Je peux calmement affronter mes défauts
Par Zhao Chen, ChineD’aussi loin que je me souvienne, j’ai toujours bégayé. En général, ce n’était pas trop grave, mais dès qu’il y avait...
Nous accueillons tous les chercheurs qui désirent ardemment l'apparition de Dieu !
En 2021, je faisais un devoir de dirigeante dans l’Église. À l’époque, sœur Li Hua était ma partenaire de travail. J’étais principalement responsable du travail d’évangélisation, tandis que Li Hua était responsable du travail consistant à purger l’Église. On travaillait ensemble sur d’autres tâches. Un jour, j’ai reçu une lettre d’une sœur qui nous informait que Fang Xia n’avait fait aucun progrès dans l’organisation des documents de purge, ce qui entravait la progression du travail. La lettre nous demandait de déterminer si elle devait être réaffectée. Je savais que Fang Xia n’avait pas un très bon calibre, et qu’organiser les documents de purge était un travail assez ardu pour elle, et qu’elle avait donc effectivement besoin d’être réaffectée. Mais ensuite, je me suis dit que le travail de purge relevait de la responsabilité de Li Hua. En cas de problème dans ce domaine, c’était à elle d’échanger pour le résoudre. Le travail d’évangélisation, dont j’étais responsable, comportait beaucoup de choses et contenait de nombreux problèmes. Auparavant, j’avais même été émondée par les dirigeants supérieurs parce qu’un certain travail n’avait pas été mis en œuvre. Si je n’en assurais pas le suivi et ne le mettais pas en œuvre rapidement, je risquais d’être émondée à nouveau. Je me disais qu’il était plus important de consacrer mon temps et mon énergie au travail d’évangélisation. Ces deux jours-là, Li Hua s’occupait d’autre chose et elle était absente de la maison où on était hébergées. J’ai donc demandé à une autre sœur de lui transmettre un message disant qu’elle devrait rapidement comprendre la situation concernant Fang Xia à son retour et la réaffecter en temps voulu. Ensuite, je me suis affairée sur le travail dont j’étais responsable. Quelque temps plus tard, une autre sœur a signalé des problèmes avec Fang Xia, en disant qu’elle ne portait pas de fardeau dans l’accomplissement de son devoir et que quand les sœurs lui faisaient remarquer ses problèmes, elle ne l’acceptait pas et révélait même de l’impétuosité. Tout le monde se sentait un peu contraint par elle. Je me suis dit : « Se pourrait-il que Li Hua ne soit pas allée s’enquérir de ce qui se passait la dernière fois ? Pourquoi Fang Xia n’a-t-elle toujours pas été congédiée ? Elle s’est mise à causer des interruptions et des perturbations parmi nos frères et sœurs et doit être congédiée de toute urgence. » À l’époque, Li Hua était incapable de sortir faire son devoir en raison des risques pour sa sécurité. Pour compenser, nous avons sélectionné une autre dirigeante, Ding Yan, afin qu’elle vienne se charger du travail dont Li Hua était responsable. Je me suis dit : « Ding Yan a déjà effectué du travail de purge et elle est meilleure que moi pour discerner les gens. Je vais demander à Ding Yan de congédier Fang Xia. » Je ne pouvais pas deviner que quand Ding Yan reviendrait après la réunion, elle dirait : « Je craignais que Fang Xia puisse avoir une mauvaise opinion de moi si je la congédiais dès la première fois où je la rencontrais, alors je ne l’ai pas congédiée. » À ce moment-là, la seule chose à laquelle je pensais, c’était que le travail de purge relevait de la responsabilité de Ding Yan et que si elle ne congédiait pas Fang Xia, c’était elle qui échouait à s’acquitter de ses responsabilités et que ce n’était pas mon problème, alors je ne me suis pas impliquée dans cette affaire. Plus tard, les dirigeants supérieurs ont eu vent de cette affaire et ont fait en sorte que quelqu’un congédie rapidement Fang Xia. Ils ont également envoyé une lettre qui nous demandait pourquoi nous n’avions pas rapidement congédié et réaffecté les personnes inadaptées, et qui nous demandait de rédiger des réflexions et des compréhensions concernant cette affaire. À l’époque, je n’avais pas la moindre compréhension de moi-même. Je me disais que ce travail n’entrait pas dans mes attributions, et que même si quelqu’un devait être tenu pour responsable, ça ne devrait pas être moi. C’étaient Li Hua et Ding Yan qui n’avaient pas su congédier Fang Xia rapidement. Les dirigeants supérieurs ont vu que je me défendais, que je me dérobais à mes responsabilités et que je n’avais pas la moindre compréhension de moi-même. En outre, j’avais un tempérament arrogant et je n’acceptais pas l’émondage et les conseils de mes frères et sœurs. Je ne faisais pas mon devoir conformément aux principes et j’avais nui au travail de la maison de Dieu et à l’entrée dans la vie de mes frères et sœurs. Par conséquent, ils m’ont congédiée.
Pendant ma dévotion, j’ai lu un passage des paroles de Dieu qui était très pertinent vis-à-vis de mon propre état. Dieu Tout-Puissant dit : « Comment se manifestent l’égoïsme et la vilenie des antéchrists ? Pour tout ce qui est profitable à leur statut ou à leur réputation, ils fournissent des efforts pour faire et dire tout ce qui est nécessaire et ils endurent volontiers n’importe quelles souffrances. Mais lorsqu’il s’agit du travail organisé par la maison de Dieu, ou d’un travail qui profite à la croissance de la vie des élus de Dieu, ils l’ignorent complètement. Même lorsque des personnes malfaisantes perturbent, dérangent et commettent toutes sortes d’actes malfaisants, affectant profondément, de ce fait, le travail de l’Église, ils restent passifs et indifférents, comme s’ils n’étaient pas concernés. Et si quelqu’un découvre et signale les actes malfaisants d’une personne malfaisante, ils disent qu’ils n’ont rien vu et feignent l’ignorance. Mais si quelqu’un les dénonce et expose qu’ils n’accomplissent pas de travail concret et ne font que poursuivre réputation, gain et statut, ils voient rouge. Des réunions sont organisées à la hâte pour examiner la manière de répondre, des enquêtes sont menées pour découvrir qui a manigancé dans leur dos, qui était le meneur et qui était impliqué. Ils ne mangeront ni ne dormiront avant d’avoir été au fond du problème et réglé complètement cette affaire ; ils ne se sentiront même satisfaits qu’une fois qu’ils auront éliminé tous ceux qui ont contribué à leur signalement. Il s’agit là de la manifestation de l’égoïsme et de la vilenie, n’est-ce pas ? Font-ils le travail de l’Église ? Ils agissent pour leur propre pouvoir et statut, purement et simplement. Ils gèrent leur propre entreprise. Quel que soit le travail qu’ils entreprennent, les antéchrists ne s’intéressent jamais aux intérêts de la maison de Dieu. Ils ne se préoccupent que de savoir si leurs propres intérêts seront affectés, ne pensent qu’au peu de travail qui est juste sous leur nez et qui leur profite. Pour eux, le principal travail de l’Église est juste quelque chose qu’ils font pendant leur temps libre. Ils ne le prennent pas du tout au sérieux. Ils n’agissent que si on les pousse à agir, ils ne font que ce qu’ils aiment faire et n’accomplissent que le travail qui leur permet de préserver leur propre statut et leur propre pouvoir. À leurs yeux, tout travail arrangé par la maison de Dieu, le travail de diffusion de l’Évangile et l’entrée des élus de Dieu dans la vie ne sont pas importants. Peu importent les difficultés rencontrées par les autres dans leur travail, les problèmes qu’ils ont identifiés et qu’ils leur ont signalés, la sincérité de leurs paroles, les antéchrists les ignorent, ils ne s’impliquent pas, comme si cela n’avait rien à voir avec eux. Quelle que soit l’importance des problèmes qui émergent dans le travail de l’Église, ils y sont complètement indifférents. Même si un problème est juste sous leur nez, ils se contentent de le traiter pour la forme. Ce n’est qu’au moment où le Supérieur les émonde directement et leur ordonne de résoudre un problème que, de mauvaise grâce, ils fournissent un peu de travail concret et donnent quelque chose à voir au Supérieur ; peu après, ils poursuivront leurs propres affaires. Quand il s’agit du travail de l’Église, de choses importantes d’une portée plus large, ils sont indifférents et ne les prennent pas en compte. Ils ignorent même les problèmes qu’ils découvrent, et donnent des réponses superficielles ou bafouillent lorsque vous les interrogez sur des problèmes, les traitant seulement avec une grande réticence. Il s’agit là de la manifestation de l’égoïsme et de la vilenie, n’est-ce pas ? » (La Parole, vol. 4 : Exposer les antéchrists, Annexe 4 : Résumé du caractère des antéchrists et de leur tempérament-essence (Partie I)). Dieu expose le fait que les antéchrists sont terriblement égoïstes et ignobles. Ils ne sont disposés à travailler dur, à endurer des difficultés et à payer un prix que pour des choses qui peuvent les mettre en valeur et leur faire gagner l’estime d’autrui. Ils ne se soucient pas du tout du travail de l’Église et des difficultés des frères et sœurs, et traitent tout ça de manière superficielle. Ils sont totalement indifférents, même quand ils savent que quelqu’un cause des interruptions et des perturbations. Le tempérament que je révélais était le même que celui d’un antéchrist. J’étais bien consciente que Fang Xia n’obtenait pas de résultats dans ses devoirs et qu’il fallait la réaffecter rapidement, mais j’estimais que le travail de purge relevait de la responsabilité de Li Hua et que tout problème devait être résolu par elle. J’estimais que même si j’avais passé du temps à essayer de résoudre ces problèmes, ça ne m’aurait pas mis en valeur et ç’aurait été une perte de temps pour moi. J’avais donc agi de manière irresponsable et je n’avais pas tenu compte de cette affaire. Plus tard, Li Hua s’était retrouvée dans l’incapacité de faire ses devoirs. Ding Yan venait d’être choisie comme dirigeante, et j’aurais dû l’accompagner pour congédier Fang Xia. Mais je n’en avais discuté que brièvement avec elle. Par la suite, je l’avais entendue dire qu’elle avait des doutes et qu’elle n’avait donc pas congédié Fang Xia, mais pour autant, je n’avais pas résolu la question en temps utile. Je m’étais montrée superficielle à l’égard du travail d’Église et je ne l’avais pas traité consciencieusement. Quand les dirigeants supérieurs étaient venus m’émonder, non seulement je n’avais pas réfléchi sur moi-même, mais j’avais aussi essayé de rejeter la responsabilité sur les autres, en disant que c’étaient les sœurs qui effectuaient le travail avec moi qui n’avaient pas congédié Fang Xia en temps voulu. En faisant ça, j’avais essayé de me dédouaner de l’affaire. Si les dirigeants supérieurs n’avaient pas congédié Fang Xia sans tarder, il est impossible de savoir combien de temps elle aurait continué à perturber l’équipe, et à quel point elle aurait causé du tort au travail de purge et à la vie des frères et sœurs. J’avais été dirigeante pendant plus de deux ans et j’avais saisi quelques principes. J’aurais dû m’en préoccuper davantage et m’acquitter de mes responsabilités afin de protéger les divers travaux de l’Église. En voyant une personne perturber et interrompre le travail de l’Église, j’aurais dû l’arrêter et la restreindre immédiatement. Les personnes qui étaient inadaptées auraient dû être réaffectées ou congédiées en temps utile. Si j’étais incapable de voir les choses clairement, il fallait que je cherche auprès de mes collègues de travail et que je les consulte. Voilà ce que c’est que de s’acquitter de ses responsabilités. Mais dans ma poursuite de réputation et de statut et afin de gagner l’estime des dirigeants supérieurs, je ne me préoccupais que du travail qu’impliquaient mes propres responsabilités principales, et quand j’avais vu des problèmes surgir dans d’autres domaines du travail, je n’y avais pas prêté attention. Je n’avais vraiment aucune humanité ! J’étais complètement égoïste ! Si les dirigeants supérieurs ne m’avaient pas exposée, émondée et congédiée, je n’aurais toujours pas su qu’il me fallait réfléchir sur moi-même. Je n’aurais pas compris à quel point j’avais été profondément corrompue par Satan, ni à quel point ma façon de vivre était ignoble et sordide. Quand j’ai compris ça, j’ai éprouvé des regrets et des remords profonds. Dans le même temps, j’ai prié Dieu avec de la reconnaissance dans mon cœur : « Ô Dieu, le fait que je sois congédiée est Ta justice. Tu ne m’as pas traitée conformément à mes transgressions, mais Tu m’as même donné une chance de me repentir, afin que je puisse réfléchir sur moi-même et me comprendre. C’est là Ton amour et Ton salut. Ô Dieu, puisses-Tu me guider vers la compréhension de moi-même dans cette affaire et vers un repentir sincère. »
Plus tard, j’ai lu ces paroles de Dieu : « Dans la maison de Dieu, tous ceux qui poursuivent la vérité sont unis devant Dieu, et non divisés. Ils s’efforcent tous d’atteindre un même objectif : ils veulent remplir leur devoir, faire le travail qui leur incombe, agir conformément aux vérités-principes, faire ce que Dieu leur demande de faire, et satisfaire Ses intentions. Si ton objectif ne sert pas cela, mais qu’il sert tes propres intérêts, la satisfaction de tes désirs égoïstes, alors il s’agit là de la révélation d’un tempérament satanique corrompu. Dans la maison de Dieu, les devoirs sont faits conformément aux vérités-principes, alors que les actes des non-croyants sont gouvernés par leurs tempéraments sataniques. Il s’agit là de deux chemins très différents. Les non-croyants fomentent leurs propres plans, ils ont chacun leurs propres buts et leurs propres projets, et tous vivent pour leurs propres intérêts. C’est la raison pour laquelle ils se démènent pour leur propre intérêt et qu’ils sont réticents à renoncer à la moindre parcelle de ce qu’ils gagnent. Ils sont divisés, et non unis, parce qu’ils ne poursuivent pas un objectif commun. L’intention et la nature derrière ce qu’ils font sont les mêmes. Ils ne pensent qu’à eux. Aucune vérité ne règne dans tout cela. Ce qui règne, et ce qui domine dans tout cela, c’est un tempérament satanique corrompu. Ils sont contrôlés par leur tempérament satanique corrompu et ne peuvent pas s’en empêcher, et ils s’enfoncent alors de plus en plus profondément dans le péché. Dans la maison de Dieu, si les principes, les méthodes, les motivations et les points de départ de vos actes n’étaient pas différents de ceux des non-croyants, si vous étiez également utilisés, contrôlés et manipulés par un tempérament satanique corrompu, et si le point de départ de vos actes était vos propres intérêts, votre réputation, votre fierté et votre statut, alors vous n’accompliriez pas votre devoir différemment de la façon dont les non-croyants agissent » (La Parole, vol. 3 : Discours de Christ des derniers jours, Troisième partie). En méditant sur les paroles de Dieu, je me suis rendu compte que, bien que je croie en Dieu, que je Le suive et que je fasse mes devoirs dans l’Église, mes pensées et mes opinions n’avaient pas changé. Je vivais toujours en me fiant aux poisons sataniques « Chacun pour soi, Dieu pour tous » et « Un homme laisse son nom partout où il passe, comme une oie fait entendre son cri partout où elle vole. » Je vivais dans un tempérament corrompu égoïste et ignoble, en ne considérant que ma propre réputation et mon propre statut. Quand j’avais découvert que Fang Xia n’obtenait aucun résultat en faisant son devoir, et qu’elle perturbait également d’autres frères et sœurs et entravait le travail de purge, j’étais bien consciente qu’elle devrait être congédiée rapidement et remplacée par une personne adaptée. Toutefois, je ne pensais qu’au travail dont j’étais moi-même responsable et je ne poursuivais que ma propre réputation et mon propre statut. Je me disais que si ce problème était résolu, d’autres personnes s’en attribueraient les mérites et que je n’aurais pas d’occasion de me mettre sous les feux de la rampe. Je n’y avais donc pas prêté attention. Je n’avais pas considéré l’ampleur du préjudice que le travail de l’Église et la vie de mes frères et sœurs allaient subir si ce problème n’était pas résolu. Même si le travail de purge incombait principalement à ma partenaire, ça ne voulait pas dire que je ne devais pas m’en préoccuper. En tant que dirigeante, si un problème survient dans une quelconque tâche, je dois m’impliquer et en discuter, chercher des principes et le résoudre conjointement avec mes collègues de travail. C’est ma responsabilité, et ce sont les devoirs de mon poste. Cependant, je ne vivais que pour ma propre réputation et mon propre statut. J’étais égoïste et ignoble, et je ne protégeais pas les intérêts de l’Église et ne considérais pas le travail dans son ensemble. Je n’abordais pas le travail de l’Église en tant que membre d’une équipe. Les non-croyants nourrissent leurs propres stratagèmes dans leur travail, et tout ce qu’ils font, ils le font pour leurs propres intérêts. La façon dont je travaillais à ce moment-là n’était absolument pas différente de la façon dont les non-croyants travaillent.
Un jour, j’ai lu un passage des paroles de Dieu dans une vidéo de témoignage d’expérience : « Dieu a fait un travail si formidable pour exprimer la vérité et sauver les gens, et y a mis tous Ses efforts laborieux. Dieu prend cette cause des plus justes tellement sérieusement ; Il a exercé tous Ses efforts laborieux pour ces gens qu’Il veut sauver, toutes Ses attentes sont également placées sur ces gens et les résultats finaux et la gloire qu’Il veut obtenir de Son plan de gestion de 6 000 ans se réaliseront tous pour ces gens. Si quelqu’un entre en rivalité avec Dieu, s’oppose, perturbe ou détruit le résultat de cette cause, Dieu lui pardonnera-t-Il ? (Non.) Cela offense-t-il le tempérament de Dieu ? Si tu continues à dire que tu suis Dieu, que tu poursuis le salut, que tu acceptes l’examen et la direction de Dieu et que tu acceptes et te soumets au jugement et au châtiment de Dieu, mais que tout en disant ces mots, tu interromps, perturbes et détruis les différents travaux de l’Église, et à cause de ta perturbation, interruption et destruction, à cause de ta négligence, de ton manquement à tes devoirs ou à cause de tes désirs égoïstes et de la poursuite de tes propres intérêts, les intérêts de la maison de Dieu, les intérêts de l’Église et une multitude d’autres aspects ont subi un préjudice, même au point que le travail de la maison de Dieu a été sérieusement perturbé et détruit, comment Dieu devrait-Il alors évaluer ton résultat dans ton livre de vie ? Comment doit-Il te caractériser ? En toute justice, tu devrais être puni. C’est ce qu’on appelle recevoir sa juste part. Que comprenez-vous maintenant ? En quoi consistent les intérêts des gens ? (Ils sont malveillants.) Les intérêts des gens sont en fait tous leurs désirs extravagants. Pour dire les choses franchement, ce sont tous des tentations, ce sont tous des faussetés et ce sont tous des appâts utilisés par Satan pour tenter les gens. Poursuivre la gloire, le profit et le statut, et poursuivre ses propres intérêts, c’est coopérer avec Satan en faisant le mal, et c’est s’opposer à Dieu. Afin d’entraver l’œuvre de Dieu, Satan suscite divers environnements pour tenter, perturber et induire les gens en erreur, pour empêcher les gens de suivre Dieu et pour les rendre incapables de se soumettre à Dieu. Au lieu de cela, ils coopèrent avec Satan et le suivent, s’élevant délibérément pour perturber et détruire l’œuvre de Dieu. Dieu a beau échanger sur la vérité, ils ne reviennent toujours pas à la raison. Peu importe combien la maison de Dieu les émonde, ils n’acceptent toujours pas la vérité. Ils ne se soumettent pas à Dieu du tout et insistent plutôt pour que les choses se passent à leur manière et pour faire ce qu’ils veulent. En conséquence, ils perturbent et détruisent le travail de l’Église, affectent sérieusement le progrès des divers travaux de l’Église, et causent un tort énorme à l’entrée dans la vie du peuple élu de Dieu. Ce péché est trop grand et de telles personnes seront certainement punies par Dieu » (La Parole, vol. 4 : Exposer les antéchrists, Point 9 (Partie I)). En méditant sur les paroles de Dieu, j’ai compris que Dieu a déployé tous Ses efforts méticuleux pour sauver l’humanité. Dieu ne veut pas voir Son œuvre subir la moindre perturbation ni le moindre préjudice. Dieu déteste et hait toutes les personnes qui perturbent et portent préjudice à Son œuvre, et qui s’opposent à Lui. Les personnes de ce genre doivent être punies. Dieu aime ceux qui poursuivent la vérité, se soumettent à Lui et Lui témoignent de la loyauté. Dieu espère que nous pourrons nous acquitter de notre responsabilité de protéger le travail de l’Église. J’ai réfléchi au fait que, quand j’avais été dirigeante, j’avais été incapable de m’acquitter de ma responsabilité de congédier rapidement Fang Xia, ce qui avait retardé le travail de purge. J’étais devenue quelqu’un qui interrompait et perturbait le travail de l’Église, que Dieu détestait et haïssait. Quand j’ai compris ça, j’ai pris peur et je suis venue devant Dieu pour Le prier : « Ô Dieu, je suis totalement égoïste. Je n’ai aucune humanité. Je ne fais que poursuivre la réputation et le statut et je ne protège pas les intérêts de la maison de Dieu. J’ai commis des actes de rébellion et de résistance envers Toi. Je suis indigne de Ton salut. Ô Dieu, je suis prête à me repentir. Puisses-Tu me guider pour que je trouve un chemin de pratique. »
J’ai lu d’autres paroles de Dieu : « Si tu es un dirigeant, quel que soit le nombre de tâches dont tu es responsable, il est de ta responsabilité de poser constamment des questions à leur sujet et de te renseigner, tout en inspectant les choses et en résolvant les problèmes rapidement lorsqu’ils surviennent. Tel est ton travail. Ainsi, que tu sois dirigeant régional, dirigeant de district, dirigeant d’Église, chef d’équipe ou superviseur, une fois que tu connais l’étendue de tes responsabilités, tu dois examiner régulièrement si tu fais du travail concret, si tu as rempli les responsabilités qui doivent être remplies par un dirigeant ou un ouvrier, ainsi que les tâches que tu n’as pas faites parmi celles qui t’ont été confiées, que tu ne veux pas faire, qui ont donné de mauvais résultats et dont tu n’as pas saisi les principes. Ce sont là autant de choses que tu dois examiner régulièrement. Dans le même temps, tu dois apprendre à échanger avec d’autres personnes et à leur poser des questions, et tu dois apprendre à identifier, dans les paroles de Dieu et les arrangements de travail, un plan, des principes et un chemin pour la pratique. Devant tout arrangement de travail, qu’il soit lié à l’administration, au personnel, à la vie d’Église ou à tout autre type de travail professionnel, s’il touche aux responsabilités des dirigeants et des ouvriers, il s’agit alors d’une responsabilité que les dirigeants et les ouvriers sont censés remplir, située dans le cadre de ce dont les dirigeants et les ouvriers sont responsables – ce sont là des tâches dont tu dois t’occuper. Naturellement, les priorités doivent être fixées en fonction de la situation ; aucun travail ne doit prendre du retard. Certains dirigeants et ouvriers diront : “Je n’ai pas trois têtes et six bras. Il y a tant de tâches dans l’arrangement de travail que je ne peux vraiment pas m’en sortir si on me les confie toutes.” S’il y a des tâches dans lesquelles tu ne peux pas t’impliquer personnellement, as-tu arrangé quelqu’un d’autre pour qu’il s’en charge ? Après avoir procédé à cet arrangement, en as-tu assuré le suivi et t’es-tu renseigné à son sujet ? As-tu contrôlé le travail effectué ? As-tu eu le temps de te renseigner et de procéder à un contrôle ? Tu l’as résolument ! » (La Parole, vol. 5 : Les responsabilités des dirigeants et des ouvriers, Les responsabilités des dirigeants et des ouvriers (10)). « Pour tous ceux qui accomplissent un devoir, quelles que soient la profondeur ou la superficialité de leur compréhension de la vérité, la manière la plus simple de pratiquer l’entrée dans la vérité-réalité est de penser aux intérêts de la maison de Dieu en tout, et d’abandonner ses désirs égoïstes, ses intentions personnelles, ses motivations, sa fierté et son statut. Fais passer les intérêts de la maison de Dieu en premier, c’est bien le moins que l’on doive faire. Si quelqu’un qui accomplit un devoir ne peut même pas en faire autant, alors comment peut-on dire de lui qu’il accomplit son devoir ? Ce n’est pas accomplir son devoir. Tu dois d’abord penser aux intérêts de la maison de Dieu, tenir compte des intentions de Dieu et prendre en considération le travail de l’Église. Donne la priorité à ces considérations avant toute chose ; c’est seulement après cela que tu peux penser à la stabilité de ton statut ou à la façon dont les autres te considèrent. Ne sentez-vous pas que cela devient un peu plus facile si vous procédez en deux étapes et que vous faites des compromis ? Si tu pratiques ainsi un moment, tu auras l’impression qu’il n’est pas si difficile de satisfaire Dieu. De plus, tu devrais être capable d’assumer tes responsabilités, de répondre à tes obligations et d’accomplir tes devoirs, et de mettre de côté tes désirs, intentions et motivations égoïstes. Tu dois montrer de la considération pour les intentions de Dieu, et faire passer en premier les intérêts de la maison de Dieu, le travail de l’Église, et le devoir que tu es censé accomplir. Après en avoir fait l’expérience quelque temps, tu sentiras que c’est une bonne manière de se comporter. C’est mener une vie franche et honnête, et ne pas être quelqu’un d’abject et de vil. C’est vivre de façon juste et honorable, plutôt que d’être méprisable, abject et bon à rien. Tu sentiras que c’est ainsi qu’une personne devrait agir et que c’est l’image que cette personne devrait vivre. Peu à peu, ton désir de satisfaire tes propres intérêts s’atténuera » (La Parole, vol. 3 : Discours de Christ des derniers jours, On ne peut gagner la liberté et la libération qu’en se débarrassant de son tempérament corrompu). À travers les paroles de Dieu, j’ai vu que toutes les tâches de la maison de Dieu sont très importantes, et que chacune d’entre elles relève de la responsabilité des dirigeants et des ouvriers, qui doivent les superviser et en assurer le suivi. La répartition des tâches est simplement une partie nécessaire du travail afin de s’assurer que celui-ci produise des résultats encore meilleurs. Toutefois, je croyais que le fait de répartir les tâches signifiait que je n’avais aucune responsabilité pour les autres tâches. Je me disais que si des problèmes survenaient dans le travail qui incombait à telle ou telle personne, c’était à elle d’aller les résoudre et d’en assumer la responsabilité. Ce point de vue est incorrect et n’est pas conforme aux exigences de Dieu pour les dirigeants et les ouvriers. Les dirigeants sont responsables du travail dans son ensemble et le travail de purge faisait également partie des attributions de mon rôle. S’il y avait des problèmes à ce niveau, il fallait que je m’acquitte de ma responsabilité : il fallait que je discute des problèmes et que je les résolve conjointement avec mes collègues. Au même moment, j’ai compris que je devais donner la priorité aux intérêts de la maison de Dieu en faisant mon devoir et tenir compte de l’ensemble du travail. Je ne pouvais pas laisser les gains et les pertes liés à mes intérêts personnels influencer le travail de la maison de Dieu et retarder l’entrée dans la vie de mes frères et sœurs. À l’avenir, je devrai toujours pratiquer conformément aux paroles de Dieu. Quelle que soit la tâche que j’accomplirai, il me faudra toujours m’acquitter de mes propres responsabilités. Je ne peux plus me soucier de mes intérêts personnels.
Plus tard, j’ai été responsable de la tâche consistant à abreuver les nouveaux arrivants. Ma partenaire, Sœur Yang Li, a dû partir ailleurs pendant un temps pour s’occuper de quelque chose. Avant de partir, elle m’a confié tous les nouveaux arrivants qu’elle abreuvait. Je me suis dit : « Certains des nouveaux arrivants que j’abreuve sont dans un état négatif. Je dois résoudre leurs problèmes. Où vais-je trouver le temps d’abreuver les nouveaux arrivants dont tu es responsable ? Si ça m’empêche de faire mon devoir, qu’est-ce que les dirigeants penseront de moi ? Diront-ils que je ne porte pas de fardeau et que je n’effectue pas de travail concret ? » En raisonnant de cette façon, je me suis rendu compte que mon état n’était pas correct. Encore une fois, je considérais mes propres intérêts et je travaillais pour ma propre réputation et mon propre statut. Je me suis souvenue des paroles de Dieu : « Pour tous ceux qui accomplissent un devoir, quelles que soient la profondeur ou la superficialité de leur compréhension de la vérité, la manière la plus simple de pratiquer l’entrée dans la vérité-réalité est de penser aux intérêts de la maison de Dieu en tout, et d’abandonner ses désirs égoïstes, ses intentions personnelles, ses motivations, sa fierté et son statut. Fais passer les intérêts de la maison de Dieu en premier, c’est bien le moins que l’on doive faire. Si quelqu’un qui accomplit un devoir ne peut même pas en faire autant, alors comment peut-on dire de lui qu’il accomplit son devoir ? Ce n’est pas accomplir son devoir » (La Parole, vol. 3 : Discours de Christ des derniers jours, On ne peut gagner la liberté et la libération qu’en se débarrassant de son tempérament corrompu). Il fallait que je protège les intérêts de la maison de Dieu. Je ne pouvais plus me soucier de ma propre réputation et de mon statut. Les nouveaux arrivants que Yang Li m’avait confiés ne s’étaient pas encore solidement enracinés dans la vraie voie. Le PCC arrêtait et persécutait les chrétiens partout et diffusait des rumeurs infondées pour discréditer l’Église de Dieu Tout-Puissant. Si les nouveaux arrivants ne comprenaient pas la vérité, alors Satan pourrait les induire en erreur et les capturer à tout moment. Maintenant que Yang Li m’avait confié ces nouveaux arrivants, les abreuver et les soutenir était la responsabilité dont je devais m’acquitter. Si par ma faute, ces nouveaux arrivants se retiraient et cessaient de croire parce que j’étais égoïste, ignoble et irresponsable, alors une accusation pèserait sur ma conscience. Je ne pouvais pas continuer à vivre en me fiant à mon tempérament corrompu égoïste et ignoble. Peu importe qui était responsable de ces nouveaux arrivants, il fallait que je les abreuve correctement afin qu’ils puissent établir des racines solides le plus tôt possible. Je me suis donc équipée de la vérité et j’ai abreuvé et soutenu tous les nouveaux arrivants en fonction de leurs notions et de leurs problèmes. Quand j’ai pratiqué de cette manière, j’ai ressenti de la paix et de la détente dans mon cœur.
Après ces expériences, j’ai profondément pris conscience que quand les gens vivent dans un tempérament corrompu égoïste et ignoble et qu’ils ne se préoccupent que de la poursuite de leur réputation et de leur statut, même s’ils peuvent jouir d’un certain prestige à ce moment-là, ils laissent des transgressions derrière eux quand ils ne s’acquittent pas de leurs responsabilités et leur cœur brûle de souffrance. Mais quand on laisse tomber les intérêts personnels et qu’on pratique et qu’on entre conformément aux paroles de Dieu, on ressent de la paix et de la détente dans son cœur. Je Te rends grâce, Dieu, de m’avoir amenée à ces compréhensions et à ces gains !
La douleur cessera et les larmes s'arrêteront. Faites confiance à Dieu, Il a entendu nos appels dans notre souffrance, et Il nous sauvera de notre douleur. Contactez-nous pour connaître la bonne nouvelle de Dieu de nous sauver.
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