Sept années d’épreuves ont révélé mon vrai visage
Par Chen Hui, Chine En 1994, j’ai accepté en même temps que ma mère l’œuvre de Dieu des derniers jours. Quand j’ai appris que Dieu était...
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En juin 2020, on m’a nommée dirigeante d’Église. Au début, quand j’avais des problèmes au travail, je cherchais consciencieusement les principes, et même lorsque je savais comment faire quelque chose, je demandais malgré tout conseil aux collègues, et je n’agissais qu’après être parvenue à un consensus. Néanmoins, au bout d’un moment, j’ai trouvé que mes propres suggestions étaient plus pertinentes la plupart du temps. De même, puisque j’avais déjà été dirigeante et ouvrière, j’avais l’impression de saisir certains principes, de pouvoir voir à la fois les gens et les choses, ainsi que de prendre les bonnes dispositions dans le travail. Un jour, notamment, le travail d’évangélisation ne donnait pas de bons résultats, et ma sœur partenaire ne savait pas comment corriger ça. J’ai alors proposé que tous les frères et sœurs impliqués dans le travail d’évangélisation se retrouvent, afin que nous puissions échanger sur les difficultés dans ce travail et chercher la vérité pour trouver des solutions. Au bout d’un certain temps, chaque frère et sœur a été capable d’utiliser efficacement ses forces dans son devoir, et l’efficacité du travail d’évangélisation s’est considérablement améliorée. Inconsciemment, j’ai glissé petit à petit dans un état de fierté et de complaisance, estimant que j’avais des capacités de travail, et que pouvais gérer correctement à la fois le personnel et le travail d’Église.
Quelques mois plus tard, l’Église a eu besoin d’élire un diacre d’évangélisation. Avant l’élection, j’ai passé en revue tous les membres de l’Église, et j’ai pensé que Sœur Li Yang conviendrait le mieux. Elle avait la foi depuis longtemps, savait renoncer, dépenser son énergie et était vive d’esprit. Elle avait aussi prêché l’Évangile dans de nombreux endroits et avait obtenu des résultats. À présent, elle était tout juste revenue en ville et avait déjà converti plusieurs personnes. Je me suis alors dit qu’elle convenait parfaitement pour être diaconesse d’évangélisation. Mais après avoir vu plusieurs évaluations disant qu’elle avait un tempérament très arrogant, qu’elle limitait souvent les autres, et décourageait l’enthousiasme des gens dans l’exécution de leur devoir, j’ai hésité. J’ai fini par me dire : « Elle a de bonnes capacités de travail et est capable de prêcher l’Évangile efficacement, et même si elle a ces problèmes, tant qu’on l’aide tous, alors il ne devrait pas y avoir trop de problèmes. » Après y avoir pensé un petit moment, j’ai fini par considérer que Li Yang convenait pour être diaconesse d’évangélisation. Le jour suivant, j’ai partagé mon point de vue avec ma partenaire. Elle a répondu : « Li Yang limite sérieusement les autres. Elle peut prêcher l’Évangile toute seule si elle veut, mais mais j’ai peur qu’elle perturbe le travail d’évangélisation si elle devient diaconesse d’évangélisation. Nous devons donc être prudentes. » Je n’ai pas été très contente d’entendre ma sœur dire ça. Je me suis dit : « Tu crois en Dieu depuis peu, ton opinion est donc trop partiale. Je vois les gens et les choses avec plus de précision, tu aurais tort de ne pas m’écouter. » J’ai répondu avec un regard méprisant : « Quand on choisit un diacre d’évangélisation, le plus important, c’est de savoir si la personne a la capacité de travail et les connaissances nécessaires pour diffuser l’évangile. Peut-être que Li Yang est arrogante et a tendance à limiter les autres, mais elle est compétente, et elle peut obtenir des résultats en diffusant l’évangile. Nous devons apprendre à utiliser les gens en fonction de leurs points forts et de leurs capacités, et ne pas nous focaliser sur leurs petits problèmes. » Très résignée d’avoir entendu ça, ma partenaire n’a alors plus rien dit.
Ensuite, lors d’un échange avec mes frères et sœurs au sujet de l’élection, je n’ai pas échangé sur les principes des élections, mais j’ai délibérément insisté sur le fait qu’on doive élire quelqu’un qui a des capacités de travail et efficace dans son devoir. Influencés par ce que j’avais échangé, la plupart des frères et sœurs ont voté pour que Li Yang soit élue diaconesse d’évangélisation. Sur le moment, j’étais plutôt contente. Mais ensuite, après avoir lu l’évaluation de Li Yang, ma dirigeante supérieure a dit que celle-ci limitait toujours les autres, décourageait leur enthousiasme, qu’elle était particulièrement arrogante et n’acceptait pas les conseils de ses frères et sœurs et que la choisir comme diaconesse d’évangélisation, perturberait certainement notre travail. J’ai pensé : « Tu ne connais pas la situation du personnel de l’église. Si tu es toujours aussi stricte sur tout, alors nous ne trouverons jamais quelqu’un qui convienne pour ce travail. De plus, Li Yang n’est pas complètement opposée aux suggestions des autres. La dernière fois que je l’ai émondée, elle l’a accepté. Elle convient bien pour cette fonction. » Après avoir pensé à ça, j’ai rapidement rétorqué : « Li Yang peut accepter d’être critiquée et émondée, et elle prêche l’Évangile avec efficacité. Nous pouvons l’aider davantage avec son tempérament corrompu à l’avenir. Elle peut toujours gérer cette fonction. De plus, dans l’immédiat, personne d’autre dans l’Église ne convient mieux qu’elle. » Après m’avoir écoutée, la dirigeante a dit, résignée : « Alors laissons-la exercer pendant un moment, puis on verra. Si tu trouves qu’elle attaque les gens et perturbe le travail, alors renvoie-la immédiatement. » C’est ainsi que Li Yang est devenue la diaconesse d’évangélisation.
Peu après, ma partenaire a dit : « Récemment, j’ai été en contact avec Li Yang et j’ai trouvé qu’elle limitait encore fortement les gens. Quand les ouvriers d’évangélisation ont des lacunes, elle ne les aide pas par l’échange. Au contraire, elle les attaque, en leur disant qu’ils sont bons à rien et progressent trop lentement. Elle dit qu’elle fait tout le travail toute seule et que c’est trop fatigant de coopérer avec les autres frères et sœurs, ce qui rend tout le monde négatif. » Je ne l’ai pas prise au sérieux, et je me suis dit : « Tout le monde a de la corruption. Tant que Li Yang peut accomplir ses devoirs efficacement, tout va bien. Ton expérience et tes connaissances sont encore trop superficielles. J’en ai vu beaucoup comme elle. Tant qu’on échange et qu’on l’émonde souvent, elle peut toujours faire du travail. » J’ai donc dit à ma partenaire : « Regardons davantage ses points forts. Elle est arrogante, mais elle peut prêcher l’Évangile. Nous devons être tolérants vis-à-vis de ces petits défauts. À l’avenir, j’échangerai davantage avec elle. » Comme j’avais réfuté ses propos, ma partenaire n’a plus rien dit. Plus tard, quand j’ai vu Li Yang, j’ai voulu exposer et disséquer ses problèmes. Mais dès l’instant où je suis allée la voir, elle a dit que le travail d’évangélisation était à présent très efficace. J’ai vu qu’elle était très proactive dans son devoir. Je n’ai donc que brièvement mentionné son problème de tempérament arrogant et le fait qu’elle limitait les autres. Et j’ai échangé avec elle pour savoir comment elle devait traiter correctement les frères et sœurs. Après m’avoir écoutée, elle a dit qu’elle était prête à changer. Je n’ai donc rien ajouté. Par la suite, plusieurs sœurs ont successivement signalé que non seulement Li Yang ne faisait pas de travail réel, mais elle n’échangeait pas sur la vérité pour résoudre les problèmes quand les frères et sœurs avaient des difficultés. Elle se mettait même en colère, les réprimandait et les attaquait, les plongeant dans la négativité. Par conséquent, l’efficacité du travail d’évangélisation a nettement chuté. Je me suis dit : « Ai-je eu vraiment tort d’insister pour qu’elle soit nommée diaconesse ? Puisque cela a été mentionné plusieurs fois par les frères et sœurs, je ne peux plus continuer à m’en tenir à mon point de vue. » Après ça, j’ai rassemblé toutes les évaluations faites sur Li Yang. J’ai vu qu’elle se basait souvent sur ses nombreuses années d’expérience dans la diffusion de l’évangile pour réprimander et attaquer les autres d’en haut, leur donnant le sentiment d’être contraints et négatifs, incapables d’accomplir leurs devoirs normalement. Quand les autres soulignaient ses problèmes, elle argumentait et se défendait. Plusieurs ont échangé avec elle, mais elle ne l’a pas accepté. J’ai été abasourdie en lisant ces évaluations. Je ne m’attendais pas à ce que les problèmes de Li Yang soient si graves. Après tant d’années de travail, j’ai choisi la mauvaise personne comme diaconesse, j’ai gâché le travail, et j’ai provoqué des plaintes chez les autres frères et sœurs. Ça a été difficile pour moi de réaliser tout ça. Par la suite, sur la base du comportement constant de Li Yang, il a été déterminé qu’elle ne convenait pas comme diaconesse d’évangélisation, et elle a été renvoyée.
Après le renvoi de Li Yang, j’ai éprouvé quelque chose d’inexplicable, comme si l’on m’avait giflée violemment au visage. J’ai pensé à toutes les fois où ma partenaire avait parlé des problèmes de Li Yang. Mais comme je n’avais pas pris ça au sérieux, j’avais fortement nui au travail de l’Église. J’éprouvais des remords et de la culpabilité terribles, et je me suis interrogée : « Comment avais-je pu autant me tromper en choisissant Li Yang ? Comment devais-je réfléchir sur ces lacunes, et dans quel aspect de la vérité devais-je entrer ? » J’ai prié Dieu, Lui demandant de m’éclairer pour que je puisse me connaître. J’ai lu ce passage des paroles de Dieu : « Certaines personnes ne cherchent jamais la vérité en accomplissant leurs devoirs. Elles n’en font qu’à leur tête, agissant selon leur propre imagination, elles sont toujours arbitraires et irréfléchies. Elles ne suivent tout simplement pas le chemin de la pratique de la vérité. Que signifie être “arbitraire et irréfléchi” ? Cela signifie agir comme bon te semble lorsque tu rencontres un problème, sans aucun processus de réflexion ou de recherche. Rien de ce que dit quelqu’un d’autre ne peut toucher ton cœur ni te faire changer d’avis. Tu ne peux même pas accepter qu’on échange avec toi sur la vérité, tu t’accroches à tes propres opinions, sans écouter quand d’autres personnes disent quelque chose de juste, convaincu d’avoir toi-même raison et t’accrochant à tes propres idées. Même si ce que tu penses est correct, tu devrais aussi prendre en compte les opinions des autres. Et si tu ne le fais pas du tout, n’est-ce pas être extrêmement suffisant ? Pour les gens qui sont extrêmement suffisants et obstinés, il n’est pas facile d’accepter la vérité. Si tu fais quelque chose d’incorrect et qu’on te critique en disant : “Tu ne le fais pas conformément à la vérité !” tu réponds : “Même si c’est le cas, c’est quand même comme ça que je vais le faire” et alors, tu trouves une raison pour leur faire croire que c’est juste. Si on te fait ce reproche : “Que tu agisses ainsi est perturbant et ça va porter atteinte au travail de l’Église”, non seulement tu n’écoutes pas, mais tu n’arrêtes pas de trouver des excuses : “Je pense que c’est la bonne manière, donc je vais le faire comme ça.” Quel tempérament est-ce là ? (L’arrogance.) C’est de l’arrogance. Une nature arrogante te rend obstiné. Si tu as une nature arrogante, tu te comporteras de façon arbitraire et irréfléchie, sans te soucier de ce qu’on peut te dire » (La Parole, vol. 3 : Discours de Christ des derniers jours, Troisième partie). Ces paroles de Dieu ont précisément exposé mon état d’esprit. Je me suis dit que puisque j’étais dirigeante depuis longtemps, que je maîtrisais certains principes, et que j’avais de bons résultats dans mon travail, je croyais comprendre la vérité et voir clairement les gens et les choses. Par conséquent, j’avais confiance en moi-même. Quand il se passait quelque chose, j’agissais à ma guise, et je n’avais pas à cœur de chercher la vérité. Ma partenaire m’a signifié que nous devions vérifier si Li Yang s’était repentie et avait changé, ce qui était parfaitement conforme aux principes. Mais je n’ai pas accepté et j’ai insisté pour qu’elle m’écoute. Pendant l’élection, j’avais sciemment valorisé mes propres points de vue pour égarer les autres. Après l’élection, ma dirigeante supérieure m’a rappelé que Li Yang ne convenait pas, mais je m’en suis tenue à ma propre opinion avec arrogance et j’ai trouvé des raisons pour réfuter la dirigeante. Une fois devenue diaconesse d’évangélisation, Li Yang limitait les autres en tout. Quand ma partenaire a souligné ce problème une nouvelle fois, je n’ai toujours pas réfléchi à mon comportement. J’estimais qu’elle avait trop peu d’expérience et de connaissances, je ne l’ai donc pas prise au sérieux. J’ai même dit qu’il était normal d’être un peu arrogant quand on avait de l’intelligence et du calibre. J’ai utilisé ce prétexte pour protéger Li Yang et cautionner ses actes. Je m’accrochais obstinément à ma propre opinion. Je ne regardais pas si elle faisait du travail réel ou causait des interruptions et des perturbations, de sorte que tous se sentaient contraints par elle dans leurs devoirs, ce qui a gravement entravé le travail d’évangélisation. J’étais si arrogante, suffisante et irresponsable ! En quoi faisais-je mon devoir ? J’interrompais et je perturbais le travail d’Église, je faisais le mal et résistais à Dieu, ce que écœure Dieu et qu’Il déteste. Quand j’en ai eu conscience, j’ai pris peur. Je me suis donc empressée de prier Dieu pour me repentir. Je Lui ai dit que je voulais changer mon état d’esprit et mes points de vue erronés, et chercher les principes relatifs à la sélection du personnel.
Au cours de mes recherches, j’ai lu le principe 63, « Principes concernant l’élection des dirigeants et des collaborateurs », dans 170 principes de la pratique de la vérité. Il y est dit : « On ne doit pas mettre toutes les personnes présentant un tempérament arrogant dans le même sac. Si quelqu’un est capable d’accepter la vérité et de réaliser un travail concret, il peut être élu. » J’ai vu que les personnes ayant un tempérament arrogant peuvent aussi être choisies, mais il y a un prérequis : elles doivent être capables d’accepter la vérité et de faire du travail réel. Même si Li Yang avait une certaine intelligence et du calibre et prêchait bien l’Évangile, son tempérament était particulièrement arrogant, et elle méprisait les autres simplement parce qu’elle avait plus d’expérience qu’eux dans l’évangélisation. Quand on lui signalait ses problèmes, elle ne l’acceptait pas et ne réfléchissait pas sur elle-même. Au contraire, elle essayait d’argumenter et de se justifier. Même si elle semblait l’accepter par moments, elle ne changeait absolument pas par la suite. Ce n’était pas quelqu’un qui acceptait la vérité. Elle avait aussi tendance à utiliser son statut pour limiter et attaquer les frères et sœurs, les faisant vivre dans la négativité, ce qui a gravement affecté le travail d’évangélisation. Des gens comme elle, qui ne peuvent pas faire de travail réel et vont même jusqu’à interrompre et perturber le travail, ne conviennent pas à la fonction de diacre d’évangélisation et ne peuvent être y être élus, même s’ils sont talentueux. De plus, quand j’ai choisi Li Yang, j’avais un point de vue erroné. Je pensais que si quelqu’un avait de l’expérience et qu’il était efficace dans la diffusion de l’évangile, il pouvait être élu diacre d’évangélisation. Mais tout ça sortait directement de ma notion et de mon imagination. Le fait que Li Yang puisse introduire de nouveaux croyants en prêchant l’Évangile voulait seulement dire qu’elle était douée pour diffuser l’évangile, mais pas qu’elle convenait bien pour superviser le travail d’évangélisation. Peu importait son expérience, si elle avait une mauvaise humanité, qu’elle limitait et attaquait les autres à cause de ses tempéraments sataniques, et qu’elle n’acceptait pas d’être émondée, cela serait alors problématique. Utiliser une telle personne ne pouvait qu’entraver et perturber le travail de l’Église. Quand j’étais confrontée à quelque chose, je ne cherchais pas la vérité. Je regardais les gens et les choses en me basant sur mes propres notions et ma propre imagination. En quoi cela était-il croire en Dieu ? En y réfléchissant, j’ai éprouvé de la tristesse tout au fond de mon cœur. J’ai prié Dieu, Lui disant que je désirais chercher les vérités-principes, et ne plus agir arbitrairement, selon ma propre volonté.
Même si j’avais le désir de changer, ma propre volonté était encore trop forte. J’ai donc refait les mêmes erreurs peu de temps après. Un jour, alors que ma dirigeante supérieure s’informait sur notre travail, elle a vu que Sœur Xu Jie, chargée du travail textuel, avait un calibre médiocre. Elle avait été formée pendant longtemps, mais ne progressait pas de manière évidente, et ne travaillait pas efficacement. Ma dirigeante m’a suggéré de trouver rapidement quelqu’un avec un meilleur calibre et de plus perspicace à cultiver, et elle a dit que ce n’était pas grave si cette personne avait peu d’expérience. J’ai pensé : « Même si Xu Jie n’a pas un bon calibre, elle fait ce devoir depuis longtemps et elle peut porter un fardeau. Elle est donc meilleure que n’importe qui, qui ne connaîtrait pas ce travail. Les nouveaux ne saisissent pas les principes et n’ont pas d’expérience de travail, cela prendrait donc du temps de les cultiver. Alors que Xu Jie est toujours mieux pour cette fonction. Elle est peut-être simplement inefficace ces derniers temps parce qu’elle a un mauvais état d’esprit. Une fois qu’elle se sera adaptée, ses résultats devraient naturellement progresser. » Je n’ai donc pas réassigné Xu Jie. Un peu plus tard, la dirigeante m’a envoyé une autre lettre me demandant de réassigner Xu Jie, et recommandant Sœur Xin Yu, disant qu’elle avait un bon calibre, de bonnes compétences rédactionnelles et qu’elle fait le même travail auparavant, et elle méritait d’être formée. J’ai vu que Xin Yu croyait en Dieu depuis peu de temps et avait peu d’expérience donc j’avais des doutes quant à sa capacité à vraiment gérer le travail. Ayant ça à l’esprit, j’ai insisté pour garder Xu Jie et ne pas former Xin Yu. Ce n’est qu’à la fin du mois que j’ai découvert que le travail textuel était presque au point mort. Ma dirigeante m’a émondée, en disant que j’insistais trop sur mon point de vue, qu’elle avait suggéré le transfert de Xu Jie à deux reprises, et la formation de Xin Yu, mais que je ne l’avais pas fait, ce qui avait gravement entravé le travail textuel. En entendant ça, je me suis sentie très mal. Ma dirigeante m’avait rappelé à deux reprises que Xu Jie avait un calibre médiocre et qu’elle n’était pas apte à être cultivée. Pourquoi n’arrivais-je pas à l’accepter ? Pourquoi j’insistais toujours pour utiliser le personnel selon ma propre volontés ? Face à l’énorme préjudice porté à notre travail, j’étais pleine de remords, et j’ai donc prié Dieu, Lui demandant de m’éclairer et de me guider pour que je puisse réfléchir sur mes problèmes.
Plus tard, j’ai lu ces paroles de Dieu : « Tu sers Dieu avec ton caractère naturel et en fonction de tes préférences. En plus, tu penses toujours que ce que tu es prêt à faire réjouit Dieu et que ce que tu n’es pas prêt à faire est l’objet de la haine de Dieu ; ton travail est entièrement guidé par tes propres préférences. Peut-on appeler cela servir Dieu ? En fin de compte, ton tempérament de vie ne changera pas du tout ; au contraire, ton service te rendra encore plus têtu, enracinant ainsi en profondeur ton tempérament corrompu et, de ce fait, à l’intérieur de toi-même, seront formées des règles pour servir Dieu basées sur rien d’autre que ton propre caractère et sur des expériences découlant de ton service selon ton propre tempérament. Ce sont les expériences et les leçons de l’homme. C’est la philosophie des relations mondaines de l’homme. Des gens de ce genre peuvent être classés parmi les pharisiens et les responsables religieux. S’ils ne se réveillent jamais ni ne se repentent, alors se transformeront sûrement en ces faux christs et antéchrists qui induisent les gens en erreur dans les derniers jours. Les faux christs et les antéchrists dont on a parlé seront issus de gens comme eux. Si ceux qui servent Dieu suivent leur propre caractère et agissent selon leur propre volonté, alors ils courent le risque d’être éliminés n’importe quand. Ils tomberont devant Dieu, ceux qui se servent de leurs nombreuses années d’expérience acquise au service de Dieu pour séduire le cœur des gens, leur faire la morale et les contraindre, pour s’élever eux-mêmes, ceux qui jamais ne se repentent, ne se confessent, ni ne renoncent aux avantages que procure la position. Ce sont des gens de même type que Paul, se prévalant de leur ancienneté et exhibant leurs qualités. Dieu ne conduira pas ce type de personnes à la perfection. Ce genre de service perturbe l’œuvre de Dieu. Les gens s’accrochent toujours à ce qui est ancien. Ils s’accrochent aux notions du passé, à tout ce qui appartient au passé. C’est un sérieux obstacle à leur service. Si tu ne peux pas t’en débarrasser, ces choses obstrueront toute ta vie. Dieu ne te félicitera pas le moins du monde, même si tu cours à t’en briser les jambes ou travailles à t’en briser les reins, et même si tu es martyrisé dans le cadre de ton service pour Dieu. Bien au contraire : Il dira que tu es un malfaiteur » (La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, Le service religieux doit être éliminé). « Quand une personne n’aime pas la vérité et agit fréquemment en suivant sa propre volonté, alors elle offensera souvent Dieu. Dieu la détestera, l’abandonnera et la mettra de côté. Ce que fait ce genre de personne échoue souvent à obtenir l’approbation de Dieu, et si cette personne ne connaît aucun repentir, alors sa punition n’est pas loin » (La Parole, vol. 3 : Discours de Christ des derniers jours, Troisième partie). En méditant sur ces paroles de Dieu, j’ai eu un peu peur. Je pensais que, puisque je faisais mon devoir depuis longtemps et que j’avais de l’expérience, cela voulait dire que je comprenais la vérité. Je considérais et pratiquais donc mes notions comme si c’était la vérité, et je considérais mon expérience professionnelle comme essentielle. Résultat, j’étais devenue de plus en plus arrogante. Quand il m’arrivait quelque chose, je n’avais pas de place pour Dieu dans mon cœur. Je ne cherchais pas les vérités-principes, je n’acceptais pas les suggestions, et j’agissais à ma guise avec obstination. Tout ça nuisait au travail de l’Église. J’ai finalement compris qu’avoir de l’expérience ne signifiait pas comprendre la vérité et posséder des réalités. En ne poursuivant pas la vérité et en agissant selon ma propre expérience et volonté, je ne peux qu’interrompre et perturber le travail de l’Église. La vérité règne dans la maison de Dieu, et la vérité est le critère de nos actions. Mais je prenais toujours, à tort, ma propre expérience et volonté pour la vérité. En quoi était-ce la foi en Dieu ? C’était croire en moi-même ! J’ai pensé au fait que les antéchrists chassés de l’Église étaient tous arrogants, fourbes et arbitraires. Dans leurs devoirs, ils ignoraient les principes de la maison de Dieu et agissaient de façon inconsidérée. Et les autres avaient beau le leur rappeler ou les émonder, ils ne se repentaient jamais. Au final, ils perturbaient gravement le travail de l’Église, et finissaient par être chassés et éliminés. N’avais-je pas le même tempérament que ces antéchrists ? Si ! Je suivais aussi le chemin d’un antéchrist ! J’ai éprouvé beaucoup de regrets et de culpabilité, et je me suis haïe pour mon arrogance et ma suffisance.
Plus tard, j’ai lu un autre passage des paroles de Dieu et j’ai appris comment pratiquer. Les paroles de Dieu disent : « Quand d’autres personnes expriment des opinions divergentes : comment peux-tu pratiquer pour éviter d’être arbitraire et irréfléchi ? Tu dois d’abord avoir une attitude d’humilité, mettre de côté ce que tu crois être juste et laisser tout le monde échanger. Même si tu crois que ta façon de faire est la bonne, tu devrais arrêter d’insister. C’est une forme d’amélioration ; cela montre une attitude de recherche de la vérité, de négation de soi et de satisfaction des intentions de Dieu. Une fois que tu as cette attitude, en même temps que tu n’adhères pas à tes propres opinions, tu devrais prier, solliciter la vérité de Dieu, puis chercher une base dans les paroles de Dieu. Détermine comment agir, en te basant sur les paroles de Dieu. C’est la pratique la plus appropriée et la plus juste. Lorsque tu recherches la vérité et soulèves un problème pour que tous échangent et cherchent une réponse ensemble, c’est là que le Saint-Esprit apporte l’éclairage. Dieu éclaire les gens suivant des principes, Il fait le point sur leur attitude. Si tu campes obstinément sur tes positions indépendamment du fait que ton opinion soit juste ou erronée, Dieu te dissimulera Son visage et t’ignorera ; Il fera en sorte que tu te heurtes à un mur pour te révéler et exposer ton état hideux. Si, en revanche, ton attitude est correcte, ni insistante sur ta propre façon de faire, ni suffisante, ni arbitraire ou irréfléchie, mais que tu as une attitude de recherche et d’acceptation de la vérité, que tu échanges avec tout le monde, alors le Saint-Esprit commencera à œuvrer parmi vous, et peut-être te conduira-t-Il vers la compréhension grâce aux paroles de quelqu’un. Parfois, quand le Saint-Esprit t’éclaire, Il t’amène à comprendre le cœur d’une question en quelques mots ou formules seulement, ou en te donnant une idée. Tu te rends compte, à cet instant, que ce à quoi tu t’accrochais est erroné et, au même moment, tu comprends la manière la plus appropriée d’agir. En ayant atteint un tel niveau, n’as-tu pas réussi à éviter de faire le mal et, en même temps, à éviter de subir les conséquences d’une erreur ? N’est-ce pas la protection de Dieu ? (Si.) Comment y parvient-on ? Tu n’y parviens que lorsque tu as un cœur qui craint Dieu et que tu cherches la vérité avec un cœur soumis. Une fois que tu auras reçu l’éclairage du Saint-Esprit et déterminé les principes de pratique, ta pratique sera conforme à la vérité et tu seras capable de satisfaire les intentions de Dieu » (La Parole, vol. 3 : Discours de Christ des derniers jours, Troisième partie). Grâce aux paroles de Dieu, j’ai vu que, quoi qu’il nous arrive, nous devons continuer à craindre Dieu, chercher l’intention de Dieu, et chercher les vérités-principes. En particulier quand nos frères et sœurs font des suggestions différentes des nôtres, nous devons d’abord nous mettre en retrait et les accepter. Même si nous pensons avoir raison, nous devons renoncer à nous-mêmes, chercher, et échanger avec nos frères et sœurs. Il n’y a qu’ainsi que nous pourrons obtenir l’orientation et l’éclairage de Dieu. Je croyais en Dieu depuis des années. Pourtant, encore aujourd’hui, je ne parvenais pas à accepter les suggestions qui sont conformes à la vérité. Je vivais encore complètement selon mon tempérament arrogant. Même si j’étais très pauvre, pitoyable, souillée et corrompue, je pensais toujours fièrement être quelqu’un de bien, et je croyais toujours fortement en moi-même quand j’agissais. En pensant à ça, j’ai compris que c’était indécent. Je me suis résolue à ne plus jamais me faire confiance, à chercher les vérités-principes et à plus échanger avec les autres pour toute chose, afin de bien accomplir mon devoir.
Après ça, j’ai commencé à chercher comment organiser, de manière raisonnable, les devoirs de tous sur la base du calibre et des forces de chacun. J’ai trouvé ces paroles de Dieu : « Chacun doit remplir son propre rôle et contribuer selon ses capacités. L’organisation en ce qui concerne l’accomplissement du devoir devrait être faite de manière appropriée en se basant sur les dons, les talents, le calibre et l’âge de chacun, ainsi que le temps depuis lequel la personne croit en Dieu. Cette approche doit être adaptée aux différents types de personnes, afin de leur permettre d’accomplir leurs tâches dans la maison de Dieu et de maximiser leur fonctionnement » (La Parole, vol. 3 : Discours de Christ des derniers jours, Comment accomplir son devoir de façon adéquate ?). « Certains croient qu’ils sont doués pour écrire, alors ils exigent énergiquement de faire un devoir qui s’y rapporte. Bien sûr, la maison de Dieu ne les décevra pas, la maison de Dieu chérit les individus talentueux et quels que soient les dons et les points forts des gens, la maison de Dieu leur donnera la possibilité de les utiliser, et ainsi l’Église s’arrange pour qu’ils fassent un travail textuel. Mais après un certain temps, on découvre qu’en réalité, ils ne possèdent pas cette compétence et sont incapables de faire ce devoir correctement : ils sont totalement inefficaces. Leur talent et leur calibre les rendent totalement incompétents à ce poste. Alors que faire dans de telles circonstances ? Est-il possible de simplement les soutenir et de leur dire : “Tu es passionné, et bien que tu ne possèdes pas beaucoup de talent et que tu sois de calibre moyen, tant que tu le souhaites et que tu n’as pas d’aversion à l’égard d’un dur labeur, la maison de Dieu te soutiendra et te permettra de continuer à faire ce devoir. Si tu ne le fais pas bien, ce n’est pas grave. La maison de Dieu fermera les yeux, et il n’y a pas besoin de te remplacer” ? Est-ce le principe selon lequel la maison de Dieu gère les affaires ? Évidemment pas. Dans de telles circonstances, des tâches appropriées leur sont normalement attribuées en fonction de leur calibre et de leurs points forts : c’est un des aspects de cette question. Mais il ne suffit pas de dépendre uniquement de cela, car dans de nombreux cas, les gens ne savent pas eux-mêmes quelle tâche ils sont aptes à faire, et même s’ils pensent qu’ils sont bons dans ce domaine, ce n’est pas nécessairement correct, ils doivent donc essayer et être formés pendant un certain temps. Décider selon qu’ils sont efficaces ou non est la bonne chose à faire. S’ils sont formés pendant un certain temps et qu’ils n’obtiennent aucun résultat ou ne font aucun progrès, et s’il est confirmé que cela ne vaut pas la peine de les cultiver, leur devoir devrait être ajusté et un devoir adapté devrait être réarrangé pour eux. Réarranger et ajuster les devoirs des gens de cette façon est approprié et c’est aussi conforme au principe » (La Parole, vol. 4 : Exposer les antéchrists, Point 12 : Ils veulent se retirer lorsqu’ils n’ont aucun statut et aucun espoir de gagner des bénédictions). Dans ces paroles de Dieu, j’ai compris que l’Église organisait les devoirs en se basant sur l’humanité, le calibre et les forces de chacun, de sorte que chacun puisse s’acquitter au mieux de son rôle, à l’endroit qu’il convient. Certains font du travail textuel, mais après avoir été formés pendant un moment, ils ne progressent toujours pas. Ils manquent de calibre et ne sont pas à la hauteur du travail, et ne peuvent donc pas poursuivre dans cette fonction. Il faudrait plutôt leur prévoir un devoir qui soit basé sur leur calibre, ce qui serait bénéfique à la fois pour eux et pour le travail de l’Église. Selon les principes, même si Xu Jie avait une bonne humanité et portait un fardeau dans son devoir, elle avait un calibre médiocre. Ainsi, elle avait beau faire du travail textuel depuis des années, les progrès étaient trop lents, ce qui signifiait qu’elle ne convenait vraiment pas pour superviser le travail. Même si Xin Yu croyait depuis moins longtemps que Xu Jie, elle comprenait vraiment la vérité, était perspicace, avait un bon calibre, et aimait écrire. Elle avait beau ne pas être encore qualifiée pour ce travail, après une formation d’un certain temps, elle pourrait progresser et devenir compétente. Quand j’ai compris les principes relatifs à l’utilisation et à la formation des gens, j’ai chargé Xin Yu du travail textuel, et j’ai réassigné Xu Jie à un autre devoir. Au bout d’un certain temps, notre travail textuel s’est peu à peu amélioré.
Plus tard, j’ai remarqué que Sœur Wang Chen, qui faisait partie d’un autre groupe, écrivait bien, et j’ai pensé qu’elle pourrait être formée pour le travail textuel. Je l’ai donc recommandée. Toutefois, ma partenaire a dit qu’elle était arrogante et suffisante, qu’elle avait tendance à limiter les gens, et qu’elle faisait toujours en sorte que les autres l’écoutent : elle ne pouvait donc pas être cultivée. J’ai été un peu contrariée d’entendre ça, et je me suis dit : « Il est vrai que Wang Chen est un peu arrogante et a tendance à limiter les gens, mais ce comportement, c’est du passé. Maintenant, elle accepte d’être émondée et a montré du changement. Je pense qu’elle convient tout à fait pour le travail textuel. » Je voulais donc m’en tenir à mon point de vue, mais ensuite, je me suis dit : « J’ai toujours choisi les gens selon mon bon vouloir, ce qui a nui au travail de l’Église. À présent, je nomme encore Wang Chen sans chercher les principes. J’ai pris cette décision unilatéralement. J’agis encore arbitrairement ! Je ne peux plus m’en tenir à mon propre point de vue. Je dois chercher la vérité en cela. Pour prendre cette décision, la seule manière juste de procéder, c’est de suivre les principes. » Par la suite, j’ai lu ceci dans les paroles de Dieu : « Autre type de personnes qui peuvent être promues et cultivées sont celles qui possèdent des talents ou des dons particuliers, ou encore qui maîtrisent certaines compétences professionnelles. Quelle est la norme requise par la maison de Dieu pour cultiver de telles personnes dans le but qu’elles deviennent responsables d’équipe ? Tout d’abord, il faut examiner leur humanité – tant qu’elles aiment plutôt les choses positives et ne sont pas des personnes malfaisantes, cela suffit. Certains pourraient demander : “Pourquoi n’exige-t-on pas d’elles qu’elles soient des personnes qui poursuivent la vérité ?” Parce que les responsables d’équipe ne sont pas des dirigeants ou des ouvriers d’Église, ni des personnes chargées de l’abreuvement, et que le fait de leur demander de répondre aux normes de la poursuite de la vérité serait trop difficile, voire hors de portée pour la plupart d’entre eux. Cela n’est pas exigé des gens qui accomplissent des affaires courantes ou des tâches professionnelles spécifiques ; si c’était le cas, seul un petit nombre d’entre eux seraient qualifiés, si bien que les normes doivent être revues à la baisse. Dans la mesure où les gens comprennent leur métier et sont capables d’assumer leur travail, et où ils ne commettent pas le mal ou ne causent pas de perturbations, c’est suffisant. Concernant ces personnes qui maîtrisent certaines compétences ou professions et qui possèdent quelques points forts, si elles doivent effectuer un travail qui exige une certaine familiarité avec le savoir-faire et qui relève de leurs fonctions dans la maison de Dieu, si elles sont relativement candides et honnêtes en termes de caractère, si elles ne sont pas malfaisantes, si leur compréhension n’est pas déformée, si elles sont capables de surmonter les épreuves et si elles sont prêtes à payer un prix, alors c’est suffisant » (La Parole, vol. 5 : Les responsabilités des dirigeants et des ouvriers, Les responsabilités des dirigeants et des ouvriers (5)). La maison de Dieu forme les gens ayant des compétences particulières en se basant sur ce principe : ils doivent avoir une humanité acceptable, une compréhension sans déformation, considérer leurs devoirs avec sérieux, et aimer les choses positives. Wang Chen avait un tempérament un peu arrogant, mais si ce que les autres suggéraient était juste et conforme à la vérité, elle pouvait tout de même l’accepter. Elle était douée pour le travail textuel, pouvait souffrir et payer un prix dans son devoir, et défendait le travail de l’Église. Elle était donc en phase avec ce principe. Plus tard, j’ai utilisé ce principe pour échanger avec ma dirigeante supérieure et plusieurs partenaires sur mes points de vue : tous ont accepté que Wang Chen soit formée. Je l’ai donc chargée du travail textuel. Elle a chéri cette opportunité et a obtenu de bons résultats dans son nouveau devoir. J’ai compris que lorsque nous cherchons l’intentionde Dieu en tout et faisons nos devoirs selon les vérités-principes, nous obtenons l’orientation du Saint-Esprit et notre cœur est léger et en paix.
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