L’éveil d’une fausse dirigeante

11 février 2022

Par Yang Fan, Chine

En 2019, j’ai été élue en tant que dirigeante d’Église, et je me suis jurée que je ferais bien mon devoir. Après avoir commencé ma nouvelle fonction, j’étais chaque jour occupée à des réunions, à résoudre les difficultés et les problèmes de mes frères et sœurs dans leurs devoirs, et à suivre les progrès de notre travail. Tout cela m’a permis de me sentir très épanouie. Après un certain temps, parce que je devais m’occuper de certaines affaires générales, ma charge de travail a considérablement augmenté. Je travaillais tard chaque jour et j’avais l’impression de ne pas pouvoir suivre. J’ai pensé : « Être en charge de l’ensemble du travail fait que je m’inquiète de beaucoup de choses, et c’est beaucoup plus épuisant. Chaque jour, j’ai l’impression que mon esprit se tend comme un ressort de montre. Ce n’est pas aussi facile que d’avoir juste un simple devoir. » Plus tard, je suis allée à une réunion de groupe que supervisait Sœur Zhao Jing. J’ai pensé : « Dans le passé, lorsque j’avais Zhao Jing pour partenaire, elle était vraiment responsable dans ses devoirs, et cherchait activement la vérité pour résoudre chaque difficulté qu’elle rencontrait. Elle supervise le travail de ce groupe, donc je n’ai pas besoin de trop m’inquiéter. » Après cela, j’ai rarement assisté à des réunions avec leur groupe. Un soir, certains frères et sœurs ont écrit pour signaler que le travail du groupe de Zhao Jing présentait des écarts et des problèmes et ils m’ont demandé de les résoudre rapidement. J’avais l’intention de rechercher la parole de Dieu à l’avance et de chercher une solution, mais voyant que ces problèmes ne pouvaient pas être résolus rapidement, j’ai pensé : « Il est très tard et je suis très fatiguée. Je ne peux pas le faire tout de suite. De plus, j’ai déjà écrit une lettre à Zhao Jing à propos de ces écarts et de ces problèmes. C’est une personne responsable, donc je suis sûre qu’elle prendra l’initiative d’échanger et de les résoudre, et je n’aurai pas à m’en préoccuper personnellement. Si je m’occupais de tout moi-même, comment pourrais-je accomplir quoi que ce soit de toute façon ? Je me contenterai d’échanger avec le groupe à ce propos lors de la réunion. » Plus tard, une fois que j’ai examiné la situation, j’ai vu que Zhao Jing avait déjà échangé avec le groupe, et que tout le monde étaient capable de suggérer des chemins de pratique concernant ces problèmes, ce qui m’a encore plus convaincue que je n’avais rien à craindre avec Zhao Jing comme responsable. Après cela, je n’ai plus rien demandé sur le travail du groupe.

Après un certain temps, je suis allée à une autre réunion avec le groupe de Zhao Jing. J’ai trouvé qu’elle était trop évasive dans ses échanges sur son état, parlant longtemps sans jamais s’exprimer clairement. Je me suis dit : « Est-elle dans un mauvais état ? Pourquoi est-elle aussi incohérente ? » Mais ensuite, j’ai pensé : « Elle est peut-être juste nerveuse parce que je suis ici. Elle ira bien une fois qu’elle se sera un peu ressaisie. J’ai d’autres choses à faire, alors peut-être devrais-je juste partir et la laisser poursuivre la réunion. » Et donc je suis partie sans avoir échangé avec elle. Plus tard, j’ai découvert que le travail du groupe était inefficace. J’ai pensé : « Y a-t-il un problème dans le groupe ? » Mais je me suis ravisée, « Ils viennent juste d’échanger sur les problèmes et les écarts dans leur devoir. Je suis sûre que tout le monde est juste en train de se remettre dans le bain, il est donc normal que leur travail soit moins fructueux en ce moment. » En gardant cela à l’esprit, je n’y ai plus repensé. Plus tard, Sœur Wang Xinrui m’a signalé que Zhao Jing était obsédée par le statut, qu’elle ne pouvait pas coopérer harmonieusement avec les autres et qu’elle ne convenait pas en tant que cheffe de groupe. J’ai pensé : « Zhao Jing est un peu trop axée sur le statut, mais elle a un sens du fardeau envers son devoir. Si elle ne peut pas coopérer harmonieusement avec les autres, c’est sûrement parce qu’elle est dans un mauvais état en ce moment et contrôlée par ses tempéraments corrompus. Elle a juste besoin d’un peu de temps pour se ressaisir. » En y pensant, j’ai dit à Xinrui : « Zhao Jing est responsable dans son devoir, et elle est toujours à la hauteur en tant que cheffe de groupe. Si elle révèle de la corruption, nous pouvons essayer de l’aider davantage et exposer et disséquer ses problèmes. Je suis occupée aujourd’hui, donc je n’ai pas le temps, mais j’échangerai avec elle plus tard. » Quand Xinrui m’a entendue dire cela, elle n’a rien ajouté. Plus tard, comme j’étais accaparée par d’autres tâches, j’ai oublié d’échanger avec Zhao Jing. Une nuit, je me suis soudain rappelée : « Oh non, j’ai oublié l’état de Zhao Jing. Devrais-je aller vérifier son état ? » Mais j’ai alors pensé : « Elle a un bon calibre, et par le passé quand son état était mauvais, elle pouvait chercher la vérité et le résoudre rapidement elle-même. Elle devrait pouvoir se ressaisir cette fois-ci aussi. De plus, elle habite très loin. Si je fais ce long trajet, ce qui est fatiguant, et qu’elle n’est pas chez elle, n’aurais-je pas fait ce trajet pour rien ? Oublions ça, je m’en occuperai à la fin du mois. » À la fin du mois, lorsque je suis allée inspecter le travail du groupe, j’étais complètement abasourdie. Il y avait vraiment beaucoup de problèmes et d’écarts dans le travail de Zhao Jing, et ses résultats de travail étaient tombés au plus bas. Les frères et sœurs qu’elle supervisait étaient tous dans des états négatifs, et leur travail avait été lourdement impacté. Ce n’est qu’à ce moment-là que j’ai pris conscience de la gravité des choses. Je suis rapidement allé voir Zhao Jing pour échanger et lui indiquer ses problèmes, mais elle a refusé de l’accepter, a riposté, a essayé de se justifier et n’a montré aucune connaissance d’elle-même. Après avoir parlé d’elle avec ma partenaire, nous avons décidé que Zhao Jing ne convenait plus en tant que cheffe de groupe, et nous l’avons finalement renvoyée. Après cela, les frères et sœurs ont également signalé que Zhao Jing était vraiment jalouse, négligeait ses devoirs et s’impliquait dans des conflits. Cela avait conduit une sœur à se sentir contrainte par elle, réprimée, et à vouloir quitter son devoir. Wang Xinrui avait signalé la situation de Zhao Jing, mais elle avait été réprimée et exclue par Zhao Jing. Les autres sœurs se sentaient également contraintes par Zhao Jing, et leurs devoirs étaient affectés, ce qui avait perturbé le travail pendant plusieurs mois. Après avoir été renvoyée, non seulement Zhao Jing ne s’est pas repentie, mais elle s’est même vengée sur les autres. Bien qu’elle ait été exposée, elle n’a ni compris ni regretté ses actes malfaisants. Plus tard, parce que je n’avais pas fait de travail concret, que j’avais négligé mon devoir, et que je n’avais pas renvoyé Zhao Jing à temps, causant de graves pertes au travail de l’Église, j’ai également été renvoyée. Cela m’a rendu vraiment malheureuse. Ce n’est qu’alors que j’ai commencé à me demander pourquoi j’avais été trop aveugle pour reconnaître la jalousie et les conflits chroniques de Zhao Jing, ainsi que ses graves interruptions et perturbations du travail de l’Église. À l’époque, je savais seulement de manière superficielle que je ne faisais pas de travail concret et que je ne me focalisais pas sur le fait de discerner les autres, mais je n’avais jamais vraiment pris le temps de comprendre ou d’analyser sérieusement mes propres tempéraments corrompus.

Lors d’une réunion, je n’ai gagné une certaine compréhension de moi-même qu’après avoir lu les paroles de Dieu exposant les comportements des faux dirigeants qui ne font pas de travail concret. Les paroles de Dieu disent : « Les faux dirigeants ne s’enquièrent jamais des situations de travail des différents superviseurs d’équipe ou n’en assurent jamais le suivi. Ils ne s’enquièrent pas non plus de l’entrée dans la vie des superviseurs des différentes équipes et du personnel chargé des diverses tâches importantes, ni de leurs attitudes à l’égard du travail de l’Église et de leurs devoirs, ni non plus à l’égard de la foi en Dieu, de la vérité et de Dieu Lui-même. Ils n’en assurent pas le suivi et n’en ont aucune compréhension. Ils ne savent pas si ces personnes ont fait une quelconque transformation ou des progrès, et ils ne connaissent pas non plus les divers problèmes qui peuvent exister dans leur travail ; en particulier, ils ne connaissent pas l’impact des erreurs et des déviations survenues à divers stades du travail sur le travail de l’Église et l’entrée dans la vie du peuple élu de Dieu, ni si ces erreurs et ces déviations ont été corrigées. Ils sont totalement ignorants de toutes ces choses. En ne sachant rien de ces conditions bien précises, ils deviennent passifs chaque fois que des problèmes se présentent. Cependant, les faux dirigeants ne s’inquiètent absolument pas de ces problèmes bien précis lorsqu’ils font leur travail. Ils croient qu’après avoir désigné les différents superviseurs d’équipe et assigné les tâches, leur travail est terminé : il a valeur de travail bien fait, et si d’autres problèmes surviennent, ce n’est pas leur affaire. En ne supervisant pas, en ne dirigeant pas et en n’assurant pas le suivi des divers superviseurs d’équipe comme il se doit, et en n’assumant pas leurs responsabilités dans ces domaines, les faux dirigeants sèment le désordre dans le travail de l’Église. Ce sont là des dirigeants et des ouvriers qui manquent à leurs responsabilités » (La Parole, vol. 5 : Les responsabilités des dirigeants et des ouvriers, Les responsabilités des dirigeants et des ouvriers (3)). « Pensez-vous que les faux dirigeants soient stupides ? Ils sont stupides et insensés. Qu’est-ce qui les rend stupides ? Ils font allègrement confiance à cette personne, et parce qu’au moment où cette personne a été choisie, elle a prêté serment, pris une résolution et prié en ayant le visage inondé de larmes, ils croient que cela signifie qu’elle est fiable et qu’il n’y aura jamais de problèmes avec elle à l’avenir quand elle prendra le travail en charge. Les faux dirigeants n’ont aucune compréhension de la nature des gens. Ils ignorent la véritable situation de l’humanité corrompue. Ils disent : “Comment quelqu’un pourrait-il changer en pire une fois qu’il a été choisi comme superviseur ? Comment quelqu’un qui semble si sérieux et fiable pourrait-il esquiver son travail ? Il ne le ferait pas, n’est-ce pas ? Il a beaucoup d’intégrité.” Parce que les faux dirigeants ont trop fait confiance à leur propre imagination et à leurs propres sentiments, cela les rend finalement incapables de résoudre en temps opportun les nombreux problèmes qui surviennent dans le travail d’Église, et cela les empêche de renvoyer ou de réaffecter rapidement le superviseur concerné. Ce sont d’authentiques faux dirigeants. Et quel est précisément le problème ici ? L’approche des faux dirigeants vis-à-vis de leur travail a-t-elle quoi que ce soit à voir avec la superficialité ? D’une part, ils voient le grand dragon rouge procéder avec rage à des arrestations parmi le peuple élu de Dieu. Alors, pour se protéger, ils s’arrangent, au hasard, pour que quelqu’un soit responsable du travail, croyant que cela résoudra le problème et qu’ils n’auront plus à y accorder d’attention. Que pensent-ils dans leur cœur ? Ils se disent : “C’est un environnement tellement hostile, je devrais me cacher pendant un moment.” C’est là convoiter le confort de la chair, n’est-ce pas ? D’autre part, les faux dirigeants ont un défaut fatal : ils ont vite fait de faire confiance aux gens en se fondant sur leur propre imagination. Et c’est dû au fait qu’ils ne comprennent pas la vérité, n’est-ce pas ? Comment la parole de Dieu révèle-t-elle l’essence de l’humanité corrompue ? Pourquoi devraient-ils faire confiance aux gens, alors que Dieu ne leur fait pas confiance ? Les faux dirigeants sont trop arrogants et présomptueux, n’est-ce pas ? Ils se disent : “Il n’est pas possible que j’aie mal jugé cette personne, elle ne devrait poser aucun problème, puisque j’ai jugé qu’elle convenait. Ce n’est assurément pas quelqu’un qui s’adonne à la nourriture, à la boisson et au divertissement, ou qui aime le confort et déteste travailler dur. Elle est absolument fiable et digne de confiance. Elle ne changera pas. Si elle changeait, cela voudrait dire que je me suis trompé à son sujet, n’est-ce pas ?” Quel genre de logique est-ce donc ? Es-tu une sorte d’expert ? As-tu une vision aux rayons X ? As-tu cette compétence extraordinaire ? Tu aurais beau vivre avec une personne pendant un ou deux ans, serais-tu capable de voir qui elle est vraiment sans un environnement approprié pour mettre entièrement à nu sa nature-essence ? Si elle n’était pas révélée par Dieu, tu pourrais vivre côte à côte avec elle pendant trois, voire cinq ans, et tu aurais encore du mal à voir quel genre de nature-essence elle a exactement. Et n’est-ce pas encore plus vrai quand tu ne la vois que rarement, que tu es rarement avec elle ? Les faux dirigeants font allègrement confiance à une personne en se fondant sur une impression fugace, ou sur l’appréciation positive qu’en a quelqu’un d’autre, et ils osent confier le travail de l’Église à une telle personne. En cela, ne sont-ils pas extrêmement aveugles ? N’agissent-ils pas imprudemment ? Et quand ils agissent ainsi, les faux dirigeants ne sont-ils pas extrêmement irresponsables ? » (La Parole, vol. 5 : Les responsabilités des dirigeants et des ouvriers, Les responsabilités des dirigeants et des ouvriers (3)).

Dieu expose que les faux dirigeants sont paresseux, avides de confort et complètement irresponsables dans leurs devoirs. Une fois qu’ils ont désignés un responsable, les faux dirigeants lui font confiance sans hésiter en se basant sur leur imagination et leurs notions. Ils n’assurent ni le suivi ni la supervision du travail car ils ne veulent pas payer le prix pour vérifier que tout se passe bien. Ils font des économies partout où ils le peuvent, entraînant de graves pertes pour le travail de l’Église. En voyant Dieu exposer les différents comportements des faux dirigeants qui ne font pas de travail concret, j’ai eu l’impression que Dieu m’exposait directement. C’était très inconfortable, et je me suis sentie coupable. En tant que dirigeante, j’avais été très irresponsable envers mon devoir. Pour me préserver de l’inquiétude et de la souffrance charnelle, j’avais été fuyante et je n’avais pas assuré le suivi du travail. Je ne m’étais fiée qu’à ma première impression de Zhao Jing, pensant qu’elle était responsable dans son devoir et qu’elle convenait en tant que cheffe de groupe, j’avais donc commencé à adopter une approche non-interventionniste et n’avais pas supervisé son travail. Quand j’avais vu que son travail ne fournissait pas de bons résultats et que je devrais souffrir et payer un prix pour résoudre le problème, je n’avais pas fait de travail concret et, au lieu de cela, j’avais trouvé des excuses pour me faciliter la tâche, disant que tout le monde était encore en train de s’adapter et qu’ils allaient bientôt prendre la bonne voie. Quand les autres avaient signalé que Zhao Jing avait des problèmes et qu’elle ne convenait pas en tant que cheffe de groupe, j’avais encore supposé, en me basant sur mes notions et mon imagination, que ce n’était qu’une révélation temporaire de corruption, et que cela n’impacterait pas son devoir. J’avais reporté la résolution des problèmes de Zhao Jing encore et encore, jusqu’à ce que le travail du groupe soit paralysé et que l’entrée dans la vie de mes frères et sœurs subisse d’énormes pertes. J’avais été si entêtée, stupide, et irresponsable. J’étais une fausse dirigeante avide de confort et ne qui faisait pas de travail concret ! Le fait est que les dirigeants et ouvriers que l’Église a élus, y compris moi, n’ont pas été perfectionnés ; nous avons de nombreux tempéraments corrompus, et nous pouvons causer des interruptions et des perturbations dans nos devoirs à tout moment. Même si nous semblons nous comporter correctement, cela ne signifie pas que nous sommes qualifiés pour être utilisés. Nous ne comprenons pas la vérité et regardons seulement les apparences des gens sans discerner leur essence, donc nous devons fréquemment faire le suivi du travail et le superviser pour être responsables envers le travail. Je ne comprenais pas la vérité et ne pouvais pas discerner les gens, mais j’avais une aveugle confiance en moi, donc j’ai causé de grandes pertes au travail de l’Église à cause de cela, et j’ai laissé des transgressions et de la souillure dans mon sillage. Une fois que j’ai pris conscience cela, j’ai éprouvé un profond regret. Si je n’avais pas été si présomptueuse, si paresseuse, ou si avide de confort lorsque Xinrui m’a rappelé le problème avec Zhao Jing, mais que j’avais plutôt pris le temps de réellement enquêter, découvrir et résoudre le problème à temps, et de renvoyer Zhao Jing, je n’aurais pas causé de tels retards au travail de l’Église. Non seulement je n’avais pas contribué au travail de l’Église dans le cadre de mon devoir, mais j’avais agi comme le laquais de Satan et protégé des faux dirigeants et ouvriers. Plus j’y pensais, plus je me suis sentie inquiète et malheureuse. J’ai pensé à la façon dont lorsque Dieu incarné œuvre, Il souffre concrètement et paie un prix. En réponse à toute notre corruption et toutes nos insuffisances, Dieu échange sans relâche sur la vérité, nous soutient et nous aide avec tous Ses efforts acharnés pour nous sauver complètement de l’emprise de Satan. Mais je suis un être créé qui ne comprenait pas la vérité, était aveugle et ne pouvait pas voir les choses clairement, et je ne voulais pas vraiment souffrir ou payer un prix dans mes devoirs. Je ne voulais pas résoudre les problèmes rapidement lorsque je les découvrais, et j’ai causé d’énormes pertes au travail. Faire mes devoirs de cette manière était vraiment dégoûtant et répugnant pour Dieu ! Une fois que j’ai pris conscience de ces choses, j’ai silencieusement prié Dieu, « Dieu, j’avais tort. Je souhaite réfléchir sur moi-même et me repentir devant Toi. »

J’ai lu quelques passages supplémentaires dans lesquels Dieu expose les faux dirigeants : « Le travail de l’Église se trouve retardé simplement parce que des faux dirigeants manquent gravement à leurs responsabilités, qu’ils ne font pas de travail réel ou n’assurent pas le suivi de ce travail et ne le supervisent pas, et qu’ils sont incapables d’échanger sur la vérité pour résoudre les problèmes. Bien entendu, la situation s’explique également parce que ces faux dirigeants s’adonnent aux avantages que leur confère leur statut, qu’ils ne poursuivent pas du tout la vérité et qu’ils ne sont pas disposés à assurer le suivi du travail de diffusion de l’Évangile, à le superviser ou à le diriger, avec pour résultat que ce travail avance lentement, et que nombre de déviations, d’absurdités et de méfaits imprudents dus à l’homme ne sont pas rapidement rectifiés ou résolus, ce qui affecte gravement l’efficacité de la diffusion de l’Évangile. C’est seulement quand ces problèmes sont découverts par le Supérieur et que les dirigeants et les ouvriers reçoivent l’instruction de les résoudre que ces problèmes sont corrigés. Ces faux dirigeants, comme des aveugles, sont incapables de découvrir les moindres problèmes, et il n’y a pas de principes du tout dans la façon dont ils agissent, et pourtant, ils sont incapables de prendre conscience de leurs propres erreurs, et ils ne les admettent que lorsqu’ils sont émondés par le Supérieur. Alors, qui peut se permettre d’assumer la responsabilité des pertes causées par ces faux dirigeants ? Même si on les révoquait de leur poste, comment pourrait-on compenser les pertes qu’ils ont causées ? Par conséquent, quand on découvre que des faux dirigeants sont incapables de faire le moindre travail réel, ils devraient être rapidement renvoyés. Dans certaines Églises, le travail d’évangélisation avance particulièrement lentement. C’est simplement dû au fait que les faux dirigeants ne font pas de travail réel et que, dans de trop nombreux cas, ils manquent à leurs devoirs et commettent des erreurs » (La Parole, vol. 5 : Les responsabilités des dirigeants et des ouvriers, Les responsabilités des dirigeants et des ouvriers (4)). « Dans tous les différents aspects du travail dont les faux dirigeants s’occupent, il y a, en réalité, de nombreux problèmes, de nombreuses déviations et de nombreux défauts qui doivent être résolus, corrigés et auxquels il faut remédier. Cependant, parce que ces faux dirigeants n’ont aucun sens du fardeau, qu’ils se contentent de s’adonner aux avantages que leur confère leur statut sans faire le moindre travail réel, ils finissent par semer la pagaille dans le travail. Dans certaines Églises, les gens ne sont pas unis par l’esprit, tout le monde soupçonne tout le monde, se méfie de tout le monde et discrédite tout le monde, tout en craignant d’être éliminé par la maison de Dieu. Confrontés à ces situations, les faux dirigeants n’essaient pas de les résoudre, ils ne font aucun travail réel spécifique » (La Parole, vol. 5 : Les responsabilités des dirigeants et des ouvriers, Les responsabilités des dirigeants et des ouvriers (4)). « En apparence, les faux dirigeants ne commettent pas délibérément ces innombrables maux ou ne font pas les choses à leur manière et n’établissent pas leurs propres royaumes indépendants, comme le font les antéchrists. Mais les faux dirigeants ne sont pas capables de résoudre rapidement les divers problèmes qui surviennent dans le travail de l’Église, et lorsque des problèmes se présentent avec les superviseurs des diverses équipes, et lorsque ces superviseurs sont incapables d’assumer leur travail, les faux dirigeants ne sont pas capables de changer rapidement leurs devoirs ou de les renvoyer, ce qui porte sérieusement préjudice au travail de l’Église. Et tout cela est causé par le manquement de responsabilité des faux dirigeants » (La Parole, vol. 5 : Les responsabilités des dirigeants et des ouvriers, Les responsabilités des dirigeants et des ouvriers (3)). Dieu expose la négligence des faux dirigeants : le fait qu’ils ne font pas réellement de suivi ou ne vérifient pas le travail, qu’ils ne supervisent pas et n’inspectent pas les personnes responsables, et que, par conséquent, de nombreux problèmes de travail ne peuvent pas être résolus, causant de graves pertes au travail de l’Église. En réfléchissant à mes actions, j’ai pris conscience que parce que j’étais avide de confort, j’avais négligé mon devoir, j’avais été irresponsable, et j’avais fait confiance à Zhao Jing en me basant sur mes propres notions et ma propre imagination, sans superviser son travail ou en faire le suivi. Lorsque d’autres ont signalé ses problèmes, je les ai ignorés, sans résoudre les problèmes concrets ou la renvoyer à temps, ce qui lui a permis d’entretenir une jalousie et des conflits sur le long terme, d’interrompre et de perturber le groupe, et de ne jouer aucun rôle positif dans son devoir. Cela a entraîné l’inefficacité du travail du groupe pendant des mois, et en a gravement retardé l’avancement. Lorsque ses frères et sœurs lui ont prodigué des conseils, elle les a réprimés, les a exclus et leur a fait sentir une pression pendant longtemps, causant, dans le groupe, un sentiment de contrainte et d’inattention dans les devoirs. Et pourtant, je ne savais rien de tout cela, pensant toujours qu’elle se débrouillait bien. En tant que dirigeante, non seulement j’avais échoué à assumer ma responsabilité, mais j’avais été incapable de reconnaître et de résoudre les nombreux problèmes du travail de l’Église en temps voulu, alors qu’ils étaient juste sous mes yeux. Cela a causé de grandes pertes au travail de l’Église et à l’entrée dans la vie de mes frères et sœurs. J’étais gravement négligente dans mes devoirs ! Bien que je n’aie pas délibérément fait le mal comme un antéchrist, pour interrompre et perturber le travail de l’Église, ma négligence a quand même causé de graves pertes au travail de l’Église. Je me haïssais d’avoir été si aveugle, distraite et irresponsable au point de transgresser en présence de Dieu. J’ai ressenti un profond sentiment de tristesse et de culpabilité, et j’ai eu l’impression d’être redevable à la fois à Dieu et à mes frères et sœurs.

Plus tard, j’ai réfléchi sur moi-même. Pourquoi étais-je toujours en train de tenir compte de ma chair, d’être fuyante et irresponsable dans mon devoir ? Plus tard, j’ai vu un passage de la parole de Dieu qui m’a beaucoup aidé. Les paroles de Dieu disent : « Quel est donc le poison de Satan ? Comment peut-il être exprimé ? Par exemple, si tu leur demandes : “Comment les gens devraient-ils vivre ? Pour quoi les gens devraient-ils vivre ?” les gens répondront : “Chacun pour soi, Dieu pour tous.” Cette seule phrase exprime la racine du problème. La philosophie et la logique de Satan sont devenues la vie des gens. Quoi que les gens poursuivent, ils le font pour eux-mêmes : et donc, ils ne vivent que pour eux-mêmes. “Chacun pour soi, Dieu pour tous”, voilà la philosophie de vie de l’homme, et cela représente aussi la nature humaine. Ces paroles sont déjà devenues la nature de l’humanité corrompue et elles font le véritable portrait de la nature satanique de l’humanité corrompue. Cette nature satanique est déjà devenue la base de l’existence de l’humanité corrompue. Depuis plusieurs milliers d’années, l’humanité corrompue vit de ce venin de Satan, jusqu’à aujourd’hui. Tout ce que Satan fait, c’est pour ses propres désirs, ses ambitions et ses buts. Il veut dépasser Dieu, se libérer de Dieu et prendre le contrôle de toutes les choses créées par Dieu. Aujourd’hui, les gens ont été corrompus par Satan dans la mesure suivante : ils ont tous une nature satanique, ils essaient tous de nier Dieu et de s’opposer à Lui, et ils veulent contrôler leur propre destin et essaient de s’opposer aux orchestrations et aux arrangements de Dieu. Leurs ambitions et leurs désirs sont exactement les mêmes que ceux de Satan. Par conséquent, la nature de l’homme est la nature de Satan » (La Parole, vol. 3 : Discours de Christ des derniers jours, Comment suivre la voie de Pierre). J’ai médité sur la parole de Dieu et j’ai finalement pris conscience que j’étais paresseuse, irresponsable dans mon devoir, et que je manquais de conscience et de raison, principalement parce que la règle satanique de l’existence « chacun pour soi, Dieu pour tous » était si profondément enracinée en moi qu’elle était devenue ma nature. J’ai toujours vécu selon cette règle, ne considérant que mes propres intérêts charnels dans tout, devenant de plus en plus égoïste et méprisable. Quand quelque chose me causait des soucis et davantage de souffrances ou nécessitait que je paie un prix plus élevé, j’utilisais la ruse et la fourberie pour l’éviter, faisant tout ce que je pouvais pour souffrir le moins possible. Quand j’ai vu que prendre en charge le travail global exigeait des inquiétudes et des souffrances supplémentaires, j’ai voulu plutôt faire un simple travail. Quand ma charge de travail a augmenté, j’ai voulu moins m’inquiéter et moins payer de prix, ce qui m’a conduite à adopter une approche non-interventionniste du travail de Zhao Jing. Plus tard, quand j’ai vu qu’elle était dans un mauvais état, j’ai été paresseuse et je n’ai pas voulu le résoudre. Même si Xinrui m’a rappelé qu’elle n’était pas apte à être utilisée, j’ai utilisé le fait d’être occupée par le travail comme excuse pour reporter l’investigation et la confirmation du problème de Zhao Jing jusqu’à ce qu’il devienne grave au point qu’elle a dû être renvoyée. L’Église m’a élue comme dirigeante et m’a donné une chance de pratiquer, dans l’espoir que je prenne mes responsabilités et assume mon devoir. Mais qu’est-ce que j’ai fait ? Plutôt que de penser à la façon de bien faire mon devoir, je n’ai rien fait d’autre qu’être avide de confort, faisant tout ce qui me permettrait de moins m’inquiéter et souffrir. J’avais cru en Dieu pendant des années et joui de l’abreuvement et de l’approvisionnement de beaucoup de paroles de Dieu, mais quand on me demandait quoi que ce soit, je ne pensais qu’à mon confort, pas à faire un travail concret. J’étais égoïste et méprisable, et je dégoûtais Dieu ! Je haïssais mon manque d’humanité et de raison, et le fait que je n’ai pas su vivre à la hauteur de la bonne intention de Dieu. J’ai prié Dieu : « Dieu, j’étais préoccupée par ma chair et je n’ai pas fait de travail concret, causant de grandes pertes au travail de l’Église. Je souhaite me repentir devant Toi. À l’avenir, peu importe mon devoir, je ne veux plus tenir compte de ma chair et être avide de confort. Je veux être responsable et bien faire mon devoir de manière pragmatique. »

Plus tard, j’ai lu deux autres passages de la parole de Dieu. Dieu Tout-Puissant dit : « Les gens qui ont du cœur sont capables d’être attentifs au cœur de Dieu ; ceux qui n’ont pas de cœur sont des coquilles vides, des insensés, ils ne savent pas être attentifs au cœur de Dieu. Leur mentalité est la suivante : “Je ne me soucie pas de savoir si c’est urgent pour Dieu, je le ferai à ma guise. Dans tous les cas, je ne suis ni oisif ni paresseux.” Ayant ce genre d’attitude, ce genre de négativité, ce manque total de proactivité, c’est quelqu’un qui n’est pas attentif au cœur de Dieu et qui ne comprend pas non plus comment être attentif au cœur de Dieu. Dans ce cas, possède-t-il une vraie foi ? Certainement pas. Noé était attentif au cœur de Dieu, il avait une foi véritable et était ainsi capable d’achever la commission de Dieu. Et donc, il ne suffit pas d’accepter simplement une commission de Dieu et d’être prêt à faire des efforts. Vous devez également être attentifs aux intentions de Dieu, tout donner et être loyaux, ce qui nécessite que vous ayez une conscience et de la raison : c’est ce que les gens devraient avoir, et c’est ce que l’on trouvait chez Noé. À votre avis, pour construire une arche si grande à cette époque, combien d’années aurait-il fallu pour construire l’arche si Noé avait traîné les pieds et n’avait eu aucun sentiment d’urgence, aucune angoisse, aucune efficacité ? Aurait-elle pu être terminée au bout de 100 ans ? (Non.) Cela aurait pris plusieurs générations en la construisant sans interruption. D’une part, construire un objet massif comme une arche aurait demandé des années ; de plus, il en aurait été de même pour rassembler et s’occuper de toutes les créatures vivantes. A-t-il été facile de rassembler ces créatures ? (Non.) Ce n’était pas le cas. Et donc, après avoir entendu les ordres de Dieu et compris Son intention urgente, Noé a senti que ce ne serait ni facile ni simple. Il s’est rendu compte qu’il devait l’accomplir conformément aux souhaits de Dieu et mener à terme la commission donnée par Dieu, afin que Dieu soit satisfait et rassuré et que la prochaine étape de l’œuvre de Dieu puisse se dérouler sans heurts. Tel était le cœur de Noé. Et quel genre de cœur était-ce ? C’était un cœur attentif aux intentions de Dieu » (La Parole, vol. 4 : Exposer les antéchrists, Annexe 3 : Comment Noé et Abraham ont écouté les paroles de Dieu et se sont soumis à Lui (Partie II)). « Quel que soit le travail important qu’accomplit un dirigeant ou un ouvrier et la nature de ce travail, leur priorité numéro un est de comprendre et de saisir la façon dont le travail se déroule. Ils doivent être là en personne pour assurer le suivi des choses et poser des questions, et obtenir leurs informations de première main. Ils ne doivent pas simplement se fier aux ouï-dire ou écouter les rapports d’autrui. Au lieu de cela, ils doivent observer de leurs propres yeux la situation du personnel, et la façon dont le travail progresse, et comprendre les difficultés rencontrées, savoir s’il y a, dans certains domaines, des contradictions avec les exigences du Supérieur, s’il y a des violations des principes, s’il existe des perturbations ou des interruptions, s’il manque un équipement nécessaire ou du matériel pédagogique lié à la mise en œuvre du travail : ils doivent se tenir au courant de tout cela. Quel que soit le nombre de rapports qu’ils écoutent ou ce qu’ils apprennent par ouï-dire, rien de cela ne vaut une visite en personne ; c’est plus précis et plus fiable pour eux de voir les choses de leurs propres yeux. Une fois qu’ils se seront familiarisés avec chaque aspect de la situation, ils auront une bonne idée de ce qui se passe. Ils doivent surtout saisir de façon claire et précise qui est de bon calibre et digne d’être cultivé, car c’est seulement ainsi qu’ils peuvent cultiver et utiliser les gens avec précision, ce qui est crucial pour que les dirigeants et les ouvriers puissent bien faire leur travail. Les dirigeants et les ouvriers doivent suivre un chemin et des principes pour former des personnes de bon calibre. De plus, ils doivent saisir et comprendre les différents types de problèmes et de difficultés qui surviennent dans le travail d’Église, et savoir les résoudre, et ils doivent aussi avoir leurs propres idées et suggestions sur la façon dont le travail doit progresser et sur ses perspectives d’avenir. S’ils sont capables de parler avec clarté de telles choses les yeux fermés, sans aucun doute ni aucune appréhension, alors le travail sera beaucoup plus facile à réaliser. Et en travaillant de cette manière, un dirigeant assumera ses responsabilités, n’est-ce pas ? Il doit être très conscient de la façon de résoudre les problèmes dans le travail mentionnés ci-dessus et il doit souvent y réfléchir. Quand il rencontre des difficultés, il doit échanger et discuter de ces choses avec tout le monde, en cherchant la vérité afin de résoudre ces problèmes. En faisant un travail réel, les deux pieds fermement plantés dans le sol de cette façon, il n’y aura pas de difficultés qui ne pourront être résolues » (La Parole, vol. 5 : Les responsabilités des dirigeants et des ouvriers, Les responsabilités des dirigeants et des ouvriers (4)). Les paroles de Dieu m’ont montré le chemin pour bien faire mon devoir, qui est de faire preuve de considération envers les intentions de Dieu, de me préoccuper des soucis de Dieu, d’assumer les responsabilités qui m’incombent, et de ne pas laisser le travail de l’Église souffrir. Tout comme Noé, qui faisait preuve d’une sincère considération envers l’intention de Dieu. Quand Dieu lui a dit de construire l’arche, il n’a pas tenu compte de ses propres gains ou pertes, et a seulement pensé à la façon de construire l’arche rapidement selon les exigences de Dieu. Bien que je ne puisse pas me comparer à Noé, je voulais l’imiter, apprendre à tenir compte des intentions de Dieu, et faire de mon mieux pour répondre à Ses exigences. J’ai aussi compris que pour que les dirigeants et les ouvriers fassent correctement un travail concret, nous devons nous tenir au courant du travail, et quand nous voyons des obstacles ou des interruptions et des perturbations dans le travail, nous devons échanger et les traiter à temps pour garantir que le travail progresse normalement.

Après un certain temps, mon dirigeant m’a chargé du travail d’évangélisation et d’abreuvement de plusieurs Églises. J’ai pensé : « Je ne peux pas laisser cela se dérouler comme la dernière fois. Je ne peux pas me soucier uniquement du confort charnel et ne pas assumer la responsabilité envers mon devoir. Je dois rester pragmatique et consacrer tous mes efforts à mon devoir. » Après cela, je me suis concentrée sur le fait de m’équiper chaque jour de la vérité des visions. S’il y avait de potentiels destinataires d’évangélisation, je leur témoignais activement de l’œuvre de Dieu des derniers jours, et je cherchais la parole de Dieu et m’en équipais en fonction de leurs notions religieuses. Un jour, alors que j’allais vérifier le travail de l’Église de Cheng Nan, j’ai pensé : « Les dirigeants et le diacre d’évangélisation de cette Église croient en Dieu depuis longtemps. Ils ont un bon calibre, et ils sont compétents et responsables dans leurs devoirs. Ils peuvent gérer leur travail correctement, je n’ai donc pas besoin de faire de suivi, ce qui pourrait me faire économiser des efforts. » Une fois que j’ai eu ces pensées, j’ai pris conscience que j’étais à nouveau fuyante à trouver des raisons de ne pas superviser le travail ou en faire le suivi. Maintenant que j’étais en charge de plusieurs Églises, l’exécution et la supervision du travail de l’Église étaient ma responsabilité et mon devoir. Je ne pouvais plus trouver d’excuses pour tenir compte de ma chair et reporter mon devoir. Avec cela à l’esprit, j’ai soigneusement vérifié le travail de l’Église. J’ai constaté que quelques nouveaux venus assistaient aux réunions de manière irrégulière et que les personnes chargées de l’abreuvement ne faisaient pas bien leur travail. Le lendemain, j’ai rapidement réuni les personnes chargées de l’abreuvement pour échanger sur la vérité et résoudre leurs problèmes. Après un certain temps, j’ai entendu dire que ces nouveaux venus assistaient plus régulièrement aux réunions, ce qui m’a apporté paix et sécurité.

Grâce à cette expérience, j’ai pris conscience que faire mon devoir exige réellement de payer un prix, et encore plus, de faire le suivi du travail et de le superviser. C’est le seul moyen de découvrir et de résoudre les problèmes à temps et de bien faire le devoir. Cette prise de conscience et ce changement aujourd’hui sont le résultat obtenu par la parole de Dieu. Dieu Tout-Puissant soit loué !

La douleur cessera et les larmes s'arrêteront. Faites confiance à Dieu, Il a entendu nos appels dans notre souffrance, et Il nous sauvera de notre douleur. Contactez-nous pour connaître la bonne nouvelle de Dieu de nous sauver.

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