Comment accomplir son devoir convenablement
Paroles de Dieu concernées :
Dans la formule « l’accomplissement satisfaisant du devoir », l’accent est mis sur le mot « satisfaisant ». Comment le terme « satisfaisant » devrait-il être défini, alors ? Là aussi, il y a une vérité à chercher. Est-il satisfaisant de se contenter de faire un travail passable ? Pour connaître les détails concrets concernant la façon de comprendre et de considérer le mot « satisfaisant », vous devez saisir de nombreuses vérités et échanger davantage au sujet de la vérité. Quand vous accomplissez votre devoir, vous devez comprendre la vérité et ses principes ; seulement alors pourrez-vous parvenir à un accomplissement satisfaisant de votre devoir. Pourquoi les gens devraient-ils accomplir leur devoir ? Une fois qu’ils croient en Dieu et qu’ils ont accepté Sa commission, les gens ont leur part de responsabilité et d’obligation dans l’œuvre de la maison de Dieu et sur le site de l’œuvre de Dieu. En conséquence, du fait de cette responsabilité et de cette obligation, ils sont devenus un élément de l’œuvre de Dieu, un élément de l’objet de Son œuvre et un élément de l’objet de Son salut. Ainsi, il y a une relation assez fondamentale entre le salut des gens et la façon dont ils accomplissent leurs devoirs, s’ils peuvent les faire bien et s’ils peuvent les faire de manière satisfaisante. Puisque tu fais désormais partie de la maison de Dieu et que tu as accepté Sa commission, tu as maintenant un devoir. Ce n’est pas à toi de dire comment tu devrais accomplir ce devoir ; c’est à Dieu de le dire, et cela est dicté par les critères de la vérité. Par conséquent, les gens devraient comprendre la façon dont les choses sont évaluées par Dieu et être clairs à ce sujet – c’est quelque chose qui vaut la peine d’être cherché. Dans l’œuvre de Dieu, des gens distincts reçoivent des devoirs distincts. Autrement dit, les gens reçoivent des devoirs qui varient en fonction de leur talent, de leur calibre, de leur âge, de leur situation et de leur ère. Peu importe le devoir que tu reçois, et peu importe l’ère ou les circonstances dans lesquelles tu le reçois, un devoir est simplement un devoir ; ce n’est pas quelque chose qu’une personne gère. En fin de compte, Dieu attend de toi que tu accomplisses ton devoir de manière satisfaisante. Comment le mot « satisfaisant » devrait-il être expliqué ? Il signifie que tu dois répondre aux exigences de Dieu et Le satisfaire, et que ton travail doit être jugé satisfaisant par Dieu et recevoir Son signe d’approbation, alors seulement auras-tu accompli ton devoir de façon satisfaisante. Si Dieu dit que ton travail n’est pas à la hauteur, c’est que tu n’as pas bien fait ton devoir. Même si tu fais ton devoir et qu’Il reconnaît que tu l’as fait, mais que tu ne le fais pas de façon satisfaisante, quelles en seront alors les conséquences ? Dans les cas graves, l’espoir de salut des gens pourrait disparaître et se trouver anéanti ; dans les cas moins graves, ces individus pourraient être privés de leur droit d’accomplir un devoir. Après avoir été privés de tels droits, certains sont mis de côté, après quoi ils sont pris en charge et arrangés séparément. Dire qu’ils sont pris en charge et arrangés séparément signifie-t-il qu’ils sont éliminés ? Pas nécessairement ; Dieu attendra de voir comment ces gens agissent. La façon dont on accomplit son devoir est donc cruciale. Les gens devraient procéder avec prudence, prendre la chose au sérieux et considérer ce sujet comme étant de la plus haute importance dans leur entrée dans la vie et dans leur atteinte du salut ; ils ne doivent pas prendre les choses avec insouciance.
Extrait de « Comment accomplir son devoir de façon satisfaisante ? », dans Récits des entretiens de Christ des derniers jours
Tous ceux qui croient en Dieu devraient comprendre Sa volonté. Seuls ceux qui accomplissent bien leurs devoirs peuvent satisfaire Dieu et ce n’est qu’en réalisant les tâches qu’Il leur confie que l’accomplissement de leur devoir sera satisfaisant. Il y a des normes pour l’accomplissement de la commission de Dieu. Le Seigneur Jésus a dit : « Tu aimeras le Seigneur, ton Dieu, de tout ton cœur, de toute ton âme, de toute ta pensée, et de toute ta force. » Aimer Dieu est l’une des choses qu’Il exige des hommes. En vérité, quand Dieu a confié aux hommes une commission, qu’ils croient en Lui et accomplissent leur devoir, ce sont là les normes qu’Il exige d’eux : qu’ils agissent de tout leur cœur, de toute leur âme, de tout leur esprit et de toutes leurs forces. Si tu es présent, mais que ton cœur ne l’est pas, si la mémoire et les pensées de ton esprit sont présentes, mais que ton cœur ne l’est pas, et si tu accomplis des choses par le moyen de tes propres capacités, est-ce que tu t’acquittes de la commission de Dieu ? Donc, quelle est la norme qui doit être satisfaite pour remplir la commission de Dieu et accomplir ton devoir loyalement et de la bonne manière ? Il s’agit de faire votre devoir de tout votre cœur, de toute votre âme, de tout votre esprit et de toutes vos forces. Si tu t’efforces de bien accomplir ton devoir sans y mettre du cœur, cela ne fonctionnera pas. Si ton amour pour Dieu s’affermit de plus en plus et devient toujours plus authentique, alors tu seras naturellement capable d’accomplir ton devoir de tout ton cœur, de toute ton âme, de toute ta pensée et de toute ta force.
Extrait de « Ce sur quoi les gens comptaient pour vivre, au juste », dans Récits des entretiens de Christ des derniers jours
Quel que soit le devoir que tu accomplis, tu dois toujours chercher à comprendre la volonté de Dieu et ce que sont Ses exigences concernant ton devoir ; alors seulement, tu seras capable de traiter les problèmes dans le respect des principes. Lorsque tu accomplis ton devoir, tu ne peux absolument pas agir selon tes préférences personnelles en faisant seulement ce qui te semblerait bon, ce qui te ferait plaisir ou te serait agréable, ou encore, ce qui pourrait te mettre en valeur. Si tu imposes avec force tes préférences personnelles à Dieu ou les mets en pratique comme si elles étaient la vérité, les observant comme si elles étaient les principes-vérités, alors, cela n’est pas remplir ton devoir, et Dieu ne Se souviendra pas d’un devoir accompli de cette façon. Certains hommes ne comprennent pas la vérité et ne savent pas ce que signifie bien accomplir ses devoirs. Comme ils y ont mis tout leur cœur et consacré tous leurs efforts, comme ils ont renoncé à leur chair et ont souffert, ils ont donc le sentiment que l’accomplissement de leurs devoirs devrait être à la hauteur. Mais pourquoi Dieu est-Il toujours insatisfait alors ? À quel moment ces gens se sont-ils trompés ? Leur erreur a été de ne pas rechercher les exigences de Dieu et d’agir, au contraire, selon leurs propres idées. Ils ont traité leurs propres désirs, préférences et motifs égoïstes comme étant la vérité, et ils les ont traités comme s’ils étaient ce que Dieu aimait, comme s’ils étaient Ses normes et Ses exigences. Ils ont considéré ce qu’ils croyaient être correct, bon et beau comme étant la vérité ; c’est mal. En fait, même si les gens pourraient croire parfois que quelque chose est correct et en accord avec la vérité, cela ne veut pas nécessairement dire que cela est en accord avec la volonté de Dieu. Plus les gens croient que quelque chose est correct, plus ils devraient être prudents et chercher la vérité pour discerner si ce qu’ils pensent répond aux exigences de Dieu. S’il arrive que cela aille à l’encontre de Ses exigences et à l’encontre de Ses paroles, alors c’est inacceptable, même si tu penses que c’est vrai, ce n’est qu’une pensée humaine et ce n’est pas nécessairement en accord avec la vérité, même si tu es sûr que c’est vrai. Quand tu détermines le vrai et le faux, cela doit reposer uniquement sur les paroles de Dieu, et même si tu es sûr que quelque chose est vrai, à moins qu’il ne se base sur les paroles de Dieu, tu ne dois pas en tenir compte. Qu’est-ce que le devoir ? C’est une commission confiée aux hommes par Dieu. Alors, comment devrais-tu accomplir ton devoir ? En agissant conformément aux exigences et aux normes de Dieu, et en basant ton comportement sur les principes-vérités plutôt que sur les désirs subjectifs de l’homme. De cette façon, l’accomplissement de tes devoirs sera à la hauteur.
Extrait de « Seule la recherche des principes-vérités permet de bien accomplir son devoir », dans Récits des entretiens de Christ des derniers jours
Quand tu accomplis ton devoir, tu dois toujours t’examiner pour voir si tu fais les choses selon des principes, si l’accomplissement de ton devoir est à la hauteur, si tu le fais simplement de façon superficielle ou non, si tu as essayé d’échapper à tes responsabilités et s’il y a des problèmes dans ton attitude et ta façon de penser. Une fois que tu auras réfléchi sur toi-même et que ces choses te seront devenues claires, il te sera plus facile d’accomplir ton devoir. Peu importe ce qu’il t’arrive en accomplissant ton devoir – négativité et faiblesse, ou mauvaise humeur après avoir été traité –, tu dois t’en occuper correctement et tu dois aussi chercher la vérité et comprendre la volonté de Dieu. Ce faisant, tu auras un chemin de pratique. Si tu désires faire du bon travail dans l’accomplissement de ton devoir, alors tu ne dois pas être affecté par ton humeur. Peu importe que tu te sentes faible ou démoralisé, tu dois pratiquer la vérité dans tout ce que tu fais, avec une rigueur absolue et en adhérant aux principes. Si tu fais cela, alors non seulement les autres t’approuveront, mais tu plairas aussi à Dieu. Ainsi, tu seras une personne qui est responsable et qui assume un fardeau ; tu seras une personne véritablement bonne qui accomplit réellement ses devoirs de façon satisfaisante et qui vit pleinement comme une personne sincère. De telles personnes sont purifiées et réalisent une réelle transformation quand elles accomplissent leurs devoirs, et l’on peut dire qu’elles sont honnêtes aux yeux de Dieu. Seules des personnes honnêtes peuvent persévérer dans la pratique de la vérité et réussir à agir selon des principes, et peuvent accomplir ses devoirs de façon satisfaisante. Les gens qui agissent selon des principes accomplissent leurs devoirs de façon méticuleuse quand ils sont de bonne humeur ; ils ne se travaillent pas de façon superficielle, ils ne sont pas arrogants et ne se mettent pas en valeur pour que les autres aient d’eux une haute opinion. Cependant, quand ils sont de mauvaise humeur, ils s’acquittent de leurs tâches quotidiennes de façon tout aussi sérieuse et responsable, et même s’ils sont confrontés à quelque chose qui est préjudiciable à l’accomplissement de leurs devoirs, qui les met un peu sous pression ou qui provoque une perturbation pendant qu’ils accomplissent leurs devoirs, ils peuvent tout de même faire silence dans leur cœur devant Dieu et prier, et se dire : « Peu importe que je sois confronté à un gros problème, quand bien même le ciel me tomberait sur la tête, tant que Dieu me prête vie je suis déterminé à faire de mon mieux pour accomplir mon devoir. Chaque jour qu’il m’est permis de vivre est un jour où je travaillerai dur à accomplir mon devoir afin d’être digne de ce devoir dont Dieu m’a chargé et de ce souffle qu’Il a mis dans mon corps. Indépendamment des difficultés que je pourrai rencontrer, je mettrai tout cela de côté, car accomplir mon devoir est de la plus haute importance ! » Ceux qui ne sont influencés par personne, par aucun événement, aucune chose ni aucun environnement, qui ne sont sous l’emprise d’aucune humeur ni d’aucune situation extérieure, et qui font passer avant tout le reste leurs devoirs et les commissions que Dieu leur a confiées : ceux-là sont les personnes qui sont loyales vis-à-vis de Dieu et qui se soumettent sincèrement à Lui. De telles personnes ont obtenu l’entrée dans la vie et sont entrées dans la réalité-vérité. C’est là une des expressions les plus concrètes et les plus authentiques du fait que l’on vit la vérité.
Extrait de « L’entrée dans la vie doit commencer par l’accomplissement de son devoir », dans Récits des entretiens de Christ des derniers jours
La négligence et la superficialité dans l’accomplissement du devoir sont un problème évident et très courant, mais qui est aussi persistant et difficile à résoudre. Apprenez tout d’abord à être sérieux, rigoureux, responsables, sincères et terre-à-terre dans ce que vous faites, pour gagner la course lentement et graduellement. Ce que vous faites, faites-le bien, de manière à en être satisfait et à atteindre l’idéal, ou sinon, ne le faites pas. Mieux encore, soyez capables de chercher les principes en jeu et agissez selon ces principes. Même si cela peut exiger davantage d’effort et vous faire manquer un repas ou quelque distraction, faites-le bien de toute façon, pas de manière négligente ni superficielle ; et si vous ne comprenez pas, ne faites pas semblant de comprendre mais faites la chose dans la mesure de ce que permet votre degré de compréhension. Est-il facile de remédier à la négligence et à la superficialité ? Chaque jour, avant d’accomplir ton devoir, prie Dieu ainsi : « Ô Dieu, je commence à accomplir mon devoir. Si je suis négligent et superficiel, je Te demande de me discipliner et de me réprimander dans mon cœur. Je Te demande aussi de me guider pour que j’accomplisse correctement mon devoir et que je ne sois pas négligent ni superficiel. » Pratique de cette manière tous les jours et vois combien de temps il faut pour résoudre le problème de la négligence et de la superficialité dans l’accomplissement du devoir, combien de temps s’écoule avant que tu sois de moins en moins souvent négligent et superficiel dans l’accomplissement de ton devoir, que tu l’accomplisses avec de moins en moins de dénaturations, avec des résultats concrets toujours meilleurs et avec toujours plus d’efficacité. Accomplir ton devoir sans être négligent, ni superficiel : peux-tu le faire de toi-même ? Est-ce quelque chose que tu peux contrôler de toi-même ? (Ce n’est pas facile à contrôler.) C’est fastidieux. Si c’est réellement difficile à contrôler, alors vous avez vraiment de gros soucis ! Dans ce cas, que pouvez-vous faire sans être négligents ni superficiels ? Manger ? Jouer ? Vous habiller et vous maquiller ? Certaines femmes, quand elles se maquillent, ne négligent pas un seul sourcil ni un seul cheveu. Si vous agissiez avec une attitude aussi consciencieuse, vous pourriez, de même, ne pas être négligents ni superficiels. Commencez par résoudre le problème de la négligence et de la superficialité, puis résolvez la difficulté d’agir selon votre propre volonté. Il est courant aussi d’agir selon sa propre volonté, et il est facile également de le reconnaître soi-même. Parfois, avec simplement un examen rapide de ton mental et de tes pensées, tu pourras t’en rendre compte et te dire : « Ce que je le fais est en accord avec ma propre volonté. Je sais ce que je dois faire selon les principes, mais je ne le fais pas. » N’est-ce pas une chose de facile à reconnaître ? (Si.) Alors, il doit être possible de la résoudre. Commencez par ces deux aspects, l’un étant de résoudre le problème de la négligence et de la superficialité, l’autre étant d’agir selon votre propre volonté. Efforcez-vous, au bout d’un an ou deux, de ne plus être négligents ni superficiels et de ne plus agir selon votre propre volonté – sans les dénaturations de votre volonté personnelle – dans tout ce que vous faites. Une fois ces deux problèmes résolus, vous ne serez pas loin d’accomplir votre devoir de façon satisfaisante. Si vous ne pouvez pas les résoudre, alors vous êtes encore loin d’obéir à Dieu et d’être attentifs à Sa volonté. C’est une chose que vous n’avez même pas effleurée.
Extrait de « Identifier les faux dirigeants (5) », dans Récits des entretiens de Christ des derniers jours
Quel que soit le devoir que tu accomplis ou le savoir-faire professionnel que tu étudies, tu progresseras avec le temps. Si tu continues à essayer de progresser, tu y arriveras de mieux en mieux. Si tu ne prends rien au sérieux, même les choses que tu as apprises ne te serviront à rien. Si tu ne prends même pas au sérieux les choses dont tu peux te servir, que tu n’as aucune idée de ce qu’elles donneront et qu’il n’y a personne qui comprenne et puisse te guider, alors tu ne feras jamais aucun progrès, et le savoir-faire que tu auras appris sera gâché. Dans tout apprentissage, il est facile d’apprendre la théorie, mais il n’est pas si facile de la mettre en pratique. Si tu veux passer de la théorie à la pratique, puis aller plus loin encore en réalisant quelque chose sur la base de la pratique, afin de tirer pleinement parti de tes points forts ou d’appliquer ce que tu as appris à pratiquer pour obtenir des résultats, que dois-tu faire ? Il faut que tu passes plus de temps à étudier un savoir-faire professionnel et à chercher toutes sortes de documents dans ce domaine. Tu dois constamment en étudier tous les aspects, continuer à chercher, continuer à compenser tes points faibles grâce aux points forts des autres, en apprenant ce que tu dois apprendre d’eux. Ainsi, tes compétences s’amélioreront constamment. Quand quelqu’un te dit comment faire quelque chose, tu dois tâcher de le comprendre et tu dois y réfléchir. Quand on te dit quelque chose, si tu le savais déjà et que tu admets que c’est une bonne façon de faire, mais qu’après y avoir réfléchi tu te dis que c’est « assez proche », quel genre d’attitude as-tu ? Que ce soit vis-à-vis de ton savoir-faire professionnel et de tes domaines de compétence ou vis-à-vis de la poursuite de la vérité dans ta foi, ton attitude n’est pas la bonne : tu es trop superficiel. Quel genre de tempérament est-ce ? C’est de l’arrogance, c’est ne pas aimer les choses positives, c’est de la rigidité. De telles choses se manifestent-elles en vous ? (Oui.) Se manifestent-elles souvent, occasionnellement, ou seulement dans certains domaines ? (Souvent.) Votre attitude concernant la reconnaissance de ce genre de tempérament est tout à fait sincère et honnête, mais la simple reconnaissance ne suffit pas. Si vous ne faites rien d’autre que le reconnaître, changer est impossible. Alors, comment pouvez-vous changer ? Quand un tempérament arrogant est révélé chez quelqu’un et que son attitude est superficielle, dédaigneuse et négligente, il ne doit pas manquer de se présenter devant Dieu immédiatement pour prier, afin que Dieu le traite et le discipline, en acceptant Son examen ainsi que Sa discipline. En outre, il faut qu’il détermine la manière dont cet aspect de son tempérament se manifeste et comment il peut être changé. Le but de la connaissance est le changement. Comment donc ce changement peut-il être réalisé ? Quelle doit être la première étape ? Il faut d’abord prier, se présenter devant Dieu, accepter Son examen et accepter Sa discipline, après quoi il faut coopérer activement. Comment doit-on coopérer ? Quand on accomplit son devoir, dès qu’on se prend à penser « assez proche », on doit se corriger pour ne pas penser de cette manière. Quand se manifeste en toi un tempérament arrogant, au fond de toi, tu dois sentir le reproche : le reproche et le châtiment de Dieu. Tu dois rapidement te ressaisir : « À l’instant, j’avais tort. Une fois de plus, j’allais révéler un tempérament corrompu et satanique, être dirigé par un tempérament satanique, laisser Satan prendre le pouvoir, être superficiel. Je dois être discipliné ! » Si tu sens le reproche, tu dois confesser tes péchés devant Dieu et te reprendre. Comment dois-tu confesser tes péchés ? Il n’est pas nécessaire d’adopter une attitude grave et de t’agenouiller, de te prosterner et de prier Dieu. C’est inutile. Tu communiques avec Dieu dans ton cœur, en disant : « Mon Dieu, j’ai eu tort, j’ai failli être à nouveau négligent et superficiel. Je Te supplie de m’observer : je ne veux pas être dominé ni totalement gouverné par mon tempérament corrompu. Je veux être dirigé par Dieu et je désire pratiquer selon la vérité. Je Te supplie de m’observer. » Quand tu pries comme cela, tu changes d’état. Quel est le but d’un changement d’état ? C’est que tu réussisses à te reprendre, que tu puisses être loyal, obéissant et que tu acceptes le reproche et la discipline de Dieu sans compromis. C’est ainsi que tu te reprendras. Quand tu seras sur le point d’être à nouveau superficiel, quand tu voudras une fois de plus traiter ton devoir à la légère, tu seras capable de te reprendre tout de suite grâce à la discipline et aux reproches de Dieu – et ainsi, ne seras-tu pas sauvé de ta négligence ? Ta transgression ne sera-t-elle pas rachetée ? Est-ce une bonne chose ou une mauvaise chose ? C’est une bonne chose.
Parfois, après avoir fini un travail, tu es un peu mal à l’aise au fond de toi. En y regardant de plus près, tu te rends compte qu’il y a vraiment un problème. Il faut qu’il soit modifié, après quoi tu te sentiras à l’aise. Ta gêne prouve qu’il y a un problème sur lequel tu dois passer encore du temps et auquel tu dois porter davantage d’attention. C’est là une attitude sérieuse et responsable vis-à-vis de l’accomplissement de son devoir. Quand on peut être sérieux, responsable, dévoué et travailleur, le travail est bien fait. Parfois, tu n’as pas un tel cœur et tu ne peux pas trouver ni découvrir une erreur qui est claire comme de l’eau de roche. Celui qui aurait un tel cœur serait alors capable, encouragé et guidé par le Saint-Esprit, de cerner le problème. Mais si le Saint-Esprit te guidait et te donnait cette conscience, te permettant de sentir que quelque chose ne va pas, et que tu n’aies cependant pas un tel cœur, tu serais toujours incapable de cerner le problème. Alors, qu’est-ce que cela montre ? Cela montre qu’il est très important que les gens coopèrent ; leur cœur est très important, et ce à quoi ils consacrent leurs pensées et leurs intentions est très important. Dieu examine et observe ce que les gens ont dans leur cœur quand ils accomplissent leur devoir et quelle énergie ils mettent en jeu. Il est crucial que les gens mettent tout leur cœur et consacrent toute leur force à ce qu’ils font. La coopération est également un élément crucial. Ce n’est que lorsque les gens s’efforcent de ne rien regretter concernant les devoirs qu’ils ont accomplis et qu’ils n’ont pas de dette envers Dieu, qu’ils agissent avec tout leur cœur et toute leur force. Si, aujourd’hui, tu n’y mets pas tout ton cœur et n’y consacres pas toute ta force, alors plus tard, lorsque quelque chose tournera mal et qu’il y aura des conséquences, ne sera-t-il pas trop tard pour les regrets ? Tu seras à jamais redevable et entaché ! Une tache dans l’accomplissement de son devoir est une transgression. Tu dois donc t’efforcer de faire correctement les choses qu’il t’incombe de faire et que tu dois faire, en y mettant tout ton cœur et toute ta force. Ces choses ne doivent pas être faites négligemment ou superficiellement ; tu ne dois pas avoir de regrets. De cette façon, Dieu Se souviendra des devoirs que tu accomplis à ce moment-là. Ces choses dont Dieu Se souviendra sont de bonnes actions. Alors, de quelles choses ne Se souviendra-t-Il pas ? Des transgressions. Il se peut que les gens n’acceptent pas qu’il s’agisse de mauvaises actions si on les décrivait comme telles aujourd’hui, mais, si un jour, ces choses ont de lourdes conséquences et qu’elles ont un effet négatif, alors tu auras le sentiment que ces choses ne sont pas simplement des transgressions du comportement, mais de mauvaises actions. Lorsque tu t’en rendras compte, tu le regretteras et penseras : j’aurais dû suivre l’adage selon lequel mieux vaut prévenir que guérir ! Si j’y avais réfléchi un peu plus et consacré davantage d’efforts, je n’aurais pas ce problème. Rien n’effacera cette éternelle tache de ton cœur, et si elle devait te laisser une dette indélébile, cela poserait problème. Alors aujourd’hui, chaque fois que vous accomplissez votre devoir ou acceptez une commission, vous devez vous efforcer de l’accomplir de toutes vos forces et de tout votre cœur. Vous devez le faire de manière à être sans culpabilité et sans regret, de sorte que Dieu S’en souvienne et que ce soit une bonne action. N’agissez pas de façon négligente et superficielle, un œil ouvert et l’autre fermé : vous le regretteriez et vous ne pourriez pas réparer cela. Ce serait une transgression et finalement, au fond de vous, il y aurait toujours une culpabilité, une dette et un reproche. Lequel de ces deux chemins est le meilleur ? Lequel est le droit chemin ? Bien accomplir votre devoir, de tout votre cœur et de toutes vos forces, et préparer et accumuler de bonnes actions, sans aucun regret. Ne laissez pas vos transgressions s’accumuler pour les regretter et être redevables. Que se passe-t-il quand une personne a commis trop de transgressions ? Elle attire à elle la colère de Dieu en Sa présence ! Si tu transgresses toujours plus et que la colère de Dieu envers toi grandit encore, alors tu seras finalement puni.
Extrait de l’échange de Dieu
Quand les gens accomplissent leur devoir, ils font en réalité ce qu’ils doivent faire. Cependant, si tu l’accomplis devant Dieu, que tu accomplis ton devoir avec honnêteté et avec le cœur, une telle attitude ne sera-t-elle pas beaucoup plus correcte ? Alors, comment devrais-tu appliquer cette attitude dans ta vie quotidienne ? Il faut que « vénérer Dieu avec le cœur et avec honnêteté » devienne ta réalité. Chaque fois que tu veux te relâcher et te contenter d’agir pour la forme, que tu veux agir de manière et fuyante et être paresseux, et chaque fois que tu te permets d’être distrait, tu devrais bien réfléchir : en me comportant ainsi, suis-je peu digne de confiance ? De cette façon, est-ce que je mets mon cœur à faire mon devoir ? Suis-je déloyal en faisant cela ? « En me conduisant de la sorte, mon effort pour être à la hauteur de la commission que Dieu m’a confiée est-il un échec ? » C’est ainsi que vous devriez vous examiner. Puisqu’agir ainsi n’est pas loyal et blesse Dieu, que devriez-vous faire ? Tu devrais dire : « Je n’ai pas pris cela au sérieux. Sur le moment, j’avais l’impression qu’il y avait un problème, mais je ne l’ai pas considéré comme sérieux. Je l’ai traité à la légère. À chaque fois que j’ai pressenti qu’il y avait un problème, je l’ai écarté. Maintenant, ce problème n’est toujours pas résolu. Je ne suis simplement pas bon ! » Vous aurez reconnu le problème et parviendrez à vous connaître un peu. Un peu de connaissance suffit-il ? Confesser ses péchés suffit-il ? Vous devez vous repentir et vous retourner ! Et comment pouvez-vous réaliser ce revirement ? Auparavant, vous n’accomplissiez pas votre devoir avec la bonne attitude et la bonne mentalité, vous n’y mettiez pas votre cœur et vous ne vous occupiez jamais de ce qu’il fallait. Aujourd’hui, vous devez corriger votre attitude pour accomplir votre devoir correctement, vous devez prier devant Dieu, et quand vous retrouvez vos pensées et vos attitudes d’avant, vous devez demander à Dieu de vous discipliner et de vous châtier. Hâtez-vous d’identifier les domaines dans lesquels vous aviez l’habitude de bâcler les choses et d’être superficiels. Réfléchissez à la manière dont vous pouvez corriger cela, et après l’avoir corrigé, cherchez à nouveau et priez, puis demandez à vos frères et sœurs s’ils auraient de meilleures suggestions et recommandations, jusqu’à ce que tout le monde convienne que vous avez fait ce qu’il fallait. Ainsi seulement, vous serez confirmés. Vous aurez le sentiment que cette fois, vous aurez accompli votre devoir de façon satisfaisante et fait de votre mieux, que vous y aurez mis du cœur et que vous vous y serez pleinement consacrés : vous aurez le sentiment d’avoir fait tout votre possible et vous n’aurez pas de remords. Quand tu en rendras compte à Dieu, tu auras la conscience tranquille et tu te diras : « Peut-être que Dieu ne me décernera que la note de 6/10 pour mon devoir, mais j’y ai consacré toutes mes forces, j’y ai mis tout mon cœur, je n’ai pas été paresseux, je ne me suis pas dérobé à la tâche et j’ai tout donné. » N’est-ce pas tenir compte de ces réalités, à savoir que tu as mis tout ton cœur, tout ton esprit et toutes tes forces dans ton devoir et appliqué ce principe à ton quotidien ? N’est-ce pas vivre ces réalités de la vérité ? Et que ressens-tu, au fond de toi, quand tu vis ces réalités ? N’as-tu pas le sentiment de vivre quelque peu de façon humaine, et non plus comme un mort-vivant ?
Extrait de « Le chemin vient du fait de méditer souvent sur la vérité », dans Récits des entretiens de Christ des derniers jours
Ceux qui sont capables de mettre la vérité en pratique sont en mesure d’accepter l’examen de Dieu quand ils font des choses. Quand tu acceptes l’examen de Dieu, ton cœur est sur le droit chemin. Si tu ne fais des choses que pour que les autres les voient et que tu n’acceptes pas l’examen de Dieu, alors Dieu est-Il toujours dans ton cœur ? Les gens de ce type n’ont aucune révérence pour Dieu. Ne faites pas toujours les choses pour vous-mêmes, ne considérez pas constamment vos propres intérêts ; ne pensez pas à votre propre statut, à votre prestige ou à votre réputation. Ne prête aucune considération non plus aux intérêts de l’homme. Tu dois d’abord penser aux intérêts de la maison de Dieu et en faire ta première priorité. Tu dois être attentif à la volonté de Dieu et commencer par réfléchir si, oui ou non, tu as été impur dans l’accomplissement de ton devoir, si tu as fait ton maximum pour être loyal, si tu as fait de ton mieux pour assumer tes responsabilités et fait tout ton possible et si, oui ou non, tu as songé à ton devoir et au travail de la maison de Dieu. Tu dois prendre en considération ces choses-là. Penses-y fréquemment et il sera plus facile pour toi de bien accomplir ton devoir. Si tu es de faible calibre, que ton expérience est limitée, ou que tu n’es pas compétent dans ton travail professionnel, alors il se peut qu’il y ait des erreurs ou des insuffisances dans ton travail, et il se peut que les résultats ne soient pas très bons, mais tu y auras consacré tous tes efforts. Quand tu ne penses pas à tes propres désirs égoïstes ou ne considères pas tes propres intérêts dans les choses que tu fais, et qu’au contraire, tu prends constamment en considération l’œuvre de la maison de Dieu, gardant en tête ses intérêts et accomplissant bien ton devoir, alors tu accumuleras de bonnes actions devant Dieu. Ceux qui réalisent ces bonnes actions sont ceux qui possèdent la réalité-vérité ; en cela, ils ont porté témoignage.
Extrait de « Offre à Dieu un cœur vrai, et tu pourras obtenir la vérité », dans Récits des entretiens de Christ des derniers jours
Pour atteindre un niveau satisfaisant dans l’accomplissement du devoir, il est d’abord nécessaire d’obtenir une coopération harmonieuse lors de son accomplissement. Actuellement, certains pratiquent dans ce sens, ce qui signifie qu’après avoir écouté la vérité, ils ont commencé à travailler en accord avec ce principe, même s’ils ne réussissent pas à mettre la vérité en pratique parfaitement, à cent pour cent. Au cours du processus, ils risquent d’échouer ou de faiblir, de s’égarer et de commettre des erreurs fréquemment, pourtant le chemin qu’ils empruntent consiste à faire tout leur possible pour agir conformément à ce principe. Par exemple, même si tu penses peut-être parfois que ta façon de faire est correcte, quand tu te trouves dans une situation où cela ne va pas retarder la tâche en cours, tu peux aussi aller trouver tes partenaires de travail, ou les membres de ton équipe, pour en parler. Échange jusqu’à ce que tu aies les idées claires à ce sujet, jusqu’à ce que tu aies atteint un consensus, considérant que faire les choses d’une certaine façon permettra d’obtenir les meilleurs résultats possibles, que cela ne déborde pas du cadre du principe, que c’est au bénéfice de la maison de Dieu et que cela peut maximiser la protection des intérêts de la maison de Dieu. Même si le résultat final peut parfois laisser à désirer, la méthode, l’orientation et l’objectif de ton travail sont corrects. Comment Dieu considérera-t-Il cela, alors ? Comment définira-t-Il cette situation ? Il dira que tu accomplis ce devoir de manière satisfaisante.
Extrait de « Comment accomplir son devoir de façon satisfaisante ? », dans Récits des entretiens de Christ des derniers jours
Pour accomplir ton devoir de façon satisfaisante, peu importe depuis combien d’années tu crois en Dieu, peu importe l’étendue du devoir fourni, ou combien de fois tu as contribué à la maison de Dieu, ou même ton degré d’expérience dans le cadre de ton devoir. L’élément principal que Dieu examine, c’est le chemin qu’une personne emprunte. En d’autres termes, Il regarde l’attitude des gens vis-à-vis de la vérité et des principes, ainsi que l’orientation, l’origine et l’impulsion qui se trouvent derrière leurs actes. Dieu Se concentre sur ces aspects ; ce sont eux qui déterminent le chemin que tu empruntes. Si, au cours de l’accomplissement de ton devoir, ces aspects n’apparaissent pas du tout en toi, et que l’origine de ton travail réside dans tes propres pensées, que ton impulsion est de protéger tes propres intérêts et de sauvegarder ta réputation et ta situation, que ton mode opératoire consiste à prendre des décisions, à agir seul et à avoir le dernier mot, sans jamais débattre avec les autres ni coopérer harmonieusement, et encore moins à chercher la vérité, alors comment Dieu te verra-t-Il ? Tu n’es pas encore au niveau si tu accomplis ton devoir de cette façon ; tu n’as pas fait le premier pas sur le chemin de la quête de la vérité, car, lorsque tu fais ton travail, tu ne cherches pas le principe-vérité et tu agis constamment comme bon te semble. C’est la raison pour laquelle la plupart des gens n’accomplissent pas leur devoir de manière satisfaisante. Et maintenant, est-il difficile d’accomplir son devoir de façon satisfaisante ? En fait, non ; les gens doivent seulement parvenir à adopter une attitude humble, à avoir un peu de raison et à prendre position de façon appropriée. Peu importe le niveau d’instruction que tu penses avoir, les récompenses que l’on t’a décernées, ou l’étendue de ce que tu as accompli, et peu importe l’importance du calibre et du rang que tu crois avoir, tu dois commencer par renoncer à toutes ces choses : elles ne comptent pour rien. Dans la maison de Dieu, ces choses auront beau être grandes et bonnes, elles ne peuvent être supérieures à la vérité ; elles ne sont pas la vérité et ne peuvent pas la remplacer. C’est pourquoi Je dis que tu dois avoir ce que l’on appelle de la raison. Si tu dis : « Je suis très talentueux, j’ai l’esprit très acéré, j’ai des réflexes rapides, j’apprends vite et j’ai une excellente mémoire », et que tu fais sans cesse appel à ces qualités comme si elles étaient essentielles, alors cela créera des problèmes. Si tu considères ces qualités comme étant la vérité, ou comme étant supérieures à la vérité, tu auras alors du mal à accepter la vérité et à la mettre en pratique. Les gens hautains, arrogants, qui prennent sans cesse des airs supérieurs, ont le plus de mal à accepter la vérité et ils sont les plus susceptibles de chuter. Si tu peux résoudre le problème de ta propre arrogance, il devient alors facile de mettre la vérité en pratique. Tu dois donc d’abord mettre de côté et refuser ces choses qui, en surface, semblent bonnes et nobles, et qui suscitent l’envie. Ces choses ne sont pas la vérité ; à l’inverse, elles peuvent t’empêcher de pénétrer la vérité. Le plus important désormais est de chercher la vérité, de pratiquer conformément à la vérité et d’accomplir ton devoir de manière satisfaisante, car l’accomplissement de ton devoir de manière satisfaisante est le seul premier pas possible sur le chemin de l’entrée dans la vie, ce qui signifie qu’il s’agit là d’un commencement. Dans tous les domaines, il y a un élément particulièrement fondamental et élémentaire, un élément qui t’ouvre des portes. Accomplir ton devoir de façon satisfaisante est un chemin qui te fera franchir la porte de l’entrée dans la vie. Si l’accomplissement de ton devoir ne comporte pas du tout ce caractère satisfaisant, tu dois alors faire des efforts. Comment devrais-tu faire ces efforts ? Cela ne signifie pas que tu dois changer ton caractère ou renoncer à tes talents et à tes qualités professionnelles ; tu peux conserver ces qualités, de même que ce que tu as appris quand tu accomplis ton devoir, tout en cherchant la vérité et en agissant conformément au principe-vérité. Si tu réalises l’entrée dans la vie tout en faisant ton devoir, tu peux accomplir ce devoir de façon satisfaisante.
Extrait de « Comment accomplir son devoir de façon satisfaisante ? », dans Récits des entretiens de Christ des derniers jours
Au cours de l’accomplissement de ton devoir, le côté positif des choses, c’est que tu peux traiter ton devoir correctement et ne pas y renoncer, quelle que soit la situation que tu rencontres. Même si tous les autres arrêtent de croire et d’accomplir leurs devoirs, tu peux malgré tout continuer et ne pas renoncer. Autrement dit, tu es capable de ne pas abandonner ton devoir du début à la fin, persévérant et restant dévoué jusqu’au bout ; ainsi, tu as vraiment pris ton devoir comme un devoir. Si tu peux réaliser cela, alors tu as essentiellement atteint un niveau satisfaisant dans l’accomplissement de ton devoir. C’est le côté positif des choses. Cependant, avant de réaliser cela, le côté négatif des choses, c’est que les gens doivent résister à toutes sortes de tentations. Si, au cours de l’accomplissement de son devoir, une personne n’a pas été capable de résister aux tentations et a abandonné son devoir et s’en est détournée, est-elle alors encore un tant soit peu concernée par le salut ? Tout espoir sera perdu pour cette personne, et qu’elle soit compétente ou incompétente sera tout à fait hors de propos ; le salut ne la concernera en rien. Par conséquent, il faut rester fidèle à son devoir. Pour ce faire, avant tout, la plus grande difficulté que tout le monde rencontre est de savoir si, oui ou non, on peut tenir ferme devant les tentations. Quelles sortes de tentations y a-t-il ? L’argent, le statut, les rapports avec le sexe opposé, les émotions. Quoi d’autre ? Si certains devoirs impliquaient de prendre quelques risques, ou pouvaient même mettre ta vie en danger, et si, en les accomplissant, tu pouvais finir en prison ou mourir, les ferais-tu quand même ? Comment les accomplirais-tu ? Toutes ces choses-là sont des tentations. Ces tentations sont-elles faciles à surmonter ou pas ? Elles nécessitent toutes que tu poursuives la vérité. Alors que tu poursuis la vérité, avec toutes ces tentations que tu rencontres, tu dois être capable progressivement d’exercer le discernement et d’acquérir des connaissances. Reconnais leur essence, comprends leur vraie nature et prends conscience de ta propre essence et de tes propres tempéraments corrompus ; apprends à connaître tes propres points faibles et implore régulièrement Dieu pour qu’Il te protège et te donne la force de résister à ces tentations. Si tu peux leur résister et rester fidèle à ton devoir quelle que soit la situation dans laquelle tu te trouves, sans t’en détourner ni le fuir, alors tu seras à mi-chemin du salut. Ce mi-chemin est-il facile à atteindre ? À chaque pas, il peut y avoir une embûche ; le chemin est plein de danger. Il n’est pas facile ! Alors, y a-t-il beaucoup de gens qui jettent un coup d’œil à la difficulté qu’il représente et se disent que la vie est simplement trop épuisante et qu’il vaudrait mieux tout simplement aller de l’avant et mourir ? Ils veulent des bénédictions, mais ils ne veulent pas souffrir. Quelle sorte de gens sont-ils ? Ce sont des lâches et des bons à rien. Quant à la manière de remplir ses devoirs de façon satisfaisante, à la définition de « satisfaisant », aux critères qui s’y rattachent, aux raisons que Dieu a données pour cette norme de satisfaction et au rapport entre l’accomplissement satisfaisant de son devoir et l’entrée dans la vie, les gens en sont arrivés à comprendre ces choses-là. Si tu parviens à rester fidèle à ton devoir indépendamment du temps ou du lieu, sans y renoncer, et peux résister à toutes sortes de tentations, puis acquérir la compréhension et la connaissance de toutes les diverses vérités que Dieu requiert dans toutes les différentes situations qu’Il met en place pour toi, alors, du point de vue de Dieu, tu as essentiellement atteint un niveau satisfaisant. Il y a trois ingrédients fondamentaux pour atteindre un niveau satisfaisant dans l’accomplissement de son devoir : l’attitude avec laquelle on traite son devoir, la capacité de résister à toutes sortes de tentations en remplissant son devoir et la capacité de comprendre chaque vérité quand on accomplit son devoir.
Extrait de « Comment accomplir son devoir de façon satisfaisante ? », dans Récits des entretiens de Christ des derniers jours
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