L’attitude que l’homme doit avoir envers Dieu

Pour voir si une personne croit en Dieu avec une véritable foi, le plus important est d’observer son attitude envers Dieu. S’ils traitent Dieu avec un cœur de crainte et de soumission, alors ils ont une véritable foi en Dieu. Mais s’ils n’ont pas peur ou ne sont pas soumis à Dieu, alors leur foi n’est pas authentique. Quelle attitude les personnes doivent-elles avoir envers Dieu ? Elles doivent Le craindre et se soumettre à Lui. Celles qui peuvent craindre Dieu sont capables de rechercher et d’accepter la vérité. Celles qui peuvent se soumettre à Dieu sont capables de faire preuve de considération pour les intentions de Dieu ; ils s’efforcent de satisfaire Dieu à chacune de leurs actions. Toute personne à la recherche de la vérité possède ces deux qualités. Celles qui n’ont pas un cœur qui craint Dieu ou soumis à Lui ne sont certainement pas à la recherche de vérité.

Juste, comment la poursuite de la vérité doit-elle être pratiquée ? Faites-vous l’expérience de l’œuvre de Dieu dans l’accomplissement quotidien de votre devoir ? Avez-vous prié Dieu lorsque vous avez été confrontés à des problèmes, et pouvez-vous les résoudre en cherchant la vérité ? Ceci est lié à la question de l’entrée dans la vie. Lorsque vous révélez votre corruption en accomplissant votre devoir, êtes-vous capable de réfléchir sur vous-mêmes et de résoudre le problème de votre tempérament corrompu selon les paroles de Dieu ? Si vous ne pouvez pas le pratiquer et en faire l’expérience de cette façon, alors cela n’a rien à voir avec la croyance en Dieu. Quel que soit le devoir que tu accomplis ou ce que tu fais, tu dois essayer de sonder quels aspects des paroles de Dieu sont concernés, ainsi que tes propres pensées, opinions ou intentions erronées, qui font toutes partie de l’état de l’homme. Qu’est-ce que l’état de l’homme comprend ? Il comprend les positions, les attitudes, les intentions et les points de vue des gens, ainsi que certaines philosophies, logiques et connaissances sataniques, et toutes ces choses, en bref, sont liées aux habituels modes et méthodes d’action et de traitement des autres. Confronté à une situation, on doit d’abord examiner son point de vue : c’est la première étape. La deuxième étape consiste à examiner si ce point de vue est correct. Comment, alors, devrait-on déterminer si son point de vue est correct ou non ? C’est déterminé d’une part avec les paroles de Dieu et d’autre part selon les principes du type de situation en question : par exemple, les arrangements de travail, intérêts et règles de la maison de Dieu, de même que les paroles explicites de Dieu. Ces éléments pour déterminer si un point de vue est correct. Ce sont les normes d’évaluation. Examinez-vous vos points de vue lorsque vous êtes confrontés à une situation ? Que vous puissiez ou non les identifier, la première étape consiste à pratiquer de cette manière. Peu importe ce que les gens font, ils ont tous un certain point de vue à ce sujet. Comment forges-tu ce point de vue ? C’est la façon dont tu vois la situation, sur quoi tu fondes ton point de vue, comment tu envisages de la gérer et sur quoi tu fondes ta méthode pour la gérer. Tout cela fait partie de ton point de vue. Par exemple, que penses-tu de la corruption de l’humanité ? Sur quoi se fonde ton point de vue ? Comment abordes-tu cette question ? Toutes ces questions concernent les opinions que l’on a sur des sujets. Cela vaut également pour l’opinion que l’on a sur un sujet ; quelle que soit la situation, chacun a un point de vue derrière son attitude et sa façon de traiter chaque question. Ce point de vue guidera et gouvernera sa façon d’agir. Et c’est l’origine de ce point de vue qui détermine s’il est juste ou faux. Par exemple, si ton point de vue se base sur la philosophie et la logique sataniques, et que l’intention derrière ton discours est de gagner en renommée et en fierté, de permettre à plus de gens de te connaître et de te comprendre, de se souvenir de toi et de t’approuver, alors c’est ton point de départ pour agir. Si tu as une mauvaise intention comme celle-ci, alors les points de vue et les méthodes qui en découlent seront certainement aussi erronés et ne seront certainement pas en accord avec la vérité. Lorsque tu génères des opinions, des attitudes et des méthodes erronées, peux-tu les identifier ? Si tu peux évaluer leur bien-fondé ou leur mal-fondé, alors tu remplis une condition de base pour satisfaire les intentions de Dieu, mais ce n’est pas la condition absolue. Quelle est la condition absolue ? Lorsque tu as évalué que tes points de vue sont erronés, lorsque tu as des intentions, des projets et des désirs personnels incorrects, que peux-tu faire pour ne pas agir en fonction de ces points de vue erronés ? Il faut pour cela abandonner ses intentions et ses points de vue erronés et, en même temps, rechercher la vérité. Sachant très bien que tes points de vue sont erronés, qu’ils ne sont conformes ni à la vérité ni aux intentions de Dieu, que Dieu les déteste, il faut donc se rebeller contre eux. Quel est le but de la rébellion contre la chair ? C’est de faire les choses selon les intentions de Dieu, de faire les choses qui sont conformes à la vérité, et ainsi d’être capable de pratiquer la vérité. Cependant, si tu n’es pas capable de te rebeller contre tes points de vue erronés, alors tu ne peux pas mettre la vérité en pratique ou vivre la vérité-réalité ; cela signifie que ce que tu comprends n’est qu’une doctrine. Les choses dont tu parles ne peuvent pas restreindre ton comportement, guider tes actions ou corriger tes points de vue erronés, ce qui prouve qu’il ne s’agit que d’une doctrine. Par conséquent, la première étape consiste à examiner tes points de vue. La deuxième étape consiste à évaluer la justesse de ces points de vue : il faut se rebeller contre les points de vue erronés et les rejeter ; les points de vue corrects doivent être respectés et maintenus. Où se situe la difficulté pour vous à présent ? D’une part, vous vous examinez très rarement, ce n’est pas une habitude pour vous. D’autre part, même lorsque vous vous examinez, vous ne savez pas si vos intentions et vos points de vue sont corrects ou non. Ils vous paraissent à la fois corrects et incorrects, si bien qu’au bout du compte, vous vous sentez déconcerté et confus, et vous faites les choses à votre manière, c’est un type de situation. Quelles sont les autres situations ? (Parfois, j’identifie mes propres intentions et points de vue, et je désire me rebeller contre eux, mais je ne peux pas surmonter mon tempérament corrompu. Alors je fais des compromis, j’invente des raisons et des excuses qui m’arrangent. Alors, je n’arrive pas à pratiquer et j’ai des regrets par la suite.) Cela montre que tu n’as pas assez de cœur pour te soumettre à la vérité et aimer la vérité. Si le cœur d’une personne porte un grand amour à la vérité, elle sera souvent capable de surmonter certaines de ses mauvaises intentions et opinions, et de se rebeller contre elles. Bien sûr, il existe des circonstances particulières que la plupart des gens ont du mal à surmonter. Il est normal que tu n’y parviennes pas non plus. Mais si la plupart des gens moyens peuvent les surmonter, alors que tu trouves cela très difficile, qu’est-ce que cela prouve ? Cela montre que tu n’as pas beaucoup d’amour pour la vérité, et que la pratique de la vérité n’est tout simplement pas si importante pour toi. Qu’est-ce qui est important pour toi ? Persister dans tes propres opinions, mettre ton propre esprit à l’aise, satisfaire tes propres désirs, voilà ce qui compte pour toi. Répondre aux exigences de Dieu, pratiquer la vérité, satisfaire le cœur de Dieu, te soumettre à Dieu, rien de tout cela n’est important dans ton cœur. Cela révèle tes intentions intérieures et les points de vue que tu poursuis.

En quoi consiste principalement l’état d’une personne ? (Ses intentions, ses positions et ses opinions.) L’état d’une personne comprend principalement ces éléments. Qu’est-ce qui est le plus courant dans l’état d’une personne ? Ce qui apparaît fréquemment dans le cœur des gens lorsqu’ils rencontrent quelque chose, et c’est quelque chose qu’ils peuvent consciemment reconnaître dans leurs pensées, de quoi diriez-vous qu’il s’agit ? (Leurs intentions.) C’est exact. Les intentions font clairement partie de l’état des gens, c’est ce qu’il y a de plus courant chez eux. Les gens ont leurs propres pensées et intentions concernant la plupart des sujets. Quand de telles pensées et intentions surviennent, les gens pensent qu’elles sont légitimes, mais la plupart du temps, elles visent leur propre bien et servent leur propre orgueil et leurs intérêts personnels, ou sinon, elles leur permettent de dissimuler quelque chose ou de se satisfaire d’une manière ou d’une autre. Dans ces cas-là, tu dois examiner comment ton intention a émergé, ce qui l’a déclenchée. Par exemple, la maison de Dieu te demande de faire un travail de purge de l’Église, et il y a un individu qui est constamment négligent dans son devoir, et qui cherche en permanence à se relâcher. Selon les principes, cet individu devrait être renvoyé, mais tu as de bonnes relations avec lui. Par conséquent, quelles pensées et intentions vont émerger en toi ? Comment pratiqueras-tu ? (Agir selon mes propres préférences.) Et qu’est-ce qui engendre ces préférences ? Cet individu a été bon avec toi ou a fait des choses pour toi, il te fait bonne impression, et donc, à ce moment-là, tu veux le protéger et le défendre. Cela n’est-il pas dû aux sentiments ? Cet individu t’émeut et tu adoptes donc une approche selon laquelle « les hautes autorités ont leur politique, tandis que les localités ont leurs contre-mesures ». Tu tiens un double langage. D’un côté, tu dis à cet individu : « Tu dois fournir un peu plus d’efforts quand tu fais les choses. Arrête d’être superficiel, tu dois endurer quelques épreuves ; c’est notre devoir. » D’un autre côté, tu réponds au Supérieur en disant : « Cet individu s’est amélioré, il est plus efficace maintenant quand il accomplit son devoir. » Mais, voilà ce que tu penses réellement : « C’est parce que j’ai travaillé sur cet individu. Sans cela, il serait toujours comme avant. » Intérieurement, tu te dis toujours : « Il a été gentil avec moi, il ne peut pas être exclu ! » Quel état est-ce là quand tu as de telles choses dans l’intention ? Défendre les relations affectives personnelles cause du tort au travail de l’Églises. Agir ainsi est-il conforme aux vérités-principes ? Es-tu soumis, en faisant cela ? (Non.) Il n’y a pas de soumission, mais de la résistance dans ton cœur. Dans ce qui t’arrive et le travail que tu es censé faire, tes idées contiennent des jugements subjectifs et des facteurs émotionnels s’y mêlent. Tu agis en fonction de tes sentiments, et pourtant, tu continues de croire que tu le fais en toute impartialité, que tu donnes aux gens l’opportunité de se repentir, et que tu leur apportes amour et soutien ; par conséquent, tu agis à ta guise, et non selon les paroles de Dieu. Travailler ainsi, c’est réduire la qualité du travail, cela réduit l’efficacité et nuit au travail de l’Église : voilà ce qu’il advient quand on agit suivant ses sentiments. Si tu ne t’examines pas, seras-tu capable d’identifier ce problème ? Jamais. Tu sauras peut-être que ce n’est pas bien d’agir ainsi, que c’est un manque de soumission, mais après réflexion, tu te diras : « Je dois aider ces gens avec amour, et après ça, ils progresseront et n’auront pas à être exclus. Dieu ne donne-t-Il pas aux gens l’opportunité de se repentir ? Dieu aime les gens, je dois donc les aider avec amour, et je dois faire comme Dieu le demande. » Après t’être dit cela, tu continueras à agir à ta guise. Ensuite, tu auras le cœur léger ; tu auras l’impression de mettre en pratique la vérité. Au cours de ce processus, as-tu pratiqué selon la vérité, ou as-tu agi selon tes propres préférences et intentions ? Tu as agi entièrement selon tes propres préférences et intentions. Tout au long du processus, tu as usé d’une prétendue bienveillance et d’un soi-disant amour, ainsi que de sentiments et de philosophies des relations mondaines, dans le but d’arranger les choses, et tu as tenté de rester neutre. On aurait pu croire que tu aidais cet individu avec amour, mais dans ton cœur, tu étais en fait contraint par des sentiments, et, craignant que le Supérieur ne le découvre, tu as essayé de Le rallier ainsi que cet individu grâce au compromis, afin que personne ne se sente offensé et que le travail soit fait : les non-croyants tentent de rester neutres de la même manière. En réalité, comment Dieu évalue-t-il cette situation ? Il te classera comme quelqu’un qui ne se soumet pas à la vérité, qui adopte souvent une attitude scrutatrice et analytique à l’égard de la vérité et des exigences de Dieu. Quel rôle joue ton intention lorsque tu abordes la vérité et les exigences de Dieu en utilisant cette méthode, et lorsque tu accomplis tes devoirs avec cette attitude ? Elle sert à protéger tes propres intérêts, ton orgueil et tes relations interpersonnelles sans tenir compte des exigences de Dieu, ni avoir un impact positif sur tes propres devoirs ou sur le travail de l’Église. Une telle personne vit entièrement selon des philosophies de relations mondaines. Tout ce qu’elle dit et fait vise à sauvegarder son orgueil, ses sentiments et ses relations interpersonnelles, mais elle ne se soumet pas véritablement à la vérité et à Dieu, et elle n’essaie pas non plus de déclarer ou d’admettre ces problèmes. Elle ne ressent pas le moindre remords et reste totalement ignorante de la nature des problèmes. Si les gens n’ont pas un cœur qui craint Dieu, et si Dieu n’a pas de place dans leur cœur, alors ils ne peuvent jamais agir par principe, quels que soient les devoirs qu’ils accomplissent ou les problèmes auxquels ils sont confrontés. Les personnes qui vivent selon leurs intentions et leurs désirs égoïstes sont incapables d’entrer dans la vérité-réalité. C’est pourquoi, s’ils rencontrent un problème et qu’ils n’examinent pas leurs intentions et ne peuvent pas reconnaître où leurs intentions sont erronées, mais au lieu de cela, ils utilisent toutes sortes de justifications pour fabriquer des mensonges et des excuses pour eux-mêmes, que se passe-t-il en fin de compte ? Ils protègent assez bien leurs propres intérêts, leur orgueil et leurs relations interpersonnelles, mais ils ont perdu leur relation normale avec Dieu. Certaines personnes croient en Dieu depuis longtemps, mais lorsqu’on leur demande de parler de leur expérience personnelle, elles n’ont rien à dire, elles ne peuvent partager aucun témoignage d’expérience concernant leur changement de tempérament. Quelle en est la raison ? Elles s’examinent très rarement elles-mêmes et pratiquent très rarement selon les vérités-principes. Au lieu de cela, elles préfèrent suivre leur propre chemin, vivant dans un tempérament corrompu, leurs actions étant guidées par leurs propres intentions, perspectives, désirs et projets, tout en restant impénitents. C’est en Dieu qu’elles croient et ce sont les paroles de Dieu qu’elles écoutent ; elles reçoivent la vérité, échangent à son propos et la prêchent, mais que mettent-elles vraiment en pratique ? Elles ne pratiquent que selon leurs propres intentions et imaginations, et non selon les exigences de Dieu. Quelle est donc leur attitude à l’égard des paroles de Dieu ? Comment traitent-elles les exigences de Dieu ? Dans quel aspect de l’expérience de l’œuvre de Dieu les gens devraient-ils être le plus consciencieux ? La façon dont ils devraient expérimenter les paroles de Dieu et pratiquer la vérité, c’est la question la plus cruciale. Si quelqu’un, après avoir entendu les paroles de Dieu et écouté les sermons, ne va pas les mettre en pratique, croit-il vraiment en Dieu ? Fait-il vraiment l’expérience de Son œuvre ? Pourquoi ne sont-ils pas consciencieux là où ils devraient l’être ? Pourquoi doutent-ils de Dieu et de Ses paroles alors qu’ils devraient mettre la vérité en pratique ? « Pourquoi Dieu a-t-Il ces exigences ? S’alignent-elles sur Ses paroles ? Dieu est-Il encore amour s’Il a de telles exigences ? Avoir de telles exigences ne semble pas être quelque chose qu’Il ferait, n’est-ce pas ? Je ne peux pas l’accepter. Les exigences de Dieu sont plutôt inconsidérées, elles vont à l’encontre des notions et de l’imagination humaines. » Dites-Moi quelqu’un qui évalue ainsi les choses peut-il accepter la vérité ? (Non.) Ce n’est pas une attitude d’acceptation de la vérité. Mesurer et aborder les exigences de Dieu avec cette attitude et ces intentions, est-ce ouvrir ou fermer son cœur à Dieu ? (Le fermer.) Ce n’est pas une attitude d’acceptation, mais de résistance. En ce qui concerne les exigences de Dieu, de telles personnes examinent d’abord attentivement et certaines d’entre elles ricanent même : « Dieu n’a pas eu beaucoup d’interactions avec les frères et sœurs de l’Église ; Il ne connaît pas les affaires de l’Église. La maison de Dieu ne gère-t-elle pas les choses de manière un peu trop dogmatique ? Ce n’est pas ainsi que nous procédons. Nous agissons en fonction de la situation des frères et sœurs, en leur offrant des opportunités. Et puis, le Dieu incarné devrait être compréhensif face aux faiblesses humaines ! S’Il n’est pas prévenant, nous le serons. Il y a des choses pour lesquelles Dieu n’a pas de considération, mais nous en aurons. » Quelle attitude adoptent-ils ? C’est une attitude qui résiste, juge et condamne. Ils soumettent les choses à un examen minutieux et émettent ensuite leur jugement. Et comment jugent-ils ? Ils disent : « De toute façon, Dieu est juste, et c’est en Dieu que je crois, pas en un humain. Dieu scrute le plus profond du cœur des gens. » Qu’est-ce que cela signifie ? (Ils nient le Dieu incarné.) C’est bien cela. Dans leur cœur, ils renient le Christ, sous-entendant que les paroles du Christ ne représentent pas nécessairement Dieu. Chaque fois que les actes et les paroles du Christ contredisent ou enfreignent leurs propres intérêts, intentions et opinions, ils renient Dieu. « Quoi qu’il en soit, c’est en Dieu que je crois, et Dieu est juste. Il scrute le plus profond du cœur des gens. » Que sont ces affirmations ? S’agit-il de jugements ? Quelle est la nature de ces affirmations ? (Blasphème.) Parler des gens dans leur dos, c’est les juger. Parler de Dieu dans Son dos n’est pas seulement un jugement, c’est un blasphème. Les personnes capables de blasphémer à l’égard de Dieu peuvent-elles être de vrais croyants ? Sont-elles des personnes dotées d’une conscience et de raison ? Sont-ils des gens que Dieu sauvera ? Ces personnes sont purement des laquais de Satan, ce sont des personnes malfaisantes, elles doivent être rejetées et éliminées.

Dans les églises, y a-t-il des manifestations de commentaires sur Dieu et de jugement de Son œuvre ? Il n’y en a pas beaucoup, mais il y en a certainement, parce qu’on trouve des incrédules et des personnes malfaisantes dans toute Église. Maintenant, dans des circonstances spécifiques, ce type d’état pourrait-il surgir dans le cœur de ceux qui croient sincèrement en Dieu ? Si des choses comme le jugement, la résistance et le blasphème surgissent en vous, quelle est votre réponse interne ? Êtes-vous en mesure de saisir la gravité du problème ? Par exemple, disons que tu ne t’es jamais marié, mais que tu te trouves dans un environnement approprié et que tu rencontres un charmant partenaire potentiel que tu aimerais fréquenter. Bien que tu aies préalablement promis à Dieu de Lui consacrer toute ta vie et de ne pas chercher de partenaire, tu as pourtant dans ton cœur un bon sentiment à l’égard de cette personne et tu décides de sortir avec elle. Mais après le rendez-vous, tu découvres qu’il y a beaucoup d’obstacles et tu te rends compte qu’il n’est pas approprié de sortir avec cette personne, que Dieu ne le permet pas. Tu veux renoncer à cette personne, mais tu ne peux pas t’en détacher, alors tu pries Dieu, tu te maudis et tu te rebelles contre toi-même, et finalement vous vous séparez tous les deux. Après la rupture, tu souffres d’une immense détresse mentale. C’est normal. C’est la faiblesse normale de l’humanité. Mais tu ne dois pas te plaindre de Dieu. La plupart des gens pourraient-ils passer par cette expérience et être capables de ne pas se plaindre de Dieu ? La plupart ne le pourraient pas, et cela reflète leur attitude à l’égard de la vérité et de Dieu. Quelles pensées erronées faut-il avoir pour se plaindre de Dieu dans une telle situation ? (Si je ne croyais pas en Dieu, je pourrais trouver un partenaire.) Une telle pensée est-elle un gros problème ? En quelque sorte, ils ne veulent pas croire en Dieu, ils veulent laisser tomber. Ils pensent : « Pourquoi ai-je dû choisir la voie de la croyance en Dieu ? Ne pas croire en Dieu serait formidable, je pourrais faire ce que je veux. Il n’est pas facile de trouver un partenaire qui convienne si bien ; si je passe à côté maintenant, je serai bientôt trop vieux pour que quelqu’un veuille de moi. Devrais-je ne plus jamais essayer de trouver à nouveau quelqu’un ? Est-ce ainsi que je passerai le reste de ma vie ? » Les pensées négatives et pleines de regrets ressurgissent, même jusqu’au point où la personne ne veuille plus croire. Ce sont des manifestations de rébellion et de trahison à l’égard de Dieu. Mais ce n’est pas le plus grave. Quelles pensées sont plus graves que celles-ci ? Avez-vous fait l’expérience de ce genre de choses ? (Non.) Ne pas en avoir fait l’expérience est vraiment très dangereux. Ceux qui ont vécu de telles choses sont capables d’en voir clairement certains aspects ; ils sont relativement plus en sécurité, même si ce n’est pas une garantie absolue. La tentation de ceux qui n’ont pas vécu ce genre d’expérience n’est pas anodine. Ils doivent être vigilants, car tout relâchement de leur vigilance les expose à la tentation ! Certains s’interrogent : « Il est bon d’être né dans les derniers jours et d’être choisi par Dieu. De plus, je suis jeune, je n’ai pas de problème de famille, je suis libre de faire mon devoir, c’est la grâce de Dieu. C’est dommage qu’il n’y ait qu’un seul inconvénient : même si je rencontre un partenaire convenable, je ne peux pas lui courir après ni me marier. Mais pourquoi ne puis-je pas en chercher un ? Le mariage est-il un péché ? N’y a-t-il pas de nombreux frères et sœurs qui ont un conjoint et des enfants ? Et ne croient-ils pas eux aussi en Dieu ? Pourquoi n’ai-je pas le droit de chercher un partenaire ? Dieu n’est pas juste ! » Leur jugement de Dieu et leur insatisfaction à Son égard apparaissent. Ils s’imaginent que tout cela est l’œuvre de Dieu, que tout vient de Dieu, alors ils Lui en veulent et se déchargent de leurs griefs : « Dieu est si injuste envers moi ! Il n’a pas d’égards ! D’autres personnes peuvent se marier, pourquoi pas moi ? D’autres personnes peuvent avoir des enfants, pourquoi pas moi ? Dieu donne cette chance aux autres, pourquoi ne me la donne-t-Il pas à moi ? » Des plaintes et des jugements apparaissent. De quel état s’agit-il ? (Un état de résistance, d’opposition.) Résistant, insatisfait, réticent. Elles n’ont pas la moindre intention d’accepter ou de se soumettre à ce que Dieu fait ; elles souhaitent simplement qu’Il fasse autrement. Néanmoins, elles hésitent encore à choisir de se marier, craignant que si elles se mariaient et avaient des enchevêtrements, elles ne seraient plus aussi libres et ne pourraient plus bien accomplir leur devoir, ce qui les empêcherait d’être sauvées plus tard et d’entrer dans le royaume des cieux. Que feraient-elles alors avec un tel regret ? En fait, c’est le chemin que tu choisis toi-même. Dieu accorde aux humains le libre arbitre. Tu peux choisir de trouver un partenaire et te marier ou de poursuivre la vérité et le salut. Il s’agit d’un choix entièrement personnel ; que tu choisisses correctement ou non n’a aucun rapport avec Dieu, alors pourquoi te plains-tu de Lui ? Pourquoi te plains-tu qu’Il n’est pas juste ? Pourquoi tant de plaintes ? (Parce que mes propres intérêts n’ont pas été satisfaits.) Lorsqu’il s’agit de tes propres intérêts, tu es intérieurement insatisfait. Tu as l’impression d’avoir subi une perte, alors tu blâmes Dieu et tu cherches même des raisons de te défouler. Quel est ce tempérament ? (Un tempérament malintentionné.) C’est un tempérament malintentionné. Blâmer Dieu, se plaindre qu’Il n’est pas juste, et se plaindre que Ses arrangements ne conviennent pas chaque fois que l’on ne peut pas satisfaire ses propres intérêts, c’est un tempérament malintentionné et intransigeant, et qui n’aime pas la vérité. Comment ces états et ces pensées naissent-ils chez les gens ? S’il n’y avait pas ces situations, ces choses se produiraient-elles encore et seraient-elles révélées ? (Non.) Lorsque tu n’es pas confronté à une telle situation, tes intérêts pertinents n’entrent pas en conflit avec les exigences de Dieu et tes intérêts ne sont en aucun cas compromis, de sorte que tu penses que ton amour et ta poursuite de Dieu sont meilleurs et plus forts que ceux de tous les autres. Mais lorsque tu es confronté à cette situation et que tes intérêts sont en jeu, tu ne peux pas abandonner tes intérêts, alors tu te plains de Dieu. Que peut-on tirer de cette question ? Qu’est-ce qui pousse souvent les gens à se plaindre de Dieu et à Le juger ? (Quand leurs propres intérêts ne sont pas satisfaits.) Quand cela touche à leurs propres intérêts, quand leurs propres intentions, désirs et projets ne peuvent pas être réalisés, les gens résistent, jugent et se plaignent de Dieu, et peuvent même blasphémer. En effet, le jugement lui-même est une sorte d’état de résistance ; le blasphème est encore plus grave. Lorsque leurs intérêts sont lésés, plus ils y pensent, plus ils sont en colère, plus ils sont mécontents et plus ils se sentent lésés. Ils commencent à résister, et avec ces pensées en tête, les plaintes jaillissent de leurs bouches et ils commencent à juger. C’est un signe d’opposition à Dieu.

Comment se manifeste concrètement le fait qu’une personne résiste à Dieu ? (Qu’elle ne fasse pas son devoir assidûment ; qu’elle soit superficielle dans son devoir.) C’est l’un des aspects. Auparavant, cette personne pouvait dédier 70 ou 80 pour cent de son énergie à l’accomplissement de son devoir et s’y dévouer. Mais désormais, elle a des pensées sur Dieu, et elle trouve que même en accomplissant son devoir, elle n’a pas reçu les bénédictions ou la grâce de Dieu. Outre le fait qu’elle juge que Dieu est injuste, il y a aussi une résistance dans son cœur. Alors, elle ne dédie que 10 ou 20 pour cent de ses efforts à l’accomplissement de son devoir, et elle agit complètement superficiellement. Ce type de comportement de résistance est causée par un état rebelle. Quoi d’autre ? (Un abandon négligent.) Comment cela se manifeste-t-il ? Par exemple, disons qu’un chef de groupe avait pour habitude de se réveiller à 5 heures du matin pour un rassemblement à 8 heures, afin de prier, de s’adonner à des dévotions spirituelles et de se préparer. Puis il enregistrait le contenu pour échanger lors de la réunion. Il avait une attitude sérieuse quant à l’accomplissement de son devoir, il s’y dévouait entièrement. Mais, après avoir été émondé une fois, il a commencé à s’interroger : « Quel est l’intérêt de me lever tôt ? Dieu ne le voit pas, et personne ne me félicite de le faire. Pas une seule personne ne dit que je fais mon devoir avec loyauté. De plus, malgré tout mon travail, je me fais tout le temps émonder. Et je n’ai pas reçu d’approbation de la part de Dieu non plus. Il semble maintenant que même à l’avenir, je ne serai peut-être pas récompensé. » Alors, pour la réunion suivante, il ne se prépare pas en avance, n’échange pas avec enthousiasme et cesse de tenir les registres. Quelle est cette attitude ? (Une attitude irresponsable.) Il est irresponsable et superficiel, et il ne souhaite plus dévouer tout son cœur et sa force. Pourquoi est-il ainsi ? Quelque chose en lui pose problème. Il résiste et rivalise avec Dieu, en se disant : « Ton émondage m’a mis mal à l’aise, alors c’est ainsi que je te traite. Avant, j’étais dévoué de tout mon cœur et de tout mon esprit, mais Dieu ne m’a pas approuvé. Dieu traite les gens de façon injuste, alors dorénavant, je n’accomplirai plus mon devoir au mieux ! » Quel est ce tempérament ? Sa bestialité est manifeste. Dans son cœur, il nie la justice de Dieu, il nie que Dieu scrute les profondeurs du cœur de l’homme, il nie que Dieu aime vraiment l’homme, il nie l’essence de Dieu, et il traite Dieu uniquement en fonction de ses propres notions. Quels comportements apparaissent quand on traite Dieu ainsi ? La négligence, l’abandon imprudent et l’irresponsabilité, ainsi que les récriminations et les incompréhensions. Ils vont même répandre leurs notions, et inciter les autres : « Croire en Dieu ne vous assurera pas de recevoir des bénédictions. Et quelles bénédictions, d’ailleurs ? Est-ce que quelqu’un les a vues ? Nous marchons tous sur le chemin de Paul ; combien d’entre nous peuvent être comme Pierre ? Vous avez de la chance si vous êtes rendu parfait par Dieu. » Que répand-il ? Son jugement et ses notions sur Dieu, ainsi que son mécontentement de Lui. Quelle est la nature de ce comportement ? Est-ce de la confrontation ? (Oui.) Comment peut-il être autant dans la confrontation ? Parce que les vues qu’il a sont fausses. Il comprend mal l’attitude de Dieu envers les gens, Ses exigences à leur égard et Son approche vis-à-vis d’eux. Il manque de compréhension pour ces choses. Quand Dieu œuvre en lui, il ne peut pas accepter et se soumettre, ni rechercher la vérité. En fin de compte, où cela mène-t-il ? À de la résistance, du jugement, de la condamnation, et du blasphème. Tous ceux qui ont un tempérament corrompu affichent naturellement ces traits. La seule différence, c’est jusqu’à quel point. Les personnes malfaisantes ne sont absolument pas les seules à agir ainsi. Êtes-vous d’accord avec ceci ? (Oui. Tous ceux qui ne recherchent pas la vérité se comportent ainsi.) C’est correct. Tous ceux qui ne recherchent pas la vérité et tous ceux dont l’humanité est vénéneuse manifestent et révèlent ces traits à des degrés divers. Ceux qui sont plus assidus dans leur poursuite de la vérité peuvent aussi générer des états anormaux quand quelque chose d’indésirable leur arrive. Mais ils parviennent à se reprendre en main par la prière, en s’examinant en regard des paroles de Dieu et en recherchant la vérité. Une fois qu’ils se sont repris en main, la repentance leur permet de ne plus se méprendre sur Dieu et de commencer à se soumettre. Bien que cette soumission ait parfois des impuretés, qu’elle soit un peu forcée, ou qu’elle ne soit pas au niveau nécessaire, tant qu’ils ont la volonté de se soumettre et qu’ils peuvent mettre même un peu de vérité en pratique, ils vont graduellement gagner en clarté sur tous les aspects de la vérité. Mais si tu n’as absolument aucun désir de te soumettre, et que même après t’être examiné et avoir pris conscience de ce problème, tu ne recherches pas la vérité ou tu ne l’acceptes pas – sans même accepter la façon dont Dieu te traite –, alors il y aura un problème. Quelles en seront les conséquences ? Tu vas exprimer des plaintes, émettre des jugements hâtifs et parler sans te restreindre, et manquer totalement d’un cœur qui craint Dieu. Dans les cas moins graves, tu te plaindras chez toi et tu casseras des assiettes pour soulager ta colère. Tu te seras éloigné de Dieu, et tu seras réticent à te présenter devant Lui et prier. Dans les cas plus graves, tu répandras ta négativité et tes notions quand tu verras les frères et les sœurs, et tu causeras des interruptions et des perturbations. Si tu ne te repens toujours pas, alors tu provoqueras probablement leur indignation, et tu seras exclu ou expulsé de l’Église.

Quand il arrive quelque chose de différent aux gens, toutes sortes de manifestations en eux montrent la différence entre une bonne et une mauvaise humanité. Alors, quels sont les critères pour jauger l’humanité des gens ? Comment doit-on évaluer le type d’une personne et si cette personne peut ou non être sauvée ? Il faut savoir si cette personne aime la vérité ou non et si elle est capable ou non d’accepter et de pratiquer la vérité. Les gens ont tous en eux des notions et de la rébellion, ils ont tous des tempéraments corrompus, et il y a des moments où ce que Dieu leur demande entre en conflit avec leurs propres intérêts, et où ils ont à faire des choix, il s’agit là de situations dont ils feront souvent l’expérience, personne ne peut les éviter. Ces gens passent tous également par des périodes où ils comprennent mal Dieu et ont des notions sur Dieu, où ils se plaignent de Lui et Lui résistent, ou se rebellent contre Lui, mais parce que les gens adoptent des attitudes différentes vis-à-vis de la vérité, leur façon d’aborder celle-ci est variable. Certaines personnes ne parlent jamais de leurs notions, mais elles cherchent la vérité et résolvent ces notions toutes seules. Pourquoi ne parlent-elles pas de leurs notions ? (Parce qu’elles ont un cœur qui craint Dieu.) C’est exact : elles ont un cœur qui craint Dieu. Elles craignent que le fait de les exprimer ait un effet négatif, et elles essaient simplement de résoudre ces notions dans leur cœur, sans affecter qui que ce soit d’autre. Quand elles rencontrent des gens qui sont dans un état semblable au leur, elles se servent de leurs propres expériences pour les aider. C’est cela, avoir bon cœur. Les gens qui ont bon cœur se montrent aimants envers les autres, ils sont prêts à aider les autres à surmonter leurs difficultés. Ils ont des principes quand ils interviennent pour aider les autres, ils les aident à régler leurs problèmes pour qu’ils en tirent profit, et ils ne disent rien qui ne profite aux autres. Il s’agit là d’amour. De telles personnes ont un cœur qui craint Dieu, et leurs actes sont basés sur des principes et sur la sagesse. Voilà les critères pour jauger si l’humanité des gens est bonne ou mauvaise. Ils savent que ce qui est négatif ne profite à personne, et que ces choses négatives affectent les autres s’ils en parlent haut et fort, alors ils choisissent de prier Dieu dans leur cœur et de chercher la vérité pour parvenir à une solution. Quelles que soient leurs notions, ils sont capables de les aborder et de s’en occuper avec un cœur qui se soumet à Dieu, puis ils parviennent à une compréhension de la vérité, et à la capacité de se soumettre entièrement à Dieu. Ainsi, ils ont de moins en moins de notions. Mais certaines personnes n’ont aucune raison. Quand elles ont des notions, elles aiment échanger à leur sujet avec tout un chacun. Mais cela ne résout pas le problème, et amène les autres à avoir des notions, alors, est-ce que cela ne nuit pas aux autres ? Certaines personnes ne disent pas aux frères et sœurs qu’elles ont des notions, car elles craignent que les autres puissent savoir qu’elles ont des notions, et qu’ils l’utilisent contre elles, mais chez elles, elles parlent sans scrupule, elles disent tout ce qu’elles ont envie de dire, et traitent les non-croyants dans leur famille comme s’il s’agissait de frères et sœurs de l’Église. Elles ne réfléchissent pas du tout aux conséquences quand elles agissent ainsi. Est-ce là agir selon des principes ? À titre d’exemple, parmi leurs parents, certains croient peut-être en Dieu et d’autres pas, ou bien certains croient à moitié et sont à moitié sceptiques. Quand elles ont des notions, elles les répandent chez les membres de leur famille, avec pour résultat que tous ces gens sont entachés à cause d’elles, et qu’ils se mettent à avoir des notions et des incompréhensions au sujet de Dieu. Les notions et les incompréhensions sont fondamentalement nuisibles, et quand elles se répandent, les gens qui ne les voient pas pour ce qu’elles sont vraiment peuvent en pâtir. Les gens confus, en particulier, sont susceptibles de devenir encore plus confus après les avoir entendues. Seuls ceux qui comprennent la vérité et qui sont capables de les identifier peuvent rejeter ces choses néfastes, ces choses que sont les notions, la négativité et les incompréhensions, et être protégés par Dieu. La plupart des gens n’ont pas une telle stature. Certains sentent que ces choses sont mauvaises, ce qui est déjà assez impressionnant, mais ils ne les voient pas du tout pour ce qu’elles sont. Par conséquent, face à ceux qui répandent souvent des notions et de la négativité, la plupart des gens sont perturbés par ces choses néfastes et ils deviennent faibles et négatifs. C’est une certitude. Ces choses négatives et néfastes ont un pouvoir énorme pour ce qui est d’induire en erreur les nouveaux croyants et de leur nuire. Elles ont peu d’effet sur ceux qui ont déjà des bases. Au bout d’un moment, lorsque ces gens-là comprennent la vérité, ils se reprennent en main. Mais quand des nouveaux croyants qui manquent de bases entendent ces choses néfastes, ils deviennent facilement négatifs et faibles. Ceux qui n’aiment pas la vérité battent même en retraite et cessent de croire en Dieu. Les personnes malfaisantes peuvent même répandre des notions et déranger le travail de l’Église. Quelle sorte de gens sont ceux qui répandent de la négativité et des notions sans scrupule ? Ce sont tous des personnes malfaisantes, ce sont tous des démons, et ils seront tous révélés et éliminés. Certains disent : « Je ne répands pas ces choses auprès des étrangers, je ne fais qu’en parler chez moi. » Que tu en parles à l’extérieur ou chez toi, la nature du problème est la même. Si tu peux en parler chez toi, c’est que tu as des notions et des incompréhensions à propos de Dieu. Pouvoir dire ces choses à voix haute prouve que tu ne recherches pas la vérité, que tu ne l’aimes pas. Tu n’as pas cherché la vérité pour t’aider à dissiper ces notions, et tu n’as pas non plus prévu de les abandonner. Alors peu importe à qui tu parles, la nature de ton discours reste la même. Et certaines personnes répandent leurs notions où qu’elles aillent, auprès de tous ceux qu’elles rencontrent. Par exemple, mettons que quelqu’un soit renvoyé chez lui parce qu’il a causé des interruptions et des perturbations en faisant son devoir. Quand on lui demande pourquoi il a été renvoyé chez lui, il répond : « Je suis franc par nature, je dis ce que je pense. J’ai commis un impair en parlant de certaines choses mauvaises que je faisais avant. Quand c’est arrivé aux oreilles des dirigeants et des ouvriers, ils m’ont collé une étiquette de personne malfaisante et ils m’ont renvoyé chez moi. Vous devriez apprendre de mon expérience : on ne peut pas parler imprudemment dans la maison de Dieu. Dieu dit qu’il faut être honnête, mais on doit prendre en compte son public. On peut être honnête avec sa famille, mais essayez d’être honnêtes avec des étrangers, et vous en subirez les conséquences. N’ai-je pas justement souffert ces conséquences ? Tirez-en des leçons. » Certaines personnes, en entendant ceci, vont ressasser : « Ce genre de choses a cours dans la maison de Dieu ? Il va falloir faire attention à ce que nous disons, désormais ! » Ces personnes ne sont-elles pas confuses ? Dieu a exprimé tant de paroles, et pourtant après les avoir écoutées pendant plus de dix ans, elles n’en retiennent pas une seule phrase. Mais qu’une personne malfaisante dise une seule chose, et elles s’en souviennent parfaitement, c’est implanté dans leur cœur, et ensuite, elles deviennent méfiantes dans leur discours et leurs actions. Elles ont été induites en erreur et empoisonnées. Pourquoi peuvent-elles être empoisonnées ? Dans un sens, leur calibre est médiocre, et elles sont trop confuses, incapables de discerner le discours et le comportement des autres, et n’ont pas leur propre point de vue. Elles ne comprennent pas la vérité, et sont incapables de s’y tenir. Pour le dire autrement, elles n’ont pas foi en Dieu et ne comprennent rien à la façon dont Il traite les gens. En raison de tout ceci, elles peuvent être induites en erreur par les autres. Elles non plus ne sont certainement pas de bonnes personnes, capables d’adopter les paroles d’un démon. Quels sont les intentions et les buts du démon quand il répand des notions ? Elle veut que tout le monde soit compatissant envers elle. Elle serait ravie que tout le monde se plaigne de Dieu. N’est-ce pas une personne qui cause des interruptions et des perturbations ? Ne cause-t-elle pas aveuglément des problèmes ? Comment gérer de telles personnes ? A-t-on seulement besoin de le dire ? Il faut immédiatement les exclure de l’Église, elles ne peuvent pas rester un seul jour de plus. Les personnes malfaisantes comme elles qui restent dans la maison de Dieu n’amèneront que des résultats désastreux. Elles sont un danger caché, une bombe prête à exploser. La meilleure façon de faire est de les exclure. Laissez-les croire ce qu’elles veulent en dehors de l’Église ; cela n’a rien à voir avec la maison de Dieu. Ces personnes sont les plus insidieuses et sont au-delà de la rédemption. Dites-Moi, qui dans la maison de Dieu a déjà été renvoyé à cause d’un lapsus momentané ? Qui a déjà été forcé à partir à cause de son honnêteté et de sa capacité à se reconnaître ouvertement ? La maison de Dieu travaille sans cesse à purger l’Église, et qui sont ceux qui subissent ce nettoyage ? Toutes les personnes malfaisantes, les antéchrists et les incrédules qui n’accomplissent jamais correctement leur devoir, et qui font même le mal et causent des perturbations. Jamais personne n’a été exclu à cause d’une transgression ou d’une révélation de corruption momentanées, et encore moins pour la pratique de la vérité dans le but d’être une personne honnête. C’est un fait connu. Certains disent : « Ceux qui recherchent la vérité sont en minorité dans l’Église. La majorité ne recherche pas la vérité. Si la majorité était exclue, qui resterait-il pour rendre service ? Si la majorité était exclue, combien de personnes pourraient être encore sauvées ? » Ce n’est pas ainsi qu’il faut penser. On dit depuis longtemps : « Il y a beaucoup d’appelés, mais peu d’élus. » C’est parce que l’humanité est très profondément corrompue que les gens qui aiment la vérité sont si peu nombreux. Dieu ne veut pas un grand nombre de personnes, mais des personnes d’excellence. Ceux qui restent dans Sa maison sont ceux qui peuvent écouter et obéir, qui peuvent protéger le travail de la maison de Dieu. La plupart d’entre eux sont des personnes qui peuvent accepter la vérité. Certains sont de calibre médiocre et ne comprennent peut-être pas la vérité, mais ils sont capables d’écouter, d’obéir et de se retenir de faire le mal. De telles personnes peuvent rester pour rendre service. Tous ceux qui parviennent à rester parmi les exécutants sont loyaux. Quel que soit le service, ils ne se plaignent pas. Ce sont des personnes qui écoutent et obéissent. Ceux qui n’écoutent pas et n’obéissent pas, ne causeraient-ils pas des perturbations s’ils restaient ? Même s’ils rendent un peu service, ils ont toujours besoin de supervision. Dès qu’on ne les surveille pas, ils peuvent commettre des fautes et causer des problèmes. Le service de telles personnes cause plus de mal que de bien. Ces exécutants doivent être exclus, pour ne pas déranger le peuple élu de Dieu et la vie d’Église. Si les personnes malfaisantes ne sont pas exclues de l’Église, le peuple élu de Dieu en pâtira réellement et sera détruit. Ainsi, la seule façon de s’assurer que le peuple élu de Dieu peut faire l’expérience de la vie d’Église sans perturbation est d’en exclure les personnes malfaisantes. C’est la seule manière de garantir que le peuple élu de Dieu emprunte le bon chemin de croyance en Dieu et atteigne le salut. Exclure les personnes malfaisantes est complètement en accord avec les intentions de Dieu.

Il existe un type de personne aimante et tolérante envers tout le monde, et prête à aider n’importe qui. La seule chose qui ne les intéresse pas, c’est la vérité. Elles sont toujours opposées à Dieu et il est impossible de les réconcilier avec Lui. Ce sont des ennemis mortels de Dieu. De quel genre de personne s’agit-il ? Ce sont des incrédules et des démons. Les démons sont ceux qui en ont le plus d’aversion pour la vérité et qui la haïssent le plus. Dès lors que quelque chose implique la vérité, la parole ou les exigences de Dieu, ils ne l’acceptent pas. Mais en plus de cela, ils en doutent, ils y résistent, et ils répandent leurs notions à ce propos. De plus, ils font de nombreuses choses néfastes au travail de l’Église, et vont même jusqu’à vociférer contre Dieu en public quand leurs intérêts personnels sont touchés. Ces personnes sont des démons, elles haïssent la vérité et elles haïssent Dieu. Au sein de la nature de chaque personne, il y a un tempérament qui hait la vérité ; de fait, chacun a une essence qui hait Dieu. La seule différence est l’étendue de cette haine, sa légèreté ou sa sévérité. Certains sont capables de faire le mal pour s’opposer à Dieu, tandis que d’autres ne feront que révéler un tempérament corrompu et des émotions négatives. Alors pourquoi certaines personnes sont-elles capables de haïr Dieu ? Quel est leur rôle ? Elles sont capables de haïr Dieu parce qu’elles ont un tempérament qui hait la vérité. Elles ont ce tempérament veut dire qu’elles sont des démons et des ennemis de Dieu. Qu’est-ce qu’un démon ? Les démons sont ceux qui haïssent la vérité et Dieu. Peuvent-ils être sauvés ? En aucun cas. Alors que Dieu sauve l’humanité, de nombreuses personnes vont s’élever contre Lui et perturber le travail de Sa maison. Ces personnes sont des démons. On peut aussi les appeler démons vivants. Dans les églises où qu’elles soient, quiconque perturbe le travail de l’Église est un diable et un démon vivant. Et quiconque tyrannise l’Église et n’accepte la vérité à aucun degré est un démon vivant. Ainsi, si vous identifiez correctement qui sont les démons vivants, vous devez agir rapidement pour les exclure. S’il y a des personnes dont le comportement est généralement très bon, mais qu’il arrive que leur état soit mauvais, ou que leur stature soit trop faible et que sans comprendre la vérité, elles fassent quelque chose qui cause des interruptions et des perturbations, mais que ce n’est pas leur habitude et qu’elles ne sont pas ce genre de personne par nature, alors elles peuvent rester. L’humanité de certaines personnes n’est pas très bonne. Si quelqu’un les offense, elles ne l’oublieront jamais. Elles se disputeront avec cette personne sans fin, et sans pitié si elles s’en sentent le droit. Et pourtant, ces personnes ont un mérite : elles sont disposées à rendre service et à endurer l’adversité. Ce genre de personnes peuvent rester pour le moment. Si elles font régulièrement le mal et perturbent le travail de l’Église, alors elles sont des démons et Satan, et elles ne peuvent absolument pas être sauvées. C’est sûr à 100 pour cent. Les gens de ce genre doivent être exclus de l’Église. En aucun cas ils ne doivent être autorisés à rester. Pourquoi doit-on les exclure ? Sur quelle base les renvoie-t-on ? Certains sont exclus pour leur donner une chance de se repentir, pour leur apprendre une leçon. D’autres sont exclus parce que leur nature a été révélée pour ce qu’elle est, et qu’ils ne peuvent pas être sauvés. Ainsi, tu le vois, les gens sont tout simplement différents les uns des autres. Certains sont exclus et malgré leur négativité extrême et leur cœur assombri, ils n’abandonnent pas leur devoir et continuent à l’accomplir. Ils ne sont pas dans le même état que ceux qui abandonnent complètement leur devoir après leur exclusion, et le chemin qu’ils empruntent n’est pas le même. Quel est l’état intérieur de ceux qui continuent à faire leur devoir après avoir été exclus ? Que recherchent-ils ? Pas la même chose que ceux qui n’accomplissent pas leur devoir. Si vous n’êtes pas capables de discerner ceci, cela veut dire que votre calibre est médiocre, que vous manquez de compréhension spirituelle et que vous ne pouvez pas faire le travail de l’Église. Si vous voyez la différence, vous les traiterez différemment. Où se situe la différence entre ces deux types de personnes ? En quoi le chemin qu’elles empruntent diffère ? Quelle est la différence entre leurs attitudes face à l’accomplissement de leur devoir ? Pouvez-vous discerner ces choses ? (Certaines personnes continuent à accomplir certains devoirs après leur exclusion, ce qui indique qu’elles ont encore une certaine conscience. Peut-être qu’elles pensent qu’elles ne peuvent plus être sauvées, mais qu’elles se disent : « Je crois en Dieu. Je suis certain que Dieu est le Créateur. Même si l’Église m’a exclu, je dois continuer à croire en Dieu. Je reste un être créé, et je reconnais mon Créateur. » Elles ont encore cette conscience au travail en elles. Si elles ne font même plus leur devoir après leur exclusion, et ne croient même plus en Dieu, elles se trahissent comme incrédules.) Qui souhaite prendre la parole ensuite ? (Peut-être que certaines personnes continuent à accomplir leur devoir après leur exclusion, car elles savent dans leur cœur qu’elles ont une dette envers Dieu pour les choses qu’elles ont faites auparavant, et qu’elles veulent se racheter. Mais si quelqu’un arrête de faire son devoir après avoir été exclu, cela montre qu’il ne le faisait pas pour satisfaire Dieu. En fait, il essayait de passer un marché avec Dieu dans l’espoir de recevoir des bénédictions. Et après avoir déterminé qu’il n’en recevrait pas, il n’a pas vu l’intérêt de continuer à accomplir son devoir, et il a arrêté de rendre service.) Entre ces deux types, lequel a un peu de conscience ? (Celui qui continue à faire son devoir après son exclusion.) Celui qui continue son devoir a un peu de conscience et une ligne de conduite d’humanité. En tant qu’humain, qu’importe la façon dont Dieu le traite et qu’importe si Dieu le veut, il reste un être créé par Dieu. Il ne peut échapper à la main de Dieu. Où qu’il aille, il reste un être créé, et donc il doit continuer à faire son devoir. Cela montre qu’il a une conscience et une ligne de conduite d’humanité. De plus, où qu’il a aille, il peut au moins admettre qu’il croit en Dieu et reconnaître Son existence. C’est cette foi dans son cœur qui lui permet d’accomplir ses devoirs. Ce type de personne a vraiment de la foi, et peut être capable de repentir. Et pour ceux qui cessent d’accomplir leurs devoirs une fois exclus, ils pensent : « Si Dieu ne me veut pas, je ne croirai plus en Lui. De toute façon, ma croyance ne sert à rien. » Ils cessent de croire et nient l’existence de Dieu et abandonnent même leur ligne de conduite, et renient toutes leurs actions jusqu’à présent. Ces personnes manquent de conscience et de raison, et c’est là la différence entre ces deux types. Dites-Moi, est-ce que Dieu le sait ? Il ne le sait que trop. Il a créé toutes les choses, Il peut toutes les observer et Il règne en maître sur elles toutes. Les incrédules qui n’ont pas de conscience pensent : « Où est Dieu ? Pourquoi ne L’ai-je pas vu ? Alors quelle importance si l’Église m’a exclu ? Je peux vivre n’importe où, cela ne change rien. Tu crois que je ne peux plus vivre parce que je T’ai quitté ? J’ai encore plus de liberté maintenant que je n’accomplis plus mes devoirs ! » Voilà leur attitude, qui les révèle comme incrédules. Cela prouve que les exclure était la chose à faire. Ces incrédules doivent être exclus – bon débarras à eux. Ceux qui ont foi en Dieu réagissent différemment s’ils sont exclus. Par exemple, après leur exclusion, certains peuvent dire : « Je ne peux pas vivre sans faire mon devoir. Je ne peux pas vivre sans croire en Dieu. Je ne peux pas continuer sans Dieu. Où que j’aille, je suis entre les mains de Dieu. » Alors, ils continuent de faire leur devoir. Ce n’est pas une croyance aveugle ou la bêtise qui les conduit à ce choix. C’est parce qu’ils sont gouvernés par ces pensées qu’ils peuvent accomplir leurs devoirs ainsi. Ils ont aussi des doléances, des notions et des plaintes, mais pourquoi sont-ils en mesure d’accomplir leur devoir ? Parce qu’il y a encore de la conscience à l’œuvre dans leur humanité. Ceux qui n’ont pas la fonction de la conscience peuvent s’abstenir de faire leur devoir et de croire en Dieu. La différence est là. Les gens sont différents les uns des autres, il y a des différences entre tous. Aux moments critiques, la présence ou l’absence de conscience et de raison peut déterminer et affecter de nombreuses choses.

À l’instant, J’ai échangé sur les intentions derrière l’état de quelqu’un. À présent, je vais échanger sur la position et l’attitude. Qu’il s’agisse d’un aspect de terminologie ou d’un aspect de la vérité, de nombreux détails sont en jeu ici. Ce ne sont pas de simples mots ou phrases superficielles. Si tu limites ta compréhension à un mot, un concept, ou au sens littéral de certaines phrases, ils ne seront jamais rien d’autre qu’un type de doctrine. Par contre, si tu intègres et compares ces expressions ou ces phrases littérales aux états réels et aux idées, aux points de vue et aux méthodes que les gens révèlent dans leur vie réelle, tu seras capable de découvrir un grand nombre de tes propres problèmes. Certains problèmes contredisent la vérité. D’autres semblent alignés avec la doctrine, ils semblent se conformer aux règlements et aux idées et méthodes humaines, mais en réalité, ils ne sont pas conformes à la vérité ou aux intentions de Dieu. Par exemple, certaines opinions et positions que les gens ont ne sont conformes qu’aux notions et idées imaginaires humaines, et pas aux vérités-principes. Si elles ne sont pas mesurées et discernées par rapport aux paroles de Dieu, elles passeront pour acceptables aux yeux des gens. Mais une fois confrontées aux paroles de Dieu, les idées et opinions humaines deviennent des choses fallacieuses et négatives. Quels autres problèmes avez-vous découverts ? (Dieu, je pense aux idées et opinions de la culture traditionnelle comme « être loyal envers ses parents » et « être une bonne épouse et une mère aimante », que les gens pensent être justes et appropriées. Mais du point de vue de la vérité, elles n’y sont pas conformes.) Elles ne sont pas conformes à la vérité. Cela veut dire qu’elles vont à l’encontre des désirs de Dieu. Par exemple, certaines personnes peuvent montrer de la dévotion filiale envers leurs parents, ou être une bonne épouse, une mère aimante, en termes de comportement et de performance, il ne semble pas y avoir de problème. Mais peuvent-elles se soumettre à Dieu ? Peuvent-elles accepter la vérité ? Afficher ces comportements extérieurs n’est pas un problème. Mais si on évalue leur nature-essence, montrent-elles de la soumission dans la manière dont elles traitent Dieu ? Sont-elles capables d’accepter la vérité ? Si elles ont des problèmes avec ces deux aspects, seront-elles capables d’atteindre le salut ? Certainement pas. Alors, bien que ces deux comportements semblent méritants, ils ne peuvent pas représenter l’essence d’une personne. Qu’elle soit loyale à ses parents, une bonne épouse et une mère aimante à la surface, cela ne veut pas pour autant dire qu’elle se soumette à Dieu. Et encore moins qu’elle s’est libérée de l’influence de Satan. Il n’y a pas de relation entre ses deux mérites et la vérité. Par conséquent, une personne qui possède ces deux mérites n’est en aucun cas une personne que Dieu approuve, et elle est loin de pouvoir être considérée comme une personne droite. Le cœur des humains corrompus déborde de philosophies de Satan. Ils aiment tous recevoir les éloges et l’approbation des autres. Ils aiment tous maintenir leurs relations interpersonnelles pour se protéger. Ils aiment tous sortir du lot et se vanter pour se faire admirer des autres. Ces vies basées sur les philosophies sataniques ont toutes un certain point de départ. Quel est le but que ce point de départ vise à atteindre ? (Qu’on les encense en tant que bonnes personnes, et qu’on dise qu’ils sont aimants et prévenants, afin d’avoir le soutien et l’approbation des gens.) Quand ils vivent selon les philosophies de Satan, les gens entretiennent un type de notion et d’idée imaginaire : « Les bons sont récompensés » et « Les bons ont une vie paisible. » Et cependant, personne ne peut dire clairement le sens de : « Les bons sont récompensés » et « Les bons ont une vie paisible ». Au contraire, en voyant que de bonnes personnes ne vivent pas longtemps tandis que de mauvaises personnes vivent longtemps, personne ne peut réellement comprendre la source de cette situation. Mais il y a une règle communément acceptée qui reste une constante : « Le bien est récompensé par le bien, le mal par le mal. » Dieu récompense chaque individu en fonction de ses propres actes. C’est prédéterminé par Dieu et personne ne peut changer cela, mais peu de gens le reconnaissent. Alors, est-ce facile pour les gens qui vivent selon les philosophies sataniques de changer ? (Non.) Pourquoi cela ? (Ces philosophies sont devenues leur loi de survie. Si on ne recherche pas la vérité et si on est incapable de discerner ces notions, il est difficile de changer.) Ce n’est pas si simple. En réalité, lorsque tu es face à une situation avec ces intentions et ces actions, si tu dis ne rien ressentir, ce n’est pas exact. Pour les non-croyants, ne rien ressentir est normal, parce qu’ils vivent totalement selon les philosophies et lois sataniques. Ils considèrent que ces choses ont de la valeur et ils ne pensent pas avoir tort. Aujourd’hui, vous croyez en Dieu depuis si longtemps et vous avez écouté tant de sermons qu’au fond de vous, vous devez avoir une estimation de ces choses. Sont-elles bonnes ou mauvaises ? Vous devez être capables de reconnaître que ces choses sont mauvaises et leur opposer une attitude de rejet, et non pas d’acceptation. Alors pourquoi ne pouvez-vous pas les abandonner tout en sachant très bien qu’elles sont mauvaises ? D’où vient le problème ? (Nous sommes trop égoïstes et méprisables, et réticents à nous rebeller contre la chair. Lorsque nous sommes confrontés à quelque chose, nous ne pensons pas à satisfaire Dieu et considérons peu les intérêts de la maison de Dieu. Au lieu de cela, nous ne pensons qu’à nos propres intérêts. Nous n’arrivons pas à nous rebeller contre nos intentions profondes.) Ne pas vouloir se rebeller contre la chair : c’est l’un des aspects. Quand il s’agit d’intérêts majeurs, tu ressens de la détresse et de l’angoisse, et tu n’arrives pas à lâcher prise. Alors, dans vos interactions interpersonnelles quotidiennes qui n’impliquent pas d’intérêts majeurs, avez-vous déjà examiné ces philosophies et lois sataniques ? Avez-vous recherché la vérité pour les résoudre ? Avez-vous changé ? (J’examine certaines choses, et j’essaie de changer ce que je reconnais. Mais bien souvent, je ne trouve pas que c’est un sujet sérieux, et je ne l’examine pas.) Alors, ce n’est pas facile de changer. Le moindre de tes mouvements, de tes mots et de tes actes, même tes regards sont tous des révélations d’un tempérament corrompu, tous gouvernés par un tempérament corrompu. Si tu ne recherches toujours pas la vérité pour résoudre ces problèmes, il te sera très difficile de recevoir le salut. Si tu trouves que cela te demande des efforts et une énergie énormes de te rebeller contre la chair, comme si tu devais couper ta personnalité en deux, alors tu as un problème : il ne sera pas facile de changer. Si tu peux t’examiner et chercher la vérité, d’abord dans ta vie de tous les jours, dans chaque mot et dans chaque action, en particulier pour les questions qui ont trait à la réputation, au profit, et au statut, et si tu peux te rebeller contre ta propre chair, tu seras capable de mettre en place des changements. Aujourd’hui, vous trouvez tous difficile de renoncer aux philosophies et aux lois de Satan. Alors, dans vos vies quotidiennes, y a-t-il eu des changements sincères dans vos opinions ou vos comportements non alignés avec la vérité ? (Parfois, quand je parle ou que j’agis, je reconnais que j’ai des intentions déplacées et je veux les corriger. Après avoir prié, je comprends les intentions de Dieu et je peux les mettre en pratique. Mais en ayant fait cela, je me rends compte que je n’ai en fait pas résolu les intentions derrière mes actions. Seules mes méthodes extérieures ont changé. Par exemple, si je mens pour protéger mes propres intérêts, lorsque je m’en rends compte, je me rebelle immédiatement contre la chair, je m’ouvre et me mets à nu devant les autres en disant : « L’intention de ce que j’ai dit à l’instant n’était pas juste. J’ai été malhonnête. » Mais la prochaine fois que je me trouverai dans une situation similaire, cette intention exercera toujours son contrôle sur moi, et je vais vouloir protéger mes propres intérêts et mentir. Cette intention semble si profondément enracinée qu’elle fait surface encore et encore dans mon cœur.) Alors, d’où vient cette intention de satisfaire tes propres intérêts ? C’est le résultat de ton tempérament corrompu. Les intentions produites par divers tempéraments corrompus sont toutes différentes par nature. Certaines sont malveillantes par nature, d’autres sont vicieuses, d’autres sont absurdes, d’autres sont ridicules et d’autres encore sont intransigeantes. Chacune a sa propre nature. De fait, il est tout à fait normal que la même intention se reproduise dans diverses situations, parce que le tempérament corrompu à l’intérieur de toi ne change pas. Si ce tempérament à lui tout seul produisait différentes intentions dans différentes situations, cela causerait énormément de problèmes aux gens et précipiterait leur esprit dans le chaos ! Ne serait-ce qu’un seul type d’intention peut être difficile à résoudre, et nécessiter une longue période de transformation. Si un tempérament produisait de nombreuses intentions différentes, il serait encore plus difficile de changer. Il faut que tu travailles en continu sur un seul type d’intention, que tu le gères et que tu le résolves dans différentes situations et circonstances, parmi des personnes, des choses et des évènements différents. C’est ainsi qu’on bataille contre un aspect d’un tempérament corrompu. Certaines personnes développent de l’anxiété et concluent même qu’elles sont incapables de changer après avoir perdu quelques batailles. Être anxieux ne sert à rien : un tempérament corrompu ne peut pas changer en un instant. Tu penses peut-être que de te rebeller contre la chair une fois ou deux suffit à apporter des changements, mais tu te rends compte plus tard que tu révèles toujours ton tempérament corrompu. Et tu ne comprends pas pourquoi. Cela indique que tu manques de compréhension quant au processus de changement de tempérament. Changer un tempérament n’a rien de facile. Si ta compréhension de la vérité est trop superficielle, cela ne suffira pas. Quand tu reconnaîtras vraiment l’essence de ton tempérament corrompu, alors tu pourras complètement te rebeller contre elle. En pratiquant comme tu le fais maintenant, même si tu révèles encore ton tempérament corrompu dans certaines situations, on ne peut nier que tu as déjà beaucoup changé. Au minimum, ton tempérament corrompu se révèle moins, et tu as moins d’intentions et d’altérations. Tu ne parles désormais plus avec autant d’hypocrisie et de malhonnêteté. Au lieu de cela, tu parles souvent du fond du cœur et tu dis la vérité. Cela indique que tu as déjà changé. Tu te dis peut-être : « Seules mes méthodes et ma pratique ont changé. Mes intentions restent les mêmes, donc je n’ai pas vraiment changé du tout, non ? Cela veut-il dire que je ne peux pas être sauvé ? » Ces pensées sont-elles correctes ? (Non.) Ce sont des pensées déformées. Pour changer ton tempérament, tu dois expérimenter de nombreux processus. Il est normal que ta pratique et tes méthodes changent d’abord. En ce qui concerne les intentions profondes des gens, elles ne peuvent être résolues que grâce à la recherche de la vérité. Être capable de changer sa pratique et ses méthodes est la preuve que quelqu’un a commencé à se transformer. Si tu persistes dans ta quête de la vérité pour résoudre tes intentions et altérations humaines, ton tempérament corrompu se révélera de moins en moins. Si tu en es venu à connaître Dieu, à avoir un cœur qui craint Dieu, et que tu peux te soumettre à Dieu, cela prouve que ton tempérament de vie a déjà connu un changement. C’est la bonne façon d’envisager les choses. Si ta façon de pratiquer est correcte, et que tu es capable de pratiquer la vérité et d’agir avec un peu de principes, cela veut dire que tu as déjà changé. Il est faux de penser que tu n’as pas changé du tout seulement parce que tu révèles encore parfois ta corruption. Tu te dis peut-être : « Mais alors, pourquoi je révèle encore de la corruption et retombe dans mes vieilles habitudes ? Cela prouve que je n’ai pas changé. » Ce n’est pas la bonne façon d’envisager les choses. Le problème d’une corruption qui se révèle ne peut pas être résolu en profondeur après seulement quelques années d’expérience. Pour ce faire, il faut persister à long terme dans la pratique de la vérité. La diminution dans la révélation de ta corruption suffit à prouver qu’un changement a déjà eu lieu en toi. Dire qu’il n’y a eu aucun changement est incohérent avec la réalité de la situation. Vous devez voir clairement ceci dans vos cœurs : vous ne pouvez pas avoir une compréhension déformée. Atteindre le salut par l’expérience de l’œuvre de Dieu est une entreprise à long terme. On ne peut absolument pas y parvenir en seulement quelques petites années. Tu dois avoir conscience de cela.

À l’instant, nous avons échangé sur les positions, les intentions et les attitudes. Les positions déterminent les attitudes, n’est-ce pas ? En effet, les positions et les opinions déterminent les attitudes des gens. De même, ton opinion sur des circonstances ou une situation dépend d’où tu te tiens. Si tu ne tiens pas avec Dieu, mais du côté de l’homme, que tu cherches à maintenir tes relations interpersonnelles, alors tes opinions et tes méthodes serviront sûrement à protéger et sécuriser tes propres intérêts et ton orgueil, et à te laisser une porte de sortie. Mais si ta position, c’est de protéger les intérêts de la maison de Dieu, de bien accomplir ton devoir, d’exercer ta loyauté, alors ton attitude sera de pratiquer en accord avec la vérité en toute situation, de bien accomplir ton devoir, d’exercer ta loyauté et de mener à bien le mandat de Dieu. Tous ces éléments sont alignés. Lorsque vous échangez ensemble, quand vous n’échangez pas à propos des doctrines que vous avez entendues ou dont vous vous souvenez, ou des théories spirituelles que vous avez saisies, mais que vous êtes plutôt capables d’échanger à propos de vos propres états récents, de la manière dont vos opinions et vos positions sur un évènement donné ont subi des changements et vous avez été informés de nouvelles découvertes et de nouvelles compréhensions, des choses qui vous appartiennent qui sont contraires aux exigences de Dieu et à la vérité, alors, au moment où vous serez capables d’échanger sur de telles choses, vous aurez une stature. Si vous n’avez jamais examiné aucun aspect de vos opinions, de vos positions, de vos intentions et de vos pensées, ou si, après les avoir examinés, vous êtes incapables de dire s’ils sont justes ou erronés et que l’évaluation que vous en faites est embrouillée, alors, si vous deviez tenir un rôle de dirigeant au sein de l’église, avec quoi abreuveriez-vous les autres ? (Les formules et les doctrines.) Il Me semble que vous abreuveriez les autres non seulement avec des formules et des doctrines, des théories spirituelles et des connaissances théologiques, mais aussi, peut-être, avec vos opinions déformées et vos notions et jugements personnels de Dieu, et, plus que cela, avec vos opinions et vos compréhensions unilatérales de Dieu, en totale discorde avec les paroles et exigences de Dieu. Et qu’arrive-t-il à tous ceux qui sont formés par de tels dirigeants ? Ils ne deviennent capables de parler que de formules et de doctrines. Si Dieu voulait faire une œuvre d’épreuves et de purification en eux, le fait qu’ils n’y résistent pas serait un résultat satisfaisant ; ils seraient tout à fait incapables de traiter cela correctement, et encore moins de s’y soumettre sincèrement. Qu’est-ce que cela montre ? Cela montre que ce que vous inculquez aux autres, ce sont des notions et de l’imagination. Si les autres n’ont pas augmenté leur compréhension et diminué leurs malentendus sur Dieu grâce à votre abreuvage et à votre direction, alors comment s’est fait l’accomplissement de votre devoir ? L’avez-vous fait de manière adéquate ou inadéquate ? (De manière inadéquate.) Êtes-vous maintenant capables de déterminer quelles parties du travail que vous faites et lesquelles des vérités sur lesquelles vous échangez sont vraiment utiles et amènent du bénéfice aux autres, en résolvant non seulement leur négativité, leurs notions et leurs malentendus sur Dieu, mais aussi en leur amenant une vraie compréhension de Dieu et une relation normale avec Lui ? Si vous pouvez atteindre ces résultats dans votre travail, alors vous êtes en mesure d’effectuer le travail concret et d’accomplir votre devoir de manière adéquate. Si vous êtes incapables d’accomplir ce travail, alors qu’avez-vous bien pu faire au sein de l’Église ? Êtes-vous capables de jauger quels aspects du travail que vous avez accompli et des paroles que vous avez prononcées, ont été véritablement bénéfiques et édifiants pour le peuple élu de Dieu ? Est-ce que le travail que vous avez accompli et les paroles que vous avez prononcées sont identiques aux actes de Paul : vous êtes-vous contentés de parler de théorie spirituelle, de témoigner de vous et vous vanter ou est-ce encore plus manifeste et odieux que ce que Paul a dit ? Pouvez-vous le mesurer ? Si vous en êtes vraiment capables, alors vous avez de vrais progrès. Prenons l’exemple d’une personne qui croit en Dieu depuis seulement un an ou deux. Elle a des notions et des incompréhensions à propos de Dieu qui affectent l’accomplissement de son devoir, alors tu lui répètes constamment : « Tu dois aimer Dieu. Tu ne peux pas être sans un cœur qui aime Dieu. Tu dois apprendre comment te soumettre à Dieu, tu ne peux pas avoir d’exigences et de désirs personnels. » Mais ce n’est pas là que se situe son problème. En réalité, c’est parce qu’une autre personne, qui croyait en Dieu depuis de nombreuses années en a été exclue, et que le nouveau croyant n’avait pas saisi l’essence de cette personne. Il a conçu des doutes sur la façon dont la maison de Dieu a géré cette question. Il a des doutes, et ce sont ces doutes que tu dois résoudre. Ce n’est pas qu’il refuse d’accomplir son devoir, qu’il est paresseux ou qu’il ne peut pas supporter des souffrances. Et pourtant, tu lui répètes : « Les jeunes doivent être capables d’endurer les souffrances, être appliqués et persévérants. » Ces paroles sont justes, mais elles ne conviennent pas à l’état de cette personne, alors elle ne trouve pas l’inspiration en les écoutant. On ne peut pas résoudre les incompréhensions à propos de Dieu juste en répétant quelques doctrines. Il faut comprendre les faits et en clarifier la source profonde. C’est cela, aller au fond des choses. Ce n’est qu’en comprenant ce qui se passe vraiment et en cherchant la vérité qui correspond à la question que le problème peut être réellement résolu. Tu peux l’interroger : « Comment peux-tu mal comprendre ? Quelles incompréhensions as-tu ? Dieu est bon pour toi et prend tant soin de toi, et pourtant, tu ne Le comprends pas… Tu manques de conscience ! » Mais cela ne pourra pas résoudre le problème. Tu l’exhortes et tu le sermonnes, mais tu n’échanges pas avec lui sur la vérité. Que faire pour vraiment échanger sur la vérité, alors ? (L’aider à comprendre que Dieu est juste. Lui dire : « Même si tu ne vois pas au travers de la personne exclue, tu dois garder un cœur soumis. Quand tu comprendras la vérité, tu seras naturellement capable de voir au travers de cette personne. ») C’est une bonne méthode, la méthode la plus simple. Elle peut résoudre certains de ses problèmes, même si elle n’explique pas tout. Dis-Moi, à quoi pensent généralement les gens quand des incompréhensions naissent en eux ? Pourquoi s’est-il senti mal ? Parce que cela a touché à ses propres intérêts. Il s’est mis à la place de la personne et s’est demandé comment cela pourrait l’affecter : « Elle a été exclue bien qu’elle croie en Dieu depuis de nombreuses années. Je ne crois pas en Dieu depuis aussi longtemps qu’elle. Dieu ne voudra peut-être pas non plus de moi. » Cette incompréhension naît en lui. C’est une incompréhension du tempérament juste de Dieu et de la façon dont Il traite les gens. Comment résoudre ces deux incompréhensions de Dieu ? Quand une personne a développé une incompréhension à propos de Dieu, quelle en est la nature ? Est-ce une affirmation de l’œuvre de Dieu ou une remise en question ? (Une remise en question.) Cette remise en question est-elle correcte ou incorrecte ? Tout d’abord, elle est incorrecte. Alors, ta rationalité te permet-elle de reconnaître que tu as développé une incompréhension à propos de Dieu, et que ce type de comportement, d’attitude ou d’état est incorrect ? Si tu possèdes cette rationalité, tu seras capable de prendre clairement conscience que tu es dans le faux et que Dieu est sans doute dans le vrai. Avec ce fondement, tu seras capable d’accepter facilement toute vérité sur laquelle les autres échangeront ensuite avec toi. Mais si tu penses inconsciemment : « Ce que Dieu fait n’est pas forcément correct. Dans certains cas, Dieu a aussi des zones où les gens peuvent trouver des défauts. Il fait aussi des erreurs et traite les gens injustement. Son manque de considération pour les gens est injuste. » Si ces pensées naissent en toi, cela veut-il dire qu’inconsciemment, tu valides ou tu réfutes ce que Dieu fait ? (Réfute.) Tu réfutes ce que Dieu fait. Alors, crois-tu inconsciemment que ton incompréhension de Dieu est correcte ou incorrecte ? Si inconsciemment tu crois que tu as raison, alors c’est un problème qu’aucun échange sur aucun aspect de la vérité ne pourra résoudre. De ces deux types d’opinions, d’états d’esprit inconscients, lequel te place dans une position d’être créé qui reconnaît que le Créateur est le Créateur, que l’homme est l’homme et que Dieu est Dieu ? (Le premier type.) Et le second type ? Une personne avec ce type d’opinions peut-elle accepter le fait que Dieu est le Créateur ? (Non.) Comment cela se manifeste-t-il ? Comment cela se voit-il ? Elle ne maintient pas une attitude de croyance, de soumission et d’acceptation à l’égard de Dieu. Au lieu de cela, son attitude est celle de quelqu’un qui observe tout, qui scrute, qui analyse et qui dissèque. Elle considère tout ce que Dieu fait comme si elle était dans une position d’égalité avec Lui. Alors quand elle découvre soudain que Dieu a fait une chose qui n’est pas en accord avec ses propres notions et idées imaginaires, elle ose essayer d’obtenir quelque chose qu’elle puisse utiliser contre Dieu, et de juger et condamner Dieu. Elle ne traite pas Dieu comme Dieu, mais comme un homme, n’est-ce pas ? Elle ose essayer d’obtenir quelque chose qu’elle puisse utiliser contre Dieu, pour Lui trouver des défauts et Le juger. Est-ce ainsi qu’on parle quand on est un être créé ? (Non.) Lorsque quelqu’un a des incompréhensions à propos de Dieu, il doit comprendre que les choses que Dieu fait sont insondables. En tant qu’être créé, l’homme n’est ni justifié, ni qualifié pour critiquer et juger Dieu. Quand cela arrive, comment échanger avec une telle personne ? Tu dois lui dire ceci : « Tu as des incompréhensions à propos de Dieu, ce qui en soi, est mauvais. Quoi qu’ait pu faire Dieu qui n’est pas aligné avec tes notions, tu dois avoir un cœur qui craint Dieu. Si tu ne comprends pas quelque chose, n’émets pas de jugements et de condamnations aveuglément. Tu dois prier Dieu et chercher la vérité. Parce que nous sommes des personnes, des humains corrompus et nous ne pourrons jamais devenir Dieu. Même si nous recevions et comprenions toutes les vérités exprimées par Dieu, nous resterions des humains corrompus, et Dieu serait toujours Dieu. Même si nous parvenons à atteindre la vérité et sommes rendus parfaits par Dieu, si Dieu ne nous aime pas et veut nous détruire, nous n’aurons aucune raison de nous plaindre. Voilà ce à quoi un être créé doit se soumettre. Si une si petite chose nous cause quand même des notions à propos de Dieu et nous fait Le juger, cela ne fait que prouver à quel point nous les humains sommes corrompus, arrogants, malfaisants et dénués de raison. Tout d’abord, nous ne nous sommes jamais placés dans la position d’un être créé et ensuite nous avons traité le Créateur de cette façon. C’était la première erreur. La deuxième, c’est que nous scrutons toujours Dieu, en cherchant comment obtenir quelque chose que nous puissions utiliser contre Lui. Et puis nous L’observons, Le scrutons et L’analysons. C’est encore pire. Non seulement nous ne croyons pas en Dieu et nous n’acceptons pas et ne nous soumettons pas à la vérité, mais en plus, nous sommes du côté de Satan et sommes ses complices. Nous joignons nos forces avec lui pour vociférer contre Dieu, pour entrer en compétition avec Lui et Le confronter. Ce n’est pas ainsi qu’un être créé doit se comporter. Ce que Dieu fait en ce moment, que les gens pensent que c’est juste ou injuste, que ce soit conforme à l’un des aspects de la vérité et quelle que soit la façon dont cela concorde avec le tempérament juste de Dieu, rien de tout cela ne nous concerne. Nous sommes des êtres créés, quels sont nos responsabilités, nos obligations et nos devoirs ? Se soumettre et accepter inconditionnellement. Si nous croyons que nous sommes des êtres créés, que tout ce que Dieu fait est bon, et que nous devons l’accepter, indépendamment du fait que nous en ressentons les bénéfices, privations, blessures ou peines, voilà ce qu’est la soumission, c’est ce qu’on appelle avoir un cœur qui craint Dieu. C’est ainsi que doit se comporter un véritable être créé. Comment sommes-nous, comparés à Abraham, à Job ou à Pierre ? Nous sommes loin de leur niveau. Si on parle de qualifications, nous ne sommes pas qualifiés pour nous adresser à Dieu, pour avoir des incompréhensions à Son propos, et pour évaluer ou juger une seule chose qu’Il fait. » Bien entendu, les gens n’apprécieront pas d’entendre qu’ils n’ont aucune de ces qualifications. Mais c’est cela qu’il faut dire à des êtres humains corrompus, parce qu’on ne peut pas raisonner avec eux. Oser parler de qualifications et de justification avec le Créateur, n’est-ce pas de l’arrogance et de la suffisance, et de refus de la raison ? Par conséquent, ce n’est qu’en parlant aussi franchement qu’ils peuvent comprendre. Échanger de cette façon peut résoudre des problèmes.

Ceux qui se soumettent vraiment à Dieu et qui acceptent sincèrement la vérité ne devraient pas développer d’incompréhensions à propos de Dieu, ou évaluer et juger quoi que Dieu fasse. Durant l’ère de la Loi, Dieu a dit à Abraham qu’Il lui donnerait un fils. Et qu’a répondu Abraham ? Il n’a rien dit. Il a cru ce que Dieu lui disait. C’était l’attitude d’Abraham. A-t-il émis un jugement ? S’est-il moqué ? A-t-il fait quelque chose de furtif ? Non, et il n’a pas non plus fait de manœuvre mesquine. C’est ce qu’on appelle la soumission, bien tenir son rang et son devoir. Quant à sa femme, Sarah, n’était-elle pas différente d’Abraham ? Quelle était son attitude envers Dieu ? Elle L’a remis en question, elle s’est moquée, elle a été incrédule, elle a jugé et elle a manigancé en donnant sa servante comme concubine à Abraham, ce qui est complètement absurde. Cela, c’était la volonté de l’homme. Sarah n’a pas tenu son rang, elle a douté des paroles de Dieu et n’a pas cru en Sa toute-puissance. Quelle était la cause de son incrédulité ? Il y avait deux causes et contextes. D’une part, Abraham était alors déjà assez âgé. D’autre part, elle-même était âgée et elle ne pouvait plus avoir d’enfant. Alors, elle a pensé : « C’est impossible. Comment Dieu va-t-il accomplir ceci ? N’est-ce pas absurde ? On dirait le genre de tour qu’on joue à un enfant. » Elle n’a pas accepté ou cru la vérité que Dieu a prononcée, et l’a prise pour une plaisanterie. Elle s’est dit que Dieu plaisantait avec les gens. Est-ce la bonne attitude ? (Non.) Est-ce la bonne attitude à avoir avec le Créateur ? (Non.) Alors, est-elle restée à sa place ? (Non.) Elle n’est pas restée à sa place. Parce qu’elle a pris les paroles de Dieu à la légère, et non comme la vérité, et parce qu’elle n’a pas cru ce que Dieu avait dit ou ce qu’Il allait faire, elle a agi de manière absurde. Cela a eu une série de conséquences, toutes issues de la volonté de l’homme. En substance, elle disait : « Dieu peut-Il faire cela ? S’Il ne le peut pas, je dois passer à l’action pour aider à l’accomplissement de ces paroles de Dieu. » Il y avait en elle des erreurs de compréhension, des jugements, des spéculations et des interrogations, et le tout constitue une rébellion à l’encontre de Dieu de la part d’une personne au tempérament corrompu. Abraham a-t-il fait ces choses-là ? Non, et donc cette bénédiction lui a été accordée. Dieu a vu l’attitude d’Abraham à Son égard, son cœur qui craint Dieu, sa loyauté et sa soumission sincère, et Dieu lui donnerait un fils pour qu’il soit le père de nombreuses nations. C’est ce qui avait été promis à Abraham, et de façon imprévue, Sara en a bénéficié. La soumission est donc très importante. Y a-t-il de la remise en question dans la soumission ? (Non.) S’il y en a, cela compte-t-il comme une véritable soumission ? (Non.) S’il y a en elle de l’analyse et du jugement, cela compte-t-il alors ? (Non.) Et si quelqu’un essaie de trouver la faute ? Cela compte encore moins. Qu’est-ce donc qui se manifeste et se révèle et quel est le comportement, au sein de la soumission, qui démontre pleinement qu’elle est vraie ? (La croyance.) La vraie croyance est une chose. Il faut comprendre correctement ce que Dieu dit et fait et confirmer que tout ce que Dieu accomplit est juste et que c’est la vérité ; inutile de remettre cela en question ou d’interroger les autres à ce sujet, et inutile de le considérer ou de l’analyser dans son propre cœur. C’est un aspect du contenu de la soumission, croire que tout ce que fait Dieu est correct. Quand une personne fait quelque chose, on peut regarder de qui il s’agit, son genre de milieu d’origine, si elle a fait des mauvaises actions, et son caractère. Ces choses-là nécessitent une analyse. Si, d’un autre côté, quelque chose vient de Dieu et est fait par Lui, vous devez tout de suite vous couvrir la bouche sans arrière-pensée : ne pas le remettre en cause ni en question, mais l’accepter dans son intégralité. Et que faut-il faire ensuite ? Certaines vérités impliquées ici ne sont pas très bien comprises par les gens, et ils ne connaissent pas Dieu. Bien qu’ils croient que c’est l’œuvre de Dieu et qu’ils soient capables de se soumettre, ils ne comprennent pas véritablement la vérité. Ce qu’ils comprennent est encore de nature quelque peu doctrinale, et ils sont troublés dans leur cœur. Dans ces moments-là, ils doivent chercher et se poser les questions suivantes : « Quelle vérité y a-t-il là-dedans ? Où est l’erreur dans mon raisonnement ? Comment me suis-je éloigné de Dieu ? Lesquelles de mes opinions sont en contradiction avec ce que Dieu dit ? » Et par la suite, ils devraient les rechercher. Voilà une attitude et une pratique de soumission. Il y a ceux qui se prétendent soumis mais quand, plus tard, quelque chose leur arrive, ils se disent : « Qui sait ce que fait Dieu ? Nous, êtres créés, ne pouvons interférer. Que Dieu fasse ce qu’Il veut ! » Est-ce de la soumission ? (Non.) De quel genre d’attitude s’agit-il ? Il s’agit d’éviter d’assumer ses responsabilités ; il s’agit d’un manque de préoccupation et d’une froide indifférence envers ce que fait Dieu. Abraham a été capable de se soumettre parce qu’il respectait les principes et qu’il croyait avec détermination que ce que Dieu disait devait être accompli et devait être réalisé : il était sûr à 100 pour cent de ces deux « devait ». Par conséquent, il n’a rien remis en question, n’a fait aucune estimation et ne s’est pas lancé non plus dans des manipulations mesquines. C’est ainsi qu’Abraham s’est comporté dans sa soumission.

Ce qu’Abraham avait reçu de Dieu, c’était une bénédiction. Il n’avait pas soulevé de doutes, ni mêlé de volonté humaine à rien de ce qu’il faisait. La situation à laquelle Job fut confronté était cependant nettement différente de celle d’Abraham. En quoi était-elle différente ? Ce à quoi Abraham fut confronté était une bénédiction, un bienfait. Il avait près de 100 ans, il était sans enfant, et il espérait avoir un enfant quand Dieu lui promit de lui donner un fils. Comment aurait-il pu ne pas se réjouir ? Il avait certainement la volonté de se soumettre. Mais Job quant à lui fut confronté au malheur. Alors pourquoi a-t-il malgré tout été capable de se soumettre ? (Il croyait au fond de son cœur que tout ce qu’il lui arrivait était l’œuvre de Dieu.) Il s’agit là d’un aspect. Il y en a un autre : il est fréquent que les gens soient capables de se soumettre dès lors qu’ils ne font pas l’objet d’une souffrance excessive. Ils sont capables de se soumettre quand Dieu leur confère des bénédictions. Mais lorsque Dieu les leur reprend, il leur est alors malaisé de se soumettre. Quant à Job, quel type de point de vue pouvait-il avoir, quel type de rationalité était la sienne, quelles vérités comprenait-il, ou quel aspect de la connaissance de Dieu avait-il pour être capable d’accepter et de se soumettre à ce malheur ? (Il croyait que tout ce que Dieu fait est bon. Il croyait dans son cœur que tout ce qu’il avait, lui avait été donné par Dieu et non pas obtenu par son propre labeur. Le fait que Dieu le lui reprenne était aussi sous Son autorité. Il avait ce type de rationalité, et donc il était capable d’accepter et de se soumettre.) Si l’on croit que tout ce que Dieu fait est bon, il est facile de se soumettre. Mais est-il toujours facile de se soumettre lorsqu’il semble bien que tout ce que Dieu fait c’est d’apporter du malheur aux gens ? Quel type de soumission est la plus authentique ? (Continuer d’être capable malgré tout de se soumettre quand il semble que Dieu n’apporte rien d’autre que le malheur aux gens.) Alors quel genre de rationalité et de vérité Job possédait-il pour être capable d’accepter ces malheurs ? (Job a véritablement abordé Dieu en tant que Dieu. Il comprenait que Dieu n’est pas simplement Celui qui confère des bénédictions et grâce, et que même quand Il ôte, Il est toujours Dieu. Job comprenait également que lorsque l’on est confronté au mal, c’est parce que Dieu le permet. Peu importe ce que Dieu fait, Il reste Dieu, et les humains doivent perpétuellement L’adorer.) Surtout, Job avait une certaine compréhension de Dieu. Et il assumait bien son propre rôle. Il reconnaissait que l’essence de Dieu ne change en rien parce que les personnes, les évènements et les choses changent. L’essence de Dieu est à tout jamais l’essence de Dieu, elle est immuable. Il ne faut pas croire que quand Dieu accorde des bienfaits aux gens, Il est Dieu, et que dès lors que tout ce qu’Il leur apporte n’est que calamités, souffrances, punitions ou destruction, Son essence change et Il cesse d’être Dieu. L’essence de Dieu ne change jamais. L’essence de l’homme ne change pas non plus. C’est-à-dire que le statut et l’essence de l’homme en tant qu’être créé ne changeront jamais. Même si tu peux craindre Dieu et Le connaître, tu es toujours un être créé ; ton essence ne change pas. Dieu a infligé à Job des épreuves immenses, et pourtant Job a tout de même été capable de se soumettre et de ne pas se plaindre. En plus de sa compréhension de Dieu, quelle était sa plus grande force qui le rendait capable de se soumettre tout en s’abstenant de se plaindre ? C’est parce qu’il savait que les humains seront toujours des humains. Quelle que soit la manière dont Dieu les traite, Son approche est totalement correcte. En termes simples, quelle que soit la manière dont Dieu te traite, c’est ainsi que tu dois être traité. Est-ce que cela n’explique pas les choses ? Ne cherche pas à dicter la manière dont Dieu devrait te traiter, quelles bénédictions Il devrait t’accorder, quelles épreuves Il devrait te faire subir, ni la signification que Son œuvre devrait avoir pour toi. Tu ne peux pas exiger ces choses. Ces demandes sont déraisonnables. En temps de paix et de sécurité, d’aucuns affirment que tout ce que Dieu accomplit est bon, mais ensuite ils ne peuvent pas l’accepter lorsqu’il se produit quelque chose qui ne correspond pas à leurs notions. La solution doit en être trouvée dans la vérité. De quelle vérité s’agit-il ? Il s’agit de tenir bon, à sa place. La manière dont Dieu te traite est méritée et dénuée d’erreur. Quelle que soit la manière dont Dieu te traite, Il est toujours Dieu. Les gens ne devraient rien exiger de Lui. N’évaluez pas la rectitude de Dieu. Ne cherche pas à jauger Ses motifs, Ses buts, ni le sens de Ses actes. Tout cela n’a nul besoin de ton évaluation. Il est de ta responsabilité et de ton devoir de tenir bon là où tu te trouves en tant qu’être créé, et de laisser Dieu orchestrer les choses selon Sa volonté. Telle est la juste approche. C’est facile à dire, mais difficile à mettre en pratique. Et pourtant les gens doivent comprendre cette vérité. C’est seulement par la compréhension de la vérité que tu feras preuve d’une véritable soumission lorsqu’il t’arrive quelque chose.

D’aucuns, après avoir eu foi en Dieu et écouté les sermons jusqu’à maintenant se disent : « Job a su se soumettre aux épreuves infligées par Dieu parce qu’il savait que tout vient de la main de Dieu. L’abondance des troupeaux de bétail et de moutons, la quantité de biens, de richesses ou de progéniture, tout cela est reçu de la main de Dieu, et non pas de la main des hommes. Les hommes sont pareils à des esclaves devant Dieu, ils doivent supporter tout ce qu’Il leur fait endurer. » Ils adoptent cette attitude négative pour connaître Dieu ; est-ce que connaître Dieu de la sorte est correct ? Tel n’est certainement pas le cas. Alors, quelle serait la manière correcte de connaître Dieu ? (Les hommes sont des êtres créés, et Dieu est Dieu à tout jamais. Quels que soient Ses actes, les gens doivent laisser Dieu les orchestrer comme Il le souhaite.) C’est exact. N’exigez pas que Dieu se comporte de telle ou telle manière. Ne demandez pas que Dieu vous explicite tout lors des échanges. S’Il ne clarifie pas les choses, tu ne dois pas t’opposer à Lui, en te croyant dans ton bon droit. C’est une erreur. C’est extrêmement arrogant, et présomptueux, signe d’un grand manque de conscience et de raison. Ce n’est pas ce qu’un être créé devrait dire. Même Satan n’ose pas s’adresser à Dieu d’une façon si hystérique : tu es un être corrompu : comment pourrais-tu être encore plus arrogant que Satan ? Tout simplement quelle est la posture à adopter quand on s’adresse à Dieu ? Comment comprendre cette question ? En fait, l’affirmation de Job « Nous recevons de Dieu le bien, et nous ne recevrions pas aussi le mal ! » illustre déjà clairement la raison pour laquelle il était capable de se soumettre à Dieu, et la vérité peut y être trouvée. Est-ce qu’il exprimait des plaintes ou des revendications lorsqu’il affirmait ceci ? (Non.) Y avait-il là quelque ambiguïté ou implications négatives ? (Non.) Absolument pas. En fin de compte, Job se rend compte, à travers ses expériences, que la manière dont le Créateur traite les humains n’est nullement matière à décisions pour eux. Il se pourrait bien que cela n’ait rien de bien agréable, mais il en est ainsi. Dieu a décidé du destin de chacun pour sa vie entière. Que tu l’acceptes ou non, il s’agit d’un état de fait. Tu ne peux pas changer ta destinée. Dieu est le Créateur, et tu dois te soumettre à Ses orchestrations et arrangements. Les actes de Dieu sont cependant corrects, parce qu’Il est la vérité et qu’Il est Souverain en toutes choses, et les êtres humains doivent se soumettre à Lui. Ce « tout » t’inclut, ainsi que tous les êtres créés. À qui la faute, donc, que tu veuilles toujours résister ? (Il en va de notre propre faute.) C’est ton problème. Tu veux toujours donner des raisons et trouver la faute. Est-ce juste ? Tu veux toujours recevoir des bienfaits et des bénédictions de la part de Dieu. Est-ce juste ? Rien de tout cela n’est juste. Ces points de vue illustrent une connaissance et une compréhension incorrectes de Dieu. C’est précisément parce que ton point de vue de la croyance en Dieu est incorrect, que tu vas inévitablement entrer en conflit, affronter et t’opposer à Dieu chaque fois que tu fais face à un certain type de situation, tu penseras toujours : « C’est mal de la part de Dieu de faire cela ; je ne le comprends pas. Tout le monde protesterait qu’Il procède ainsi. Cela ne ressemble pas à Dieu d’agir ainsi ! » Mais cette question n’a pas trait à quoi ressemble Dieu. Indépendamment de ses actes, Dieu est toujours Dieu. Si ce raisonnement et cette compréhension te font défaut, que tu scrutes sans cesse et fais des déductions quand il t’arrive quelque chose au quotidien, il en résultera que tu affronteras et t’opposeras à Dieu en chaque occasion, et que tu ne seras pas capable de sortir de cet état. Mais si tu as cette compréhension et que tu peux assumer la condition d’un être créé, et que lorsque tu te trouves dans une certaine situation tu te compares à cet aspect de la vérité et que tu pratiques et que tu y entres, alors ta crainte intérieure de Dieu ira en augmentant dans la durée. Inconsciemment, tu commenceras à penser : « Il s’avère que ce qu’accomplit Dieu n’a rien de mal. Ce que Dieu fait est entièrement bon. Les gens n’ont pas besoin de le scruter ni de l’analyser. Il suffit de se mettre à la merci de Ses orchestrations ! » Et lorsque tu te trouveras dans l’incapacité de te soumettre à Dieu ou d’accepter Ses orchestrations, ton cœur éprouvera un sentiment de reproche : « Je n’ai pas été un bon être créé. Pourquoi ne puis-je tout simplement pas me soumettre ? Est-ce que cela n’attriste pas le Créateur ? » Plus tu désires être un bon être créé, plus ta compréhension et ta lucidité à l’égard de cet aspect de la vérité vont se développer. Mais plus tu te perçois comme quelqu’un d’important, dans la conviction que Dieu ne devrait pas te traiter de cette manière, qu’Il ne devrait pas t’exhorter ainsi, qu’Il ne devrait pas t’émonder et te faire ainsi subir Ses orchestrations, tu as des problèmes. Si tu as beaucoup d’exigences envers Dieu dans le cœur, si tu as le sentiment qu’il y a beaucoup de choses que Dieu n’aurait pas dû faire, alors tu es sur une mauvaise pente. Des notions, jugements et blasphèmes vont se faire jour, et tu ne seras pas loin de faire du mal. Lorsque ceux qui n’aiment pas la vérité entendent les paroles de Dieu, ils se mettent à analyser et à scruter, ce qui progressivement conduit à des doutes et de la moquerie. Puis ils commencent à juger, dénier, condamner : tel en est le résultat. Il y a beaucoup trop de gens qui traitent Dieu ainsi, le tout étant dû à leur tempérament corrompu.

Certaines personnes pensent toujours : « Je suis une personne. Il est vrai que Dieu est le Créateur, mais Il doit me respecter et me comprendre, Il doit m’aimer et me protéger. » Cette vue est-elle correcte ? Dieu a le dernier mot sur la façon dont Il aime les gens. Dieu est le Créateur ; la façon dont Il traite les êtres créés est Son affaire. Dieu a Ses principes et Ses tempéraments ; il est inutile que les gens aient des exigences. Ils devraient plutôt apprendre à comprendre Dieu et à se soumettre à Lui, c’est la raison que les gens devraient posséder. Certaines personnes disent : « Dieu est trop brutal envers les gens. Faire des choses comme ça, ce n’est pas aimer les gens. Il ne respecte pas les gens et ne les traite pas comme des humains ! » Certaines personnes ne sont pas des humains, ce sont des démons. Toute façon de les traiter est acceptable ; ils méritent d’être maudits et sont indignes de respect. Il y a ceux qui disent : « Je suis plutôt quelqu’un de bien, je n’ai rien fait pour résister à Dieu et j’ai beaucoup souffert pour Lui. Pourquoi m’émonde-Il encore ainsi ? Pourquoi me néglige-t-Il constamment ? Pourquoi ne me reconnaît-Il jamais ou ne m’élève-t-Il jamais ? » D’autres encore disent : « Je suis une personne simple et candide ; je crois en Dieu depuis que je suis dans l’utérus, et je crois encore en Lui maintenant. Je suis si pur ! J’ai quitté ma famille et j’ai démissionné de mon travail pour me dépenser pour Dieu, et j’ai pensé à quel point Dieu m’aimait. Maintenant, il semble que Dieu n’aime pas tellement les gens, et je me sens abandonné dans le froid, déçu et consterné par Lui. » N’est-ce pas problématique ? Qu’est-ce que ces gens font de mal ? Ils ne sont pas restés à leur juste place ; ils ne savent pas qui ils sont, et ils pensent toujours qu’ils sont quelqu’un d’important, que Dieu devrait respecter et élever, ou aimer et chérir. Si les gens ont toujours de telles idées fausses, des demandes aussi déformées et déraisonnables, c’est très dangereux. À tout le moins, ils seront détestés et haïs par Dieu, et s’ils ne se repentent pas, ils risquent d’être éliminés. Alors, que devraient faire les gens, comment devraient-ils se connaître et comment devraient-ils se traiter de manière à se conformer aux exigences de Dieu, résoudre ces difficultés et abandonner leurs exigences envers Dieu ? La maison de Dieu fait en sorte que certains soient des dirigeants, et ceux-ci sont particulièrement enthousiastes. Après avoir travaillé pendant un certain temps, on découvre qu’ils peuvent assez bien accomplir certaines tâches extérieures, mais qu’ils ne peuvent pas gérer la résolution de problèmes ; ils ne peuvent pas échanger sur la vérité pour résoudre les problèmes, de sorte que leur rôle de dirigeant dans l’Église est supplanté. N’est-ce pas très approprié ? Mais ils commencent à se disputer et à se plaindre, en disant : « Ces faux dirigeants et antéchrists n’ont pas bien accompli les tâches qui leur étaient assignées ; tout ce qu’ils ont fait, c’est provoquer des interruptions et des perturbations. Ils devraient en effet être remplacés et éliminés. Mais je n’ai rien fait de mal ; pourquoi suis-je également remplacé ? » Ils se sentent un peu contrariés. Pourquoi ? Ils estiment que puisqu’ils n’ont rien fait de mal, ils devraient toujours être un dirigeant et ne devraient pas être remplacés. Ils sentent que la maison de Dieu a été très injuste envers eux. Leur cœur est plein de plaintes et de résistance, et des notions sur Dieu surgissent en eux, conduisant à un déséquilibre intérieur : « N’a-t-il pas été dit qu’il y avait des principes pour l’élection et l’élimination des dirigeants ? J’ai l’impression qu’il n’y a aucun principe dans ce qui est arrivé, Dieu a fait une erreur ! » En un mot, tant que Dieu fait quelque chose qui porte atteinte à leurs intérêts et blesse leurs sentiments, ils commencent à chercher la faute. N’est-ce pas un problème ? Comment ce problème peut-il être résolu ? Tu dois reconnaître ta propre identité, tu dois savoir qui tu es. Peu importe quel type de dons ou de points forts, ou combien de compétences ou d’aptitudes tu as, ni combien de mérites tu as gagnés dans la maison de Dieu, ni combien tu t’es affairé ou encore le capital que tu as acquis, tout cela n’est rien pour Dieu et si cela semble important d’où tu te trouves, alors des incompréhensions et des contradictions ne sont-elles pas survenues entre toi et Dieu ? Comment ce problème devrait-il être résolu ? Si tu désires réduire la distance entre toi et Dieu, et résoudre ces contradictions, comment cela doit-il être fait ? Tu dois nier ces choses que tu penses être justes et auxquelles tu t’accroches. Ce faisant, il n’y aura plus de distance entre toi et Dieu, et tu te tiendras correctement à ta place et tu seras à même de te soumettre, de reconnaître que tout ce que Dieu fait est juste, de te nier et de renoncer à toi-même. Tu ne traiteras plus le mérite que tu as gagné comme une sorte de capital et tu n’essaieras plus de fixer des conditions à Dieu, ni d’avoir des exigences à Son égard ou de Lui demander une récompense. À ce moment-là, tu n’auras plus de difficultés. Pourquoi toutes les idées fausses que l’homme se fait de Dieu surviennent-elles ? Elles surviennent parce que les gens ne peuvent pas évaluer leurs propres capacités ; pour être précis, ils ne savent pas ce qu’ils sont aux yeux de Dieu. Ils ont une trop haute opinion d’eux-mêmes, surestiment leur position aux yeux de Dieu et voient ce qu’ils considèrent être la valeur et le capital d’une personne comme la vérité, comme les normes selon lesquelles Dieu évalue s’ils seront sauvés ou non. C’est une erreur. Tu dois savoir quelle place tu as dans le cœur de Dieu, la façon dont Dieu te vois, et la position appropriée que tu dois adopter quand tu approches Dieu. Tu devrais connaître ce principe ; de cette façon, tes points de vue seront conformes à la vérité et compatibles avec ceux de Dieu. Tu dois posséder cette raison et être capable de te soumettre à Dieu ; quelle que soit la façon dont Il te traite, tu dois te soumettre. Ensuite, il n’y aura plus de contradictions entre toi et Dieu. Et quand Dieu te traitera à nouveau à Sa manière, ne pourras-tu pas te soumettre ? Vas-tu continuer à contester et à t’opposer à Dieu ? Tu ne le feras pas. Même si tu ressens un certain malaise dans ton cœur, ou si tu as l’impression que Dieu ne te traite pas comme tu le souhaiterais et que tu ne comprends pas pourquoi Il te traite ainsi, néanmoins, parce que tu comprends déjà certaines vérités et que tu possèdes certaines réalités, et parce que tu es capable de rester ferme dans ta position, tu ne lutteras plus contre Dieu, ce qui signifie que tes actions et tes comportements qui te feraient périr cesseront d’être. Et ne seras-tu pas alors en sécurité ? Une fois que tu seras en sécurité, tu te sentiras enraciné, ce qui signifie que tu auras commencé à marcher sur le chemin de Pierre. Tu vois, Pierre a cru en Dieu pendant tant d’années, il s’est frayé un chemin pendant tant d’années et il a tant souffert. Ce n’est qu’après avoir connu de nombreuses épreuves qu’il a finalement compris certaines vérités et possédé certaines vérités-réalités. Et pour vous tous maintenant, j’ai tellement parlé, tout expliqué clairement, cela équivaut à se faire servir les choses sur un plateau, n’est-ce pas ? Vous avez atteint tellement de choses sans faire de détours ; vous avez tous fait une bonne affaire. Alors pourquoi ne ressentez-vous pas encore de contentement ? Vous ne devriez pas avoir de demandes supplémentaires.

Sur quoi avons-nous principalement échangé aujourd’hui ? L’un des aspects consiste à prêter régulièrement attention à l’examen des différents aspects de ton état, puis à les analyser pour savoir s’ils sont corrects. L’autre aspect est de résoudre les diverses incompréhensions de Dieu qui surgissent en toi. Quand tu as des incompréhensions au sujet de Dieu, il y a en toi des éléments intransigeants et partiaux qui t’empêcheront de chercher la vérité. Si ces incompréhensions au sujet de Dieu sont dissipées, tu seras en mesure de chercher la vérité ; si elles ne le sont pas, il y aura un sentiment d’éloignement dans ton cœur et tu prieras de façon superficielle ; cela revient à tromper Dieu et Il n’écoutera pas du tout. Si tu as des incompréhensions au sujet de Dieu créant un sentiment de distance et d’éloignement entre toi et Lui, et que ton cœur se ferme à Lui, alors tu ne voudras pas écouter Ses paroles ni chercher la vérité. Quoi que tu fasses, il ne s’agira que d’agir mécaniquement, de te déguiser et de tromper. Quand les malentendus de l’homme à propos de Dieu seront résolus et qu’il aura franchi cet obstacle, il considérera chacune des paroles et des exigences de Dieu avec sincérité et se présentera devant Lui sérieusement et avec un cœur honnête. Si, entre l’homme et Dieu, il y a contradiction, distance et incompréhension, alors quel rôle joue l’homme ? C’est le rôle de Satan et c’est en opposition à Dieu. Quelles conséquences résultent de l’opposition à Dieu ? Une telle personne peut-elle se soumettre à Dieu ? Peut-elle accepter la vérité ? Elle ne le peut pas. Si elle ne peut faire aucune de ces choses, alors cette personne finira sans rien, et les changements dans son tempérament s’arrêteront là. Par conséquent, quand on examine ses différents états, on le fait d’une part pour se connaître soi-même et, d’autre part, il faut s’attacher à examiner les incompréhensions que l’on a de Dieu. Qu’est-ce que ces incompréhensions impliquent ? Des notions, de l’imagination, des délimitations, des doutes, des examens et des spéculations, ce sont tout d’abord ces choses. Quand une personne a ces choses en elle, elle se méprend sur Dieu. Quand tu es pris dans ces états, un problème se pose dans ta relation avec Dieu. Tu dois chercher la vérité tout de suite pour le résoudre – et tu te dois de le résoudre. Certains pensent, « J’ai développé une incompréhension de Dieu, alors je ne peux pas accomplir mon devoir jusqu’à ce que je résolve ce problème. » Est-ce acceptable ? Non, cela ne l’est pas. Ne remets pas à plus tard l’accomplissement de ton devoir, mais accomplis ton devoir et résous ton problème en même temps. En accomplissant ton devoir, ton incompréhension de Dieu commencera à changer pour le mieux sans que tu t’en rendes compte et tu découvriras d’où vient ton problème et quelle en est la gravité. Un jour, vous serez peut-être capables de cette prise de conscience : « L’homme est un être créé et le Créateur est pour toujours mon Seigneur ; l’essence de ceci ne change pas. Le statut de l’homme ne change pas, et le statut de Dieu ne change pas non plus. Peu importe ce que Dieu fait, et même si toute l’humanité considère ce qu’Il fait comme mal, je ne peux pas nier ce qu’Il a fait ni nier qu’Il est la vérité. Dieu est la vérité suprême, éternellement inébranlable. L’homme devrait s’en tenir à sa propre position ; il ne devrait pas scruter Dieu, mais accepter les orchestrations de Dieu et accepter toutes Ses paroles. Tout ce que Dieu dit et fait est juste. L’homme ne devrait pas formuler diverses exigences auprès de Dieu : les êtres créés ne sont pas qualifiés pour cela. Même si Dieu devait me traiter comme un jouet, je devrais quand même me soumettre, et si je ne le fais pas, c’est mon problème, pas celui de Dieu. » Quand tu auras l’expérience et la connaissance de cet aspect de la vérité, tu entreras véritablement dans la soumission à Dieu et tu n’auras plus de difficultés majeures, et, que tu accomplisses ton devoir ou pratiques divers aspects de la vérité, de nombreuses difficultés seront résolues. La soumission à Dieu est la vérité la plus grande, c’est la vérité la plus profonde. Souvent, quand les gens sont confrontés à diverses difficultés, quand il y a divers obstacles, ou quand ils rencontrent quelque chose qu’ils ne peuvent pas accepter, quelle en est la cause ? (Ils ne se trouvent pas à la bonne place.) Ils se trouvent à la mauvaise place. Ils ont une incompréhension de Dieu, ils veulent scruter Dieu et ne veulent pas Le traiter comme Dieu, ils veulent nier la justesse de Dieu et ils veulent nier que Dieu est la vérité. Cela implique que l’homme ne veut pas être un être créé, mais qu’il voudrait être sur un pied d’égalité avec Dieu, Lui trouver des défauts. Cela lui attirera des ennuis. Si tu peux remplir ton devoir correctement et rester à ta place en tant qu’être créé, alors n’apparaîtra essentiellement en toi aucune résistance à ce que Dieu fait. Il se peut que tu aies une mauvaise compréhension et que tu aies des notions, mais, au moins, ton attitude sera d’accepter volontiers les orchestrations de Dieu, et tu viendras d’un lieu où tu te soumets volontiers à Dieu, donc aucune résistance à Dieu ne se manifestera en toi.

Bien que Job ait eu la foi, savait-il ce qui se passait au début lorsque les épreuves de Dieu l’ont frappé ? (Non.) Les humains n’ont pas la faculté de pénétrer directement dans le domaine spirituel ; Job ne savait rien de ce qui s’y passait, il ne se rendait compte de rien. Ainsi, lorsque les épreuves de Dieu se sont abattues sur lui, il était certainement déconcerté, pensant : « Oh, que se passe-t-il ? Tout était si paisible, pourquoi cela s’est-il soudainement produit ? Pourquoi ai-je soudainement perdu tout mon bétail et mes biens ? » Il était perplexe au début, mais la perplexité n’équivalait pas à avoir des incompréhensions de Dieu, la perplexité n’équivalait pas au fait de ne pas être capable de comprendre ce que Dieu faisait. C’était simplement que tout était arrivé si soudainement ; Job n’avait eu aucune prémonition, et personne ne lui avait donné d’avertissement préalable, il n’était absolument pas préparé. Cependant, cela ne signifie pas qu’il ferait les mauvais choix ou prendrait le mauvais chemin, ou qu’il ne pourrait pas se soumettre. Alors, qu’a fait Job ensuite ? Il a sûrement calmé son cœur et réfléchi sérieusement à ses actions, et il a prié Dieu. Après quelques jours de recherche, il est arrivé à une conclusion : « L’Éternel a donné, et l’Éternel a ôté ; que le nom de l’Éternel soit béni ! » (Job 1:21). Job faisant cette déclaration représente son point de vue et le chemin qu’il a parcouru. Bien que Job ait d’abord été déconcerté lorsque les épreuves se sont abattues sur lui, il savait que c’était le fait de Dieu et non de la volonté humaine. Sans la permission de Dieu, personne ne pouvait toucher à ce que Dieu avait donné aux gens, pas même Satan. En apparence, Job semblait avoir une certaine incompréhension de ce que Dieu faisait ; il ne savait pas pourquoi cela lui arrivait ou ce que Dieu voulait dire par là. Il ne comprenait pas pleinement, mais son incompréhension n’était pas un déni ou une remise en question de ce que Dieu faisait ; l’incompréhension de Job était du type de celle que Dieu trouve admissible. Suite à cela, il s’était rapidement rendu compte que l’Éternel Dieu avait l’intention de lui enlever tout ce qu’il avait et que ce que Dieu faisait était bien ; il s’était rapidement agenouillé pour l’accepter. Les gens ordinaires peuvent-ils atteindre ce niveau ? Ils ne le peuvent pas. Peu importe à quel point Job était déconcerté à ce moment-là, ou combien de temps il lui a fallu pour s’agenouiller et accepter tout ce qui lui était arrivé, son attitude était toujours de se tenir dans la position d’un être créé. Face à ces évènements, il n’a pas dit : « Je suis riche et j’ai tellement de serviteurs, comment ces choses peuvent-elles être enlevées juste comme ça ? Je dois dire à mes serviteurs de les récupérer immédiatement. » A-t-il fait cela ? Il ne l’a pas fait. Il était clair dans son cœur que c’était l’action de Dieu, et l’homme ne pouvait rien y faire. S’impliquer signifierait s’opposer à ce que Dieu avait fait et s’opposer à tout ce qui lui était arrivé. Il n’a pas prononcé une seule plainte à ce moment-là, il n’a pas non plus jugé ce qui se passait ni interféré pour essayer de tout inverser. Il a simplement attendu et observé tranquillement comment les choses allaient se dérouler, voyant ce que Dieu ferait. Du début à la fin, ce que Job a fait était de se tenir fermement à sa juste place, c’est-à-dire qu’il s’est tenu fermement à la place d’un être créé. C’était sa performance. Bien que Job ait été quelque peu déconcerté lorsque ces évènements lui sont arrivés, il a pu chercher et reconnaître que tout ce que le Créateur avait fait était juste, puis il s’est soumis. Il n’a pas eu recours à des méthodes humaines pour résoudre le problème. Quand les bandits sont arrivés, il les a laissés s’emparer de ce qu’ils pouvaient ; il n’a pas agi selon son impétuosité pour se battre avec eux. Dans son cœur, il a pensé : « Sans la permission de Dieu, ils ne pouvaient rien saisir. Maintenant qu’ils ont tout pris, il est clair que Dieu l’a permis. Toute intervention humaine serait inutile. Les gens ne peuvent pas agir sur leur impétuosité, ils ne peuvent pas intervenir. » Ne pas intervenir ne signifie pas qu’il tolérait les bandits ; ce n’était pas un signe de faiblesse ou de peur des bandits. C’était plutôt qu’il redoutait la main de Dieu et qu’il avait un cœur craignant Dieu. Il a dit : « Qu’ils le prennent. Après tout, ces choses ont été données par Dieu. » N’est-ce pas ce qu’un être créé devrait dire ? (Si.) Il ne s’est pas du tout plaint. Il n’a envoyé personne pour se battre, récupérer ses biens ou les protéger. N’est-ce pas là une manifestation authentique de soumission à Dieu ? (Si.) Il pouvait seulement le faire parce qu’il avait une véritable compréhension de la souveraineté de Dieu. Sans cette compréhension, il aurait eu recours à des méthodes humaines pour combattre et récupérer ses biens, et comment Dieu aurait-Il vu cela ? Ce n’est pas se soumettre aux orchestrations de Dieu. Cela manque de compréhension des choses faites par la main de Dieu, et croire en Lui toutes ces années aurait été vain. Être heureux quand Dieu donne mais plein de ressentiment quand Il enlève des choses, se sentir réticent et vouloir les reprendre par la force ; ne pas se contenter de ce que Dieu fait, ne pas vouloir perdre ces choses ; accepter seulement les récompenses de Dieu mais pas Ses privations ; ne pas vouloir se soumettre aux orchestrations de la main de Dieu, est-ce agir selon la place d’un être créé ? (Non.) C’est de la rébellion, c’est de l’opposition. Les gens n’ont-ils pas souvent ces comportements ? (Si.) C’est tout le contraire de ce que Job a fait. Comment Job a-t-il exprimé qu’il pouvait craindre l’Éternel Dieu dans la position d’un être créé, se soumettre et accepter les épreuves de Dieu, et accepter ce que Dieu lui a accordé ? A-t-il pleuré ? S’est-il plaint ? A-t-il utilisé toutes sortes de moyens et de méthodes humaines pour tout récupérer ? Non, il a permis à Dieu de prendre librement. N’est-ce pas avoir la foi ? Il avait une vraie foi, une vraie compréhension et une vraie soumission. Aucune de ces choses n’est simple ; elles nécessitent toutes un certain temps pour expérimenter, chercher et embrasser. Job n’a pu montrer ces manifestations qu’après avoir atteint un certain niveau de compréhension du Créateur. Qu’a dit Job à la fin ? (« L’Éternel a donné, et l’Éternel a ôté ; que le nom de l’Éternel soit béni ! » (Job 1:21).) Et qu’est-ce que la femme de Job a dit ? « Maudis Dieu, et meurs ! » (Job 2:9). Ce qu’elle voulait dire, c’était : « Arrête de croire. Si c’est vraiment en Dieu que tu croyais, pourquoi es-tu confronté à la calamité ? N’est-ce pas une rétribution ? Tu n’as rien fait de mal, pourquoi cela t’arrive-t-il ? Peut-être que ta foi est erronée ? » Comment Job a-t-il répondu à sa femme ? Il a dit : « Tu parles comme une femme insensée » (Job 2:10). Job a dit que sa femme était insensée ; qu’elle n’avait pas la vraie foi et la vraie compréhension en Dieu, c’est pourquoi elle pouvait prononcer des paroles de défiance contre Dieu. La femme de Job ne connaissait pas Dieu. Quand une chose aussi importante s’est produite qui était manifestement le fait de Dieu, elle ne pouvait étonnamment pas le reconnaître, et a même conseillé Job en disant : « Tu as pris le mauvais chemin. Cesse de croire et abandonne ton Dieu. » Quelle chose exaspérante à entendre ! Pourquoi a-t-elle exhorté Job à abandonner Dieu ? Parce qu’elle avait perdu ses biens et ne pouvait plus en profiter. Elle était passée d’une femme riche à une pauvre ne possédant rien. Elle était mécontente de ce dont Dieu la privait, alors elle a dit à Job d’arrêter de croire, l’implication étant : « Je ne crois plus, et toi non plus tu ne devrais plus croire. Un foyer parfaitement bon a été dépouillé, nous laissant sans rien. En un clin d’œil, nous avons tout perdu, nos richesses se sont transformées en pauvreté. À quoi bon croire en un tel Dieu ? Arrête de croire ! » Ces mots ne sont-ils pas stupides ? C’est ainsi qu’elle s’est comportée. Job l’a-t-il écoutée ? Il ne l’a pas fait ; il n’a pas été induit en erreur ou dérangé par elle, et il n’a pas accepté ses opinions. Pourquoi ? Parce que Job a adhéré à une déclaration : « Nous recevons de Dieu le bien, et nous ne recevrions pas aussi le mal ! » (Job 2:10). Il a pensé : « Tout cela est extrêmement normal. Quelle que soit la manière dont Dieu agit, c’est juste ; les gens devraient simplement l’accepter. Les gens ne devraient pas croire en Dieu uniquement pour rechercher des bénédictions. J’ai apprécié les bénédictions de Dieu pendant tant d’années sans rien faire pour Dieu, le moment est venu de Lui rendre témoignage. Ce que Dieu enlève est à Lui, Il peut le prendre quand Il veut. Les gens ne devraient pas avoir d’exigences, ils devraient simplement accepter et se soumettre. » Alors, devrais-tu recevoir des bénédictions parce que tu crois en Dieu ? Est-ce ainsi que cela devrait être ? Si quelqu’un peut saisir pleinement cette question, alors il aura la foi.

Tout ce que le Créateur fait est juste et c’est la vérité. Quoi qu’Il fasse, Son identité et Son statut ne changent pas. Tous les gens devraient L’adorer. Il est le Seigneur éternel de l’humanité et le Dieu éternel. Ce fait ne peut jamais être changé. Les gens ne peuvent pas simplement Le reconnaître comme Dieu quand Il leur accorde des dons, ou ne pas Le reconnaître comme Dieu quand Il leur enlève des choses. C’est la vision erronée de l’homme, pas une erreur dans les actions de Dieu. Si les gens comprennent la vérité, alors ils pourront voir cela clairement, et si, au fond, ils sont capables d’accepter que c’est la vérité, alors leur relation avec Dieu deviendra de plus en plus normale. Si tu dis que tu reconnais que les paroles de Dieu sont la vérité, mais que, quand quelque chose arrive, tu ne Le comprends pas, et tu Le blâmes même et ne Lui es pas vraiment soumis, alors cela n’a aucun sens quand tu dis que tu reconnais que les paroles de Dieu sont la vérité. La chose la plus importante est que ton cœur soit capable d’accepter la vérité et que, quoi qu’il arrive, tu sois capable de voir que les actions de Dieu sont bonnes et qu’Il est juste. C’est le genre de personne qui comprend Dieu. Il y a beaucoup de croyants qui se concentrent uniquement sur la compréhension de la doctrine. Ils reconnaissent la théorie spirituelle, mais quand quelque chose leur arrive, ils n’acceptent pas la vérité et ils ne se soumettent pas. Ce sont des gens hypocrites. Les choses que tu dis habituellement sont toutes correctes, mais lorsque quelque chose se produit qui ne correspond pas à tes propres notions, tu n’es pas capable de l’accepter. Tu te disputes avec Dieu, en pensant que Dieu n’aurait pas dû faire ceci ou cela. Tu ne peux pas te soumettre à l’œuvre de Dieu, tu ne cherches pas la vérité et tu ne réfléchis pas à ta rébellion. Cela signifie que tu n’es pas soumis à Dieu. Tu aimes toujours discuter avec Dieu ; tu penses toujours que tes arguments sont supérieurs à la vérité, que si tu montais sur scène pour les partager, beaucoup de gens te soutiendraient. Mais même si de nombreuses personnes te soutiennent, ce sont toutes des personnes corrompues. Ceux qui soutiennent et ceux qui sont soutenus ne sont-ils pas tous des humains corrompus ? Ne manquent-ils pas tous de vérité ? Même si toute l’humanité te soutenait et s’opposait à Dieu, Dieu aurait toujours raison. Ce serait encore l’humanité qui aurait tort, qui se serait rebellée contre Dieu et lui aurait résisté. Est-ce juste une expression ? Non. C’est un fait, c’est la vérité. Les gens doivent fréquemment méditer et expérimenter cet aspect de la vérité. Dieu a fait Son œuvre en trois étapes, et à chaque étape, beaucoup de gens s’y opposaient. Comme lorsque le Seigneur Jésus est venu faire Son œuvre de rédemption, tout Israël s’est levé contre Lui. Mais maintenant, l’humanité compte des milliards de personnes qui reconnaissent toutes le Seigneur Jésus comme le Sauveur. Ses croyants sont répartis dans le monde entier. Le Seigneur Jésus a déjà racheté toute l’humanité. C’est un fait. Peu importe les pays où le peuple veut le nier, cela ne sert à rien. Peu importe la façon dont les humains corrompus évaluent l’œuvre de Dieu, l’œuvre de Dieu et les vérités que Dieu dit sont toujours justes et correctes. Peu importe combien de personnes dans toute l’espèce humaine se lèvent contre Dieu, c’est futile. Tout ce que Dieu fait est correct ; Il ne fait même pas la moindre erreur. Du fait que les humains corrompus n’ont aucune vérité et sont complètement incapables de voir clairement la signification et l’essence de l’œuvre de Dieu, rien de ce qu’ils disent n’est conforme à la vérité. Même si l’on résumait toutes les théories de l’humanité, elles ne seraient toujours pas la vérité. Elles ne pourraient l’emporter sur aucune des paroles de Dieu, ni sur aucune parole de la vérité. C’est un fait. Si les gens ne comprennent pas cela, alors ils doivent lentement en faire l’expérience. Quel est le prérequis à cette expérience ? Tu dois d’abord reconnaître et accepter que les paroles de Dieu sont la vérité. Il faut ensuite les pratiquer et les expérimenter. Plus vite que tu ne le penses, tu découvriras que les paroles de Dieu sont la vérité, c’est tout à fait exact. À ce moment-là, tu commenceras à chérir les paroles de Dieu, à accorder de l’importance à la poursuite de la vérité, et tu seras capable d’accepter la vérité dans ton cœur et d’en faire ta vie.

Le 10 septembre 2018

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