Ce qui se cache derrière un affairement apparent
En décembre de l’année dernière, j’ai fait face à l’émondage pour avoir été irresponsable dans l’exécution de mes devoirs. Après réflexion, je me suis rendu compte que, pendant cette période, ma performance dans l’accomplissement de mes devoirs était en effet irresponsable. En tant que dirigeante d’Église, je ne faisais que suivre le travail textuel et j’ignorais toutes les autres tâches qui ne relevaient pas directement de ma responsabilité ou qui n’affectaient pas ma réputation et mon statut. Même si j’aurais pu utiliser mon temps plus efficacement pour suivre plus de travaux, je trouvais cela ennuyeux et fatigant, je n’étais donc pas disposée à faire des efforts supplémentaires. Par conséquent, je n’étais pas consciente des retards avec les tâches liées aux vidéos. Je n’avais vraiment pas fait de travail concret. Voyant que la maison de Dieu ne me renvoyait pas et me donnait une chance de continuer à faire mes devoirs, je me suis dit : « Je dois vraiment me repentir et rembourser ma dette. »
Par la suite, pendant la journée, j’assurais le suivi du tournage des vidéos de témoignages d’expérience et, la nuit, je vérifiais des documents. Mon emploi du temps était chargé tous les jours. Même si j’avais moins de temps libre, chaque jour était gratifiant. Plus tard, je restais debout jusqu’à deux ou trois heures du matin chaque nuit et je me réveillais vers 7 heures du matin. Sur le coup, je ne me sentais pas fatiguée. Je pensais que veiller tard me permettrait d’accomplir plus de travail, ce qui était mieux que de céder au confort comme auparavant. Plus tard, les sœurs de mon entourage ont remarqué mes fréquentes veilles et mon teint de cire et elles m’ont rappelé de me reposer plus tôt. Une autre sœur m’a demandé : « Tu veilles très tard la nuit et tu te reposes rarement à midi. Peux-tu supporter cela jour après jour ? » Je me suis dit : « Mes frères et sœurs ont donc vu ma souffrance. Alors, endurer cette difficulté en vaut la peine. Au moins, tout le monde peut voir mon attitude repentante et que je suis une personne qui peut endurer des souffrances dans l’accomplissement de son devoir, pas une personne qui cherche le confort. » Pendant cette période, quand je voyais quelques sœurs aller se coucher à vingt trois heures, je les méprisais dans mon cœur, en pensant : « C’est trop confortable. Vous n’êtes ni anxieuses ni pressées dans vos devoirs, et vous ne faites pas preuve de considération envers les intentions de Dieu. » Afin de leur montrer que mon attitude envers mes devoirs était différente, je continuais de veiller tard et de me lever tôt. Mais à mesure que les veillées s’enchaînaient, mon corps a commencé à montrer des réactions indésirables. Vers vingt trois heures ou minuit chaque soir, mon cœur commençait à battre la chamade. Je savais que veiller était nocif pour le corps, et Dieu a échangé plusieurs fois sur le fait de maintenir un rythme de sommeil normal. Mais j’ai commencé à réfléchir : « Et si je me couchais tôt ? Que penseraient les frères et sœurs de moi ? Diraient-ils : “Lorsque tu faisais face à l’émondage, tu pouvais endurer quelques difficultés et payer un petit prix, mais avec le temps, ton vrai visage a été révélé et rien n’a changé ?” » Je ne voulais pas que les frères et sœurs aient cette impression de moi. Afin de maintenir l’image d’une personne qui a un fardeau, même quand j’étais très fatiguée le soir, je serrais les dents et persévérais. Au milieu de la journée, je n’osais pas faire une sieste trop longue, craignant que les frères et sœurs disent que je cédais à la chair. Parfois, quand je ne faisais pas de sieste à midi et que je me sentais vraiment fatiguée, je buvais une tasse de café pour rester éveillée. Parfois, quand je travaillais tard dans la nuit et que je voyais d’autres frères et sœurs au bureau, je faisais intentionnellement du bruit pour qu’ils sachent que je travaillais aussi très tard. Pour certains frères et sœurs qui se trouvaient dans des fuseaux horaires différents, quand il m’envoyaient des messages, même si j’étais couchée, je leur répondais. Chaque fois qu’ils disaient : « Il est vraiment tard et tu ne dors pas encore. Va te reposer ! » J’étais enchantée intérieurement, me disant que les frères et sœurs pouvaient voir mes efforts. Quand la dirigeante supérieure m’interrogerait finalement quant à ma performance, peu importe le résultat de mon travail, mon attitude dans l’accomplissement de mes devoirs serait jugée convenable. Même s’il n’y avait pas de prouesses, il y avait assurément un dur labeur. Certainement, les frères et sœurs louraient mon comportement repentant et ils me verraient comme une dirigeante qui accomplit un travail concret. Penser à ces choses me donnait toujours un sentiment de sécurité.
Mais à force de veiller tard, je me réveillais chaque matin avec des palpitations cardiaques et comme mon cerveau était fatigué, je ne pouvais pas bien me concentrer lorsque je vérifiais des documents pendant la journée. Ma productivité au travail était faible pendant la journée, donc je devais rester éveillée tard afin d’accomplir plus de choses. Comme je m’endormais tard, il était presque huit heures quand je finissais mon petit-déjeuner le lendemain matin. Je voulais faire mes dévotions spirituelles, mais je sentais que le temps me manquait, alors, je jetais un coup d’œil rapide aux paroles de Dieu et, sans réfléchir profondément, je commençais à travailler. Écrire des articles devenait de plus en plus difficile ; j’avais le sentiment d’être trop occupée par mes devoirs pour avoir du temps. Plus tard, les problèmes ont commencé à surgir les uns après les autres avec mes devoirs et c’est alors que j’ai commencé à réfléchir : j’avais l’intention de bien faire mes devoirs, alors, pourquoi y avait-il de plus en plus de problèmes ? Pourquoi l’efficacité de mes devoirs diminuait-elle ? J’ai réalisé que si je continuais dans ce cercle vicieux, non seulement je serais physiquement exténuée, mais mon travail manquerait également de résultats. Je devais rapidement renverser cette situation.
Plus tard, j’ai réfléchi : je savais que veiller tard était mauvais pour ma santé et diminuait l’efficacité de mes devoirs, alors, pourquoi persistais-je à faire cela ? En y repensant, je me suis rendu compte que, pendant cette période, je faisais des choses pour paraître d’une certaine manière devant les gens. Ensuite, j’ai pensé à la façon dont Dieu avait disséqué les antéchrists pour des comportements similaires. J’ai donc cherché les paroles de Dieu sur ce sujet pour les lire. Dieu Tout-Puissant dit : « Certaines personnes témoignent à leur propre sujet en utilisant le langage et prononcent des paroles pour se mettre en avant, tandis que d’autres utilisent des comportements. Quelles sont les manifestations d’une personne qui utilise des comportements pour témoigner à son propre sujet ? En surface, ils adoptent des comportements plutôt conformes aux notions des gens, qui attirent l’attention des gens, et qui sont considérés par les gens comme assez nobles et plutôt conformes aux normes morales. Ces comportements font croire aux gens qu’ils sont honorables, qu’ils ont de l’intégrité, qu’ils aiment vraiment Dieu, qu’ils sont très pieux, et qu’ils possèdent vraiment un cœur qui craint Dieu, et qu’ils sont quelqu’un qui poursuit la vérité. Ils affichent souvent de bons comportements en apparence afin de fourvoyer les gens : cela n’a-t-il pas aussi l’odeur nauséabonde du fait de faire son propre éloge et de témoigner à son propre sujet ? D’habitude, les personnes font leur propre éloge et témoignent à leur propre sujet par le biais de paroles, en utilisant un discours clair pour exprimer en quoi elles sont différentes des masses, et en quoi elles ont des opinions plus sages que les autres, pour que les gens les tiennent en haute estime et les admirent. Cependant, il existe des méthodes qui n’impliquent pas de discours explicite, où les personnes utilisent plutôt des pratiques externes pour témoigner qu’elles sont meilleures que d’autres. […] Je vais donner un exemple très simple. Quand certaines personnes font leur devoir, elles semblent extrêmement occupées en apparence ; elles continuent délibérément leur travail à des moments où d’autres mangent ou dorment, et lorsque d’autres commencent à faire leur devoir, elles vont manger ou dormir. Quel est leur but en faisant cela ? Elles veulent attirer l’attention et montrer à tout le monde qu’elles sont tellement occupées à faire leur devoir qu’elles n’ont le temps ni de manger ni de dormir. Elles pensent : “Vous ne portez vraiment aucun fardeau. Comment êtes-vous si proactifs pour manger et dormir ? Bande de bons à rien ! Regardez-moi, je travaille pendant que vous mangez, et je suis toujours au travail la nuit quand vous dormez. Seriez-vous capables de souffrir ainsi ? Je peux endurer cette souffrance ; je donne l’exemple à travers mon comportement.” Que pensez-vous de ce type de comportement et de manifestation ? Ces personnes ne le font-elles pas délibérément ? Certaines personnes font ces choses délibérément, et quel est ce genre de comportement ? Ces gens veulent être non-conformistes ; elles veulent être différentes de la masse et montrer aux gens qu’elles sont occupées à faire leur travail toute la nuit, qu’elles sont particulièrement capables de supporter la souffrance. Ainsi, tout le monde se sentira vraiment désolé pour elles et leur témoignera une sympathie particulière, pensant qu’elles ont un lourd fardeau sur les épaules, dans la mesure où elles sont submergées de travail et sont bien trop préoccupées pour manger ou pour dormir. Et si elles ne peuvent pas être sauvées, alors tout le monde implorera Dieu pour elles, ils supplieront Dieu en leur nom et prieront pour elles. Ce faisant, ces personnes utilisent de bons comportements et des pratiques qui sont en accord avec les notions de l’homme, comme endurer des souffrances et payer le prix, pour leurrer les autres et obtenir de façon frauduleuse leur bienveillance et leurs éloges. Et quel en est le résultat final ? Tous ceux qui les ont côtoyées et les ont vues payer le prix diront d’une seule voix : “Notre dirigeant est le plus compétent, le plus capable de supporter la souffrance et de payer le prix !” N’ont-elles pas alors atteint leur objectif de fourvoyer les gens ? Puis un jour, la maison de Dieu dit : “Votre dirigeant ne travaille pas vraiment. Il s’occupe et travaille sans but ; il agit de façon irresponsable et il est arbitraire et tyrannique. Il a mis le désordre dans le travail de l’Église, il n’a pas fait le travail qu’il aurait dû faire, il n’a pas effectué le travail de l’Évangile ou le travail de production de film, et la vie de l’Église est tout aussi chaotique. Les frères et sœurs ne comprennent pas la vérité, ils n’ont pas l’entrée dans la vie et ils ne peuvent pas écrire d’articles de témoignage. Le plus pitoyable, c’est qu’ils ne peuvent même pas discerner les faux dirigeants des antéchrists. Ce genre de dirigeant est trop incompétent ; c’est un faux dirigeant qui devrait être démis de ses fonctions !” Dans ces circonstances, sera-t-il facile de le renvoyer ? Cela pourrait être difficile. Puisque les frères et sœurs l’approuvent et le soutiennent tous, si quelqu’un tente de renvoyer ce dirigeant, les frères et sœurs protesteront et présenteront une demande au Supérieur pour le retenir. Pourquoi y aura-t-il un tel résultat ? Parce que ce faux dirigeant et antéchrist fait preuve de bons comportements apparents comme le fait de supporter des souffrances et de payer le prix, ainsi que des paroles agréables à entendre, pour émouvoir, corrompre et fourvoyer les gens. Une fois qu’il aura utilisé ces fausses apparences pour fourvoyer les gens, tout le monde parlera pour lui et ne pourra plus le quitter. Ils sont parfaitement au courant que ce dirigeant n’a pas vraiment fait de véritable travail, et qu’il n’a pas guidé les élus de Dieu pour comprendre la vérité et gagner l’entrée dans la vie, mais ces gens le soutiennent encore, l’approuvent et le suivent, sans même se soucier de ne pas gagner la vérité et la vie » (La Parole, vol. 4 : Exposer les antéchrists, Section 4 : Ils s’exaltent et témoignent d’eux-mêmes). J’ai vu que c’était mon comportement que Dieu exposait. Depuis que la dirigeante supérieure m’avait émondée pour avoir accompli mes devoirs sans fardeau et pour n’avoir pas fait de travail concret, j’avais secrètement résolu de me repentir et de changer. Initialement, j’avais quelques pratiques positives, ayant l’intention de compenser ma dette par des actions concrètes. Mais peu à peu, la nature de mon comportement a commencé à changer. Quand je veillais tard et que je recevais de l’attention et des soins de la part des frères et sœurs, je voulais prouver à tout le monde par mon comportement concret que je m’étais repentie pendant ce temps et que j’étais disposée à payer le prix pour mes devoirs. Si un jour, la dirigeante supérieure demandait à chacun son évaluation de moi, les frères et sœurs parleraient sûrement de moi en bien, prouvant que je n’étais pas une paresseuse ni une dirigeante irresponsable. J’ai donc enduré inlassablement des souffrances et j’ai veillé tard, utilisant cela pour montrer que j’accomplissais loyalement mes devoirs, allant même jusqu’à me mettre en avant devant les frères et sœurs. Parfois, quand j’étais manifestement très fatiguée et que je voulais dormir, j’essayais quand même d’être la dernière à aller au lit pour souligner « mon emploi du temps chargé » en tant que dirigeante. Parfois, comme je veillais tard, je me sentais mentalement épuisée et dissipée pendant la journée ; dans ce cas, il aurait été normal de faire une sieste. Cependant, afin de maintenir mon image d’une personne portant un fardeau, il m’arrivait parfois de ne pas me reposer à midi, sauf quand je ne pouvais plus le supporter, et même là, je n’osais pas dormir trop longtemps, craignant que tout le monde pense que je cédais à la chair. En veillant tard, tant que certains frères et sœurs étaient encore éveillés, je voulais qu’ils sachent que je persévérais encore. J’envoyais même des messages à des frères et sœurs dans d’autres pays afin que plus de gens sachent que j’étais une personne disposée à endurer des souffrances pour ses devoirs, construisant une image d’une personne qui travaille dur. Voyant que Dieu a exposé certaines personnes qui se servaient du langage et disaient des paroles fanfaronnes pour témoigner d’elles-mêmes et gagner une haute estime, ainsi que d’autres personnes qui utilisaient des comportements qui s’alignent avec les notions humaines, considérées comme nobles et relativement conformes aux normes morales, pour induire les autres en erreur, obligeant ces gens à les admirer et à les révérer, je me suis rendu compte qu’en veillant tard et en souffrant, j’essayais de construire une image favorable de moi-même. Je souhaitais gagner les faveurs de tout le monde et j’utilisais ce bon comportement qui consiste à endurer des souffrances et à payer le prix pour me mettre en avant et induire les autres en erreur, ce qui est une manifestation des antéchrists. J’ai pensé à la manière dont les pharisiens étaient hypocrites, priant délibérément dans les synagogues et aux coins des rues et arborant des visages tristes quand ils jeûnaient. Ils élargissaient également leurs phylactères et faisaient l’aumône de façon ostentatoire, tout cela pour s’exhiber et porter témoignage d’eux-mêmes par ces actes extérieurs de bon comportement. Tout ce que faisaient les pharisiens était d’induire les gens en erreur et de les piéger, de s’établir eux-mêmes et d’obliger les gens à les révérer : les pharisiens empruntaient le chemin de la résistance à Dieu. Au lieu de me concentrer sur les vérités-principes en faisant mes devoirs, j’empruntais un mauvais chemin, manipulant les apparences pour induire les autres en erreur et gagner leur admiration. Comme c’est ignoble !
J’ai continué à réfléchir : quels aspects de tempérament corrompu se cachaient derrière mes souffrances nocturnes ? J’ai lu un passage dans les paroles de Dieu : « Les antéchrists ont de l’aversion pour la vérité, ils n’acceptent pas du tout la vérité, ce qui indique manifestement que les antéchrists n’agissent jamais selon les vérités-principes, qu’ils ne pratiquent jamais la vérité, ce qui est la manifestation la plus flagrante d’un antéchrist. En dehors de la réputation et du statut, des bénédictions et des récompenses, la seule chose qu’ils poursuivent est la jouissance des réconforts de la chair et des avantages du statut ; et dans ce contexte, ils provoquent naturellement des interruptions et des perturbations. Ces faits montrent que Dieu ne chérit pas ce qu’ils poursuivent et la manière dont ils se comportent ni les manifestations en eux. Et ce ne sont absolument pas les actions ni les comportements des gens qui poursuivent la vérité. Par exemple, certains antéchrists qui sont comme Paul ont assez de détermination pour souffrir lorsqu’ils accomplissent leur devoir, ils peuvent rester éveillés toute la nuit et se passer de nourriture lorsqu’ils font leur travail, ils peuvent maîtriser leur propre corps, surmonter n’importe quelle maladie et n’importe quel inconfort. Et quel est leur but en faisant tout cela ? C’est de montrer à chacun qu’ils sont capables de se mettre de côté – de faire preuve d’abnégation – quand il s’agit de la commission de Dieu, que pour eux, seul le devoir compte. Ils exposent tout cela devant les autres. Quand il y a des gens, ils ne se reposent pas quand ils devraient le faire, ils allongent même délibérément leurs horaires de travail, se lèvent tôt et se couchent tard. Mais qu’en est-il de l’efficacité de leur travail et de l’efficacité de leur devoir, lorsque les antéchrists peinent ainsi du matin au soir ? Ces choses sont au-delà de leurs considérations. Ils n’essaient de faire tout cela que devant les autres, pour que les autres les voient souffrir et voient comment ils se dépensent pour Dieu sans se soucier d’eux-mêmes. Quant à savoir s’ils font leur devoir et leur travail selon les vérités-principes, ils n’y pensent pas du tout. Leurs seules préoccupations, c’est de savoir si leur bon comportement extérieur a été vu par tout le monde, si tout le monde en est conscient, s’ils ont laissé à tout le monde une impression qui leur vaudra l’admiration et l’approbation des autres, si ces gens les applaudiront derrière leur dos et s’ils les féliciteront en se disant : “Ils peuvent vraiment endurer des épreuves, leur esprit d’endurance et leur persévérance extraordinaire sont au-delà des capacités de chacun d’entre nous. Voilà quelqu’un qui poursuit la vérité, qui est capable de souffrir et de supporter un lourd fardeau, c’est un pilier de l’Église.” En entendant cela, les antéchrists sont satisfaits. Dans leur cœur, ils se disent : “J’ai vraiment été intelligent de faire semblant comme ça, j’ai vraiment été intelligent de faire ça ! Je savais que tout le monde ne regarderait que les apparences, les gens aiment ces bons comportements. Je savais que si j’agissais ainsi, je gagnerais l’approbation des gens, cela ferait qu’ils m’applaudiraient, qu’ils m’admireraient au plus profond de leur cœur, qu’ils me verraient d’un œil favorable et que plus jamais personne ne me regarderait de haut. Et s’il arrive un jour que le supérieur découvre que je n’ai pas fait de vrai travail et qu’il me renvoie, il y aura sans aucun doute beaucoup de gens qui me soutiendront, qui pleureront pour moi, me presseront de rester et parleront en mon nom.” Ils se réjouissent secrètement de leur faux comportement : et cette réjouissance ne révèle-t-elle pas aussi la nature-essence d’un antéchrist ? Et de quelle essence s’agit-il ? (La malveillance.) C’est vrai, c’est l’essence de la malveillance. Dominés par cette essence de malveillance, les antéchrists engendrent un état d’autosatisfaction et d’admiration de soi qui les amène à vociférer secrètement contre Dieu et à s’opposer à Lui dans leur cœur. En surface, ils semblent payer un grand prix et leur chair endure beaucoup de souffrances, mais sont-ils vraiment attentifs au fardeau de Dieu ? Se dépensent-ils vraiment pour Dieu ? Peuvent-ils faire loyalement leur devoir ? Non, cela leur est impossible. […] Les antéchrists n’ont-ils pas un tempérament malveillant ? Derrière leur souffrance, ils nourrissent de telles ambitions et falsifications, et c’est pourquoi Dieu déteste de telles personnes et un tel tempérament. Les antéchrists, cependant, ne voient ni ne reconnaissent jamais ce fait. Dieu scrute le cœur le plus intime de l’homme, alors que l’homme ne voit que l’apparence extérieure de l’homme – la chose la plus stupide à propos des antéchrists est qu’ils ne reconnaissent pas ce fait, ni ne peuvent le voir. Et donc ils font tout ce qu’ils peuvent pour utiliser un bon comportement pour se mettre en valeur et se valoriser afin que les autres pensent qu’ils peuvent souffrir et endurer des difficultés, endurer des souffrances impossibles à endurer pour les gens ordinaires, faire un travail impossible à faire pour les gens ordinaires, afin que les autres pensent qu’ils ont de l’endurance, qu’ils peuvent maîtriser leur propre corps, et qu’ils n’ont aucune considération pour leurs propres intérêts charnels ou leur plaisir. Parfois, ils portent même intentionnellement leurs vêtements jusqu’à ce qu’ils soient un peu sales et ne les lavent pas, ils ne les lavent même pas lorsqu’ils commencent à sentir ; ils font tout ce qui pousse les autres à les vénérer. Plus ils sont devant les autres, plus ils font tout ce qu’ils peuvent pour se montrer afin que les autres les voient comme différents des gens ordinaires, voient que leur désir de se dépenser pour Dieu est plus grand que celui des gens ordinaires, que leur détermination à souffrir est plus importante que celle des gens ordinaires, et que leur résistance à la souffrance est plus grande que celle des gens ordinaires. Les antéchrists engendrent de tels comportements dans ce genre de circonstances, et derrière ces comportements se trouve le désir des antéchrists, au fond de leur cœur, que les gens les vénèrent et les tiennent en haute estime. Et lorsqu’ils atteignent leur objectif, lorsqu’ils entendent les louanges des gens et lorsqu’ils voient des gens leur jeter des regards envieux, admiratifs et élogieux, c’est à ce moment-là qu’ils se sentent heureux et satisfaits dans leur cœur » (La Parole, vol. 4 : Exposer les antéchrists, Section 9 (Partie X)). Grâce à ces paroles de Dieu, j’ai vu que le tempérament des antéchrists est malveillant. Lorsqu’ils sont confrontés à des problèmes, ils ne cherchent pas les vérités-principes ni comment agir conformément aux intentions de Dieu. Au contraire, ils se concentrent sur les comportements extérieurs, disciplinent leur propre corps et se rebellent contre leur chair, utilisant une bonne conduite extérieure afin d’induire les autres en erreur. Je me suis comportée de la même manière. Après avoir veillé tard pendant un certain temps et reçu des remarques positives, avec les frères et sœurs qui montraient de l’inquiétude et même de l’admiration pour moi, j’ai commencé à croire que mes souffrances et le prix que j’avais payé en valaient la peine. Pour maintenir mon image d’une personne qui porte un fardeau, j’ai délibérément rallongé mes heures de travail. Même lorsque j’aurais pu me reposer plus tôt, j’avais repoussé mon sommeil jusqu’à très tard. Dieu a dit que les antéchrists n’agissent que devant les autres, qu’ils se préoccupent uniquement de savoir si leurs actions sont vues et de laisser une bonne impression aux autres. Quant aux choses positives, telles que de savoir si leur travail est efficace ou productif, ils ne se préoccupent pas du tout de ces choses. C’est exactement comme cela que je me suis comportée. Récemment, en raison de mon manque de fardeau dans l’accomplissement de mon devoir et de mon échec à faire un travail concret, j’ai été confrontée à l’émondage. Si je voulais vraiment me repentir, j’aurais dû réfléchir à mon tempérament corrompu, envisager comment améliorer la productivité du travail et faire plus d’efforts quant aux vérités-principes. Au lieu de cela, j’ai prolongé mes heures de travail et j’ai veillé tard pour sauver les apparences. Mon esprit n’était pas clair quand je faisais mon devoir tard dans la nuit et je me sentais embrumée pendant la journée, avec une concentration médiocre. Dans l’ensemble, ma productivité de travail était mauvaise. Cependant, je ne me suis pas demandé si le travail de la maison de Dieu serait retardé. Tant que je pouvais établir une bonne image dans le cœur des frères et sœurs, cela me suffisait. J’utilisais les opportunités de faire mon devoir pour me mettre en avant et gagner l’admiration. Je travaillais pour le statut, pas pour mener à bien mes devoirs et satisfaire Dieu. Mes pensées étaient trop ignobles et malveillantes. En outre, j’avais une idée encore plus méprisable en moi. Lorsque j’ai été émondée, je savais que les frères et sœurs, ainsi que la dirigeante supérieure, observaient si j’avais changé. Mais je pensais que le travail concret et la résolution de problèmes réels étaient trop fatiguants, et qu’il n’y aurait peut-être pas de résultats immédiats, alors que se rebeller contre la chair en veillant tard était relativement simple. Même si un jour je ne faisais pas bien mon travail, les frères et sœurs prendraient tout de même ma défense car ils avaient vu mes efforts, malgré l’absence de réussites. Ainsi, si je devais être renvoyée, ce ne serait pas trop embarrassant. Au moins, tout le monde verrait que je pouvais endurer des souffrances et que j’étais disposée à faire du bon travail. En réfléchissant à ces pensées et à ces intentions, je me suis sentie dégoûtée de moi-même. Mon précédent manque de travail réel avait déjà retardé des tâches, et j’aurais dû être remplacée. La maison de Dieu m’avait donné une opportunité de continuer à pratiquer, mais je ne m’étais pas repentie et je n’avais pas changé. Au lieu de cela, j’avais essayé d’induire les autres en erreurs avec des souffrances superficielles, aggravant mes erreurs. Même si veiller tard pouvait induire les autres en erreurs temporairement, Dieu scrute les profondeurs du cœur humain. En me présentant et en m’embellissant de cette façon Lui inspirerait dégoût et aversion. En outre, Dieu évalue les dirigeants en fonction de leur capacité ou non à faire un travail concret, pas en fonction de leur capacité à veiller tard ou à travailler de longues heures. Peu importe la durée de leur travail, s’ils ne peuvent pas découvrir et résoudre les problèmes dans leur travail, échanger sur la vérité pour aider les frères et sœurs à résoudre les difficultés de l’entrée dans la vie, ou accomplir une productivité réelle dans leurs responsabilités, alors, il ne s’agit pas là de travail réel.
Plus tard, j’ai réfléchi à nouveau. Dieu a toujours exigé que nous maintenions des horaires de sommeil normaux et que nous respections les rythmes naturels du corps. Pourtant, je n’avais pas suivi les paroles de Dieu. J’avais même cru que « se plier à une tâche et s’efforcer de faire de son mieux jusqu’au jour de sa mort » était quelque chose d’admirable. Je m’étais efforcé inlassablement de faire mon devoir ainsi. Où, exactement, était l’erreur dans ce point de vue ? J’ai cherché les paroles de Dieu à ce sujet. Dieu Tout-Puissant dit : « Dieu t’a donné le libre arbitre, l’intellect de l’humanité normale, ainsi que la conscience et la raison qu’un être humain doit posséder. Si tu utilises ces choses convenablement et correctement, que tu suis les lois pour la survie du corps physique, que tu prends soin de ta santé, que tu fais avec constance ce que Dieu te demande et que tu accomplis ce que Dieu te demande d’accomplir, alors cela suffit, et c’est aussi très simple. Dieu t’a-t-Il demandé de te plier à la tâche et de t’efforcer de faire de ton mieux jusqu’au jour de ta mort ? T’a-t-Il demandé de te tourmenter ? (Non.) Dieu n’exige pas de telles choses. Les gens ne devraient pas se tourmenter, mais devraient avoir un peu de bon sens et répondre correctement aux divers besoins du corps. Bois de l’eau quand tu as soif, mange quand tu as faim, repose-toi quand tu es fatigué, fais de l’exercice après être resté assis pendant un certain temps, va voir le médecin quand tu es malade, tiens-t’en à tes trois repas par jour et mène la vie de l’humanité normale. Bien sûr, tu dois également continuer tes tâches normales. Si tes devoirs impliquent des connaissances spécialisées que tu ne comprends pas, tu dois aller les étudier et les mettre en pratique. C’est la vie normale. Les divers principes de pratique que Dieu met en avant pour les gens sont toutes des choses que l’intellect de l’humanité normale peut saisir, des choses que les gens peuvent comprendre et accepter et qui ne dépassent en rien le champ de l’humanité normale. Ils sont tous à la portée des humains et ne dépassent en aucun cas les limites de ce qui est approprié. Dieu n’exige pas que les gens soient des personnes surhumaines ou éminentes, alors que les dictons sur la conduite morale obligent les gens à aspirer à être des personnes surhumaines ou éminentes. Non seulement ils doivent s’attaquer à la grande cause de leur pays et de leur nation, mais ils doivent également se plier à la tâche et s’efforcer de faire de leur mieux jusqu’au jour de leur mort. Cela les oblige à donner leur vie, ce qui va complètement à l’encontre des exigences de Dieu. Quelle est l’attitude de Dieu envers la vie des gens ? Dieu garde les gens en sécurité dans toutes les situations, les empêche de tomber dans la tentation et dans d’autres situations dangereuses et protège leur vie. Quel est le but de Dieu en faisant cela ? Il s’agit de faire en sorte que les gens mènent leurs vies correctement. Dans quel but faire en sorte que les gens mènent leurs vies correctement ? Il ne t’oblige pas à être surhumain, ni à garder dans ton cœur tout ce qui est sous le ciel, ni à te soucier du pays et du peuple, et encore moins à prendre Sa place pour régner sur toutes choses, tout orchestrer et régner sur l’humanité. Au contraire, Il exige que tu prennes la place appropriée d’un être créé, que tu accomplisses les devoirs d’un être créé, que tu accomplisses les devoirs que les gens doivent accomplir et que tu fasses ce que les gens doivent faire. Il y a beaucoup de choses que tu dois faire, et elles n’incluent pas de gouverner le destin de l’humanité, de garder dans ton cœur tout ce qui est sous le ciel, ni de garder dans ton cœur l’humanité, ta terre natale, l’Église, la volonté de Dieu ou Sa grande entreprise de salut de l’humanité. Ces choses ne sont pas incluses. Alors, en quoi consistent les choses que tu dois faire ? Il s’agit de la mission que Dieu te confie, des devoirs que Dieu t’assigne et de toutes les exigences que la maison de Dieu t’impose à chaque période. N’est-ce pas simple ? N’est-ce pas facile à faire ? C’est très simple et facile à faire. Mais les gens comprennent toujours mal Dieu et pensent qu’Il ne les prend pas au sérieux. Il y a ceux qui pensent : “Les gens qui en viennent à croire en Dieu ne devraient pas se considérer comme étant si importants, ils ne devraient pas être préoccupés par leur corps physique et devraient souffrir davantage, et ne pas se coucher trop tôt le soir, car Dieu peut être mécontent s’ils se couchent trop tôt. Ils doivent se lever tôt et se coucher tard, et travailler toute la nuit pour accomplir leur devoir. Même s’ils ne produisent pas de résultats, ils doivent quand même rester éveillés jusqu’à deux ou trois heures du matin.” Par conséquent, ces personnes se démènent jusqu’à ce qu’elles soient tellement épuisées que même marcher leur demande un effort suprême, et pourtant elles disent que c’est l’accomplissement de leurs devoirs qui les épuise. N’est-ce pas dû à la folie et à l’ignorance des gens ? Il y en a d’autres qui pensent : “Dieu n’est pas content quand nous portons des vêtements un peu spéciaux et agréables, et Il n’est pas content non plus que nous mangions de la viande et de la bonne nourriture tous les jours. Dans la maison de Dieu, nous ne pouvons que nous plier à notre tâche et nous efforcer de faire de notre mieux jusqu’au jour de notre mort”, et ils estiment qu’en tant que croyants, ils doivent accomplir leur devoir jusqu’à la mort, sinon Dieu ne les épargnera pas. Est-ce réellement le cas ? (Non.) Dieu exige que les gens accomplissent leur devoir avec responsabilité et loyauté, mais Il ne les oblige pas à être durs avec leur corps, et encore moins leur demande-t-Il d’être superficiels ou de passer le temps. Je vois que certains dirigeants et ouvriers font en sorte que les gens accomplissent leurs tâches de cette manière, sans exiger d’efficacité, mais seulement en gaspillant le temps et l’énergie des gens. Le fait est qu’ils gâchent la vie des gens. En fin de compte, à long terme, certaines personnes développent des problèmes de santé, des problèmes de dos, des douleurs aux genoux et des vertiges lorsqu’elles regardent un écran d’ordinateur. Comment cela se peut-il ? Qui a causé cela ? (Ils l’ont causé eux-mêmes.) La maison de Dieu exige que tout le monde se couche au plus tard à 22 heures, mais certaines personnes ne se couchent qu’à 23 heures ou à minuit, ce qui a une incidence sur le repos des autres. Certaines personnes reprochent même à ceux qui prennent un repos normal de convoiter le confort de la vie. C’est faux. Comment faire du bon travail si ton corps n’est pas bien reposé ? Que dit Dieu à ce sujet ? Comment la maison de Dieu réglemente-t-elle cela ? Tout doit être fait selon les paroles de Dieu et les stipulations de la maison de Dieu, et cela seul est correct. Certains ont des compréhensions absurdes, vont toujours aux extrêmes et contrôlent même les autres. Ce n’est pas conforme aux vérités-principes. Certaines personnes ne sont que des imbéciles insensés, sans aucun discernement, et elles pensent que pour accomplir leurs devoirs, elles doivent veiller tard, même lorsqu’elles ne sont pas occupées par le travail, ne pas s’autoriser à dormir quand elles sont fatiguées et lorsqu’elles sont malades, s’abstenir de le dire à quiconque, et pire encore, elles ne s’autorisent pas à consulter un médecin, considérant cela comme une perte de temps qui retarderait l’accomplissement de leur devoir. Ce point de vue est-il correct ? Pourquoi les croyants ont-ils encore des opinions aussi absurdes après avoir entendu tant de sermons ? Comment les modalités de travail de la maison de Dieu sont-elles réglementées ? Tu dois ponctuellement aller dormir à 22 heures et te lever à 6 heures du matin, et tu dois t’assurer de dormir huit heures. En outre, il est même souligné à plusieurs reprises que tu dois prendre soin de ta santé en faisant de l’exercice après le travail et en t’en tenant à une alimentation et à une routine saines, afin d’éviter les problèmes de santé dans l’accomplissement de tes devoirs. Mais certains ne comprennent tout simplement pas, ne peuvent pas adhérer aux principes ni respecter les règles, veillent inutilement tard et mangent des choses nocives. Une fois qu’ils se sont rendus malades, ils sont incapables d’accomplir leur devoir et à ce moment-là, il est inutile d’avoir des regrets » (La Parole, vol. 6 : Sur la poursuite de la vérité I, En quoi consiste la poursuite de la vérité (12)). Grâce à ces paroles de Dieu, j’ai vu que les exigences de Dieu envers les gens sont très concrètes : quand tu as faim, mange ; quand tu es fatigué, repose-toi ; quand tu es malade, fais-toi soigner. Dieu n’exige pas que les gens soient des surhumains ou qu’ils violent le rythme normal du corps pour faire leurs devoirs. Cependant, en raison de ma compréhension fallacieuse, je pensais que se coucher tôt était de la paresse, alors que veiller très tard et négliger le sommeil représentait l’accomplissement loyal du devoir. Particulièrement quand j’ai vu que même les non-croyants poursuivaient la diligence de cette manière, j’ai suivi cette pratique. Depuis l’enfance, les écoles et la société nous ont enseigné à apprendre des modèles de dur labeur dans la société. Certains d’entre eux tenaient fermement leur posture pendant des dizaines d’heures, finissant par s’effondrer de surmenage, et d’autres sont même morts subitement à leurs postes. Leur esprit de dévouement était loué et admiré par les générations suivantes. J’avais accepté ce point de vue erroné et j’avais voulu prouver que j’avais un fardeau pour mon devoir en veillant tard. Mais en réalité, vers vingt trois heures ou minuit, mon cœur commençait à s’emballer. Le lendemain matin, je me réveillais avec la tête lourde et un corps endormi. Il me fallait un certain temps d’adaptation avant de pouvoir me mettre au travail. Comme ma concentration n’était pas aiguisée, mon taux d’erreurs dans mes devoirs augmentait et ma productivité de travail n’était pas élevée. Et comme je me réveillais tard, je sautais la dévotion spirituelle et me mettais directement au travail. Chaque jour, je n’arrivais pas à réfléchir à la corruption que je révélais, ni à résumer les déviations dans l’accomplissement de mon devoir. J’accomplissais mon devoir dans un état de labeur, sans l’entrée dans la vie, et l’efficacité de mes devoirs s’est dégradée. Afin de gagner l’admiration des autres, je passais ces deux ou trois heures supplémentaires à veiller tard. Cependant, ma productivité de travail ne s’est pas beaucoup améliorée et, à long terme, ma santé s’est détériorée. Je me suis rendu compte que veiller tard pour prouver l’accomplissement loyal de mon devoir était le moyen le plus stupide et le plus absurde. Je me suis également rendu compte que les pensées instillées dans les gens par Satan, telles que « Pliez-vous à une tâche et efforcez-vous de faire de votre mieux jusqu’au jour de votre mort » ou « les vers à soie du printemps tisseront jusqu’à ce qu’ils meurent, et les bougies brûleront jusqu’à ce que leurs larmes se tarissent » sont toutes nocives pour les gens et nuisent à leur vie. Seul Dieu chérit et estime la vie humaine, en fixant des heures normales pour le travail et le repos, et en laissant les gens vivre et travailler selon des règles normales. Il y a l’amour de Dieu en cela. Dieu exige que les gens mènent à bien le devoir d’un être créé avec loyauté. Cette loyauté ne consiste pas à pousser notre corps à la maladie et à l’épuisement, mais elle consiste à faire nos devoirs au mieux de nos capacités, en faisant attention à l’introspection de notre propre tempérament corrompu, en cherchant la vérité et en agissant selon des principes. Cependant, ce que j’avais manifesté était une loyauté stupide, un simple bon comportement emballé pour induire les gens en erreurs. Quand j’ai compris cela, je me suis sentie pleine de regrets et redevable. Je ne pouvais pas continuer à porter ce type de motivation incorrecte dans l’accomplissement de mon devoir.
Le lendemain, j’ai à nouveau planifié mon emploi du temps, me couchant tôt et me levant tôt, et faisant de l’exercice matin et soir. Après avoir essayé pendant un certain temps, mes palpitations cardiaques et mon rythme cardiaque accéléré ont en gros disparu. De plus, en me levant tôt le matin, je pouvais prendre le temps de faire mes dévotions spirituelles et d’écrire des articles de témoignage d’expérience ; mon cœur était aussi relativement calme. En planifiant mon temps raisonnablement, ma productivité de travail s’est améliorée et mon état mental s’est également beaucoup amélioré.
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