Je me suis enfin rendu compte que j’étais complètement égoïste
Par Su Fengshuang, ChineEn 2021, je faisais un devoir de dirigeante dans l’Église. À l’époque, sœur Li Hua était ma partenaire de travail....
Nous accueillons tous les chercheurs qui désirent ardemment l'apparition de Dieu !
Je supervisais le travail d’abreuvement dans l’Église. Après plus de trois mois, le travail de cultivation des personnes chargées de l’abreuvement avançait encore lentement. Le frère auquel j’étais associé, Wang Lei, me rappelait souvent de chercher et de réfléchir à ce problème, mais chaque fois que je le faisais, j’éprouvais une certaine résistance dans mon cœur, pensant que je n’avais pas été paresseux et que j’avais travaillé dur pour résoudre les problèmes des personnes chargées de l’abreuvement. Je me demandais : « Pourquoi leurs progrès ont-ils toujours été aussi lents ? Je ne sais pas comment l’expliquer. Je suppose que c’est parce que leur calibre est médiocre et parce que leur tempérament corrompu est trop grave. » Alors, chaque fois que Frère Wang Lei me rappelait de résumer le travail, c’était l’attitude que j’adoptais. Je me disais que, puisque j’avais fait beaucoup de travail, je n’avais pas à réfléchir. Mais ensuite, je pensais : « Après autant de temps, le travail de cultivation des gens ne produit toujours aucun résultat, et les personnes chargées de l’abreuvement progressent encore lentement. Les dirigeants et les superviseurs observent certainement cela, et si je ne peux pas résumer les problème spécifiques qui se posent, que penseront-ils de moi ? Se diront-ils que je suis complètement indifférent, que j’ai été inefficace dans mon devoir et que je ne réfléchis même pas sur moi-même ? Mais je ne sais vraiment pas quels sont mes problèmes. Je pourrais prendre l’initiative de m’exprimer quant à ces questions, dire que je rencontre des difficultés et que je veux chercher un chemin à suivre. Ainsi, non seulement les dirigeants ne m’émonderont pas, mais ils penseront que je suis honnête, et que lorsqu’il y a des problèmes dans mon travail, je ne les cache pas, mais prends l’initiative de chercher de l’aide, et ils se diront que je suis quelqu’un qui cherche la vérité. » Quand j’ai pensé à cela, j’en ai été très content, et je me suis dit que j’avais trouvé le remède miracle à mes problèmes. Alors j’ai indiqué mes difficultés dans un rapport de travail et j’ai mis un point d’honneur à ajouter à la fin : « Je vais continuer à chercher. Si vous trouvez les moindres problèmes, j’espère que vous me les communiquerez et que vous me les signalerez. » Après avoir soumis ce rapport, je me suis senti satisfait.
Un jour, Wang Lei a dit : « Les dirigeants ont écrit en demandant pourquoi tu n’avais obtenu aucun résultat dans ton travail de cultivation des personnes chargées de l’abreuvement. » J’ai pensé que, quelques jours plus tôt, j’avais cherché de l’aide auprès des dirigeants dans mon rapport de travail, et que si les dirigeants demandaient à Wang Lei d’étudier ma situation, c’était sans doute qu’ils essayaient de m’aider à identifier les problèmes. Mais plus tard, je me suis dit : « Les dirigeants font cela pour étudier ma situation. Se mettent-ils à m’investiguer parce qu’ils pensent qu’il y a effectivement des problèmes dans mon devoir ? Je fais mon devoir depuis si longtemps sans obtenir aucun résultat, qui sait ce qu’ils vont découvrir ! S’ils trouvent que j’ai trop de problèmes ou des problèmes graves dans mon devoir, m’émonderont-ils ? Penseront-ils que mon calibre est médiocre, que je ne peux pas faire de travail concret, et ensuite me renverront-ils ? Ce serait tout à fait humiliant ! » Quand ces pensées me sont venues, j’ai été submergé par une vague de panique : « Je ne m’attendais pas à ce que les choses aillent jusque là. N’est-ce pas creuser ma propre tombe ? Que dois-je faire à ce sujet ? » Quoi que je fasse, je n’arrivais tout simplement pas à me calmer. Le soir, en écoutant Wang Lei pianoter sur son clavier, je me disais : « Combien de mes problèmes est-il en train de signaler ? Que vont penser de moi les dirigeants ? » Je me sentais quelque peu inquiet, et je n’arrivais simplement pas à me concentrer sur le travail. Alors je suis venu devant Dieu et j’ai prié : « Dieu, je constate que mon état a vraiment été affecté par cette situation, et je ne sais pas quelle leçon je devrais en tirer. S’il Te plaît, guide moi pour que je cherche la vérité en la matière et que j’en vienne à connaître mon tempérament corrompu. »
Le lendemain matin, après le petit-déjeuner, j’ai commencé à lire des paroles de Dieu et à réfléchir à mon état. J’ai lu ces paroles de Dieu : « Si tu peux accepter que la maison de Dieu te supervise, t’observe et essaye de te comprendre, c’est une chose merveilleuse. Cela t’aide à mener à bien ton devoir, à être capable de faire ton devoir de manière à être à la hauteur et à satisfaire les intentions de Dieu. Cela t’est profitable et t’aide, sans présenter aucun inconvénient. Une fois que tu as compris ce principe, ne devrais-tu pas ne plus avoir aucun sentiment de résistance ou de réserve vis-à-vis de la supervision par des dirigeants, des ouvriers et des élus de Dieu ? Même si quelqu’un peut essayer de te comprendre, de t’observer et de superviser ton travail, ce n’est pas quelque chose à prendre personnellement. Pourquoi dis-Je cela ? Parce que les tâches qui sont maintenant les tiennes, le devoir que tu accomplis et tout travail que tu effectues ne sont pas les affaires privées ni le travail personnel d’une seule personne : tout cela concerne le travail de la maison de Dieu et se rapporte à une partie de l’œuvre de Dieu. Par conséquent, lorsque quelqu’un passe un peu de temps à te superviser ou à t’observer, ou se renseigne en détail à ton sujet, essayant d’avoir avec toi une conversation franche et de savoir quel a été ton état pendant ce moment, et parfois même lorsque son attitude est un peu plus sévère et qu’il t’émonde quelque peu, te discipline et te réprimande, tout cela est dû à son attitude consciencieuse et responsable vis-à-vis du travail de la maison de Dieu. Il ne faut pas que cela t’inspire de pensées ou d’émotions négatives » (La Parole, vol. 5 : Les responsabilités des dirigeants et des ouvriers, Les responsabilités des dirigeants et des ouvriers (7)). Après avoir lu ces paroles de Dieu, j’ai compris que, lorsque la maison de Dieu supervisait et étudiait le travail, c’était pour aider les gens à corriger leurs écarts et à bien faire leurs devoirs, et que je ne devais pas avoir les moindres sentiments de résistance ou de méfiance, car ce n’était pas conforme aux intentions de Dieu. J’ai pensé que, durant cette période, même si mon devoir m’avait occupé chaque jour, même si j’avais souvent échangé avec les frères et sœurs dans les réunions, en fin de compte, je n’étais parvenu à aucun bon résultat. Il devait y avoir beaucoup de problèmes dans mon travail dont je n’étais pas conscient, et si je n’identifiais et ne résolvais pas ces choses à temps, elles continueraient à retarder le travail. Quand les dirigeants s’informaient des problèmes dans mon devoir auprès des frères et sœurs, c’était pour m’aider à trouver les raisons de ces problèmes, et ce serait bénéfique à mon travail comme à mon entrée dans la vie. Je ne devais pas vivre dans un état de résistance et de méfiance par peur de perdre la face, ni même regretter d’évoquer mes propres problèmes. Je devais accepter la supervision de mes frères et sœurs, et quels que soient les problèmes qu’ils signalaient, je devais avoir un cœur honnête et une attitude d’acceptation de la vérité. Voilà ce qui est conforme aux intentions de Dieu. En pensant à cela, je me suis senti quelque peu libéré.
Ensuite, j’ai continué à chercher, et je me suis demandé : « Je voulais clairement trouver la raison pour laquelle je n’obtenais aucun résultat dans mon devoir, mais pourquoi me suis-je montré aussi susceptible et pourquoi mon esprit s’est-il emballé quand les dirigeants ont réellement étudié mon travail ? » Réflexion faite, je me suis rendu compte que je m’étais montré vraiment fourbe. J’ai lu ces paroles de Dieu : « Ayant été corrompue par Satan, toute l’humanité vit dans un tempérament satanique. Comme Satan, les gens se déguisent et se dissimulent sous tous les aspects, et ils recourent à la fourberie et jouent à des jeux dans tous les domaines. Il n’arrive jamais qu’ils ne recourent pas à la fourberie et au jeu. Certaines personnes jouent même à des jeux fourbes dans des activités aussi courantes que faire ses courses. Par exemple, ils peuvent avoir acheté une tenue tout ce qu’il y a de plus à la mode, mais bien qu’ils l’aiment vraiment, ils n’osent pas la porter dans l’Église, de peur que leurs frères et sœurs parlent d’eux et les jugent superficiels. Alors, ils la portent seulement à l’insu des autres. Quel genre de comportement est-ce là ? C’est la révélation d’un tempérament fourbe et enclin à la tricherie. Pourquoi quelqu’un achèterait-il une tenue à la mode, mais n’oserait pas la porter devant ses frères et sœurs ? Au fond de lui-même, il aime les choses à la mode et suit les tendances du monde comme le font les non-croyants. Il a peur que les frères et sœurs le percent à jour, qu’ils voient à quel point il est superficiel, qu’ils voient qu’il n’est pas une personne respectable et intègre. Dans son cœur, il poursuit des choses à la mode et a du mal à y renoncer, il ne peut donc les porter qu’à la maison et il a peur de les faire voir à ses frères et sœurs. Si les choses qu’il aime ne peuvent pas voir la lumière du jour, alors pourquoi ne peut-il pas y renoncer ? N’y a-t-il pas un tempérament satanique qui le contrôle ? Il prononce constamment des formules et des doctrines et semble comprendre la vérité, mais il est incapable de mettre la vérité en pratique. C’est une personne qui vit selon un tempérament satanique. Si une personne est toujours malhonnête dans ses paroles et dans ses actes, si elle ne laisse pas les autres la voir pour ce qu’elle est et qu’elle affecte toujours d’être une personne pieuse devant les autres, alors quelle est la différence entre elle et un pharisien ? Elle veut mener une vie de prostituée, mais aussi faire ériger un monument à sa chasteté. Elle sait très bien qu’elle ne pourrait pas porter sa tenue exotique en public, alors pourquoi l’a-t-elle achetée ? N’était-ce pas de l’argent gaspillé ? C’est juste parce qu’elle aime ce genre de chose et qu’elle a eu un coup de cœur pour cette tenue, alors elle a eu le sentiment qu’elle devait l’acheter. Mais une fois qu’elle l’a achetée, elle ne peut pas la mettre. Au bout de quelques années, elle regrette de l’avoir achetée et se rend compte soudain : “Comment ai-je pu être aussi stupide, aussi dégoûtante pour faire cela ?” Elle est même dégoûtée par ce qu’elle a fait. Mais elle ne peut pas contrôler ses actes, car elle est incapable d’abandonner les choses qu’elle aime et poursuit. Elle adopte donc des tactiques à double face et des tromperies pour se satisfaire. Si elle révèle un tempérament fourbe dans une affaire aussi insignifiante, serait-elle capable de pratiquer la vérité quand il s’agit de quelque chose de plus important ? Ce serait impossible. Évidemment, c’est dans sa nature d’être fourbe, et la fourberie est son talon d’Achille » (La Parole, vol. 3 : Discours de Christ des derniers jours, La pratique la plus fondamentale pour être une personne honnête). Grâce à ces paroles de Dieu, j’ai compris que lorsque les gens vivaient en ayant un tempérament fourbe, ils ne pouvaient pas accepter l’examen de leurs paroles et de leurs actes par Dieu, au lieu de cela, ils agissaient d’une façon devant les autres et d’une autre dans leur dos. Ils utilisaient constamment des ruses pour se déguiser, ce qui faisait que les autres avaient du mal à voir la vérité. Voilà ce que signifie être une personne réellement fourbe. J’ai repensé au passé, quand je rendais compte du travail. Je ne pensais pas vraiment que j’avais le moindre problème à cultiver les gens, et je me disais que j’avais fait beaucoup de travail, et même quand le frère auquel j’étais associé me rappelait de résumer mes écarts, je ne pensais pas à réfléchir sur moi-même. Mais le fait que les résultats s’avéraient médiocres était déjà évident, alors qu’allaient penser de moi les dirigeants et les superviseurs si je n’arrivais pas à en comprendre les raisons ? Afin de sauver la face, j’avais délibérément dit que j’avais rencontré des difficultés et que je voulais chercher une solution. Même si je paraissais sincère en disant cela, comme si j’avais un grand sens du fardeau quant au travail, en réalité, je n’avais aucune intention de chercher la vérité pour résoudre le problème, et je présentais juste une façade aux autres, pour que les dirigeants me voient comme une personne qui semblait avoir un grand désir de recherche et qui était honnête. Mais quand les dirigeants avaient vraiment étudié les écarts et problèmes dans mon devoir, j’avais été révélé. J’avais peur que des problèmes graves soient exposés dans mon travail, et que les dirigeants pensent que j’avais un calibre médiocre, que je manquais de capacités de travail, ou même qu’ils me renvoient, alors je vivais avec des sentiments de résistance, en regrettant d’avoir demandé des conseils pour résoudre les problèmes, pensant même que signaler des problèmes, ce serait creuser ma propre tombe. J’ai vu que ma recherche à propos des problèmes n’avait pas eu pour but de les résoudre, mais de préserver mon statut et mon image dans le cœur des dirigeants. N’essayais-je pas simplement de duper les autres et de me livrer à la fourberie ? C’est vraiment ce que Dieu avait exposé : être hypocrite, et vouloir mener la vie d’une prostituée, mais avoir également un monument érigé à ma chasteté. J’ai songé aux pharisiens d’autrefois. Même s’ils semblaient très pieux et qu’ils désiraient ardemment l’arrivée du Messie, quand le Seigneur Jésus était réellement venu pour œuvrer, quel que soit le nombre de miracles qu’Il avait accompli ou le nombre de vérités qu’Il avait exprimé, les pharisiens n’en avaient rien accepté. Ils avaient même résisté au Seigneur Jésus et ils L’avaient condamné pour protéger leur statut et leur gagne-pain. Leur désir ardent de l’arrivée de Dieu semblait pieux, mais en réalité, ils essayaient simplement d’induire les gens en erreur et n’étaient rien d’autre que des hypocrites. En quoi mon comportement était-il différent de celui des pharisiens ?
Un matin, au cours de mes dévotions, j’ai pensé à une phrase des paroles de Dieu : « Elles feignent une chose tout en en faisant une autre pour atteindre leurs objectifs cachés. » J’ai eu l’impression que cela s’alignait parfaitement sur mon état, alors j’ai trouvé à lire ce passage des paroles de Dieu. Dieu Tout-Puissant dit : « Quelle est la première caractéristique de la malveillance ? C’est que ses paroles sont particulièrement agréables et tout semble bien se passer en apparence. Il ne semble pas y avoir de problème et les choses paraissent bien à tout point de vue. Quand la personne fait quelque chose, on ne la voit pas utiliser de moyens particuliers et de l’extérieur, il n’y a aucun signe de faiblesse ou de défaut, et pourtant, elle atteint son but. Elle fait les choses de manière extrêmement secrète. C’est ainsi que les antéchrists fourvoient les gens. Ce sont ces personnes et ces sujets qui sont les plus difficiles à discerner. Certaines personnes disent ce qu’il faut, utilisent des excuses qui paraissent bonnes et emploient certaines doctrines, certains dictons ou certaines actions conformes à l’affection humaine pour duper les gens. Elles feignent une chose tout en en faisant une autre pour atteindre leurs objectifs cachés. C’est de la malveillance, mais la plupart des gens considèrent ces comportements comme étant fourbes. Les gens ont une compréhension et une analyse assez limitée de la fourberie. En fait, la malveillance est plus difficile à discerner que la fourberie, car elle est plus secrète, et ses méthodes et ses actions sont plus sophistiquées. Si quelqu’un a en lui un tempérament fourbe, les autres peuvent généralement détecter sa fourberie en deux ou trois jours en interagissant avec lui, ou ils peuvent percevoir la révélation de son tempérament fourbe dans ses actions et ses paroles. Toutefois, à supposer que cette personne soit malveillante : ce n’est pas quelque chose qui peut être discerné en quelques jours, parce que sans événements significatifs ou sans circonstances spéciales survenant dans un court laps de temps, il n’est pas facile de discerner quoi que ce soit en l’écoutant parler. Elle dit et fait toujours les bonnes choses et présente une succession de bonnes doctrines. Après avoir interagi avec cette personne quelques jours, tu pourrais penser qu’elle est plutôt bonne, qu’elle est capable de renoncer à certaines choses et de se donner de la peine, qu’elle a une compréhension spirituelle, un cœur qui aime Dieu et une conscience et une raison dans sa façon d’agir. Mais une fois qu’elle s’est occupée de quelques affaires, tu constates que ses propos et ses actes sont mélangés avec trop de choses, trop d’intentions diaboliques. Tu t’aperçois que cette personne n’est pas honnête, mais fourbe – une chose malveillante. Elle utilise fréquemment les mots justes et des phrases agréables qui correspondent à la vérité et possèdent une affection humaine pour interagir avec les gens. D’un côté, elle s’impose et, d’un autre côté, elle fourvoie les gens, atteignant un prestige et un statut parmi les gens. De tels individus ont une capacité incroyable à fourvoyer et, une fois qu’ils ont atteint le pouvoir et le statut, ils peuvent fourvoyer beaucoup de monde et nuire à de nombreuses personnes. Les gens qui ont un tempérament malveillant sont extrêmement dangereux. Y en a-t-il autour de vous ? Vous-mêmes, êtes-vous comme cela ? (Oui.) Alors, à quel point est-ce grave ? Parler et agir sans aucune vérité-principe, vous appuyer entièrement sur votre nature malveillante pour agir, vouloir sans arrêt fourvoyer les autres et vivre derrière un masque, de sorte que les autres ne puissent pas te percer à jour ou te reconnaître et considèrent ton humanité et ton statut avec estime et admiration : c’est cela, la malveillance » (La Parole, vol. 4 : Exposer les antéchrists, Point 5 : Ils induisent les gens en erreur, les attirent, les menacent et les contrôlent). Dieu expose que les gens qui ont un tempérament malveillant parlent et agissent de façon extrêmement secrète. Ils semblent dire ce qu’il convient, et leurs actes paraissent irréprochables, mais derrière tout cela, ils cachent des intentions malveillantes et se focalisent constamment sur leur réputation et leur statut. Pour gagner l’admiration des autres, ils utilisent des paroles flatteuses et des actes correctes afin d’induire les gens en erreur, d’implanter une bonne image d’eux-mêmes dans l’esprit des autres tout en empêchant les autres de découvrir leurs intentions malintentionnées. C’est vraiment malveillant ! Après mûre réflexion, je me suis demandé si je ne me comportais pas exactement comme cela. Clairement, je ne cherchais pas la vérité pour résoudre mes problèmes, mais je me comportais comme si j’étais très humble et que j’avais un grand désir de chercher ; mon but, en cela, n’était pas seulement de dissimuler mes problèmes, mais aussi d’implanter dans l’esprit des autres une bonne image de moi, en tant que personne qui poursuivait la vérité. Je savais que le travail consistant à cultiver les gens n’avait produit aucun résultat, que les personnes chargées de l’abreuvement n’avaient guère fait de progrès, et que tout le monde pouvait le voir clairement. Si je ne résumais pas mes problèmes et que je n’y réfléchissais pas, qu’allait-on penser de moi ? Les gens diraient-ils que je n’avais pas réfléchi sur moi-même même quand je n’avais obtenu aucun résultat dans mon devoir ? Penseraient-ils que je ne poursuivais pas la vérité et que j’étais complètement indifférent ? Dans ce cas, je pouvais aussi bien prendre l’initiative de m’exprimer. Ainsi, ils n’auraient pas une mauvaise image de moi parce que le travail ne donnait aucun résultat, et peut-être même penseraient-ils de moi que j’étais une personne honnête. Mes paroles étaient remplies de mes propres motivations sournoises. J’avais essayé d’utiliser ma recherche ostensible de la vérité pour implanter une bonne image de moi dans le cœur des dirigeants. J’ai vu que ma nature était vraiment malveillante. Exactement comme Dieu l’a dit : « Certaines personnes disent ce qu’il faut, utilisent des excuses qui paraissent bonnes et emploient certaines doctrines, certains dictons ou certaines actions conformes à l’affection humaine pour duper les gens. Elles feignent une chose tout en en faisant une autre pour atteindre leurs objectifs cachés. C’est de la malveillance. » En réalité, cela faisait un certain temps que je n’avais pas obtenu le moindre résultat dans mon devoir, je devais donc réfléchir sur moi-même et chercher la vérité pour résoudre ce problème. Ce serait bénéfique à la fois au travail de l’Église et à ma propre entrée dans la vie. Mais je n’étais ni inquiet ni angoissé quant aux obstacles qui se présentaient dans mon travail, au lieu de cela, je ne pensais qu’à éviter de perdre la face, et même dans les affaires se rapportant au travail d’Église et à la recherche de la vérité, j’agissais de façon malhonnête et je me montrais fourbe. Cela avait vraiment amené Dieu à me détester.
Plus tard, j’ai réfléchi à mon état chaque fois que je faisais une pause dans mon travail. Je me suis souvenu que Dieu avait échangé en disant que, dans sa façon de se conduire, une personne doit accepter Son examen en toutes choses, et que toutes les actions et tous les actes doivent être présentés devant Dieu. Alors je me suis dépêché de chercher des paroles de Dieu à cet égard. J’ai lu ces paroles de Dieu : « Être croyant en Dieu signifie que tout ce que tu fais doit être apporté devant Dieu et être soumis à Son observation. […] Aujourd’hui, tous ceux qui ne peuvent pas accepter l’observation de Dieu ne peuvent pas recevoir Son approbation, et ceux qui ne connaissent pas le Dieu incarné ne peuvent pas être rendus parfaits. Regarde tout ce que tu fais et vois si cela peut être apporté devant Dieu. Si tu ne peux pas apporter devant Dieu tout ce que tu fais, cela montre que tu es un malfaiteur. Les malfaiteurs peuvent-ils être rendus parfaits ? Tout ce que tu fais, chaque action, chaque intention et chaque réaction, doit être apporté devant Dieu. Même ta vie spirituelle quotidienne – tes prières, ton intimité avec Dieu, ta façon de manger et de boire les paroles de Dieu, ton échange avec tes frères et sœurs et ta vie dans l’Église, et ton service en coopération – peut être apportée devant Dieu pour être observée par Lui. C’est une telle pratique qui t’aidera à mûrir dans la vie. Le processus d’acceptation de l’observation de Dieu est le processus de purification. Plus tu acceptes l’observation de Dieu, plus tu es purifié et plus tu es en accord avec les intentions de Dieu, de sorte que tu ne seras pas entraîné dans la débauche et que ton cœur vivra en présence de Dieu. Plus tu acceptes l’observation de Dieu, plus tu fais honte à Satan et es capable de te rebeller contre la chair. Alors, l’acceptation de l’observation de Dieu est un chemin de pratique que les gens doivent suivre. Peu importe ce que tu fais, même quand tu échanges avec tes frères et sœurs, tu peux apporter tes actions devant Dieu, chercher Son observation et viser la soumission à Dieu Lui-même ; cela rendra ce que tu pratiques bien plus correct. Tu peux être quelqu’un qui vit en présence de Dieu seulement si tu apportes tout ce que tu fais devant Dieu et acceptes l’observation de Dieu » (La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, Dieu rend parfaits ceux qui sont selon Son propre cœur). Après avoir lu ces paroles de Dieu, j’ai compris que si une personne acceptait l’examen de Dieu en toutes choses, s’il n’y avait ni dissimulation ni contrefaçon dans ses actes et ses actions, et si elle pouvait présenter ces choses devant Dieu, alors cette personne vivait dans la lumière et était véritablement une personne honnête, et de telles personnes peuvent recevoir l’approbation de Dieu. Mais si une personne ne peut pas accepter l’examen de Dieu et qu’elle se livre au contraire constamment à la fourberie et à la tromperie, alors une telle personne est vraiment malveillante et détestable aux yeux de Dieu. J’ai également trouvé un chemin de pratique grâce aux paroles de Dieu. Cela faisait déjà longtemps que le travail de cultivation des gens n’avait pas donné de résultats, et c’en était déjà venu à affecter l’avancement du travail d’abreuvement. Si je continuais à tromper et à cacher des choses, alors ces problèmes ne seraient pas résolus, les personnes chargées de l’abreuvement ne feraient aucun progrès dans leurs devoirs, et elles ne pourraient pas bien abreuver les nouveaux venus ni leur permettre de poser rapidement un fondement sur le vrai chemin, ce qui entraînerait des pertes encore plus importantes dans le travail d’abreuvement. Les dirigeants étudiaient les problèmes et les écarts dans mon travail pour m’aider à bien faire mon devoir. Indépendamment des problèmes qu’ils signalaient, je ne devais pas prendre en considération ma fierté ou mon statut, je devais accepter l’examen de Dieu et être une personne honnête. Je devais réfléchir sérieusement sur moi-même en ce qui concernait les problèmes dans mon travail, corriger rapidement mes écarts et bien faire mon devoir.
Quelques jours plus tard, j’ai reçu une lettre du dirigeant et cela m’a rendu un peu nerveux, malgré tout, car j’ai eu peur qu’il ait découvert des problèmes graves dans mon devoir, et qu’il m’émonde. J’ai prié Dieu silencieusement, en disant que, quels que soient les problèmes que le dirigeant signalerait, je ne tiendrais plus compte de ma fierté, je ne serais plus résistant et je ne me livrerais plus à la dissimulation, et que je devais accepter et réfléchir correctement sur moi-même. Quand j’ai ouvert la lettre, j’ai vu que le dirigeant soulignait effectivement des problèmes dans mon devoir, mais il ne m’émondait pas. Au contraire, il puisait dans sa propre expérience pour me guider, afin que je réfléchisse aux raisons des résultats médiocres dans mon devoir. Après avoir lu l’échange du dirigeant, j’ai gagné une certaine compréhension de mon état et de mes problèmes récents. J’ai vu que j’avais vécu selon un tempérament corrompu depuis le début, et que lorsque je m’étais trouvé face à des résultats médiocres dans mon travail, je n’avais pas réfléchi sur moi-même, et n’avais cessé de me trouver des excuses. J’avais pensé avoir vaqué à mes occupations chaque jour, en échangeant sur des solutions avec les frères et sœurs, et que j’avais déjà fait de mon mieux. Par conséquent, je croyais que leur manque de progrès n’était pas mon problème, mais qu’il était dû à leur calibre médiocre. Le travail ne produisait pas de bons résultats, mais au lieu de réfléchir à mes propres problèmes, je continuais à fuir mes responsabilités. Je m’étais vraiment montré rebelle et intransigeant ! De plus, à la réflexion, je me suis aperçu que mon travail de cultivation des gens durant cette période contenait effectivement des écarts. J’étais satisfait tant que j’avais des tâches à exécuter et que je n’étais pas désœuvré chaque jour, mais je ne cherchais jamais sérieusement comment faire mon devoir de façon à obtenir des résultats. Quand je cultivais les personnes chargées de l’abreuvement, je ne résumais rien et je ne communiquais pas en me basant sur leurs problèmes réels, à la place, j’employais simplement une approche irréfléchie et mécanique de l’apprentissage. Par conséquent, même après des mois de cultivation, il n’y avait aucun résultat. En voyant autant de problèmes et d’écarts dans mon travail, j’ai su que je devais corriger tout cela rapidement. Quand j’ai réfléchi à la façon dont j’avais fait semblant de chercher la vérité, je me suis senti vraiment honteux et embarrassé ! Si j’avais réellement eu un cœur qui acceptait et cherchait la vérité, ces problèmes auraient peut-être été découverts et résolus plus tôt, et cela au pu bénéficier aux frères, aux sœurs et au travail d’Église. À l’avenir, je suis prêt à mettre de côté vanité et fierté, pour chercher davantage la vérité dans tous les domaines, et à faire mon devoir de façon pragmatique ! Dieu soit loué !
La douleur cessera et les larmes s'arrêteront. Faites confiance à Dieu, Il a entendu nos appels dans notre souffrance, et Il nous sauvera de notre douleur. Contactez-nous pour connaître la bonne nouvelle de Dieu de nous sauver.
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