Libérée du joug du statut
Par Vladhia, France L’an dernier, notre dirigeante d’Église, Sœur Laura, a été remplacée parce qu’elle ne faisait pas de travail concret....
Nous accueillons tous les chercheurs qui désirent ardemment l'apparition de Dieu !
Je travaillais dans la conception graphique dans l’Église et un jour, la dirigeante d’équipe m’a demandé de créer un nouveau type d’image. Parce que je n’avais pas beaucoup d’expérience à cette époque, je ne connaissais pas les principes et les bases de cette tâche. Même si j’ai travaillé très dur, les résultats n’ont pas été très bons. Malgré plusieurs modifications ultérieures, les choses ne se sont guère améliorées. Je me suis alors dit que ce nouveau style de conception était très difficile. Plus tard, lorsque la dirigeante d’équipe m’a demandé de réaliser une image similaire, j’étais très réticente. Je me demandais sans cesse comment déléguer cette tâche à quelqu’un d’autre. J’ai même dit délibérément devant la dirigeante d’équipe que je n’étais pas douée pour ce genre de conception. Elle a compris le fond de ma pensée et ne m’a plus confié ce genre de tâches. Plus tard, la dirigeante d’Église m’a demandé de modifier une image à la dernière minute et elle a chargé la dirigeante d’équipe de me donner des instructions détaillées. C’était assez urgent. Je devais rapidement modifier la forme de l’image en me basant sur la composition originale et peaufiner les parties les plus détaillées. Ça ne me paraissait pas compliqué. L’image ayant déjà sa forme de base, seules des modifications mineures étaient à prévoir. Mais la dirigeante d’équipe n’était pas satisfaite et elle m’a suggéré des solutions. Ça m’a paru compliqué et j’ai rechigné à le faire. J’ai pensais que, dans l’ensemble, l’image était bonne. Tant qu’elle était utilisable, c’était bien suffisant. Était-il vraiment nécessaire de se donner autant de mal pour l’améliorer ? Ce serait une grande perte de temps et d’énergie. J’ai donc décidé de dire ce que j’en pensais. Mais, à ma grande surprise, la dirigeante d’équipe m’a envoyé ce message : « Tu ne mets pas tout ton cœur dans ton devoir, tu n’essaies pas d’obtenir de bons résultats. Tu évites sans cesse de faire le moindre effort et tu es négligente. Comment peut-on bien faire son devoir avec ce genre d’attitude ? » Cette série de critiques m’a bouleversée et je me suis sentie lésée. Étais-je vraiment si mauvaise ? Quelques jours plus tard, la dirigeante d’Église m’a émondée parce que je convoitais le confort de la chair et que je reculais devant la moindre difficulté. Elle a dit que je voulais éviter les conceptions difficiles, que je refusais de travailler dur dessus, que j’essayais toujours d’échapper à mon devoir et qu’on ne pouvait pas compter sur moi. Quand elle a dit ça, ça a fait mouche dans ma tête. Une sœur qui me connaissait bien a même dit : « En tant que graphiste, si tu ne réfléchis pas à la manière de produire de bonnes conceptions, en quoi est-ce accomplir ton devoir ? » Ces mots m’ont fait l’effet d’une douche froide et m’ont glacé le cœur. Je me suis dit que je ne pourrai probablement plus faire mon devoir : tout le monde savait quel genre de personne j’étais, plus personne n’allait donc me faire confiance, désormais.
Ce soir-là, j’ai réfléchi à tout ce qui était arrivé récemment et à ce que les autres pensaient de moi. J’étais vraiment contrariée et je m’en voulais d’avoir déçu tout le monde. Pourquoi faisais-je mon devoir de cette façon ? Je pleurais sans cesse. Dans mon tourment, j’ai lu ceci dans les paroles de Dieu : « Quand les gens font un devoir, ils choisissent toujours des travaux peu éprouvants, des travaux qui ne sont pas fatigants, et qui n’impliquent pas de braver les éléments à l’extérieur. C’est là choisir les tâches faciles et esquiver celles qui sont difficiles, et c’est une manifestation qui montre que l’on convoite le confort de la chair. Quoi d’autre ? (Se plaindre sans cesse quand son devoir est un peu difficile, un peu fatigant, quand il implique de payer un prix.) (Être préoccupé par la nourriture et les vêtements, et les plaisirs de la chair.) Tout cela relève de manifestations qui montrent que l’on convoite le confort de la chair. Quand un individu de ce genre voit qu’une tâche est trop laborieuse ou risquée, il l’impose à quelqu’un d’autre. Lui-même ne fait qu’un travail facile, et il se trouve des excuses, en disant qu’il est de calibre médiocre, qu’il manque de capacités de travail et ne peut pas assumer cette tâche, alors qu’en réalité, c’est parce qu’il convoite le confort de la chair. […] Il y a également des moments où les gens se plaignent constamment de leurs difficultés quand ils font leur devoir, des moments où ils ne veulent faire aucun effort, des moments où, dès qu’ils ont un peu de temps libre, ils se reposent, bavardent oisivement ou s’adonnent à des loisirs et des divertissements. Et quand le travail reprend et que cela casse le rythme et la routine de leur vie, ils en sont mécontents et insatisfaits. Ils râlent et se plaignent, et se mettent à faire leur devoir de façon superficielle. C’est là convoiter le confort de la chair, n’est-ce pas ? […] Les gens qui s’adonnent au confort de la chair conviennent-ils pour faire un devoir ? Dès que quelqu’un parle de faire son devoir, ou de payer un prix et d’endurer des souffrances, ces gens ne cessent de secouer la tête. Ils ont de trop nombreux problèmes, ils sont pleins de récriminations et sont emplis de négativité. Les personnes de ce genre ne servent à rien, elles ne sont pas qualifiées pour faire leur devoir et elles devraient être éliminées » (La Parole, vol. 5 : Les responsabilités des dirigeants et des ouvriers, Les responsabilités des dirigeants et des ouvriers (2)). Grâce à ces paroles de Dieu, j’ai vu que s’en tenir à des tâches simples et faciles dans son devoir et toujours confier les tâches les plus compliquées et difficiles aux autres n’avait rien à voir avec l’intelligence ou le calibre. Cela signifiait être avide de confort et réticent à payer de sa personne. Rétrospectivement, j’ai compris que, lorsque la dirigeante d’équipe m’avait fait travailler sur un nouveau type de conception, j’avais trouvé ça difficile parce que je débutais à peine. Je devais souffrir, payer de ma personne, y réfléchir sérieusement et le corriger à plusieurs reprises afin de faire du bon travail. Je ne voulais pas m’embêter, alors j’avais battu en retraite et j’ai trouvé une excuse pour passer le relais. Je n’avais voulu que des tâches simples et faciles. Quand la dirigeante d’Église m’avait demandé de modifier une image, la dirigeante d’équipe m’avait donné des instructions détaillées, espérant que je pourrais faire mieux. Même si j’avais obtempéré, j’avais trouvé ça compliqué, alors je n’avais pas vraiment réfléchi ni fait d’efforts. J’avais juste essayé de me simplifier la tâche. J’ai vu que quelle que soit la situation, je ne voulais rien faire qui demande beaucoup de réflexion ou d’efforts. J’étais préoccupée par la chair. J’ai lu ceci dans les paroles de Dieu : « Les personnes de ce genre ne servent à rien, elles ne sont pas qualifiées pour faire leur devoir et elles devraient être éliminées. » Cela m’a fait un peu peur. J’ai toujours considéré la chair et recherché le confort en faisant mon devoir, et je n’étais pas du tout disposée à souffrir et à payer un prix. Je ne pensais qu’à m’épargner des ennuis et à ne pas solliciter mon cœur ou mon esprit. Il n’y avait aucune sincérité ou loyauté dans ma façon de faire mon devoir, je pensais que si je pouvais me débrouiller pour accomplir mes tâches, alors c’était suffisant. Je n’avais pas joué un rôle positif. De plus, j’avais affecté l’avancement du travail. Si je continuais comme ça sans changer, tôt ou tard, Dieu allait m’éliminer.
Un jour, j’ai lu davantage de paroles de Dieu : « En apparence, certains ne semblent pas avoir de problèmes sérieux durant l’accomplissement de leurs devoirs. Ils ne font rien qui soit manifestement malfaisant, ne provoquent pas d’interruptions ou de perturbations, et ne suivent pas le chemin des antéchrists. Lorsqu’ils font leurs devoirs, ils ne commettent pas d’erreurs majeures et n’ont pas de problèmes de principe, pourtant, sans s’en rendre compte, au bout de quelques années à peine, ils sont révélés comme n’acceptant pas du tout la vérité, comme faisant partie des incrédules. Pourquoi est-ce ainsi ? Les autres ne voient pas d’enjeu, mais Dieu sonde au plus profond du cœur de ces gens-là et Il voit le problème. Ils sont sans cesse négligents et ne s’en repentent jamais dans l’accomplissement de leurs devoirs. Avec le temps, ils sont naturellement révélés. Que signifie ne toujours pas se repentir ? Cela signifie que, bien qu’ils aient constamment accompli leurs devoirs, ils ont toujours eu la mauvaise attitude à leur égard, une attitude superficielle, une attitude désinvolte, et ils ne sont jamais consciencieux, et ils mettent encore moins tout leur cœur dans leurs devoirs. Ils mettent peut-être un peu d’effort, mais ils n’agissent que pour la forme. Ils ne donnent pas leur maximum dans leurs devoirs, et leurs transgressions sont sans fin. Aux yeux de Dieu, ils ne se sont jamais repentis : ils ont toujours été superficiels, et il n’y a jamais eu chez eux le moindre changement : c’est-à-dire qu’ils ne renoncent pas au mal qui est entre leurs mains ni ne se repentent à Dieu. Dieu ne voit pas en eux une attitude de repentance, et Il ne voit pas de revirement dans leur attitude. Ils persistent à considérer leurs devoirs et les commissions que Dieu leur a confiées avec cette même attitude et cette même méthode. Tout du long, il n’y a pas de changement dans ce tempérament obstiné, intransigeant, et, de plus, ils ne se sont jamais sentis redevables envers Dieu, et ils n’ont jamais ressenti que leur superficialité est une transgression, une action malfaisante. Dans leur cœur, il n’y a pas de sentiment de redevabilité, de culpabilité, de remords, et encore moins y a-t-il d’auto-accusation. Et, au bout d’un certain temps, Dieu voit que ce genre de personne est incurable. Peu importe ce que Dieu dit, et peu importe le nombre de sermons qu’elle entend ou ce qu’elle comprend de la vérité, son cœur n’est pas touché et son attitude ne change pas ni ne lui fait faire demi-tour. Dieu le voit et dit : “Il n’y a pas d’espoir pour cette personne. Rien de ce que Je dis ne touche son cœur, et rien de ce que Je dis ne la transforme. Il n’existe aucun moyen de la changer. Cette personne n’est pas apte à accomplir son devoir, et elle n’est pas apte à rendre service dans Ma maison.” Pourquoi Dieu dit-Il cela ? Cela s’explique par le fait que lorsqu’elle accomplit son devoir et réalise un travail, elle est constamment superficielle. Elle a beau être émondée, et quelles que soient l’indulgence et la patience dont elle bénéficie, cela ne produit aucun effet et ne parvient pas à la faire se repentir ni changer sincèrement. Cela ne la conduit pas à bien faire son devoir, cela ne lui permet pas de s’engager sur le chemin de la poursuite de la vérité. Cette personne est donc incurable. Lorsque Dieu détermine qu’une personne est incurable, continuera-t-Il à garder une forte emprise sur cette personne ? Non, Il ne le fera pas. Dieu la laissera partir » (La Parole, vol. 3 : Discours de Christ des derniers jours, Troisième partie). « Quelle est la norme selon laquelle les actes et le comportement d’une personne sont jugés bons ou mauvais ? Cela dépend si, oui ou non, dans ses pensées, ses révélations et actions, cette personne possède le témoignage de la mise en pratique de la vérité et de l’expérimentation de la vérité-réalité. Si tu n’as pas cette réalité ou si tu ne vis pas cela, alors sans aucun doute, tu es un malfaiteur. Comment Dieu considère-t-Il les malfaiteurs ? Pour Dieu, tes pensées et tes actes extérieurs ne Lui rendent pas témoignage, et ils n’humilient pas Satan et ne le vainquent pas. Au contraire, ils font honte à Dieu et ils portent les nombreuses marques du déshonneur que tu Lui as infligé. Tu ne témoignes pas de Dieu, tu ne te dépenses pas pour Dieu et tu n’assumes pas tes responsabilités ni tes obligations envers Dieu : tu agis pour ton propre compte. Que signifie réellement “pour ton propre compte” ? Pour être précis, cela signifie pour le compte de Satan. C’est pourquoi, à la fin, Dieu dira : “Retirez-vous de moi, vous qui commettez l’iniquité.” À Ses yeux, tes actes ne seront pas de bonnes actions, ils seront considérés comme de mauvaises actions. Non seulement ils ne gagneront pas l’approbation de Dieu, mais ils seront condamnés. Que cherche-t-on à gagner grâce à une telle croyance en Dieu ? Une telle croyance ne finirait-elle pas par aboutir à rien ? » (La Parole, vol. 3 : Discours de Christ des derniers jours, On ne peut gagner la liberté et la libération qu’en se débarrassant de son tempérament corrompu). Avant, je pensais que même si je déléguais les projets les plus difficiles et les plus compliqués, ce n’était jamais par fainéantise. Et parfois, je travaillais tard dans la nuit sur une conception. Je me disais que faire mon devoir ainsi était bien suffisant. J’ai compris à travers les paroles de Dieu qu’Il ne regardait pas la quantité de travail accompli ni les efforts fournis, mais plutôt notre approche dans notre devoir, si l’on prenait Son intention en considération, et si l’on détenait le témoignage de la pratique de la vérité. C’est ainsi qu’Il décide si le devoir d’une personne gagnera Son approbation ou non. Bien que j’aie eu l’air de faire mon devoir pendant tout ce temps, j’avais eu une attitude désinvolte et superficielle. Je n’avais fait que considérer la chair et me faire plaisir. Je faisais tout ce qui était simple et ignorais ce qui était difficile, sans le moindre loyauté ni la moindre soumission. Faire mon devoir ainsi ne pouvait même pas être considérécomme le fait de rendre service, et avait pour but de duper Dieu. La dirigeante d’équipe m’avait confié quelques tâches importantes alors que je commençais tout juste. Mais vu que j’essayais toujours d’échapper à mon devoir, cherchant toujours des tâches simples, et que je ne pensais pas au travail de l’Église mais seulement à ma chair, elle avait alors arrêté de me confier des projets importants. J’étais devenu quelqu’un sur qui ni Dieu, ni personne ne pouvait compter, qui ne pouvait que service en faisant des tâches simples. En traitant mon devoir de cette façon, je ne préparais pas de bonnes actions. Au lieu de cela, j’accumulais les transgressions. Si je ne me libérais pas de ce mal et ne me repentais pas devant Dieu, Il allait me détester et m’abandonner à mesure que mes transgressions se multiplieraient, puis je serais totalement révélée et m’éliminer. À ce stade, je me suis rendu compte à quel point mon attitude envers mon devoir était dangereuse et ça m’a fait un peu peur. J’ai également compris que le fait d’avoir été émondée à ce moment-là était un rappel et un avertissement de Dieu. J’avais été trop insensible, trop longue à la détente ! Si les autres ne m’avaient pas confrontée à la réalité, je n’aurais pas vu que mon attitude envers mon devoir écœurait Dieu. Je savais qu’il fallait que je change ce mauvais état de suite, que je me repente devant Dieu et que je cesse d’être intransigeante et insoumise.
J’ai lu davantage de paroles de Dieu concernant mon envie de céder à la chair et de chercher le confort. Les paroles de Dieu disent : « Peu importe le travail ou le devoir que certains individus accomplissent, ils sont incompétents en la matière, ils ne peuvent pas l’assumer, et ils sont incapables de satisfaire aux obligations ou aux responsabilités qui incombent à une personne. Ne sont-ils pas des déchets ? Sont-ils encore dignes d’être qualifiés d’humains ? Mis à part les simples d’esprit, les incompétents mentaux, et ceux qui souffrent de déficiences physiques, existe-t-il quelqu’un qui ne doive pas faire ses devoirs et assumer ses responsabilités ? Ce genre de personne est toujours fuyant, se laisse aller, et ne veut pas assumer ses responsabilités ; cela implique qu’elle ne veut pas être un être humain correct. Dieu lui a donné l’opportunité d’être un être humain, et Il lui a donné du calibre et des dons, et pourtant elle ne s’en sert pas pour faire son devoir. Elle ne fait rien, mais désire profiter de chaque instant. Une telle personne est-elle apte à être qualifiée d’être humain ? Quel que soit le travail qu’on donne à ces gens-là – qu’il soit important ou ordinaire, difficile ou simple –, ils sont constamment négligents, fuyants et fainéants. Quand des problèmes surviennent, ils essaient de rejeter la responsabilité sur les autres ; ils n’assument pas de responsabilités, et ils souhaitent continuer à vivre leur vie de parasite. Ne sont-ils pas des déchets inutiles ? » (La Parole, vol. 5 : Les responsabilités des dirigeants et des ouvriers, Les responsabilités des dirigeants et des ouvriers (8)). « Quel type de personnes sont inutiles ? Les personnes confuses sont celles qui se laissent aller à l’oisiveté. De telles personnes ne sont responsables de rien dans ce qu’elles font, et ne le prennent pas non plus au sérieux : elles font un gâchis de tout. Elles ne tiennent pas compte de tes paroles, quelle que soit la façon dont tu échanges avec eux sur la vérité. Elles se disent : “Je me débrouillerai de cette façon si je le veux. Vous pouvez dire ce que vous voulez ! Dans tous les cas, en ce moment, je fais mon devoir et j’ai de quoi manger, c’est suffisant. Au moins, je ne suis pas un mendiant. Si un jour je n’ai plus de quoi manger, alors j’y penserai. Le Ciel laisse toujours une issue à l’homme. Vous dites que je n’ai ni conscience ni raison, et que j’ai l’esprit confus, bon, et alors ? Je n’ai pas enfreint la loi. Tout au plus, je manque juste un peu de caractère, mais ce n’est pas une perte pour moi. Tant que j’ai de quoi manger, ça va.” Que penses-tu de ce point de vue ? Je te le dis, les gens qui ont ainsi l’esprit confus et se laissent aller à l’oisiveté sont tous destinés à être éliminés, et il n’y a aucun moyen pour eux d’atteindre le salut. Tous ceux qui croient en Dieu depuis plusieurs années, mais n’ont jamais rien accepté de la vérité, et n’ont pas de témoignages d’expérience seront éliminés. Aucun ne survivra. La racaille et les bons à rien sont tous des profiteurs et ils sont destinés à être éliminés. Si les dirigeants et les ouvriers ne sont que des profiteurs, ils doivent à plus forte raison être renvoyés et éliminés. Ces gens à l’esprit confus veulent toujours être des dirigeants et des ouvriers ; ils n’en sont pas dignes ! Ils ne font pas de travail concret, et cependant ils veulent être dirigeants. Ils n’ont vraiment honte de rien ! » (La Parole, vol. 5 : Les responsabilités des dirigeants et des ouvriers, Les responsabilités des dirigeants et des ouvriers (8)). La révélation sévère de Dieu m’a fait comprendre que lorsqu’on est toujours superficiel dans son devoir et qu’on n’assume jamais ses responsabilités, on ne vaut rien du tout. Si on ne met pas du cœur dans ce que l’on fait, qu’on se laisse toujours aller, qu’on se laisse glisser dans la vie, qu’on ne fait pas ses propres devoirs, qu’on n’apprend pas de nouvelles compétences, on ne vaut rien. J’ai réfléchi et compris que j’étais ainsi dans mon devoir. Quelle que soit la tâche qui m’était confiée, je ne voulais pas trop réfléchir, souffrir ou être efficace dans mon devoir. Je me contentais juste d’avoir l’air occupée et active. N’étais-je pas en train de tout gâcher en faisant mon devoir de cette façon ? Je me suis également rappelé que depuis toute petite, j’enviais les gens issus de familles aisées qui n’avaient pas le moindre souci, pouvaient voyager et vivre une vie confortable et facile. Je mourrais d’envie d’avoir ce genre de vie. Je me disais que nous, les êtres humains, ne vivions que quelques décennies. Alors si on ne s’amuse pas, notre vie n’est-elle pas vaine ? En grandissant, j’ai vu tous les autres travailler dur pour gagner leur vie. Alors j’ai monté une entreprise. Mais là encore, je ne voulais pas dépenser trop d’énergie, et j’étais toujours absorbée par les émissions de télé et les romans. Je ne prêtais pas attention à mon entreprise et je me moquais de gagner de l’argent. À la fin de l’année, non seulement je n’avais rien gagné, mais j’avais également perdu de l’argent. Mais cela ne m’avait pas trop contrariée. Je m’étais confortée dans l’idée que quelques pertes n’avaient pas d’importance tant qu’il y avait à manger sur la table. Ma vision de la vie était : « Bois aujourd’hui le vin d’aujourd’hui, et soucie-toi demain de demain » et « La vie est courte, alors profites-en tant que tu le peux ». Comme j’étais influencée par ces pensées sataniques, je ne faisais jamais attention à mes propres devoirs et je ne visais pas le progrès. Je n’avais pas de but dans la vie. Une fois croyante, j’ai continué à vivre selon ces pensées. Je voulais toujours me ménager dans mon travail, ne rien faire d’éprouvant, ne pas trop réfléchir, ne pas être stressée. Je trouvais ça formidable, de vivre ainsi. Mais en fait, je n’assumais aucun type de travail. Je n’étais utile en rien, je ne valais rien. Plus je réfléchissais à mon comportement, plus cela me surprenait. N’étais-je pas précisément le type de parasite que Dieu exposait ? Pour sauver l’humanité, Dieu a non seulement exprimé Ses paroles, nous a donné la vérité et la vie, mais Il nous a aussi offert tout ce dont on avait besoin pour survivre et nous a autorisés à en jouir en abondance. Il S’occupe de nous et nous protège, nous empêchant de tomber dans les pièges de Satan. Mais j’étais inattentive. Je ne savais pas rendre l’amour de Dieu dans mon devoir. Au lieu de cela, j’étais devenue un parasite fainéant. Comme j’étais empoisonnée et influencée par cette pensée satanique, je ne recherchais que le plaisir et l’assouvissement de la chair. Je n’avais jamais pris en considération ce qu’il fallait faire, ni su accomplir mon devoir correctement pour satisfaire Dieu. À ce stade de ma réflexion, je m’écœurais, me dégoûtais, et me méprisais. Je sentais que j’avais été profondément corrompue par Satan. J’avais perdu toute conscience et toute raison, et j’étais devenue indifférente. J’ai aussi compris comment Satan utilisait ces pensées pour paralyser les gens et nous corrompre de plus en plus. À terme, on ne vaut plus rien. On est juste un corps ambulant sans aucune âme. Je regrettais tellement de ne pas avoir correctement fait mon devoir, de n’avoir rien fait du tout pour réconforter Dieu. Je me sentais vraiment redevable à Dieu. J’ai prié : « Ô Dieu, j’ai été profondément corrompue par Satan. Sans Ta révélation, je n’aurais jamais compris la gravité de mon problème. J’ai été irresponsable dans mon devoir, j’ai manqué d’humanité, jouissant grandement de Ta grâce mais ne sachant jamais rendre Ton amour. J’ai été un parasite. Je vais me rebeller contre la chair et me repentir devant Toi, rechercher la vérité délibérément et faire mon devoir selon Tes exigences. »
Par la suite, j’ai lu un autre passage des paroles de Dieu. Dieu Tout-Puissant dit : « Puisque tu es une personne, tu dois réfléchir aux responsabilités qui sont celles d’une personne. Les responsabilités auxquelles les non-croyants accordent le plus de valeur, comme être filial, subvenir aux besoins de ses parents et faire la gloire de sa famille, n’ont pas besoin d’être mentionnées. Tout cela est vide et dépourvu de toute signification réelle. Quelle est la responsabilité minimale dont une personne doit s’acquitter ? Le plus réaliste est de savoir dans quelle mesure tu accomplis bien ton devoir aujourd’hui. Te contenter de faire dans l’à-peu-près, ce n’est pas t’acquitter de ta responsabilité ; et être seulement capable de parler de formules et de doctrines, ce n’est pas t’acquitter de ta responsabilité. C’est seulement en pratiquant la vérité et en faisant les choses selon les principes que tu t’acquittes de ta responsabilité. Ce n’est que lorsque ta pratique de la vérité aura été efficace et bénéfique pour les gens que tu te seras vraiment acquitté de ta responsabilité. Quel que soit le devoir que vous fassiez, ce n’est que lorsque vous persisterez à agir selon les vérités-principes en toutes choses que vous aurez vraiment assumé vos responsabilités. Agir machinalement selon la manière humaine de faire les choses, c’est être superficiel ; ce n’est qu’en adhérant aux vérités-principes que tu accomplis correctement ton devoir et assumes tes responsabilités. Et quand tu assumes tes responsabilités, n’est-ce pas l’une des manifestations de la loyauté ? C’est l’une des manifestations du fait d’accomplir ton devoir avec loyauté. Ce n’est que lorsque tu auras ce sens des responsabilités, cette aspiration et ce désir, et cette manifestation de la loyauté vis-à-vis de ton devoir, que Dieu te considérera de façon favorable et t’approuvera. Si tu n’as même pas ce sens des responsabilités, Dieu te considérera comme un paresseux, un idiot, et te méprisera. […] Quand Dieu assigne une tâche d’Église à quelqu’un, quelle est Son attente vis-à-vis de cette personne ? Premièrement, Dieu espère qu’elle sera diligente et responsable, qu’elle accordera à la tâche une grande importance et qu’elle l’accomplira bien. Deuxièmement, Dieu espère que cette personne sera digne de confiance, que, quel que soit le temps qui passe et la façon dont l’environnement changera, son sens des responsabilités ne faiblira pas et son intégrité résistera au test. Si c’est une personne de confiance, Dieu sera rassuré et Il ne supervisera plus et ne suivra plus cette question. En effet, dans Son cœur, Il lui fait confiance, on peut être sûr qu’elle l’exécutera sans commettre la moindre erreur. Quand Dieu confie une tâche à une personne, n’est-ce pas ce qu’Il espère ? (Si.) Alors, une fois que tu as compris l’intention de Dieu, tu dois savoir dans ton cœur comment agir pour satisfaire les exigences de Dieu, comment faire en sorte que tu trouves grâce aux yeux de Dieu, et comment gagner la confiance de Dieu. Si tu peux voir clairement tes propres manifestations et ton propre comportement, et l’attitude avec laquelle tu abordes ton devoir, si tu te connais toi-même, et que tu sais ce que tu es, n’est-il pas alors déraisonnable pour toi d’exiger que Dieu te considère de façon favorable, fasse preuve de grâce à ton égard, ou qu’Il te réserve un traitement de faveur ? (Oui, c’est vrai.) Si tu as déjà une piètre opinion de toi-même, si tu te méprises déjà toi-même, mais que tu demandes à Dieu de te considérer de manière favorable, cela n’a aucun sens. Par conséquent, si tu veux que Dieu te considère de façon favorable, il faut au moins que tu te rendes digne de confiance aux yeux des autres. Si tu veux que les autres te fassent confiance, qu’ils te considèrent de façon favorable, qu’ils aient une haute opinion de toi, tu dois au moins être digne, avoir le sens des responsabilités, être fidèle à ta parole et digne de confiance. De plus, devant Dieu, tu dois te montrer diligent, responsable et loyal ; et tu auras alors essentiellement satisfait les exigences de Dieu à ton égard. Il y aura donc un espoir pour toi d’obtenir l’approbation de Dieu, n’est-ce pas ? (Oui, en effet.) » (La Parole, vol. 5 : Les responsabilités des dirigeants et des ouvriers, Les responsabilités des dirigeants et des ouvriers (8)). Ces paroles de Dieu m’ont appris que chaque personne a ses propres responsabilités et ses obligations, et que pour vivre avec dignité et valeur, la clé est de savoir si on est capable de prendre des responsabilités dans nos devoirs et de traiter chaque tâche qui nous est donnée par Dieu avec sérieux et attention. Les autres ne devraient pas avoir à constamment nous pousser et nous rappeler. Nous devrions avoir le sens des responsabilités. Peu importe comment les choses se terminent, le plus important, c’est la façon dont on met tout son cœur dans ce que l’on fait. Seuls ceux qui adoptent ce genre d’attitude ont de l’intégrité, de la dignité et sont fiables. Et Dieu se souviendra de leurs actions. Comprendre l’intention de Dieu m’a éclairée et m’a donné un chemin de pratique. Par la suite, dans mon devoir, je me rappelais souvent d’être plus attentive, de rechercher les vérités-principes et de faire du mieux que je pouvais.
Un jour, je parlais avec une sœur d’un plan pour une image. Elle a indiqué que l’on devait utiliser le style occidental comme références et qu’il fallait que ce soit impressionnant. Quand elle a dit « impressionnant », je me suis dit que ça allait être difficile. Et même si je savais que le style occidental était esthétiques, ça allait être compliqué de créer toutes sortes d’effets décoratifs. Les autres sœurs avaient toujours fait ce genre de conceptions auparavant, mais je n’étais pas très douée pour ça. Ça allait être très compliqué pour moi d’avoir un bon rendu, et ça allait me prendre beaucoup de temps et d’énergie. J’ai hésité. Je voulais refuser et le confier à une autre sœur, mais j’ai alors pensé à un passage des paroles de Dieu que j’avais lu auparavant : « Supposons que l’Église organise un travail pour toi et que tu dises : “[…] Quelle que soit la tâche que l’Église m’assignera, je l’assumerai de tout mon cœur et de toute ma force. S’il y a quelque chose que je ne comprends pas ou qu’un problème surgit, je prierai Dieu, je chercherai la vérité, je résoudrai les problèmes selon les vérités-principes et je ferai le travail correctement. Quel que soit mon devoir, j’utiliserai tout ce que j’ai pour bien le faire et satisfaire Dieu. Concernant tout ce que je pourrai atteindre, je ferai de mon mieux pour assumer la responsabilité que je devrais porter et au moins, je n’irai pas contre ma conscience et ma raison ni ne serai superficiel, ni fuyant et je ne me relâcherai pas, ou je ne me laisserai pas tenter par les fruits du travail des autres. Rien de ce que je ferai ne sera en deçà de la norme de la conscience.” Il s’agit là de la norme minimale d’auto-conduite, et celui qui fait son devoir de cette manière peut être considéré comme une personne douée de conscience et raison. Tu dois au moins avoir bonne conscience dans l’exécution de ton devoir, et tu dois au moins mériter tes trois repas par jour et ne pas être un profiteur. C’est ce que l’on appelle avoir le sens des responsabilités. Que ton calibre soit élevé ou non et que tu comprennes ou non la vérité, dans tous les cas, tu dois avoir cette attitude : “Puisque ce travail m’a été donné à faire, je dois le traiter avec sérieux. Je dois en faire mon souci et je dois user de tout mon cœur et de toutes mes forces pour bien le faire. Quant à savoir si je peux le faire parfaitement bien, je ne peux pas présumer d’offrir une garantie, mais mon attitude consiste à faire de mon mieux pour que cela soit bien accompli, et je ne serai certainement pas superficiel à ce sujet. Si un problème survient dans le travail, je dois alors en assumer la responsabilité, m’assurer d’en tirer une leçon et de bien faire mon devoir.” Voilà ce qu’est la bonne attitude » (La Parole, vol. 5 : Les responsabilités des dirigeants et des ouvriers, Les responsabilités des dirigeants et des ouvriers (8)). J’avais été tellement irresponsable dans mon devoir auparavant, j’avais toujours essayé d’y échapper et avais fait des tas de choses qui écœuraient Dieu. Cette fois, il ne fallait pas que je cède à la chair et à mon désir insatiable de confort. Il fallait que j’écoute l’intention de Dieu et que j’assume mes responsabilités dans mon devoir. J’ai secrètement décidé que peu importe ce que j’étais capable d’accomplir, il fallait d’abord que je me soumette et que je travaille dur. Le plus important, c’était de faire de mon mieux. Grâce à ces pensées, j’avais une direction. J’ai réfléchi aux principes de notre travail, recueilli des documents de référence, puis j’ai créé plusieurs versions et les ai envoyées à d’autres sœurs pour leurs suggestions. Après quelques modifications, c’était enfin terminé. C’était comme si mon cœur était en paix, quand je faisais les choses de cette façon. J’avais l’impression d’être plus pragmatique qu’avant.
Ensuite, je me suis concentrée sur mon introspection et la rébellion contre la chair dans mon devoir. Je me suis efforcée de réfléchir davantage aux petites choses de ma vie quotidienne, aux tâches que l’Église me confiait, et à la façon dont je pouvais mieux faire mon devoir. En réalité, cela ne me fatiguait pas vraiment. Au contraire, je me sentais épanouie. Se comporter ainsi, c’est vraiment merveilleux ! Même si parfois, j’ai toujours envie de considérer la chair et de me faire plaisir, j’ai davantage conscience de ma corruption qu’avant. Dès que je me rends compte qu’elle se révèle, je prie et je demande à Dieu de m’aider à me rebeller contre la chair, que je Lui demande de me punir si je redeviens négligente, trompeuse et irresponsable. Au fil du temps, j’ai réussi à porter un fardeau dans mon devoir, et j’ai accepté d’assumer mes responsabilités et d’accomplir mon devoir. C’est la seule façon de vivre avec intégrité, dignité et de trouver la paix intérieure.
La douleur cessera et les larmes s'arrêteront. Faites confiance à Dieu, Il a entendu nos appels dans notre souffrance, et Il nous sauvera de notre douleur. Contactez-nous pour connaître la bonne nouvelle de Dieu de nous sauver.
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