils tiennent ferme dans leur témoignage en Sa faveur. Même si rien d’important ne t’arrive en ce moment et que tu ne portes pas un grand témoignage, tous les détails de ta vie quotidienne sont reliés au témoignage en faveur de Dieu. Si tu peux gagner l’admiration de tes frères et sœurs, des membres de ta famille et de tous ceux qui t’entourent ; si, un jour, les non-croyants viennent et admirent tout ce que tu fais et voient que tout ce que Dieu fait est merveilleux, alors tu auras porté témoignage. Bien que tu n’aies aucune connaissance et que ton calibre soit de mauvaise qualité, grâce à Dieu qui te rend parfait, tu es en mesure de Le satisfaire et de faire preuve de considération pour Ses intentions, montrant aux autres la grande œuvre qu’Il a faite dans des gens possédant le calibre le plus pauvre. Quand les gens en viennent à connaître Dieu, deviennent des vainqueurs devant Satan et fidèles à Dieu dans une large mesure, alors personne n’est plus solide que ce groupe de gens et c’est là le plus grand témoignage » (La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, Ce n’est qu’en aimant Dieu que l’on croit vraiment en Dieu). J’ai compris qu’à ce moment-là, Dieu me scrutait pour voir si je pouvais pratiquer la vérité. Même si cela ne semblait pas être très grave, ce choix et cette action impliquaient un témoignage. Je savais bien que Dieu aimait les gens honnêtes, mais je continuais à vivre selon les principes de survie de Satan, en utilisant des ruses et des fourberies. N’étais-je pas en train de faire honte au nom de Dieu ? Bien que je ne sois pas capable de rendre un grand témoignage, je devais pratiquer la vérité dans les petites choses qui se présentaient à moi dans la vie quotidienne. Après avoir compris l’intention de Dieu, j’ai pris la ferme résolution, quelle que soit la situation, d’être une personne honnête et de satisfaire Dieu. Après cela, j’ai arrêté de réfléchir à la façon de couvrir ce manque à gagner de huit dollars, et j’ai commencé à travailler avec diligence. La journée s’est déroulée ainsi, et quand est venu le moment de faire le compte le soir, j’ai prié Dieu en silence, et je me suis préparée à la possibilité de perdre de l’argent. Après avoir prié, j’ai commencé à compter l’argent, et à ma grande surprise, le montant était tout à fait exact ! Je n’en revenais pas. J’étais certaine qu’il me manquait huit dollars la veille, alors comment, à présent, le montant pouvait-il être exact ? J’ai recompté plusieurs fois, et il n’y avait aucun doute, le montant était juste ! J’étais très reconnaissante envers Dieu et soulagée de ne pas avoir fait preuve de fourberie. Je me sentais bien dans mon cœur d’avoir pratiqué l’honnêteté selon les paroles de Dieu.
À partir de ce moment-là, quels que soient les problèmes qui surgissaient au travail ou si je devais assumer la responsabilité de quelque chose, je communiquais proactivement avec mon patron pour les résoudre. Mon patron et mes collègues m’ont félicitée pour mon travail assidu et responsable, et quelques mois plus tard, mon patron m’a accordé une augmentation. Plus tard, j’ai demandé à mon patron si je pouvais réduire mes heures de travail, et à ma grande surprise, mon patron, qui était habituellement strict avec ses employés, était heureux de me rendre ce service. Un jour, j’ai surpris une conversation entre une caissière et un autre membre du personnel. La caissière disait : « Le patron est tellement partial, il est tellement indulgent avec Meredith, il lui accorde des augmentations, réduit ses heures de travail et la laisse même ajuster son emploi du temps. Moi, il refuse toutes mes demandes. » Le membre du personnel a répondu : « Eh bien, qui ne voudrait pas travailler avec une personne honnête, constante et qui met les autres à l’aise ? » En entendant cela, j’ai remercié et loué Dieu du fond du cœur, parce que je savais que les critiques de mon patron à mon égard s’étaient transformées en respect et en attention, non pas parce que j’étais bonne, mais parce que les paroles de Dieu m’avaient transformée. En commençant à pratiquer l’honnêteté selon les paroles de Dieu, j’ai retrouvé ma dignité en tant que personne et j’ai gagné le respect des autres. J’ai senti au fond de moi que les paroles de Dieu sont la vérité, et qu’elles sont les critères de la conduite et du comportement humain. C’est vraiment merveilleux de pratiquer selon les paroles de Dieu !
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