Au-delà des arbres, montant la paisible lune.

Sa lumiere est beau, comme mon Bien-aimé.

Mon Bien-aimé, où es-Tu ?

M'entends-Tu pleurer ?

Tu es Celui qui me donne de l'amour.

Tu es Celui qui se soucie de moi.

Tu es Celui qui pense toujours à moi.

Tu es Celui qui chérit ma vie.

La lune, retourne de l'autre côté du ciel,

ne fais pas trop attendre mon Bien-aimé.

S'il te plaît, dis-Lui qu'Il me manque.

N'oublie pas de Lui amener mon amour.

Les oies sauvages à deux, s'envolant au loin.

Ramèneront-elles des mots de mon Bien-aimé ?

Veuille me prêter tes ailes,

je peux m'envoler vers mon village chaleureux.

Je rembourserai l'inquiétude de mon Bien-aimé.

Je veux Lui dire : Ne sois pas triste.

Je Te donnerai la réponse qui Te plaira.

Les efforts que Tu as faits ne seront pas vains.

J'aimerais grandir bientôt,

être libre de la vie pénible et d'errance.

Oh mon Bien-aimé, veuille m'attendre !

Je m'envolerai, loin du luxe de ce monde.

Je rembourserai l'inquiétude de mon Bien-aimé.

Je veux Lui dire : Ne sois pas triste.

Je Te donnerai la réponse qui Te plaira.

Les efforts que Tu as faits ne seront pas vains.

Les efforts que Tu as faits ne seront pas vains.

Extrait de « Suivre l'Agneau et chanter de nouvelles chansons »