Le jugement est lumière

26 juillet 2017

Par Zhao Xia, Chine

Je m’appelle Zhao Xia. Je suis née dans une famille ordinaire. Du fait de l’influence de dictons comme « Un arbre vit grâce à son écorce, tout comme un homme vit sur sa face » et « Un homme laisse son nom où il passe ; comme une oie fait entendre son cri partout où elle vole », la réputation et l’apparence sont devenues particulièrement importantes pour moi. Tout ce que je faisais était dans le but d’obtenir les louanges, les compliments et l’admiration des autres. Après mon mariage, les objectifs que je me suis fixés étaient les suivants : je serai plus riche que les autres ; je ne dois laisser personne dire des choses négatives sur la façon dont je traite les personnes âgées ou sur mon comportement et ma conduite ; je ferai en sorte que mon enfant entre dans une université célèbre et ait de bonnes perspectives afin d’ajouter plus d’éclat à mon visage. Par conséquent, je ne me suis jamais disputée avec les membres de ma belle-famille. Parfois, lorsqu’ils me disaient des choses dures, je me sentais tellement blessée que je me cachais et pleurais plutôt que de les prendre de haut. Quand je voyais d’autres personnes acheter des vêtements pour leurs parents pendant le Nouvel An chinois et d’autres fêtes, j’allais immédiatement en acheter pour ma belle-mère et je choisissais même la meilleure qualité. Quand des parents venaient me rendre visite, j’aidais à acheter de la nourriture et à cuisiner. Même si c’était un peu dur ou fatigant, j’étais toujours prête à le faire. Craignant d’être moins bien nantie que les autres, j’ai laissé ma petite fille un mois après l’accouchement et je suis retournée directement au travail. Par conséquent, ma fille a souffert de malnutrition et est devenue squelettique parce qu’elle ne pouvait pas boire le lait maternel. Son état ne s’est amélioré qu’après 100 injections nutritionnelles, tandis que j’étais si fatiguée que j’avais mal au dos tous les jours. Bien que ce fût difficile et fatigant, j’ai enduré les épreuves et j’ai donné sans relâche pour acquérir une bonne réputation. En quelques années à peine, je suis devenue une belle-fille célèbre dans le village, et ma famille est devenue riche et enviée par les gens autour de nous. Par conséquent, mes beaux-parents, mes voisins, ma famille et mes amis ne tarissaient pas d’éloges sur moi. Avec les éloges et les compliments de ceux qui m’entouraient, ma vanité était grandement satisfaite. J’ai senti que les difficultés rencontrées au cours des années précédentes n’avaient pas été vaines et j’étais très flattée intérieurement. Cependant, ma vie sereine a été interrompue après le mariage de mon beau-frère. Sa femme me parlait toujours avec sarcasme. Elle me disait que le bon traitement que je réservais à ma belle-mère avait des motifs inavoués et que je voulais juste ses biens. Elle a toujours dit que notre belle-mère était partiale parce qu’elle nous donnait plus de choses qu’elle ne leur en donnait et nous nous disputions souvent à cause de cela. Je me sentais très blessée et je voulais me disputer avec elle en public pour défendre mon innocence, mais cela aurait ruiné la bonne image que j’avais construite dans le cœur des gens. Par conséquent, je me forçais à me retenir et quand, je ne pouvais plus le supporter, je pleurais abondamment en privé. Par la suite, la belle-sœur a poussé sa chance en occupant la parcelle de terre offerte à ma famille, ce qui m’a fait trembler de colère et m’a coupé l’appétit et la soif pendant des jours. Je voulais même me battre avec elle. Cependant, en pensant que cela me ferait perdre la face, porterait atteinte à ma réputation et ferait en sorte que ceux qui m’entourent me regardent de haut, j’ai tout ravalé, mais je me sentais tellement étouffée intérieurement que j’en étais tourmentée. J’avais l’air triste et je soupirais toute la journée, ayant l’impression que vivre était trop douloureux et fatigant et ignorant quand une telle vie prendrait fin.

La fin de l’homme est vraiment le commencement de Dieu. Juste au moment où j’étais dans la douleur et me sentais impuissante, Dieu Tout-Puissant a tendu Ses mains de salut vers moi. Un jour, ma voisine m’a demandé : « Crois-tu en l’existence de Dieu ? » J’ai répondu : « Qui n’y croit pas ? Je crois que Dieu existe. » Elle a ensuite dit que le Dieu en Qui elle croit est le seul et unique vrai Dieu qui a créé l’univers et toute chose et, qu’au commencement, l’humanité vivait sous les bénédictions de Dieu parce qu’elle adorait Dieu, mais après avoir été corrompue par Satan, elle avait cessé d’adorer Dieu et vivait donc sous la malédiction de Dieu et dans la douleur. Dieu Tout-Puissant des derniers jours est venu pour donner aux hommes la vérité et les sauver de l’abîme de la misère. Par ailleurs, elle a aussi communiqué sa propre expérience de croyante en Dieu. Après avoir écouté sa communication, j’ai senti que j’avais trouvé ma plus proche confidente et je ne pouvais m’empêcher de lui raconter toute la douleur de mon cœur. Par la suite, elle m’a lu un passage de la parole de Dieu : « Quand tu es las et que tu commences à ressentir quelque peu la sombre désolation de ce monde, ne sois pas perdu, ne pleure pas. Dieu Tout-Puissant, le Gardien, accueillera ton arrivée à tout moment. Il monte la garde à tes côtés, attendant que tu te retournes. Il attend le jour où tu retrouveras tout à coup la mémoire : tu t’apercevras que tu viens de Dieu, mais que tu as perdu ta direction à un moment donné, tu t’es écarté du droit chemin à un moment donné et tu as gagné un “père” à un moment donné. En outre, tu réaliseras que le Tout-Puissant est là depuis le début, montant la garde et attendant ton retour depuis très, très longtemps » (La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, Les soupirs du Tout-Puissant). Les paroles de Dieu coulaient dans mon cœur comme un courant chaud, consolant mon cœur douloureux et triste, et je ne pouvais pas empêcher mes larmes de couler. À ce moment-là, je me sentais comme un enfant errant dans la souffrance qui était soudainement revenu à l’étreinte de sa mère. Il y avait une excitation et une émotion inexprimables dans mon cœur. J’ai continué à remercier Dieu car Il m’a emmenée chez Lui et S’est occupé de moi quand je n’avais nulle part où aller. Je suivrai Dieu avec mon cœur et mon âme ! Depuis, j’ai lu les paroles de Dieu, prié Dieu et chanté des hymnes pour louer Dieu chaque jour, ce qui m’a fait me sentir particulièrement détendue dans mon cœur. En assistant aux réunions, j’ai vu que les frères et sœurs étaient comme une grande famille, même s’ils ne sont pas liés par le sang. Leurs interactions étaient simples et ouvertes, pleines de compréhension, de tolérance et de patience, et sans jalousie, sans conflit et sans manigances ou prétention et duplicité. Ils n’intimidaient pas les pauvres tout en aimant les riches et ils étaient tous capables de traiter tout le monde avec sincérité et égalité. Mon cœur se sentait particulièrement libre quand nous chantions ensemble des hymnes louant Dieu. Je suis donc tombée amoureuse de cette vie ecclésiale aimante et chaleureuse, juste et joyeuse. Je devins convaincue que Dieu Tout-Puissant est le seul vrai Dieu et j’ai décidé que je Le suivrais jusqu’au bout.

En lisant les paroles de Dieu, j’ai compris le désir pressant de Dieu de sauver l’humanité dans toute la mesure du possible et j’ai vu que beaucoup de frères et sœurs faisaient leur maximum pour donner et dépenser dans le but de répandre l’Évangile du royaume. Je me suis donc aussi impliquée activement dans la prédication de l’Évangile. Pour me purifier et me changer, Dieu a ciblé ma nature corrompue et a exécuté sur moi Son châtiment et Son jugement à maintes reprises. Une fois, je suis allée prêcher l’Évangile à une croyante potentielle. À l’époque, c’était la haute saison agricole. Après avoir vu à quel point elle était occupée avec les travaux agricoles, je suis allée travailler avec elle tout en lui relatant des témoignages de l’œuvre de Dieu des derniers jours. Qui aurait pu croire qu’après avoir communiqué avec elle pendant trois jours consécutifs, elle n’aurait non seulement pas l’intention d’accepter, mais s’écrierait plutôt : « Comme tu es effrontée ! J’ai déjà dit que je n’y crois pas et pourtant tu n’arrêtes pas de prêcher. » Ses paroles m’ont frappée là où ça fait mal. Mon visage brûlait comme si je venais d’être giflée plusieurs fois en public, tandis que mon cœur souffrait de vagues successives d’une douleur sourde. Je me suis dit : je suis venue te prêcher avec de bonnes intentions et je me suis épuisée à t’aider dans ton travail jusqu’à ce que mon dos me fasse mal, et pourtant, au lieu de l’accepter, tu me traites ainsi. Comme tu es sans cœur ! Je me sentais extrêmement humiliée et je ne voulais plus lui parler, mais je sentais aussi que cela n’était pas conforme aux intentions de Dieu, alors j’ai prié en silence dans mon cœur et j’ai réprimé ma douleur intérieure pour continuer à communiquer avec elle tout en l’aidant dans son travail. Cependant, peu importe à quel point je communiquais avec elle, je n’arrivais toujours pas à me faire comprendre par elle. En rentrant chez moi, je me suis effondrée comme une balle en caoutchouc dégonflée. Les paroles de ma cible de prédication n’arrêtaient pas de resurgir dans ma tête. Plus j’y pensais, plus j’en souffrais : Pourquoi je m’embête ? Tout ce que j’ai eu en échange de mes bonnes intentions, ce sont des railleries, des calomnies et des injures. C’est vraiment trop injuste ! Personne ne m’avait jamais traitée ainsi. Répandre l’Évangile est tout simplement trop douloureux et difficile ! Non, je ne peux plus sortir prêcher l’Évangile ! Si je continue à prêcher, je n’aurai plus le courage de rencontrer qui que ce soit. Juste au moment où je me sentais si blessée et en souffrance que je n’étais plus disposée à prêcher l’Évangile, les paroles de Dieu m’ont éclairée : « Es-tu conscient du fardeau sur tes épaules, de ta commission et de ta responsabilité ? Où est ton sens de la mission historique ? […] Ils sont malheureux, pitoyables, aveugles, et éperdus, gémissant dans les ténèbres. Où est le chemin ? Combien ils aspirent à ce que la lumière, comme une étoile filante, descende soudainement et dissipe les forces des ténèbres qui ont accablé les hommes depuis tant d’années. Qui peut savoir exactement dans quelle mesure ils espèrent anxieusement et comment ils languissent jour et nuit après cela ? Ces hommes qui souffrent profondément restent emprisonnés dans un donjon obscur, sans espoir d’être libérés, même un jour où la lumière illumine. Quand cesseront-ils de pleurer ? Le malheur de ces esprits fragiles, à qui l’on n’a jamais accordé le repos, est terrible, et ils ont longtemps été gardés attachés dans cet état par d’impitoyables liens et par l’histoire figée. Qui a entendu les cris de leurs gémissements ? Qui a observé leur état misérable ? As-tu jamais imaginé à quel point le cœur de Dieu est chagriné et anxieux ? Comment peut-Il supporter de voir l’humanité innocente, créée de Ses propres mains, endurer un tel tourment ? Après tout, les êtres humains sont les victimes qui ont été empoisonnées. Bien que l’homme ait survécu jusqu’à ce jour, qui aurait su que l’humanité a depuis longtemps été empoisonnée par le malin ? As-tu oublié que tu es l’une des victimes ? Dans ton amour pour Dieu, n’es-tu pas prêt à t’efforcer de sauver ces survivants ? N’es-tu pas prêt à consacrer toute ton énergie à rembourser Dieu qui aime l’humanité comme Sa propre chair et Son propre sang ? » (La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, Comment devrais-tu entreprendre ta future mission ?). Les lignes entre les paroles de Dieu révélaient, toutes, Sa préoccupation, Sa tristesse angoissée et Son attention envers les innocents. Dieu ne peut supporter de voir les hommes créés par Ses propres mains trompés et blessés par Satan. Dieu attend amèrement que l’humanité revienne bientôt dans Sa maison et reçoive le grand salut qu’Il leur a accordé. Pourtant, lorsque j’ai été confrontée à quelques mots durs de ma cible de prédication, je me suis sentie blessée et tourmentée, et je me suis plainte des difficultés et des souffrances. Je ne voulais même plus coopérer parce que j’avais perdu la face. Où était ma conscience et ma raison ? Afin de nous sauver, nous, hommes corrompus des derniers jours, Dieu a été continuellement chassé et persécuté par le gouvernement, abandonné, condamné, blasphémé et calomnié par les cercles religieux et a fait face à notre incompréhension et à notre résistance, nous Ses disciples. La douleur et l’humiliation que Dieu a subies sont trop grandes, trop immenses ! Cependant, Dieu n’a pas abandonné Son salut de l’humanité et a continué à subvenir aux besoins de l’humanité dans l’obscurité. L’amour de Dieu est trop immense ! Son essence est trop belle et bienveillante ! Mes épreuves d’aujourd’hui ne sont rien comparées aux souffrances que Dieu a endurées pour le salut de l’humanité ! Je me suis rappelée que j’étais aussi une victime, quelqu’un qui avait été blessé par Satan pendant des années. Si Dieu ne m’avait pas tendu Ses mains de salut, je me débattrais encore péniblement dans les ténèbres, incapable de trouver la lumière et l’espérance de la vie. Ayant joui du salut de Dieu, je devrais supporter l’humiliation et la douleur et faire tout mon possible pour coopérer avec Dieu, accomplir mon devoir correctement, et amener devant Dieu ces hommes innocents qui continuent d’être blessés par Satan. C’est plus précieux et significatif que n’importe quel emploi au monde et cela vaut la peine, peu importe le degré de souffrances à endurer ! Quand j’y ai pensé, je ne sentais plus que prêcher l’Évangile était une chose douloureuse et je me sentais plutôt chanceuse de pouvoir coopérer à l’Évangile du royaume. C’était un honneur pour moi et aussi l’exaltation de Dieu. J’ai pris ma décision : quelles que soient les difficultés que je rencontrerai dans mon œuvre évangélique, je donnerai tout et m’appuierai sur Dieu pour amener de plus en plus d’hommes qui ont faim de Dieu devant Lui pour réconforter Son cœur ! Par la suite, je me suis de nouveau jetée dans l’œuvre évangélique.

Après une période de formation, chaque fois que je rencontrais une cible de prédication qui avait une mauvaise attitude ou m’adressait des mots durs pendant l’accomplissement de mon devoir, j’étais capable de m’en occuper correctement et de continuer à coopérer avec un cœur aimant. De ce fait, j’avais l’impression d’avoir changé et ne me souciais plus tellement de ma réputation et de mon statut. Mais quand Dieu a mis en place un autre environnement pour me tester sur la base de mes besoins, j’ai été à nouveau complètement exposée. Un jour, la dirigeante de l’Église m’a demandé comment j’allais ces derniers temps et a aussi communiqué les intentions et le mode de pratique actuels de Dieu. Quand j’ai appris au cours de la conversation qu’elle serait transférée dans une autre Église pour accomplir son devoir, je ne pouvais m’empêcher de ressentir une vague d’excitation : Il est possible que je devienne la dirigeante de l’Église après son départ. Si oui, je dois vraiment bien coopérer ! Alors que je me sentais secrètement heureuse, la sœur a dit qu’une autre sœur de mon village viendrait le lendemain. Dès que j’ai entendu cela, mon cœur s’est mis à palpiter : Pourquoi vient-elle ? Va-t-elle devenir la nouvelle dirigeante de l’Église ? Je ne pouvais m’empêcher de devenir nerveuse : elle ne croit pas en Dieu depuis aussi longtemps que moi et elle vient du même village que moi. Si elle devient dirigeante, qu’en sera-t-il de ma réputation ? Comment les frères et sœurs me verraient-ils ? Ils diront sûrement que je ne poursuis pas la vérité autant qu’elle. Je n’arrêtais pas d’y penser. Je me tournais et me retournais dans mon lit la nuit, incapable de m’endormir. Au cours de la réunion du lendemain, j’ai prêté une attention constante au ton et à l’attitude de la dirigeante quand elle parlait, car je voulais désespérément savoir qui serait choisi comme nouvelle dirigeante de l’Église. Chaque fois que la dirigeante me regardait quand elle parlait, j’avais bon espoir d’être nommée dirigeante. Mon visage se remplissait de joie et je hochais la tête en signe d’approbation de tout ce qu’elle disait. D’un autre côté, chaque fois que la dirigeante se tournait vers l’autre sœur quand elle parlait, je devenais certaine que la sœur serait nommée dirigeante et, par conséquent, je me sentais déprimée et dans l’angoisse. Pendant ces quelques jours, j’étais tellement tourmentée par la réputation et le statut que je suis devenue anxieuse et distraite. J’ai perdu l’appétit et je sentais même que le temps passait particulièrement lentement, comme s’il avait gelé. La dirigeante de l’Église a pu voir la situation dans laquelle j’étais, elle a alors trouvé un passage de la parole de Dieu qu’elle m’a demandé de lire : « Vous êtes maintenant ceux qui suivent, et vous avez acquis une certaine compréhension de cette étape de l’œuvre. Cependant, vous n’avez toujours pas mis de côté votre désir de statut. Lorsque votre statut est élevé, vous cherchez bien, mais lorsque votre statut est bas, vous ne cherchez plus. Les bénédictions du statut sont toujours dans votre esprit. » « Bien que vous ayez atteint cette étape aujourd’hui, vous n’avez toujours pas laissé tomber le statut, mais vous vous efforcez toujours de vous en enquérir et vous l’observez quotidiennement […]. Plus tu cherches de cette façon, moins tu récolteras. Plus quelqu’un a un grand désir de statut, plus il devra être traité sérieusement et plus il devra subir un grand épurement. De tels hommes sont sans valeur ! Ils doivent être traités et jugés de manière adéquate afin de pouvoir complètement laisser tomber ces choses. Si vous cherchez de cette façon jusqu’au bout, vous ne récolterez rien. Ceux qui ne cherchent pas la vie ne peuvent pas être transformés, et ceux qui n’ont pas soif de la vérité ne peuvent pas gagner la vérité. Tu ne te concentres pas sur la recherche de la transformation personnelle et sur l’entrée, mais tu te concentres toujours sur des désirs extravagants et sur des choses extravagantes qui limitent ton amour pour Dieu et qui t’empêchent de te rapprocher de Lui. Ces choses peuvent-elles te transformer ? Peuvent-elles t’amener dans le royaume ? » (La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, Pourquoi ne voulez-vous pas être un faire-valoir ?). Chaque ligne des paroles de Dieu frappa mon cœur, me faisant sentir que Dieu était à côté de moi, surveillant toutes mes paroles et tous mes mouvements. Je n’ai pu m’empêcher de réfléchir sur mes pensées et mes actions au cours des deux jours précédents. J’ai réalisé que ma conception de la poursuite était trop basique et influencée par des dictons tels que « Un arbre vit grâce à son écorce, tout comme un homme vit sur sa face » and « Un homme laisse son nom où il passe ; comme une oie fait entendre son cri partout où elle vole ». J’ai toujours recherché le statut afin de pouvoir obtenir plus d’éloges des autres. Il en est résulté que j’ai été tellement hantée par la réputation et le statut que je suis devenue anxieuse et distraite, j’ai perdu l’appétit et ne parvenais pas à m’endormir, et je me suis ridiculisée comme une bouffonne. Un tel environnement a été mis en place par Dieu conformément à ma situation. C’était l’amour de Dieu qui me tombait dessus. L’œuvre de Dieu était destinée, à ce moment-là, à me sauver, de m’aider à échapper aux influences ténébreuses de Satan pour que je puisse parvenir au salut. La façon dont je menais la poursuite était contraire à la volonté de Dieu. Je n’aurais pas pu recevoir l’approbation de Dieu, même si j’avais cru en Lui jusqu’à la fin. Il ne me serait rien resté ! J’ai donc prié Dieu en silence : « Ô mon Dieu ! Je suis prête à obéir à Ton œuvre, à marcher sur le droit chemin de la foi en Dieu selon Tes exigences et à faire des efforts pour mettre en œuvre Ta parole afin de parvenir à la compréhension de la vérité et me débarrasser de mon tempérament corrompu. Peu importe si je suis faite ou non dirigeante, je poursuivrai la vérité et veillerai à changer les aspects de ma personne qui ne satisfont pas Tes intentions. » Après avoir compris les intentions de Dieu, je me sentais particulièrement calme dans mon cœur et j’aimais communiquer, quel que soit le contenu. Après la réunion, la dirigeante de l’Église a dit que, sur la base des recommandations de la majorité des frères et sœurs, la sœur serait la nouvelle dirigeante de l’Église et que je collaborerais avec elle dans son travail. J’étais très calme intérieurement et j’ai immédiatement accepté, consentant à travailler en harmonie avec la sœur pour accomplir notre devoir.

Après avoir fait l’expérience du châtiment et du jugement de Dieu cette fois-là, j’ai acquis une certaine connaissance de ma tendance à me focaliser sur la réputation et le statut, et j’étais prête à abandonner ma chair et à croire en Dieu et à accomplir mon devoir conformément à Ses exigences. Cependant, ma contamination par les toxines de Satan était trop profonde. La profondeur de mon âme était encore contrôlée par l’influence de Satan. Pour mieux me sauver du mal causé par Satan, Dieu étendit de nouveau Ses mains de salut vers moi. Un jour, j’ai appris qu’il y avait une sœur dans l’Église qui était dans une situation difficile, alors j’ai consulté la sœur avec qui j’étais associée sur la façon de résoudre ce problème. Comme ma sœur partenaire ne se sentait pas bien, je suis allée seule pour résoudre le problème après notre discussion. J’ai cherché cette sœur cette nuit-là pour communiquer avec elle et le problème a été résolu très rapidement. Mon cœur débordait de joie à l’époque, pensant que la dirigeante de niveau supérieur me féliciterait sûrement pour mes nombreux efforts. Cependant, au moment où j’attendais la bonne nouvelle, la dirigeante de niveau supérieur a écrit une lettre dans le but de comprendre la situation de la sœur. Je pensais que c’était pour me louer, alors je l’ai ouverte et je l’ai lue avec joie. Mais quand j’ai constaté que la lettre visait précisément à demander à ma sœur partenaire comment elle avait réglé le problème, je m’en suis immédiatement indignée : de toute évidence, c’est moi qui avais résolu le problème. Pourquoi ne pas m’écrire pour me questionner à ce sujet ? Il semble que je n’ai pas de place dans le cœur de la dirigeante et que je suis méprisée. Je ne suis qu’un serviteur. Peu importe mes performances, je n’obtiens aucun crédit, car personne n’y prête attention. Plus j’y pensais, plus je me sentais lésée et déprimée. Je sentais que j’avais perdu la face. À ce moment-là, ma sœur partenaire avait la lettre en main et était sur le point de me parler. Je n’ai pas pu contenir mes sentiments et je lui ai hurlé : « La guide de niveau ne sait pas comment ce problème a été résolu. N’as-tu pas été claire à ce sujet ? J’ai activement travaillé dessus pendant longtemps, mais personne n’a fait un seul commentaire positif et, au final, c’est même toi qui en a eu tout le mérite. Aux yeux de tous, je ne suis qu’une personne qui fait des courses et offre du soutien. Peu importe les efforts que je fais, personne ne les apprécie. » Après avoir dit cela, je me sentais tellement lésée que j’ai éclaté en larmes. À ce moment-là, les paroles de Dieu s’ont résonné dans mes oreilles : « Si Je suis encore très froid envers toi alors que tu as fait beaucoup d’efforts, pourras-tu continuer à travailler pour Moi dans l’ombre ? […] Si, après que tu as dépensé certaines choses pour Moi, Je ne satisfais pas tes demandes mesquines, seras-tu découragé et déçu à Mon égard, deviendras-tu même furieux et Me lanceras-tu des insultes ? » (La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, Un problème très grave : la trahison (2)). Les paroles accusatrices de Dieu m’ont lentement calmée et mon esprit s’est aussi beaucoup éclairci. La scène qui venait juste d’avoir lieu me revenait sans cesse à l’esprit comme un film. La révélation de Dieu m’a fait voir que ma nature est trop horrible et trop dangereuse, et que ma foi en Dieu et l’accomplissement de mon devoir ne visaient pas à satisfaire Dieu ou obtenir Son approbation, mais à recevoir les louanges et les compliments d’autres personnes. Dès que mes désirs n’étaient pas satisfaits, je devenais pleine de ressentiment ; ma nature bestiale éclatait et trahir Dieu devenait, en outre, une chose extrêmement facile à faire. À ce moment-là, je vis que j’étais allée trop loin et que j’étais inhumaine. La douleur que j’ai ressentie était déchirante. Quand je me repentais, j’ai prié Dieu : « Ô Dieu, je pensais que j’avais changé et que je ne vivais plus pour la réputation et le statut, et que je pouvais aussi m’entendre avec la sœur. Mais dans Ta révélation d’aujourd’hui, j’ai une fois de plus révélé ma laideur satanique, me sentant toujours comme si je n’avais pas de statut parmi les hommes et souffrant parce que mes efforts n’étaient pas loués par les autres. Ô Dieu, Satan m’avait blessée trop profondément. Le statut, la réputation et la vanité sont tous devenus mes chaînes. Je prie pour que Tu me guides à nouveau hors de l’influence de Satan. » Par la suite, j’ai lu dans les paroles de Dieu ce qui suit : « Chacun d’entre vous s’est élevé au faîte des multitudes ; vous vous êtes élevés pour devenir les ancêtres des masses. Vous êtes extrêmement arbitraires et hors de contrôle au milieu de tous les vermisseaux, cherchant un endroit tranquille et tentant de dévorer les plus petits que vous. Vous êtes malveillants et sinistres dans votre cœur, plus même que les fantômes qui ont sombré au fond de la mer. Vous résidez au fond du fumier, dérangeant les vermisseaux, de la base au sommet, jusqu’à ce que le trouble soit semé et qu’ils se disputent un certain temps, puis se calment. Vous ne connaissez pas votre place, mais vous vous battez quand même les uns contre les autres dans le fumier. Que peut vous apporter une telle lutte ? Si vous Me révériez vraiment dans votre cœur, comment pourriez-vous vous battre entre vous derrière Mon dos ? Quel que soit ton statut, ne restes-tu pas un vermisseau puant dans le fumier ? Pourras-tu te faire pousser des ailes et devenir une colombe dans le ciel ? » (La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, Quand les feuilles mortes retourneront aux racines, tu regretteras tout le mal que tu as fait). Chaque parole du jugement de Dieu m’a douloureusement poignardé le cœur comme une épée tranchante, éveillant mon esprit et me faisant réaliser que j’accomplissais mon devoir non pas pour exalter Dieu et témoigner de Lui, mais parce que j’ai toujours voulu me mettre en valeur, témoigner de moi-même et j’ai toujours rêvé de me faire remarquer des autres pour qu’ils puissent m’admirer et me respecter. Y avait-il une quelconque crainte de Dieu dans mon cœur ? L’objet de ma poursuite n’était-il pas exactement le même que celui de l’archange qui a trahi Dieu ? Je suis une créature profondément corrompue par Satan. Devant Dieu, je suis comme de la saleté, un asticot. Je devrais adorer Dieu et accomplir mon devoir avec une crainte constante dans mon cœur, mais je ne me suis pas engagée dans un travail honnête, et je voulais toujours utiliser l’accomplissement de mon devoir comme une occasion de me mettre en valeur et de témoigner de moi-même. Comment Dieu pourrait-il ne pas haïr et détester cela ? Dieu est si saint et si grand, plein d’autorité et de puissance, et pourtant, Il demeure humble et caché, et ne révèle jamais Son identité pour que les hommes Le regardent et L’admirent. Au contraire, Il continue tranquillement à donner tout pour sauver l’humanité, sans jamais ne se justifier ni revendiquer le crédit et sans jamais rien demander de l’humanité. L’humilité, la noblesse et l’altruisme de Dieu m’ont fait voir mon arrogance, ma petitesse et mon égoïsme. Je ne pouvais m’empêcher de ressentir de la honte, n’ayant nulle part où me cacher, et je sentais que j’avais été trop profondément corrompue par Satan et que j’avais trop besoin du salut du jugement, du châtiment, de l’épreuve et du raffinement de Dieu. Je me suis alors prosternée à nouveau devant Dieu : « Ô, Dieu Tout-Puissant ! À travers Ton châtiment et Ton jugement, je vois ma désobéissance, ainsi que Ta noblesse et Ta grandeur. À partir de maintenant, quand j’accomplirai mon devoir, j’espère seulement me comporter comme un vrai être humain avec un cœur qui Te craint et me débarrasser de mon tempérament satanique en m’appuyant sur Tes paroles. »

Après avoir fait l’expérience du châtiment et du jugement de Dieu à maintes et maintes reprises, mon opinion sur la poursuite a progressivement changé, mais mon tempérament de vie n’avait pas encore véritablement changé. Afin de me purifier plus profondément et me conduire à marcher sur le droit chemin de la vie, Dieu m’a à nouveau accordé Son salut. Plus tard, j’ai été désignée comme dirigeante d’Église, coopérant avec une autre sœur pour accomplir notre devoir. En raison de mes échecs précédents, je n’arrêtais pas de me rappeler constamment que j’avais besoin d’être en accord avec la sœur pour réaliser l’œuvre de l’Église correctement. Au début, je discutais de tout avec la sœur et nous cherchions ensemble l’aide de Dieu et, ainsi, nous obtenions des résultats dans tous les aspects du travail. Mais après un certain temps, j’ai découvert que la sœur avait des qualités intrinsèques positives, sa communication de la vérité était claire et éclairante, et ses capacités de travail étaient meilleures que les miennes. Lors des réunions, les frères et sœurs étaient tous disposés à écouter sa communication et ils la consultaient tous lorsqu’ils avaient des problèmes. Dans un tel environnement, je suis une fois de plus tombée dans le piège de Satan et j’ai été dupée par lui : la sœur est meilleure que moi à tous les égards et admirée par les frères et sœurs, où qu’elle aille. Pas question ! Je dois la dépasser quoiqu’il arrive, et les frères et sœurs verront que je ne suis pas inférieure à elle. De ce fait, je m’occupais frénétiquement au sein de l’Église, tous les jours sans arrêt, organisant des réunions pour les frères et sœurs, et peu importe qui avait des problèmes, je me précipitais vers cette personne pour l’aider à résoudre son problème… De l’extérieur, je semblais peut-être loyale et obéissante, mais comment mes ambitions intérieures pouvaient-elles échapper au regard de Dieu ? Ma désobéissance a suscité la colère de Dieu et, par conséquent, je suis tombée dans les ténèbres. Je ne recevais aucun éclairage en lisant les paroles de Dieu, je n’avais rien à dire pendant mes prières, je communiquais sèchement pendant les réunions et j’avais même peur des rencontres avec mes frères et sœurs. Je suis devenue complètement enchaînée par la réputation et le statut. J’ai vécu chaque jour sans m’en rendre compte, comme si je portais un lourd fardeau sur le dos et ne pouvais pas respirer à cause de la pression. Je n’arrivais pas non plus à comprendre certains des problèmes de l’Église et mon efficacité au travail a chuté brusquement. Devant une telle révélation de Dieu, je n’ai pas essayé de me connaître moi-même et je n’ai pas voulu non plus m’ouvrir aux frères et sœurs sur ma situation et chercher la vérité pour la résoudre de peur qu’ils ne me regardent de haut. Plus tard, le châtiment et la discipline de Dieu sont descendus sur moi. Mon estomac a soudainement commencé à me faire si mal que je ne pouvais plus m’asseoir ou me tenir debout en paix. Le tourment de la maladie et l’insatisfaction de ne pas avoir atteint mon statut m’ont laissée planer entre la vie et la mort. En raison de mon refus de reconnaître mes problèmes et de mon échec dans ma coopération à l’œuvre de l’Église, l’Église n’a pas eu d’autre choix que de me remplacer et me renvoyer chez moi pour une dévotion spirituelle et une réflexion personnelle. Ayant perdu mon statut, j’avais l’impression d’avoir été condamnée à l’enfer. Sur le plan émotionnel, je suis tombée à mon point le plus bas et j’ai senti que j’avais perdu la face. Je devenais encore plus tourmentée intérieurement surtout quand je voyais les frères et les sœurs qui accomplissaient tous activement leurs devoirs, alors que j’avais perdu l’œuvre du Saint-Esprit et étais incapable d’accomplir quelque devoir que ce soit. Dans la douleur, je ne pouvais m’empêcher de me demander : Pourquoi les autres croient en Dieu et comprennent de plus en plus la vérité, alors que je continue à désobéir et à m’opposer à Dieu encore et encore au sujet de la réputation et du statut ? J’ai supplié plusieurs fois Dieu de m’aider à trouver la cause profonde de mes échecs. Un jour, j’ai lu ce qui suit dans les paroles de Dieu : « Certains idolâtrent particulièrement Paul. Ils aiment sortir et faire des discours et travailler, ils aiment assister à des rassemblements et prêcher, et ils aiment que les hommes les écoutent, les adorent et gravitent autour d’eux. Ils aiment avoir un statut dans l’esprit des autres et ils aiment cela quand les autres valorisent l’image qu’ils présentent d’eux. Examinons leur nature à partir de ces comportements : quelle est leur nature ? Si ces personnes se comportent vraiment comme cela, alors c’est suffisant pour démontrer qu’elles sont arrogantes et vaniteuses. Elles n’adorent pas Dieu du tout ; elles cherchent un statut plus élevé, veulent avoir de l’autorité sur les autres, les posséder et avoir un statut dans leur esprit. C’est l’image classique de Satan. Les aspects de leur nature qui se distinguent sont l’arrogance et la vanité, le refus d’adorer Dieu et le désir d’être adoré par les autres. De tels comportements peuvent te donner une vision claire de leur nature » (« Comment connaître la nature de l’homme », dans Récits des entretiens de Christ). En outre, il est dit dans : « Sermons et échange sur l’entrée dans la vie » : « L’essence et la nature de Satan sont la trahison. Il a trahi Dieu depuis le tout début et, après avoir trahi Dieu, il a trompé, dupé, manipulé et contrôlé les hommes créés par Dieu sur terre, essayant de se mettre sur un pied d’égalité avec Dieu et d’établir un royaume distinct… Vous voyez, la nature de Satan n’est-elle pas celle qui trahit Dieu ? De tout ce que Satan a fait sur l’humanité, nous pouvons voir clairement que Satan est un véritable démon résistant à Dieu et que la nature de Satan est une nature qui trahit Dieu. Tout cela est absolu » (« Sermons et échange sur l’entrée dans la vie »). En contemplant ces paroles, je ne pouvais m’empêcher de trembler de peur. Je voyais que ce que j’avais vécu était totalement à l’image de Satan et que j’étais arrogante et vaniteuse, et que je n’adorais pas du tout Dieu. Dieu m’a exaltée pour que j’accomplisse mon devoir dans l’Église afin que je puisse, avec la crainte de Dieu dans mon cœur, amener les frères et les sœurs devant Lui et faire en sorte que les hommes aient une place pour Dieu dans leur cœur, et qu’ils craignent Dieu et Lui obéissent. Mais face à mon exaltation envers Dieu, je ne tenais pas compte des intentions de Dieu dans l’accomplissement de mon devoir et je ne sentais aucun fardeau à aider mes frères et sœurs à entrer dans la vie. Au lieu de cela, je voulais toujours faire en sorte que les hommes fassent attention à moi et m’écoutent, et pour satisfaire mes propres désirs, j’essayais toujours de me faire remarquer, peu importe où j’allais. J’étais même jalouse du bien et envieuse des forts, et je rivalisais obstinément avec les autres pour avoir le dessus. De l’extérieur, j’étais en compétition avec les hommes, mais, en fait, je luttais contre Dieu. C’est quelque chose qui offense sévèrement le tempérament de Dieu. Il m’a jugée, châtiée et disciplinée, et m’a privée de statut pour me faire réfléchir sur moi-même et me repentir. J’ai vu que l’amour de Dieu pour moi était trop profond et trop grand ! Je ne pouvais pas m’empêcher de regretter et de me blâmer intérieurement, et je détestais d’ailleurs que ma corruption soit si profonde. Je suivais Dieu, mais je ne poursuivais pas la vérité et, au contraire, je ne faisais que lutter aveuglément pour le statut et la réputation. Je n’avais vraiment pas réussi à être à la hauteur de l’amour et du salut de Dieu. Plus j’approfondissais, plus je me rendais compte que les dictons qui constituaient ma philosophie de vie, tels que « Un arbre vit grâce à son écorce, tout comme un homme vit sur sa face » et « Un homme laisse son nom où il passe ; comme une oie fait entendre son cri partout où elle vole », étaient des mensonges utilisés par Satan pour corrompre et faire du mal à l’humanité. J’ai réalisé que Satan utilisait ces choses pour paralyser les âmes des hommes, déformer leurs esprits et leur faire développer une vision erronée de la vie, les faisant lutter amèrement dans leur poursuite de choses vides telles que le statut, la célébrité, la fortune et la réputation, et finalement s’éloigner de Dieu et Le trahir, afin qu’ils puissent tous se conformer à ses erreurs et travailler pour lui, et être détruits et blessés par lui à son gré. J’étais l’une de ces personnes qui a développé une vision erronée de la vie sur la base des mensonges de Satan, devenant arrogante, vaniteuse, dédaigneuse et ne laissant aucune place pour Dieu dans mon cœur. Je vivais dans la corruption et je traitais Dieu comme l’ennemi. Maintenant, je ne dois plus jamais aller contre Dieu en jouissant de Sa miséricorde. Je vais me réformer complètement, abandonner totalement Satan, donner totalement mon cœur à Dieu et vivre à l’image d’une vraie personne afin de réconforter le cœur de Dieu. Après cela, j’ai cherché comment continuer mon chemin futur et comment poursuivre la vérité pour satisfaire la volonté de Dieu. Je remercie Dieu de m’avoir guidée une nouvelle fois. J’ai alors lu les paroles de Dieu suivantes : « Aujourd’hui, même si tu n’es pas un ouvrier, tu devrais être capable d’accomplir le devoir d’une créature de Dieu et chercher à te soumettre à toutes les orchestrations de Dieu. Tu devrais être capable d’obéir à tout ce que Dieu dit, subir toutes sortes de tribulations et d’épurement, et bien que tu sois faible, tu devrais malgré tout être disposé à aimer Dieu dans ton cœur. Ceux qui sont responsables de leur propre vie sont prêts à accomplir le devoir dévolu à une créature de Dieu, et le point de vue de telles personnes sur la quête est le bon. Ce sont les personnes dont Dieu a besoin. […] En tant que créature de Dieu, l’homme doit chercher à accomplir le devoir d’une créature de Dieu et chercher à aimer Dieu sans faire d’autres choix, car Dieu est digne de l’amour de l’homme. Ceux qui cherchent à aimer Dieu ne devraient pas chercher à obtenir un quelconque avantage personnel ou chercher à parvenir à leurs aspirations personnelles ; c’est la meilleure façon de chercher » (La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, Le succès ou l’échec dépendent du chemin que l’homme emprunte). Comme un phare, les paroles de Dieu ont illuminé mon cœur, me montrant le chemin que je devais suivre. Dieu espère que les hommes, qu’ils aient ou non un statut et quel que soit l’environnement dans lequel ils se trouvent, fassent tout ce qui est en leur pouvoir pour rechercher la vérité, puissent obéir à l’orchestration et aux arrangements de Dieu, et chercher à aimer et satisfaire Dieu. C’est la manière la plus correcte de poursuivre ainsi que le droit chemin de vie qu’une créature devrait emprunter. Je me suis donc décidée devant Dieu : Ô Dieu, merci de me montrer le droit chemin de la vie. Mon ancien statut était dû à Ton exaltation. Être sans statut aujourd’hui est également dû à Ta justice. Je ne suis qu’une minuscule créature. Désormais, je ne désire que poursuivre la vérité et obéir à tous Tes arrangements.

Par la suite, ma situation est vite revenue à la normale en lisant les paroles de Dieu et en vivant la vie de l’Église. L’Église a de nouveau organisé un devoir approprié pour moi. Aussi, me suis-je concentrée sur la recherche de la vérité dans l’accomplissement de mon devoir, chaque fois que quelque chose arrivait, je cherchais les intentions de Dieu, j’essayais de me connaître moi-même et de trouver les paroles de Dieu adéquates pour résoudre le problème. Face à des choses qui impliquaient la réputation et le statut, même si j’avais quelques pensées dans mon esprit, par la prière et la parole de Dieu, je recherchais la vérité et je m’abandonnais et, peu à peu, je parvenais à ne pas me laisser contrôler par ces choses et je pouvais accomplir mon devoir sereinement. Quand je voyais des frères et sœurs qui ne croyaient pas en Dieu depuis aussi longtemps que moi et se voir confier des missions, je parvenais, en recherchant la vérité, à comprendre que le devoir que l’homme accomplit est prédestiné par Dieu et que je devais obéir aux arrangements de Dieu. Par conséquent, j’étais capable de m’occuper de cela correctement. Quand les frères et sœurs traitaient et exposaient ma nature et mon essence, même si je sentais que j’avais perdu la face, je réussissais à devenir dévouée par la prière. C’est parce que l’amour de Dieu m’est tombé dessus, et cet amour m’a beaucoup aidée à changer mon tempérament de vie. Dans le passé, je me focalisais trop sur ma réputation et je ne voulais m’ouvrir à personne de peur que les autres me méprisent. Maintenant, je m’exerce à être une personne honnête selon les exigences de Dieu et, si j’ai des problèmes, je m’ouvre aux frères et sœurs, ce qui me soulage et me rend particulièrement heureuse au fond de mon âme. En voyant ces changements en moi, je ne pouvais m’empêcher de remercier et de louer Dieu, car ces changements m’ont été apportés par le châtiment et l’œuvre de jugement de Dieu des derniers jours.

Cela fait maintenant plusieurs années que je suis Dieu Tout-Puissant. En y repensant, ce sont les toxines de Satan qui avaient érodé mon âme. J’avais vécu sur le domaine de Satan et j’ai été détruite et trompée par lui pendant de nombreuses années. Je ne connaissais pas la valeur et le sens de la vie. Je ne pouvais pas voir la lumière ni trouver le vrai bonheur et la vraie joie. J’ai sombré dans l’abîme de la misère et je n’ai pas pu m’en extraire. Maintenant, c’est à travers le châtiment et le jugement de Dieu à maintes et maintes reprises que j’ai réussi à me débarrasser du mal causé par Satan et à obtenir le soulagement et la liberté. J’ai recouvré ma conscience et ma raison, et je dispose aussi de la bonne cible à poursuivre, en suivant Dieu sur le chemin lumineux et droit de la vie. À travers le châtiment et le jugement de Dieu, j’ai vraiment expérimenté l’amour désintéressé et sincère de Dieu, j’ai joui de la bénédiction et j’ai reçu l’amour dont le monde des hommes ne peut jouir. Seul Dieu peut sauver l’homme de l’océan de misère de Satan, et seul le châtiment et l’œuvre de jugement de Dieu peuvent purifier les hommes des toxines sataniques à l’intérieur d’eux et les faire vivre à l’image d’un vrai homme et marcher sur le droit chemin de la vie. Le châtiment et le jugement de Dieu sont la lumière. C’est la plus grande grâce, la meilleure protection et la plus précieuse richesse de vie accordée par Dieu à l’homme. Comme le dit la parole de Dieu Tout-Puissant : « […] le châtiment et le jugement de Dieu étaient la meilleure protection et la plus grande grâce de l’homme. Ce n’est que par le châtiment et le jugement de Dieu que l’homme peut se réveiller et haïr la chair, haïr Satan. La discipline stricte de Dieu libère l’homme de l’influence de Satan, le libère de son propre petit monde et lui permet de vivre dans la lumière de la présence de Dieu. Il n’y a pas meilleur salut que le châtiment et le jugement ! » (La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, Les expériences de Pierre : sa connaissance du châtiment et du jugement). Je suis reconnaissante pour le châtiment et le jugement de Dieu qui m’ont sauvée et m’ont permis de renaître ! Dans mon futur chemin de foi en Dieu, je n’épargnerai aucun effort pour poursuivre la vérité, recevoir davantage de châtiment et de jugement de Dieu, et me débarrasser complètement des toxines de Satan pour parvenir à la purification, atteindre une vraie connaissance de Dieu et devenir une personne qui aime véritablement Dieu.

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