Revenu du gouffre
Par Zhao Guangming, Chine Au début des années quatre-vingt, j’avais la trentaine et je travaillais dans une entreprise de construction. Je...
Nous accueillons tous les chercheurs qui désirent ardemment l'apparition de Dieu !
Quand j’étais jeune, ma famille vivait dans une région montagneuse reculée. Mes parents vivaient de l’agriculture, et la vie était assez dure. J’avais entendu dire par ceux qui revenaient du travail ailleurs qu’il existait de nombreuses opportunités pour gagner de l’argent en ville et que la vie y était bien meilleure. Ainsi, j’aspirais à une vie dans la grande ville, et j’espérais quitter un jour les montagnes pour m’installer dans la grande ville et y gagner de l’argent, améliorer les conditions de vie de ma famille, et susciter l’envie des habitants de notre village. J’étudiais assidûment et mes notes étaient toujours bonnes, mais dès ma première année de collège, ma famille ne pouvait plus se permettre de me maintenir à l’école, et j’ai dû abandonner mes études. Pourtant, mon désir de quitter les montagnes n’avait pas changé, et j’espérais toujours gagner beaucoup d’argent en ville pour mener une vie meilleure et faire l’envie de tous.
En 2007, quelqu’un m’a présentée à un partenaire potentiel originaire de la ville. J’ai pensé qu’épouser cet homme m’ouvrirait la voie vers une vie meilleure, mais, après notre mariage, j’ai découvert que sa famille était la plus pauvre de la région. Mon mari et mes beaux-parents n’avaient aucune instruction et ne pouvaient subvenir à leurs besoins qu’en travaillant dur. Leur maison, qu’ils avaient construite eux-mêmes, n’avait même pas de toit adéquat. Les murs et le sol étaient en ciment, et chaque fois qu’il pleuvait abondamment, l’eau s’infiltrait dans la maison. Ce qui m’attristait le plus, c’est que certains de nos voisins nous ignoraient à cause de nos mauvaises conditions de vie, ce qui m’avait fait regretter le choix insensé que j’avais fait. Mais quand je pensais au fait que j’avais épousé quelqu’un issu d’une grande ville, où les opportunités pour gagner de l’argent étaient bien plus nombreuses qu’à la campagne, je croyais que tant que mon mari et moi travaillions dur, notre vie continuerait de s’améliorer à coup sûr, et qu’une fois que nous aurions gagné de l’argent, nos voisins nous envieraient.
Un an plus tard, mon mari a trouvé un travail pénible dans une usine de quincaillerie, et peu de temps après avoir donné naissance à notre fils, j’ai trouvé un emploi dans la confection de tissages artisanaux. Pour gagner plus d’argent, je travaillais souvent jusqu’à deux ou trois heures du matin, et, au fil du temps, je me suis fatiguée. Parfois, j’avais tellement mal aux bras que je ne pouvais même pas les soulever, et mes deux poignets étaient gonflés. Mais quand je pensais qu’une tâche de plus pouvait me rapporter quelques centimes supplémentaires, je sentais que ces souffrances en valaient la peine. Surtout lorsque j’utilisais l’argent gagné par mes efforts pour acheter de la nourriture et des produits essentiels afin d’améliorer notre vie, j’avais le sentiment que ces difficultés en valaient la peine. Ainsi, j’étais encore plus convaincue que tant que mon mari et moi pouvions simplement supporter ces difficultés, notre vie ne serait certainement pas pire que celle de quiconque.
Un jour, la tante de mon mari est venue me prêcher l’Évangile, et a dit : « Le Sauveur est venu, et Il est Dieu Tout-Puissant, qui accomplit l’œuvre du salut des gens des derniers jours. Ce n’est qu’en acceptant le salut de Dieu et en se libérant du péché que l’on peut être protégé par Dieu et survivre à la grande catastrophe… » Je croyais en Dieu dans mon cœur, mais ensuite, je me suis dit : « Je vis encore dans une maison qui fuit, mon enfant est si jeune, et nous avons besoin d’argent pour toutes sortes de choses. Si je crois en Dieu, cela retardera mes gains d’argent. Je ne peux pas laisser faire ça. Gagner de l’argent est ce qu’il y a de plus important pour moi en ce moment, et pour ce qui est de croire en Dieu, je vais devoir repousser cela jusqu’à ce que mes conditions de vie s’améliorent. » J’ai donc refusé.
À cette époque, mon enfant venait tout juste de commencer à marcher, et j’avais entendu dire que la charge de travail dans l’usine alimentaire était lourde, mais que le salaire y était trois à quatre fois plus élevé que ce que je gagnais à ce moment-là. J’ai été quelque peu tentée et je me suis dit : « Tant que je ne crains pas les difficultés ou la fatigue, je pourrai gagner plus d’argent dans cette usine alimentaire. Ne mènerons-nous pas une vie meilleure grâce à cela ? » J’ai donc confié mon enfant à ma belle-mère et je suis partie travailler à l’usine alimentaire. Pendant cette période, mon mari se plaignait parfois de fortes douleurs au dos, mais je n’ai pas du tout pris cela au sérieux, et je me suis dit : « Comment peut-on gagner plus d’argent sans travailler dur ? Moi aussi, je fais souvent des heures supplémentaires jusqu’à deux ou trois heures du matin. Ce n’est qu’en persévérant que nous pourrons gagner davantage d’argent. » Alors, mon mari et moi avons serré les dents et continué à travailler dur pour gagner plus d’argent ensemble. Peu de temps après, j’ai trouvé un autre emploi dans une usine de quincaillerie où je travaillais sur des meuleuses. Chaque jour, en polissant les outils, je devais plonger mes mains dans de l’eau contenant différents produits chimiques empêchant le métal de rouiller. Comme je ne pouvais pas porter de gants pour manipuler certains outils, mes mains restaient immergées dans cette eau toute la journée. L’une de mes collègues a développé une insuffisance rénale à cause de ce travail, et pourtant, j’ai continué à l’exercer pendant huit ou neuf ans. Mon mari et moi avons travaillé dur et avons gagné un peu d’argent, et nous pouvions nous permettre de mieux manger et nous habiller bien mieux qu’auparavant, et nous avons même pu mettre de côté de quoi verser un acompte pour acheter une maison. Nos voisins, qui nous ignoraient auparavant parce que nous étions pauvres, ont commencé à se rapprocher de nous, et nous saluaient avec le sourire à chaque rencontre, et ils nous parlaient même avec envie et nous disaient que nous, en tant que couple, étions travailleurs et vivions mieux grâce à nos efforts. J’éprouvais une certaine fierté en entendant cela, et je me disais que mes années de dur labeur commençaient enfin à porter leurs fruits, et je n’aurai pas pu être plus heureuse. Mais un matin, alors que mon mari et moi nous préparions pour aller travailler, il a soudainement crié de douleur dans son lit, et m’a suppliée désespérément de l’emmener à l’hôpital. Le médecin l’a examiné et a diagnostiqué plusieurs protrusions discales segmentaires dans la colonne lombaire. Il a recommandé une intervention chirurgicale, sans quoi mon mari risquait la paralysie. Il a dit que l’intervention coûterait plus de cent mille yuans. J’étais abasourdie : « Plus de cent mille yuans ? C’est tout ce que mon mari et moi avons durement gagné au fil des années, et tout va disparaître simplement à cause d’une maladie ? N’aurions-nous pas souffert toutes ces années pour rien ? Mais si nous ne le faisons pas soigner et qu’il devient paralysé, qui se battra à mes côtés pour cette famille ? Nos vies ne deviendront-elles pas encore plus difficiles ? » Mon mari était tout aussi accablé, et il n’a pas pu se résoudre à voir l’argent de tant d’années de dur labeur partir en fumée, alors il a décidé de rentrer chez nous pour se reposer. Pendant cette période, j’étais la seule à rapporter de l’argent à la maison, alors j’ai redoublé d’efforts, et même quand je ne me sentais pas bien, je serrais les dents et je persévérais.
Un jour, environ trois mois plus tard, alors que je me préparais à partir au travail, mon cou s’est soudainement mis à me faire terriblement mal, au point que je ne pouvais plus lever la tête, tout ce que je regardais était flou et trouble, et j’avais l’impression de ne pas pouvoir garder la nourriture. Mon mari m’a exhortée à aller à l’hôpital immédiatement. Le médecin m’a alors annoncé que j’avais trois graves hernies cervicales et lombaires, et que celle au niveau lombaire comprimait déjà les nerfs de ma jambe gauche. L’opération coûterait plus de deux cent mille yuans, et même après cela, rien ne garantissait une guérison. Mais sans traitement, je risquais de finir paralysée. Lorsque j’ai entendu cela, j’ai eu l’impression de m’effondrer alors que je me disais : « Mon mari est encore malade, et maintenant, je risque aussi d’être paralysée. L’argent que nous avons mis tant d’efforts à gagner ne nous permet même pas de voir un médecin tous les deux ! Pendant toutes ces années, nous avons travaillé si dur pour gagner de l’argent, mais au final, nous n’avons profité de rien, et avons juste fini avec une multitude de maladies. Avons-nous travaillé si dur pour tout cet argent pour rien ? Et qui plus est, même si nous dépensons l’argent, rien ne garantit que je guérisse, et quand le moment viendra, l’argent aura disparu, tout comme ma vie. Pourquoi ai-je vécu toute cette vie ? » Je me sentais complètement perdue, et je passais mes journées avec un sentiment de morosité. Plus tard, grâce à la présentation d’un proche, mon mari et moi avons trouvé des emplois moins difficiles. Nous avons également reçu une certaine somme d’argent après la démolition de notre maison, et notre situation semblait enfin s’améliorer. Cependant, la douleur dans mon corps me donnait souvent un mauvais pressentiment, et je me demandais : « Et si je finissais soudainement par être paralysée ? Et si ma vie s’arrêtait prématurément ? » Plus j’y pensais, plus j’avais peur, et j’ai souvent regretté profondément d’avoir été aussi stupide pendant toutes ces années, de ne pas avoir chéri mon corps juste pour gagner de l’argent, et maintenant que j’avais un peu d’argent, aucune somme d’argent ne pouvait guérir ma maladie. J’étais inquiète : « Comment suis-je censée continuer à vivre comme ça ? »
Dans ma douleur et ma confusion, ma tante m’a de nouveau prêché l’Évangile. Elle m’a fait écouter un hymne intitulé « Le destin de l’homme est contrôlé par les mains de Dieu ». J’ai entendu les paroles de l’hymne qui disaient : « Le destin de l’homme est entre les mains de Dieu. Tu es incapable de te contrôler : malgré le fait qu’il est toujours pressé et affairé pour son propre compte, l’homme reste incapable de se contrôler. Si tu pouvais connaître tes propres perspectives, si tu pouvais contrôler ton propre destin, serais-tu toujours un être créé ? » (La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, Restaurer la vie normale de l’homme et l’emmener vers une merveilleuse destination). Cette chanson a immédiatement fait écho au fond de moi. Pendant toutes ces années, j’avais travaillé sans relâche pour gagner de l’argent et enduré bien des souffrances, juste pour mener une vie enviable aux yeux des autres, mais en fin de compte, mon mari et moi étions tombés malades et risquions la paralysie. Si nous perdions la vie, à quoi nous servirait tout cet argent que nous avions gagné ? Lorsque j’y pensais, je prenais conscience que le destin d’une personne n’était vraiment pas entre ses propres mains. Dans les jours qui ont suivi, ma tante est venue manger et boire les paroles de Dieu avec moi, et elle a échangé avec moi sur l’origine de l’humanité, sur les mystères des trois étapes de l’œuvre de Dieu, et sur Son intention de sauver l’humanité. J’ai vu que Dieu avait exprimé tant de vérités, que Ses paroles avaient autorité et pouvoir, et j’ai été convaincue que Dieu Tout-Puissant est le vrai Dieu, capable de sauver l’humanité. J’ai aussi prêché l’Évangile à mon mari, et ensemble, nous avons accepté l’œuvre de Dieu Tout-Puissant des derniers jours.
Après avoir accepté l’œuvre de Dieu, j’ai lu de nombreux passages des paroles de Dieu. Un jour, j’ai lu ces paroles de Dieu : « Lorsque les gens ne savent pas en quoi consiste le destin, ou qu’ils ne comprennent pas la souveraineté de Dieu, ils avancent simplement à travers le brouillard en se débattant et en trébuchant, en se basant sur leur propre volonté, et que ce voyage est trop difficile, trop pénible. Donc, quand les gens s’aperçoivent que Dieu a la souveraineté sur le destin humain, les plus intelligents choisissent de connaître et d’accepter la souveraineté de Dieu, et ils disent adieu aux jours douloureux où ils “essayaient de se façonner une bonne vie de leurs propres mains”, au lieu de continuer à lutter contre le destin et à poursuivre leurs prétendus objectifs de vie à leur manière. Quand une personne est sans Dieu, quand elle ne peut pas Le voir, quand elle ne peut pas connaître clairement la souveraineté de Dieu, chaque jour est vide de sens, sans valeur et indescriptiblement douloureux. Peu importe où une personne se trouve, et quel que soit son travail, ses moyens de survie et les objectifs qu’elle poursuit ne lui n’apportent qu’un chagrin sans fin et une souffrance dont il est difficile de se remettre, au point qu’elle ne peut pas supporter de repenser à son passé. Ce n’est qu’en acceptant la souveraineté du Créateur, en se soumettant à Ses orchestrations et à Ses arrangements, et en poursuivant la réalisation de la vraie vie humaine qu’une personne peut se libérer progressivement de tout chagrin et de toute souffrance, et se débarrasser peu à peu de tout le néant de la vie humaine » (La Parole, vol. 2 : Sur la connaissance de Dieu, Dieu Lui-même, l’Unique III). Grâce aux paroles de Dieu, j’ai vu que si les gens ne se présentent pas devant Dieu, ils ne peuvent vivre que sous la tromperie de Satan, et poursuivre l’argent, la réputation et le gain. Ce n’est qu’en se présentant devant Dieu, en se soumettant à Sa souveraineté et à Ses arrangements, et en poursuivant selon le chemin sur lequel Dieu nous a guidés, que nous pouvons être protégés par Dieu et échapper aux nuisances de Satan. En y réfléchissant, j’étais une personne qui avait beaucoup souffert sous l’emprise de Satan. Je n’avais pas reconnu la souveraineté de Dieu auparavant et j’avais toujours voulu m’appuyer sur moi-même pour échapper aux montagnes et mener une vie dans une grande ville que les autres envieraient. Mais les antécédents de ma famille maritale n’avaient pas satisfait mes désirs, alors j’avais voulu m’appuyer sur le travail pour gagner de l’argent et changer mon destin appauvri, j’avais utilisé mes propres mains pour créer une vie meilleure et devenir une personne riche que les autres envieraient. Je m’étais tuée à la tâche pour gagner de l’argent, et même si le travail avait gravement abîmé mon corps, cela ne m’avait pas empêchée de poursuivre la richesse. Finalement, non seulement je n’ai pas gagné beaucoup d’argent, mais je me suis épuisée et je suis tombée malade, et j’ai même risqué la paralysie. Ces souvenirs douloureux m’ont fait prendre conscience que les gens ne peuvent pas du tout contrôler leur destin. J’avais toujours voulu m’appuyer sur moi-même pour changer mon destin, mais en fin de compte, j’avais été torturée par la tromperie de Satan.
Plus tard, je me suis demandé : « Pourquoi avais-je été disposée à souffrir et à peiner pour l’argent dans le passé, mais pas à croire en Dieu et à me présenter devant Lui ? » Mon mari et moi avons lu un passage des paroles de Dieu ensemble : « “L’argent fait tourner le monde” est la philosophie de Satan. Elle prévaut dans l’humanité tout entière, dans toutes les sociétés humaines : vous pourriez dire que c’est une tendance. En effet, elle a été instillée à tous les hommes, qui au début n’acceptaient pas ce dicton, mais lui ont ensuite donné leur accord tacite lorsqu’ils sont entrés en contact avec la vie réelle et ont commencé à sentir que ces mots, en fait, étaient vrais. Ce processus n’est-il pas celui de la corruption de l’homme par Satan ? Peut-être que les gens ne comprennent pas ce dicton de la même manière, mais chaque personne a une manière différente de l’interpréter et de le comprendre en se fondant sur des choses qui se sont passées autour d’elle et sur ses expériences personnelles. N’est-ce pas le cas ? Peu importe l’expérience que quelqu’un a de ce dicton, quel est l’effet négatif qu’il peut avoir sur le cœur de quelqu’un ? Quelque chose est révélé par le tempérament humain des gens dans ce monde, y compris chacun d’entre vous. De quoi s’agit-il ? C’est le culte de l’argent. Est-il difficile d’enlever cela du cœur de quelqu’un ? C’est très difficile ! Il semble que la corruption de l’homme par Satan soit profonde, en effet ! Satan utilise l’argent pour tenter les gens et les corrompt en leur faisant adorer l’argent et vénérer les choses matérielles. Et comment cette adoration de l’argent se manifeste-t-elle chez les gens ? Ne sentez-vous pas que vous ne pourriez pas survivre dans ce monde sans argent, que même un jour sans argent serait tout simplement impossible ? Le statut des gens est basé sur la quantité d’argent qu’ils possèdent, tout comme le respect qu’ils inspirent. Les pauvres courbent le dos de honte alors que les riches profitent de leur statut élevé. Ils gardent la tête haute, ils sont fiers, ils parlent fortement et vivent avec arrogance. Qu’est-ce que ce dicton et cette tendance apportent aux gens ? N’est-il pas vrai que beaucoup de gens feraient n’importe quel sacrifice afin d’obtenir de l’argent ? Beaucoup de gens ne perdent-ils pas leur dignité et leur intégrité en quête de plus d’argent ? Beaucoup de gens ne perdent-ils pas la possibilité d’accomplir leur devoir et de suivre Dieu à cause de l’argent ? Perdre l’occasion de gagner la vérité et d’être sauvé, n’est-ce pas la plus grande des pertes pour les gens ? Satan n’est-il pas sinistre d’utiliser cette méthode et ce dicton pour corrompre l’homme à un tel degré ? Cela n’est-il pas une ruse malveillante ? En passant du refus de ce dicton populaire à son acceptation comme vérité, ton cœur tombe complètement sous l’emprise de Satan, et donc, par inadvertance, tu en arrives à vivre par lui » (La Parole, vol. 2 : Sur la connaissance de Dieu, Dieu Lui-même, l’Unique V). Après avoir lu les paroles de Dieu, j’ai compris que les gens s’éloignent de Dieu et de la vérité parce qu’ils sont influencés et empoisonnés par différents points de vue erronés instillés par Satan. Satan utilise des dictons comme « L’argent fait tourner le monde » et « L’homme meurt pour la richesse comme les oiseaux le font pour la nourriture » pour inciter les gens à poursuivre l’argent, il les pousse à lutter et à vivre toute leur vie pour gagner de l’argent. J’avais tellement souffert en faisant cela ! Je croyais que ce n’était qu’en gagnant de l’argent que je pourrai améliorer ma vie, que je jouirais d’une vie matérielle de qualité, gagner le respect des autres, et être enviée par les autres. Lorsque je faisais un travail manuel, je veillais jusqu’à deux ou trois heures du matin chaque jour, juste pour gagner quelques centimes de plus. Quand je travaillais dans une usine alimentaire, je ne dormais pas suffisamment, pourtant je n’avais jamais manqué une occasion de faire des heures supplémentaires pour gagner plus d’argent. Les produits chimiques utilisés dans le travail de meulage étaient gravement nuisibles à la santé humaine, mais comme le salaire était bon, j’avais été disposée à le faire. Pendant toutes ces années, tout ce à quoi j’avais pensé, se résumait à comment gagner plus d’argent. Même lorsque tout ce travail intensif avait entraîné des problèmes de santé pour mon mari et moi, je n’avais toujours pas voulu retarder le travail pour me reposer, je me disais constamment : « Si je veux une vie meilleure, je dois serrer les dents et souffrir. » Finalement, grâce à notre travail acharné, nous avons gagné de l’argent, et nous avons gagné l’admiration de nos voisins, mais mon mari et moi avons épuisé nos corps, et tristement, l’argent que nous avions gagné n’était même pas suffisant pour nos opérations chirurgicales. J’avais vécu selon le poison de Satan selon lequel « L’argent fait tourner le monde » et j’avais failli finir paralysée. Ce que je regrettais encore plus, c’est que lorsque ma tante m’avait apporté l’Évangile de Dieu des derniers jours, je l’avais rejeté pour gagner de l’argent. Si Dieu n’avait pas utilisé ma tante pour me prêcher à nouveau l’Évangile, j’aurais presque perdu la chance de suivre Dieu, de gagner la vérité et d’être sauvée. J’avais été vraiment stupide ! C’est seulement à ce moment-là que j’ai pris conscience que Satan avait utilisé l’argent pour contrôler mes pensées et dominer ma vie, et avait poussé mon cœur à s’éloigner encore plus de Dieu. Les tactiques de Satan pour induire les gens en erreur sont vraiment méprisables et malveillantes !
Six mois plus tard, j’ai commencé à faire mes devoirs dans l’Église. Au début, mes devoirs étaient relativement faciles et n’affectaient pas le fait de gagner de l’argent dans mon travail, mais plus tard, lorsque je suis devenue dirigeante, ma charge de travail dans l’Église a augmenté, et je me suis retrouvée à court de temps. À plusieurs reprises, pendant les réunions, mon patron m’avait appelée, et je craignais que si cela continuait, cela affecterait mon travail et mes revenus. Après tout, ce travail n’était pas épuisant, et si je le perdais, je ne pourrais plus gagner d’argent ! Mais je savais qu’essayer de concilier mon travail et mes devoirs retarderait le travail de l’Église. Je me sentais très tiraillée, alors j’ai prié Dieu : « Dieu, s’il Te plaît, guide-moi pour ne pas être contrainte par l’argent, et pour ne pas perdre la chance de faire mes devoirs. »
Un jour, le prédicateur a compris mon état et a mangé et bu un passage des paroles de Dieu avec moi : « Si Je déposais maintenant de l’argent devant vous et que Je vous laissais la liberté de choisir – sans vous condamner pour votre choix –, la plupart d’entre vous choisiraient l’argent et renonceraient à la vérité. Les meilleurs d’entre vous renonceraient à l’argent et choisiraient la vérité à contrecœur, tandis que ceux qui se trouvent entre les deux prendraient l’argent dans une main et la vérité dans l’autre. Votre vrai visage ne deviendrait-il pas alors évident ? Au moment de choisir entre la vérité et n’importe quelle chose à laquelle vous êtes fidèles, vous feriez tous ce choix et votre attitude resterait la même. N’est-ce pas le cas ? N’êtes-vous pas nombreux à avoir oscillé entre le bien et le mal ? Dans la lutte entre le positif et le négatif, le noir et le blanc, vous êtes certainement conscients de ce que vous avez choisi entre la famille et Dieu, les enfants et Dieu, la paix et la dislocation, la richesse et la pauvreté, le statut et la banalité, le soutien et le rejet par autrui, et ainsi de suite. Entre une famille paisible et une famille brisée, vous avez choisi la première, et ce, sans aucune hésitation ; entre la richesse et le devoir, vous avez là aussi choisi la première, sans même la volonté de regagner la terre ferme ; entre le luxe et la pauvreté, vous avez choisi le premier ; au moment de choisir entre vos fils, filles, époux, et Moi, vous avez choisi les premiers ; et entre la notion et la vérité, vous avez, là encore, choisi la première. Devant vos méfaits de toutes sortes, J’ai simplement perdu foi en vous. Simplement cela Me sidère que vos cœurs soient si résistants à l’adoucissement. Toutes ces années de dévouement et d’efforts semblent ne M’avoir apporté qu’abandon et résignation de votre part, mais l’espoir que Je place en vous grandit chaque jour qui passe, car Mon jour a été entièrement révélé devant tout le monde. Pourtant, vous persistez à rechercher des choses sombres et mauvaises, et vous refusez de lâcher prise. Quelle sera alors votre fin ? Y avez-vous déjà prêté une attention particulière ? Si l’on vous demandait de choisir à nouveau, quelle attitude opteriez-vous ? Le premier choix, encore ? M’apporteriez-vous encore déception et chagrin misérable ? Votre cœur contiendrait-il encore une once de chaleur ? Ne sauriez-vous toujours pas quoi faire pour réconforter Mon cœur ? » (La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, À qui es-tu fidèle ?). Grâce à l’exposition des paroles de Dieu, j’ai vu qu’une fois que nous avons été corrompus par Satan, lorsqu’on nous offre le choix entre l’argent et la vérité, nous choisissons l’argent sans hésitation et nous abandonnons l’opportunité de poursuivre la vérité. Même si j’étais entrée dans la maison de Dieu, et qu’à travers l’abreuvement des paroles de Dieu, j’avais commencé à comprendre certaines vérités, lorsque le travail de l’Église entrait en conflit avec mes intérêts financiers personnels, j’hésitais et je considérais l’argent comme plus important que la vérité. N’étais-je pas encore en train de suivre Satan ? En prenant conscience de cela, j’ai compris que c’était Dieu qui me donnait une chance de choisir à nouveau, pour voir si je suivrais Satan et poursuivrais l’argent, ou si je suivrais Dieu et poursuivrais la vérité. En regardant les frères et sœurs autour de moi, j’ai vu qu’ils commençaient à comprendre de plus en plus de vérités à mesure qu’ils se formaient dans leurs devoirs au sein de l’Église, et j’ai vu que l’Église me cultivait pour faire mes devoirs de dirigeante dans l’espoir qu’en apportant ma contribution, je pourrais aussi gagner plus de vérités. Je ne pouvais pas perdre ma chance de gagner la vérité pour gagner de l’argent, et je ne pouvais pas décevoir la bonne intention de Dieu. De plus, j’avais toujours peur que si j’abandonnais mon travail et arrêtais de gagner de l’argent, nos conditions de vie seraient alors pires que celles des autres. Mais en réalité, même si j’avais maintenant une maison et un peu d’argent en plus, rien de tout cela n’avait été gagné par moi, mais avait été fourni par Dieu à travers des circonstances comme la démolition de notre maison. J’ai vraiment pris conscience que la richesse qu’une personne peut avoir n’est pas déterminée par ses propres choix, mais est soumise à l’ordonnance de Dieu. J’ai vu que peu importe à quel point j’essayais de m’appuyer sur moi-même, je ne pourrais pas gagner plus d’argent que ce qui m’était destiné. Mais je m’inquiétais encore que si je ne pouvais pas gagner d’argent, ma vie serait pauvre et je ne serais pas respectée par les autres, alors je vacillais entre l’argent et mes devoirs. N’étais-je pas dans le même état que lorsque j’avais rejeté l’Évangile de Dieu des derniers jours pour l’argent ? Je ne pouvais plus perdre mon temps à poursuivre l’argent et le plaisir, car cela me ferait perdre l’opportunité de gagner la vérité et me mènerait à la ruine.
Plus tard, j’ai lu un autre passage des paroles de Dieu : « Tu dois endurer des souffrances pour la vérité, tu dois te sacrifier pour la vérité, tu dois endurer l’humiliation pour la vérité et, pour gagner plus de vérité, tu dois subir plus de souffrance. C’est ce que tu devrais faire. Tu ne dois pas rejeter la vérité pour le plaisir d’une vie de famille harmonieuse, et tu ne dois pas perdre la dignité et l’intégrité d’une vie pour un plaisir momentané. Tu devrais poursuivre tout ce qui est beau et bon et tu devrais poursuivre un chemin plus significatif dans la vie. Si tu mènes une vie aussi banale et mondaine, et que tu n’as pas le moindre objectif à poursuivre, n’est-ce pas là gâcher ta vie ? Qu’as-tu à gagner d’une vie pareille ? Tu devrais abandonner tous les plaisirs de la chair pour une seule vérité et ne pas rejeter toutes les vérités pour un peu de plaisir. Ce genre de personnes n’ont ni intégrité ni dignité ; il n’y a aucun sens à leur existence ! » (La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, Les expériences de Pierre : sa connaissance du châtiment et du jugement). Les paroles de Dieu ont touché mon cœur, et j’ai compris que seul le fait de se présenter devant Dieu et de chercher à gagner la vérité a un véritable sens et une véritable valeur. En repensant à cela, ma tante m’avait prêché l’Évangile de Dieu quinze ans auparavant, mais je l’avais rejeté pour gagner de l’argent, et j’avais manqué le salut de Dieu pendant quinze ans ! Pendant ces années, j’avais travaillé comme un robot, je m’étais tuée à la tâche jour après jour, et je ne m’étais pas autorisée un seul instant pour faire une pause et respirer, et en conséquence, j’avais développé toutes sortes de maladies dues à l’épuisement. Quinze années à lutter pour l’argent m’ont finalement laissée complètement vide, et j’ai vu que vivre ainsi est totalement dénué de sens. J’ai pensé à un parent à moi, qui avait gagné beaucoup d’argent, était envié par tout le village et était devenu entrepreneur, mais il avait eu une vie sociale remplie et buvait avec ses partenaires commerciaux, et cela avait finalement entraîné une maladie du foie à cause d’une intoxication alcoolique. Le médecin l’avait exhorté à ne plus boire, mais pour gagner plus d’argent, il n’avait pas hésité à nuire à son corps en continuant de boire et à mener une vie sociale, et en fin de compte, il a développé un cancer du foie et est mort jeune. Je me suis rappelée de ce que le Seigneur Jésus a dit : « Et que servirait-il à un homme de gagner tout le monde, s’il perdait son âme ? ou, que donnerait un homme en échange de son âme ? » (Matthieu 16:26). Les paroles de Dieu me disent que l’argent, la réputation et le gain ne peuvent pas acheter la vie et ne peuvent mener qu’à la destruction. Si je ne faisais pas correctement mes devoirs et que je continuais sur le chemin de la poursuite de l’argent, mon corps finirait sûrement par s’effondrer, et non seulement ma vie serait ruinée, mais je perdrais aussi ma chance de salut. Bien que je gagne aujourd’hui moins d’argent qu’auparavant, je peux souvent manger et boire les paroles de Dieu et échanger des expériences avec mes frères et sœurs, ce qui est une grâce de la part de Dieu ! J’ai aussi fini par comprendre que Dieu m’a permis de me former dans mes devoirs dans l’Église afin que je puisse m’équiper de plus de vérité, discerner les moyens par lesquels Satan nuit aux gens, connaître mon tempérament satanique corrompu, et trouver la bonne direction dans la vie à partir des paroles de Dieu. La vérité qu’une personne gagne de Dieu est la vie éternelle, quelque chose que personne ne peut enlever. Cela est incomparable à l’argent et c’est la chose la plus précieuse dans la vie. Lorsque j’ai pris conscience de cela, j’ai prié Dieu en Lui disant que j’étais disposée à abandonner mon travail, et à croire correctement en Dieu et à faire mes devoirs à partir de maintenant.
Plus tard, j’ai abandonné mon travail et me suis consacrée pleinement à mes devoirs. Aujourd’hui, mon mari et moi sommes en bonne santé, et les symptômes de vertiges, de douleurs dorsales et d’inconfort que nous ressentions auparavant ont tous disparu. Ce qui me rend encore plus heureuse, c’est qu’en me formant dans mes devoirs, j’ai gagné une certaine compréhension de mon tempérament corrompu. Je suis si reconnaissante envers Dieu de m’avoir sauvée de la servitude de l’argent, de la réputation et du gain, et de m’avoir amenée devant Lui et de m’avoir donné plus d’opportunités pour gagner la vérité.
La douleur cessera et les larmes s'arrêteront. Faites confiance à Dieu, Il a entendu nos appels dans notre souffrance, et Il nous sauvera de notre douleur. Contactez-nous pour connaître la bonne nouvelle de Dieu de nous sauver.
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