Comment accomplir son devoir de façon adéquate ?

Lors de la dernière réunion, le sujet principal de l’échange portait sur les quatre conditions de base pour qu’une personne arrive à la perfection en acceptant le jugement et le châtiment. Quelles sont ces quatre conditions de base ? (La première condition est l’accomplissement adéquat de son devoir. La deuxième est d’avoir une mentalité de soumission à Dieu. La troisième est d’être essentiellement une personne honnête. Et la quatrième est d’avoir un cœur repentant.) Chacune de ces quatre conditions comporte des détails, des pratiques concrètes et des références spécifiques. En réalité, cela fait des années que nous discutons de ces quatre sujets. Si nous en parlons à nouveau aujourd’hui, cela peut-il être considéré comme un retour en arrière ? (Non.) Pourquoi pas ? Parce que le contenu de chacune de ces quatre conditions implique la réalité de la vérité et l’entrée dans la vie, qui sont des sujets inépuisables. La plupart des gens n’ont pas encore atteint le niveau pour entrer dans la réalité de la vérité ; ils ne comprennent la vérité que de manière superficielle, ils ne comprennent que des doctrines simples. Bien qu’ils soient capables d’échanger certaines réalités, ils ne parviennent pas à entrer dans les vérités-réalités. Ainsi, quelle que soit la facette de la vérité qui est concernée, elle doit fréquemment faire l’objet d’échange et il faut fréquemment écouter en parler. Ainsi, la compréhension des gens des diverses vérités s’approfondira grâce à leur expérience réelle, et leurs expériences deviendront de plus en plus précises.

Nous venons de résumer les quatre conditions de base pour être rendu parfait en acceptant le jugement et le châtiment. Commençons ensuite, notre discussion par la première condition : l’accomplissement adéquat du devoir. Certains disent : « Les discussions de ces deux dernières années ont toutes porté sur l’accomplissement du devoir ; plus précisément : comment accomplir son devoir, comment bien l’accomplir, quels sont les principes à respecter en l’accomplissant. Dans mon cœur, je connais ces choses comme ma poche, elles ne pourraient pas être plus claires. Et au cours des dernières années, ma vie quotidienne a été entièrement consacrée aux vérités liées à l’accomplissement de mon devoir. Depuis que j’ai commencé à accomplir mon devoir, j’ai cherché, mangé, bu et écouté les vérités qui s’y rapportent, et même maintenant, on discute encore de ce sujet. Je l’ai compris dans mon cœur depuis longtemps déjà ; ne s’agit-il pas tout simplement de bien accomplir son devoir ? Faire son devoir de manière adéquate ne revient-il pas simplement à suivre les principes mentionnés plus haut ? Aime le Seigneur ton Dieu de tout ton cœur, de toute ton âme, de tout ton esprit et de toute ta force ; recherche les principes, ne t’appuie pas sur tes propres tendances et coordonne-toi harmonieusement tout en accomplissant ton devoir ; synchronise l’accomplissement de ton devoir avec l’entrée dans la vie – c’est tout ce qu’il y a à savoir. » Les choses que vous rencontrez et expérimentez dans votre vie quotidienne ne sont que ces sujets, c’est donc tout ce que vous comprenez. Peu importe ce que vous comprenez, nous devons tout de même discuter de cette vérité aujourd’hui. S’il y a des répétitions, dans tous les cas, ce sera bénéfique pour vous et vous pourrez y réfléchir à nouveau ; si c’est quelque chose qui n’a pas été discuté auparavant, alors assimilez-le. Que cela soit répétitif ou non, vous devriez écouter attentivement. Examinez les vérités dont il est question ici, voyez si ces vérités ont un quelconque bénéfice pour votre entrée dans la vie, et si elles peuvent vous aider à accomplir votre devoir de manière adéquate. Il est donc en effet nécessaire de revenir sur le sujet de l’accomplissement adéquat de son devoir.

En ce qui concerne l’accomplissement adéquat du devoir, mettons pour le moment de côté le sens du mot « adéquat » et parlons plutôt de ce qu’est le devoir. À la fin, vous saurez ce qu’est le devoir, ce qui est considéré comme adéquat et comment le devoir doit être accompli ; vous aurez un chemin de pratique pour accomplir votre devoir selon les critères. Alors, qu’est-ce que le devoir ? (Le devoir est ce que Dieu donne à faire à l’homme, c’est ce qu’un être créé doit faire.) Cette affirmation n’est qu’à moitié correcte. En théorie, elle ne contient rien de faux, mais en y regardant de plus près, cette explication est incomplète ; il devrait y avoir une condition préalable. Approfondissons ce sujet. Pour chaque croyant et non-croyant, la façon dont ils vivent leur vie, ce qu’ils font dans ce monde humain et la destinée de leur vie – ne sont-ce pas des choses que Dieu a préétablies ? (Si.) Par exemple, certaines personnes font de la musique dans ce monde. Faire de la musique est leur mission dans la vie ; cette mission peut-elle être considérée comme leur devoir ? (Non.) Certaines personnes ont accompli des choses extraordinaires dans le monde qui ont eu un impact sur toute l’humanité, ils ont apporté des contributions et même transformé une époque ; c’est la mission de leur vie. Cette mission de vie peut-elle être considérée comme leur devoir ? (Non.) Mais cette mission de vie et ce qu’ils ont fait au cours de leur vie ne sont-ils pas des choses qui leur ont été confiées par Dieu ? N’est-ce pas ce que devrait faire un être créé ? (Si.) C’est exact. Dieu leur a donné une mission, leur a confié ce mandat et, parmi l’ensemble de l’humanité, en tant que partie de l’humanité elle-même, ils ont quelque chose à faire, une responsabilité à assumer. Quel que soit le domaine dans lequel ils sont impliqués – les arts, les affaires, la politique, l’économie, la recherche scientifique, et ainsi de suite – tout cela est prédestiné par Dieu. Il y a cependant un élément qui fait la différence ; quelle que soit la façon dont Dieu l’a ordonné, ces personnes sont en dehors de l’œuvre de gestion de Dieu. Elles sont considérées comme des non-croyantes, et ce qu’elles font est extérieur à l’œuvre de gestion de Dieu. Alors, leurs responsabilités, le mandat qu’elles ont accepté et leur mission de vie peuvent-ils être appelés un devoir ? (Non.) Elles n’accomplissent pas un devoir puisque ce qu’elles font est sans lien avec l’œuvre de salut de Dieu pour l’humanité. Tous les humains de ce monde acceptent passivement le mandat du Créateur et la mission qu’Il leur a donnée, mais la mission que ceux qui ne croient pas en Dieu acceptent et les responsabilités qu’ils exercent ne sont pas des devoirs, parce que ces choses n’ont aucun rapport avec le plan de gestion de Dieu pour sauver l’humanité et ces choses n’y participent pas. Ils n’acceptent pas Dieu et Dieu ne travaille pas en eux, donc peu importe les responsabilités qu’ils exercent, le mandat qu’ils acceptent ou la mission qu’ils accomplissent dans cette vie, on ne peut pas dire qu’ils accomplissent leur devoir. Alors, qu’est-ce que le devoir exactement ? Quels types de conditions préalables devraient être ajoutés afin d’expliquer ce concept de manière claire, précise et complète, ainsi que la vérité à cet égard ? Avez-vous compris un concept à travers notre échange à l’instant ? Quel concept ? Que pour tout individu parmi l’humanité, quelle que soit la grandeur de la mission qu’il a acceptée, le niveau de changement qu’il a opéré, ou l’étendue de sa contribution à l’humanité, cette mission et ces mandats ne peuvent être appelés des devoirs. C’est parce qu’ils n’ont aucun lien avec le plan de gestion de Dieu pour sauver l’humanité ; ce ne sont que des missions. Que ces personnes agissent de manière active ou passive, tout ce qu’elles font, c’est remplir une mission ; cela a été préétabli par Dieu. En d’autres termes, tant que leurs actions n’ont rien à voir avec le plan de gestion de Dieu et rien à voir avec l’œuvre de Dieu pour sauver l’humanité, alors remplir ces missions ne peut pas être considéré comme l’accomplissement d’un devoir. Cela est certain, sans le moindre doute possible. Alors qu’est-ce que le devoir ? Voici comment il faut le comprendre : le devoir est le mandat et la mission donnés par Dieu dans le cadre de Son œuvre de gestion pour sauver l’humanité. N’est-ce pas une manière complète et précise de le dire ? Seul ce qui est précis est la vérité ; ce qui est imprécis et partial n’est pas la vérité, mais seulement une doctrine. Si tu ne comprends pas et ne reconnais pas pleinement ce qu’est le devoir, tu ne sauras pas quelles sont les vérités liées au devoir. Par le passé, les gens ont pu avoir beaucoup d’idées fausses dans leur compréhension du devoir. C’est parce qu’ils ne comprenaient pas la vérité, ce qui a conduit à toutes sortes de notions et d’ambiguïtés. Les gens ont ensuite utilisé ces notions et ces ambiguïtés pour expliquer le devoir et ils l’ont donc abordé en se basant sur ces idées. Par exemple, certaines personnes pensent que, puisque nos vies entières sont prédéterminées par Dieu – le type de famille dans laquelle on naît, le fait d’être riche ou pauvre dans la vie, la carrière que l’on poursuit sont tous prédéterminés par Dieu – tout ce que l’on fait au cours de sa vie et tout ce que l’on accomplit sont des mandats donnés par Dieu et c’est notre mission. Juste parce qu’il s’agit d’une mission, ils pensent que c’est donc un devoir. C’est ainsi qu’ils avancent à tâtons et trébuchent dans leur conception du devoir. N’est-ce pas là une mauvaise compréhension ? Certaines personnes, qui se marient et ont des enfants, disent : « Avoir des enfants, c’est la mission que Dieu nous a confiée, c’est notre mission, c’est notre devoir d’élever nos enfants jusqu’à l’âge adulte. » N’est-ce pas là une compréhension erronée des choses ? Et il y a d’autres personnes qui disent : « Nous avons été mis dans ce monde pour cultiver la terre. Puisque c’est notre destin, nous ferions mieux de faire du bon travail, parce que c’est la mission et le mandat que Dieu nous a confiés. Peu importe notre pauvreté ou nos difficultés, nous ne pouvons pas nous plaindre. Bien cultiver la terre dans cette vie est notre devoir. » Ils assimilent le destin d’une personne à sa mission et à son devoir. N’est-ce pas une mauvaise compréhension des choses ? (Si.) C’est en effet une mauvaise compréhension des choses. Il y a aussi des gens qui font des affaires dans le monde et qui disent : « Je n’ai rien réussi avant, mais depuis que je fais des affaires, ma vie est plutôt bonne et stable. Il semble que Dieu m’ait destiné à faire des affaires dans cette vie pour soutenir ma famille par ce biais. Donc, si dans cette vie je réussis dans les affaires et que je développe mes activités, en pourvoyant aux besoins de tous les membres de ma famille, alors c’est ma mission, et peut-être que cette mission est mon devoir. » N’est-ce pas là une mauvaise compréhension ? Les gens considèrent leurs affaires quotidiennes, la façon dont ils gagnent leur vie, le style de vie auquel ils accèdent et la qualité de vie dont ils jouissent – toutes choses liées à leur mission – comme leur devoir. Cela est faux ; c’est une compréhension déformée de ce qu’est le devoir.

Qu’est-ce donc que le devoir ? La plupart des gens ont une compréhension faussée et déformée de cette question. Si la maison de Dieu te demande d’aller planter des céréales et des légumes, comment réagis-tu à cet arrangement ? Certaines personnes ne pourront peut-être pas le comprendre et diront : « L’agriculture sert à subvenir aux besoins de la famille ; ce n’est pas un devoir. Le concept de devoir n’inclut pas cet aspect. » Pourquoi comprennent-ils les choses ainsi ? C’est parce qu’ils ne comprennent pas les vérités liées à l’accomplissement du devoir et ils ne comprennent pas ce qu’est le devoir. Si quelqu’un comprend cet aspect de la vérité, il sera prêt à aller travailler la terre. Il saura que dans la maison de Dieu, on ne cultive pas la terre pour subvenir aux besoins de sa famille, mais pour permettre à ceux qui accomplissent leur devoir à plein temps de continuer à l’accomplir normalement. En fait, c’est aussi un mandat donné par Dieu ; le travail lui-même n’est peut-être pas plus important qu’une graine de sésame ou peut-être même qu’un grain de sable, mais peu importe son importance, il s’agit d’un travail produit dans le cadre de l’œuvre de gestion de Dieu. Dieu dit maintenant que tu es tenu d’achever ce travail – comment le comprends-tu ? Tu devrais l’accepter comme étant ton devoir et tu devrais l’accepter sans chercher d’excuses. Si tu te soumets passivement et que tu vas travailler à la ferme parce que c’est ce qui a été prévu pour toi, cela ne marchera pas. Il y a ici un principe que tu dois comprendre : si l’Église a prévu que tu fasses des travaux agricoles et plantes des légumes, ce n’est pas pour que tu deviennes riche ni pour que tu puisses te débrouiller et subvenir aux besoins de ta famille ; c’est pour répondre aux besoins du travail dans la maison de Dieu pendant les périodes de catastrophe. Il s’agit de s’assurer que tous ceux qui accomplissent leur devoir à plein temps dans la maison de Dieu ont leur subsistance quotidienne, afin qu’ils puissent accomplir leurs devoirs normalement, sans entraver le travail de la maison de Dieu. Ainsi, certaines personnes qui cultivent dans une ferme de l’Église sont considérées comme accomplissant leur devoir, ce qui par nature est différent du travail des agriculteurs ordinaires. Quelle est la nature du travail des agriculteurs ordinaires ? Les agriculteurs ordinaires cultivent pour subvenir aux besoins de leurs familles et pour survivre ; c’est ce que Dieu a prévu pour eux. C’est leur destin, donc ils cultivent de génération en génération ; cela n’a rien à voir avec leur devoir. Maintenant, tu es dans la maison de Dieu et toi aussi tu cultives, mais c’est une exigence du travail dans la maison de Dieu ; c’est une manière de te dépenser pour Dieu. C’est de nature différente que de cultiver sa propre terre. Il s’agit d’exercer ses responsabilités et ses obligations, c’est le devoir qu’une personne doit accomplir ; c’est le mandat et la responsabilité que le Créateur t’a confiés. Pour toi, c’est ton devoir. Ainsi, si l’on compare ce devoir à ta mission mondaine, lequel est le plus important ? (Mon devoir.) Pourquoi ? Le devoir est ce que Dieu te demande de faire, c’est ce qu’Il t’a confié – c’est une des raisons. L’autre raison principale est que lorsque tu acceptes ton devoir dans la maison de Dieu et que tu acceptes le mandat de Dieu, tu deviens pertinent en ce qui concerne l’œuvre de gestion de Dieu. Dans la maison de Dieu, chaque fois que l’on t’assigne quelque chose à faire, même si c’est une tâche difficile ou fatigante et que cela te plaise ou non, c’est ton devoir. Si tu peux considérer cela comme une commission et une responsabilité que Dieu t’a confiées, alors tu es concerné par Son œuvre de salut de l’homme. Et si ce que tu fais et le devoir que tu accomplis sont pertinents pour l’œuvre de Dieu de salut de l’homme, et que tu peux sérieusement et sincèrement accepter la commission que Dieu t’a donnée, comment te considérera-t-Il ? Il te considérera comme un membre de Sa famille. Est-ce une bénédiction ou une malédiction ? (Une bénédiction.) C’est une grande bénédiction. Certaines personnes se plaignent lorsqu’elles rencontrent des petites difficultés dans l’exercice de leur devoir, ignorant allègrement les immenses bénédictions qu’elles ont reçues. N’est-il pas tout simplement insensé de se plaindre de Dieu après avoir obtenu tant d’avantages ? À ce stade, il est essentiel de comprendre la vérité, de reconnaître qu’il s’agit de ton devoir et que tu dois l’accepter de Dieu. Maintenant, avez-vous une nouvelle compréhension ou un nouvel éclairage sur ce qu’est le devoir ? L’avez-vous compris en profondeur ? Le devoir est-il important pour recevoir le salut ? (Oui.) À quel point est-il important ? On peut dire qu’il existe un lien direct entre l’accomplissement du devoir et l’obtention du salut. Quelles que soient les missions que tu remplis dans cette vie, si tu n’as pas accompli ton devoir, tu n’as aucune chance de recevoir le salut. En d’autres termes, quels que soient les exploits que tu as accomplis dans cette vie parmi les autres humains, tu n’as fait qu’accomplir une mission ; tu n’as pas rempli le devoir d’un être créé, donc tu n’as aucune chance de recevoir le salut et tu n’as rien à voir avec l’œuvre de gestion de l’humanité de Dieu.

Dans la maison de Dieu, il est constamment question d’accepter le mandat de Dieu et d’accomplir correctement son devoir. Comment le devoir naît-il ? D’une manière générale, il naît de l’œuvre de gestion de Dieu qui consiste à apporter le salut à l’humanité ; pour être plus précis, au fur et à mesure que l’œuvre de gestion de Dieu se déploie parmi l’humanité, divers travaux apparaissent qui nécessitent que les gens coopèrent et les accomplissent. Cela a fait naître des responsabilités et des missions que doivent accomplir les gens et ces responsabilités et missions sont les devoirs impartis à l’humanité par Dieu. Dans la maison de Dieu, les diverses tâches qui nécessitent la coopération des gens sont les devoirs qu’ils doivent accomplir. Alors existe-t-il des différences entre les devoirs en termes de ce qui est mieux ou moins bien, noble ou humble, grand ou petit ? De telles différences n’existent pas ; tant que quelque chose a à voir avec l’œuvre de gestion de Dieu, est une exigence du travail de Sa maison et doit servir à diffuser l’Évangile de Dieu, alors c’est le devoir des personnes. C’est l’origine et la définition du devoir. Sans l’œuvre de gestion de Dieu, les gens sur terre – indépendamment de la façon dont ils vivent – auraient-ils des devoirs ? Non. Maintenant tu vois clair. À quoi est lié le devoir de quelqu’un ? (Il est lié à l’œuvre de gestion de Dieu qu’est le salut de l’humanité.) C’est exact. Il y a une relation directe entre les devoirs de l’humanité, les devoirs des êtres créés et l’œuvre de gestion de Dieu concernant le salut de l’humanité. On peut dire que sans le salut de l’humanité par Dieu et sans l’œuvre de gestion que le Dieu incarné a lancée parmi les hommes, les gens n’auraient pas de devoirs à proprement parler. Les devoirs découlent de l’œuvre de Dieu ; c’est ce que Dieu exige des hommes. Vu sous cet angle, le devoir est important pour toute personne qui suit Dieu, n’est-ce pas ? Il est très important. Pour le dire de manière générale, tu participes sur le plan de l’œuvre de gestion de Dieu ; plus précisément, tu collabores aux différents types de travaux de Dieu qui sont requis à différents moments et parmi différents groupes de personnes. Quel que soit ton devoir, il s’agit d’une mission que Dieu t’a confiée. Parfois, tu peux être amené à surveiller ou à sauvegarder un objet important. Il peut s’agir d’une question relativement insignifiante dont on peut seulement dire qu’elle relève de ta responsabilité, mais c’est une tâche que Dieu t’a confiée ; tu l’as acceptée de Sa part. Tu l’as accepté des mains de Dieu et c’est ton devoir. Pour aller à l’essentiel, ton devoir t’est confié par Dieu. Il s’agit principalement de répandre l’Évangile, de témoigner, de faire des vidéos, d’être un dirigeant ou un ouvrier dans l’Église, ou il peut s’agir d’un travail encore plus dangereux et plus important. Quoi qu’il en soit, tant que cela est lié à l’œuvre de Dieu et aux nécessités liées au travail de diffusion de l’Évangile, les gens devraient l’accepter comme un devoir de la part de Dieu. Le devoir, pour le dire en termes encore plus généraux, est la mission d’une personne, un mandat confié par Dieu ; plus précisément, il s’agit de ta responsabilité, de ton obligation. Étant donné qu’il s’agit de ta mission, d’un mandat confié par Dieu, de ta responsabilité et de ton obligation, l’accomplissement de ton devoir n’a rien à voir avec tes affaires personnelles. Le devoir n’a rien à voir avec les affaires personnelles – pourquoi abordons-nous ce sujet ? Parce que les gens doivent saisir comment traiter et comprendre leur devoir. Le devoir est le mandat que les êtres créés acceptent et la mission qu’ils doivent accomplir dans le cadre de l’œuvre de gestion de Dieu. Les gens connaissent les prémisses générales, mais qu’en est-il des détails plus subtils ? Comment doit-on aborder ses devoirs pour être considéré comme ayant une compréhension correcte ? Certaines personnes considèrent leur devoir comme leurs affaires personnelles ; est-ce le bon principe ? (Non.) Pourquoi est-ce faux ? Faire les choses pour soi-même n’est pas accomplir son devoir. Accomplir son devoir ne consiste pas à faire les choses pour soi-même, mais plutôt à faire le travail que Dieu vous a confié – il y a une différence entre les deux. Quel est le principe lorsqu’il s’agit de faire les choses pour soi-même ? C’est faire ce que l’on veut sans consulter les autres, et sans prier ou chercher Dieu ; c’est agir selon ses propres caprices et sans se soucier des conséquences, tant que cela nous est profitable. Ce principe est-il acceptable pour accomplir son devoir dans la maison de Dieu ? (Non.) Certains disent : « Je ne prends même pas mes propres affaires autant au sérieux et je ne fournis pas autant d’efforts que ça. Je traite mon devoir comme s’il s’agissait de mes propres affaires et ce principe est certainement approprié. » Est-ce la bonne façon d’accepter son devoir ? Certainement pas. Quelle doit donc être l’attitude de quelqu’un à l’égard de son devoir ? (L’accepter de la part de Dieu.) « L’accepter de la part de Dieu. » Ces sept mots sont faciles à dire, mais la façon de mettre en pratique la vérité qu’ils contiennent dépend de la manière dont tu traites ton devoir. Nous venons de définir ce qu’est le devoir. Le devoir vient de Dieu, c’est un mandat confié par Dieu, il est lié à l’œuvre de Son plan de gestion et au salut de l’homme. De ce point de vue, le devoir a-t-il quelque chose à voir avec tes principes personnels de conduite ? A-t-il quelque chose à voir avec tes préférences personnelles, tes habitudes de vie, tes routines quotidiennes ? Pas le moins du monde. Alors à quoi est donc lié le devoir ? Il est lié à la vérité. Certains disent : « Puisque ce devoir m’est assigné, alors c’est mon affaire. Et j’ai le principe le plus élevé pour accomplir le devoir, qu’aucun d’entre vous n’a. Dieu exige que les gens accomplissent leur devoir de tout leur cœur, de toute leur âme, de tout leur esprit et de toute leur force. Mais, en plus de cela, j’ai un principe encore plus élevé, qui est de traiter mon devoir comme s’il s’agissait de ma propre préoccupation principale, de l’accomplir avec diligence et de chercher à obtenir le meilleur résultat. » Ce principe est-il correct ? (Non.) Pourquoi est-il faux ? Si tu acceptes ton devoir de la part de Dieu et que, dans ton cœur, tu sais qu’Il te l’a confié, comment dois-tu traiter cette mission ? Cela se rapporte aux principes de l’accomplissement du devoir. N’est-il pas beaucoup plus noble de traiter son devoir comme un mandat de Dieu plutôt que comme sa propre affaire ? Ce n’est pas la même chose, n’est-ce pas ? Si tu considères ton devoir comme un mandat de Dieu, comme l’accomplissement de ton devoir devant Dieu et comme la satisfaction de Dieu par l’accomplissement de ton devoir, alors ton principe d’accomplissement du devoir n’est pas simplement de le considérer comme ta propre affaire. Quelle attitude devrais-tu avoir envers ton devoir, une attitude qui puisse être considérée comme correcte et en accord avec les intentions de Dieu ? Tout d’abord, tu ne peux pas examiner de près qui l’a organisé, ni le niveau de dirigeant par lequel il a été assigné : tu dois l’accepter de Dieu. Tu ne peux pas analyser cela, tu dois l’accepter de la part de Dieu. C’est une condition. De plus, quel que soit ton devoir, ne fais pas la différence entre ce qui est élevé et ce qui est indigne. Imagine que tu dises : « Bien que cette tâche soit une commission de la part de Dieu et le travail de la maison de Dieu, si je la fais, on pourrait me mépriser. D’autres ont à faire un travail qui les fait se démarquer. On m’a donné cette tâche qui ne me fait pas me démarquer, mais fait que je m’épuise en coulisse. C’est injuste ! Je ne ferai pas ce devoir. Mon devoir doit en être un qui fait que je me démarque devant les autres et qui me permet de me faire un nom, et même si je ne me fais pas un nom et ne me démarque pas, je dois tout de même en profiter et me sentir à l’aise physiquement. » Est-ce une attitude acceptable ? Être sélectif, ce n’est pas accepter ce qui vient de Dieu ; c’est faire des choix selon tes propres préférences. Ce n’est pas accepter ton devoir ; c’est un refus de ton devoir, une manifestation de ta rébellion contre Dieu. Une telle sélection est altérée par tes préférences et désirs individuels ; dès lors que tu prends en considération ton propre bénéfice, ta réputation, etc., ton attitude envers ton devoir n’est pas docile. Quelle attitude devrais-tu avoir envers ton devoir ? Premièrement, tu ne dois pas l’analyser ni réfléchir à qui te l’a confié ; au lieu de cela, tu dois l’accepter de la part de Dieu comme étant ton devoir qui t’a été confié par Dieu, et tu dois obéir à l’orchestration et aux arrangements de Dieu, et accepter ton devoir confié par Dieu. Deuxièmement, ne fais pas la différence entre ce qui est élevé et ce qui est indigne, et ne te préoccupe pas de sa nature : qu’il fasse que tu te démarques ou non, qu’il soit fait en public ou derrière les coulisses. Ne prends pas ces choses-là en considération. Il y a également une autre attitude : la soumission et la coopération active. Si tu sens que tu peux accomplir un certain devoir, mais, qu’en même temps, tu crains aussi de faire une erreur et d’être éliminé, et que tu es timide, que tu stagnes et ne parviens pas à faire des progrès, alors est-ce là une attitude soumise ? Par exemple, si tes frères et sœurs te choisissent comme leur dirigeant, alors il se peut que tu te sentes obligé d’accomplir ce devoir parce que tu as été choisi, mais tu ne considères pas ce devoir avec une attitude proactive. Pourquoi n’es-tu pas proactif ? Parce que tu as des préjugés à ce sujet et que tu penses ceci : « Être dirigeant n’est pas du tout une bonne chose. C’est comme vivre sur le fil du rasoir ou s’aventurer en terrain glissant. Si je fais du bon travail, alors il n’y aura pas de récompense particulière, mais si je fais du mauvais travail, alors je serai émondé. Et être émondé n’est même pas le pire de tout. Que se passera-t-il si l’on me remplace ou si je suis éliminé ? Si cela arrivait, tout ne serait-il pas fini pour moi ? » À ce stade, tu commences à éprouver des sentiments partagés. Quelle est cette attitude ? C’est être sur la défensive et c’est de l’incompréhension. Ce n’est pas l’attitude que les gens devraient avoir vis-à-vis de leur devoir. C’est une attitude démoralisée et négative. Donc, comment devrait être une attitude positive ? (Nous devrions faire preuve d’ouverture d’esprit et de franchise et avoir le courage d’endosser les fardeaux.) Ça devrait être une attitude de soumission et de coopération proactive. Ce que vous dites est un peu vide. Comment peux-tu faire preuve d’ouverture d’esprit et de franchise lorsque tu as aussi peur ? Et que signifie avoir le courage d’endosser des fardeaux ? Quelle mentalité te donnera le courage d’endosser des fardeaux ? Si tu as toujours peur que quelque chose aille mal et que tu ne puisses pas le gérer, et si tu as beaucoup d’obstacles en toi, alors tu n’auras fondamentalement pas le courage d’endosser les fardeaux. Les phrases : « faire preuve d’ouverture d’esprit et de franchise », « d’avoir le courage d’endosser les fardeaux » ou « de ne jamais reculer même face à la mort » dont tu parles ressemblent un peu aux slogans criés par les jeunes en colère. Les slogans peuvent-ils régler des problèmes concrets ? Ce qu’il faut maintenant, c’est une attitude correcte. Pour avoir une attitude correcte, tu dois comprendre cet aspect de la vérité. C’est le seul moyen de résoudre tes difficultés internes et de te permettre d’accepter en douceur ce mandat, ce devoir. C’est le chemin de pratique, et seul cela est la vérité. Si tu utilises des termes comme « faire preuve d’ouverture d’esprit et de franchise » et « avoir le courage d’endosser des fardeaux » pour faire face à la peur que tu ressens, cela sera-t-il efficace ? (Non.) Cela indique que ces choses ne sont pas la vérité, et qu’elles ne sont pas non plus un chemin de pratique. Il se peut que tu dises : « Je sais faire preuve d’ouverture d’esprit et de franchise, je suis de stature indomptable, mon cœur ne renferme aucune pensée étrangère ni aucun contaminant étranger, et j’ai le courage d’endosser des fardeaux. » En apparence, tu assumes la charge de ton devoir, mais plus tard, après y avoir réfléchi un moment, tu continues de penser que tu ne peux pas l’assumer. Il se peut que tu continues d’avoir peur. En outre, il se peut que tu voies les autres être émondés, et que tu aies encore plus peur, comme un chien battu terrifié par le fouet. Tu auras de plus en plus l’impression que ta stature est trop petite, et que ce devoir est comme un abysse immense, infranchissable, et finalement, tu seras toujours incapable d’assumer cette charge. C’est pourquoi scander des slogans ne peut résoudre les problèmes pratiques. Donc, comment peux-tu réellement résoudre ce problème ? Tu dois chercher activement la vérité et adopter une attitude soumise et coopérative. Cela peut entièrement résoudre le problème. La timidité, la crainte et l’inquiétude ne servent à rien. Y a-t-il le moindre rapport entre le fait d’être révélé et éliminé et le fait d’être dirigeant ? Si tu n’es pas dirigeant, ton tempérament corrompu disparaîtra-t-il ? Tôt ou tard, tu devras résoudre le problème de ton tempérament corrompu. En outre, si tu n’es pas dirigeant, alors tu n’auras pas davantage d’occasions de pratiquer et tu progresseras lentement dans la vie, en ayant peu de chances d’être perfectionné. Même si l’on souffre un peu plus quand on est dirigeant ou ouvrier, il y a aussi de nombreuses récompenses, et si tu peux suivre le chemin de la poursuite de la vérité, tu pourras être perfectionné. Quelle grande bénédiction ! Tu dois donc te soumettre et coopérer activement. C’est ton devoir et ta responsabilité. Peu importe le chemin à parcourir, tu dois avoir un cœur de soumission. Voilà l’attitude avec laquelle tu devrais accomplir ton devoir.

Le sujet d’accomplir son devoir n’est inconnu pour personne, ce n’est pas un sujet nouveau. Cependant, pour ceux qui croient en Dieu, ce sujet est très important ; c’est une vérité qui doit être comprise et intégrée. Les êtres créés doivent bien accomplir leur devoir avant d’être approuvés par le Créateur. Par conséquent, il est très important que les gens comprennent ce que signifie accomplir son devoir. Accomplir son devoir n’est pas une sorte de théorie ni un slogan ; c’est un aspect de la vérité. Alors, que signifie accomplir son devoir ? Et quels problèmes peuvent être résolus en comprenant cet aspect de la vérité ? À minima, cela peut résoudre la question de savoir comment tu dois accepter et traiter le mandat de Dieu et quel type d’attitude et de résolution tu dois avoir lorsque tu accomplis la mission que Dieu t’a confiée. Tu peux également dire que cela résoudra en même temps certaines relations anormales entre les gens et Dieu. Certaines personnes considèrent l’accomplissement de leurs devoirs comme un capital, d’autres considèrent l’accomplissement de leurs devoirs comme leurs propres tâches personnelles et d’autres encore voient l’accomplissement de leurs devoirs comme leur propre travail et leurs propres entreprises, ou comme une sorte de loisir, une activité pour tuer le temps. En bref, quelle que soit l’attitude que tu as envers ton devoir, si tu ne l’acceptes pas de Dieu et ne le considères pas comme une tâche qu’un être créé doit accomplir dans le cadre de l’œuvre de gestion de Dieu ou avec laquelle il doit coopérer, alors ce que tu fais n’est pas accomplir ton devoir. Est-il juste que tu traites ton devoir comme une entreprise familiale ? Est-il juste que tu le traites comme faisant partie de ton propre travail ou d’un passe-temps ? Est-il juste de le traiter comme une affaire personnelle ? Rien de tout cela n’est juste. Pourquoi est-il nécessaire de mentionner ces sujets ? Quel problème sera résolu en échangeant sur ces sujets ? Cela résoudra le problème des gens qui ont une attitude incorrecte à l’égard de leur devoir et des innombrables façons dont ils accomplissent leur devoir de manière superficielle. Ce n’est qu’en comprenant l’aspect de la vérité qui se rapporte à l’accomplissement de leur devoir que l’attitude des gens à l’égard de leur devoir changera. Leur attitude deviendra peu à peu compatible avec la vérité, elle répondra aux exigences de Dieu et sera en accord avec Ses intentions. Si les gens ne comprennent pas l’aspect de la vérité qui se rapporte à l’accomplissement de leur devoir, cela fera naître des problèmes dans leur attitude envers leur devoir et les principes qui sous-tendent leur devoir, et ils seront incapables d’atteindre l’accomplissement de leur devoir. Les devoirs sont des tâches que Dieu confie aux gens. Ce sont des missions que les gens doivent remplir. Cependant, un devoir n’est certainement pas ta gestion personnelle, ni un tremplin pour que tu te démarques de la foule. Certains se servent de leurs devoirs comme des occasions de se lancer dans leur propre gestion et de former des cliques ; d’autres, pour satisfaire leurs désirs ; d’autres, pour combler les vides qu’ils ressentent à l’intérieur ; d’autres encore, pour satisfaire leur mentalité qui compte sur la chance en se disant que tant qu’ils accomplissent leurs devoirs, ils auront une part dans la maison de Dieu et dans la destination merveilleuse que Dieu arrange pour l’homme. De telles attitudes vis-à-vis du devoir sont incorrectes. Elles dégoûtent Dieu et doivent être corrigées de toute urgence.

En ce qui concerne ce qu’est le devoir, la manière dont les gens devraient traiter leur devoir, et les attitudes et les points de vue qu’ils devraient avoir à l’égard du devoir, ces questions ont déjà fait l’objet de nombreux échanges. Vous devriez tous réfléchir attentivement à cela ; il est crucial et urgent de comprendre les vérités relatives à ces aspects. Quelle est la vérité que vous avez le plus besoin de comprendre en ce moment ? D’une part, tu dois comprendre les vérités liées aux visions de cet aspect ; d’autre part, tu dois comprendre où il y a des choses que tu as mal comprises et à quel niveau tu as une compréhension déformée de ces vérités dans la pratique et dans la vie réelle. Lorsque tu rencontres des problèmes impliquant les vérités liées à l’accomplissement du devoir, si ces paroles et ces vérités peuvent résoudre ton état intérieur, cela prouve que tu as vraiment et complètement compris le contenu de l’échange ; si elles ne peuvent pas résoudre les difficultés que tu rencontres au quotidien dans l’accomplissement de ton devoir, cela prouve que tu n’es pas entré dans ces vérités. Après avoir écouté ces vérités, les avez-vous résumées et y avez-vous réfléchi ? Est-ce que chaque fois que vous prenez des notes, vous comprenez sur le moment, mais avec le temps vous oubliez, comme si vous ne les aviez jamais entendues ? (Oui.) C’est parce que vous n’avez pas la moindre entrée ; ce que vous pratiquez n’a fondamentalement rien à voir avec ces vérités et n’a aucun rapport avec la vérité. D’ailleurs, ces vérités sur l’accomplissement du devoir sont les vérités les plus basiques que l’on devrait comprendre dans le processus de croyance en Dieu et dans lesquelles on devrait entrer. Si, après avoir entendu les paroles de vérité, tu es encore confus et embrouillé, c’est que ton calibre est tout simplement trop faible et que tu manques de stature. Tu ne peux que lire les paroles de Dieu, prier et assister à des réunions ; tu fais tout ce qu’on te demande de faire, comme quelqu’un qui est engagé dans une croyance religieuse. Cela signifie que tu n’as pas d’entrée dans la vie et que tu n’as aucune stature. Que signifie ne pas avoir de stature ? Cela signifie que dans le processus de croyance en Dieu et d’accomplissement de ton devoir, dès que quelqu’un t’induit en erreur, tu le suis et cesses de croire en Dieu ; si tu fais quelque chose de mal et que quelqu’un t’émonde un peu, en te parlant d’une manière un peu sévère, tu risques d’abandonner ta croyance ; si tu subis des revers ou des difficultés diverses dans ta vie, tu pourrais te plaindre de Dieu, et voyant qu’Il ne t’accorde pas de grâce ou ne résout pas tes difficultés, tu pourrais te détourner et quitter la maison de Dieu, cessant de croire en Lui. Si tu es entré dans certains aspects de la vérité de l’accomplissement du devoir – c’est la plus fondamentale des vérités – cela prouve que tu es déjà connecté à la vérité ; tu es déjà connecté à la vérité-réalité et tu y es entré. Si tu n’as rien de cette vérité-réalité, pas même un petit élément, cela prouve que la vérité n’a pas encore pris racine dans ton cœur.

Je viens d’échanger sur ce qu’est le devoir, ainsi que sur les origines du devoir et ce qui le génère, afin de permettre aux gens de comprendre ce qu’est exactement le devoir. Quels avantages y a-t-il à savoir cela ? Une fois que les gens auront compris la vérité sur ce qu’est le devoir, ils en connaîtront l’importance. À tout le moins, au plus profond d’eux-mêmes, ils sentiront qu’ils doivent avoir une attitude correcte à l’égard du devoir et qu’ils ne peuvent pas agir de manière arbitraire. Au moins, ce concept sera présent dans leur esprit. Bien que le devoir soit ce que tu dois accomplir et qu’il s’agisse du mandat et de la mission que Dieu t’a confiés, ce n’est pas ton affaire personnelle ni ton propre travail. Cela peut paraître contradictoire, mais c’est bien la vérité. Tout ce qui est la vérité a son aspect pratique, lié à la pratique et à l’entrée des gens, ainsi qu’aux exigences de Dieu. Ce n’est pas vide. C’est ainsi qu’est la vérité ; ce n’est qu’en faisant l’expérience de cette vérité et en entrant dans sa réalité que tu pourras comprendre de mieux en mieux cet aspect de la vérité. Si tu remets toujours la vérité en question, que tu soulèves continuellement des doutes et que tu continues à la scruter et à l’analyser, alors la vérité ne sera jamais la vérité pour toi. Elle sera sans lien avec ta vie réelle et elle ne pourra rien changer chez toi. Si quelqu’un accepte la vérité du plus profond de son cœur et la prend comme un guide pour vivre et agir, comme un guide pour se comporter et croire en Dieu, alors la vérité changera sa vie. Elle changera ses objectifs de vie, la direction de sa vie et sa façon d’interagir avec le monde. Tel est l’effet de la vérité. Comprendre ce qu’est le devoir sera certainement d’un grand bénéfice et d’une grande aide pour les gens dans l’accomplissement de leur devoir. À tout le moins, les gens sauront que le devoir est très important pour tous ceux qui croient en Dieu et qu’il est encore plus important pour ceux qui sont intéressés ou qui ont des exigences ou des aspirations spécifiques à être sauvés et perfectionnés. C’est la vérité la plus fondamentale que tout le monde devrait comprendre pour être sauvé et c’est aussi la vérité la plus fondamentale dans laquelle il faut entrer. Si tu ne comprends pas ce qu’est le devoir, tu ne sauras pas comment remplir ton devoir correctement et tu ne sauras pas non plus avec quelle attitude tu dois accepter et considérer ton devoir. Cela est dangereux – d’une part, tu ne pourras pas mener ton devoir à bien correctement, et tu agiras de manière arbitraire et superficielle ; d’autre part, tu pourrais faire des choses qui interrompent et perturbent le travail de l’Église, ou même commettre des actes malfaisants qui violent les décrets administratifs de Dieu. Pour le dire de manière un peu plus conservatrice, tu pourrais être mis à part pour réfléchir, et dans les cas les plus graves, tu pourrais être éliminé. Par conséquent, comprendre ce qu’est le devoir, bien qu’il s’agisse d’un aspect très basique de la vérité, est lié au salut d’une personne ; ce n’est pas hors de propos – c’est très important. Après avoir compris ce qu’est le devoir, qu’il ne s’agit pas seulement de bien connaître une doctrine, le résultat visé est de permettre aux gens de comprendre les intentions de Dieu et de traiter leur devoir avec l’attitude correcte. Lorsqu’on accomplit n’importe quel devoir, aucun résultat ne peut être obtenu par un simple effort ; le fait de toujours penser que le devoir peut être correctement accompli par de simples efforts témoigne d’un manque de compréhension spirituelle. En réalité, l’accomplissement du devoir implique de nombreux détails, y compris avoir le bon état d’esprit, avoir des principes de pratique et une soumission sincère, ainsi que posséder une sagesse spirituelle. Ce n’est que lorsque quelqu’un possède ces aspects de la vérité qu’il peut bien accomplir ses devoirs et résoudre pleinement le problème qui consiste à accomplir son devoir de manière superficielle. Ceux qui n’ont pas la bonne attitude envers leurs devoirs sont des personnes dépourvues de vérité-réalité ; ce sont des personnes qui n’ont pas un cœur qui craint Dieu et qui sont dépourvues de conscience et de raison. Ainsi, pour suivre Dieu, il faut comprendre ce que signifie accomplir son devoir ; cela est crucial pour suivre Dieu.

Après avoir compris ce qu’est le devoir et ses origines, tu feras la différence entre la nature du devoir et la nature du travail dans la société. Qu’est-ce qui fait la distinction entre traiter le travail que la maison de Dieu te confie comme un devoir et le traiter comme un travail mondain ? Si tu le traites comme un devoir, tu dois chercher les intentions de Dieu et la vérité. Tu diras : « C’est mon devoir, alors comment dois-je m’y prendre ? Que demande Dieu ? Quels sont les règlements de l’Église ? J’ai besoin d’être au clair sur les principes qui sous-tendent tout cela. » Ce n’est qu’en pratiquant de cette manière que tu adoptes une attitude correcte à l’égard de ton devoir ; c’est la seule attitude que les gens devraient avoir à l’égard de leur devoir. Mais quel genre d’attitude les gens devraient-ils avoir lorsqu’ils gèrent des travaux mondains ou des questions concernant leur vie personnelle ? Est-il alors nécessaire de rechercher la vérité ou les principes ? Tu peux aussi rechercher des principes, mais il ne s’agirait que de gagner plus d’argent, de mener une bonne vie, d’accumuler des richesses, d’atteindre le succès et d’obtenir à la fois la gloire et le profit – il ne s’agirait que de ce genre de principes. Ces principes sont entièrement mondains, ils appartiennent aux tendances actuelles ; ce sont les principes de Satan et de cette humanité malveillante. Quels sont les principes de l’accomplissement du devoir ? Ils doivent absolument répondre aux exigences de Dieu ; ils sont intimement liés à la vérité et aux exigences de Dieu et ils en sont inséparables. En revanche, les professions ou les emplois que les gens exercent dans le monde n’ont rien à voir avec la vérité ou les exigences de Dieu. Tant que tu es compétent, prêt à endurer des épreuves, que tu es suffisamment diligent, malfaisant et audacieux, tu peux te distinguer au sein de la société et même bâtir une grande carrière. Cependant, ces principes et philosophies ne sont pas nécessaires dans la maison de Dieu. Dans la maison de Dieu, quel que soit le type de devoir que tu accomplis, quelle que soit la nature de ce devoir, qu’il soit considéré comme élevé ou mineur, noble ou humble, qu’il soit très en vue ou discret, qu’il te soit confié par Dieu ou qu’il te soit assigné par un responsable d’Église – quel que soit le travail que la maison de Dieu t’assigne, les principes auxquels tu adhères dans l’accomplissement de ton travail ne doivent pas dépasser les principes de la vérité. Ils doivent être liés à la vérité, liés aux exigences de Dieu, aux règlements et aux modalités de travail de la maison de Dieu. En bref, le devoir et le travail que l’on fait dans le monde doivent être distingués l’un de l’autre.

Pourquoi sommes-nous en train d’échanger sur la différence entre l’accomplissement d’un devoir et l’engagement dans un travail mondain ? Est-ce important ? (Oui.) En quoi est-ce important ? C’est en lien avec l’attitude que les gens adoptent pour accomplir leur devoir. N’utilise pas les attitudes et les principes que tu as dans ton travail mondain quand il s’agit d’accomplir ton devoir. Quelles sont les conséquences si tu le fais ? (Agir selon ses propres désirs.) Agir selon ses propres désirs est un problème courant ; cela signifie ne pas vouloir consulter les autres dans l’accomplissement des tâches, vouloir avoir le dernier mot et faire ce que l’on veut, en pensant que cette façon d’agir apporte réconfort et satisfaction, sans aucun sentiment d’oppression ou de malheur. En outre, cela conduit souvent à des intrigues, à de la jalousie, à des disputes et à la formation de clans, ainsi qu’à la recherche de récompenses et de reconnaissance, à faire le m’as-tu-vu, à la négligence, à l’irresponsabilité, à la tromperie de ceux qui sont au-dessus et en dessous de nous, et à l’établissement de notre propre royaume. En bref, accomplir son devoir est différent de travailler dans le monde ; l’accomplissement du devoir est une exigence de Dieu et un arrangement de Dieu – c’est la plus grande différence entre l’accomplissement du devoir et le travail mondain. L’accomplissement du devoir doit être fait selon les exigences de Dieu et basé sur les vérités-principes. Ce n’est pas la gestion personnelle de quelqu’un ni ses affaires personnelles, et ce n’est certainement pas l’affaire privée de quiconque. Cela n’a aucun rapport avec les intérêts personnels, l’orgueil, le statut, l’influence ou les perspectives d’avenir ; ça ne concerne que l’entrée dans la vie des gens et le changement de tempérament, et cela est lié à l’œuvre de gestion de Dieu. En revanche, lorsque tu t’engages dans un travail mondain, tu es entièrement concentré sur ta gestion personnelle. Que tu accomplisses un travail ou que tu gères une entreprise, quel que soit le prix que tu payes, ce que tu dois abandonner, la souffrance que tu endures – qu’il s’agisse d’aspects émotionnels ou physiques – ou combien tu es intimidé et humilié ou incompris, ou même si tu subis une énorme pression publique, tout ce que tu fais tourne autour de ta volonté personnelle, de tes aspirations, de tes ambitions et de tes désirs. Il ne s’agit que de cette nature. Cette nature consiste simplement à s’engager dans une gestion personnelle et à diriger une entreprise personnelle. Au sein de l’humanité, il n’y a pas une seule personne qui s’avance pour dire : « Je rends un service public pour le bien de l’humanité ; je veux agir selon les voies et les principes donnés par le Ciel. » Il n’y a personne comme cela. Même si quelqu’un s’avance pour dire : « Je veux réaliser la plus altruiste et la plus grande des entreprises pour l’humanité, créer du bien-être et faire de bonnes actions pour les gens », son but n’est pas si pur ; il le fait pour obtenir la gloire. N’est-ce pas s’engager dans de la gestion personnelle ? C’est une question de gestion personnelle. Quel que soit le niveau de ses paroles, quelle que soit la souffrance qu’il a endurée, quel que soit le prix qu’il a payé, quelle que soit l’importance de sa contribution, qu’il ait changé l’humanité, transformé une époque ou inauguré une nouvelle ère, quoi qu’il fasse, il ne le fait pas pour les autres, mais pour lui-même. Les êtres humains corrompus agissent tous de cette façon. Que quelqu’un fasse quelque chose de grand ou de petit, son but est soit la célébrité, soit le profit. Quelle est la nature de ses actions ? Il s’engage dans de la gestion personnelle. La gestion personnelle a-t-elle quelque chose à voir avec la gestion de Dieu ? Elle n’a aucun rapport. Certains disent : « Ce n’est pas vrai. Certaines personnes viennent dans ce monde et changent une époque ; n’est-ce pas aussi préétabli par Dieu ? Cela n’a-t-il pas aussi à voir avec Sa gestion ? » Ces choses sont-elles liées ? (Non.) Pourquoi dites-vous qu’il n’y a pas de lien ? (Parce que cela n’a rien à voir avec l’œuvre de gestion de Dieu qui consiste à sauver l’humanité.) Bien dit ; si cela n’a rien à voir avec l’œuvre de Dieu pour sauver l’humanité, alors c’est sans rapport avec la gestion de Dieu. Cependant, cette affirmation n’est qu’à moitié vraie ; il y a une autre condition préalable ici, une question d’essence. Si c’est sans rapport avec le plan de gestion de Dieu, alors ce n’est que de la gestion humaine. C’est un des aspects, mais permettez-Moi d’ajouter quelque chose pour vous : la nature de ce que font ces gens est dirigée vers la gloire et le bénéfice personnels ; le bénéficiaire ultime, c’est eux-mêmes. La nature, les principes et le résultat final de tout ce qu’ils font sont dirigés vers qui ? (Eux-mêmes.) C’est pour eux-mêmes et, dans un sens plus caché, pour qui est-ce ? (Satan.) C’est exact, c’est pour Satan. Lorsque l’on fait des choses pour Satan, quelle en est la nature ? (Cela signifie qu’on est un ennemi de Dieu.) Et quelle est l’essence sous-jacente derrière le fait d’être un ennemi de Dieu ? Pourquoi disons-nous qu’il s’agit d’être un ennemi de Dieu ? (Le point de départ, l’origine et les principes de leurs actions vont tous à l’encontre des paroles de Dieu.) C’est l’un des aspects et c’est une question fondamentale. Le point de départ, l’origine et les principes de ce qu’ils font viennent tous de Satan et sont malfaisants, alors quel est le résultat final ? À qui rendent-ils témoignage ? (À Satan.) C’est exact, ils portent témoignage à Satan. Tout au long de l’histoire de l’humanité, y a-t-il eu un historien ou un écrivain qui ait attribué au Créateur les réalisations de l’homme à chaque époque ? (Non.) Ils diront seulement qu’il s’agit d’héritage ou de grandes réalisations laissées par les grandes entreprises humaines. Que représentent aux yeux de l’humanité ces personnes éminentes et ces personnages célèbres qui ont laissé ces héritages derrière eux ? Tout personnage célèbre ou toute personne éminente, ou ceux qui ont apporté des contributions importantes à l’humanité, sont adorés par les humains corrompus. La place qu’ils occupent dans le cœur des gens est la place que les gens considèrent comme la position de Dieu. N’est-ce pas là l’essence du problème ? (Si.) Nous venons de discuter du fait que les origines, les motifs, les points de départ et les principes qui sous-tendent les actions des gens sont tous enracinés dans la logique satanique et ne sont pas conformes à la vérité. Les gens accomplissent quelque chose par des moyens humains ou grâce à leurs dons et deviennent célèbres, et la conséquence ultime, c’est que l’humanité attribue tout cela à Satan ; de la même manière que de nombreuses personnes aujourd’hui vénèrent des personnes célèbres et de grands personnages de l’histoire tels que Confucius et Guan Yu. Quelle que soit la grandeur des actes accomplis par ces personnes, fondamentalement, c’est en fait Dieu qui a fait en sorte que ces divers personnages apparaissent dans ce monde et accomplissent des actes spécifiques à différentes époques. Cependant, dans toute l’histoire écrite de l’humanité, qu’il s’agisse de l’histoire ancienne ou moderne, il n’y a pas un seul exemple de quelqu’un qui porte témoignage aux actes du Créateur. Seule la Bible rapporte quelques éléments des deux étapes de l’œuvre de Dieu, l’ère de la Loi et l’ère de la Grâce, mais même les paroles de Dieu qui y sont rapportées sont assez limitées. En réalité, Dieu a prononcé de nombreuses paroles et accompli de nombreux actes, mais ce qui a été rapporté par les humains est extrêmement limité. En revanche, il existe d’innombrables livres qui rapportent, témoignent ou font l’éloge de personnes célèbres et d’éminents personnages. Cela ne clarifie-t-il pas l’essence de la question que nous venons d’aborder ? Nous venons de mentionner que les personnes célèbres et les personnages éminents de l’histoire ont agi pour eux-mêmes ; en réalité, ils ont agi pour Satan. Cela montre qu’ils n’accomplissaient pas leurs devoirs, mais qu’ils menaient leur propre gestion des choses ou s’engageaient dans leurs propres entreprises. Quelle est la nature, l’essence de tout travail que les gens entreprennent dans le monde ? (S’engager dans une gestion personnelle.) Pourquoi considère-t-on que c’est s’engager dans une gestion personnelle ? Quelle en est la cause profonde ? Parce que c’est à Satan qu’ils rendent témoignage ; leurs principes et leurs motivations pour agir viennent tous de Satan et n’ont rien à voir avec la vérité ou les exigences de Dieu. Mais quelle est la nature du devoir ? Il s’agit d’un travail effectué selon les exigences de Dieu, ce qui signifie que le travail doit être fondé sur la vérité, mené selon les vérités-principes et effectué conformément aux exigences de Dieu. Le résultat est que les gens peuvent témoigner de Dieu, se soumettre à Dieu et Le connaître ; ils ont une compréhension plus profonde et une soumission plus authentique au Créateur, et plus encore ils peuvent faire ce que les êtres créés devraient faire. C’est la plus grande différence entre les deux. Lorsque les gens acceptent de faire leurs devoirs selon les exigences de Dieu, leur relation avec Dieu devient de plus en plus normale. Est-ce qu’un quelconque travail que les gens entreprennent dans le monde peut avoir cet effet ? Sûrement pas, le résultat est exactement inverse. Plus on passe d’années à travailler dans le monde, plus on se rebelle contre Dieu et plus on s’éloigne de Lui. Plus on a une bonne gestion personnelle, plus on s’éloigne de Dieu ; plus notre gestion personnelle est réussie, plus on s’éloigne des exigences de Dieu. C’est pourquoi l’accomplissement du devoir et l’engagement dans le travail mondain ont deux natures totalement différentes.

À l’instant, nous avons discuté de la différence entre une personne qui fait son devoir et une personne qui s’engage dans un travail mondain. Quel aspect de la vérité cette discussion doit-elle aider à comprendre ? Quel que soit le devoir qui t’est confié, tu dois l’accomplir comme Dieu le demande. Par exemple, lorsque tu es choisi comme dirigeant d’une Église, ton devoir est d’accomplir le travail d’un dirigeant d’Église. Et que dois-tu faire une fois que tu as accepté ce travail comme étant ton devoir ? Tout d’abord, sache que seule la réalisation de ton travail en tant que dirigeant constitue l’accomplissement de ton devoir. Tu ne sers pas comme le ferait un fonctionnaire dans le monde extérieur ; si tu deviens un dirigeant et que tu te considères ensuite comme un fonctionnaire, tu t’es égaré. Mais si tu dis : « Maintenant que je suis devenu un dirigeant d’Église, je ne dois pas être condescendant, je dois me mettre en dessous de tous les autres, je dois les élever au-dessus de moi et les rendre plus importants que moi », alors cette mentalité est également erronée ; il est inutile de faire semblant si tu ne comprends pas la vérité. Rien d’autre qu’une bonne compréhension de ton devoir ne peut suffire. Tout d’abord, tu dois comprendre l’importance du travail d’un dirigeant d’Église : une Église peut avoir plusieurs dizaines de membres, et tu dois penser à la manière de diriger ces personnes devant Dieu, à la manière de permettre à la plupart d’entre elles de comprendre la vérité et d’entrer dans la vérité-réalité. Tu dois également passer plus de temps à abreuver et à soutenir ceux qui sont négatifs et faibles, pour les empêcher d’être négatifs et faibles et leur permettre d’accomplir leur devoir. Tu dois aussi aider tous ceux qui sont capables d’accomplir leur devoir à comprendre la vérité et à entrer dans la réalité, à agir selon les principes et à accomplir leur devoir correctement et donc de manière plus efficace. Il y a certaines personnes qui croient en Dieu depuis plusieurs années, mais qui sont d’une humanité assez malfaisante, qui interrompent et perturbent toujours le travail de l’Église – ces personnes devraient être émondées comme il se doit ; celles qui refusent obstinément de se repentir devraient être exclues. Elles devraient être gérées selon les principes et organisées correctement. Il y a aussi la chose la plus importante de toutes : certaines personnes dans l’Église possèdent une relativement bonne humanité et un peu de calibre, elles sont capables d’assumer un certain aspect du travail ; toutes ces personnes doivent être soutenues sans délai, le plus tôt possible ; il faudra les former pour qu’elles deviennent compétentes et elles ne pourront rien faire de bien si elles ne reçoivent jamais de formation. Ne sont-ce pas là les tâches qu’un dirigeant ou un ouvrier doit bien accomplir de toute urgence ? Si tu es devenu un dirigeant et que tu ne gardes pas ces questions à l’esprit, et que tu n’accomplis pas le travail de cette manière, peux-tu bien remplir ton devoir ? (Non.) En tant que dirigeant, il est essentiel de trier chaque aspect du travail de l’Église : tout d’abord, le plus important est de former des personnes talentueuses. Promouvoir ceux qui ont une bonne humanité et qui ont du calibre, les former et les entraîner. Deuxièmement, il faut amener les frères et sœurs à entrer dans la vérité-réalité et leur permettre de s’engager dans la réflexion sur eux-mêmes, de se connaître eux-mêmes, de discerner les hérésies et les faussetés, de discerner les gens, et de bien remplir leurs devoirs – cela fait partie de l’entrée dans la vie. Troisièmement, il faut permettre à la majorité de ceux qui peuvent accomplir leurs devoirs de le faire (en excluant ceux qui ont une humanité inférieure) et s’assurer qu’ils obtiennent des résultats dans l’accomplissement de leurs devoirs plutôt que de se contenter d’agir de manière négligente. Quatrièmement, il faut gérer promptement ceux qui interrompent et perturbent le travail de l’Église. S’ils rejettent la vérité malgré l’échange, ils doivent être émondés. S’ils restent impénitents pendant tout ce temps, ils doivent être isolés pour réfléchir et même exclus ou expulsés. Cinquièmement, il faut permettre au peuple élu de Dieu de discerner ceux qui sont des incrédules, de faux dirigeants et des antéchrists, pour s’assurer qu’il ne soit pas induit en erreur et qu’il puisse emprunter le chemin correct de croyance en Dieu le plus tôt possible. Les cinq points ci-dessus sont importants et constituent les tâches inhérentes au travail de dirigeant. Remplir ces cinq aspects du travail est ce qui fait de quelqu’un un dirigeant d’Église qualifié. En outre, les circonstances particulières doivent également être gérées correctement. Par exemple, la négativité et la faiblesse de certaines personnes peuvent être temporaires et il faut que tu les traites de manière appropriée. Tu ne peux pas porter de jugements à l’emporte-pièce ; si une personne est temporairement négative et que tu lui attribues l’étiquette de « personne négative » ou la qualifies de « négative chronique » et que tu dis que Dieu ne veut plus d’elle, ce n’est pas approprié. En outre, chacun doit remplir son propre rôle et contribuer selon ses capacités. L’organisation en ce qui concerne l’accomplissement du devoir devrait être faite de manière appropriée en se basant sur les dons, les talents, le calibre et l’âge de chacun, ainsi que le temps depuis lequel la personne croit en Dieu. Cette approche doit être adaptée aux différents types de personnes, afin de leur permettre d’accomplir leurs tâches dans la maison de Dieu et de maximiser leur fonctionnement. Si tu gardes ces considérations à l’esprit, tu développeras un fardeau et tu devras toujours te concentrer sur l’observation. L’observation de quoi ? Pas de celui qui est beau pour que tu puisses interagir davantage avec lui ; pas de celui que tu trouves laid pour pouvoir l’exclure ; pas de celui qui semble avoir des capacités et un statut pour que tu puisses t’attirer ses faveurs ; et certainement pas de celui qui ne se prosterne pas devant toi pour que tu puisses essayer de le punir. Rien de tout cela. Alors que devrais-tu observer ? Tu dois évaluer les gens en te basant sur les paroles de Dieu, sur Ses attitudes et Ses exigences à l’égard de divers types de personnes, et les traiter en te basant sur des principes ; cela est conforme à la vérité. Premièrement, classe tous les types de personnes dans l’Église : ceux qui ont un bon calibre et une capacité à accepter la vérité forment une catégorie, ceux qui ont un mauvais calibre et une incapacité à accepter la vérité en forment une autre, ceux qui peuvent accomplir leurs devoirs encore une autre et ceux qui ne le peuvent pas dans une autre catégorie encore. Enfin, ces incrédules qui se plaignent, répandent des notions, se laissent aller à la négativité et causent des perturbations en permanence devraient également être placés dans la même catégorie. Une fois que tu as classé tout le monde et que tu as bien discerné l’état réel de chaque groupe selon les paroles de Dieu, voyant clairement qui peut être sauvé et qui ne peut pas l’être, alors tu pourras voir clairement toutes sortes de personnes ; tu comprendras les intentions de Dieu et tu sauras qui Dieu veut sauver et qui Il veut éliminer. Tout cela n’émerge-t-il pas de ton fardeau ? N’est-ce pas là l’attitude correcte à adopter face au devoir ? Si tu possèdes cette attitude correcte et qu’un fardeau naît en toi, alors tu peux bien effectuer ton travail. Si tu ne traites pas tes devoirs de cette manière et que tu considères plutôt l’accomplissement de tes devoirs comme si tu étais dans une position de fonctionnaire, en pensant toujours : « Être un dirigeant, c’est comme être fonctionnaire ; c’est une bénédiction de Dieu ! Maintenant que j’ai un statut, les gens sont obligés de m’écouter et c’est une bonne chose ! » – si tu penses qu’être un dirigeant est la même chose qu’être un fonctionnaire, alors tu es dans le pétrin. Tu dirigeras certainement à la manière d’un fonctionnaire et en te basant sur la façon dont les fonctionnaires travaillent ; peux-tu accomplir le travail de l’Église correctement ainsi ? Avec un tel point de vue, tu seras sans aucun doute révélé et éliminé. Tu t’imaginerais toujours comme un fonctionnaire, entouré de gens partout où tu vas, et les gens se conformeraient à tout ce que tu dis. De plus, tu aurais la primeur de tous les avantages dans l’Église. Quel que soit le travail de l’Église, tu n’aurais qu’à donner des ordres sans rien à faire toi-même. De quel état d’esprit s’agit-il là ? N’est-ce pas se complaire dans les avantages d’un statut ? N’est-ce pas un tempérament corrompu ? Tous ceux qui ne poursuivent pas la vérité accomplissent leurs devoirs avec un tempérament satanique. De nombreux dirigeants et ouvriers ont été révélés et éliminés parce qu’ils accomplissaient toujours leurs devoirs avec un tempérament satanique, sans accepter ne serait-ce qu’un soupçon de vérité. Actuellement, certains dirigeants se comportent encore ainsi. Après être devenus dirigeants, ils se sentent un peu euphoriques à l’intérieur et font preuve d’un peu d’autosatisfaction. Il est difficile de décrire ce sentiment, mais quoi qu’il en soit, ils pensent s’être bien débrouillés. Cependant, ils se disent ensuite : « Je ne peux pas être présomptueux. Être présomptueux est un signe d’arrogance, et l’arrogance est un signe annonciateur de l’échec. Je devrais être discret. » En apparence, ils se font discrets et disent à tout le monde qu’il s’agit d’une élévation et d’un mandat venus de Dieu, qu’ils n’ont pas d’autre choix que de le faire. Cependant, intérieurement, ils se réjouissent en secret : « Enfin, j’ai été choisi. Qui a dit que mon calibre n’était pas bon ? Si mon calibre n’était pas bon, comment aurais-je pu être choisi ? Pourquoi n’a-t-on pas choisi quelqu’un d’autre ? On dirait que j’ai des avantages sur les autres. » Lorsque ce devoir leur tombe dessus, c’est ce qu’ils pensent d’abord dans leur cœur. Ils ne se demandent pas : « Maintenant que ce devoir m’incombe, comment dois-je m’en acquitter ? Qui a fait du bon travail dans le passé dont je devrais m’inspirer ? Quelles sont les exigences de Dieu pour accomplir ce devoir ? Existe-t-il de telles exigences dans l’arrangement du travail de l’Église ? Je ne me suis jamais préoccupé de ces aspects du travail de l’Église, mais maintenant que j’ai été choisi pour être un dirigeant, que dois-je faire ? » En fait, tant que tu as la détermination et que tu peux chercher la vérité, il y a un chemin. Si tu traites le travail comme ton devoir, il sera facile de bien le faire. Certaines personnes deviennent des dirigeants et disent : « Ces gens me sont maintenant confiés ? C’est à moi de décider comment ils se réunissent et quel travail est organisé pour eux. Oh là, je sens un poids peser lourdement sur mon cœur en cet instant. » Que signifient ces mots ? C’est comme s’ils pouvaient accomplir de grandes choses ; ce ne sont que des paroles vides et des doctrines. Ce genre de personne n’est-il pas un peu hypocrite ? L’un d’entre vous a-t-il déjà tenu de tels propos ? (Oui.) Alors vous êtes tous plutôt hypocrites. Cependant, un tel comportement est normal pour les gens. Même ceux qui deviennent des fonctionnaires mineurs doivent se mettre un peu en avant. Ils ont soudainement l’impression que leur valeur personnelle a augmenté et, dès qu’ils atteignent un certain statut, la célébrité et le profit, leur cœur est renversé comme par des vagues déferlantes et c’est comme s’ils devenaient une personne différente. Leurs tempéraments corrompus et leurs désirs extravagants émergent tous. Tout le monde a ces comportements négatifs et passifs. C’est un point commun à toute l’humanité corrompue. Quiconque est un être humain corrompu agit ainsi. Certaines personnes, après être devenues dirigeantes, ne sont plus sûres de la façon dont elles doivent marcher ; certaines ne sont pas sûres de la façon dont elles doivent parler aux gens. Bien sûr, ce n’est pas à cause de la timidité qu’elles ne sont pas sûres de la façon dont elles doivent parler, mais plutôt par incertitude sur la façon dont un dirigeant doit se conduire. D’autres personnes, après être devenues dirigeantes, ne sont pas sûres de ce qu’elles doivent manger ou porter. Il existe toutes sortes de comportements. Est-ce que l’un d’entre vous présente ces comportements ? À des degrés divers, c’est certainement le cas pour vous tous. Alors combien de temps faudra-t-il pour dépasser ces états et ces comportements ? Un ou deux ans, trois ou cinq ans, ou dix ans ? Cela dépend de la détermination de chacun à poursuivre la vérité et du degré de poursuite de la vérité.

Dans le processus de poursuite de la vérité, la compréhension de la vérité par certaines personnes est directement proportionnelle à leur entrée ; les deux sont équivalentes. Ces personnes peuvent entrer dans la vérité autant qu’elles sont capables de la comprendre ; la profondeur de leur compréhension de la vérité est aussi la profondeur de leur entrée, ainsi que la profondeur de leur compréhension, de leurs sentiments et de leurs expériences. Cependant, certaines personnes comprennent beaucoup de doctrines, mais leur pratique et leur entrée sont nulles. Par conséquent, peu importe le nombre de sermons qu’elles ont écoutés, elles ne sont jamais capables de résoudre leurs difficultés intérieures. Lorsqu’elles sont confrontées à un petit problème, leur vilain côté ressort immédiatement et elles ne peuvent pas le contrôler, peu importe leurs efforts ; peu importe comment elles le déguisent, leur corruption se révèle tout de même. Elles restent incapables d’accepter la vérité ou de chercher la vérité pour trouver des solutions. Elles apprennent même à faire semblant, à se montrer malhonnêtes et à faire semblant d’être bonnes. Pendant tout ce temps, elles ne se débarrassent pas de leurs tempéraments corrompus et ne changent pas ; c’est le résultat de l’absence de poursuite de la vérité. Ainsi, en fin de compte, tout revient à cette même phrase : la poursuite de la vérité est très importante. Il en va de même pour l’accomplissement de ses devoirs. Quel que soit le devoir qui t’est confié, quel que soit le devoir qui t’incombe, qu’il s’agisse d’un devoir qui implique une grande responsabilité ou d’un devoir plus simple, ou même s’il n’est pas très important, si tu es capable de poursuivre la vérité et de traiter ce devoir selon les vérités-principes, alors tu seras capable de bien remplir ton devoir. De plus, au cours de l’accomplissement de tes devoirs, tu feras l’expérience de divers degrés de croissance, aussi bien dans ton entrée dans la vie et en termes de changement de tempérament. Cependant, si tu ne poursuis pas la vérité et que tu traites ton devoir comme faisant partie de ta propre gestion, de ta propre tâche, ou que tu le considères comme ta propre préférence ou ton travail personnel, alors tu auras des ennuis. Traiter ton devoir comme ta propre affaire et le traiter selon les vérités-principes sont deux choses différentes. Lorsque tu traites ton devoir comme faisant partie de ta propre gestion, que poursuis-tu ? Tu poursuis la gloire, le profit et le statut, en attendant des autres qu’ils répondent à tes exigences. Quel sera le résultat final de l’accomplissement de ton devoir si tu le fais de cette manière ? D’une part, accomplir ton devoir de cette manière ne répondra pas à la norme ; cela équivaut à fournir un effort futile. Même si tu as déployé de grands efforts en apparence, tu n’as pas cherché la vérité, de sorte que les fruits de ton devoir seront médiocres et Dieu ne sera pas satisfait. D’autre part, tu commettras souvent des transgressions, tu interrompras et perturberas souvent, et tu feras souvent des erreurs qui entraîneront des conséquences négatives. Aujourd’hui, beaucoup de gens sont loin d’accomplir leurs devoirs. Ils agissent avec obstination et de manière arbitraire, n’obtenant pratiquement aucun résultat et causant même parfois des pertes pour le travail de l’Église. Accomplir son devoir de cette manière, c’est vraiment interrompre et perturber le travail de l’Église ; c’est le comportement d’une personne franchement malfaisante. Ceux qui s’acquittent régulièrement de leur devoir de façon négligente doivent être exposés, afin qu’ils puissent réfléchir sur eux-mêmes. S’ils peuvent vraiment réfléchir, reconnaître leurs erreurs et se haïr, ils peuvent rester et continuer à accomplir leurs devoirs. Cependant, s’ils n’admettent jamais leurs erreurs et continuent à se défendre et à se justifier, prétendant qu’il n’y a pas d’amour dans la maison de Dieu et qu’ils sont traités de manière injuste, alors c’est le signe d’une impénitence obstinée et ils devraient être exclus de l’Église. Quelle est la cause profonde des interruptions et des perturbations causées par ces personnes ? Est-ce parce qu’elles ont intentionnellement planifié d’interrompre et de perturber ? Non, la raison principale, c’est qu’elles n’ont aucun amour pour la vérité et que leur humanité est très mauvaise. Certains de ces individus ont un peu de calibre et peuvent comprendre la vérité, mais ils n’acceptent pas la vérité le moins du monde, sans parler de la mettre en pratique. Leur humanité est extrêmement vile. Quel que soit le devoir qu’ils accomplissent, ils causent toujours des interruptions et des perturbations, ruinant le travail de l’Église et provoquant de nombreux résultats malfaisants avec une horrible influence. Il ne fait aucun doute que ces gens sont des incrédules et que ce sont tous des personnes malfaisantes. C’est principalement pour cette raison qu’ils sont éliminés. Maintenant, la plupart des gens peuvent percevoir les incrédules. Lorsqu’ils voient les divers comportements de ces individus, ils se sentent en colère. Comment ces gens pourraient-ils être considérés comme des croyants en Dieu ? Ce sont des laquais de Satan, envoyés pour interrompre et perturber le travail de l’Église. Certains sont de purs pique-assiettes, appartenant à la catégorie de ceux qui aiment la facilité et détestent le travail ; ils ne veulent faire aucun travail, mais veulent quand même bien manger tous les jours. Ne sont-ils pas des parasites ? Ils sont même inférieurs à des chiens de garde. Ces gens ont donc été éliminés. Les gens qui croient vraiment en Dieu sont tous des gens qui sont prêts à accomplir leur devoir et désireux de le faire. Bien que la plupart des gens ne sachent pas ce que signifie réellement le devoir, ils savent à minima dans leur cœur que les gens doivent accomplir leur devoir et ils ont la volonté de le faire. Mais le fait d’être prêt à accomplir son devoir signifie-t-il que l’on pratique la vérité ? Cette volonté interne signifie-t-elle que l’on a bien rempli son devoir ? Absolument pas. Il faut mettre la vérité en pratique et satisfaire à la norme qui consiste à agir selon les principes pour être considéré comme ayant bien rempli ses devoirs. Avant d’avoir mis la vérité en pratique, peu importe la foi que tu prétends avoir, ou l’enthousiasme et la volonté que tu dis avoir – être capable de risquer sa vie, ne pas hésiter à passer par le feu et l’eau – ce ne sont que des slogans qui ne servent à rien. En te basant sur cette volonté, tu dois agir également selon les vérités-principes. Tu dis : « Je n’aime pas particulièrement la vérité, je ne la poursuis pas non plus et je n’ai pas beaucoup changé de tempérament en accomplissant mes devoirs. Mais il y a une chose à laquelle je me suis attaché : je fais tout ce qu’on me dit de faire. Je ne cause pas d’interruptions et de perturbations ; je ne suis peut-être pas capable d’arriver à la soumission, mais j’écoute. » Une personne capable de faire cela ne pourrait-elle pas rester dans l’Église et accomplir ses devoirs normalement ? Mais ces personnes malfaisantes et ces incrédules qui ont été exclus ne pouvaient même pas satisfaire les exigences, même les plus basses, et ils créaient même des perturbations. Ces incrédules et ces personnes malfaisantes ne devraient pas être autorisés à rester dans l’Église pour y accomplir leurs devoirs. Le peuple élu de Dieu doit reconnaître les incrédules et les personnes malfaisantes, sinon ils l’induiront facilement en erreur. Toute personne dotée d’une conscience et d’une raison devrait adopter une attitude de rejet à l’égard des incrédules et des personnes malveillantes.

L’accomplissement des devoirs est l’aspect le plus crucial de la foi en Dieu. Il faut d’abord comprendre ce qu’est le devoir, puis en acquérir progressivement une expérience et une compréhension authentiques. Quelle est l’attitude minimale qu’une personne doit avoir vis-à-vis de son devoir ? Si tu dis : « La maison de Dieu m’a confié ce devoir, il m’appartient donc. Je peux faire comme je veux, car c’est mon affaire et personne ne peut s’en mêler », est-ce une attitude acceptable ? Absolument pas. Si c’est ton attitude pendant que tu accomplis ton devoir, tu vas avoir des ennuis, parce que ton attitude n’est pas conforme aux vérités-principes. Ton attitude consiste à faire ce que tu veux plutôt que de chercher la vérité, sans même parler d’avoir un cœur qui craint Dieu. Si une personne est trop capricieuse, elle négligera quelque peu son vrai travail pendant qu’elle accomplit son devoir. Quelle attitude une personne doit-elle avoir lorsqu’elle accomplit son devoir ? Elle doit avoir le désir de se soumettre à Dieu et de Le satisfaire. Si elle ne va pas au bout du mandat que Dieu lui a confié, elle a le sentiment d’avoir déçu Dieu ; et si elle n’a pas accompli son devoir correctement, elle estime qu’elle n’est pas digne d’être appelée un être humain. Avoir ce genre d’attitude en accomplissant ton devoir te rend loyal. Pour bien accomplir ton devoir, tu dois d’abord savoir ce que Dieu exige, rechercher la vérité et les principes. Une fois que tu t’es assuré que le mandat que Dieu t’a confié est ton devoir, tu dois chercher en pensant : « Comment puis-je bien accomplir mon devoir ? Quelles vérités-principes dois-je mettre en pratique ? Qu’est-ce que Dieu exige des hommes ? Quel travail dois-je faire ? Comment dois-je agir pour m’acquitter de mes responsabilités et être loyal ? » Envers qui es-tu loyal ? Envers Dieu. Tu dois être loyal envers Dieu et assumer tes responsabilités envers les gens. Tu dois accomplir ton devoir selon les paroles de Dieu et les vérités-principes, et tenir fermement à ton devoir. Qu’est-ce que cela signifie de tenir fermement à son devoir ? Par exemple, si un devoir t’a été confié depuis un an ou deux, mais que personne n’a vérifié ce que tu faisais, que devrais-tu faire ? Si personne ne prend de nouvelles, cela signifie-t-il que le devoir a disparu ? Non. Ne te préoccupe pas de savoir si quelqu’un te contrôle ou inspecte ce que tu fais ; cette tâche t’a été confiée, c’est donc ta responsabilité. Tu dois réfléchir à la manière dont ce travail doit être fait et comment il peut être bien fait, et c’est ainsi que tu dois le faire. Si tu attends toujours que d’autres vérifient ton travail, qu’ils te supervisent et te poussent, est-ce l’attitude que tu devrais avoir dans ton travail ? De quel type d’attitude s’agit-il ? C’est une attitude négative, ce n’est pas l’attitude que tu dois adopter face à ton devoir. Si tu adoptes cette attitude, l’accomplissement de ton devoir ne sera certainement pas adéquat. Pour bien accomplir ton devoir, tu dois d’abord avoir une attitude correcte, et ton attitude doit être en accord avec les vérités-principes. C’est la seule façon de garantir que tu accomplisses bien ton devoir.

En ce qui concerne ce qu’est le devoir, l’attitude de chacun à l’égard du devoir, ainsi que la différence entre accomplir son devoir et s’engager dans n’importe quel type de travail mondain, notre échange sur ces sujets s’achèvera ici pour le moment. Vous devriez tous réfléchir sur le contenu de l’échange qui vient d’avoir lieu. Par exemple, pourquoi discuter du lien entre l’accomplissement du devoir et l’engagement dans la gestion personnelle ? Quel est le résultat escompté lorsque l’on discute de ces sujets ? Du côté positif, cela peut fournir aux gens un chemin correct, une direction correcte et des principes corrects pour accomplir leur devoir. Du côté négatif, cela peut aussi aider les gens à reconnaître quels comportements sont considérés comme de la gestion personnelle. Ces deux aspects sont à la fois interconnectés et distincts l’un de l’autre. Comprendre ces deux aspects ne consiste pas à comprendre les formules de vérité ; tu dois saisir quels sont les états et les manifestations impliqués. Une fois que tu as acquis une compréhension approfondie de ces états et manifestations et que tu peux les discerner, la prochaine fois que tu présenteras ces états et manifestations incorrects, si tu es une personne qui poursuit la vérité, tu chercheras la vérité pour trouver le moyen de sortir de là. Si tu ne comprends pas cet aspect de la vérité, tu risques de t’engager dans une gestion personnelle en pensant que tu te dépenses pour Dieu, et même en croyant que tu accomplis ton devoir et que tu es très loyal. Ne pas comprendre la vérité aura de telles conséquences pour résultat. Par exemple, au cours de l’accomplissement de ton devoir, lorsque certaines de tes pensées et méthodes, ainsi que les intentions et les motivations derrière tes actions, sont révélées, tu te rends compte que tu n’accomplis pas ton devoir et que tu as déjà dévié des principes et du cadre de l’accomplissement du devoir ; la nature a changé, et tu t’engages en fait dans de la gestion personnelle. Ce n’est que lorsque tu comprends ces vérités que tu peux trouver un moyen de sortir de cela et de mettre fin à ce genre de pensées, d’actions et de manifestations. Cependant, si tu ne comprends pas la vérité et que tu t’engages dans ta propre gestion personnelle tout en accomplissant ton devoir, tu ne seras pas conscient du fait que tu as déjà violé les principes. Comme Paul, par exemple : après avoir travaillé et couru pendant tant d’années, il a fini par crier sur Dieu en disant : « Si Tu ne me donnes pas une couronne, c’est que Tu n’es pas Dieu ! » Tu vois, il pouvait encore prononcer de telles paroles. Si les gens d’aujourd’hui, après avoir compris la vérité, suivent encore le chemin de Paul, ils ne sont pas de ceux qui aiment la vérité. Si tu es une personne qui croit sincèrement en Dieu, comprendre la vérité est essentiel pour toi. Sans comprendre la vérité, tu vis clairement selon un tempérament satanique. Au mieux, tu adhèreras simplement à certains règlements et tu éviteras de commettre des actes répréhensibles évidents, tout en pensant que tu pratiques la vérité. Ce serait tout à fait pitoyable. Ainsi, si quelqu’un désire poursuivre la vérité et vise à entrer dans la vérité-réalité, il doit d’abord comprendre la vérité. Le but de la compréhension de la vérité est de permettre aux gens de percevoir correctement les autres personnes et les événements, de faire preuve de discernement, d’avoir des principes d’action, d’avoir un chemin de pratique, et de parvenir à la soumission à Dieu. Lorsque tu comprends la vérité, tu peux percevoir toutes sortes de personnes, d’événements et de choses, choisir le bon chemin de pratique, parler et agir selon des principes, te débarrasser de tes tempéraments corrompus et parvenir à la soumission à Dieu. Si tu ne comprends pas la vérité, alors le chemin que tu emprunteras sera sûrement mauvais et tu n’auras aucune entrée dans la vie ni ne pourras être sauvé. Certaines personnes sont particulièrement douées pour se déguiser, faisant semblant d’être à la recherche de la vérité, mais elles n’ont aucun principe dans leurs actions et tout ce qu’elles font provoque des interruptions et des perturbations, créant beaucoup d’ennuis pour le travail de l’Église ; de telles personnes ne peuvent pas être sauvées. Par conséquent, le but lorsqu’on écoute souvent des sermons et qu’on mange et boit fréquemment les paroles de Dieu n’est pas de s’engager de manière superficielle ou de se remplir le cœur, ni de se doter de doctrines ou de pratiquer l’éloquence ; c’est de se doter de la vérité et d’atteindre une compréhension de la vérité. Ce qui vient d’être discuté n’est en réalité pas particulièrement profond en termes de vérité de la connaissance de Dieu ; c’est la vérité la plus élémentaire. La compréhension de la vérité par les gens est limitée et varie en profondeur, et elle dépend du calibre de chacun. Certaines personnes la saisissent de manière plus profonde, c’est-à-dire qu’elles ont la capacité de comprendre. D’autres la saisissent plutôt superficiellement. Quelle que soit la profondeur de la compréhension, le plus important est la pratique de la vérité. Cependant, la vérité ne peut être divisée entre grande ou petite vérité, vérité noble ou vile, ni entre vérité profonde ou superficielle. En d’autres termes, la vérité peut être classée comme d’un côté la plus fondamentale ou de l’autre, la plus élémentaire, mais elle ne peut être divisée en degrés de profondeur ; c’est simplement que les gens la saisissent et en font l’expérience à divers degrés de profondeur. Tout ce qui touche à l’essence de la vérité est tout aussi profond et ce n’est pas quelque chose dont on peut faire l’expérience complète ou que l’on peut posséder complètement. Quel que soit l’aspect de la vérité concerné, les gens doivent commencer par la couche la moins profonde dans leur compréhension et leur pratique, puis progresser peu à peu du moins profond vers le plus profond pour atteindre une vraie compréhension de la vérité et entrer dans la réalité. La partie la moins profonde de la vérité est celle qui peut être comprise littéralement. Si les gens ne peuvent pas la pratiquer ou y entrer, ils ne comprennent que quelques formules et doctrines. La simple compréhension des paroles et des doctrines est loin de représenter l’essence de la vérité. Les gens qui ne comprennent pas la vérité considèrent toujours la capacité d’expliquer le sens littéral des mots comme une compréhension de la vérité ; ce n’est que de l’ignorance humaine. Si ta pratique de la vérité ne consiste qu’à suivre des règlements et à les appliquer de manière rigide sans aucun principe, ne pense pas que c’est pratiquer la vérité et entrer dans la réalité ; tu en es encore loin. Si tu continues à la pratiquer et à en faire l’expérience pendant plusieurs années encore, et que tu découvres beaucoup plus de lumière, ce qui te suffira pour la pratiquer et en faire l’expérience pendant encore plusieurs mois ou années, et plus tard, avec encore plus d’expérience, tu pourras découvrir une nouvelle lumière, progressant ainsi du peu profond vers le profond, étape par étape, alors tu seras vraiment entré dans la vérité-réalité. Seul celui qui est pleinement entré dans la vérité-réalité est quelqu’un qui a obtenu la vérité. Même si un jour tu vis la réalité de la vérité et que l’on peut dire que tu as obtenu la vérité, en réalité ce dont tu as fait l’expérience et ce que tu as appris à connaître est encore limité. Tu ne peux pas dire que tu es la vérité ni prétendre comme Paul que : « Pour moi, vivre c’était le Christ » (Philippiens 1:21), car la vérité est trop profonde et ce que l’on peut vivre et comprendre en plusieurs décennies d’une vie est extrêmement limité. Il est donc évident que les gens peuvent comprendre la vérité dans une certaine mesure, mais obtenir la vérité est loin d’être facile. Si quelqu’un ne peut pas comprendre ou mettre en pratique même les vérités les moins profondes, c’est quelqu’un qui n’aime pas la vérité et qui manque clairement de compréhension spirituelle ; les personnes qui sont très loin de la vérité ne peuvent pas être sauvées. Ceux qui ne comprennent jamais la vérité ne peuvent pas bien accomplir leurs devoirs ; ce sont des déchets de la vie, des bêtes recouvertes de vêtements d’humain. Certains pensent qu’ils comprennent la vérité simplement parce qu’ils comprennent certaines doctrines. S’ils comprennent vraiment certaines vérités, alors pourquoi ne peuvent-ils pas bien accomplir leurs devoirs ? Pourquoi n’ont-ils aucun principe dans leurs actions ? Cela montre que ça ne sert à rien de comprendre les doctrines ; comprendre davantage de doctrines ne signifie pas comprendre la vérité.

Après avoir abordé le thème du devoir, nous allons maintenant nous pencher sur la question de l’accomplissement adéquat du devoir. Concernant l’accomplissement adéquat du devoir, l’accent est mis sur le mot « adéquat ». Comment le terme « adéquat » devrait-il être défini, alors ? Là aussi, il y a des vérités à chercher. Est-il adéquat de se contenter de faire un travail passable ? Pour connaître les détails concrets concernant la façon de comprendre et de considérer le mot « adéquat », vous devez saisir de nombreuses vérités et échanger davantage au sujet de la vérité. Lorsque vous accomplissez votre devoir, vous devez comprendre la vérité et ses principes ; seulement alors pourrez-vous parvenir à un accomplissement adéquat de votre devoir. Pourquoi les gens devraient-ils accomplir leur devoir ? Une fois qu’ils croient en Dieu et qu’ils ont accepté Sa commission, les gens ont leur part de responsabilité et d’obligation dans l’œuvre de la maison de Dieu et sur le site de l’œuvre de Dieu. En conséquence, du fait de cette responsabilité et de cette obligation, ils sont devenus un élément de l’œuvre de Dieu, l’un des éléments de l’objet de Son œuvre et l’un des éléments de l’objet de Son salut. Il y a une relation assez fondamentale entre le salut des gens et la façon dont ils accomplissent leurs devoirs, s’ils peuvent les faire bien et s’ils peuvent les faire de manière adéquate. Puisque tu fais désormais partie de la maison de Dieu et que tu as accepté Sa commission, tu as maintenant un devoir. Ce n’est pas à toi de dire comment ce devoir devrait être accompli ; c’est à Dieu de le dire ; c’est à la vérité de le dire ; et c’est dicté par les normes de la vérité. Par conséquent, les gens devraient savoir, comprendre et être clairs sur la façon dont Dieu évalue les devoirs des gens et selon quoi Il les évalue – c’est quelque chose qu’il vaut la peine de rechercher. Dans l’œuvre de Dieu, des gens différents reçoivent des devoirs différents. C’est-à-dire que des gens avec des dons, des calibres, des conditions et des âges différents reçoivent des devoirs différents à des moments différents. Quel que soit le devoir que tu as reçu, et quels que soient le moment ou les circonstances dans lesquels tu l’as reçu, ton devoir n’est qu’une responsabilité et une obligation que tu es censé accomplir, ce n’est pas à toi de le gérer et c’est encore moins ton affaire. La norme que Dieu exige pour l’accomplissement de ton devoir est qu’il soit « adéquat ». Que signifie être « adéquat » ? Cela signifie répondre aux exigences de Dieu et Le satisfaire. Dieu doit dire que c’est adéquat et cela doit recevoir Son approbation. C’est seulement alors que l’accomplissement de ton devoir sera adéquat. Si Dieu dit que ce n’est pas adéquat, peu importe depuis combien de temps tu accomplis ton devoir ou quel prix tu as payé, ce n’est pas adéquat. Alors quel sera le résultat ? Tout cela sera classé comme rendre service. Seule une minorité d’exécutants au cœur loyal sera épargnée. Si ces gens ne sont pas loyaux dans leur manière de rendre service, ils n’ont aucun espoir d’être épargnés. En clair, ils seront détruits dans un désastre. Si une personne ne remplit jamais ses objectifs lorsqu’il s’agit d’accomplir son devoir, elle se verra retirer le droit d’exercer un devoir. Une fois ce droit retiré, certaines personnes seront mises à l’écart. Après avoir été mises à l’écart, on s’occupera d’elles par d’autres moyens. Est-ce que « s’occuper d’elles par d’autres moyens » signifie qu’elles seront éliminées ? Pas nécessairement. Dieu regarde principalement si une personne se repent. Par conséquent, la façon dont tu accomplis ton devoir est cruciale et les gens devraient le faire avec sérieux et consciencieusement. Parce que l’accomplissement de ton devoir est directement lié à ton entrée dans la vie et dans les vérités-réalités, ainsi qu’à de grandes questions telles que ton salut et ton perfectionnement, tu dois considérer l’accomplissement de ton devoir comme la tâche première et la plus importante lorsque tu crois en Dieu. Tu ne peux pas être confus à ce sujet. Dans le processus d’accomplissement de leurs devoirs, diverses personnes montreront une variété de comportements différents. Ces différents comportements sont visibles non seulement pour les gens, mais aussi pour Dieu. Ce n’est pas seulement l’Église qui note et évalue ; en fin de compte, Dieu attribuera également des notes et des évaluations à tous ceux qui accomplissent leurs devoirs. Certaines personnes répondent plus ou moins à la norme, tandis que d’autres sont complètement inadéquates. Certaines personnes inadéquates resteront encore en observation, tandis que d’autres auront déjà été définitivement catégorisées par Dieu. Quelles sont les personnes que Dieu considère comme inadéquates ? Il s’agit de personnes qui ont une humanité médiocre, qui sont dépourvues de conscience et de raison, qui accomplissent toujours leurs devoirs de manière négligente. Quelle que soit l’ampleur de la grâce de Dieu dont elles bénéficient, elles ne cherchent pas à faire preuve de réciprocité et sont dépourvues de gratitude. Bien sûr, cela inclut aussi naturellement les personnes malfaisantes. On peut dire que toute personne qui a une humanité médiocre, qui est dépourvue de conscience et de raison accomplit son devoir de manière inadéquate. Les personnes manifestement malfaisantes commettront inévitablement d’innombrables actes malfaisants en accomplissant leurs devoirs. Tant qu’elles ne seront pas éliminées, elles continueront à commettre des actes malfaisants. Ces personnes doivent être éliminées rapidement. Bien sûr, il y a aussi des personnes qui semblent avoir un semblant d’humanité et qui n’ont pas l’air d’être mauvaises, mais elles accomplissent leur devoir de manière négligente et ne produisent aucun résultat. Après avoir été émondées et avoir reçu des échanges sur la vérité, tout dépendra de leur comportement final et de la sincérité de leur repentance. Pour ces personnes, Dieu attend et observe encore. Quant à celles qui ont une humanité médiocre et qui manquent de conscience et de raison, ainsi qu’à celles qui sont clairement malfaisantes, Dieu a déjà rendu un verdict concluant à leur sujet – elles doivent être complètement éliminées.

Ensuite, échangeons sur les manifestations de l’accomplissement inadéquat du devoir. Je vais d’abord échanger un exemple et vous pourrez tous évaluer si cette personne accomplit son devoir de manière adéquate et en accord avec les exigences de Dieu. Quelqu’un a été choisi pour être un dirigeant dans l’Église et a été accueilli par une famille à moitié croyante dont certains membres étaient croyants et d’autres non. Cependant, ils avaient tous une caractéristique particulière, ils étaient particulièrement habiles pour discerner l’humeur des gens et pour flatter ceux qui étaient en position d’autorité. Qu’est-ce que cela allait incidemment devenir pour le dirigeant ? (Cela allait devenir une tentation.) Oui, c’est devenu une tentation. Était-ce une bénédiction ou un malheur pour lui ? Savoir si c’était une bénédiction ou un malheur reste à déterminer ; continuons. Après que cette famille a accueilli le dirigeant, elle lui a servi de la viande et de la bonne nourriture à chaque repas. Pourquoi ont-ils reçu le dirigeant ainsi ? Était-ce par amour ? Auraient-ils reçu les frères et sœurs de cette manière ? Certainement pas. Lorsque le dirigeant était là, ils lui cuisinaient de la viande tous les jours. Finalement, le dirigeant, ravi des repas, a dit à la famille : « Toute votre famille aime Dieu. Ta mère peut entrer dans le royaume, ton fils peut entrer dans le royaume, et ta femme et toi, vous pouvez aussi entrer dans le royaume. À l’avenir, toute ta famille pourra entrer dans le royaume. » En entendant cela, la famille s’est réjouie, pensant : « Toute notre famille peut entrer dans le royaume, même les non-croyants parmi nous peuvent y entrer. Apparemment, la viande que nous lui avons donnée n’a pas été gaspillée ; nous devrions continuer à lui en servir. » En réalité, cette famille ne comprenait guère ce qu’impliquait l’entrée dans le royaume, mais elle savait que c’était une bonne chose. Qui, parmi ceux qui croient en Dieu, ne voudrait pas entrer dans le royaume des cieux et recevoir des bénédictions ? Ils se sont dit : « Tant que le dirigeant dit que nous pouvons entrer dans le royaume, alors nous le pouvons, n’est-ce pas ? La parole du dirigeant est définitive ; le dirigeant représente Dieu, après tout ! » Par la suite, plus le dirigeant disait qu’ils pouvaient entrer dans le royaume, plus les repas qu’ils lui offraient étaient somptueux. Peu à peu, ce dirigeant n’a plus voulu rendre visite aux autres familles parce qu’elles ne lui offraient pas ces bonnes choses et ne le flattaient pas de cette façon. Peu de temps après, le dirigeant a pris de plus en plus de poids ; sa tête a également grossi, passant d’une « tête humaine » à une « tête de cochon ». Lors d’une réunion entre collègues, il s’est fait remarquer immédiatement. Alors qu’ils ne l’avaient pas vu depuis un mois, il avait pris tellement de poids que ses collègues l’ont tout de suite interrogé sur son travail. Ils ont découvert de graves problèmes et l’ont sévèrement émondé, disséquant l’essence de son problème avant de finalement remplacer ce faux dirigeant. Une enquête plus poussée a révélé d’autres problèmes : ce faux dirigeant ne faisait pas de vrai travail et profitait chaque jour des avantages de son statut. Il favorisait ceux qui le flattaient et les promouvait, tout en refoulant ceux qui ne lui offraient pas de cadeaux. Il exigeait même de sa femme qu’elle lui apporte plus de poulet à manger. Alors, que pensez-vous de la façon dont ce faux dirigeant a accompli ses devoirs ? Quelle était son attitude à l’égard de ses devoirs ? Il ne faisait pas vraiment le travail, c’est plutôt comme s’il était allé quelque part juste pour être un fonctionnaire. Sinon, comment aurait-il pu prendre autant de poids ? Il y a deux raisons à cela : d’une part, il a délibérément choisi des familles d’accueil où il pouvait manger de la viande, y séjournant et se faisant continuellement plaisir ; d’autre part, il n’avait absolument aucun sentiment de fardeau dans l’accomplissement de ses devoirs et il n’a enduré aucune épreuve. Si un dirigeant ou un ouvrier avait un sentiment de fardeau, en voyant la charge de travail considérable de l’Église et les nombreux problèmes à résoudre d’urgence, ne serait-il pas stressé et angoissé ? Cette anxiété les pousserait à l’action ; ils commenceraient immédiatement à s’attaquer à ces problèmes, dépenseraient de l’énergie et endureraient quelques épreuves. Physiquement, ils ne feraient que perdre du poids ; c’est une loi naturelle. Dans quelles conditions continuerait-il à manger plus et à prendre du poids ? Ce ne peut être qu’en mangeant à satiété toute la journée et en ne se concentrant sur rien d’autre, en étant libéré de tout fardeau, en adoptant une position de puissance, au-dessus des autres, en étant déconnecté de la communauté et du lieu de travail et en se complaisant dans le plaisir charnel. Ce n’est qu’alors que l’on pourrait continuer à prendre du poids, passant d’une « tête humaine » à une « tête de cochon » en un peu plus d’un mois. Alors dans quelle mesure ce chef accomplissait-il bien ses devoirs ? La nature de son rôle de dirigeant avait changé ; il ne s’agissait plus d’accomplir ses devoirs, mais de profiter du confort et des avantages d’un statut. Il se comportait comme un fonctionnaire. Non seulement il s’exonérait du travail réel, mais il commettait aussi des actes répréhensibles. Si quelqu’un ne le flattait pas ou ne lui offrait pas une nourriture délicieuse, il le refoulait. De plus, il incitait ses frères et sœurs à se joindre à lui pour émonder cette personne, ce qui finissait par soulever la colère des foules. Les gens commençaient à se sentir repoussés par lui et à s’en éloigner. Sans parler des raisons de sa destitution, discutons simplement du niveau d’adéquation de l’accomplissement de ses devoirs. Le fait qu’il profite des avantages du statut et le manque de travail réel sont les problèmes les plus graves. Il ne servait pas le peuple élu de Dieu ; il se comportait à leur égard comme un fonctionnaire et n’accomplissait en aucun cas ses devoirs. Dans son travail de dirigeant, il ne faisait pas preuve d’une once de loyauté dans l’accomplissement de ses devoirs, sans même parler d’y consacrer son cœur et son énergie. Il n’a consacré son cœur et son énergie qu’à manger, boire et se divertir. Il s’est creusé la tête pour savoir comment profiter des avantages de son statut et il n’a pas échangé sur la vérité avec la famille d’accueil pour l’empêcher de se comporter de manière aussi servile envers lui. De plus, il les a trompés en leur disant que seul un tel accueil leur permettrait d’entrer dans le royaume et d’obtenir des récompenses. Ne s’agit-il pas d’actions malfaisantes ? Si c’est ainsi qu’il traitait la famille d’accueil, que faisait-il dans le travail de l’Église ? Comment traitait-il le peuple élu de Dieu ? Il était certainement plein de malhonnêteté et de négligence. Cette personne savait-elle vraiment ce qu’était le devoir ? Savait-il ce qu’était le travail que Dieu lui avait confié ? Comment a-t-il traité ce mandat ? Il l’a traité comme un capital et comme une base pour jouir des avantages de son statut, et par conséquent, il a commis de nombreux actes malfaisants, perturbant la vie de l’Église et causant la perte de l’entrée dans la vie des frères et sœurs. Une telle façon d’accomplir son devoir n’est pas seulement inadéquate, mais elle s’est également transformée en actions malfaisantes. En n’ayant aucun élément adéquat dans l’accomplissement de son devoir, Dieu peut-Il se souvenir d’une telle personne ? (Non.) Il est clair que non, ce qui est tout à fait pitoyable. Il est pitoyable de ne pas comprendre la vérité – est-il encore plus pitoyable de comprendre la vérité, mais de ne pas la pratiquer ? (Oui.) C’est le premier cas : celui de la « tête humaine qui s’est transformée en tête de cochon ». Ce cas est plutôt simple. Il s’agit de se complaire dans les avantages du statut, d’accomplir son devoir sans une once de loyauté, et de ne même pas avoir un cœur craignant un peu Dieu. Ce dirigeant a traité son devoir donné par Dieu comme un capital pour se complaire dans les avantages de son statut. C’est facile à discerner. Rappelez-vous le nom de ce premier cas, afin qu’à l’avenir vous puissiez en tirer une comparaison, discerner les autres et vous motiver vous-mêmes. Que pensez-vous de l’affaire dont J’ai parlé ? Détestez-vous de telles personnes et de tels actes ? (Oui.) Si vous acceptiez le mandat de Dieu, pourriez-vous commettre de tels actes ? Si vous pouvez avoir plus de raison que ce faux dirigeant et faire preuve d’un peu plus de retenue, et si vous pouvez faire tous vos efforts pour atteindre la vérité, alors il y a encore un peu d’espoir. Mais si vous pouvez vous laisser aller à manger et à boire et à jouir des avantages d’un statut comme le sien, alors vous serez révélés et éliminés ; vous serez purement un faux dirigeant et une personne que Dieu déteste. Maintenant vous avez du discernement et comprenez quelques vérités. La mesure dans laquelle tu peux te retenir et te contrôler détermine l’espoir que tu as concernant le salut ; ils sont directement proportionnels. Si tu ne peux pas te maîtriser et que tu continues à agir selon tes propres préférences, à vivre avec un tempérament corrompu et à te complaire dans les avantages du statut, à te réjouir et à te sentir enivré lorsque quelqu’un te flatte, sans aucune réflexion sur toi-même ni repentance authentique, alors l’espoir que tu as de recevoir le salut est nul.

Ensuite, parlons d’un autre cas. À mesure que l’Évangile se répand, de nombreuses personnes dans l’Église vont dans divers endroits pour répandre l’Évangile. Répandre l’Évangile est un devoir pour n’importe qui. Peu importe la façon dont tu le traites ou si tu penses que ce devoir est bon ou non, en général, c’est un mandat donné par Dieu à des gens. Lorsqu’on parle des mandats que Dieu donne aux gens, cela implique leur responsabilité et aussi leur devoir. Puisque cela implique le devoir des gens, cela implique aussi la manière d’accomplir ce devoir. Dans le processus de diffusion de l’Évangile, certaines personnes cherchent spécifiquement à se rendre dans des régions riches et des maisons aisées. Lorsqu’elles voient quelqu’un conduire une belle voiture ou vivre dans une grande maison, elles sont envieuses et jalouses. Si elles trouvent une famille qui les accueille bien, elles s’attardent et nourrissent un cœur cupide. Elles pensent que puisqu’elles ont contribué à la diffusion de l’Évangile, elles devraient bénéficier d’un peu de grâce. Alors qu’advient-il de leur diffusion de l’Évangile ? Tout ce qu’elles font, c’est s’adonner aux plaisirs charnels, échanger leur service contre du bien-être physique ; cela revient à vendre leur travail. Après deux ou trois ans, elles ont gagné quelques personnes en répandant l’Évangile là-bas et ont même établi une Église, accumulant ainsi un certain capital. Elles commencent alors à se laisser emporter et lorsqu’elles retournent « glorieusement » dans leur ville natale, elles sont rayonnantes, étant pratiquement devenues des personnes à la mode. Elles ramènent des appareils ménagers et des produits électroniques haut de gamme et sont habillées de vêtements chics des pieds à la tête. La population locale ne les reconnaît plus, pensant qu’elles ont dû faire fortune quelque part. N’y a-t-il pas un problème ici ? Ces personnes ont été croyantes pendant tant d’années, accomplissant toujours leur devoir loin de chez elles. Au départ, il n’y avait rien de valeur dans leur maison, mais maintenant elles ramènent tous ces beaux vêtements et ces appareils performants que les gens leur ont donnés ; elles sont à la fois bien habillées et bien équipées. Elles considèrent que c’est la grâce de Dieu. Mais d’où viennent réellement ces choses ? On pourrait dire qu’elles ont été échangées contre leurs efforts pour diffuser l’Évangile. D’autres ont vu leurs nombreuses années de foi et leur dur labeur pour la diffusion de l’Évangile, alors ils donnent de bonnes choses à cette personne. Est-ce « faire » la charité ? Est-ce de la compassion ? Si ces bonnes choses ont été obtenues grâce à la diffusion de l’Évangile, données à travers la flatterie des autres, est-il approprié pour cette personne de les considérer comme une faveur ou une grâce de Dieu ? Pour le dire sans détour, elle profite de l’occasion de répandre l’Évangile pour acquérir ces choses. Si elle se lamente toujours sur sa pauvreté devant les autres tout en mentionnant qu’elle aime tel ou tel objet, et que les gens le leur donnent à contrecœur, cela ne ressemble-t-il pas à de l’extorsion ou à du chantage ? Certaines personnes qui prêchent l’Évangile aiment dire aux autres : « Nous, les propagateurs de l’Évangile, nous sommes des messagers de Dieu, envoyés par Dieu. Vous recevez l’Évangile de Dieu de notre part – quelle énorme bénédiction et quel avantage vous en retirez ! Compte tenu de votre richesse et de la grâce de Dieu dont vous avez bénéficié, ne devriez-vous pas faire preuve de reconnaissance ? Ne devriez-vous pas partager avec nous certains de vos articles excédentaires ou inutilisés ? » Après un tel discours de persuasion, certaines personnes, gênées, finissent par céder, et les propagateurs de l’Évangile pensent que leur comportement est parfaitement justifié. Ceux qui leur donnent des choses le font-ils vraiment de leur plein gré ? Indépendamment de la question de savoir si les donateurs sont consentants, s’agit-il de choses que les propagateurs de l’Évangile devraient recevoir ? (Non.) Certains rationalisent : « Pourquoi ne devrais-je pas recevoir ces choses ? J’ai travaillé dur pour prêcher l’Évangile ; recevoir ces choses n’est-il pas une simple grâce de Dieu ? » Que fais-tu lorsque tu prêches l’Évangile ? Est-ce le travail que tu fais pour gagner ta vie ? Prêcher l’Évangile n’est pas une transaction ; c’est ton devoir. Lorsque tu exiges des choses des gens, au fond, tu exiges des choses de Dieu. Mais puisque tu ne peux pas atteindre Dieu, et que tu n’oses pas Lui demander, tu préfères tendre la main aux gens, et tu les induits en erreur en leur racontant un tas de théories spirituelles. Tu penses que tu as gagné en mérite en gagnant des gens à travers la diffusion de l’Évangile et que tu as le droit de recevoir une compensation pour tes efforts. Tu ne penses pas qu’il serait bon de demander de l’argent directement, alors tu demandes plutôt des choses, estimant que de cette façon, tes efforts n’ont pas été vains. Est-ce là accomplir ton devoir ? (Non.) La nature de tes actions a changé. En quoi as-tu transformé la diffusion de l’Évangile ? Tu as commercialisé l’Évangile de Dieu, en le troquant contre des éléments matériels. Quel genre de comportement est-ce là ? (C’est de l’opportunisme.) C’est de l’opportunisme ? Le fait d’appeler cela de l’opportunisme minimise-t-il sa gravité ? N’est-ce pas effectivement faire le mal, n’est-ce pas un acte malfaisant ? (Si.) Pourquoi est-ce considéré comme un acte malfaisant ? Répandre l’Évangile, c’est accomplir son devoir et rendre témoignage à Dieu ; en rendant témoignage à Dieu, tu apportes l’Évangile à quelqu’un et en même temps, Dieu gagne cette personne, et tu as ainsi accompli ta mission. Tout ce que tu dois recevoir pour avoir accompli ta mission, Dieu te le donnera ; tu n’as pas besoin de demander à qui que ce soit et personne n’a de raison d’échanger la charité contre cet Évangile. L’Évangile de Dieu n’a pas de prix ; aucune somme d’argent ne peut l’acheter et il ne peut être échangé contre quoi que ce soit. Lorsque tu utilises la diffusion de l’Évangile comme une occasion d’obtenir des avantages matériels, tu perds ton témoignage ; cette approche est blasphématoire et constitue une marque de déshonneur envers Dieu. De plus, quelle est la nature de ce comportement qui consiste à rendre les gens reconnaissants envers toi quand tu leur as apporté l’Évangile ? C’est voler la gloire de Dieu ! L’Évangile de Dieu et l’œuvre de Dieu ne sont pas des marchandises. Dieu donne gratuitement Son Évangile à l’homme ; il est gratuit et n’implique aucune transaction. Pourtant, les gens transforment l’Évangile de Dieu en une marchandise à vendre aux autres, en exigeant d’eux de l’argent et des biens matériels. Cela manque de témoignage et déshonore le nom de Dieu. N’est-ce pas un acte malfaisant ? (Si.) C’est en effet un acte malfaisant. S’agit-il d’un accomplissement adéquat de ses devoirs ? (Non.) Ce cas est-il de nature plus grave que le cas dont nous venons de parler, la « tête humaine qui s’est transformée en tête de cochon » ? (Oui.) Quel élément constitue cette gravité ? (Le fait de déshonorer Dieu.) Il s’agit de déshonorer Dieu, de blasphémer Dieu et de voler la gloire de Dieu. Prendre l’Évangile de Dieu et le vendre aux gens, le leur vendre comme s’il s’agissait d’une marchandise, puis en tirer un profit exorbitant et chercher à en tirer un bénéfice personnel – quel genre de créature ferait cela ? Ce sont des bandits et des gens malfaisants, qui se comportent à la manière de Satan ! Dieu a clairement créé le ciel, la terre et toutes les choses, ainsi que l’humanité, mais Satan et les esprits malfaisants induisent les gens en erreur en disant que ce sont eux qui ont créé les humains, le ciel et la terre, incitant les gens à les adorer comme s’ils étaient Dieu et le Créateur. N’est-ce pas voler la gloire de Dieu ? C’est un péché, c’est un acte malfaisant, c’est s’opposer à Dieu. Lorsque les hommes vendent l’Évangile, adoptent-ils le comportement de Satan ? (Oui.) Quel est leur but en vendant l’Évangile ? Faire en sorte que les gens les considèrent comme les messagers de l’Évangile, comme si l’Évangile venait d’eux et qu’ils avaient le pouvoir de prendre des décisions. N’est-ce pas voler la gloire de Dieu ? (Si.) Quel genre de péché a été commis en volant la gloire de Dieu ? Quelle en est la nature ? Il s’agit d’un acte malfaisant qui consiste à s’opposer à Dieu ; c’est un comportement blasphématoire envers Dieu. Diffuser l’Évangile de cette manière est-il toujours considéré comme accomplir son devoir ? Il s’agit entièrement de faire le mal ; c’est s’opposer à Dieu. Répandre l’Évangile de cette manière, ce n’est pas du tout témoigner de Dieu, ce n’est donc pas accomplir son devoir, c’est purement et simplement faire le mal. Certains disent : « Répandre l’Évangile est un travail si difficile ; recevoir quelques bonnes choses n’est que justice. Quel est le problème ? Cela n’est pas considéré comme quelque chose de mal par les non-croyants. » Cette affirmation est-elle correcte ? Cela dépend de tes intentions, de ce que tu convoites et de la nature de ce que tu convoites. Si tu le fais pour ton profit personnel, ce que tu vends est l’Évangile de Dieu, ce que tu vends est la vérité et ce que tu y gagnes en fin de compte est pour ton profit personnel, alors il s’agit bien d’un acte malfaisant. Est-il excessif de qualifier cela d’acte malfaisant ? (Non.) Ce n’est pas le moins du monde excessif. Lorsque quelqu’un a reçu son devoir et l’a accompli, mais que de telles conséquences surviennent, qui est à blâmer ? (La personne elle-même.) Elle ne peut s’en prendre qu’à elle-même. Alors, comment sont apparues de telles conséquences ? C’est directement lié à la nature malveillante des gens. Certaines personnes ne poursuivent pas la vérité, mais elles ont la capacité de ressentir de la honte et elles ont du caractère et de la conscience, donc elles ne feraient pas de telles choses. Si quelqu’un s’engage dans de telles actions, cela montre que cette personne manque d’humanité ; elle est avide et a un tempérament cruel. Non seulement elle échoue à accomplir ses devoirs de manière adéquate, mais cela se transforme en fait en action malfaisante. Certains disent : « Comment peut-on dire que cette personne fait des actes malfaisants ? Elle a réussi à gagner un certain nombre de personnes grâce à sa prédication de l’Évangile ; le simple fait qu’elle ait obtenu des résultats évidents devrait annuler l’idée qu’elle fait quelque chose de malfaisant, n’est-ce pas ? » Cette affirmation est-elle correcte ? (Non.) Pourquoi est-elle incorrecte ? Répandre l’Évangile est son devoir, sa responsabilité. Quels sont l’intention et le but qui se cachent derrière son devoir ? Quels sont les principes qui guident son devoir ? Est-elle responsable de ses actions ? En se basant sur ces facteurs, on peut déterminer si la personne accomplit son devoir ou si elle fait quelque chose de malfaisant. Bien qu’elle ait accompli son devoir, le point de départ de son action est erroné ; elle n’a pas agi selon les principes et a commis de nombreux actes malfaisants. Il n’y a pas la moindre manifestation de pratique de la vérité. Quelle est l’essence de ce type de diffusion de l’Évangile ? (Il s’agit de vendre l’Évangile.) Comment devrait-on nommer ce cas ? Le cas « Vendre l’Évangile ». Rien qu’en entendant ce nom, tu sais que la nature du problème est très grave. Comment quelqu’un peut-il vendre l’Évangile de Dieu ? La nature de ce problème de vente de l’Évangile est très sérieuse. Donc, chaque fois que la vente de l’Évangile est mentionnée, les gens ne devraient-ils pas savoir de quoi il s’agit, quels sont les états, les comportements et les méthodes ? C’est le deuxième cas, et la nature de ce cas est plus grave que le précédent.

Le cas suivant est également un cas qui s’est produit pendant le processus de diffusion de l’Évangile. Dans le passé, la maison de Dieu a établi certains principes et méthodes pour répandre l’Évangile, y compris des méthodes concernant la compassion et la création de liens amicaux. Cela a permis à certaines personnes de trouver des failles à exploiter. Quelles personnes ont exploité ces failles ? Les personnes de nature malveillante qui n’aiment pas la vérité. Dans le processus de diffusion de l’Évangile, il y a effectivement des personnes malveillantes qui saisissent cette occasion pour trouver des partenaires romantiques et s’engager dans des relations romantiques et intimes. Lorsque de telles choses se produisent, elles pensent qu’il y a des raisons pour cela, alors qu’en réalité ce sont ces individus malveillants de Satan qui exploitent les failles. Profitant de l’occasion que leur offre la diffusion de l’Évangile pour entrer en contact avec des gens du sexe opposé, lorsque ces personnes trouvent quelqu’un qui leur convient ou pour lequel elles ont une préférence, elles font tout ce qui est en leur pouvoir pour trouver des occasions d’interagir avec l’autre personne et pour l’aguicher. En apparence, cela semble être pour gagner les gens par la diffusion de l’Évangile, mais en réalité, c’est pour satisfaire leur désir personnel. Elles font toutes ces choses sous prétexte de diffuser l’Évangile, sous prétexte d’étendre l’œuvre de Dieu, sous prétexte de témoigner pour Dieu et de se consacrer à Dieu, et aussi sous prétexte d’accomplir leur devoir. Personne ne fait ces choses sans en avoir l’intention ; en fait, les gens qui le font en sont parfaitement conscients et s’obstinent à faire semblant d’être confus. Chacun sait dans son cœur, lorsqu’il fait ces choses, que c’est un péché, que Dieu déteste cela et qu’Il ne le permet pas, mais la personne ne peut pas contrôler sa convoitise charnelle et s’efforce de trouver des excuses et des justifications pour les péchés qu’elle commet. Cela peut-il dissimuler ses propres problèmes ? Si tu commets de tels péchés une ou deux fois et que tu te repens ensuite, Dieu peut encore te pardonner, mais si tu refuses obstinément de changer, tu es en danger. Certaines personnes peuvent se sentir un peu mal à l’aise chaque fois qu’elles commettent un tel péché, se demandant : « Puis-je être sauvé si j’agis de cette façon ? » Mais elles se disent ensuite : « Ce n’est pas très grave ; c’est tout au plus une révélation de la corruption. Je ne recommencerai pas ; cela n’affectera pas mon résultat et ma destination. » Cette attitude face à la transgression est-elle une véritable attitude de repentance ? S’il n’y a même pas de remords dans leur cœur, ne continueront-elles pas à rechuter ? Je pense que c’est très risqué. Une telle personne peut-elle accomplir son devoir de manière adéquate ? Dans l’accomplissement de son devoir, il y a encore des éléments correspondant à une « opération privée » ; elle mélange « public et privé », ce qui est une importante falsification ! Cela va de manière certaine offenser le tempérament de Dieu. Ces personnes ne peuvent pas être considérées comme « adéquates » dans l’accomplissement de leur devoir ; cela est plus grave que de demander des choses ou de vendre l’Évangile. En quoi est-ce plus grave ? C’est dégoûtant ; c’est un commerce de la chair et de la convoitise. Alors, quelle est la nature de ce problème ? Il s’agit de pécher délibérément malgré la connaissance de la vérité. Le mot « délibérément » change la nature du problème. En réalité, ces gens savent que les règlements et les principes de l’arrangement du travail sont conçus pour amener chacun à faire preuve de sagesse et pour empêcher Satan de gagner un levier sur eux. Le but est d’amener les gens devant Dieu, mais ils exploitent les failles et saisissent les occasions de laisser libre cours à leurs convoitises malveillantes ; c’est ce qu’on appelle pécher en connaissance de cause. Que dit la Bible à ce sujet ? (« Car, si nous péchons volontairement après avoir reçu la connaissance de la vérité, il ne reste plus de sacrifice pour les péchés » [Hébreux 10:26].) Si même le sacrifice pour le péché à la croix n’est plus disponible, ces personnes ont-elles encore un rapport avec le salut ? Cela dépend de la situation. Certaines personnes agissent par nécessité, ou se condamnent intérieurement, mais elles sont forcées d’agir ainsi à cause des circonstances du moment. Si le nombre de fois où cela se produit n’est pas trop élevé, pas plus de trois, elles peuvent être pardonnées. Qu’est-ce que cela signifie lorsqu’on dit qu’elles peuvent être pardonnées ? Cela signifie qu’au premier délit, si elles peuvent revenir à la raison, chercher la vérité, montrer des signes de remords et revenir en arrière sans commettre de nouveau un délit, tout en demandant à accomplir leurs devoirs, elles peuvent avoir une chance d’expier leurs péchés. Il y a toujours un espoir de salut dans de tels cas, mais cet espoir dépend de la poursuite individuelle. Personne ne peut porter un jugement définitif pour toi, personne ne peut te donner de garanties ; cela dépend principalement de ta propre poursuite. Je ne te ferai pas de promesse en te disant que si tu ne commets plus ce péché, tu seras certainement sauvé ; Je ne ferai pas cette promesse, car Je ne sais pas ce que donneront tes performances futures. Si tu dépasses le nombre de fois où le pardon est possible, que tu refuses constamment de changer et que tu ne fais aucune bonne action pendant que tu prêches l’Évangile qui puisse compenser tes actes malfaisants, alors tu es complètement fichu. Tu as commis tant de mal sans la moindre trace de bonnes actions ; ta prédication de l’Évangile ne te sert qu’à t’engager imprudemment dans des relations intimes et non à bien accomplir ton devoir – elle est déconnectée de ton accomplissement de ton devoir. Ce n’est plus une question d’avoir ou de ne pas avoir de sacrifice d’expiation. Comment classer de telles personnes ? Il faut les classer dans la catégorie des démons immondes et des esprits malfaisants. Ce ne sont pas des humains normaux. Ces personnes ne font pas que commettre des péchés ; elles n’ont rien à voir avec l’accomplissement de leur devoir. Y a-t-il encore un espoir de salut pour eux ? Non, il n’y en a pas. Ces personnes ont été chassées de la maison de Dieu ; elles ont été retranchées et Dieu ne les sauvera pas. Ce qu’elles font et la manière dont elles se comportent non seulement ne touchent pas à leur devoir, mais ne peuvent même pas être considérés comme une question d’accomplissement adéquat de leur devoir. Le résultat final et l’issue pour ces personnes seront déterminés en fonction de leur classification. Ce cas n’est-il pas tout à fait dégoûtant ? Sa nature est encore plus grave que le deuxième cas que nous venons d’évoquer. Parmi ces personnes, certaines présentent des cas de nature plus grave. Peuvent-elles revenir en arrière ? Peuvent-elles avoir un cœur repentant et cesser de faire de telles choses, tout en continuant à rendre service en répandant l’Évangile dans la maison de Dieu ? Y a-t-il des gens comme cela ? (Non.) Peuvent-elles volontairement rendre service ? (Non.) Il est vrai que certaines de ces personnes ont gagné les gens pendant qu’elles répandaient l’Évangile. Mais maintenant, à quoi a servi tout ce travail qu’elles ont fait ? Cela revient à rendre service, pas à accomplir leur devoir. En fait, ces personnes n’ont pas ménagé leurs efforts, mais le chemin qu’elles ont emprunté a déterminé leur destin et leur résultat. Parmi ceux qui répandent également l’Évangile, tous rencontreront-ils de telles tentations ? On peut dire que chacun sera confronté à ce genre de tentations à des degrés divers dans des situations différentes, mais cela signifie-t-il que tous succomberont à la tentation et commettront le péché ? (Non.) Ce n’est pas tout le monde qui peut commettre des péchés, ce n’est pas tout le monde qui peut s’engager dans de telles activités – cela condamne ceux qui s’engagent dans ce genre d’activités et ils sont ainsi révélés. Cela montre qu’il y a quelque chose qui ne va pas dans leur tempérament et leur humanité. À qui peuvent-ils s’en prendre en ce qui concerne le résultat ? (Eux-mêmes.) Ils ne peuvent s’en prendre qu’à eux-mêmes, et à personne d’autre.

Certaines personnes, quelles que soient les transgressions qu’elles commettent pendant qu’elles diffusent l’Évangile, ne cherchent jamais la vérité pour les corriger, ne prient pas Dieu et ne s’engagent jamais dans une réflexion sur elles-mêmes, ce qui montre qu’elles sont obstinément impénitentes. À la fin ces personnes sont éliminées. J’ai entendu parler de quelqu’un qui, alors qu’il répandait l’Évangile, a pris possession d’une femme et ne lui a même pas permis de trouver un partenaire et de se marier ; la nature de ce comportement est très grave. Quel genre de personne fait cela ? (Une personne malfaisante.) De telles personnes malfaisantes peuvent-elles rester dans la maison de Dieu ? (Non.) La maison de Dieu n’a pas de place pour de tels tyrans ; ils déshonorent Dieu ! En faisant de telles choses, ils influencent la perception que d’innombrables personnes ont de Dieu et font en sorte que beaucoup Le comprennent mal ! Les gens diront : « Comment quelqu’un qui croit en Dieu peut-il faire de telles choses ? » C’est déjà une honte pour Dieu. Si l’Église n’expulse pas et ne gère pas de tels individus, mais les laisse continuer à répandre l’Évangile et leur offre une chance de se repentir, alors c’est complètement incorrect. Cette personne n’est pas un primodélinquant ; son comportement est grave par nature et elle devrait être directement expulsée. Autrement, cela déshonorerait Dieu et fournirait à Satan un moyen de juger et de condamner la maison de Dieu. Il ne faut donc pas donner à Satan l’occasion de gagner un levier ; ceux qui sont habituellement licencieux doivent être expulsés de l’Église. De tels individus sont des esprits licencieux qui ont déjà déshonoré Dieu et Dieu ne les sauvera absolument pas. Quelle que soit l’efficacité de leur prédication de l’Évangile ou le nombre de personnes qu’ils ont gagnées, s’ils ne suivent pas le bon chemin, ils se sont détruits et ont anéanti leur propre avenir. De telles personnes n’ont pas le droit d’exister dans la maison de Dieu ; elles sont des cibles à retrancher. Alors, leurs actes comptent-ils comme l’accomplissement de leur devoir ? Non, toutes leurs contributions ont été complètement effacées aux yeux de Dieu et Il ne S’en souviendra pas. Ils ne sont pas seulement inadéquats ; la nature de l’accomplissement de leur devoir a changé et ce dernier est devenu l’accomplissement du mal. Comment Dieu traite-t-Il ceux qui font le mal ? Il les retranche. Que signifie être retranché ? Cela signifie qu’ils sont retirés de la liste des personnes que Dieu a choisies et préparées pour être sauvées – ils n’appartiennent pas à cette liste. Ils sont au contraire classés parmi les esprits malfaisants, les démons immondes et les non sauvés. Quelles sont leurs chances d’atteindre le salut ? (Aucune.) Bien qu’ils aient accompli leurs devoirs et suivi Dieu comme d’autres, ce type de personne en arrive à ce point et est éliminé. Tu vois donc qu’il s’agit encore d’un autre type de personne. La nature de ce cas est-elle plus grave que celle du cas précédent ? (Oui.) Elle est encore plus grave ; ce cas est ciblé. Ce cas devrait être fusionné avec le troisième ; il entre dans la catégorie d’un cas particulier, typique du troisième exemple et il est ciblé. Quel devrait être le titre de ce cas ? « Les malveillants seront retranchés », choisissons d’appeler ce cas ainsi. Pour les trois types de personnes dans ces trois cas, l’accomplissement de leur devoir revenait essentiellement à rendre un service sans que cela n’ait d’effet. Que signifie « rendre un service sans que cela n’ait effet » ? Cela signifie qu’ils ont transformé leur devoir en une simple prestation de service – et même là, ils n’ont pas bien rendu service ou accompli correctement leur devoir. Ils n’ont pas traité leur devoir comme un devoir, ils ont même commis divers actes répréhensibles et actes malfaisants et ont finalement été éliminés, sans résultat positif. La nature de ces trois cas est très sérieuse.

Il y a un autre cas, et sa nature est également assez grave. Il y avait un individu qui accomplissait un travail depuis plusieurs années et, en apparence, il semblait poursuivre la vérité et se dépenser sincèrement. Il avait renoncé à se marier et à fonder une famille, il avait abandonné sa carrière et ses perspectives, il s’était rendu dans de nombreux endroits pour accomplir ses tâches et il avait également entrepris des travaux peu importants. Mais tout en accomplissant ses devoirs, il comprenait peu de vérité parce qu’il ne poursuivait pas réellement la vérité et il pensait bien faire simplement parce qu’il pouvait parler de quelques formules et doctrines. Ce qui était plus grave, c’est que cette personne ne pratiquait pas du tout la vérité. Ainsi, accomplir son devoir consistait simplement pour lui à prêcher quelques doctrines et à suivre quelques règlements, se comportant généralement de manière aimable envers les autres et n’offensant personne. En ce qui concerne la manière d’accomplir le travail de l’Église et les problèmes qui existaient encore, il n’y prêtait pas attention, ne faisait pas d’efforts et ne cherchait pas la vérité pour résoudre ces problèmes. En bref, son attitude envers le travail était superficielle et empreinte d’indifférence ; il ne semblait pas se relâcher, mais il ne se fatiguait pas non plus. Il ne semblait pas agir de manière superficielle, mais les résultats de son travail n’étaient pas particulièrement bons. Lors d’un incident particulier, en raison de sa négligence et de son attitude superficielle, il causa une perte de plus de 10 millions de yuans pour les offrandes à Dieu. Qu’est-ce que 10 millions de yuans ? Les gens ordinaires, en entendant ce montant, considèreraient cela comme une somme astronomique. Ils étaient estomaqués et osaient à peine y penser, n’ayant jamais vu autant d’argent de toute leur vie. Mais ce « vieux monsieur », après avoir causé une perte de plus de 10 millions de yuans en offrandes, n’avait aucun remords, aucun signe de repentance et n’était pas triste. Lorsque l’Église l’a expulsé, il s’est même plaint. Quelle sorte de créature ferait cela ? Discutons de deux aspects. Premièrement, si cette somme d’argent a été perdue pendant que tu travaillais, et quelle que soit la personne à blâmer, tu es responsable. Tu avais la responsabilité de protéger cet argent, mais tu ne l’as pas fait. C’est un manquement à ton devoir, car ce n’est pas de l’argent humain ; c’est une offrande, et les gens devraient la traiter avec la plus grande loyauté. Si les offrandes subissent une perte, que devrait-on en penser ? Même la mort ne serait pas une compensation suffisante ! Quelle est la valeur monétaire d’une vie humaine ? Si la perte est trop importante, même le fait de renoncer à sa vie ne suffira pas à la compenser ! La clé est que la nature de ce problème est trop grave. Ce « vieux monsieur » n’a pas pris au sérieux la perte de tant d’offrandes ; cette personne est trop détestable ! Perdre plus de 10 millions de yuans en offrandes, c’était pour lui comme perdre une centaine de yuans ; il ne l’a pas du tout signalé au Supérieur, n’avait aucun remords par rapport à ce problème et n’a pas dit à son entourage : « Analysons comment cet argent a été perdu et ce qu’il convient de faire. Devrions-nous le rembourser ou trouver une autre solution ? Ou peut-être devrions-nous informer le Supérieur, reconnaître notre responsabilité et démissionner, puis prier Dieu pour confesser nos péchés ? » Il n’a même pas eu cette attitude ; est-ce détestable ? (Oui.) C’est tout à fait détestable ! Sa capacité à commettre un si grand acte malfaisant révèle son attitude envers son devoir et envers Dieu. Deuxièmement, après avoir été expulsé, non seulement il ne l’a pas accepté, n’a pas confessé son péché et ne s’est pas repenti, mais il s’est même plaint. Une telle attitude dépasse l’entendement. Essayez seulement de penser à ce dont il pourrait se plaindre. Il s’est plaint : « J’ai cru en Dieu pendant plus de 20 ans, je ne me suis jamais marié, j’ai abandonné tant de choses, enduré tant de souffrances, et maintenant ils m’expulsent, me rejettent. Je vais trouver un autre endroit ! » Peu de temps après, il s’est marié. Dites-Moi, si une personne typique – une personne avec une conscience et une humanité – avait un minimum le sens de sa conscience, se marierait-elle aussi rapidement ? Serait-elle d’humeur à le faire ? En général, une personne dotée d’un minimum de conscience et d’humanité, confrontée à une question aussi grave, envisagerait même la mort en pensant : « Ma vie est finie, comment ai-je pu commettre un tel acte après avoir cru en Dieu pendant plus de 20 ans ? Je ne peux m’en prendre qu’à moi-même et je mérite d’être expulsé ! Oubliez les 10 millions, je n’ai même pas les moyens de rembourser un million. Même si je me vendais, je ne pourrais pas rattraper cette erreur, ma vie ne vaut rien ! » Pourquoi l’as-tu tout de même fait alors que tu savais que tu ne pouvais pas rembourser ? Ne savais-tu pas que cet argent était une offrande, dédiée à Dieu ? Cet argent ne t’appartenait pas ; ta responsabilité était de le protéger. Ce n’était pas quelque chose qui n’avait aucun rapport avec toi ; c’était quelque chose que tu devais garder en sécurité. C’était la chose la plus importante et ta négligence était un manquement à ton devoir. Après avoir perdu l’argent, tu ne pouvais certainement pas te dérober à ta responsabilité. En tant que personne qui croit en Dieu, n’avais-tu pas l’obligation et la responsabilité de garder ces offrandes en sécurité et d’éviter tout accident ? N’aurais-tu pas dû minimiser le risque que quelque chose se passe mal ? Si tu ne peux même pas faire cela, qu’es-tu ? N’es-tu pas un démon vivant ? (Si.) Cela est parfaitement dégoûtant et dépourvu d’humanité ! De plus, après avoir été expulsé, non seulement cet homme a cessé de croire en Dieu et s’est marié, mais il a également perturbé les croyants de sa famille – la nature de cela est encore plus grave. Il a accompli son devoir pendant de nombreuses années, abandonné beaucoup de choses, fait de nombreux sacrifices, travaillé beaucoup, pris des risques et fait de la prison. Mais ces facteurs externes ne déterminent pas le destin de quelqu’un. Qu’est-ce qui le détermine ? Le chemin que l’on choisit. S’il avait suivi le chemin de la recherche de la vérité, il n’en serait pas arrivé là et n’aurait pas causé une si grande perte à la maison de Dieu. Ce n’est absolument pas un hasard si un incident aussi important s’est produit ; cela était directement lié à la qualité de son humanité et au chemin qu’il a choisi. Pensez-vous que Dieu est conscient du chemin qu’il suit ? (Oui.) Dieu est au courant. Alors, cet incident avait-il pour but de le révéler ou de l’éliminer ? C’était à la fois de le révéler et de l’éliminer. Du point de vue humain, il semblait bien accomplir son devoir, avec loyauté, en se dépensant, avec la volonté de payer le prix et une capacité à endurer l’adversité. Alors pourquoi Dieu lui ferait-il une telle chose ? Pourquoi Dieu le révélerait-il ? Qu’est-ce qui devait être révélé ? S’agissait-il simplement de révéler ce résultat ? Non, il s’agissait de révéler sa foi, de révéler son humanité, de révéler son essence et sa nature – tout cela a maintenant été mis à nu. Dieu peut-il sauver une telle personne ? Dieu a-t-Il ne serait-ce qu’une lueur d’espoir pour lui ? Dieu n’a absolument aucun espoir pour une telle personne. Dieu a-t-il encore de l’amour ou de la miséricorde pour elle ? Pas du tout. Certains diront peut-être : « Si Dieu n’a ni amour ni miséricorde pour lui, alors ne reste-t-il que la justice, la majesté et la colère ? » C’est exact. Une personne aussi malfaisante n’a plus besoin d’amour ni de miséricorde, et elle n’en a plus besoin car elle a gravement offensé le tempérament de Dieu. Tout ce qui reste de Dieu pour elle, c’est la justice, la majesté et la colère. Son sort n’a rien à voir avec l’œuvre de gestion de Dieu, il n’a absolument rien à voir avec l’œuvre de Dieu qui consiste à sauver l’humanité ; cette personne a été éliminée et renvoyée. Par conséquent, peu importe où cette personne se trouve maintenant, aux yeux de Dieu, elle n’est qu’une morte-vivante, un cadavre ambulant qui habite parmi les démons immondes et les esprits malfaisants, parmi ceux qui portent des visages humains, mais possèdent des cœurs bestiaux et sont des bêtes vêtues d’habits humains. Telles sont ses qualités, et elle a été retranchée de la vue du Créateur. Considérant son résultat et son attitude finale envers cet événement majeur qui s’est produit dans sa vie, est-ce que son accomplissement du devoir pendant tout ce temps a quelque chose à voir avec le mot « adéquat » ? (Non.) Comment sais-tu que son travail n’était pas adéquat avant même que cet événement ne se produise ? Est-ce par jugement et déduction, ou as-tu fait cette évaluation en observant son essence ? (En observant son essence.) C’est exact. Prends Paul comme exemple : s’il avait poursuivi la vérité, s’il avait pu chercher à être parfait comme Pierre, il n’aurait pas prononcé de telles paroles blasphématoires. Chaque résultat est attribuable à une cause ; ce qui est arrivé à cet individu est lié à des raisons sous-jacentes. Le fait que cette personne ait pu en arriver là aujourd’hui, son attitude envers Dieu, son attitude envers les offrandes et son attitude envers ses propres actes malfaisants, cela est suffisant pour laisser voir aux gens clairement quel chemin elle suivait et qu’était vraiment sa foi en Dieu. Cela révèle complètement son essence et le chemin sur lequel elle se trouvait. Si elle avait été sur le chemin de la recherche de la vérité, sur le chemin qui consiste à craindre Dieu et à s’éloigner du mal, et si elle avait pu véritablement considérer son devoir comme sa responsabilité et son obligation, comment aurait-elle géré cette situation lorsqu’elle s’est inévitablement produite ? Elle n’aurait certainement pas eu l’attitude qu’elle a maintenant – celle de résister et de se plaindre. Son côté démoniaque a été mis à nu ; la nature-essence au plus profond de son âme a été complètement exposée. Ce n’est pas un être humain, c’est un démon. Si cet individu était humain, il n’aurait pas fini ainsi après avoir cru en Dieu pendant plus de 20 ans. S’il était humain, à quel point regretterait-il une si grande perte d’offrandes ? Combien de larmes aurait-il versées ? Dans quelle mesure tremblerait-il ? Il se sentirait inéluctablement responsable et coupable d’un terrible péché, se croyant impardonnable, et il estimerait devoir se repentir et confesser ses péchés à Dieu. À tout le moins, même si l’Église l’expulsait, il ne cesserait pas de croire ni ne trahirait Dieu, et encore moins ne troublerait la foi de sa famille en Dieu. Que discerne-t-on des différents comportements de cette personne après les faits ? Que c’est un incrédule qui n’aime pas la vérité et que son humanité est également malintentionnée. C’est le quatrième cas. Comment devrions-nous nommer ce cas ? (Le cas « Perdre dix millions en offrandes ».) Nous devrions y ajouter sa réaction et l’appeler « perdre dix millions en offrandes sans signe de repentance ». Ce nom n’est-il pas meilleur ? Il sert d’avertissement aux autres ; à tout le moins, il permet aux gens de prendre conscience de là où réside la gravité de ses actes.

La survenue de tous ces événements, les divers comportements affichés par ces personnes, ainsi que leurs attitudes à l’égard de Dieu après ces événements, sont tous apparus et ont été exposés dans le cadre de l’accomplissement de leurs devoirs. Par conséquent, dans une certaine mesure, le chemin que l’on emprunte pour croire en Dieu et le résultat final que l’on obtient sont étroitement liés à l’accomplissement de son devoir ; on pourrait même dire qu’il y a une relation directe. Le sujet de l’accomplissement des devoirs devrait être un sujet inépuisable et la vérité concernant cet aspect devrait également être un sujet inépuisable. C’est la vérité que les gens devraient le plus fondamentalement comprendre, et un sujet qui devrait être continuellement discuté dans le processus de croissance de vie des gens et de leur croyance en Dieu. C’est parce qu’il est inséparablement lié aux changements dans les tempéraments des gens, à leur entrée dans la vie, au type de chemin qu’ils suivent et au type de résultat qu’ils ont en fin de compte. Aujourd’hui, nous avons beaucoup échangé sur l’accomplissement des devoirs et nous avons également échangé sur plusieurs cas. L’objectif principal est de vous faire comprendre comment accomplir vos devoirs d’une manière que Dieu approuve, quelles sont les conséquences si vous faites le mal et l’importance d’accomplir vos devoirs selon les normes. Les événements présentés dans ces cas sont devenus progressivement plus graves et plus effrayants, mais ce n’est pas Moi qui les ai concoctés. Ils se sont vraiment produits parmi ceux qui croient en Dieu et qui sont dans les rangs de ceux qui accomplissent leurs devoirs. Qu’est-ce que cela signifie ? Certains disent : « Eh, il n’y a pas de problème si nous n’accomplissons pas nos devoirs, mais des problèmes surgissent toujours lorsque nous les accomplissons. Alors, est-ce acceptable de ne simplement pas accomplir nos devoirs ? » Que pensez-vous de ce raisonnement ? N’est-ce pas renoncer à manger de peur de s’étouffer ? N’est-ce pas stupide ? Tu dois apprendre à chercher la vérité pour résoudre ces problèmes ; c’est une attitude proactive et le genre d’attitude qu’une personne normale devrait avoir. Si tu as peur que des problèmes surviennent pendant que tu accomplis tes devoirs et que cela conduise à être condamné, expulsé, éliminé ou retranché, et finalement à perdre tout espoir d’atteindre le salut, et que tu cesses simplement d’accomplir tes devoirs ou que tu adoptes une approche négative et antagoniste à leur égard, quel genre d’attitude est-ce là ? (Une mauvaise attitude.) D’autres disent : « Notre humanité est trop médiocre pour accomplir des devoirs, alors pourquoi ne pas nous contenter de rendre service ? Dieu n’a pas de grandes exigences pour les exécutants, et il n’y a aucune norme ni aucun principe – il suffit de faire des efforts. Il suffit que nous fassions ce qui nous est demandé, d’être obéissants, de ne pas prendre de responsabilités importantes, et de ne pas avoir l’ambition de devenir un dirigeant ou un ouvrier. Le simple fait de pouvoir rester jusqu’à la fin serait la plus grande des bénédictions. » Qu’en est-il de ces motivations ? Ne sont-elles pas plutôt abjectes et viles ? Des individus aussi peu ambitieux peuvent-ils obtenir le salut de Dieu ? Une personne dépourvue d’humanité peut-elle rendre un service adéquat ? Ceux qui n’ont pas d’humanité ne peuvent pas rendre un service adéquat ; ils ne deviendront pas des exécutants loyaux qui pourront rester.

Le nombre d’exemples mentionnés au cours de ces derniers échanges est relativement élevé. Il est facile de se souvenir de ces événements, mais les vérités sur lesquelles j’ai échangé sont difficiles à comprendre. Cependant, il y a un avantage à cela : en discutant de ces événements, vous pourrez vous rappeler ou comprendre un peu les vérités qu’ils abordent. Si nous ne parlions pas de ces cas, il faudrait probablement faire plus d’efforts pour atteindre ce genre de résultat. Discuter de ces cas sert à la fois d’élan et d’avertissement, et cela aide les gens à trouver le bon chemin en eux-mêmes. Cela vous guide pour savoir quel chemin suivre dans votre foi afin de vous éviter de violer les décrets administratifs de Dieu, de commettre des erreurs majeures, ou de prendre la mauvaise direction. Le but principal est d’aider les gens à accomplir leurs devoirs de manière adéquate. Après avoir entendu ces quatre cas, comment vous sentez-vous ? Avez-vous une nouvelle compréhension de ce qu’est l’accomplissement adéquat des devoirs ? Est-il facile pour les gens d’accomplir leurs devoirs de manière adéquate ? (Ce n’est pas facile.) Où se situe la difficulté ? Est-ce parce que les gens ne comprennent pas la vérité et ne peuvent pas trouver de principes, et donc continuent à faire des erreurs ? (Non.) Alors où se trouve la difficulté ? C’est en cela qu’elle réside : les gens n’aiment pas la vérité et ne la recherchent pas non plus. Au cours de l’accomplissement de leurs devoirs, si les gens ne recherchent pas la vérité et ne la pratiquent pas, et s’ils sont cruels, malveillants et arrogants, cela peut facilement entraîner certaines conséquences et provoquer des résultats auxquels les gens ne s’attendent pas ou qu’ils ne souhaitent pas voir. Existe-t-il quelqu’un qui prévoit un mauvais résultat pour lui-même ? (Non.) Y a-t-il des gens qui espèrent juste un résultat médiocre, en se disant que tant qu’ils s’en sortent sans mourir, tout va bien ? (Oui.) Quel genre de personnes est-ce ? Ce sont des personnes qui ne poursuivent pas la vérité ; elles ne font que faire du sur-place jusqu’à la mort. Pour de telles personnes, l’accomplissement de leur devoir est voué à être complètement négligent, ce qui augmente pour elles le risque de faire des erreurs ou de commettre des péchés, et rend très difficile le fait d’accomplir leur devoir de manière adéquate. Quel genre de personne peut accomplir son devoir de manière adéquate ? (Les personnes qui recherchent la vérité.) Qui d’autre ? (Les personnes dotées d’humanité.) Qu’est-ce que l’humanité englobe ? (La conscience et la raison.) Ceux qui ont la conscience et la raison, qui possèdent l’humanité, accompliront facilement leurs devoirs selon la norme s’ils poursuivent la vérité. Certains disent : « Tu n’arrêtes pas de parler de ces exemples négatifs graves de personnes qui n’accomplissent pas leurs devoirs de manière adéquate et cela nous fait perdre confiance. Quand pourrons-nous atteindre la norme qui consiste à remplir nos devoirs de manière adéquate ? Existe-t-il des exemples positifs ? » Dans ce cas, discutons de quelque chose de plus inspirant et de plus positif. Actuellement, de nombreuses personnes commencent à se concentrer sur la poursuite de la vérité et à faire preuve de plus de diligence dans l’accomplissement de leurs devoirs. Par exemple, certains peuvent coopérer harmonieusement avec d’autres quand ils accomplissent leurs devoirs. Que signifie coopérer harmonieusement ? En voici une manifestation : il ne s’agit pas que tout le monde s’entende bien en apparence, sans qu’il y ait de conflits ou d’intrigues. La coopération harmonieuse signifie que lorsque tu es confronté à divers problèmes au travail – que tu aies ou non une connaissance précise de ce dont il s’agit et que ton point de vue soit correct ou non – tu peux toujours te concerter avec les autres, rechercher les vérités-principes et parvenir ensuite à un consensus. C’est cela la coopération harmonieuse. Quel est le but de la recherche d’un consensus ? Il s’agit de mieux faire ses devoirs, de mieux accomplir le travail de l’Église et de pouvoir témoigner de Dieu. Si tu veux que l’accomplissement de tes devoirs soit adéquat, alors dans l’accomplissement de ton devoir, tu dois d’abord parvenir à une coopération harmonieuse. Il y a des gens qui pratiquent déjà en ce moment la coopération harmonieuse. Après avoir compris la vérité, même s’ils ne sont pas capables de pratiquer pleinement la vérité, et même s’il y a des échecs, des faiblesses et des détours le long du chemin, ils s’efforcent toujours d’atteindre les vérités-principes. Ils ont donc l’espoir de parvenir à une coopération harmonieuse. Par exemple, il arrive peut-être que tu penses que ce que tu fais est juste, mais tu arrives à ne pas être suffisant. Tu peux discuter avec d’autres et échanger sur les vérités-principes avec eux jusqu’à ce qu’elles soient claires et apparentes, afin que tout le monde comprenne et soit d’accord pour dire que faire cela permettra d’obtenir le meilleur résultat. Et que tout le monde soit d’accord pour dire que cela ne sort pas des principes, prend en considération les intérêts de la maison de Dieu et protège les intérêts de la maison de Dieu au plus haut degré possible. Pratiquer de cette manière est conforme aux vérités-principes. Bien que le résultat final puisse ne pas toujours correspondre à ce que tu envisageais, le chemin, la direction et le but de ta pratique étaient justes. Comment Dieu le voit-il ? Comment Dieu définit-il cette question ? Dieu dira que l’accomplissement de ton devoir est adéquat. L’adéquation signifie-t-elle que ton devoir a été accompli conformément aux intentions de Dieu ? Non. L’adéquation est encore loin de satisfaire les intentions de Dieu, de recevoir l’approbation de Dieu et de constituer une pratique qui adhère pleinement aux exigences de Dieu. L’adéquation signifie simplement que tu es sur le bon chemin, que tes intentions sont bonnes et que ta direction est la bonne, mais tu n’as pas encore atteint la norme élevée qui consiste à agir selon les vérités-principes comme Dieu l’exige. Par exemple, en ce qui concerne la soumission, disons que la maison de Dieu te demande de faire quelque chose dans le cadre de l’accomplissement de tes devoirs. Comment devrais-tu pratiquer afin d’être à la hauteur dans l’accomplissement de tes devoirs ? Lorsque tu entends parler de cette tâche pour la première fois, il se peut que tu aies des opinions sur le sujet. Mais après réflexion, tu te dis : « Dieu a dit que nous devrions apprendre à chercher et à nous soumettre dans les domaines que nous ne comprenons pas. Je dois donc chercher. Même si je ne comprends pas la vérité ou ne sais pas comment je dois pratiquer, la tâche m’incombe, je dois donc m’y conformer et me soumettre. Même s’il ne s’agit que de suivre les règlements, je dois d’abord les suivre. » Si tu peux pratiquer de cette manière, alors tu réponds aux exigences. Mais y a-t-il un fossé entre répondre aux exigences et recevoir l’approbation de Dieu ? (Oui.) Cet écart est déterminé par la mesure dans laquelle tu comprends la vérité. Bien que tu puisses te soumettre, tu ne comprends pas les intentions de Dieu et tu n’as pas pleinement identifié les vérités-principes ou tu ne les as pas mises en pratique ; tu as simplement adhéré aux règlements. Tu as adhéré aux choses de base que l’on doit faire, selon les normes de la conscience et les règlements, donc en termes d’exécution, il n’y a pas de problèmes, et en ce qui concerne la nature de tes actions, il n’y a rien de mal. Cependant, cela ne répond pas à la norme de la pratique de la vérité ; tu ne comprends toujours pas les intentions de Dieu. Tu n’as fait que maintenir passivement et par réflexe l’accomplissement de tes devoirs ; tu ne les as pas accomplis correctement selon les vérités-principes. Tu n’as pas atteint un niveau qui te permet de témoigner de Dieu ou de satisfaire les intentions de Dieu. Tu n’as pas atteint la norme pour témoigner. Par conséquent, accomplir tes devoirs ainsi est simplement adéquat et ne te donne pas encore l’approbation de Dieu.

Quelle est la norme pour déterminer si une personne a accompli son devoir de manière adéquate ? Si la voie d’accomplissement du devoir est correcte, la direction est correcte et l’intention est correcte ; si l’origine est correcte et les principes sont corrects – alors si ces aspects sont corrects, le devoir accompli est adéquat. Beaucoup de gens comprennent cela en théorie, mais deviennent confus lorsqu’il leur arrive effectivement quelque chose. Pour résumer, je vais vous dire un principe : n’agissez pas arbitrairement et unilatéralement lorsque vous faites face à des situations. Pourquoi ne pouvez-vous pas agir de manière arbitraire et unilatérale ? D’une part, agir de la sorte n’est pas conforme aux principes de l’accomplissement du devoir. D’autre part, un devoir n’est pas une affaire privée ; vous ne le faites pas pour vous-même, vous ne vous engagez pas dans votre propre gestion, ce n’est pas votre affaire personnelle. Dans la maison de Dieu, quoi que tu fasses, tu ne travailles pas à ta propre entreprise : il s’agit du travail de la maison de Dieu, il s’agit de l’œuvre de Dieu. Tu dois constamment garder cette connaissance et cette perception à l’esprit et dire : « Ceci n’est pas une affaire qui m’est propre, je fais mon devoir et j’assume ma responsabilité. Je fais le travail de l’Église. C’est une tâche que Dieu m’a confiée et je la fais pour Lui. C’est mon devoir, et non ma propre affaire privée. » C’est la première chose que les gens doivent comprendre. Si tu considères un devoir comme ton affaire personnelle et que tu ne cherches pas les vérités-principes lorsque tu agis, et que tu l’accomplis selon tes propres motivations, tes propres idées et ton propre dessein, alors tu commettras très probablement des erreurs. Comment, donc, dois-tu agir si tu fais une distinction très claire entre ton devoir et tes affaires personnelles et que tu es conscient qu’il s’agit d’un devoir ? (En cherchant ce que Dieu demande et en cherchant des principes.) C’est vrai. Si quelque chose t’arrive et que tu ne comprends pas la vérité, et que tu as une idée mais que les choses ne sont toujours pas claires pour toi, alors tu dois trouver des frères et des sœurs qui comprennent la vérité pour échanger avec eux. C’est la recherche de la vérité, et c’est avant tout l’attitude que tu dois avoir vis-à-vis de ton devoir. Tu ne dois pas décider des choses en fonction de ce que tu penses être approprié, puis donner le coup de marteau et dire que l’affaire est classée : cela mène facilement à des problèmes. Un devoir n’est pas ton affaire personnelle ; qu’elles soient majeures ou mineures, les affaires de la maison de Dieu ne sont l’affaire personnelle de personne. Tant que cela est en lien avec un devoir, ce n’est pas une affaire privée, ce n’est pas une affaire personnelle – cela concerne la vérité, cela concerne un principe. Donc quelle est la première chose que vous devriez faire ? Vous devriez chercher la vérité et les principes. Et si vous ne comprenez pas la vérité, vous devez d’abord chercher les principes ; si vous comprenez déjà la vérité, il vous sera facile d’identifier les principes. Que dois-tu faire si tu ne comprends pas les principes ? Il existe un moyen : tu peux échanger avec ceux qui comprennent. Ne pars pas toujours du principe que tu comprends tout et que tu as toujours raison ; c’est un moyen facile de commettre des erreurs. Quel genre de tempérament montres-tu lorsque tu veux toujours avoir le dernier mot ? C’est de l’arrogance et de la suffisance, c’est agir de manière arbitraire et unilatérale. Certains pensent : « J’ai fait des études supérieures, je suis plus cultivé que vous, j’ai une bonne capacité de compréhension, vous êtes tous de petite stature et ne comprenez pas la vérité, alors vous devriez écouter tout ce que je dis. Je suis le seul à pouvoir prendre les décisions ! » Que penser de ce point de vue ? Si tu as ce genre de point de vue, tu vas aller au-devant de problèmes ; tu ne pourras jamais bien accomplir tes devoirs. Comment peux-tu bien accomplir tes devoirs si tu veux toujours avoir le dernier mot, sans coopération harmonieuse ? Accomplir tes devoirs de cette manière, ne te permettra absolument pas de répondre aux exigences. Pourquoi est-ce que Je dis cela ? Tu veux toujours contraindre les autres et les obliger à t’écouter ; tu ne tiens pas compte de ce que les autres disent. C’est de la partialité et de l’entêtement, c’est aussi de l’arrogance et de la suffisance. En faisant cela, non seulement tu n’accompliras pas bien tes devoirs, mais tu empêcheras aussi les autres de bien accomplir leurs devoirs. C’est la conséquence d’un tempérament arrogant. Pourquoi Dieu exige-t-Il une coopération harmonieuse de la part des gens ? D’une part, elle est bénéfique pour révéler les tempéraments corrompus des gens, leur permettant ainsi de se connaître eux-mêmes et de se débarrasser de leurs tempéraments corrompus – cela est bénéfique à leur entrée dans la vie. D’autre part, la coopération harmonieuse est également bénéfique pour le travail de l’Église. Puisque tout le monde manque de compréhension de la vérité et a des tempéraments corrompus, s’il ne peut y avoir de coopération harmonieuse, alors les gens ne seront pas capables d’accomplir leurs devoirs, ce qui aura un impact négatif sur le travail de l’Église. Cela a de graves conséquences. En résumé, pour accomplir son devoir de manière adéquate, il faut apprendre à coopérer harmonieusement et, lorsqu’on est confronté à des situations, il faut apprendre à échanger sur la vérité pour trouver des solutions. C’est essentiel – cela profite non seulement au travail de l’Église, mais aussi à l’entrée dans la vie du peuple élu de Dieu. Certaines personnes n’arrivent simplement pas à comprendre cela ; elles pensent toujours que la coopération harmonieuse est trop pénible et que, parfois, échanger sur la vérité ne donne pas facilement des résultats. Ces personnes émettent alors des doutes en disant : « Est-il vraiment nécessaire de coopérer harmonieusement pour accomplir son devoir de manière adéquate ? Face à une situation donnée, le fait que tout le monde échange ensemble produira-t-il forcément des résultats ? Je pense que tout cela n’est que du vent ; suivre ces règlements ne sert à rien. » Ce point de vue est-il correct ? (Non.) Quel problème ce point de vue expose-t-il ? (L’attitude de ces personnes face à l’accomplissement du devoir est problématique.) Certaines personnes ont un tempérament arrogant et suffisant ; elles ne sont pas disposées à échanger sur la vérité et veulent toujours avoir le dernier mot. Une personne aussi arrogante et suffisante peut-elle coopérer harmonieusement avec les autres ? Dieu exige des gens qu’ils coopèrent harmonieusement dans l’accomplissement de leurs devoirs afin de résoudre leurs tempéraments corrompus, de les aider à apprendre la soumission à l’œuvre de Dieu pendant l’accomplissement de leurs devoirs, et afin qu’ils puissent se débarrasser de leurs tempéraments corrompus, réalisant ainsi un accomplissement adéquat de leur devoir. Refuser de coopérer avec les autres et vouloir agir de manière arbitraire et unilatérale, en obligeant tout le monde à t’écouter, est-ce l’attitude que tu devrais avoir envers ton devoir ? Ton attitude face à l’accomplissement de ton devoir est liée à ton entrée dans la vie. Dieu ne Se soucie pas de ce qui t’arrive chaque jour, ni de la quantité de travail que tu accomplis, de l’effort que tu y consacres : ce qu’Il regarde, c’est ton attitude envers ces choses. Et à quoi se rapportent l’attitude avec laquelle tu fais ces choses et la façon dont tu les fais ? Elles se rapportent au fait que tu poursuives ou non la vérité, et aussi à ton entrée dans la vie. Dieu regarde ton entrée dans la vie, le chemin que tu suis. Si tu suis le chemin de la poursuite de la vérité et que tu as l’entrée dans la vie, tu pourras coopérer harmonieusement avec les autres lorsque tu accompliras tes devoirs, et tu accompliras facilement tes devoirs d’une manière adéquate. Mais si, dans l’accomplissement de ton devoir, tu insistes constamment sur le fait que tu as un capital, que tu comprends ton métier, que tu as de l’expérience, que tu tiens compte des intentions de Dieu et que tu poursuis la vérité plus que n’importe qui d’autre, et si tu penses donc qu’en raison de ces choses, tu es apte à avoir le dernier mot, que tu ne discutes de rien avec personne, que tu pratiques ta propre gestion, que tu essayes de diriger ta propre entreprise et que tu veux toujours être « la seule fleur ouverte », alors, est-ce que tu suis le chemin de l’entrée dans la vie ? Non, c’est la poursuite d’un statut, c’est suivre le chemin de Paul, ce n’est pas le chemin de l’entrée dans la vie. La manière dont Dieu conduit les gens à prendre le chemin de l’entrée dans la vie et le chemin de la poursuite de la vérité n’implique pas de tels comportements ni ne montre de telles manifestations. Quelle est la norme en ce qui concerne l’accomplissement adéquat du devoir ? (Chercher la vérité en toutes choses, être capable d’agir selon les principes.) C’est exact. Pour accomplir ton devoir de façon adéquate, peu importe depuis combien d’années tu crois en Dieu, peu importe le nombre de devoirs que tu as accomplis, ou combien de fois tu as contribué à la maison de Dieu, ou même ton degré d’expérience dans ton devoir. L’élément principal que Dieu examine, c’est le chemin qu’une personne emprunte. En d’autres termes, Il regarde l’attitude des gens vis-à-vis de la vérité, ainsi que les principes, l’orientation, l’origine et le point de départ de leurs actes. Dieu Se concentre sur ces aspects ; ce sont eux qui déterminent le chemin que tu empruntes. Si, au cours de l’accomplissement de ton devoir, ces choses positives n’apparaissent pas du tout en toi, et que les principes, le chemin et la base de ton action sont tes propres pensées, objectifs et schémas, que ton point de départ est de protéger tes propres intérêts et de sauvegarder ta réputation et ta situation, que ton mode opératoire consiste à prendre des décisions, à agir seul et à avoir le dernier mot, sans jamais discuter avec les autres ni coopérer harmonieusement, et sans jamais écouter de conseils quand tu as fait une erreur, et encore moins à chercher la vérité, alors comment Dieu te verra-t-Il ? Tu n’es pas encore au niveau si tu accomplis ton devoir de cette façon, et tu n’as pas fait le premier pas sur le chemin de la poursuite de la vérité, car, lorsque tu fais ton devoir, tu ne cherches pas les vérités-principes et tu agis constamment comme bon te semble, en faisant ce qui te plaît. C’est la raison pour laquelle la plupart des gens n’accomplissent pas leur devoir de manière appropriée. Alors, comment doit-on résoudre ce problème ? Diriez-vous qu’il est difficile d’accomplir son devoir de façon appropriée ? En fait, non ; les gens doivent seulement parvenir à adopter une attitude humble, à avoir un peu de raison et à prendre position de façon appropriée. Quels que soient ton niveau d’instruction, les récompenses que l’on t’a décernées ou ce que tu as accompli, et quels que puissent être ton statut et ton rang, tu dois descendre de tes grands chevaux : tout cela ne compte pour rien. Dans la maison de Dieu, quelles que soient ces gloires, elles ne peuvent être supérieures à la vérité, car ces choses superficielles ne sont pas la vérité et ne peuvent pas la remplacer. Il faut que tu sois clair sur ce sujet. Si tu dis : « Je suis très talentueux, j’ai l’esprit très acéré, j’ai des réflexes rapides, j’apprends vite et j’ai une excellente mémoire, je suis donc qualifié pour prendre la décision finale », si tu utilises toujours ces choses comme un capital et que tu les considères comme précieuses et positives, alors c’est un problème. Si ton cœur est occupé par ces choses, si elles ont pris racine dans ton cœur, il te sera difficile d’accepter la vérité, et les conséquences sont inimaginables. Par conséquent, tu dois d’abord mettre de côté et renier ces choses que tu adores, qui te semblent belles, qui te sont précieuses. Ces choses ne sont pas la vérité ; à l’inverse, elles peuvent t’empêcher d’entrer dans la vérité. La chose la plus urgente maintenant, pour toi, est de rechercher la vérité dans l’accomplissement de ton devoir et de pratiquer selon la vérité, de sorte que l’accomplissement de ton devoir devienne adéquat, car l’accomplissement adéquat du devoir n’est que le premier pas sur le chemin de l’entrée dans la vie. Que signifie ici « le premier pas » ? Cela signifie commencer un voyage. En toutes choses, il y a ce avec quoi commencer le voyage, quelque chose qui est le plus basique, le plus fondamental, et réussir l’accomplissement adéquat de son devoir est un chemin d’entrée dans la vie. Si l’accomplissement de ton devoir ne semble approprié que dans la façon dont il est fait, mais qu’il n’est pas conforme aux vérités-principes, alors tu n’accomplis pas ton devoir de manière adéquate. Comment, alors, doit-on travailler là-dessus ? Il faut étudier et rechercher les vérités-principes. Être équipé des vérités-principes, voilà ce qui est crucial. Si tu te contentes d’améliorer ton comportement et ton caractère, mais que tu n’es pas équipé des vérités-principes, cela ne sert à rien. Tu as peut-être un don ou une spécialité. C’est une bonne chose, mais ce n’est qu’en l’utilisant dans l’accomplissement de ton devoir que tu l’exploites correctement. Bien accomplir ton devoir n’implique pas que tu améliores ton humanité ou ta personnalité, ni que tu laisses de côté ton don ou ton talent. Ce n’est pas nécessaire. Ce qui est crucial, c’est que tu comprennes la vérité et que tu apprennes à te soumettre à Dieu. Il est pratiquement inévitable que tu révèles un tempérament corrompu lors de l’accomplissement de ton devoir. Que dois-tu faire dans de tels moments ? Tu dois rechercher la vérité pour résoudre le problème et arriver à agir conformément aux vérités-principes. Fais cela et tu n’auras aucun mal à bien accomplir ton devoir. Quel que soit le domaine dans lequel tu as un don ou une spécialité, ou quel que soit le domaine dans lequel tu as des connaissances professionnelles, l’utilisation de ces choses dans l’accomplissement de ton devoir est tout à fait appropriée – c’est la seule façon de bien accomplir ton devoir. L’un des éléments consiste à s’appuyer sur la conscience et la raison pour accomplir son devoir, et l’autre à rechercher la vérité pour résoudre son tempérament corrompu. En accomplissant son devoir de cette manière, on obtient l’entrée dans la vie et on devient capable d’accomplir son devoir de manière adéquate.

Tel que nous le voyons aujourd’hui, l’accomplissement adéquat du devoir est inséparable de la recherche de la vérité et du fait d’agir selon les vérités-principes. Si quelqu’un est incapable de rechercher la vérité pour résoudre les problèmes et atteindre le niveau qui consiste à agir selon les principes, alors il ne peut pas atteindre l’accomplissement adéquat du devoir. La définition de l’accomplissement adéquat du devoir est telle que nous l’avons décrite. Les exigences de Dieu envers l’homme sont-elles élevées ? En fait, elles ne sont pas élevées. Il te demande simplement d’avoir une attitude, une intention et un point de vue corrects quand tu agis. En te basant sur cela, tu peux obtenir l’œuvre du Saint-Esprit et approfondir ta connaissance de toi-même. Tu seras alors en mesure de subir des épreuves et des épurements, te permettant d’entrer dans des vérités plus profondes et de connaître des changements de tempérament. Avant que tu ne subisses des épreuves et des épurements, Dieu, sur la base de ta compréhension de la vérité, te donnera des jugements et des châtiments. Mais quel est le fondement des jugements et des châtiments, ainsi que des épreuves et des épurements ? C’est de savoir si tu as atteint le niveau pour accomplir ton devoir de manière adéquate – en d’autres termes, si tu as atteint l’entrée dans la vie. Ton entrée dans la vie n’est pas sans lien avec ton travail et tes responsabilités dans l’Église. Si tu passes toute la journée chez toi à lire les paroles de Dieu et à parler vainement de l’accomplissement de ton devoir et de l’entrée dans la vie, c’est irréaliste et stérile. C’est un peu comme une stratégie de salon ; tu parles toute la journée d’accomplir ton devoir de manière adéquate, de recevoir le mandat de Dieu, mais sans le moindre dévouement ou sans te dépenser, et certainement sans souffrir ou faire face à des difficultés. Même si parfois tu es ému aux larmes en chantant des hymnes ou en lisant les paroles de Dieu, cela ne produira aucun effet. De ce point de vue, y a-t-il un lien entre le fait d’atteindre le niveau d’accomplissement adéquat de ton devoir et le fait d’obtenir le salut ? Ou est-ce lié au fait de recevoir le jugement et le châtiment de Dieu ? Cela est lié. Pour recevoir le jugement et le châtiment de Dieu, il faut accomplir ses devoirs de manière adéquate. Pourquoi Dieu fixe-t-il une telle norme, exigeant des gens qu’ils accomplissent leurs devoirs de manière adéquate ? C’est parce que Dieu utilise l’accomplissement de ton devoir pour évaluer ton degré d’entrée dans la vie. Si tu as accompli ton devoir de manière adéquate, cela signifie que ton entrée dans la vie a déjà atteint un niveau qui te qualifie pour accepter le jugement et le châtiment, ce qui signifie également que tu es éligible pour accepter l’œuvre de perfectionnement de Dieu en toi. Alors quelles sont les conditions que Dieu a proposées à l’homme pour y parvenir ? L’accomplissement de ton devoir doit être considéré comme adéquat aux yeux de Dieu, ce qui signifie, en d’autres termes, qu’il existe une voie et une direction fondamentales pour ton entrée dans la vie que Dieu reconnaît et considère comme valable. Comment Dieu teste-t-il cela ? Principalement à travers l’accomplissement de ton devoir. Une fois que tu as mérité l’approbation de Dieu en accomplissant tes devoirs de manière adéquate, l’étape suivante commence immédiatement : Dieu commence à te soumettre au jugement et au châtiment. Quelles que soient les erreurs que tu commets, tu seras corrigé ; c’est comme si Dieu commençait à te surveiller de près. C’est une bonne chose – cela signifie que Dieu t’a approuvé, que tu n’es plus en danger et que tu es le bon type de personne qui ne commettra absolument pas d’actes manifestement malfaisants. D’un côté, Dieu te protégera ; d’un autre côté, subjectivement parlant, le chemin sur lequel tu t’es engagé, les objectifs et la direction de ta vie ont été enracinés dans la vraie voie. Tu ne quitteras pas Dieu, et tu ne dévieras pas. Ensuite, Dieu te perfectionnera certainement ; cette bénédiction est sur toi. Donc, si l’on veut recevoir cette bénédiction et marcher sur le chemin du perfectionnement, la première condition est de bien accomplir ses devoirs. Dieu observe tes diverses performances dans la maison de Dieu, ainsi que les tâches, les mandats et les missions qu’Il te confie, pour comprendre tes attitudes envers Lui et envers la vérité. À travers ces attitudes, Dieu évalue exactement le chemin que tu suis. Si tu es sur le chemin de la recherche de la vérité, alors l’accomplissement de tes devoirs sera à la hauteur et tu auras sûrement aussi l’entrée dans la vie et des degrés divers de changement de tempérament. Tout cela est réalisé au cours du processus d’accomplissement de tes devoirs. Avant que Dieu ne te perfectionne formellement, c’est le maximum que tu puisses atteindre en comptant sur les efforts humains. Sans l’œuvre de Dieu, tu ne peux atteindre que ce niveau ; il serait difficile d’aller plus loin. Tu ne peux compter que sur toi-même pour accomplir ce qui est dans tes moyens et correspond aux capacités humaines, comme te restreindre par la volonté, endurer la souffrance, payer le prix, renoncer, émonder les sentiments, abandonner le monde, reconnaître les tendances malfaisantes, te rebeller contre la chair, accomplir loyalement ton devoir, faire preuve de discernement et ne pas suivre l’homme. Lorsque tu as atteint tous ces objectifs, tu es qualifié pour être perfectionné par Dieu. En général, Dieu n’interfère pas avec ce que les humains peuvent accomplir. Il te fournit continuellement la vérité, t’abreuve continuellement, t’aide à comprendre la vérité, te dit comment saisir la vérité sous différents aspects et comment entrer dans les vérités-réalités. Une fois que tu auras compris ces réalités et que tu seras entré dedans, Dieu te donnera un certificat de qualification, et tes chances d’être sauvé seront de quatre-vingts pour cent. Cependant, avant d’atteindre les quatre-vingts pour cent, toute ton énergie et tous tes efforts doivent être investis ; tu ne peux pas vivre cette vie en vain. Certaines personnes disent : « Cela fait maintenant vingt ans que je crois en Dieu, ai-je investi toute mon énergie ? » Cela ne se mesure pas au nombre d’années. Certains disent : « Je crois en Dieu depuis cinq ans maintenant et j’ai compris certaines vérités. Je sais comment faire mon devoir de manière adéquate et je m’efforce d’aller dans ce sens ; je connais maintenant certaines voies et j’ai l’impression de me sentir plutôt en paix et réconforté dans mon cœur. » Ce sentiment est à peu près exact, mais cela signifie-t-il que tu as quatre-vingts pour cent de chances d’être sauvé ? Non ; quel pourcentage as-tu réellement atteint ? Entre dix et quinze pour cent. Parce que dans le processus d’accomplissement adéquat de ton devoir, tu dois encore faire l’expérience d’être émondé de nombreuses fois ; tu dois traverser beaucoup de circonstances. Dans ces circonstances, du côté positif, Dieu te permettra d’expérimenter pas mal de choses. Dans le processus d’exposition à ces personnes, événements et choses – c’est-à-dire dans ces circonstances pratiques – Dieu te fait comprendre certaines vérités. Pourquoi te fait-Il comprendre des vérités à travers ces personnes, ces événements et ces choses ? Si tu ne passes pas par ces expériences, ta compréhension de la vérité restera toujours au niveau des formules, des doctrines et des slogans. Une fois que tu as fait l’expérience de diverses circonstances dans la vie, ces doctrines que tu as précédemment comprises ou que tu as été capable de saisir et de saisir dans ta mémoire deviendront une sorte de réalité. Cette réalité est le côté pratique de la vérité, et c’est ce que tu dois comprendre et ce dans quoi tu dois entrer.

Quelles sont les chances que quelqu’un soit sauvé alors qu’il n’a pas encore rempli son devoir de manière adéquate ? Tout au plus entre dix et quinze pour cent, parce que cette personne ne comprend pas la vérité et ne peut absolument pas avoir une vraie soumission. Une personne qui ne comprend pas la vérité peut-elle agir selon des principes ? Peut-elle prendre son devoir au sérieux et de manière responsable ? Absolument pas. Ceux qui ne comprennent pas la vérité agissent clairement tous selon leur propre volonté, font les choses de manière superficielle, mêlent beaucoup de motivations égoïstes à ce qu’ils font, et agissent en fonction de leurs propres préférences. Même si tu peux parler de nombreuses doctrines, et que tu peux débiter des théories et des slogans, cela ne signifie pas que tu as la vérité-réalité, donc tes chances d’être sauvé sont basses. Pour atteindre le vrai salut, se libérer de l’influence de Satan et vivre selon la parole de Dieu, l’étape suivante consiste à consacrer des efforts à diverses vérités. Quel est le but de ces efforts ? Il s’agit d’entrer dans la vérité-réalité de manière plus précise et plus solide. Ce n’est que lorsque tu seras entré dans la vérité que tu pourras t’engager sur le bon chemin pour ta vie. Si tu ne sais que débiter des doctrines et des slogans, mais que tu ne saisis pas les vérités-principes pour accomplir ton devoir, et que tu es même capable d’agir de manière imprudente en te basant sur tes propres caprices, alors il te manque la vérité-réalité ; et tu es encore loin du compte. Après avoir fait l’expérience de nombreuses choses dans l’accomplissement de ses devoirs et s’être rendu compte de son incompréhension de la vérité et de ses lacunes, une personne commence à investir des efforts dans la vérité. Peu à peu, elle cesse de débiter des doctrines et des slogans et passe à une véritable compréhension, à une pratique exacte de la vérité et à une véritable soumission à Dieu. De cette façon, son espoir d’être sauvée augmente et les chances que ce soit le cas deviennent plus importantes. Sur quoi se fonde cette augmentation ? (Elle est basée sur son degré de compréhension de la vérité.) Le degré de compréhension de la vérité n’est pas le facteur le plus important ; ce qui compte le plus, c’est de pratiquer et d’entrer dans la vérité-réalité. Ce n’est qu’en pratiquant la vérité que tu peux la comprendre ; tu ne comprendras jamais la vérité si tu ne la pratiques pas. Comprendre simplement les formules et les doctrines n’est pas la même chose que comprendre la vérité. Plus tu pratiques la vérité, plus tu as de réalité, plus tu changes, et mieux tu comprends la vérité. Ainsi, ton espoir d’être sauvé augmentera en conséquence. Dans l’accomplissement de tes fonctions, du côté positif, si tu peux gérer tes devoirs de la bonne manière, ne jamais les abandonner, quelles que soient les circonstances auxquelles tu es confronté, et même si plus personne ne croit en Dieu et que tous cessent d’accomplir leurs devoirs, tu tiens ferme et n’abandonnes jamais tes devoirs du début à la fin, restant inébranlable et loyal à tes devoirs jusqu’au bout, alors tu traites véritablement tes devoirs comme des devoirs et tu fais preuve d’une loyauté totale. Si tu peux atteindre cette norme, tu as essentiellement répondu aux exigences en ce qui concerne l’accomplissement adéquat de tes devoirs. C’est pour le côté positif. Cependant, avant d’atteindre cette norme, du côté négatif, il faut être capable de résister à diverses tentations. Quel genre de problème cela pose-t-il lorsque quelqu’un ne peut pas résister aux tentations dans le processus d’accomplissement de son devoir, qu’il abandonne son devoir et s’enfuit, trahissant ainsi son devoir ? Cela revient à trahir Dieu. Trahir le mandat de Dieu, c’est trahir Dieu. Quelqu’un qui trahit Dieu peut-il encore être sauvé ? Cette personne est fichue, tout espoir est perdu et les devoirs qu’elle a accomplis auparavant n’étaient que des services rendus, qui se sont évanouis dans le néant avec sa trahison. Alors il est essentiel de tenir ferme dans son devoir ; en agissant ainsi, il y a de l’espoir. En accomplissant loyalement son devoir, on peut être sauvé et gagner l’approbation de Dieu. Qu’est-ce que chacun trouve le plus difficile dans le fait de tenir ferme dans son devoir ? C’est de savoir si l’on peut tenir bon face à la tentation. Que comprennent ces tentations ? L’argent, le statut, les relations intimes, les sentiments. Qu’y a-t-il d’autre ? Si certains devoirs comportent des risques, même des risques pour la vie, et que l’accomplissement de ces devoirs peut entraîner l’arrestation et l’emprisonnement, voire la persécution jusqu’à la mort, peux-tu quand même accomplir ton devoir ? Peux-tu persévérer ? La facilité avec laquelle ces tentations peuvent être surmontées dépend de si la personne poursuit la vérité. Elle dépend de la capacité de chacun à discerner et à reconnaître progressivement ces tentations tout en poursuivant la vérité, à reconnaître leur essence et les ruses sataniques qui les sous-tendent. Elle nécessite également de reconnaître ses propres tempéraments corrompus, sa nature-essence et ses faiblesses. Il faut aussi demander continuellement à Dieu de nous protéger pour pouvoir résister à ces tentations. Si l’on peut y résister, et tenir ferme dans son devoir sans trahir ni fuir en aucune circonstance, alors la probabilité d’être sauvé atteint cinquante pour cent. Est-ce que ces cinquante pour cent sont facilement atteignables ? Chaque étape est un défi, plein de périls ; ils ne sont pas faciles à atteindre ! Y a-t-il des gens qui trouvent la poursuite de la vérité si difficile qu’ils pensent que la vie est trop épuisante et qu’ils préféreraient être morts ? Quel genre de personnes ressentent cela ? C’est ce que ressentent les incrédules. Simplement pour survivre, les gens sont capables de se creuser les méninges, d’endurer n’importe quelle épreuve et de s’accrocher encore à la vie avec ténacité dans les catastrophes, sans abandonner jusqu’à leur dernier souffle – s’ils croyaient en Dieu et poursuivaient la vérité avec une telle vigueur, ils obtiendraient certainement les résultats voulus. Si les gens n’aiment pas la vérité et ne veulent pas faire d’efforts pour la trouver, ce sont des bons à rien ! La poursuite de la vérité n’est pas quelque chose que l’on peut atteindre par un simple effort humain ; cela exige un effort humain combiné à l’œuvre du Saint-Esprit. Cela exige que Dieu orchestre divers environnements pour tester et épurer les gens et que le Saint-Esprit travaille à les éclairer, à les illuminer et à les guider. La souffrance que l’on endure pour obtenir la vérité est tout à fait justifiée. Tout comme les alpinistes qui risquent leur vie pour escalader des sommets, ils n’ont pas peur des difficultés dans leur quête pour repousser les limites, au point même de risquer leur vie. Croire en Dieu et atteindre la vérité est-il plus difficile que d’escalader une montagne ? Quel genre de personnes sont celles qui désirent des bénédictions, mais ne veulent pas souffrir ? Ce sont des bons à rien. Tu ne peux pas poursuivre et obtenir la vérité sans volonté ; tu ne peux pas le faire sans capacité à souffrir. Tu dois payer un prix pour l’obtenir.

Les gens en sont venus à comprendre la définition de l’adéquation, la norme à laquelle correspond l’adéquation, la raison pour laquelle Dieu a établi cette norme d’adéquation, la relation entre l’accomplissement adéquat de son devoir et l’entrée dans la vie, et d’autres facteurs de ce genre liés à la vérité de l’accomplissement adéquat du devoir. S’ils parviennent alors à se cramponner à leur devoir en tout temps et en tout lieu, sans l’abandonner, à résister à toutes sortes de tentations, puis à comprendre et à acquérir la connaissance et l’entrée dans toutes les vérités que Dieu exige dans toutes les différentes situations qu’Il leur propose, alors, du point de vue de Dieu, ils ont fondamentalement atteint le niveau d’adéquation. Il y a trois ingrédients fondamentaux pour atteindre l’accomplissement adéquat de son devoir : premièrement, avoir une attitude correcte envers son devoir et ne l’abandonner à aucun moment ; deuxièmement, être capable de résister à toutes sortes de tentations tout en accomplissant son devoir et sans trébucher ; troisièmement, être capable de comprendre tous les aspects de la vérité tout en accomplissant son devoir et entrer dans la réalité. Lorsque les gens s’acquittent de ces trois choses et ont rempli ces exigences, alors la première condition préalable pour pouvoir accepter le jugement et le châtiment et pour être perfectionné – l’accomplissement adéquat de son devoir – aura été remplie.

En ce qui concerne l’accomplissement adéquat des devoirs, certains aspects du terme « adéquat » ont déjà été discutés. Comment le terme « adéquat » a-t-il été défini de manière générale dans les discussions précédentes ? (Il s’agit d’agir selon des principes.) « L’adéquation » dont nous allons parler aujourd’hui se rapporte plus précisément aux intentions de Dieu et aux normes qu’Il exige de l’homme. Pourquoi Dieu exige-t-Il que les gens accomplissent leur devoir selon une norme adéquate ? Cela est lié à l’intention de Dieu de sauver les gens et à Ses normes pour sauver et perfectionner les gens. Si tu n’accomplis pas ton devoir de manière adéquate, Dieu ne te perfectionnera pas ; c’est la condition la plus importante pour que Dieu perfectionne les gens. Par conséquent, la question de savoir si quelqu’un peut être perfectionné par Dieu dépend essentiellement de l’accomplissement adéquat de son devoir. Si tu n’accomplis pas ton devoir de manière adéquate, alors l’œuvre de Dieu de perfectionnement des gens n’a rien à voir avec toi. Cela dit, certaines personnes sont sur le bon chemin en ce qui concerne l’accomplissement de leur devoir, et leur direction est également correcte, mais elles ne peuvent toujours pas être considérées comme accomplissant leurs devoirs de manière adéquate. Pourquoi ? Parce que les gens comprennent trop peu la vérité. C’est comme certains enfants qui veulent partager des responsabilités domestiques avec leurs parents, mais ils n’ont pas la stature pour le faire. À quel moment auront-ils la stature pour vraiment partager certaines responsabilités domestiques ? C’est lorsqu’ils pourront faire certaines choses sans inquiéter les adultes ; c’est alors qu’ils peuvent participer aux tâches domestiques – c’est alors qu’ils peuvent le faire. Bien que tu puisses faire certaines choses maintenant, tu restes encore de ceux qui déploient des efforts et rendent service parce que la vérité que tu comprends est trop superficielle, la vérité que tu peux mettre en pratique est trop réduite, et les principes que tu peux saisir sont trop peu nombreux. Tu es souvent en train de tâtonner, tu agis souvent dans le flou, il t’est donc très difficile de vérifier si ce que tu fais est conforme aux intentions de Dieu ; tu n’es jamais au clair dans ton esprit. Peut-on considérer que tu accomplis ton devoir de manière adéquate ? Non, parce que tu ne comprends pas assez la vérité et que ton entrée dans la vie n’a pas atteint le niveau requis par Dieu ; ta stature est trop petite. Qu’est-ce que cela signifie lorsque l’on dit que la stature de quelqu’un est trop petite ? Certains disent qu’il s’agit d’avoir une compréhension superficielle de la vérité, mais en fait il ne s’agit pas seulement d’avoir une compréhension superficielle de la vérité. C’est aussi directement lié à l’humanité immature de la personne ou à son faible calibre, et au fait d’avoir trop de choses négatives. Par exemple, si un devoir t’incombe maintenant et que tu ne sais pas comment l’accomplir, tu peux avoir le sentiment d’être inutile et que tu ne peux pas tenir compte des intentions de Dieu. Cela te conduit à devenir négatif et faible, à avoir le sentiment que les arrangements de Dieu sont mauvais et que tu ne peux rien faire, et que tu es sûr d’être éliminé. Après cela, tu ne veux plus accomplir ton devoir. N’est-ce pas là la manifestation d’une petite stature ? De plus, il y a maintenant beaucoup de jeunes frères et sœurs qui ne sont pas encore mariés. S’ils rencontrent un bel homme ou une belle femme, ils peuvent être séduits, et quelques regards échangés entre eux peuvent faire naître des sentiments ; avec de tels sentiments naissants, peuvent-ils encore bien accomplir leurs devoirs lorsqu’ils commencent à se fréquenter ? C’est ce qu’on appelle tomber dans la tentation. N’est-ce pas le signe d’une petite stature ? Ça l’est clairement. De plus, certaines personnes ont des dons particuliers et accomplissent des devoirs particuliers dans la maison de Dieu. Cela leur donne l’impression d’avoir un certain capital, alors elles veulent se donner des airs et veulent toujours se mettre en avant. Dès qu’elles le font, elles perdent leurs principes en ce qui concerne l’accomplissement des choses. Et si d’autres les louent ne serait-ce qu’un peu, elles perdront certainement leurs principes en ce qui concerne l’accomplissement des choses, elles feront preuve de complaisances et oublieront leurs devoirs. Cela aussi, c’est tomber dans la tentation. N’est-ce pas révélateur d’une petite stature ? Les plus insignifiantes affaires peuvent faire trébucher une personne de petite stature. Par exemple, certaines personnes travaillent comme acteurs dans la maison de Dieu ; grâce à leur apparence et à leur charisme, elles apparaissent dans quelques films et ont l’impression d’avoir acquis une petite célébrité. Elles pensent : « Je me suis un peu fait un nom maintenant ; si c’était dans le monde séculier, les gens ne me demanderaient-ils pas un autographe ? Pourquoi personne dans la maison de Dieu ne veut-il mon autographe ? Je ferais mieux de jouer dans un autre bon film. » Cependant, lorsqu’elles n’obtiennent pas le rôle principal dans le film suivant, elles ont envie de laisser tomber leurs devoirs, les jugeant inutiles. Elles veulent toujours jouer des rôles principaux et devenir des acteurs célèbres, et lorsqu’elles n’y parviennent pas, elles se découragent, deviennent moroses et envisagent même d’abandonner. C’est cela avoir une petite stature. Avoir une petite stature signifie que tu n’es pas apte à assumer des responsabilités importantes. Même si Dieu te confie un devoir, tu n’arrives toujours pas à gagner Sa confiance. Il suffit d’une mauvaise pensée ou d’une chose qui ne va pas dans ton sens, et tu risques de renoncer à tes devoirs et de te retourner contre Dieu. N’est-ce pas aussi l’indication d’une petite stature ? (Si.) C’est une stature excessivement petite. Avec une stature aussi petite et de tels comportements, quelle est la distance qui sépare une personne de l’accomplissement adéquat de ses devoirs ? Où se situe le fossé ? Il se situe dans le niveau d’amour que la personne a pour la vérité. Il y a aussi des gens qui, dans l’accomplissement de leurs devoirs, découvrent que le membre le plus proche de leur famille est tombé malade. Ils cessent alors d’assister aux réunions et négligent leurs devoirs, pensant que laisser de côté leurs devoirs pendant quelques jours est sans conséquence – après tout, si leur proche venait à mourir, il partirait à jamais. Mais ils ne considèrent pas que l’accomplissement de leurs devoirs est une question cruciale liée au gain de la vie, que c’est leur seule chance d’atteindre le salut. Ils placent les sentiments et la famille au-dessus de leurs devoirs et du salut. N’est-ce pas là l’indication d’une petite stature ? Leur stature est bien trop petite ! Cela montre qu’ils ne comprennent pas les véritables affaires de la vie et qu’ils ne savent pas s’engager dans les tâches appropriées. La taille de la stature d’une personne dépend-elle de son âge ? Non. Les êtres humains corrompus, qu’ils soient hommes ou femmes, et indépendamment de leur âge, de leur lieu de naissance ou de leur nationalité, ont tous le même tempérament corrompu. Ils possèdent tous la nature de Satan et peuvent se rebeller contre Dieu et lui résister, commettant toutes sortes de méfaits. Si quelqu’un ne recherche pas la vérité, peut-il faire preuve d’une véritable repentance ? Jamais ; il ne changera pas. Certaines personnes tombent malades et crient qu’elles s’en remettent à Dieu et qu’elles ne craignent pas la mort, mais elles sentent aussi qu’elles ne peuvent pas rester là à ne rien faire. Elles pensent que si elles n’accomplissent pas leurs devoirs, elles mourront sûrement, alors elles vont immédiatement accomplir leurs devoirs. Elles cherchent quel devoir comporte les tâches les plus chargées et est le plus important, lequel a de la valeur aux yeux de Dieu, et se précipitent pour s’y inscrire. Tout en accomplissant leur devoir, elles ne cessent de se demander : « Cette maladie peut-elle être guérie ? J’espère bien que oui, j’ai consacré ma vie, ne devrais-je pas être guéri ? » En réalité, la maladie dont elles souffrent est en phase terminale ; qu’elles accomplissent ou non leur devoir, elles mourront. Bien qu’elles soient venues accomplir leur devoir maintenant, Dieu observe le cœur de l’homme – avec une si petite stature et une telle motivation, ces gens peuvent-ils bien accomplir leur devoir ? Absolument pas. Les gens de ce genre ne poursuivent pas la vérité, et leur humanité n’est pas bonne. Ils ont toujours leurs propres petits projets en tête. Dès que leur maladie se déclare ou qu’ils se sentent un tant soit peu mal en point, ils commencent à se demander : « Dieu m’a-t-Il vraiment béni ? A-t-Il vraiment pris soin de moi et m’a-t-Il protégé ? Il semble qu’Il ne l’ait pas fait, alors je ne vais plus accomplir mes devoirs. » Dès qu’ils se sentent un peu mal à l’aise, ils veulent abandonner leurs devoirs. Ont-ils la moindre stature ? (Non.) Par conséquent, ne pense pas que le simple fait que diverses personnes puissent s’asseoir ici et écouter des sermons, ou qu’elles puissent abandonner leurs familles et leurs carrières pour accomplir leurs devoirs à un poste quelconque dans la maison de Dieu – en faisant un travail lié à leurs propres compétences professionnelles ou domaines d’expertise – signifie qu’elles accomplissent nécessairement leurs devoirs. Cela ne signifie pas non plus que tous ceux qui accomplissent leurs devoirs le font de bon gré, et encore moins que tous ceux qui accomplissent leurs devoirs possèdent une certaine stature. En apparence, les gens semblent occupés et semblent faire des choses et se dépenser volontairement pour Dieu parce qu’ils croient sincèrement en Dieu. En réalité, au fond de leur cœur, tout le monde est souvent faible. Les gens nourrissent souvent la pensée d’abandonner leurs devoirs, ont souvent leurs propres plans, et encore plus souvent espèrent que l’œuvre de Dieu se terminera bientôt afin qu’ils puissent rapidement recevoir des bénédictions. C’est leur seul but. Ce que Dieu cherche à régler, ce sont ces faiblesses humaines, la rébellion et la petite stature, ainsi que les pensées et les actions ignorantes des gens. Lorsque toutes ces questions sont résolues et ne sont plus des problèmes, lorsque rien de ce qui se passe ne peut affecter ta capacité à accomplir tes devoirs, alors c’est suffisant, et ta stature s’est développée. Le chemin qu’une personne empruntera en fin de compte, et la mesure dans laquelle elle l’empruntera ne sont pas déterminés par la force avec laquelle elle crie des slogans ni par ses émotions ou ses désirs éphémères. Cela dépend plutôt de sa poursuite et de son degré d’amour pour la vérité.

Dans quelles situations allez-vous renoncer à votre devoir ? Lorsque vous êtes confrontés à la mort ? Ou lorsque vous rencontrez de petites déceptions dans la vie ? Certaines personnes ont de nombreuses exigences lorsqu’il s’agit d’accomplir leur devoir. D’une part, elles ne doivent pas être exposées au vent ou au soleil, et leur environnement de travail doit être confortable. Elles ne peuvent supporter le moindre grief. D’autre part, elles doivent souvent être avec leur mari (ou leur femme), vivre un monde à deux, et aussi avoir leur propre vie privée, comme sortir pour se divertir, partir en vacances et ainsi de suite, autant de choses qui doivent les satisfaire. Si elles sont ne serait-ce que légèrement insatisfaites, elles seront mal à l’aise dans leur cœur et constamment rancunières, et elles dérangeront même les autres en répandant des notions. Certaines personnes qui comprennent la vérité peuvent voir que ces gens ne sont pas bons, que ce sont des incrédules, et elles s’éloigneront d’eux. Mais il y a des gens qui ne comprennent pas la vérité ; ils ont une petite stature et manquent de discernement, et ils seront affectés par les troubles créés par ces gens. Dites-Moi, est-ce que de tels malfaiteurs doivent être éliminés de l’Église ? (Oui.) Ce genre de personne, qui interrompt et perturbe constamment le travail de l’Église, doit être éliminé pour protéger ceux qui ont une petite stature et qui sont ignorants. Dans quelles circonstances pourriez-vous vous-mêmes abandonner vos devoirs et partir sans préavis ? Par exemple, alors que tu es en train de répandre l’Évangile, tu vois quelqu’un qui est particulièrement beau et qui s’exprime avec charisme. Plus tu le regardes, plus ton adoration se développe et tu penses : « Comme ce serait bien de ne pas accomplir mon devoir et de trouver un partenaire comme lui ! » Dès que tu penses ainsi, tu es en danger ; il te sera facile de succomber à la tentation. Une fois que tu y as trop réfléchi, tu es décidé à poursuivre cette relation. Lorsque tu as finalement conquis cette personne, tu te rends compte qu’elle est aussi un être humain corrompu et qu’elle n’est pas si merveilleuse que cela, mais il est alors trop tard pour regretter. Une fois que quelqu’un tombe dans la tentation d’une relation amoureuse, il n’est pas facile d’en sortir. Il ne sera pas facile de revenir en arrière sans y passer un ou deux ans, ou trois à cinq ans. Pendant ces trois à cinq ans que tu as perdus, combien de la vérité t’échappera-t-elle ? Quelle sera l’ampleur de la perte pour ta vie ? Dans quelle mesure ta croissance de vie sera-t-elle retardée ? Certaines personnes voient les autres gagner beaucoup d’argent dans le monde séculier, porter des vêtements de marque, bien manger et bien boire, et leur cœur s’agite ; elles veulent aussi gagner de l’argent. C’est ainsi que naît la tentation. Toutes les personnes dont l’esprit s’emballe lorsqu’elles sont confrontées à diverses situations, qui pensent à abandonner leur devoir et ne sont pas capables de résister à la tentation, sont en danger. C’est un signe de petite stature. Tu te sens contrarié et mécontent lorsque tu vois quelqu’un d’autre manger de bons plats. Tu te sens également mécontent lorsque tu vois quelqu’un d’autre avec un bon partenaire. Et tu deviens malheureux lorsque tu vois quelqu’un qui a à peu près ton âge et qui est aussi attirant que toi, mais qui est mieux habillé et même célèbre. Tu commences à te dire que si tu n’avais pas abandonné tes études et si tu avais obtenu un diplôme et trouvé un bon métier, tu ferais certainement mieux que lui. Chaque fois que tu es confronté à ces situations, tu te sens mal pendant des jours. Ces tentations sont une sorte de contrainte, une sorte de contrariété pour toi, ce qui montre que tu as une petite stature. Lorsque tu répands l’Évangile et que tu rencontres un membre du sexe opposé qui te convient, quelqu’un du type « grand, riche et beau » ou une femme à la peau claire, riche et belle, tu n’es pas forcément capable d’éviter la tentation. Que signifie le fait que tu ne sois pas capable de l’éviter ? Cela signifie que ta stature n’a pas atteint un niveau te permettant de surmonter les diverses tentations ; tu ne peux pas les éviter, alors ton cœur est pris d’assaut et attiré. Ce à quoi tu penses, ce à quoi tu réfléchis et même ce dont tu rêves et discutes avec d’autres, tout devient lié à ces questions. Cela affecte l’accomplissement de tes devoirs ; pendant les échanges sur la vérité, les autres ont beaucoup à dire, alors que tu contribues de moins en moins, et croire en Dieu ne t’intéresse plus. N’est-ce pas se faire appâter ? Cela signifie tomber dans la tentation, et c’est dangereux. Certains pensent qu’on ne tombe dans la tentation que lorsqu’on commence à fréquenter quelqu’un ou qu’on sort avec lui, mais en réalité, lorsque tu as atteint ce stade, tu es fichu. Des situations de ce type pourraient-elles se produire si vous étiez confrontés à de telles questions ? (Je ne sais pas.) Si vous ne le savez pas, cela prouve que votre stature est petite. Pourquoi cela prouve-t-il que votre stature est petite ? D’une part, tu n’as jamais été confronté à de telles questions et tu ne sais donc pas comment tu réagirais ; tu ne te connais pas bien. D’autre part, face à ce genre de situation, tu n’as pas l’attitude et l’approche appropriées pour faire face à ce genre de problème. Si tu ne peux pas chercher la vérité pour résoudre le problème, cela signifie que tu es passif. Ta passivité prouve que tu es de petite stature, et que tu es ignorant. Même si tu ne séduis pas activement les autres, les autres peuvent certainement te séduire, ce qui met la tentation sur ton chemin. Si tu ne peux pas la surmonter, c’est un problème. Par exemple, que se passera-t-il si quelqu’un t’offre de l’argent et un statut, ou si une personne encore meilleure se présente et essaie de te séduire ? Serait-il facile de surmonter cela ? Quelles sont les chances que tu y parviennes ? On dit que certaines personnes, après avoir reçu seulement deux chocolats de quelqu’un qui leur plait, tombent amoureuses et envisagent d’entamer une relation avec cette personne – c’est dire à quel point leur stature est petite. Est-ce parce qu’elles ne croient pas en Dieu depuis assez longtemps ? Pas forcément. Certaines personnes sont croyantes depuis plus de dix ans et peuvent encore tomber dans la tentation lorsqu’elles sont confrontées à de telles situations. Que ce soit la première, la deuxième ou la troisième fois qu’elles rencontrent ce genre de situation, elles peuvent toujours être tentées. Quelle en est la raison ? Leur stature est petite, et elles ne comprennent vraiment pas certaines vérités. Pourquoi ne comprennent-elles pas ? Parce qu’elles ne poursuivent pas la vérité ; elles ont toujours l’esprit confus. Pour ces gens, ces questions ne sont pas importantes. Ils se disent : « Si un bon parti se présente, pourquoi ne puis-je pas me marier ? C’est juste que je n’ai encore rencontré personne qui me convienne et que personne ne m’impressionne, alors je me débrouillerai. » Cette façon de faire n’est pas une attitude de poursuite de la vérité ; ce n’est pas marcher sur le chemin du salut et du perfectionnement – ce n’est pas cet état d’esprit. Ils veulent juste se débrouiller, vivre chaque jour comme il vient et aller là où la vie les mène. Et s’il arrive vraiment un jour où ils ne peuvent plus continuer, alors qu’il en soit ainsi. Ils ne s’intéressent pas à l’intention de Dieu de sauver les gens ou à l’œuvre que Dieu accomplit en vue de ce salut. De plus, ils ne cherchent pas sincèrement les diverses vérités liées au salut de l’homme par Dieu et ils ne les prennent pas non plus à cœur. Certains pourraient dire : « Mais ils viennent toujours écouter les sermons, comment peux-Tu dire qu’ils ne prennent pas ces choses à cœur ? » Mais le simple fait d’observer le rituel de participation aux réunions et d’écoute des sermons ne signifie pas accepter la vérité. Il y a beaucoup de gens qui écoutent les sermons, mais combien pratiquent réellement la vérité ? Plus rares encore sont ceux qui s’engagent sur le chemin de la poursuite de la vérité. Il y a beaucoup de gens qui se concentrent uniquement sur le fait de comprendre des doctrines et d’enrichir leurs propres notions et ce qu’ils imaginent lorsqu’ils écoutent les sermons. Ceux qui aiment la vérité écoutent dans le but de la rechercher et de l’accepter. Ils sont capables d’écouter les sermons et de réfléchir sur eux-mêmes, en comparant ce qu’ils ont entendu à leurs propres états, et ils se concentrent sur la résolution de leurs tempéraments corrompus. Ils s’accrochent aux aspects pratiques de la vérité ; ils mettent l’accent sur le fait de pratiquer et de faire l’expérience de ces aspects, et sur l’acquisition de la vérité. Par conséquent, ceux qui aiment la vérité écoutent les sermons afin d’obtenir la vie, de comprendre la vérité et de se transformer. Ils acceptent la vérité dans leur cœur, et lorsqu’ils la pratiquent, la vérité qu’ils comprennent leur est bénéfique ; comprendre la vérité donne un chemin. Quant à ceux qui ne poursuivent pas la vérité, ils écoutent les sermons de manière confuse. Ils écouteront un sermon entier du début à la fin, et quand tu leur demanderas après coup ce qu’ils ont compris, ils diront : « J’ai tout compris, j’ai pris des notes claires sur tout. » Mais si tu demandes en quoi cela les aide, ils diront vaguement que c’est assez utile. Est-ce vraiment utile ? Non, parce qu’ils n’ont pas acquis les vérités du sermon. Pourquoi ne l’ont-ils pas fait ? Parce qu’ils ne l’ont pas accepté, alors comment pourraient-ils l’acquérir ? Certains disent : « Comment ont-ils pu ne pas l’acquérir ? Comment ont-ils pu ne pas l’accepter ? Ils ont écouté très attentivement et ont même pris des notes. » Certains prennent des notes par pure formalité, et non parce qu’ils aspirent à la vérité. Ceux qui échangent sur la vérité ne l’acceptent pas forcément ; cela dépend si leur cœur aspire vraiment à la vérité. Alors que signifie réellement accepter la vérité ? Cela signifie qu’après avoir lu les paroles de Dieu, on peut les aligner sur ses propres états, sa propre conduite et ses propres actes, les principes de la croyance en Dieu, les mandats et les responsabilités données par Dieu, et le chemin sur lequel on marche. On peut réfléchir sur soi-même par rapport à toutes ces choses, les voir clairement, parvenir à la compréhension de la vérité, puis la pratiquer et y entrer. C’est seulement ainsi que l’on accepte la vérité ; c’est seulement ainsi que l’on poursuit la vérité.

À l’instant, nous avons discuté des manifestations des personnes de petite stature. Dans le processus graduel de compréhension de la vérité, les gens résoudront progressivement les problèmes liés à leur petite stature, telles que la bêtise, l’ignorance, la timidité et la faiblesse. À quoi fait-on référence quand on parle de faiblesse ? Cela signifie que l’élément de ta croyance en Dieu est particulièrement petit ; ta croyance en Dieu est très minime. En termes de doctrine, tu crois que Dieu peut tout accomplir et qu’Il règne souverainement sur toutes choses, mais face aux situations réelles, tu n’oses pas faire confiance à Dieu ; tu n’oses pas tout Lui remettre de tout cœur et tu ne peux pas te soumettre – c’est de la faiblesse. La bêtise, l’ignorance, la timidité et la rébellion des gens, ces choses négatives, ne peuvent être résolues que progressivement ou améliorées à des degrés divers par la recherche de la vérité dans l’accomplissement du devoir. Qu’est-ce que signifie s’améliorer ? Cela signifie que ces aspects négatifs sont progressivement réglés ; les résultats lorsque tu accomplis ton devoir deviennent meilleurs, et lorsque tu es confronté à des situations, tu peux en supporter plus que tu ne le pouvais auparavant. Par exemple, dans le passé, lorsque tu étais confronté à de telles situations, en raison de ta petite stature, tu étais faible, tu devenais passif et cela affectait même ton attitude à l’égard de l’accomplissement de ton devoir. Tu faisais des crises de colère, tu abandonnais tes devoirs, tu étais négligent et ne faisais pas preuve de loyauté. Maintenant, face à de telles situations, ton degré de loyauté envers ton devoir ne diminue pas ; si tu as des difficultés ou des faiblesses dans le cœur, tu peux chercher la vérité pour les résoudre. C’est-à-dire que la question de l’entrée dans la vie n’aura plus d’influence sur l’accomplissement de ton devoir. Tes humeurs, ton état et ta faiblesse n’affecteront plus le travail qui t’a été confié ni tes responsabilités, tes devoirs et tes obligations. N’est-ce pas là une amélioration de ta capacité à gérer les choses et à faire face aux évènements extérieurs ? C’est un développement de ta stature. Certaines personnes, si on leur demande de jouer le rôle principal, sont très heureuses et sont comme sur un petit nuage ; mais si on leur demande de jouer un rôle de figurant, elles sont réticentes, deviennent maussades et marchent la tête baissée. Certaines personnes veulent toujours se faire remarquer lorsqu’elles répandent l’Évangile, mais ne peuvent pas échanger sur la vérité. Elles ne pratiquent aucun entraînement, mais veulent toujours se tenir en haut lieu et se faire voir. Est-ce là une véritable soumission ? Est-ce l’attitude correcte pour accomplir son devoir ? Lorsque l’état d’esprit d’une personne est incorrect et que son état est mauvais, elle doit rechercher la vérité pour trouver une solution, et finalement devenir capable de rechercher et de pratiquer la vérité, quelle que soit la situation qui se présente ; c’est cela avoir l’expérience de la vie. Une fois que tu peux faire preuve de discernement pour toutes sortes de choses, alors tu as acquis l’immunité. Peu importe ce que tu vis ou le moment où cela se produit, cela n’affectera pas l’accomplissement de ton devoir ; celui-ci ne sera pas non plus affecté par n’importe quel problème mineur, une saute d’humeur ou des changements de personnes, d’évènements, de choses et de circonstances ; ta capacité à vaincre le péché et à surmonter diverses circonstances et humeurs deviendra plus grande – cela signifie que ta stature a grandi. Comment grandit la stature ? C’est le résultat obtenu lorsque les gens entrent progressivement dans la vérité-réalité en cherchant la vérité pour résoudre les problèmes. Une fois que tu as compris certaines vérités et que ces vérités deviennent ta vie, deviennent le fondement de ta conduite, deviennent ton point de vue pour observer les choses, et deviennent la lumière qui te guide, alors tu es résilient ; tu ne faibliras pas si souvent. Par exemple, tu aurais été très heureux d’être nommé dirigeant avant ; si tu avais été remplacé, tu aurais eu une réaction négative pendant un mois ou deux, ne voulant rien faire de ce qu’on te demande, accomplissant tes tâches avec une attitude négative, agissant de manière négligente, jusqu’à abandonner complètement. Maintenant, si on te remplaçait, tu dirais : « Même si je suis remplacé, cela ne m’affectera pas. Je ne serai pas négatif un seul jour. Si je suis remplacé aujourd’hui, je continuerai à faire ce que je dois faire demain. J’accepte et je me soumets aux orchestrations et aux arrangements de Dieu. » C’est cela la résilience. Comment cette résilience survient-elle ? Si tu ne poursuis pas la vérité, si, face à des problèmes, tu ne cherches pas la vérité pour les résoudre et si tu ne te concentres pas pour agir avec des principes, auras-tu cette stature ? Tu ne seras jamais résilient si tu vis selon les philosophies des relations mondaines des non-croyants. Ce n’est que si tu vis selon la vérité que tu pourras progressivement te débarrasser de ton orgueil, du statut et de ta vanité, de sorte qu’en fin de compte, rien ne pourra te faire basculer et rien ne pourra t’empêcher de bien accomplir tes devoirs. C’est cela avoir de la stature ; c’est être résilient. Lorsque tu es résilient et que ta stature a grandi, n’accomplis-tu pas tes devoirs en te rapprochant de plus en plus de la norme ? Lorsque tu accomplis tes devoirs de manière adéquate, cela ne signifie-t-il pas que tu as déjà une certaine stature ? En quoi consiste cette stature ? Une foi authentique en Dieu, une soumission authentique à Dieu et une loyauté envers Dieu, ainsi que la capacité de gérer tes devoirs correctement ; tout accepter de Dieu, et être capable de se soumettre à Dieu, de craindre Dieu et de s’éloigner du mal – ce sont les manifestations d’une stature qui grandit.

Maintenant, avez-vous senti dans votre conscience qu’être sauvé doit être mis à l’ordre du jour et que vous ne pouvez plus être confus à ce sujet ? La compréhension de chaque vérité est extrêmement importante pour être sauvé ; tu ne peux pas être confus à propos de la moindre vérité. Croire en Dieu, ce n’est pas seulement faire des efforts, courir partout, endurer quelques souffrances et être capable de persévérer dans les épreuves sans trébucher. Si les gens qui croient en Dieu considèrent vraiment qu’être sauvé et qu’obtenir la vérité sont des questions importantes dans la vie, alors ils peuvent laisser n’importe quoi derrière eux ; ce sera facile pour eux. Si quelqu’un n’a pas encore senti à quel point il est important d’être sauvé, alors il est stupide et ignorant ; sa foi est trop faible et il vit encore dans une situation désespérée. Si quelqu’un n’aime pas la vérité, il lui sera difficile d’accomplir un devoir de manière adéquate. C’est parce que pour accomplir un devoir de manière adéquate, il faut comprendre de nombreuses vérités et aussi entrer dans de nombreuses vérités. Au cours du processus de compréhension et d’entrée dans la vérité, le devoir accompli deviendra progressivement adéquat ; les différentes faiblesses et humeurs de la personne changeront progressivement, et ses différents états s’amélioreront aussi progressivement. Dans le processus de compréhension de la vérité et d’entrée dans la vérité-réalité, la personne sera de plus en plus claire en elle-même sur sa vision concernant la croyance en Dieu et le fait d’être sauvé, et en même temps, le désir et l’exigence d’être sauvé deviendront de plus en plus pressants. Qu’entend-on par pressant ? Cela signifie que tu peux ressentir qu’être sauvé est une question urgente, une question extrêmement importante, et que si tu ne règles pas le problème de tes tempéraments corrompus, cela pourrait être très dangereux et tu ne pourras pas atteindre le salut. C’est le genre d’état d’esprit qui fait naître un sentiment d’urgence. Au début, tu n’as aucune idée concernant le salut ou le perfectionnement. Petit à petit, tu en viens à comprendre que les humains ont des tempéraments corrompus et ont besoin de Dieu pour les sauver. Tu découvres que les gens vivent dans le péché, coincés dans leur tempérament corrompu sans aucune liberté, menant une vie d’extrême souffrance, et que tôt ou tard, ils seront emportés par les tendances malfaisantes de Satan. Tu comprends alors que les humains ne peuvent pas tenir ferme tout seuls – quel que soit ton niveau de résilience ou ta détermination, tu ne peux pas garantir que tu suivras Dieu jusqu’au bout – et que tu dois poursuivre la vérité, tu dois faire l’expérience du jugement, du châtiment, des épreuves et des épurements afin de comprendre la vérité et de te connaître toi-même, et alors seulement tu auras la détermination de suivre Dieu jusqu’au bout. C’est à ce moment-là que tu commences à avoir un certain sentiment d’urgence concernant le salut. Comprendre la vérité est crucial pour être sauvé. Poursuivre la vérité est une question importante qu’il ne faut jamais abandonner ou négliger. Le fait de poursuivre ou non la vérité a un rapport direct avec le salut et est inextricablement lié à la possibilité d’être perfectionné par Dieu. Au cours du processus d’accomplissement de tes devoirs, tous les problèmes et difficultés que tu rencontres doivent être résolus en cherchant la vérité ; ta faiblesse, ton ignorance et ta bêtise changeront aussi petit à petit. À quoi fait référence ce changement ? Cela signifie que ta capacité à surmonter le péché s’est renforcée et que tu deviens de plus en plus sensible à tes tempéraments corrompus et aux choses malveillantes. Tu gagnes en discernement et tu as plus de sentiment à l’égard de ces questions dans ton cœur. Actuellement, certaines personnes manquent encore de cette conscience, et ne ressentent rien lorsqu’elles voient le péché, la malveillance, ou des choses sataniques – c’est inacceptable et cela montre que leur stature est encore loin du compte. D’autres n’ont aucun sentiment, aucun discernement et pas même une once de haine authentique envers les divers comportements pécheurs et les divers aspects répugnants de Satan. Ils n’ont pas non plus de conscience ou de capacité de discernement, et encore moins de haine, pour leurs propres actions et la corruption qu’ils révèlent, ainsi que pour les tempéraments corrompus et les choses répugnantes au fond de leur cœur – ces personnes sont encore loin d’avoir de la stature. Cependant, quelle que soit l’ampleur du fossé, quelle que soit la faiblesse d’une personne ou la petitesse de sa stature à l’heure actuelle, ce n’est pas un problème, car Dieu a fourni aux gens un chemin et une direction pour régler ces questions. Au fur et à mesure que tu atteins la norme de l’accomplissement adéquat de tes devoirs, tu poursuis également la compréhension de la vérité et l’entrée dans les vérités-réalités. Au fur et à mesure que tu poursuis la compréhension de la vérité et l’entrée dans les vérités-réalités, ta capacité à surmonter le péché devient plus forte, et ta capacité à reconnaître les choses malveillantes augmente également, donc cela règle tes problèmes de faiblesse et de rébellion à divers niveaux. Par exemple, lorsque ta stature est petite et que tu es confronté à une situation, même si tu sais qu’elle n’est pas bonne, tu peux encore être contraint et lié par cette situation, et même t’y engager. Lorsque tu comprends la vérité et que tu peux pratiquer certaines vérités, en plus de détester ces sujets dans ton cœur, tu les rejetteras et refuseras de t’y engager ; en parallèle, tu aideras aussi les autres à s’en libérer. C’est un progrès, c’est le développement de ta stature. Quels sont les marqueurs de la croissance de la stature ? Tout d’abord, la personne est loyale dans l’accomplissement de son devoir et ne se comporte plus de manière négligente. De plus, sa foi en Dieu devient plus authentique et plus pratique, et il y a une véritable soumission à Dieu. En outre, elle devient capable de discerner et de vaincre les tentations et les perturbations de Satan ; Satan ne peut plus l’induire en erreur ou la contrôler, et elle peut se libérer de l’influence de Satan. C’est ainsi que l’on remplit vraiment les conditions requises pour être sauvé.

Après l’échange d’aujourd’hui, savez-vous comment évaluer si les devoirs que vous accomplissez sont à la hauteur ? Si c’est le cas, cela prouve que tu as une certaine compréhension de ces vérités et que tu as fait des progrès ; si ce n’est pas le cas, cela prouve que tu n’as pas compris ce qui a été dit et que tu n’as pas été à la hauteur. Tu as besoin de lucidité à deux égards : d’une part, la capacité à s’évaluer soi-même, et d’autre part, tu dois savoir comment accomplir son devoir de manière à correspondre à la norme et à connaître le chemin. Par le passé, notre discussion se concentrait la plupart du temps sur l’accomplissement du devoir, et l’on mentionnait peu le fait de l’accomplir de manière adéquate. Aujourd’hui, la discussion principale a porté sur les normes d’accomplissement adéquat du devoir. Les normes d’adéquation et les diverses vérités impliquées dans cet aspect ont été communiquées de manière généralement assez claire. En outre, nous avons aussi abordé les questions qui devraient être évitées et les principes qui devraient être maintenus au cours du processus de l’accomplissement du devoir, ainsi que les erreurs qui ne devraient pas être commises, tout cela est très important. En particulier, ne vole pas d’offrandes, ne t’engage pas imprudemment dans des relations amoureuses et ne t’oppose pas aux arrangements de travail. Si tu commets ces erreurs, alors tu es complètement fini ; tu n’as aucun espoir d’être sauvé. Ne prends donc pas le mauvais chemin, ne marche pas sur le chemin d’une personne malveillante. Une fois que tu as mis le pied sur ce chemin, il n’y a vraiment aucun espoir ; personne ne peut te sauver. Si Dieu ne te sauve pas, tu ne peux certainement pas te sauver non plus. Si quelqu’un en arrive là, c’est un problème grave ; il n’est pas facile de revenir en arrière. C’est fondamentalement une route qui ne mène nulle part.

Le 28 novembre 2018

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