Apprendre à se soumettre pendant la maladie
Par Tong Yu, ChineDepuis mon enfance, j’ai eu une constitution fragile et j’étais toujours malade, c’est pourquoi j’aspirais à un corps en...
Nous accueillons tous les chercheurs qui désirent ardemment l'apparition de Dieu !
En octobre 2016, j’exerçais le devoir de prédicatrice. À cette époque, en raison des troubles et des sabotages causés par les antéchrists, le travail de plusieurs Églises dont j’étais responsable était au point mort. Mes deux sœurs partenaires et moi venions de prendre ce devoir et nous ne connaissions pas bien les personnes de ces Églises, et compte tenu de l’ampleur du travail dont j’étais responsable, je me sentais perdue et incapable d’assumer toutes ces responsabilités, si bien que j’ai voulu me retirer. Mais ensuite, je me suis dit : « J’ai mangé et bu tellement de paroles de Dieu, et pourtant, quand cela compte le plus, je veux abandonner mon poste. N’est-ce pas un signe d’humiliation ? » Alors, j’ai ajusté mon état d’esprit, mes sœurs partenaires et moi nous sommes soutenues et avons échangé ensemble, et nous avons demandé de l’aide aux frères et sœurs qui connaissaient mieux la situation. Après une période de coopération, nous avons fait face à la bande d’antéchrists et le travail a commencé à montrer des signes d’amélioration. Après cette expérience, j’ai vu que c’était vraiment quelque chose que je n’aurais pas pu accomplir seule, et que tout cela était dû à l’œuvre du Saint-Esprit. Peu de temps après, l’Église a été soumise aux arrestations frénétiques et à la persécution du PCC, et les maisons où séjournaient les frères et sœurs et faisaient leurs devoirs étaient en danger et ces personnes devaient être relogées d’urgence. Lorsque j’ai appris cette nouvelle, j’étais dévastée, et j’ai eu l’impression qu’il serait impossible de déplacer ces personnes maintenant. Il y avait tellement de frères et sœurs qui faisaient leurs devoirs et qui devaient être relogés, mais comment trouver autant de maisons d’accueil pour eux tous en même temps ? J’étais dans une situation difficile et je ne savais vraiment pas quoi faire, mais ensuite, je me suis dit : « C’est une question qui implique la sécurité des frères et sœurs et des intérêts de l’Église. Ne pas les déplacer n’est tout simplement pas une option. » Plus tard, j’ai lu les paroles de Dieu : « Tu dois croire que tout est entre les mains de Dieu et que les gens ne font que coopérer. Si tu es sincère, Dieu le verra et Il t’ouvrira une voie dans chaque situation. Aucune difficulté n’est insurmontable ; tu dois avoir cette foi » (La Parole, vol. 3 : Discours de Christ des derniers jours, Quand on croit en Dieu, le plus important est de pratiquer Ses paroles et d’en faire l’expérience). Lorsque j’ai lu cela, c’était comme voir un rayon de lumière dans l’obscurité, mon cœur s’est immédiatement éclairci et ma foi s’est renforcée. J’ai discuté de la question de chercher des maisons d’accueil avec mes sœurs partenaires. Trois jours plus tard, une sœur d’une Église m’a écrit pour me dire que plusieurs maisons d’accueil avaient été trouvées, et que des frères et sœurs continuaient activement à proposer des logements. J’étais tellement émue que des larmes ont commencé à couler sur mon visage. Je n’aurais jamais imaginé que cette Église puisse fournir autant de maisons d’accueil à la fois, et j’ai vraiment senti que Dieu était à nos côtés et nous guidait, et que tant que nous coopérions sincèrement, nous pourrions voir les actions de Dieu. Après cela, notre foi s’est encore renforcée et nous avons accompli la tâche de relocalisation sans encombre. En voyant que le travail avançait bien malgré le fait que nous faisions face à des difficultés répétées, je me sentais très heureuse. Tout en remerciant Dieu, j’ai commencé à évaluer mes propres contributions. Je croyais que, bien que ce résultat ait été obtenu grâce à l’œuvre de Dieu, il n’aurait pas pu être réalisé sans mes efforts et ma coopération. Bien que je ne croyais en Dieu que depuis peu de temps, le fait que ce travail ait abouti à de tels résultats prouvait que j’avais certaines vérités-réalités, sinon comment une tâche aussi difficile aurait-elle pu être accomplie avec autant de succès ? Plus je pensais ainsi, plus je croyais que mes contributions étaient importantes, et que j’avais un talent rare, et surtout lorsque la dirigeante nous avait félicitées pour nos capacités de travail, j’étais encore plus convaincue que j’avais des vérités-réalités, et que personne dans l’Église n’était aussi bon que moi. Après cela, je marchais la tête haute, et chaque fois qu’une occasion se présentait, je racontais mes expériences et j’en parlais à tout le monde avec des détails vivides, je voulais que les frères et sœurs sachent que j’avais des vérités-réalités et que je savais comment vivre les choses que je rencontrais.
Un jour, j’assistais à une réunion avec des dirigeants de plusieurs Églises, et pendant la mise en oeuvre du travail, un dirigeant a dit, impuissant : « Vous ne savez pas comment sont les choses dans notre Église, il est même difficile de choisir un diacre. Ce travail est tellement difficile ! » Je me suis dit : « Tu appelles ça des difficultés ? Les défis que j’ai traversés étaient bien plus grands que les tiens. Je dois échanger avec toi sur la façon dont j’ai surmonté mes difficultés, ainsi, tu verras que j’ai des vérités-réalités et que je sais comment vivre les choses que je rencontre. » J’ai donc partagé comment, quand j’avais pris mon devoir pour la première fois et que j’avais rencontré des difficultés, je m’étais tournée vers Dieu, je m’étais appuyée sur Lui, et comment Il m’avait guidée, et j’ai expliqué toute l’histoire du début à la fin, craignant de négliger un seul détail. En parlant de tout cela, j’ai passé sous silence ma propre négativité et faiblesse durant ces périodes difficiles, car je ne voulais pas que les frères et sœurs voient que j’avais des faiblesses. Après avoir fini de parler, toutes les sœurs me regardaient avec admiration, et une sœur a dit avec envie : « Tu sais vraiment comment t’appuyer sur Dieu et faire l’expérience des choses que tu rencontres. Je me hais d’être aussi stupide ; quand je suis confrontée à des difficultés, je ne sais pas comment m’appuyer sur Dieu ni comment en faire l’expérience. » Les autres sœurs hochaient également la tête en signe d’accord. Je me sentais vraiment heureuse, et je me suis dit : « Je suis meilleure que vous toutes. Que ces difficultés aient pu être surmontées, c’est entièrement grâce à ma direction, sinon comment pourrais-je être prédicatrice ! » Cependant, j’ai gardé une apparence calme et j’ai échangé avec la sœur : « Dieu ne favorise aucune personne plus qu’une autre, et tant que tu Le cherches, Il te guidera. Nous ne devons pas nous contenter de chanter des slogans sans les mettre en pratique ! » Parce que j’étais tellement concentrée sur mon désir de me mettre en valeur et que je n’avais pas échangé sur les intentions de Dieu ou le chemin de pratique concernant les difficultés que les frères et sœurs rencontraient, après la réunion, ils ne savaient toujours pas comment pratiquer.
Pendant cette période, j’ai remarqué que la sœur qui nous recevait se mettait souvent en valeur, et qu’elle nous rabaissait parfois, elle disait que nous ne croyions pas en Dieu depuis longtemps et que nous manquions d’expériences. Une fois, elle s’est vraiment mise en colère contre nous pour une question insignifiante. Mes sœurs partenaires ont échangé avec elle, mais plus elles échangeaient avec elle, plus elle se mettait en colère. Elle a même dit : « Je ne peux plus faire ce devoir ! Il faudra trouver quelqu’un d’autre ! » Plus tard, la sœur hôte est venue s’excuser pour avoir perdu son calme l’autre jour. J’ai senti que sa colère n’était pas simplement due à cet incident isolé, mais je n’arrivais pas à comprendre exactement ce qui n’allait pas. Lorsque j’ai parlé avec elle, j’ai finalement découvert que tout cela venait du fait qu’elle était mécontente d’avoir été affectée aux devoirs d’hébergement et de ne pas avoir été désignée comme cheffe de groupe. J’ai souligné comment elle se mettait en valeur et la manière dont elle nous rabaissait et nous contraignait. Après que mes sœurs partenaires soient revenues, je leur ai souri et je me suis vantée d’avoir discerné la sœur hôte et de l’avoir exposée. J’ai aussi réprimandé mes sœurs partenaires, je leur ai dit : « Vous n’avez pas remarqué qu’elle n’écoutait pas du tout quand vous échangiez avec elle ? Mais vous avez quand même continué à le faire. » Elles m’admiraient beaucoup et disaient que j’étais vraiment capable de voir clairement les choses. Je me sentais vraiment heureuse et je pensais que je comprenais la vérité et que j’avais du discernement. Une autre fois, j’assistais à une réunion avec la superviseuse du travail textuel. Je me suis dit : « Je ne connais pas vraiment cette superviseuse, et elle ne connaît pas mes capacités de travail. Je dois trouver un sujet qui me permettra de parler de ma capacité à discerner les gens, pour qu’elle pense du bien de moi. » Juste à ce moment-là, elle a évoqué la sœur hôte avec moi, alors j’ai utilisé ce sujet pour dire : « J’avais déjà vu à travers l’essence de sa poursuite de statut, mais mes sœurs partenaires ont juste continué d’échanger avec elle. » La superviseuse a acquiescé en signe d’accord. Plus tard, chaque fois qu’un problème se posait, la superviseuse venait discuter directement avec moi, et même après avoir parlé des choses avec mes sœurs partenaires, elle venait toujours me demander mon avis. J’ai naturellement assumé le rôle de cheffe, et j’ai commencé à organiser la majorité du travail. Un jour, une sœur m’a dit : « Pourquoi ai-je l’impression que lorsque vous travaillez toutes les trois, tu es la cheffe ? » J’ai été choquée d’entendre cela : « Comment a-t-elle pu dire ça ? Nous trois sommes censées collaborer, comment peut-elle dire que je suis la cheffe ? Est-ce que je suis trop arrogante et que je me mets constamment en valeur ? Est-ce que Dieu utilise cette sœur pour me le rappeler ? » J’ai ressenti une légère peur, mais je n’ai pas réfléchi sur moi-même, et par la suite, j’ai continué à me comporter de la même manière, me mettant en valeur partout où j’allais.
En vivant dans cet état, j’ai senti que Dieu m’avait caché Son visage. Pendant les échanges lors des réunions, mon esprit était comme vide, et je n’arrivais à comprendre aucune situation. Mon travail était également plein d’erreurs. Les dirigeants supérieurs m’ont exposée pour m’être constamment exaltée et mise en valeur, pour avoir fait de mes deux sœurs partenaires de simples figurantes, et pour avoir pris toutes les décisions de travail moi-même. Ils ont dit que je suivais le chemin d’un antéchrist, et ils m’ont renvoyée. Après avoir perdu mon devoir, je me suis sentie désespérée et très peinée. C’était comme si, en un instant, j’étais tombée du ciel sur la terre, et je ne pouvais simplement pas l’accepter. Peu importe comment j’y réfléchissais, je ne comprenais pas pourquoi quelqu’un comme moi, qui avais un sens du fardeau et des vérités-réalités, avait été renvoyé. Je pensais à la manière dont j’avais toujours été à l’avant-garde du travail de l’Église, et pourtant c’était ainsi que cela se terminait. Je me sentais tellement lésée et pleine de ressentiment que cela m’empêchait de dormir. Dans ma douleur, je me présentais continuellement devant Dieu pour prier, et Lui demandais de me guider et de m’éclairer pour comprendre Ses intentions afin que je puisse en tirer une leçon.
Un jour, pendant mes dévotions, j’ai lu les paroles de Dieu : « S’exalter et se rendre témoignage à soi-même, se vanter, essayer d’être tenue en haute estime et adorée par les gens : voilà ce dont l’humanité corrompue est capable. C’est ainsi que les gens réagissent instinctivement quand ils sont dominés par leur nature satanique, et c’est une chose commune à toute l’humanité corrompue. Comment les gens s’exaltent-ils et se rendent-ils témoignage à eux-mêmes habituellement ? Comment atteignent-ils l’objectif qui vise à amener les gens à les tenir en haute estime et à les adorer ? Ils montrent dans quelle mesure ils ont travaillé, souffert et se sont dépensés, et quel prix ils ont payé. Ils s’exaltent en parlant de leur capital, ce qui leur procure une place plus élevée, plus stable et plus sûre dans l’esprit des gens, si bien que davantage de gens les apprécient, les estiment, les admirent, et même, les vénèrent, les respectent et les suivent. Pour atteindre ce but, les gens font beaucoup de choses qui rendent témoignage à Dieu en apparence, mais qui, fondamentalement, s’exaltent et se rendent témoignage à eux-mêmes. Agir ainsi est-il raisonnable ? Ils sont au-delà du champ de la rationalité et ils n’ont aucune honte. Autrement dit, ils témoignent effrontément de ce qu’ils ont fait pour Dieu et combien ils ont souffert pour Lui. Ils se vantent même de leurs dons, de leurs talents, de leur expérience, de leurs compétences particulières, des techniques ingénieuses dont ils se servent dans leurs interactions mondaines, des moyens qu’ils utilisent pour manipuler les gens, et ainsi de suite. Leur méthode, pour s’exalter et se rendre témoignage à eux-mêmes, consiste à se vanter et à rabaisser les autres. Ils se camouflent et s’embellissent également, cachant aux autres leurs points faibles, leurs défauts et leurs insuffisances, pour qu’ils ne voient jamais que leur côté brillant. Quand ils n’ont pas le moral, ils n’osent même pas le dire aux autres : ils n’ont pas le courage de s’ouvrir et d’échanger avec eux, et quand ils font quelque chose de mal, ils font de leur mieux pour le masquer et le dissimuler. Ils ne mentionnent jamais le mal qu’ils ont causé au travail de l’Église dans le cadre de l’accomplissement de leur devoir. Cependant, dès qu’ils ont apporté quelque contribution mineure ou obtenu quelque succès modeste, ils sont prompts à le faire remarquer. Ils sont impatients de faire savoir au monde entier combien ils sont capables, combien leur calibre est élevé, combien ils sont exceptionnels et combien ils valent mieux que le commun des mortels. N’est-ce pas là une façon de s’exalter et de se rendre témoignage à soi-même ? S’exalter et se rendre témoignage à soi-même, est-ce ce que fait quelqu’un qui a conscience et raison ? Non. Quand les gens font cela, quel tempérament cela révèle-t-il donc, habituellement ? L’arrogance. C’est là l’un des principaux tempéraments révélés, suivi par la malhonnêteté, et cela consiste à faire tout ce qu’il est possible de faire pour être tenu en haute estime par les autres. Leurs paroles sont totalement inattaquables et elles reflètent clairement des motivations et des plans. Ils s’affichent, pourtant ils veulent cacher ce fait. Le résultat de ce qu’ils disent, c’est que les gens ont l’impression qu’ils sont meilleurs que les autres, que personne ne les égale, que tous les autres leur sont inférieurs. Or, ce résultat n’est-il pas obtenu par des moyens sournois ? Quel tempérament se cache derrière de tels moyens ? Et n’y a-t-il pas là de la malveillance ? (Si.) C’est là un genre de tempérament malveillant » (La Parole, vol. 4 : Exposer les antéchrists, Point 4 : Ils font leur propre éloge et témoignent à leur propre sujet). Les paroles de Dieu exposaient mon état exact. J’ai réfléchi à la façon dont, lorsque j’assistais aux réunions avec les dirigeants d’Église, et que je voyais qu’ils avaient des difficultés, j’adoptais des solutions d’échange comme une occasion de m’exalter et de me mettre en valeur, et j’insistais pour mentionner les détails de la façon dont je cherchais la vérité et priais Dieu, mais je cachais la négativité et la faiblesse que je ressentais face aux difficultés, en ne mentionnant ces choses à aucun moment. Pour que mes sœurs partenaires m’admirent, sur la question du discernement de la sœur hôte, j’avais délibérément passé sous silence mon incapacité à comprendre la situation, et je n’avais parlé que de la façon dont j’avais discerné cela. J’avais fait cela pour que mes sœurs partenaires pensent que je comprenais la vérité, que je pouvais discerner les choses et que j’étais meilleure qu’elles. Lorsque j’ai rencontré la superviseuse du devoir textuel, j’étais encore plus calculatrice, et je cherchais des opportunités pour me mettre en valeur. Dans ce que je disais, je rabaissais aussi intentionnellement mes deux sœurs partenaires, sous-entendant qu’elles étaient inférieures à moi afin de me valoriser. Parce que je n’arrêtais pas de me mettre en valeur devant mes frères et sœurs, ils ont cessé de se tourner vers Dieu ou de chercher les vérités-principes lorsqu’ils rencontraient des problèmes, et au lieu de cela, ils s’appuyaient sur moi pour l’échange et les solutions. Cela a fait que mes sœurs partenaires sont devenues de simples figurantes. Pour gagner l’admiration des autres, je ne manquais jamais une occasion de me mettre en valeur, et chacune de mes actions et de mes paroles étaient motivées par mes intentions cachées. J’étais vraiment méprisable et malveillante ! Le cœur d’une personne est le temple de Dieu, et les gens devraient adorer Dieu. Mais, j’essayais de faire en sorte que les autres m’adorent. N’agissais-je pas comme un bandit ? Selon mes actions et mes actes, je méritais d’être maudite et punie ! Mais Dieu ne m’a pas punie selon mes actions. Au contraire, Il m’a donné la chance de me repentir. Mon cœur était rempli de regrets et de culpabilité.
Plus tard, j’ai lu un passage des paroles de Dieu : « Concernant le travail, l’homme croit qu’il s’agit de courir de tous les côtés pour Dieu, de prêcher partout et de se dépenser pour Lui. Bien que cette croyance soit correcte, elle est trop unilatérale ; ce que Dieu exige de l’homme n’est pas seulement qu’il coure de tous les côtés pour Lui : au-delà de ça, ce travail concerne le ministère et l’approvisionnement dans l’esprit. […] Nombreux sont ceux qui accordent de l’importance uniquement au fait de courir de tous les côtés pour Dieu et de prêcher partout, mais négligent leur expérience individuelle et leur entrée dans la vie spirituelle. C’est ce qui a conduit ceux qui servent Dieu à devenir ceux qui résistent à Dieu. Ces gens, qui servent Dieu et prennent soin de l’homme depuis toutes ces années, ont simplement considéré le travail et la prédication comme une entrée, et aucun n’a considéré son expérience spirituelle individuelle comme une entrée importante. Au contraire, ils ont considéré l’illumination qu’ils tirent de l’œuvre du Saint-Esprit comme un capital à partir duquel enseigner aux autres. Lorsqu’ils prêchent, ils sont surchargés et font l’objet de l’œuvre du Saint-Esprit, et par ce moyen, ils libèrent la voix du Saint-Esprit. À ce moment-là, ceux qui travaillent sont emplis de suffisance, comme si l’œuvre du Saint-Esprit était devenue leur expérience spirituelle individuelle ; ils estiment que toutes les paroles qu’ils prononcent appartiennent à leur être individuel, mais là encore, comme si leur propre expérience n’était pas aussi claire qu’ils l’ont décrite. Qui plus est, avant de parler, ils n’ont pas la moindre idée de ce qu’ils vont dire, mais quand le Saint-Esprit œuvre en eux, ils débitent leurs paroles dans un flux ininterrompu. Après que tu as prêché une fois avec une telle attitude, tu sens que ta stature réelle n’est pas si petite que tu croyais, et comme dans une situation dans laquelle le Saint-Esprit aurait travaillé en toi plusieurs fois, tu conclus que tu as déjà la stature et tu crois à tort que l’œuvre du Saint-Esprit est ta propre entrée et ton propre être. Lorsque tu vivras constamment de cette manière, tu deviendras négligent au sujet de ta propre entrée, tu sombreras dans la paresse sans t’en rendre compte et tu cesseras d’accorder de l’importance à ton entrée individuelle. Pour cette raison, lorsque tu prends soin des autres, tu dois clairement faire la distinction entre ta stature et l’œuvre du Saint-Esprit. Cela peut mieux permettre ton entrée et rendre ton expérience plus profitable. Quand l’homme assimile son expérience individuelle à l’œuvre du Saint-Esprit, cela devient une source de dépravation. C’est pourquoi Je dis que quel que soit le devoir que vous accomplissez, vous devez considérer votre entrée comme une leçon vitale » (La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, L’œuvre et l’entrée (2)). Grâce aux paroles de Dieu, j’ai compris que, bien que j’aie été capable de travailler, de prêcher, d’avoir un certain discernement et de résoudre quelques problèmes, tout cela était le fruit de l’œuvre du Saint-Esprit, et ne représentait pas ma véritable stature. J’ai repensé à l’époque où j’étais devenue prédicatrice pour la première fois. Le travail de plusieurs Églises était arrivé au point mort, et à ce moment-là, je n’avais pas su quoi faire. Par la prière sincère et en appelant Dieu, Dieu nous a aidées grâce aux frères et sœurs, et grâce à la coopération de chacun, nous avons réussi à exclure la bande d’antéchrists. Plus tard, en raison des arrestations du PCC, nous avons dû organiser le déplacement des frères et sœurs. Nous vivions dans des difficultés, et c’était la direction des paroles de Dieu qui nous avait donné la foi, et c’étaient les frères et sœurs qui avaient activement proposé des maisons d’accueil. C’était Dieu qui protégeait Sa propre œuvre. J’avais même été encore plus médiocre en termes de discernement, et plus tard, c’était en voyant comment Dieu avait arrangé ces circonstances, en me révélant des choses et en me dirigeant par Ses paroles, que j’avais pu discerner la sœur hôte. Tout cela était le fruit de l’œuvre de Dieu, mais je m’étais tout attribué et je m’étais mise en valeur partout où j’allais. J’avais vraiment fait en sorte que Dieu me déteste ! Maintenant, j’avais perdu l’œuvre du Saint-Esprit, j’étais dans les ténèbres, incapable de voir quoi que ce soit clairement, et l’efficacité des différents aspects du travail avait considérablement diminué. Bien que je travaillais plus dur qu’auparavant pour résoudre les problèmes, je continuais à faire des erreurs, et le travail était truffé de défauts. Cela faisait un an que je supervisais et que je formais dans ces Églises, et voilà comment mon travail se terminait. J’ai vu que je n’avais pas de vérités-réalités. J’avais été stupide et aveugle, et incapable de reconnaître l’œuvre du Saint-Esprit. J’avais pris à tort les résultats de l’œuvre du Saint-Esprit pour ma véritable stature, et je pensais que j’avais des vérités-réalités, et j’ai utilisé ces choses comme un capital pour me mettre en valeur devant les autres. J’étais vraiment dépourvue de honte ! En voyant combien j’avais nui au travail, je me suis sentie profondément désolée et coupable, et j’ai rapidement prié Dieu, « Dieu, j’ai fait tant de mal sans m’en rendre compte. Si Ton châtiment et Ta discipline n’étaient pas venus sur moi, je n’aurais pas réfléchi sur moi-même. Être renvoyée m’a vraiment sauvée ! Dieu, je vais réfléchir profondément sur moi-même et me repentir devant Toi. »
Plus tard, j’ai lu un passage des paroles de Dieu : « Depuis la corruption de l’humanité par Satan, la nature des gens a commencé à se détériorer et ils ont progressivement perdu la raison que possèdent les gens normaux. Ils n’agissent plus maintenant comme des êtres humains dans la position de l’homme, mais sont remplis d’aspirations folles. Ils ont dépassé le rang de l’homme, mais aspirent tout de même à aller encore plus haut. À quoi ce “plus haut” fait-il référence ? Ils souhaitent dépasser Dieu, dépasser les cieux et dépasser tout le reste. Qu’est-ce qui est à l’origine de la raison pour laquelle les gens révèlent de tels tempéraments ? Au bout du compte, la nature de l’homme est excessivement arrogante. La plupart des gens comprennent le sens du mot “arrogance”. C’est un terme péjoratif. Si quelqu’un révèle de l’arrogance, les autres pensent qu’il n’est pas une bonne personne. Chaque fois que quelqu’un est incroyablement arrogant, les autres supposent toujours que c’est une personne malfaisante. Personne ne veut être affublé d’une telle étiquette. Cependant, en réalité, tout le monde est arrogant et tous les humains corrompus ont cette essence. Certains disent : “Je ne suis pas arrogant le moins du monde. Je n’ai jamais voulu être l’archange et je n’ai jamais voulu non plus surpasser Dieu, ni surpasser n’importe qui d’autre. J’ai toujours été quelqu’un de particulièrement bien élevé et consciencieux.” Pas forcément : ces paroles sont incorrectes. Une fois que la nature et l’essence des gens sont devenues arrogantes, ils peuvent souvent se rebeller contre Dieu et Lui résister, faire des choses qui ne tiennent pas compte de Ses paroles, des choses qui génèrent des notions à Son sujet, faire des choses qui Le trahissent et des choses qui les glorifient et leur portent témoignage à eux-mêmes. Tu dis que tu n’es pas arrogant, mais imagine qu’on te donne une Église et qu’on t’autorise à la diriger ; imagine que Je ne t’émonde pas et que personne dans la maison de Dieu ne te critique ni ne t’aide : après l’avoir dirigée pendant un temps, tu amènerais les gens à tes pieds et les forcerais à t’obéir, au point même qu’ils t’admirent et te révèrent. Et pourquoi ferais-tu cela ? Ce serait déterminé par ta nature ; ce n’est autre qu’une manifestation naturelle. Tu n’as aucun besoin d’apprendre cela des autres, et il n’est pas non plus nécessaire qu’ils te l’enseignent. Tu n’as pas besoin que d’autres t’instruisent ou t’obligent à le faire : ce genre de situation se produit naturellement. Tout ce que tu fais consiste à obliger les gens à t’exalter, à te louer, à t’adorer, à t’obéir et à t’écouter en toutes choses. Te permettre d’être un dirigeant entraîne naturellement cette situation, et cela ne peut pas être changé. Et comment cette situation se produit-elle ? Elle est déterminée par la nature arrogante de l’homme. L’arrogance se manifeste par la rébellion et la résistance à l’égard de Dieu. Quand les gens sont arrogants, prétentieux et suffisants, ils ont tendance à établir leur propre royaume indépendant et à faire les choses à leur guise. Ils en amènent aussi d’autres dans leurs propres mains et les attirent dans leurs étreintes. Que les gens soient capables de faire des choses aussi arrogantes, cela prouve que l’essence de leur nature arrogante est celle de Satan : c’est celle de l’archange. Quand leur arrogance et leur prétention atteignent un certain niveau, ils n’ont plus de place pour Dieu dans leur cœur et Dieu est mis de côté. Ils désirent alors être Dieu, obligent les gens à leur obéir et deviennent l’archange. Si tu possèdes une telle nature arrogante et satanique, alors Dieu n’aura pas de place dans ton cœur. Même si tu crois en Dieu, Dieu ne te reconnaîtra plus, Il verra en toi une personne malfaisante et t’éliminera » (La Parole, vol. 3 : Discours de Christ des derniers jours, Une nature arrogante est à la racine de la résistance de l’homme à Dieu). Grâce aux paroles de Dieu, j’ai vu qu’après que les gens aient été corrompus par Satan, ils ont développé une nature satanique, et que l’arrogance leur avait fait perdre leur raison et leur volonté de se tenir à la position d’un être créé pour adorer Dieu. Gouvernée par ma nature arrogante, j’aimais la louange et l’admiration des autres. Après avoir résolu quelques problèmes dans quelques Églises, j’avais commencé à croire que j’avais des vérités-réalités et j’étais devenue arrogante. Peu importe avec qui j’interagissais, je cherchais toujours des occasions de me mettre en valeur et de me vanter. Cela a fait en sorte que mes sœurs partenaires m’admiraient, et lorsque des problèmes survenaient, elles s’appuyaient sur moi pour trouver une solution. Je savais que l’état qu’elles avaient était erroné, mais je ne les ai pas aidées ou échangé avec elles, au contraire, j’ai vraiment pris plaisir à être admirée. Lorsque les frères et sœurs rencontraient des problèmes et des difficultés, je n’avais pas cherché la vérité ou l’échange pour les résoudre, mais au lieu de cela, j’avais mis en valeur mes dons et mon calibre, me vantant uniquement de mes réussites et des bons aspects de ma personne, sans mentionner mon état négatif et faible. J’avais même cherché à me valoriser devant les frères et sœurs, en rabaissant mes deux sœurs partenaires, afin que tout le monde pense que j’étais meilleure qu’elles et m’admire. Lorsque des problèmes surgissaient, elles se tournaient vers moi pour prendre la décision finale, et au final, j’ai transformé mes sœurs partenaires en simples figurantes. Même à ce moment-là, je n’avais pas eu peur. Au contraire, j’avais apprécié tout cela, je pensais qu’il était juste que les frères et sœurs m’admirent, et même quand la sœur m’avait fait un rappel, je n’avais toujours pas réfléchi sur moi-même. J’étais juste un être créé, vil et insignifiant, mais je n’avais pas reconnu mon identité et mon statut. Au lieu de me tenir dans la position d’un être créé pour adorer Dieu, j’ai essayé d’attirer les gens à moi en me mettant en valeur. J’étais tellement arrogante que j’avais perdu ma raison ! Même après avoir commis un mal aussi grand, je continuais à m’admirer. J’étais vraiment dépourvue de honte, vile et détestable ! Je voulais simplement m’enfouir dans un trou et m’y cacher. Je me sentais trop honteuse pour faire face à Dieu et trop honteuse pour affronter mes frères et sœurs. À ce moment-là, j’ai enfin pris conscience que mon renvoi m’avait protégée. Si je n’avais pas été renvoyée et empêchée de continuer mes actes malfaisants, j’aurais continué à vivre selon mon tempérament arrogant et j’aurais continué sur le mauvais chemin de la poursuite de statut, et finalement, j’aurais offensé le tempérament de Dieu et j’aurais été jetée en enfer pour être punie. J’ai vu que ce renvoi était en réalité une forme de salut, et dans mon cœur, j’étais pleine de gratitude envers Dieu.
Plus tard, j’ai cherché comment je pouvais exalter Dieu et témoigner de Lui. J’ai lu les paroles de Dieu : « Quand vous rendez témoignage à Dieu, vous devriez principalement parler de la manière dont Dieu juge et châtie les gens, et des épreuves qu’Il utilise pour épurer les gens et changer leurs tempéraments. Parlez aussi de la corruption révélée dans votre expérience, de toutes les souffrances que vous avez endurées, du nombre de choses que vous avez faites pour résister à Dieu, et de la manière dont vous avez été finalement conquis par Dieu. Parlez de toute la connaissance réelle que vous avez de l’œuvre de Dieu et de la manière dont vous devriez rendre témoignage à Dieu et Lui rendre Son amour. Vous devriez mettre du contenu dans ce genre de langage tout en le formulant de manière simple. Ne parlez pas de théories creuses. Parlez de façon plus terre-à-terre ; parlez avec votre cœur. C’est ainsi que vous devez faire l’expérience des choses. Ne vous munissez pas de théories creuses qui paraissent profondes dans l’effort de vous mettre en valeur ; ce faisant, vous avez l’air très arrogant et absurde. Vous devez parler davantage de choses réelles tirées de votre expérience réelle et parler davantage avec votre cœur ; c’est très profitable pour les autres et il est très approprié qu’ils le voient » (La Parole, vol. 3 : Discours de Christ des derniers jours, Ce n’est qu’en cherchant la vérité qu’on peut réaliser un changement de tempérament). Les paroles de Dieu ont indiqué un chemin par lequel je pourrais exalter Dieu et témoigner de Lui, c’est-à-dire parler de la corruption que j’avais révélée face aux problèmes, comment j’avais résisté et m’étais rebellée contre Dieu, comment j’avais cherché la vérité pour me comprendre, en m’ouvrant et en exposant ma corruption et ma nature-essence, et en témoignant de la manière dont Dieu a utilisé ses paroles pour me purifier et me changer. Échanger ainsi permettrait d’exalter Dieu et de témoigner de Lui. Lorsque je parle de mes expériences, je devrais évoquer la négativité et la faiblesse dans mon cœur, et je devrais parler de la manière dont Dieu m’a éclairée et dirigée, et de la compréhension que j’ai gagnée sur moi-même et des chemins de pratique que j’ai trouvés. Cela permettrait à mes frères et sœurs de voir que sans la direction de Dieu, rien ne peut être accompli par l’homme, et que c’est Dieu qui est souverain sur tout, en permettant aux gens de venir connaître Dieu. Ce n’est qu’en agissant ainsi que l’on exalte véritablement et que l’on témoigne de Dieu. En réfléchissant à la manière dont j’avais parlé de mes expériences, j’ai pris conscience que mes intentions étaient de faire en sorte que les autres m’admirent, et que je minimisais délibérément mon état négatif et faible, tout en parlant longuement de la manière dont je m’étais tournée vers Dieu et m’étais appuyée sur Lui dans les moments difficiles, et de la manière dont Dieu m’avait guidée. En conséquence, mes frères et sœurs ont vu que je savais comment vivre les choses que je rencontrais et m’ont admirée, mais ils n’ont gagné aucune connaissance de Dieu. Je m’exaltais et je me mettais en valeur constamment, ce qui a fait que Dieu me détestait ! J’étais profondément pleine de regrets et j’ai prié Dieu : « Dieu, c’est Ta punition et Ta discipline qui ont réveillé mon cœur insensible et m’ont finalement fait voir que je t’avais résisté et que je me rebellais contre Toi tout ce temps. Si j’ai une autre opportunité de faire mes devoirs à l’avenir, je changerais certainement ma poursuite erronée, je me tiendrais à ma juste place et j’agirais avec obéissance en tant qu’être créé. »
En mai 2021, les dirigeants m’ont envoyée dans une Église pour résoudre un problème. Il y avait une personne malfaisante dans l’Église nommée Ma Li, qui avait attaqué un nouveau dirigeant récemment élu, ce qui a fait que ce dirigeant est devenu négatif. Après mon arrivée, j’ai appris que Ma Li avait été isolée pour réflexion en 2018 pour avoir attaqué un dirigeant, mais qu’elle n’avait pas changé. Je pensais qu’elle était une personne malfaisante, mais j’avais peur de faire une erreur, alors j’ai signalé son comportement constant aux dirigeants supérieurs. Les dirigeants ont répondu, ils ont échangé que, selon les principes : Ma Li était une personne malfaisante, que les documents la concernant devaient être organisés et qu’elle devait être exclue. Ainsi, j’ai échangé sur le discernement avec tout le monde et j’ai exclu cette personne malfaisante. Après cela, la vie d’Église des frères et sœurs est revenue à la normale, et le travail de l’Église a recommencé à fonctionner normalement. Lors d’une réunion, Sœur Fang Xin m’a dit : « Tu possèdes vraiment les vérités-réalités. Tu as pu discerner que Ma Li était une personne malfaisante dès ton arrivée et tu as géré cette situation à temps. Si tu n’étais pas venue, je n’aurais vraiment pas pu faire ce travail. » Après l’avoir entendue dire cela, je me suis dit : « Si je n’étais pas venue, ils n’auraient vraiment pas pu gérer cette personne malfaisante, et la vie d’Église ne serait pas revenue à la normale. » Mais dès que j’ai pensé cela, j’ai immédiatement pris conscience que c’était l’œuvre du Saint-Esprit qui avait produit ce résultat, mais que j’étais en train de m’admirer et de voler la gloire de Dieu. C’est ainsi que j’avais échoué auparavant, et je ne pouvais plus me permettre de me mettre en valeur. Alors, j’ai dit qu’au début, je n’avais pas vu clair dans cette affaire concernant Ma Li, alors j’ai écrit une lettre aux dirigeants supérieurs pour obtenir une direction, et ce n’est qu’après que les dirigeants ont échangé selon les principes que j’ai pu voir clairement que Ma Li était une personne malfaisante. Après avoir échangé, Fang Xin a compris, et elle a dit qu’elle avait tendance à idolâtrer les gens et qu’elle devait changer cela.
Après avoir traversé cette expérience, j’étais remplie de gratitude envers Dieu. Si je n’avais pas échoué et trébuché et sans l’exposition des paroles de Dieu, je n’aurais pas été consciente du mauvais chemin que je suivais, et je n’aurais pas non plus gagné une véritable compréhension de ma nature arrogante et résistante envers Dieu. Cette expérience est devenue un trésor précieux dans mon entrée dans la vie, elle a marqué un tournant dans mon parcours de foi, et a corrigé ma poursuite erronée. En même temps, cela m’a aidé à comprendre un peu plus la vérité concernant l’exaltation et le témoignage de Dieu, et j’ai gagné un chemin de pratique à ce sujet.
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